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Artharian

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Tout ce qui a été posté par Artharian

  1. Artharian

    [40k] Pauvres humains

    [quote]PROTOCOLE D'ATTAQUE 666[/quote] J'ai beaucoup ris. J'adore la construction du texte: 1- Mise en place de la scène, qui m'a rappelé "La guerre de Troie n'aura pas lieu" 2- Tout s'accélère 3- Ton texte est découpé, haché, déchiqueté comme le carnage, très jolis effet. Le seul bémol, c'est le trop grand flou dans la partie deux avec trop de "un acteur". C'est dommage. Peut-être mon esprit trop cartésien, il n'empêche... Trop cours pour être réellement abimé, un beau petit texte.
  2. Hello, Après trois ans d'absence, je reviens, et manque de chance, tu es le premier récit que je lis. Mais pas de troubles, je ne suis pas là pour descendre, je ne ferais que contempler et commenter. Par expérience, je sais qu'il est plus que frustrant de se voir reprocher les fautes d'orthographes, de ponctuations, de conjugaisons ou de grammaire quand on s'attend à être félicité sur le fond. De fait, je ne m'attarderais que sur celles qui empêchent la compréhension. A commencer par le sempiternel, ouvrir et fermer les guillemets sur les dialogues. Bref, attaquons, C'est compliqué d'accrocher parce que ton style est très haché et que tu enchaines les scènes sans pauses et sans annonces. Ca donne un style mais c'est difficile à suivre, notamment pour les néophytes de GW. Ensuite il y a des redites dans tes explications, elles sont pas affolantes, mais font un peu tâche. Je t'invite à séparer les séquence quand le décors change complètement avec les magiques: * * * Cela aide le lecteur à suivre ce qu'il se passe car sauter d'un sniper en forêt à un xénon qui demande une audience ou d'un GI qui parle avec son supérieur à des SMC qui torturent des cultistes, c'est difficile. Ce faisant, tu remarqueras qu'il est plus intéressant pour toi d'étoffer un peu certains passage qui sont trop fades, trop courts ou manquant de détail qui pourraient plonger dans l'ambiance. Un point fort, c'est que tu as su écouter les critiques, ce qui prouve que tu as le soucis de bien faire, et surtout de faire mieux. Par contre, je t'invite à ne pas sauter une phrase à chaque ligne, cela devient trop éparse. Le saut de ligne, c'est pour aérer une histoire. ex: [quote] -Sergent, les transports de la dixième Compagnie sont arrivés, annonça frère Celtius à son supérieur. Ce frère était jeune mais prometteur. Il deviendrait un grand Space Marine. Valius n’en doutait pas. -Merci frère, je vais aller informer notre Chapelain. [/quote] Tu regroupes tout, et tu sautes une ligne après. En gros, rassemble les actions ou ce qui se suit immédiatement. Et saute une ligne quand tu conclues un développement. Je rejoindrais Sebastus sur le côté Plus qu'Humains des SM. [quote]Tout d'abord je tiens à remercier ceux qui prennent le temps de lire mes écritures (car j'ai conscience que ce sont de gros pavés). D'ailleurs si cela vous semble trop long, n'hésitez pas à poster pour le dire, je scinderai les chapitres suivants en plusieurs parties.[/quote] Loin de là ne t'inquiète pas. Et puis si on n'aime pas lire, on va pas dans la section récits, poésie et dessins hein. />/> [quote]Vous voulez que je vous donne une médaille pour ce haut fait de bravoure !éructa Thedin.[/quote] def : L'éructation est l'expulsion de gaz du tube digestif (principalement de l'œsophage et de l'estomac) par la bouche. Elle s'accompagne souvent d'un son et parfois d'une odeur caractéristique. Ca m'a beaucoup fait rire. La présence de beaucoup de personnages me fait penser à Games of Thrones. La chose qu'il manque cruellement à ton histoire, c'est la description. Pour résumer, une histoire à la Black Librairy, où une planète est le lieux de grosses bastons entre plusieurs factions. Des personnages qui mériteraient plus de développement psychologique pour plus de profondeur mais qui en soit restent attachant. Une trame de fond qui commence à se dessiner vu que les moches débarquent rarement par hasard. Donc, j'attends la suite, patiemment. Quoiqu'il en soit, et quoique tu en penses, ne sois pas dérouté par ma critique, parce que je suis persuadé que tu peux écrire aussi bien que tu peins. On est pas tous fait pour écrire comme Sturgeons, mais on peut tous y travailler.
  3. J'ai qu'un seul mot: ENORME!!! Surtout le fluff qui va avec. Continue de me faire rêver avec ces excentricité =) J’espère que GW rendra le VM officiel un de ces quatres =)
  4. Mes excuses à TRM, en effet, j'ai répondu avec trop d'empressement et le problème est situé plus en amont. Je partais du principe qu'il y avait une volonté générale d'accrétion des joueurs. Parce que comme dit précédément, chacun défend son bout de grain et ça fonctionne bien ainsi. Ce qui fait qu'il n'y a pas de nécessité suffisente pour un agloméra national. Il se passe que le hobby fonctionne très bien localement. Les avantages nationnaux cités avant ne sont que des améliorations infimes qui ne soulèveront pas les foules. Donc en soit l'idée d'une asso nationnale va très certainement faire flop. D'autant plus que je ne vois personne pour la défendre avec abnégation. PS: Ma citation de "die Welle" n'est pas vaseuse, elle parlait de la facilité à rassembler des individus. Après le côté moraliste sur la fin du film n'est pas ici le sujet.
  5. Bon alors il faut poser une limite au hors sujet. Parce que ton experience personnelle est sympatique. Que tu veuilles pas bouger c'est une chose, mais tu peux pas faire d'un cas particulier une loi générale. Ce que j'ai dit, c'était pour aider les gens qui veulent monter une orga parce que perso, j'dois t'avouer que j'en ai pas grand chose à faire. Ensuite j'ai parlé d'organisation, pas de fédératon ni d'association. Les mots représentent des concepts, donc attention. Pour finir que tu t'éclates tout seul dans ton coin, c'est super, mais c'est absolument pas le sujet du post. Ici ils essayent d'élaborer une orga nationnale. Toi tu arrives et tu dis que ça t'interresse pas. Mais tu n'es pas tout seul au monde.
  6. Bonjour, je viens me joindre à ce sujet qui se révèle interessant, malgré certains égarements. D'autant plus qu'à priori, personne n'est contre le fond, mais chacun défend son propre bout de grain, ce qui est parfaitement normal. Alors pour ce qui est de l'experience personnelle, je suis à l'heure actuelle, investit dans trois asso, deux politiques et une de loisir, mais aucune sur les figurines. Respecivement membre d'un bureau local, ancien responsable local et enfin simple membre. De là, je tire une certaine experience pour avoir pas mal flirter avec plusieurs sphères de la hiérarchie, du bas vers le haut. Je me suis également interréssé énormément aux mécanismes de fonctionnement des organisations en général. A ce propos, je conseil un très bon livre de Gareth Morgan, intitulé "Image de l'Organisation" qui pourrait fortement aider la conceptualisation du projet. Présenté comme celà a été fait, le projet d'une assoc nationnale est voué à l'echec. Ca ressemble plus à une élucubration ou une invocation d'un magicien. Pas d'implantation dans la réalité à l'heure actuelle. C'est logique, on part de rien. Sauf qu'il ne faut pas que ce post se transforme en une joute verbale où l'ego de chacun va primer sur le raisonnement. Alors comme il a été répété: pourquoi faire un conglomérat d'individus autour du warfo à l'echelle nationnale? C'est fondamental. Mais cette question soulève imédiatemment la question de la structure. Soit vous voulez un organisme avec des pouvoirs centralisés, financiers et décisionnels. Dans ce cas, il faudrait des cadres expérimentés. Ou alors, comme il a été évoqué une structure qui part de la base, l'individu lambda comme socle. C'est à dire des cercles locaux qui agissent indépendamment les uns des autres et qui se structurent à une échelle nationnale au sein d'un conseil avec des délégués et tout le reste. Bon, alors la première est infaisable, une évolution, naturelle ou forcée, ulterieure est prévisible. La seconde en revanche permettrait à l'orga d'avoir un roulement continuel sur l'année et de proposer des évènements nationnaux ponctueuls, annuels voir mensuels. Donc en fait l'utilité première de l'orga serait d'imposer une liste de rêgles communes à plusieurs asso locales et de permettre la mobilité des individus entre les lieux. Par exemple une asso de Bordeaux joue à WHB, grâce à l'orga elle prend contact avec une asso de Lille. Peut se faire un tournoi Lille/Bordeau avec un socle commun de rêgles de jeu et de conduites. Celà pourrait égalment faciliter l'hébergement sur place. Hors ces altercations cordiales, pourrait avoir lieu un évènement nationnale où chaque asso de chaque région de l'orga est invitée. Celà impose sur le terrain local un regroupement des asso par ville puis département puis région. Evidement ceci est un schéma qui doit se plier aux contraintes locales. Celà permettra dans un second temps d'obtenir un fichier qui pourrait devenir exhaustif de l'ensemble des joueurs. Avec adresses, num de tel, et autres critères qui faciliterait les rencontres à grandes échelles. Sans tomber dans une parodie de parti politique, il est necessaire d'obtenir et de rappeller les individus, via mail, téléphone ou SMS. De ce fichier on pourrait faire les rapprochements entre joueurs ou permettres aux joueurs de se contacter. Un meetic du Warfo en somme. Et je pense que GW pourrait être interressé par le fait de récupérer des informations concrêtes sur la consommation des joueurs et leurs ressentis sur la gamme. Pour la question des finances, tout d'abord, trouver quelques sponsorts n'est pas de l'ordre de l'impossible, au hasard GW et ses produits dérivés. Et je prends le pari que la boite qui gère War Online sera prête à aider si on lui montre qu'on est suffisement crédible. Sinon pour chaques tournoi (local ou nationnaux), nécessité de payer pour participer sans oublier une cotisation, non obligatoire. Je rappel que l'on peut obtenir des subventions de l'Etat, Ville ou Département dans le cadre d'un projet crédible. Se pose dès lors la gestion des fonds. Pourquoi pas un plafond local et les excédents envoyés au nationnale. Au niveau local les bénéfices retirable sont sans concessions, un lieu de jeux, l'achat et/ou la construction de décords, le prêt d'armées appartennant à l'orga et bien évidemment la rencontre avec d'autres joueurs. Diverse projection de film pourquoi pas pourrait amener un public plus large. Il faut trouver un interêt commun à la localité. Au niveau nationnal, il ne faut pas oublier l'effet de masse. Appartenir à une grosse orga qui a des succursales dans plusieurs régions peut en motiver plus d'un. D'ailleurs en parlant d'effet de masse et de solidarisation des effectifs je vous enjoins à vous interresser au film "La vague" qui montre à quel point on peut facilement creer un conglomérat d'individus sans qu'ils ne soient à l'origine identique. Pour ce qui est du concret, la gestion d'évênements nationnaux est un véritable défis et la participation est un véritable plaisir. Partager ce plaisir avec la France est encore plus gratifiant. Revenons à la question financière. Il faudrait dans ce cas proposer un mandat commun à toutes les régions. C'est à dire qu'un évènement nationnal est géré par la région où le lieu se passe. Clairement pour ne pas flatter le nationnalisme, il faudrait changer régulièrement de région. La localité est chargée de gérer l'hebergement et les locaux. D'autres part le mandat permettrait la cohésion par la solidarité financière. Ensuite pour ce qui est de trouver des gestionnaires. Elections nationnales en interne, du bas vers le haut. Le monde regorge de cadres formés sur le tas à cause d'un periode de carrence. Mais évidemment l'idéal est d'élire par rapport au mérite ou aux compétences. Je fatigue, donc je passe la main pour la suite des idées ou des débats.
  7. Artharian

    Chevalier gris

    Bonjour, il y a maintenant 4 ans que j'ai quitté les tables et j'voulais me remettre au 40k. Du coup j'ai surfé et suis tombé sur les GK. Alors, je vais éviter de faire du HS. Deux ou trois question: -Je n'ai vu en magasin que 4 type de figurines, les GK de base, les termi, le marcheur et un Commandant. D'où ma question vont-ils avoir une plus grosse quantité de troupes? De ce que j'ai compris ils sont en train de ressortir. -De deux, est-il possible de recycler mes anciens rhinos, prédator, land raider et Wirlwind? -J'ai cru comprendre que c'était une armée de bourrin. Avez-vous un lien vers diverses tactiqua ou autres à leurs sujet? -Et enfin, on m'a expliqué aussi qu'il n'était pas possible que l'ordo malleus s’adjoigne les fdp ou d'autres SM comme l'adepta sorroritas. Le verdict de la communauté? edit: @warhound: ok merci, du coup je sais que j'vais pas jouer GK. Où est l'interêt du hobby si tu as qu'une fig pour 3 types d'unités? Dommages j'aimais bien leur style. A moi les BT.
  8. Artharian

    La Maison Sarothal

    Bonjour, une discussion sur la stratégie restera stérile quoiqu'il en soit. [quote]L'idée est de se placer sur la seconde pour avoir la position surélevée tout en bénéficiant de l'effet de surprise. Car si on se place sur la première l'ennemi à tout le temps de planifier son attaque, de plus la première serait la seule attaquée au début et devra être rapidement abandonnée sans réel profit. [/quote] Autant, je peux comprendre qu'on veuille conserver l'effet de surprise, autant je ne comprends pas en quoi perdre la première colline en s'en retirant est une perte de profit. Une retraite peut parfois apporter la victoire. Celà au sacrifice de quelques soldats. Mais jusque là ça se tient. [quote]Il vient de découvrir qu'il n'a plus l'avantage à distance à cause de la mage et les hauts elfes fuient devant lui à cet instant. Que faire ? A: Presser l'avantage contre les fuyard pour atteindre le mage au corps à corps / B : Attendre sagement qu'elle nous crame sur place[/quote] Il a des balistes en hauteur. Et schlack la mage. Admettons admettons. pour la suite j'aurais beaucoup moins de sujets à débattre. Peut-être le côté sombre, égoiste et cruel des druchiis qui est mal rendu par certain traits de caractères. Comme le troisième fils qui se surprend à regretter son père. Faudrait expliquer pourquoi, quel interêt il avait à ce que son père soit vivant. Si ça permet à ses frères de prendre l'ascendant sur lui ou si ça réduit la puissance de sa maison. Je vois mal un elfe noir se mettre à pleurer sur la tombe de son père par amour. Si il est mort, c'est qu'il était faible et qu'il le méritait. De la même manière je vois pas pourquoi Kaltyr n'exécute pas Nash ipso facto. A priori c'est un fou sanguinaire, il vient de devenir chef de famille, et l'épargner est une forme de faiblesse de sa part. De plus le fait de décider du sort d'un druchii en réunion, c'est accepter de partager son pouvoir. A la rigueur mettre une courte explication de pourquoi il l'épargne. Genre c'est le favori d'un de ses frêres ou d'un seigneur plus puissant ou autre. Toujours dans l'idée d'étoffer le texte, et donner une ambiance Naggarothiene, pourquoi ne pas faire penser à Dalack qu'en tuant son frêre son ascension au sein de la maison ne s'en trouverait que renforcer. Pour le reste ça se tient, je n'ai pas été choqué dans le style. L'histoire avance petit à petit. Toujours pas d'élément perturbateur, mais ça va arriver. J'attends la suite.
  9. Artharian

    [40k] Saltatio Damnatibus

    [i] Pour ceux qui n'ont pas la motivation pour lire ce qui précède, soyez rassuré, ce n'est pas la peine pour lire à partir d'ici. Même si j'écris pour moi-même j'encourage vivement la critique, que je puisse améliorer ou retoucher. J'ai rédigé ce bout de texte en écoutant des chants de l'église orthodoxe. Peut-être cela se ressentira dans l'écriture. Un oiseau dans une cage de cristal hérissé de pointes[/i] [size="4"]Chapitre second[/size] [b][u][size="6"]Symphonies [/size][/u][/b] Les machines chantaient. En chœur ou seules, en canon ou à l'unisson, peu importe, elles chantaient. Les pistons, véritables basses, donnaient la cadence de leurs voix sourdes. Entraînées et entraînantes, les bielles dansaient autour de leurs axes semblables aux ballerines au milieu de leurs pas. Se joignant à cette ronde endiablée, les vilebrequins murmuraient une mesure soigneusement entretenue. Se joignaient à cette folie lyrique les frottements dans l'air des courroies comme de grandes cordes de violons qu'un archet invisible se plairait à faire vibrer pesamment. Les rivets tremblaient effroyablement mais leurs tintements se noyaient à merveille dans ce courant tempétueux. Jamais pareilles machines n'avaient fait semblable bruit dans tout l'Imperium. « La hauteur est encore un peu basse » se répéta pour lui-même le techmarine. Marcus était le techmarine du détachement. Sa tâche, parfois routinière, parfois ardue impliquait qu'il s'occupe du maintien de tous les appareils, qu'ils soient électriques, ou mécaniques. Mais rien ne l’intéressait plus que de faire chanter ses œuvres. Son armure ocre était surmontée d'énormes bras mécaniques se finissant chacun en outils spécifiés. Là une perceuse laser, ici une vibro-scie, sur un autre une pince à pression hydraulique, ailleurs un servo-bras. Sur son épaule droite figurait le poing noir de son chapitre, tandis que sur l'épaule gauche un énorme crâne moitié blanc, moitié noir entouré de créneaux d'acier posait avec prétention. Les techmarines étaient des frères particuliers au sein des chapitres de l'Imperium. Sélectionnés dès que leurs supérieurs leurs découvraient des affinités avec l'ingénierie ou la mécanique, ils étaient envoyés sur Mars, la planète du Dieu-Machine. Sur celle-ci, ils étaient mis au secret des plus anciens savoirs et techniques de production de l'Imperium. A leur retour au sein de leurs chapitres, le culte voué au Dieu-Machine et à l'Empereur-Dieu en faisait des excentriques, presque des parias. Ils devenaient des individus auréolés de mystère qui bien souvent se retrouvaient détachés du reste de leurs frères.  Le techmarine avait fini sa formation depuis une moitié de siècle. Il avait, depuis son retour, pris peu à peu de la distance avec le reste de son chapitre pour honorer sa propre déité. Ses supérieurs étaient partagés à son égard. Plusieurs voyaient en lui un outil plus qu'un être humain. Il en fascinait d'autres par son incroyable talent. Les premiers ne lui accordaient aucune attention, si ce n'est un chiffre ou un mot à la lecture d'un rapport. Les seconds allaient parfois jusqu'à le penser fou. Mais tous se gardaient de dispenser cette idée, une enquête au sein du chapitre aurait terni son image et son honneur pour de trop nombreuses décennies. Lui ne se sentait pas fou. Et même s'il savait que les fous ne se le tenaient jamais pour dit, mais en taxaient les autres, il avait choisi de se penser sain d'esprit. Mais peut-être était-ce là un signe de folie que de se sentir bien dans cet univers impitoyable. En réalité, il avait depuis longtemps compris que pour folie, on prenait les comportements dérangeant ou ceux qui altéraient le bon fonctionnement du chapitre. Or il se sentait capable, un soldat supérieur à la moyenne, un des meilleurs éléments même. Et donc quoiqu'en disaient ses frères il se bornait à ses travaux qui lui assureraient une santé mentale absolue et incontestable. Et dans ce monde de violence sonore, d'explosions mécaniques, de cris métalliques, il arrivait à l'entendre, la musique sacrée de son seigneur. Tentant le mieux du monde de joindre les rythmes, d'accorder les sons, il regardait passionné ces pièces s’emboîter avec précision. Plus qu'une passion, c'était inné. Cette oreille musicale et son ressenti dataient d'avant son intégration sur Mars, et bien avant son entrée dans les rangs de l'Adeptus Artates. En réalité, il ne savait pas lui-même pourquoi il l'aimait. De tout temps la musique avait honoré son oreille. Toujours il l'avait entendu, et toujours il l'avait poursuivie.  Son premier souvenir était un bruit de pas, un bruit de pas sur le métal. Un son froid et agressif, tranchant, répétitif, cadencé voir effrayant. Il ne pouvait y apposer que des images reconstruites, et s'en trouvait peiné car il n'arrivait plus à démêler le vécu du rêve. Mais il se raccrochait alors à des mémoires plus palpable. Sur le champs de bataille, il avançait aux cadences des tirs et comme un véritable chef d'orchestre, il alignait les tempos de ses hommes. Jamais il n'avait failli à la mesure. Il s'était même amélioré à mesure que le temps passait. Pourtant, dès son arrivée sur la planète rouge, les maîtres lui avaient transmis leurs expériences de la machine et cet enseignement rompait tellement avec ce qu'il sentait qu'il fut perdu quelques temps. On le prit pour un mauvais élément, et seule l'intervention d'un haut gradé de son chapitre et quelques promesses échangées lui permirent de rester. Il se retrouva bientôt avec le poids de son chapitre sur les épaules à chacun de ses pas sur la planète rouge. Et pourtant nulle musique dans leur interprétation, nul tempo, nul rythme, seules demeuraient les paroles, les schémas techniques, les rites religieux, les outils et les emplacements. On lui expliqua les critères pour changer un rouages, visuels ou qualificatifs, mais rien sur l'oreille. Rien sur son art. Rien n'expliquait le doux miaulement d'une vis qui s'enfonce. Pas un mot sur le chant déchiré d'une vibro-scie s'enfonçant dans le métal. Et encore moins de réflexion sur l'adaptation d'une traction à une poussée pour que les deux se répondent. Il se mit à juger ces pratiques sans âme et sans amour pour les appareils et développa au secret son déchiffrement mystérieux des lyriques mécaniques. Mêlant chants et percussions au rythme des cantiques, ils arrivait à réparer, et même améliorer de façon incompréhensible les machines les plus défectueuses. Resserrer un boulon permettait de joindre la rotation des cycles, et d'aligner le pas pesant du Dreadnought à son moteur. Cela avait toujours pris du temps car il devait d'abord déchiffrer la partition, l'intégrer, en retirer les discordances et les ruptures, puis harmoniser et enfin enjoliver. Lorsque ses supérieurs tombèrent sur le livre qu'il écrivait sur ces pratiques déviantes, une véritable polémique éclata dans presque toutes les sphères de la société de Mars. Des hangars aux salles de réunions, des rues aux héliports, tous se questionnaient sur le bien-fondé de cette analyse de la mécanique inconnue. Se retrouvèrent confrontés dans un premier temps, les partisans de la science et les religieux. Les uns qualifiaient d'intolérable cette vision de l'ingénierie car trop aléatoire et sensitive. Elle ne reposait sur aucun précepte connu. De plus elle ne suivait aucun des schéma de logique pré établis. Les autres y voyaient, soit un signe du dieu machine, qui parlait à travers la bouche du jeune homme, soit une prétentieuse hérésie qui, le cas échéant, mériterait le châtiment adéquat. On comprit alors que le conflit était plus profond et ne reposait pas sur un simple axe religion ou science. De nouveaux camps se formèrent. Parmi ceux-ci se tenaient les progressistes qui se félicitaient d'une évolution de l’interprétation et des mécanismes de réflexion, pour ceux-là cet apprenti avait ouvert la voie d'un expansionnisme moderne qui devait permettre la libre expression de l'individu. Les plus radicaux d'entre eux, fantasmèrent sur une nouvelle vision du rapport homme-travail. Celui-ci finirait par permettre l’épanouissent de l'individu qui ne travaillerait plus pour la communauté, mais avant tout pour lui-même. Pour ce camp, Marcus avait brisé les rites séculaires qui cristallisaient l'épanouissement de la technologie et de l'homme. A l'opposé on retrouva alors un amalgame de réactionnaires conservateurs de tous bords, prêchant soit par les inébranlables coutume et moeurs qui avaient assurés la pérennité de Mars, soit par l'absolue nécessité de la soumission de l'individu au groupe et à l'organisation. Pour eux, remettre en question la place du rouage dans la machinerie de la société impériale constituait une première hérésie qui mènerait immanquablement à une révolte. Laquelle serait mateé, mais qui pourrait engendrer au pire quelques pertes technologiques et des retards sur les objectifs. Le dernier camp et non le moindre, était composé de ceux qui refusaient de prendre position, liant peur et orgueil à leurs interpretations personnelles. Tous avaient un avis, quasiment contraire. Tous ne voulaient pas entendre les autres, se prétendant les garants de la meilleure solution. Et tous, ne se rassemblaient pas. En réalité, ils étaient tellement absorbés par leur vie, et parfois même leur survie, qu'ils ne prirent pas part à l'agitation générale. Lors de cette polémique on qualifia ce dernier camp de « camp des indécis instables », mais on le courtisa avec zèle pour le rallier à soit autour de chaque miette du conflit. Lorsqu'une idée tient le coeur d'un homme, il l'a défend. Lorsqu'elle s'empare d'une foule, la parole cède le pas à la fureur. Lorsque les premiers signes de conflit éclatèrent dans les bas quartiers de production, les hauts dignitaires de Mars interdirent la poursuite de la polémique à grand renfort d'arrestation et d'exectution. On inculqua en toute hâte les dernières composantes de la formation de Mars au jeune Marcus avant de le renvoyer à son chapitre. Là il exécuta sans discernement tous les travaux qu'on lui imposait avec tant de zèle que ce côté excentrique fut toléré sous silence. Les machines chantaient pour lui car il était le seul à pouvoir saisir au vol la beauté des sons. Il capturait avec ses sens, comme un gosse avec son filet, chaque note de la plus grave à la plus aiguë. Il les rangeait avec méthodologie dans son esprit et essayait de corriger le moindre petit défaut qu'il trouvait. Mais il ne discernait plus aucune fausse note, pas un contretemps, rien ne pouvait briser la pièce que jouait l'orchestre de boulons, de vis, de plaque de métal, de cylindres. C'est alors que des pas lourds retentirent dans l'escalier. Ceux-ci vinrent déchirer ses censeurs comme on déchire une feuille. Il se retourna et se dirigea vers les intrus qui avaient interrompu sa répétition, une armure noire et trois armures ocres. [i]Surement pas mal de fautes à la première relecture. En cours de correction. Texte un peu court, mais qui va s'étoffer, j'ai pas eu le temps de continuer et je m'en excuse. De très mauvaise tournures de phrase. edit: Deuxième version, toujours quelques fautes. @Celt héhé bien joué, j'ai tout de même précisé que ce bout de texte était encore en remaniement, ce qui n'est pas le cas des post précédent. Toutefois, je te remercie pour l'idée sur les couleurs. Si tu veux t'amuser avec de la description il y a le premier chapitre =) Je tape mon texte sous office et je le modifie ici. @Silverthorns pour la suite, je suis actuellement indisponnible et je me rends aux Etats-Unis sous peu donc pas avant un bon mois. Mais ravis que ça te face plaisir. Je retravaillerais le passage plus tard. Hormis celà, la partit sur l'histoire du SM sur Mars est à supprimé parce trop incohérente avec le récit. J'essairais une version plus vicieuse plus tard. Bref, je vous concocte ça le plus tôt possible. [/i]
  10. Artharian

    [WHB] sur la route de Kislev

    J'ai bien aimé le texte. Plaisant à lire. Il se tient. N'étant pas expert du fluff WHB, je ne me positionnerais pas dessus. Pour une question de lisibilité, je t'invite mofifier la forme entre le récit et l'introduction par la police, la couleur, les italiques ou le gras. Celà permet une meilleure adhésion. Quoiqu'il en soit j'ai beaucoup aimé, et il serait plaisant de te relire dans la section. Une autre nouvelle de prévue?
  11. Artharian

    Skarag kreg -son histoire-

    [i]Progressant lentement entre les hautes-herbes, le chasseur observe sa proie. Toute son attention est fixée sur la chétive malheureuse qui attend innocement le jugement décisif et impitoyable. Le monstre avance, dix pas, sept pas, cinq. Il bondit...[/i] Bonjour, alors pour commencer, je considérerais ton travail comme celui d'un individu de 15 ans. Les nombreuses fautes ne sont pas toutes excusables, pas plus que les blancs. Pour ceux-ci la relecture lors du post est inexcusable. De la même manière il faudra apprendre à utiliser les temps. Surtout un passage du passé au conditionnel puis au présent. C'est très gênant. Quoiqu'il en soit jugeons maintenant le texte. Sans vouloir t'offusquer c'est un peu du grand n'importe quoi. Bon, c'est des orcs mais il y a quelques limites. Notemment celle de l'amitié entre orcs, elle n'existe pas. Ils obeissent à la loi du plus fort. Et un chef battu est abandonné. Lorsque tu parles des orcs, pense à utiliser le vocabulaire approprié. Par exemple, le mot "le commandement" est inapproprié. Ce mot appel à une certaine forme d'organisation et de raffinement hors de porté des peaux-vertes. Remplace par "les ordres" Bon je deteste cité petit à petit pour défoncer selon le pas, mais ici il est necessaire de redresser la barre. [quote]Cela le fit enrager il tomba dans une telle colère qu’ilfracassa absolument tous êtres vivant même les ork autours. Il en alla même jusqu'àblesser le squig favoris de ghazghkull thraka. A la fin de cette guerre Ghazghkull lui fit payer l’affront enle faisant travailler dans les sallesdes machines pendant près de 2 ans. [/quote] Pour conserver son autorité, il aurait tout autant interêt à broyer l'orc qui lui a déplu. Pas de pitié chez les orcs. Les notion d'offense et de réparation n'appartiennent pas à la culture orc. [quote] Ils devinrent ami et leur talent réuni fit des miracles, le savoirdestructeur de skarag et l’intelligence en mécanique de merk leur permis deconstruire discrètement unvaisseau pour s’échapper du space hulk. [/quote] Savoir orc et intelligence orc sont des oxymores. [quote]Les talents de combattant de skarag [...][/quote] Instinct plutôt que talent. [quote]Ghazghkull et ses boys le cherchèrent partout sur levaisseau, ne le retrouvant pas il grava son nom a coup de pince énergétique surle mur de la salle de commandement et jura de le tuer.[/quote]C'est n'impotre quoi mais j'ai rigolé. Pour le coup c'est le côté délirant des orcs qui ressort. La suite c'est également n'importe quoi mais c'est comme ça qu'on aime les orcs. Tu vas, et tu ne peux, que progresser. Je ne te conseille pas pour l'instant de te lancer dans un long récit car tu serais vite découragé. Je t'encourage à faire beaucoup de textes courts et à les retravailler. Tu auras alors l'occasion de corriger les nombreuses fautes et d'améliorer ton style.
  12. Artharian

    Récit d'un combattant

    [quote]-J’aurais une question, continua-t-il. Es que vous savez ce qu’on fou ici ? -Ici, dans ce bâtiment ?,demandais-je. -Oui, mais aussi ce qu’on fout sur cette putain de planète. -Vous ne savez pas ?,lui demandais-je, surpris. -Nan,on est arrivé ici la semaine dernière et depuis on moisi ici à vous attendre.En plus le lieutenant ne veut rien nous dire. -Je vais essayer de vous résumer les faits alors. Le conflit pour Icaare a commencé il y a près de 2 ans.La corruption du chaos s’est insinué dans les bas-fonds des ruches, entraînant avec elle une partie de la pauvre population de la planète. Lorsque le peuple s’est finalement révolté, [/quote] Cette partie est maladroite dans ce cas. Le GI demande: j'aimerais savoir ce qu'on fait dans le coin et ce qu'on fait sur cette planète. Ensuite le chef répond: je vais résumer. Et là s'ensuivent les explications. Sauf que comme c'est présenté on a l'impression que c'est l'officier qui parle. Or à priori c'est le narrateur. C'est pour ça qu'il est extrêmement important de respecter du début à la fin les codifications des dialogues. Ici j'ai cru à une erreur de ta part. Quoiqu'il en soit le récit en lui même devrait être raconté par le caporal. D'autre part, il serait plus logique que: pourquoi il sont sur la planète soit dit dans le début, premier post, de ton texte, et que le caporal explique ce qu'ils font dans le coin. Pour la simple et bonne raison, que même si logiquement un GI peut ne pas savoir pourquoi il fait ceci ou celà. Mais pour le lecteur, c'est beaucoup plus simple pour le plonger dans l'ambiance et le faire adhérer de suite. Je maintiens le fait qu'il serait plus logique d'avoir une autre activité que manger. P'tite pause de 10 min avant de repartit, mais pas sortir le plateau repas en pleine guerre dans un lieu peu sécurisé, et au beau milieu des combats. Pour ce qui est de tes autres décisions, je les respectes, même si je pense que l'on peut faire parler un soldat sans pour autant que le vocabulaire de la narration en pâtisse. Et heureux que la critique te soit de bonne augure et non une condamnation =)
  13. Artharian

    Récit d'un combattant

    Bonjour, Ton histoire commence bien avec un sénario pas très original et mille fois traité mais ce n'est pas le sujet. Je vais donc critiquer avec violence ton texte: - Il faudrait que tu te renseignes sur les temps et leurs associations dans les textes. Le passé simple indique une action qui s'exécute rapidement dans le passé. L'imparfait concerne une action rapide dans le passé. Ces deux temps coopèrent souvent dans les textes pour y insufler de la vie. Mais il sont soumis à certaines consignes plus restrictive ainsi le passage suivant me choque à la lecture: [quote]je réglais mon fusil sur automatique et lâcha une rafale[/quote] Je rêglais mon fusil sur automatique et lâchait une rafale. -De la même manière il faut avoir dans la tête que lorsque tu rédiges un texte, il ne faut pas écrire comme lorsque tu parles. Les expressios comme, "c'est à dire", "etc..." ou encore l'utilisation abusive des parenthèse détruit complêtement l'unité et la beauté du texte. Pour améliorer ton utilisation des temps et du vocabulaire, je ne peux que te conseiller de lire énormément. Parce qu'apprendre par coeur les rêgles peut être barbant. Par exemple, et si tu connais a série Games of Thrones, tu pourrais lire la série des Trône de fer. Ou même simplement le prélude. Tu as également L'Ange du Chaos écrit par un HandBaller professionel. C'est deux cité entre mille ne sont que des exemples. Il faut remarquer également que beaucoup de livre, et généralement des traductions ont des qualités d'écriture mauvaises. Sortons de la parenthèse. accessoirement: [quote]-Laur est morts sergent. -Et merde ,l’entendis-je pester. -Pas grave, continua-t-il. On continue.[/quote] Syntaxiquement, ce serait plus: -Laur est morts sergent. -Et merde ,l’entendis-je pester. Pas grave, On continue. Un tiret indique qu'une autre personne prend la parole. -Donc ton histoire est banale, mais tu peux l'améliorer. Ce n'est que le sujet, ici un troupe de la GI qui se bat, qui est banale. Tu peux en faire un récit original si tu la traite de bonne façon. La première chose à penser: ne pas écrire pour écrire. Il faut raconter une histoire. Ne pas se forcer si on te demande une suite. La seconde, avoir une idée globale, savoir où te mènera ton histoire et ce que tu veux en faire. L'exmple typique ici, c'est ton escouade qui arrive, qui tire trois balles et qui prend une pause repas. Peu efficasse, même si possible, mais c'est pas vraiment épique. -Je vais éviter de tout purger, je trace juste les grosses partie que tu pourrais améliorer. Et dans celles-ci figure également le récit de pourquoi la GI se bat. Je suppose que tu as réagi au poste de Silverlord, mais de manière trop brutale. C'est à dire que tout d'un coup, un chef se pointe et leur raconte tout. Pourquoi leur chef ne pouvait-il pas le dire? Tant de détails incohérents. Celà dit, si à la fin il répondait à la question, qui n'était pas: pourquoi on fait la guerre, mais plutôt qu'est-ce qu'on fait dans ce coin de la ville. -Autre détail, différencie ton texte de tes commentaires, que ce soit par la couleur ou par la police ou la taille. Pour une simple question de lisibilité. Quoiqu'il en soit, je ne pense pas que tu sois mauvais, il y a du potentiel et l'histoire peut devenir captivante. Il ne faudra juste pas hésiter à travailler et retravailler, y compris les premiers post, quitte à changer certaines partie ou à modifier l'intrigue. Je souhaites sincèrement lire la suite et te voir t'améliorer.
  14. Artharian

    Les Sons Of Oracius

    *cherche un cailloux autour de lui.* -Bon ce rocher fera l'affaire. Je serais pas gentil, et j'ai peu de fleurs en réserve donc assis toi bien. -Tout d'abord ton texte est beaucoup trop court. Les origines d'un chapitre, même racontés succinctement se font sur, au moins le sextuple de ce que tu as fait. -Histoire banale (c'est pas péjoratif ici), c'est un space marine qui descend, qui tape, qui gagne, et juste pour ça, on se dit qu'on va faire un chapitre... moyennement crédible. -Si tu pouvais supprimer les smiley de tes textes. J'ai rien contre dans les commentaires. Mais imagine toi lisant Tolkien, au milieu de l'histoire des trolls tu tombes sur un gros smiley comme: et qu'à la fin, pour montrer que les hobbits adorent l'histoire tu vois : Je pense que j'ai été assez clair. -pour ce qui est des origines, un récit aussi détaillé, et surtout sur une période si courte est peu convainquant. J'ai plus l'impression de lire les encadrés du WD qui racontent une petite histoire en plus du texte principal. Tout petit conseil pour la suite, au vu de ce que tu présentes, tu es en train d'adopter le schéma histoire, organisation (truc basique de la section). Si tu veux, un schéma plus développable, celui de l'Index Astartes: -Origines: rapide historique, avec comment l'Imperium les connais ou pourquoi ils ont existé, le passif de leur personnage emblématique, leur situation à l'heure actuelle dans l'Imperium. -Monde Natal: pas nécessaire, mais sympathique à lire et qui donne de la profondeur au récit -Doctrine de Combat: pourquoi, comment, avec quoi se battent tes marines. -Organisation: Hiérarchie, codex, formation des recrues ou encore techniques favorites de combat -Croyances: pourquoi l'Empereur, sont-ils de futur hérétiques, sont-ils fanatiques? -Patrimoine génétique: la lignée dont est issue ton chapitre, y compris si tu veux faire des croisements entre chapitre (ce qui est très très rare) -cri de guerre: ben là... =) Enfin, la touche positive: on ne peut pas rédiger un bon historique en une fois, une seule idée génial, c'est pas suffisant, tout se travail, se construit et s'améliore. Du coup, j’espère que tu vas t'accrocher pour nous sortir un chapitre Sons of Oracius bien mieux, et il n'y a pas de raison que tu n'y arrive pas =)
  15. Artharian

    La guerre de Dahamass

    Sympathique, mais j'ai pas compris qui raconte l'extrait. Le narrateur, des bribes de souvenirs, des images projettés, la pensine de Harry Potter. Sinon ça commence bien, j'attends de voir la suite =)
  16. Artharian

    La Maison Sarothal

    bonjour, Tranchons dans le vif, je deteste les noms de récits en anglais pour des histoires en français. Sans hauvisme aucun, c'est juste inadapté et personnellement ça m'ennerve. Dans l'ensemble le récit est bien raconté, sauf quelques passages où le style m'a perturbé. Pour un premier texte c'est vraiment encourageant. Pour le fond, je trouve le général pas très stratégique. Quand on tombe sur deux colines, on utilise les deux, on laisse pas de positions en hauteur à l'adversaire. On charge pas naivement en pensant que tout va bien se passer. Enfin, admettons que la haine druchii y soit pour quelque chose. Pour l'amélioration de tes récits, passe un peu plus de temps sur les personnages. L'action pour l'action, c'est sympa, mais ça devient vite lassant. Sans pousser dans la psychologie des personnages, s'attarder sur les protagonnistes permets de poser l'ambiance. De même pour le décord, dévelloper le paysage est un bond moyen d'introduier l'individu dans le récit. Sans pour autant le noyer de déscriptions superflues. Il faut savoir doser =) Par exemple: [quote]Le noble avait remarqué sur la route une colline suivie d'une autre un peu moins élevée et avait résolu d'y attendre de pied ferme les traîtres d'Ulthuan en postant ses balistes et arbalétriers sur la plus petite et les corsaires au pied de celle-ci.[/quote] Sous les yeux du noble, les dalles blanches de la route défilaient doucement. En relevant la tête il apperçut une colline d'herbes grasses qui luisantes sous le ciel azur suivie d'une autre légèrement plus basse. Il résolut d'y attendre de pied ferme les traitres ... Pour simplifier, ne soit pas trop empressé de finir ton histoire, prends le temps de la travailler et de la retoucher. N'hésites pas à être exhaustif sur le vocabulaire. Maigre apport, mais qui pourra être utile à l'avenir.
  17. [i]Pointant timidement mes langes, au sortir du berceau, j'ai écouté les anges, pour combattre aussitôt.[/i] Mais leur fin est venu, et notre Histoire avance. Privé de tes éclats, j'ai soufflé son soupir. Bien caché de ses bras, et riant son désir. Quand suivant tes errances, champs drapés de ma gloire, J'ai brisé tous ses rêves en chutant du placard. [i]Arrivé sur les lieux, je m'en fut par raison. Belle et douce aux yeux bleus, elle prive mon attention.[/i]
  18. Artharian

    [40k] Saltatio Damnatibus

    [i]Même si il y a peu de réponse, je vais me fier au nombre de lecture. Et puis après tout j'écris pour me faire plaisir. Pour ceux qui n'ont pas la motivation pour lire ce qui précède, soyez rassuré, ce n'est pas la peine pour lire à partir d'ici. Pour ceux qui ont déjà lu et qui regrettent la qualité du texte, rassurez-vous il ne s'agit que d'un premier jet. Je travaille mes écris sur plusieurs mois. J'ai également changé un nom: Baladan devient Rodrigue. Le respect est l'excuse du faible pour ne pas s'imposer [/i] Une petite salle de commandement, c'est de là que le capitaine Icare dirigeait les opérations. Le plafond de ciment grisâtre était recouvert de tubes en plast-acier, de câbles et de grilles métalliques qui séparait l'homme en armure de deux têtes quand il se tenaient debout. Sur sa droite plusieurs écrans renvoyaient les images, les comptes rendus tactiques ou les shémas stratégiques de la progression de ses hommes. A l’opposé une porte blindé en acier, fermée par un rudimentaire loquet constituait la seule issue de ce trou à rats. Sur le mur face à lui un drap ocre surmonté du symbole des Imperial Fist, un poing noir dans un cercle, constituait l'unique ornement du lieu. Au centre de la pièce trônait, dans toute son imposante arrogance, un appareil complexe, regorgeant de boutons verts clignotant joyeusement, qui projetait au dessus de lui une carte holographique du théâtre des opérations dans lequel ses troupes était lancés. Un des trois marines qui se trouvaient face aux écrans se retourna et regarda quelques instant le capitaine, le pensant perdu dans ses pensées. Il se décida à rompre le vrombissement paisible des ventilateurs des machines et les tapotements des doigts sur les touches qui berçaient la pièce : « -Frère Capitaine, un rapport de la quatrième escouade qui s'est enfoncé dans le monastère vient d'arriver. Ils ont trouvé un survivant. -Bien ! Qu'ils me l'amène au centre tactique, je le verrais dans la salle d’interrogatoire. Et transférez moi le rapport. Qu'ils s'assurent qu'il soit en état de parler. Dans combien de temps sera-t-il prêt, demanda le responsable des lieux. -Selon le rapport, il n'a rien, et est parfaitement saint d'esprit. Il sera prêt dès son arrivé, dans une trentaine de minutes. La neige ralentit nos transports Rhinos, assura obéissant l'opérateur radio.  » Un second opérateur, voyant que les ordres avaient été donné, et qu'il pouvait importuner son supérieur sans craintes déclara : « - Mon capitaine, les escouades deux et cinq viennent d'arriver au camp. Je leurs ai donné l'ordre de se reposer jusqu'au troisième quart à partir duquel elles relèveront les escouades trois et six pour la garde du camp. Les deux autres escouades viennent de finir l'inspection du monastère et n'ont rien trouvé. - Bonne initiative. Qu'en est-il de la météo ? Jusqu'à quand cette neige va-t-elle tomber ? Je n'aime pas l'idée que nos Rhinos puissent être bloqués par ce temps, questionna-t-il. - Dans deux jours exactement. Les chutes de neiges ne dépasseront pas les trente centimètres au maximum. Rien qui ne puisse inquiéter nos transports. Répondit le second opérateur. -D'accord ! Michael, continua-t-il à l'attention du dernier soldat chargé de surveiller les écrans, contactez le centre de commandement de la barge, nous évacuons la zone dans trois jours si rien de nouveau ne se présente. Dites leurs aussi de prévenir les représentants du chapitre Black Templar les plus proches. Nous avons retrouvé un de leurs hommes, et pas de corps, que nous ignorons pourquoi le site est vide et que s'ils veulent plus d'informations, ils présentent une requête sous trois jours, 10h dernier délais. -Bien capitaine, lâcha le dernier opérateur. - Messieurs , la relève est dans deux heures, si vous avez du nouveau, comme d'habitude, la liaison sécurisée trois point huit, acheva l'officier en se retournant vers la porte » Le gradé avança vers l'issue et appuya du poing sur la plaque de métal. La lourde porte pivota sans un grincement, ce qui laissait présumer de la puissance du marine. Il se baissa légèrement pour passer la sortie et posa un pied à l’extérieur de la salle se retrouvant dans un couloir de béton. Des néons grésillant crachaient une lumière fade sur le sol dessinant tous les dix pas de vifs cercles blancs. Ils étaient reliés entre eux par de long câbles qu'une mousse timide commençait à recouvrir. Il progressa rapidement le long du couloir, suivant la course des fils qui liaient les sources lumineuses, connaissant par cœur le chemin qui le mènerait à la salle d'interrogatoire. Même si cela ne faisait que huit jours que les marines avaient découvert ce bunker désaffecté, ils avaient eu le temps de remettre en service les générateurs d'énergie, et de réparer les circuits électriques. Ce retranchement que lui et ses hommes occupaient était situer sur un plateau rocheux. A cette altitude, la météo était affreuse. Pour tout dire, la neige les harcelait depuis qu'ils avaient posé le pied sur la surface de la planète mais cela n'affectait aucunement le moral de ses hommes. Enlisé dans ce désert blanc, leur abris qu'il jugeait confortable, leurs offrait un abris qui avait grandement facilité leur mission. Il s’enfonçait dans le roc sur six étages. Cependant les marines n'occupaient que les deux premier sous-sols. Au premier était installé la salle de commandement, véritable PC de campagne qu'ils avaient renforcé de toutes les pièces trouvées sur place, ainsi que les hangars pour leurs trois transports Rhinos et pour le redoutable Predator Destructor que ses supérieurs lui avaient accordé. Au second sous-sol se trouvait les chambres, bien que peu utilisées, la cantine, l'antenne médicale où l'apothicaire Ambroise veillait, et les salles d'enfermement et d'interrogatoire. Ces dernières n'étaient pas supposées servir car les hommes de l'Empereur ne faisaient que rarement de prisonnier, mais il se félicita d'avoir respecté les préceptes du Codex Astartes à la lettre. Les bottes du capitaine heurtaient lourdement le sol chaque fois qu'elle touchait le sol de béton alors qu'il descendait lentement l'escalier. Il se laissa porté par sa lassitude et se prit à réfléchir. Pour lui réfléchir était comme un jeu. Un jeu sur lequel il avait tous les droits tant qu'il n'outrepassait pas les règles qu'il s'était fixé -même si parfois il les restructurait comme on aménage une constitution- garantes de sa santé mentale. Il avait désormais envie de s'amuser. Il commença tout d'abord par laisser sa mémoire le reconduire quelques jours plus tôt. Dix très exactement, lorsqu'il s'était vu assigner une mission de reconnaissance. Ses supérieurs lui avaient ordonner de plonger sur la surface d'Ithaque II depuis leur barge de bataille « Le poing de Gaël » afin de retrouver une balise de détresse. Ils lui avaient laissé ses troupes habituelles, quatre escouades de spaces marines. Une d'entre elle était composée de vétérans, qui avaient sillonné avec lui plusieurs secteurs pendant presque un siècle. De solides troupes sur lesquelles il pouvait compter dans toutes les situations. On lui avait ajouter deux escouades de scouts, ces aspirants space marine qui pratiquaient l'art du camouflage avec zèle et ferveur. Il avait demandé à ce qu'on lui accorde un soutient lourd et résistant pour parer n'importe quel événement impromptu qu'on lui avait accordé sous la forme d'une redoutable Predator Destructor. Construit sur le même châssis que les transports Rhinos, les Predator sont férocement chargés d'armes dévastatrices. Les Destructor en particulier comportent sur chaque flanc un bolter lourd, et d'un autocanon en tourelle. Flanqué de cet ost, le capitaine avait atterri en toute quiétude. Mais que les moteurs du premier transport de débarquement planétaire ThunderHawk avait bruni le sol, le signal de la balise s'était brouillé et avait disparu. Quelques heures plus tard il était réapparu pendant quelques minutes, puis s'était de nouveau évanoui des radars. La troupe avait pris position dans le bunker que les scanners longue portée avaient repéré durant la traversée de l’atmosphère. Une fois le point stratégique sécurisé, ils s'étaient dirigés vers le secteurs où l'écho de la balise était apparu. Mais ils n'avaient rien trouvé. Revenu à leur place forte, le signal réapparu, mais sur un autre secteur. Et répétant leurs opération, il ne trouvèrent toujours rien. Et en revenant, le signal illumina un autre coin du radar. Cela avait duré quatre jours. Comme si quelqu'un les avait attiré et une fois sur place s'amusait à jouer avec eux, les envoyant chasser des fantômes sur des distances considérables et revenir sans cesse plus déçu. Excédé par ces recherches inutiles et coûteuses, le capitaine avait fini par ordonner qu'on ne prenne plus en compte le signal et que l'on fouille la région dans un rayon de deux cents kilomètres. La ténacité des marines avait été récompensé car ils avaient finit par trouver trois jours plus tard un monastère Black Templar semblant dater de presque un millénaire. Puis il avait commencé la fouille de celui-ci, bien que le signal s'efforce de les troubler en leurs indiquant sans cesse une direction opposé. Les recherches s'étaient révélé infructueuse hormis ce survivant. Le capitaine emmargea de ses pensées. Il se tenait devant la salle d'interrogatoire, sûrement perdu dans ses rêveries depuis plusieurs minutes. Il frappa du poing la porte à double battant qui fermait le lieu. Celle-ci gémit sourdement, cédant face à la force de l'homme de l'Empereur qui posa un pied en son sein. Il s'agissait en fait d'une grande cantine vide qui s'étendant se prolongeait sur une centaine de mètres et s'étirait sur une cinquantaine. La salle était sombre, ténébreuse même, excepté en son centre où une lampe accrochée au plafond distillait sans répit une lumière blafarde sur une table cabossée et deux chaises usées par le temps suffisamment résistantes pour supporter le poids de l'armure des marines. Personne encore, et cela n'étonna pas le capitaine qui alla s’asseoir tranquillement derrière la table Sur les écrans de son casque il lu tranquillement les différents rapports qu'on lui avait transféré et jaugea l'avancée de sa mission. Il perdit encore quelques temps à présumer des tenants et aboutissant de l'histoire de la balise. La porte s'ouvrit alors, laissant passer trois masses. Un space marine des Black Templar, aisément reconnaissable à son armure noire, et à ses épaulières immaculées où était peinte une croix d'ébène. Ses armes ornaient ses flancs, une magnifique épée ouvragée et un pistolet-bolter de grande faction, très certainement finit par la main d'un maître artisan. . Le capitaine n'en prit par garde, que devait-il redouter d'un chapitre frère qui avait combattu à leur côté des milliers de fois par le passé. Les deux géants aux armures couleur ocres . L'homme en noir retira simplement son casque, laissant apparaître un visage cadavérique, certainement dû au jeunes qu'il s'imposait en signe de dévotion à sa Sainteté l'Empereur-Dieu. Il avait un regard ferme et respirait l'honneur et la détermination. Deux qualités que le capitaine estimait. Malgré son état de fatigue visiblement avancé, l'invité semblait capable d'entretenir une conversation. Arrivé dans le cercle de lumière, ses hommes se mirent au garde-à-vous. « -Repos Frère, dit-il simplement alors qu'il parcourait les derniers mètres qui le séparaient du trio.  -Frère capitaine, s'imposa le marine à sa droite, nous avons trouvé ce rescapé dans un des couloirs du monastère, aux coordonnées 50:50:10. Il était seul et les armes à la main. Il venait de tirer, c'est pour cela que nous l'avons repéré. Quoiqu'il en soit il n'a pas été agressif à notre égard. Le reste est dans notre rapport. -Merci, le coupa l'officier, j'ai lu votre rapport, je vous demanderais simplement d'écouter pour l'instant frère Adrien. - A vos ordre, se tût le marine. - Bon, et maintenant, Alexandre, champion de sa Sainteté nous devons parler, fit-il à l'adresse de l'homme en noir sans prêter attention à l'obéissance de ses subordonnés. Je tiens en haute estimme votre chapitre et comprenez que ceci n'est nullement un interrogatoire, quoiqu'en mentent les lieux. Vous n'êtes pas sans savoir que vous êtes la clef du mystère dans lequel nous pataugeons depuis huit longues journées. Je vous demanderais donc de coopérer pour les éventuelles question que je vous poserais. A savoir, pourquoi vous êtes le seul vivant, qui a activé la balise et ce qu'est ce monastère. - Capitaine, répondit tranquillement le géant en noir, l'honneur et le passé de mon chapitre coopère. Il faut seulement que vous sachiez que je ne pourrais pas dévoiler certains secrets de mon chapitre. De plus, je ne peux malheureusement pas répondre aux deux premières questions et seulement partiellement à la dernière. Le lieu où vous m'avez trouvé, n'est pas un simple monastère, il s'agit pour les Black Templar non seulement d'un temple de recueillement et de dévotion mais également du seul lieu où les champions de mon chapitre peuvent trouver des reliques uniques et spécifique à notre chapitre. Je ne peux à leurs sujet vous en dévoiler plus. J'ai été de mon côté informé de la raison de votre venue. - Bien, et je suppose que vous ne pouvez pas répondre si je vous demande pourquoi il n'y a aucune barge de votre chapitre en orbite autours de la planète, continua Icare. Seulement je voudrais plus de détails. Racontez-moi, quand était la dernière fois où vous avez vu un des vôtres. -Hier, j'ai prié toute la nuit pour obtenir les faveurs de sa Toute Puissance. J'étais ici pour parfaire mon esprit et pour me recueillir. Cela correspond à notre mode de fonctionnement, mais je ne peux pas vous en dire plus. Le chapelain m'a enfermé dans la pièce des dévotions où je devait méditer. Depuis je n'ai plus revu personne... - Je vous arrête ici, nous sommes face à un problème temporel, et bien que je vous face confiance, il se peut que votre esprit ait été trompé, dit le capitaine en souriant.  - Avec tout le respect que je vous doit, grogna le champion, et malgré ma sympathie pour votre aide, je vous prierais d'ôter ce sourire moqueur de votre visage ! Est-ce une transmission d'informations ou une farce - Puis-je me permettre de vous rappeler que vous êtes sous mon toit, posa calmement le capitaine en triturant le pommeau de son épée. Je suis le maître des lieux. Je ne me souvient pas qu'il vous était coutume qu'un invité insulte son hôte. Quoiqu'il en soit, il ne s'agissait pas d'une attaque, mais d'une supposition. Je vous crois, mais jusqu'à présent je n'y comprends pas plus que vous. J'étais hier dans ce monastère avec trois escouades, nous l'avons fouillé, mais il était vide. Quoiqu'il en soit, vous n'avez pas pu y revenir entre temps car mes hommes n'ont cessé d'y être. Pour ainsi dire, vous êtes... Apparu. -Je vous affirme qu'hier encore je croisait le glaive avec mes frères pendant les cérémonies d’entraînement pour déterminer qui aurait l'honneur de porté ceci, rétorqua l'homme en désignant l'épée attachée à sa ceinture. -Cet entretien ne nous mènera à rien pour l'instant. Je vous demanderais simplement d'accepter que notre techmarine récupère les données de votre armure. Rassurez vous, je ne demanderais que celle qui remontent à hier soir au plus tard. Nous déterminerons ainsi la vérité. -Fort bien, mais je veux votre parole pour la récupération, céda le Black Templar. Vous récupérerez un enregistrement de treize heures au plus. -Vous l'avez, au nom sa Sainteté l'Empereur. Je fais le serment de ne récupérer comme informations que les enregistrements audio, et vidéo de votre armure des treize dernières heures uniquement, promit solennellement Icare. -Je vous remercies sincèrement, murmura Alexandre." [i] Ouah le nombre de fautes! C'est laid! J'en ai corrigé une partie mais il doit en rester. Deuxième moralité, les expériences psychédélique, il y a qu'au 19ème que c'était sympa pour l'inspiration. edit: voilà la version 2.0, quelques passages à retravailler et beaucoup de fautes à corriger mais c'est nettement mieux que celle d'avant. [/i]
  19. Artharian

    Embuscade

    Je vais attaquer le style =) Bon alors, je sais pas si c'est ton premier récit. Si oui, c'est pas grave, tu peux toujours faire ta main. Si non, le reste qui suit sera sans pitié. Pour commencer: [quote] Un escadron de trois motos space marines roulait dans un sentier accidenté, [/quote] "sur un sentier", c'est plus jolie. On nage dans une piscine, mais on marche sur une route. [quote] Ils avaient déjà parcourus un bon bout de chemin et il commençait à faire nuit. [/quote] "Elles avaient" ou "il avait". "Ils" se rapporte aux space marine, mais comme ils n'étaient pas sujet de la phrase précédente, ça a l'air bancale. [quote] Tout à coup, des éclairs venant du bois s’élancèrent en direction des motos. L’une explosa de suite projetant ainsi son pilote sur le sol, raid mort. Les deux derniers motards furent ensuite enflammés par une créature difforme. [/quote] C'est brouillon. Je suis pas fan de l'expression tout à coup, trop orale pour moi, mais tolérable dans un texte. Pour la suite, tu pourrais utiliser: "soudain", "c'est alors", "Sans prévenir". Ensuite on saute du coq à l'âne: la moto explose et les motards sont enflammés par une créature sortie d'on ne sait où. Essai d'instaurer de la fluidité dans ton texte. Comme par exemple la faire apparaitre avant qu'elle crache. Il faut que le lecteur puisse suivre l'action, pas qu'il soit frappé par elle. [quote]Les deux motos enflammaient explosèrent peu de temps après en s’écrasant sur les arbres.[/quote] Alors là je dis non! D'un point de vu temporel, il faut que l'action ait le temps de s'écouler. C'est à dire, quitte à séparer en deux phrases, au moins séparer les deux actions. Par exemple: "L'essence des moteurs pris feu (et expliquer pourquoi)" "Alors que le second pilote tentait de s'extirper de son véhicule, celui-ci explosa dans une gerbe de chaleur, de combustible et de boyau". Il faut que ton action se déroule, pas qu'elle soit torchée. [quote] Au loin, un groupe de space marine, formait de deux prédators et trente space marines avec leur capitaine, vit la déflagration au loin. Ils décidèrent d’aller voir. [/quote] Répétition dans une même phrase. C'est peu conseillé. Je pense que pour plus d'intuitivité et pour plus de facilité d'approche, tu devrais séparer chacun des composants du groupe. Parx exemple, on discerne le groupe de space marine se détachant sur les masses métaliques des prédator dont les chenilles faisaient trembler le sol. Pour le nombre, trente, c'est trop précis, pas assez vague. remplacer trente, par "une trentaine de". Ensuite, pour donner à ton capitaine un côté plus puissant, après tout il est capitaine, ce serait bien que ce soit lui qui voit l'explosion. Changer déflagration par explosions parce qu'une déflagration c'est l'onde de choc qui se propage suite à une explosion. Le capitaine ordonne, ils ne décident pas tous ensemble. C'est l'armée. Passer de "décider" à "ordonner" transforme l'athmosphère de ta phrase. [quote] Quand d’un coup, on entendit un énorme BOUM. Les marines apeuraient se retournaient et virent un des deux prédators explosé fumant tellement qu’on ne pouvait apercevoir les bolters de coque. Un marine dit ; « on nous a tiré dessus ». Un autre répondit ; « non regarde … ». [/quote] Hum, il faut entrainer ton lecteur dans l'action et pas faire passer tes personnages pour des attardés mentaux (enfin, pas les spaces marines, les autres tu peux ). Et pour plonger ton lecteur quoi de mieux qu'une série rapide de phrase se limittants chaune à une action ou au moins une action par préposition. "Un bruit assourdissant retentit. Les quelques marines restés trop près des véhicules furent projettés à terre alors que ceux-ci s'embrasaient. La fumée dansait dans l'air. Des cris retentirent mais furent étouffés par une seconde explosion qui emporta le dernier prédator. Une voix cria à travers le vacarme: "-Armes Lourde mes frêres, prenez les blessés et jettez vous à couvert". La fumée âpre se fendit en deux (ne pas hésiter à faire des métaphore), comme une pièce de viande fendue par la lame du boucher. la silouette qui se détacha sur le ciel arracha un autre cris à la troupe: -"Buveur de Sang frêres! Que l'Empereur nous protège!"... " Bon, je vais pas faire la lecture de tout, je me contenterais de te donner les conseils suivants: -Visionne dans ton esprit l'action qui se déroule, étoffe la. Ne te concentre pas uniquement sur les fais, mais également sur l'environnement, l'athmosphère, ce que doit ressentir le lecteur. Celà devrait te faciliter la sélection des mots que tu utiliseras. Prend un peu de temps pour décrire, sans pour autant étouffer ton récit. -Séquence, divise, selectionne, coupe, accroche... bref, construit ton histoire. Celle-ci ne doit pas être une suite de fais, mais doit se focaliser sur un objectif à plus ou moins long terme. Sinon le lecteur ne pourra pas suivre, et il y a de forte chance que tu finisses par te perdre dans l'élaboration de ton récit. -Ajoute des adjectifs dans tes phrases, et évite les répétitions. Pour une même action, la langue française permet plusieurs détour, et le plus beau, c'est que chaque chemin a sa propre saveur qui transforme finement le ressentit du lecteur. "Je découpe une jambe" "je tranche une jambe" "je fais une boucherie avec une jambe" "je plonge ma lame soignement dans une jambe en suivant le tracé des nerfs afin d'avoir le résultat le plus propre possible" etc... Mais surtout -N'hésite pas à enjoliver, à retravailler et revient bâtir ton récit. Ce que tu viens de faire est un premier jet et je pense qu'en suivant les conseils donnés par l'ensemble de la communauté, tu pourras largment améliorer ton style. Et surtout, pense à lire! Parce qu'en lisant tu va récupérer beaucoup, beaucoup, beaucoup de vocabulaire et de tournure de phrase qui semblent te faire défaut. Pour d'autres éléments, je t'invite à lire ce petit tutoriel qui est vraiment digne d’intérêt -> [url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=44402"]là[/url].
  20. Artharian

    L'Aube

    Quand je disais on peut pas l'enlever, c'était plus pour dire qu'il fallait pas voir ça comme l'équipement de la GI. Les SM retirent pas leurs armures tous les soirs, ce que donnait l'impression du texte. Si tu veux des infos sur les bolter -> [url="http://wh40k-fr.lexicanum.com/wiki/Bolt#Types_de_chargeur"]là[/url]
  21. Artharian

    Journal d'un Enfoncer Patrol

    Sympa, le trop grand nombre de fautes est vraiment dommage. Sinon j'insiste également sur la modification de fin d'histoire. Toute personne entrée en contact avec le chaos est éradiquée. Hormis ça, j'te soupçonne d'être flic =) Bonne histoire, bien racontée et surement intéressante en devenir. J'attends la suite.
  22. Je n'arrive pas à les visionner, les fichiers ne se téléchargent pas. Quelqu'un a une idée du problème ou l'a déjà rencontré?
  23. Artharian

    L'Aube

    Sympathique histoire, du réchauffé, classique mais sure: on est tranquille, un mec se pointe et c'est le bordel... Alors quelques détails qui m'ont perturbé en tant qu'invétéré space marine: -jusqu'aujourd'hui je ne savais pas qu'on pouvait retiré une armure terminator. - je ne savais pas non plus qu'on pouvait tirer avec [u]ses[/u] gantelets énergétiques. [quote] mais il ne regrettais rien, sauf peut être son amie[/quote] Soeur de combat ou amie d'enfance. quoi qu'il en soit les deux sont peu probable sachant que les sm restent dans leurs compagnies et un peu comme les jedis renoncent à l'amour et vont voeux de faire une croix sur leur passé. [quote] Des bruit de moteurs . . . Des pas qui approchent . . . Des cris tout autour de lui . . .[/quote] pourquoi passer au présent? Cela m'a personnellement choqué mais sinon le reste tourne bien. En résumé, histoire courte et frappante, bien narrée donc j'aime bien.
  24. Artharian

    Les archives impériales

    Artharian récit: -pas de nom- Un space marine est découvert seul dans les ruines de ce qui semble être un ancien monastère Black Templar. Lutte d'un esprit contre lui-même. [url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=100416"]ici[/url]
  25. Artharian

    [40k] Saltatio Damnatibus

    [i]5 mois depuis mon précédent décrassage, je sens que mes mains reviennent, mais mon esprit lui est toujours vacant. J'aurais enfin un peu de temps libre pour agrémenter voir étoffer cette nouvelle... L'hérésie ou la pensée. Connaitre c'est avant tout Combattre. [/i] Soudain un bruit retenti, indéfinissable, inhumain, immatériel. Alors que la brume devenait si épaisse qu'on ne pouvais plus distinguer les dalles de pierres, le space marine sentit ses muscles se crisper. Enfin il allait pouvoir oublier, enfin il pourrait se laisser aller par le torrent sanglant du combat, prouvant une fois de plus sa dévotion. La brume s'ébranla comme une tempête qui s'abat alors que le son salutaire se fondait dans la houle nacre. Le flot des pantomimes hideux qui léchaient les jambes du dévot de l'Empereur déferla comme une nuée de vagues sur cet océan de folie. Le naufragé en armure noire avança d'un pas. "Montre toi démon car je ne te crains pas!" prononça-t-il d'un ton convaincu. Le silence répondit à son ordre. Toujours ce même silence écoeurant. L'homme frappa lourdement de son pied le sol de dalles tout en réitérant l'injonction. Le bruit se fit de nouveau entendre, moins immatériel, moins inhumain, moins définissable. Ou plutôt, tellement humain, et si peu matériel, qu'il devenait impossible de le définir. A peine était-il possible au marine d'affirmer s'il était plus proche. La brume remua, plus violente, alors que l'onde sonore la parcourait. Le marine frappa à nouveau le sol, sans mots dire. De nouveau, un cri, car désormais, sans comprendre pourquoi, le géant pouvait déterminer un cri dans cette myriade discordante. Ou plutôt, des cris, des cris de dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants. Engoncé dans son armure et tous ses sens orientés vers le combat, il n'aurait pu dire s'il s'agissait de terreur, de rire, de stupeur ou de jouissance. Soudain il sentit un effleurement sur son pied droit, puis sur le gauche. Une caresse continue, lente. Si la pression de cet effleurement avait été un peu plus importante -il n'aurait pu dire si elle l'était- les bottes de métal auraient dégagé de désagréables crissements. Il s'immobilisa. Quelque chose coulait sans bruit entre ses jambes, sous la mer de brume. Il ne voyait rien mais ressentait. La vision de nuit ne pouvait traverser l'immensité blanchâtre désormais si agitée qu'elle menaçait son torse de ses milliers de visages. Alors qu'il allait retomber dans ses doutes, mêlant foi et folie dans une danse infinie, la tempête se calma subitement et la présence qui ruisselait à ses pied s’estompa. Pourtant un instinct presque animal lui nouait le ventre. Ce n'était pas de la peur. Cela ne devait pas être de la peur. Cela l'aurait été s'il avait choisi de s'y abandonner en cet instant. Mais reclus dans sa tétanie contemplative, le marine ne pensait plus rien. Il attendait. Si la chose était partie, il n'aurait eu qu'à attendre puis continuer son investigation et découvrir ce qu'il était advenu de ses frères. Si au contraire elle était toujours là, elle ne tarderait pas à l'attaquer. Il se préparait à la seconde éventualité, l'implorant resque. Sous son casque, un sourire féroce défigura son visage. Son ventre se dénoua d'un coup. Le monde autours de lui sembla pris dans les glaces de l’appréhension. Les reflux blancs qui courraient sur le sol s'épuisèrent en une couche lisse comme une peau de nouveau-né. C'est alors qu'elle se dressa. De toute sa corpulence, de tout son charme, de toute sa splendeur. Irradiant les murs noirs, exhalant son immaculé clarté à travers ce dédale, aveuglant l'homme. Et plus elle se dressait, plus la brume s'estompait. Plus justement, on eut dit que le corps qui se formait aspirait l'étendue blanche. Le bruit revint comme un flot continue. Sourd tout d'abord, il s'amplifia rapidement puis explosa dans une gerbe de lumière et de cris. Figé le marine contemplait la scène, une main serrée sur la garde de son épée et l'autre raffermie sur la paume de son bolter. L'intensité lumineuse fléchie, lentement d'abord, puis en s’accélérant comme une balle lancée en l'air qui retombe inévitablement. C'est alors qu'il la vit, cette chose. Il pointa son arme sur le fragile enfant qui venait d’apparaître face à lui dans ce halo de pureté. Ses yeux fixaient le sol et sa tête brune était penchée sur le côté à la manière d'un pantin cassé. Une aura de fragilité tranquille émanait de cette chose. Rien au monde n'aurait pu pousser le géant à se retrouver là, face à ce monstre d'à peine dix ans et pour rien au monde il n'aurait demandé à être face à un si redoutable adversaire. "Qui es-tu créature du chaos?" interrogea-t-il, regrettant déjà ses mots alors que ses lèvres se fermaient sur eux. Il savait qu'il ne devait pas parler au démon, seul l'éradication de l'impur était son verbe. Mais l'enfant dressa ses yeux malicieux vers lui. Deux yeux fatigués, cernés, encadrés de joues saillantes, deux yeux dans lesquels la vie palpitait. Deux yeux vicieux, qui semblaient demander : "Que fais-tu ici, il fait sombre et froid?". Deux yeux las, mais amusés comme ceux d'un môme qui s'était divertit trop longtemps avec le même jouet et dont la seule satisfaction qu'il en retirerait encore, serait la manière de le détruire. "Tu me connais, et je te connais depuis longtemps" répondit-il sur le ton du professeur donnant la leçon. "Tu m'as donné bien des visages, et bien des noms, tu m'as haï et tu m'as aimé, tu m'as accueilli et tu m'as rejeté, tu m'as chéri et tu m'as renié". A mesure que l'enfant parlait, son ton se faisait plus dur envers le géant. Celui-ci posa son doigt sur la gâchette de son bolter. Mais pourquoi continuait-il d'écouter ce flot d’inepties, il devait en finir au plus vite. Ne pouvant se détacher du regard de l'enfant il continua d’entendre, "Je t'ai suivi depuis ton monde, depuis que tu as voué ton existence à ces guerriers monastiques, à ces chevaliers des étoiles. Ceux qui font pleuvoir sang et mort sur tous les cieux". Il devait tiré, mais pourquoi écoutait-il? Non il n'écoutait pas, les sons lui arrivaient, tout cela n'était pas de sa faute. "Je me suis tût tout ce temps car ils veillaient, ils rôdaient, tous autours de toi. Il me cherchaient, les sots", dit l'enfant en éclatant de rire. Puis il continua en pointant du doigt le dévot, "ils me cherchaient, mais tu m'as bien caché. J'étais au fond de toi depuis tout ce temps. Et par milles tortures et par milles persécutions de ton esprit ils n'auraient rien pu faire parce que toi même tu ne me voyais pas. Et pourtant..." l'enfant se referma tout à coup, comme dompté par la gravité de ce qu'il allait dire. "Et pourtant tu ne m'as plus écouté depuis que tu es avec eux", déplora-t-il presque larmoyant, " quand je t'implorais de ne pas tirer, tu t'es réfugié dans l'obéissance aveugle. Quand je t'implorais de t'épanouir en tendant l'oreille, tu t'es enfermer dans ce casque où résonnent les cantiques, futiles défenses. Quand je t'ai demandé de te voir, tu as regardé leur soleil. Mais cela va se finir. Aujourd'hui ils ne sont plus, mais toi tu es." souligna-t-il d'un haussement de sourcil. "Il est temps de revenir sur ce que tu as gâche depuis tant de temps, viens! Tu peux faire de grandes choses. Mais pour cela, tu devrais me prêter l'oreille". Un coup de bolter éclata dans le couloir achevant cette jérémiade infantile. Le bolt percuta le front de l'enfant, le perçant et ressorti à l'opposé de son crâne dans une gerbe de nuages blancs. Un rire malsain et tonitruant ébranla le marine alors que l'enfant se fondait en une brume molle. Le marine vida son chargeur dans celle-ci, puis un autre, trancha à grands coups d'épée le coton qui traînait sous son regard perdu et presque fou. Finalement la brume se dispersa et disparue. Un bruissement derrière lui le fit sursauter, on effleura son flanc, sous son armure, un courant d'air remonta le long de son échine et une voix lui chuchota à son oreille, "Mais n'ai crainte, je reviendrais te guider, pour le salut de ton âme". L'obscurité qui était retombé fut percée par la lumière de projecteurs. Derrière le marine des pas résonnèrent et la lumière l'auréola. Cinq géants portant des armures ocres surmontés d'un poing noir l’entourèrent, braquant leurs bolters sur lui. Le temps reprenait une course humaine. Les sens du marine revinrent. Son esprit agité quelques minutes auparavant avait repris sa discipline de fer. Il baissa sa lame, rengaina, et rattacha son pistolet bolter à sa ceinture : "- Frère Alexandre, membre de la troisième Croisade Black Templar Imasius, vétérans des croisades Khorelia II et Istan IV, champion de Sa Toute Puissance, lâcha-t-il." * * * [i] edit: après une relecture globale, je me rends compte que mon niveau a fortement diminué. Moralité, ne jamais écrire de nuit, et toujours relire un bon bouquin avant d'écrire, histoire de s'imprégner de l’atmosphère...[/i]
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