

Arion
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Warhammer Battle Fantasy: Guerriers du Chaos
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C'est sympathique. Ca me fait plaisir de voir une "nouvelle" race apparaitre dans WFB. La peinture est bien mais l'absence d'OSL sur le caillou tout noir choc je trouve. C'est quand meme de la lave en dessous :s
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Tes conversion 40K sont très réussies. Contrairement aux autres, je trouve qu'au contraire, un visage fin de slaaneshi se marie très bien dans des armures de SM. Quand tu regardes les illustrations, on se rend bien compte que les armures sont gigantesques par rapport aux corps a l'intérieurs (je pense notamment a cette image [url="http://images.wikia.com/warhammer40k/images/4/49/Post-90027-1205171981.jpg"]SM Blood Hands[/url]). Ta conversion rend bien cette impression (par contre sa tête est peut être un peu décalée vers la gauche non?). Je ne sais pas a combien tu quote tes figs, mais en fonction du résultat, je te commanderai peut être bien une autre slaaneshi dans une armure SM! ^^
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Une petite photo du musicien CdC en cours de peinture... J'ai hate de tout terminer et de pouvoir faire une photo de groupe de l'unité! [URL=http://imageshack.us/photo/my-images/824/p1060864r.jpg/][IMG]http://img824.imageshack.us/img824/6747/p1060864r.jpg[/IMG][/URL] Uploaded with [URL=http://imageshack.us]ImageShack.us[/URL]
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[Divers] Mes figurines diverses et autres.
Arion a répondu à un(e) sujet de zedo dans Armées Multiples
Le schéma de couleur de tes elfes est vraiment très bien. Il est original sans rien compromettre du fluff elfique! D'ailleurs, sur ton Maitre des Epées quelqu'un a remarqué que la cotte de maille faisait cuir. C'est pas vraiment un souci de mon avis. Pourquoi ne porteraient t-ils pas des besantines de cuir a la place d'une brulante cotte de maille dans le desert? Sinon concernant ton Char de Chrace, la seule chose qui me chiffonne est le jaune de la bannière. La couleur n'est jamais apparue dans ton schéma de couleur de depart sur aucune autre fig, ca étonne. -
C'est gentil comme remarque =) J'écris depuis des années, un peu de tout mais je planche surtout sur un bouquin de SF depuis 8 ans. Enfin, tout ca pour dire que j'ai eu le temps de m'améliorer petit a petit (mais j'écris principalement en anglais). Le suite, peinture comme fluff arrive bientot (ce soir ou demain matin).
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Merci pour le compliment! Ca faisait très longtemps que je voulais re-créer cette ambiance terre du Nord (autrefois avec des EN) et on dirait que je commence finalement a y arriver. Pour le fluff, tout est prêt, mais vu que je n'ai eu aucun retour sur le premier chapitre, je m'étais dit que ca n'intéressais personne... Sans plus attendre, chapitre II: [center][b]Chapitre II[/b][/center] Les rêves devenaient de plus en plus fréquents. En fait, chaque nuit, il rêvait qu'il lisait son livre. Or, la veille au soir ou au petit matin, lorsqu'il s'aventurait a l'ouvrir ses yeux embrumés de fatigue, c’était toujours le même charabia incompréhensible. Il s’était arrêté de se poser des questions auquel il n'avait pas de réponse. Il se contenta d'avancer péniblement a travers ses journées monotones et harassantes, au milieux des [i]autres[/i], -il prononçait ce mot dans sa tête avec une intonation désagréables-, en attendant la tombée du soleil afin de pouvoir rentrer, dormir et rêver. Ses songes étaient infiniment plus agréables que la réalité. Ils paraissaient de plus en plus limpides également, -des fois-, mêmes plus que sa vie durant la journée, accablé par la fatigue tel qu'il était. Beigarth lui avait fait remarquer qu'il avait des cernes et qu'il était de plus en plus lent et apathique dans son travail, mais il s'en moquait. Du moment qu'il pouvait rentrer et dormir le soir... Dans ses rêves, il comprenait tellement de choses, il avait la sensation de grandir, de mûrir, tout était rapide et tellement intéressant. Le livre ne se trompait jamais et lui faisais découvrir chaque fois de nouveaux horizons. Des fois, le livre et Halldis se mêlaient et ne faisais plus qu'un. Dans ses rêves, contrairement a la réalité, Halldis-le-livre passait beaucoup de temps avec lui, s’intéressait a lui et ils avaient des discussions passionnantes ensemble. Il se sentait proche d'elle et il pouvait ressentir le sentiment réciproque. Il était, -en somme-, heureux. Hélas, invariablement, le réveil finissait par l'extirper de son monde parfait. Malgré tout ses efforts, il ne parvenait jamais a se souvenir de quoi exactement il discutait dans ses rêves ou de ce qu'il avait apprit, ce qui lui laissait un goût encore plus amère dans la bouche alors qu'il déambulait vers les pontons. Lorsqu'il apercevait Halldis, la vraie, il se sentait d'humeur encore plus sombre, presque en colère. Pourquoi n’étaient ils pas comme dans ses rêves ? Un jour alors qu'il coupait encore un interminable rondin de bois sur les chantiers du ponton, la voix d'Halldis-le-livre résonna dans sa tête aussi clairement que dans ses rêves, tranchant avec le floue qui semblait recouvrir le spectre de sa vie réelle depuis peu. -[i]Je suis la Æskil[/i], murmura t-elle gaiement. Il se releva brusquement, la hache pendant de sa main, éberlué. Les autres sur le chantier ne lui prêtèrent pas attention et continuèrent leur taches. Il tourna sa tête vers la gauche et effectivement, Halldis passait par la, son panier a la main. -[i]Comporte toi comme l'homme que tu es dans nos rêves communs. Prend moi et partons lire vers des contrées extraordinaires![/i] lui susurra t-elle. La phrase n'avait pas vraiment de sens mais dans sa tête, elle faisait parfaitement sens. -[i]Je le veux bien, je le veux de toutes mes forces ! Mais comment ?[/i] Pensa t-il. -[i]Penche toi. Penche toi en avant tout de suite. Obéis[/i], l'ordonna Halldis-le-livre. Il se pencha en avant juste a temps pour éviter une boule de goudron jetée par Beiner. Son acte d'une agilité déconcertante étonna tout le monde, y compris la vraie Halldis. Les hommes du chantier s’arrêtèrent de travailler un instant, stupéfaits. -Bah alors, on a pas la tête dans les étoiles ce matin, Æskil ? Railla Beiner. -[i]Dis lui de plutôt faire attention a la ou il met les pied a la place d’embêter un homme qui travail[/i], chuchota Halldis-le-livre. -[i]Quoi ? Mais non, pourquoi ?[/i] Pensa Æskil. -[i]Fais-le, fais moi confiance.[/i] Pris d'un élan soudain de confiance en soi, il se redressa et clama d'une voix virile a l'attention de Beiner : -Tu ferais mieux de faire attention a la ou tu met les pieds a la place d’embêter un homme qui travail, Beiner. -Hein ? Quoi ? Répondit ce dernier d'un air béat avant de glisser sur une plaque de goudron frais. Il tomba en arrière et heurta un seau plein de liquide d'enduit pâteux qui vint se répandre partout sur sa tête et son corps. Tout le monde partit d'un fou rire et même Æskil ricana lentement, les bras croises. Du coin de l’œil, il vit Halldis, la vraie, le regarder avec fierté. -[i]Tu vois. Il suffit que tu le veuilles.[/i] -[i]Mais... ce n'est pas encore comme dans nos rêves. Je suis encore la, sur ces pontons crasseux a accomplir des taches insipides.[/i] -[i]Ce n'est que le début. Fais moi-confiance.[/i] Ce soir la, après le travail, Æskil rentra chez, mu par une énergie nouvelle. Alors qu'il allait ouvrir la porte de sa cahute en bois, il aperçut Halldis, sur le point elle aussi de rentrer chez elle. Elle arborait une expression tentant de cacher sa tristesse. -[i]Va la voir[/i], lui conseilla la voix dans sa tête. -[i]Que vais-je bien pouvoir lui dire ?[/i] -[i]Tu trouveras bien[/i], le rassura Halldis-le-livre. Il marcha vers elle, non plus d'un air fatigué et traînant, comme il l'avait fait ces derniers jours, mais posé et confiant. A sa vu, elle sourit faiblement. -Qu'y a t-il Halldis ? Demanda t-il. -Oh... je... rien, vraiment, esquiva t-elle, embarrassée. -[i]Parle lui des rumeurs qui courent sur elle[/i], souffla Halldis-le-livre. -Ce sont ces satanés rumeurs qui courent sur toi, n'est-ce-pas ? Avança Æskil. Le visage d'Halldis s'illumina de surprise mêlée de crainte. -Pas ici, ma mère pourrait nous entendre, implora t-elle a voix basse. Æskil la prit par la main et l’emmena dans un coin plus calme, a l’orée des bois. -[i]Dis lui que tu sais a propos de sa mère, que tout cela n'est que calomnie et que tu arrangera la situation[/i], continua la voix. -Je sais pour ta mère. Elle est furieuse, mais tout cela ne sont que des mensonges colportés par des lâches. Je peux tout arranger, déclara t-il, confiant. -Oh Æskil, sanglota t-elle, tu es le seul a me comprendre. Tout le village pense qu'a cause de mon histoire il y a deux hivers de cela avec le fils d'un des bûcherons, je suis une fille de peu de vertu ! Mais je n'ai rien fait de mal avec ce garçon, je le jure. Ma mère me le pardonnera jamais ! Elle dit que je suis foutue, qu'aucun homme digne de ce nom voudra de moi et que je suis condamnée a mourir vieille et seule ! Elle s'effondra en larme. -[i]Prend-la dans tes bras. Dis lui que tu vas tout réparer. Tu sais qui est a l'origine de ces rumeurs et tu vas le confronter.[/i] -Ne pleures-plus Halldis. Je ferai taire ces rumeurs, je sais qui en est l'origine. Il paiera pour ce crime sur ton honneur. -Qui-est ce Æskil ? Qui-est ce ? -[i]Beiner.[/i] -Beiner, répondit-il, sur de lui. -Beiner ? Mais pourquoi diable ferait-il une chose pareil ? S'exclama Halldis, incrédule. -[i]Il est jaloux.[/i] -Il te convoite en secret, mais il n'a pas le courage de te prendre, alors il préfère salir ton honneur. -C'est abominable, Æskil ! -Sois tranquille Halldis, affirma t-il en passant sa main dans ses cheveux. Son crime ignominieux ne restera pas impuni. Demain, tout cela sera régler. Il la raccompagna chez-elle avant de rentrer et s'allonger sur sa paillasse. Il ne comprenait pas très bien ce qui allait se passer le lendemain, mais il faisait confiance au livre. Il était un homme nouveau, il le sentait. Plus sur, plus fort, il contrôlait ce qui se passait autour de lui. Cette nuit la, il dormit d'un sommeil profond et il ne rêva pas. Le lendemain il se réveilla et partit en direction des pontons. Il se sentait frais et inébranlable dans sa confiance en soi. Ses poches sous ses yeux avaient disparues et malgré le peu qu'il avait mangé la veille et tous les jours d'avant, il sentait une vigueur nouvelle envahir son corps. La réalité ne lui paraissait plus embrumée. Ses sens étaient aiguises, il voyait clair comme un oiseau de proie, il relevait toutes les odeurs environnantes de son village, -la puanteur du poisson, l’acidité de la fumée des feux éteints, les senteurs de la foret proche-, et son ouïe distinguait le moindre crissement qu'un pas faisait dans la neige. Pres des pontons, il entendit de violents éclats de voix. Il se rapprocha et vit une centaine de personnes rassemblées, autant dire le village au grand complet. Halldis était au centre du cercle, l'air craintive, près de sa mère qui invectivait Beigarth. -Honte a toi Beigarth ! Toi qui ne sais pas garder le museau de ton fils fermé ! Il ose répandre son flot de mensonges dans le village afin de porter le déshonneur sur ma fille ! -Ce sont des paroles de folles, vieille femme ! Je ne sais pas de quoi tu parles, se défendit le charpentier. Mon fils, qu'est ce que c'est que ces histoires ? Réponds et parle en homme ! Ordonna t-il a Beiner. Ce dernier nia et secoua la tête. -[i]C'est un lâche et une langue de vipère. Tu l'as entendu raconter ses mensonges Æskil[/i], cracha Halldis-le-livre. [i]Défie le sur son honneur ![/i] Æskil avança au milieu du rassemblement de gens et parla d'une voix forte. -Tu es un menteur, doublé d'un lâche, Beiner, fils indigne de Beigarth ! Accusa t-il d'une voix lourde. -Quoi ? comment oses-tu, chien ! Tu n'es qu'un moins que rien ! L'apostropha Beiner hargneusement. -Ma parole contre la tienne. Je te défie sur ton honneur si tu es un homme, déclara Æskil solennellement. La foule émit des bruits de surprise. On ne plaisantait pas avec un défi sur l'honneur. Cela se terminait soit par un mort, soit par un exil. Le dernier défi sur l'honneur s’était déroulé maintes hivers de cela entre deux hommes convoitant tout deux la fille du chef du village. L'un deux avait finit par tuer l'autre. C’était la rude voie du Nord. -Beiner, mon fils, qu'as tu a répondre de cela ? Déclara gravement Beigarth. Ce dernier était accule. Il n'avait pas le choix. -Très bien, affronte moi si tu es un homme Æskil ! Il retira sa chemise de toile et avança au milieu du cercle. Æskil fit de même. Mesurant six pieds de haut, Beiner était un peu plus grand que lui et du a une meilleure alimentation et de meilleures conditions de vie, il était également plus fort. Mais Æskil n’était pas mu ce jour-la par des limitations aussi humaines. -Aujourd'hui, moi Æskil, je défend l'honneur d'Halldis, que tu as injustement bafoué ! Cria t-il. -Et moi, aujourd'hui, je défend le mien que tu accuses si injustement ! Cria a son tour Beiner. Sans plus attendre, Beiner se jeta sur lui en rugissement. -[i]Bascule en arrière, lève ton pied pour le frapper au ventre et projette le au-dessus de toi[/i], lui indiqua Halldis-le-livre. C’était comme s'il s’était entraîné toute sa vie. Ses membres réagirent avec une célérité et une précision qui l’étonna, ceux de Beiner lui paraissaient lents et patauds en comparaison. Il roula sur son dos et fit passer Beiner par dessus lui avec son pied. Ce dernier s’écrasa durement contre le sol. N’étant pas homme a abandonner si rapidement, il se releva, s'avance vers Æskil et lui lança un coup de poing. Encore une fois, Æskil percevait Beiner comme si ce dernier bougeait sous l'eau. Il eu tout le temps de parer avec son bras droit et de contrer avec son gauche. Son poing contre son visage produisit un bruit de craquement sec qui fit remonter des vibrations dans tout son corps. Beiner s’écrasa une fois de plus au sol sous les hoquets de surprises de la foule. Le fils du charpentier se releva en tituba, un filet de sang coulant de son nez froissé. Il s'essuya le visage du revers de sa main, jura sous la douleur et cracha des postillons de sang, arrosant la neige immaculée d'un jet écarlate. Son regard dardait de gauche a droite et s’arrêta une demie-seconde sur une table proche sur laquelle reposait des outils de pêche... et un couteau. -[i]Il va attraper le couteau et se ruer sur toi. Tu esquiveras son bras et tu frapperas du pied dans sa virilité. Il lâchera le couteau. Tu le ramasseras et alors, tu sauras quoi faire.[/i] Comme la voix du livre lui avait prédit, Beiner se précipita sur la table, ramassa le couteau de pêche et se fendit en sa direction, avec la ferme intention de le poignarder. Æskil fit un pas leste de coté et la lame siffla dans l'air sans le toucher. Il frappa de toutes ses forces dans l'entrejambe de Beiner. La surprise se lut sur son visage pendant une fraction de seconde avant qu'il ne s’écroule en se roulant en boule, hurlant sa douleur. Æskil ramassa le couteau tombé a terre et plongea sur son ennemie et taillada sauvagement son visage. La foule cria de peur mais plus que tout, le cri d'effroi d'Haldis le ramena brusquement a la réalité. Il interrompit son geste a mi-chemin alors que son bras arme était prêt a égorger pour de bon son adversaire tombe a terre. Il était en sueur, haletant, un genoux sur la poitrine de Beiner. Ce dernier avait le visage recouvert de son propre sang, une large taillade barrant sa tête, le défigurant a jamais. Il peinait a respirer et s’étouffait a moitié dans la piscine de sang qui coulait de son visage et s'accumulait dans ses cavités nasales et sa bouches, avant de ruisseler en une flaque sur la neige. Beiner eut un soubresaut et toussa violemment, aspergeant de sang le visage Æskil. Ce dernier se releva et le couteau tomba de ses mains. Il avait l'impression d’émerger d'un mauvais rêve. La terrible nature de ce qu'il venait d'accomplir commençait a s'insinuer dans son esprit. Il observa la foule, l'air légèrement stupéfait, comme s'il les voyait tous pour la première fois. Le vieux chef du village s’avança et leva sa main. -Cela suffit, déclara t-il d'une voix chevrotante. Beigarth, emmène ton fils chez toi, que le guérisseur fasse ce qu'il puisse pour le sauver si les Dieux y consentent. Æskil, rentre également chez toi. Que tous les autres retournent a leur travail. Cette affaire, dont les Dieux sont témoins, est close. Ce soir la, le chef du village, accompagné des chefs de toutes les familles vinrent a la rencontre d'Æskil, devant sa pitoyable cahute en bois, qui faisait pale figure devant les vrais maisons solidement bâties des autres. Il se tut et attendit qu'ils parlent. De toute évidence, l'affaire Beiner n’était pas terminée. -Æskil, tu as défendu l'honneur d'Halldis et le tien, avec... courage et force, finit par dire le chef du village, l'air très légèrement perplexe. -... cependant, continua t-il, la preuve de la culpabilité de Beiner n'a pas été faite. Les chefs des familles ont delibérés et l'affront commis envers Halldis est lavé. Mais... tu as commis un acte irréparable. Tu as blesse Beiner, fils de Beigarth dans sa chair, blessure dont il portera des traces a vie. C'est un act terrible et pour cela, tu n'es plus le bienvenu dans notre village, declara t-il sur un ton péremptoire. Æskil ne pouvait pas croire ce qu'il entendait. Son regard parcouru les visages fermes et défiants des chefs de famille avec incrédulité. -[i]Ils osent ! Les fous[/i], siffla la voix-du-livre. [i]Ce sont des pleutres sans honneur! [/i] Un moment de silence passa. Puis Æskil rugit. -Vous le paierai ! VOUS PAIERAI CETTE TRAHISON ! Je vous maudit, TOUS ! Que les Dieux en soient témoins, un jour, vous me supplierai de vous pardonner ! Vous le regretterez tous ! Sur ce torrent blasphématoire, la petite assemblée du village repartit en silence et le laissa fulminer. -[i]Ce sont des imbéciles. Vois Æskil, vois comme ils vivent comme des minables, rampant dans la boue. Vois comme leurs vies sont misérables. Mais toi... toi, tu es appelé a un destin plus grand... Infiniment plus grandiose.[/i] -Oui ! -[i]Tu l'as toujours su, n'est-ce-pas ? [/i] -OUI ! -[i]Brûle ton passe. Les flammes du changement forgeront de toi un homme nouveau... Un homme capable de transformer le flux de la réalité d'une seule parole maudite ![/i] -OUI ! Brûlons ! Et sur ces paroles, Æskil entra en trombe dans sa cahute chercher le seul bien qu'il allait conserver : le tome en cuir. Dresse devant le lieu qui n’était désormais plus sa demeure, il jeta une torche enflammée sur le toit. La précaire construction de bois prit immédiatement feu, illuminant le ciel nocturne d'un gigantesque brasier qui se refléta dans les yeux pales et cruels d'Æskil. Aujourd'hui, il brûlait sa maison. Mais le jour viendrait ou il brûlerait la leur. [i]Tous[/i].
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C'est de la neige GW. Le champion CdC: [img]http://img402.imageshack.us/img402/1092/p1060853f.jpg[/img] [img]http://img193.imageshack.us/img193/7052/p1060856f.jpg[/img] [img]http://img7.imageshack.us/img7/3020/p1060858f.jpg[/img] [img]http://img833.imageshack.us/img833/1379/p1060860f.jpg[/img] [img]http://img851.imageshack.us/img851/5175/p1060863f.jpg[/img] Je n'ai pas traité le socle. J'attends d'acheter du sable et des petits debris, histoire d'enrichir le socle. Juste de la neige, ca fait un peu vide.
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[Skav-HElfes-Smarines] Retour à la peinture des HE
Arion a répondu à un(e) sujet de Tartack dans Armées Multiples
Tout ca est très sympathique, j'attends avec impatience une photo de groupe! Sinon, je trouve que le seul point d'ombre au tableau sont les socles... Le flocage est partielle -
[WHB-Mortels] - Armée de Thamurkhan ( Mortels, HB, Nains du Chaos,...)
Arion a répondu à un(e) sujet de matelloco dans Armées Multiples
Je ne trouve rien a critiquer, mais je tiens juste a te féliciter pour la qualité et le travail fourni sur les socles! -
J'aime beaucoup ton Enfant du Chaos. Si je peux me permettre, tiens toi au rouge et bleu, quitte a faire des variations de bleu (bleu éléctrique avec des touches de blanc par exemple). Ajouter du vert risque de donner un effet "guirlande de Noyel" a ton Enfant du Chaos qui, du coup, perdra toute crédibilité sur un champ de bataille. Je me trompe peut etre mais j'ai vu pas mal de figs de Nurgle qui pechaient de ce coté la. P.S.: beau boulot d'éclaircissement sur les veines et pustules. Ca a du te prendre un temps fou.
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o_O Ca fait un paquet d'Orks... Dis, sur ta conversion de Mekboy, comment tu fais pour ne pas laisser de vilaines traces de doigts sur les sections plates en Green Stuff (genre rouleau de parchemin?). Tu as bien du courage de t'attaquer a une armée aussi nombreuse en terme de peinture!
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[Skav-HElfes-Smarines] Retour à la peinture des HE
Arion a répondu à un(e) sujet de Tartack dans Armées Multiples
Oui, la effectivement, on voit bien le travail realisé sur la peau. Beau boulot! Les pustules m'ont dégoutées tellement elles font "vraies"! C'est moi ou la malepierre qui grandit sur son épaule degage une lumière verte sur la peau a coté? -
Tres bien vu les buches (de Noyel ) sur les socles, je n'y avais pas pensé. En revanche, de l'herbe jaune... ! Ou-est ce qu'on peut trouver ca? Niveau flocage, j'ai toujours vu que de l'herbe bien verte.
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Essaye Image Shack pour héberger tes images. Tu as l'air de bien savoir ce que tu vas faire ce qui est toujours bon signe. Les figurines sont très belles, ca me donne envie pour mon armée du Chaos . Tres bon choix pour les socles soit dit en passant. Faire des OSL avec la lave risque d'être un peu épineux mais il doit bien y avoir des tutos sur le forum.
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Un CdC quasiment fini. Peut être quelques détails a retoucher et surtout, peindre le cheval, pour l'instant noir. Je pense les faires dans des tons gris. Noir, ca ferait une figurine gloablement trop sombre, blanc c'est pas très chaotique et marron... j'aime pas. Les CdC aussi verront leurs ornements en Tin Bitz éclaircis (Shining Gold? Burnished Gold plutot?). [img]http://img823.imageshack.us/img823/5278/p1060841.jpg[/img] [img]http://img204.imageshack.us/img204/4657/p1060844n.jpg[/img] [img]http://img20.imageshack.us/img20/2237/p1060845g.jpg[/img] [img]http://img31.imageshack.us/img31/754/p1060846c.jpg[/img] [img]http://img225.imageshack.us/img225/7028/p1060847.jpg[/img] [img]http://img823.imageshack.us/img823/3303/p1060848.jpg[/img]