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Tout ce qui a été posté par Artharian
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En tant que défenseur des chapitres codex, une telle hérésie sur le fluff est inconcevable. D'une part la peinture non uniforme de ton armée. Que ce soit les tags, le lance-flamme ou l'arc en ciel sur le serpent, c'est du grand n'importe quoi. Bon, si encore on restait dans le gore, mais sans faire d'outre-mesure, je dirais pas mais il y a quand même des limites. Heureusement qu'il y a des gens comme toi, suffisamment fous pour dépasser les frontières du rationnel, briser les normes et découper les limites de la bienséance. Ce post à viré dans mes favoris.
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Vu en vo sous-titré, mais j'ai craqué avant la fin. Personnellement, je n'ai pas trouvé le film dérangeant sur la forme. L'animation n'est certes pas des plus jolies mais elle se défends et ne gène pas outre mesure à la dégustation du film. Ce qui est par contre vraiment laid, au delà du scénario simpliste et enfantin, c'est vraiment le background space marine que j'ai trouvé affreusement mauvais. Je n'ai pas vu dix spaces marines, juste dix G.I. dans des grosses armures et qui s'appelaient frère pour se donner un style. L'irréel total de l'univers m'a agacé, je cite et j'extrapole: "-hum il y a eu un rituel ici frère pyro, remarqua le capitaine en regardant d'un oeil las et fatigué la scène. -Oui, regardez ces corps. Et là! Cette étoile à huit branches, mais qu'est ce que cela peut-il bien être? fit Pyrol haussant un sourcil d'un air interrogateur. -Je ne sais pas, mais ils sont mort... Affirma le capitaine d'un ton catégorique. -Cette armure jaune... les Imperial Fist, s'exclama frêre Proteus la bouche en coeur et tout content d'avoir trouvé quelque détails qui flatta son sens aguerri de l'observation" Avec des textes dignes d'un adolescent pré-pubère n'ayant lu que des mangas shonen (ce qui n'exclus pas que j'aime certain manga ). Non mais quel space marine ne connais pas la souillure du chaos? Ne serait-ce que le capitaine. Même les autres sont des jeunots, le capitaine en connait déjà un rayon. Le plus dérangeant vient quand même du comportement des marines. Je me croyait devant un film de guerre mauvais genre. Je me suis même attendu à ce qu'ils fassent des blagues salasses tellement leurs intellects étaient peu développer. A défaut de dire des inepties ils auraient mieux fait des les faire taire. C'est dommage parce que même sans être un must, le film avait un énorme potentiel. Une histoire aussi bidon aurait pu passer, avec une 3D aussi "ancienne". Mais non tout le back ground des preux chevaliers de l'Empereur a été réduit à néant et on assiste à la randonnée de dix adolescent pré-pubère qui ne cherchent qu'à se battre entre eux. Ils ne servent pas le saint Dieux de l'humanité, mais leur propre égo, chose qui devrait être éradiqué depuis longtemps par leur formation. Ils tombent sur une maison hantée, il perdent deux ou trois potes, leur chef spirituel, livré à eux-même il se font des amis dans la faune locale et repartent après avoir cassé la croute avec leur nouveaux compagnons. Et après... j'ai craqué... Avec le superhéros qui revient de la mort à peine amoché, hormis un peu de peinture. Bref, très décevant pour ma part.
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Le début est bon, tu places l'ambiance, sauf que syntaxiquement "si il" est plus fluide sous la forme "s'il", et en passant sur les fautes. Un pauvre type tué à la tâche comme il en existe des milliers dans la galaxie. Par contre la transition est trop brutale, "un matin pourtant", c'est plus de l'ordre de la pulsion que du réel ressenti. La logique exige un élément déclencheur comme un humiliation, un conversation, ou la mort d'un proche au travail. Mais si il n'a pas le temps de réfléchir, il ne peut pas se questionner sur son existence, donc ne peut pas avoir d'envie ou de point de vue à propos du travail pour les inconnus. Je doute que beaucoup de personnes révolutionnent leur vie d'un coup de tête sans avoir préalablement réfléchi. Tout du moins il pourrait avoir eu un rêve prémonitoire où il récupère les fruits de sa production (partagé avec ses camarades). Les légendes du passé auraient à mon sens dues être évoquées plutôt et être le terreau de la révolte et pas simplement une permissivité acquise par la force, ie. les échos de liberté et de paix (c'est pas parce que tu es exploité que tu n'es pas en paix), existaient avant et ont été rappelé à l'esprit des travailleurs. "Un rêve d'égalité, de paix, de liberté, naît des mensonges des légendes et de l'histoire." J'ai vraiment pas compris, tu te désolidarises de ton personnage. Hormis ça la phrase est maladroite. Le temps, "naît" par exemple est mal employé, tout ton intro est au passé mais là c'est du présent. Plus compréhensif si tu voulais mettre "né". Et au lieu de tout conserver à l'antérieur, expliquer les origines et comme tu arrives à la fin du texte, tu pourrais projeter l'action dans l'avenir antérieur. "né des mensonges, des légendes, qui forgea l'histoire." Sinon c'est vraiment court et c'est dommage, enfin cela dépend de ce que tu désires fournir dans le rapport qualité/temps investi mais même pour une introduction, il faut un minimum de corps. suggestion: -corriger les fautes. -gonfler un peu la bête en ajoutant quelques réflexions sur le premier paragraphe qui donne un aspect plus bestial de ses conditions de vie. Tu peux même lui donner un chiffre significatif comme 1789, 1848, 1871, 1917, 1969. -pour la transition: un vieux barbu vient lui donner des idées, il tombe sur un livre contenant des textes interdis, un groupe de déviants l'embrigade. Les origines d'une révolte ne manquent pas. -Le côté bisounours de la fin est vide, creux et sans intérêt hormis dire que la guerre commence mais tu pourrais le faire plus esthétiquement. Parler simplement des affrontements, des aspirations de rebelles, mais les notions d'égalité et de liberté sont trop vagues. Bonne chance pour la suite et ne prend pas offense, je ne cherche qu'à aider. edit: ha ha ha, supprime pas un texte parce qu'il est trop court, travaille-le, étoffe-le, magnifie-le mais abandonne pas comme ça =)
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C'est pas très crédible. Les tau, une des races les plus avancée de la galaxie incapable d'avoir du matos pour voir à travers la brume? Les soeurs de batailles capables de pateauger avec grâce et élégance dans un marécage où s'enfoncent des armures tau plus légères que les leurs? Et enfin un chef de bataille incapable de se concentrer sur la situation? Quoique, c'est vrai qu'un miracle de l'Empereur-Dieu n'est pas à exclure. =) Tu aurais pu insister sur l'ambiance dernier carré, surtout les actions déséspérées. Comme lorsque le héros se relève mais est inévitablement écrasé par la lourde chausse du pas-gentil. Les soeurs s'en sortent un peu trop bien. Tout du moins les survivantes, même si elles vont mourrir ne devraient pas être aussi puissante. Tout l'interêt de l'univers Warhammer c'est que les guerriers ne sont pas des individus surpuissant, ou alors quelques-uns. Non, ce sont des mortels dont la vie est emportée rapidement par le flot instiable des batailles. Indépendament de cela, en faisant abstraction de détails irréels dans un univers de rêves, et par rêves j'entends qu'il s'y passe ce que tu désires, le texte est bien écrit et assez immergeant, notemment le passage sur les litannies. J'ai beaucoup aimé le rythme de celui-ci et certaines de tes métaphores. Parfois maladroit mais dans l'ensemble, un court texte très agréable à lire. Pour l'Empereur, mort au xéno et à l'hérétique!
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Un autre petit décrassage de mes doigts engourdis par des années de labeurs. C'EST ICI QUE TOUT COMMENCE Essai sur la lutte d'un esprit contre lui-même. Ce texte s'inspire fortement du débat qui a eu lieu ici à partir du 6ème post. Chapitre premier Silence D'un vitrail cassé s'écoulait ininterrompue une brume couleur neige. Cela était semblable à une cascade nuageuse dont les flots blancs s'écrasaient délicatement sur le sol de pierres noires avant de s'étaler à travers la pièce répandant une odeur fraîche d'herbe mouillée. A travers le carreau brisé, on pouvait voir le ciel d'un bleu profond parsemé de tâches nacrées. Mais déjà leurs lueurs faiblissait et l'étang sidéral s'éclaircissait suivant la mesure des ondes de l'aube. Dérivant comme des naufragés après une tempête de nombreux amas blanchâtre lâchaient des myriades de confettis scintillants qui se mélangeaient aux lueurs mourantes. A mesure que la mélopée matinale progressait, la salle sombre et monotone reprenait ce chant et bientôt une aveuglante lumière auréola le vitrail. Un rayon creva les ténèbres de la pièces fendant la brume repoussant la frayeur des lieux. Il frappa violemment un drap de soie noire. Le motif immaculé brodé sur l'étendard tranchait maintenant plus vivement avec l'ébène du tissu. L'atmosphère donnait de la croix blanche une vision divine. Une gigantesque silhouette frissonna sur les quelques dalles de pierre de la pièce. Le géant en armure noire était agenouillé dans une posture de recueillement face à la bannière de son chapitre. Posée face à lui sur l'autel, une longue épée ouvragée attendait patiemment que les mains de son possesseur attrape fermement sa poignée. De sombres reflets parcouraient cette lame ténébreuse et son tranchant d'acier luisait faiblement. Pourtant, seul dans l'ombre, le géant priait. Accrochés à sa robe de bure, maints signes de dévotion remuaient timidement l'air glacial du lieu. Un pistolet-bolter gaîné à la ceinture attendait patiemment le long de la cuisse de l'initié. Si le géant n'avait pas porté de casque, il aurait été aisé de distinguer les cernes creusées sous ses yeux fatigués et ses joues saillantes, son teint pâle et ses lèvres blanches lui auraient donné un air faussement malade et fragile. Soudain le marine se releva, empoigna l'épée et la dressant au dessus de sa tête adressa une dernière prière à l'Empereur-Dieu puis se dirigea vers une porte de bois gondolée recouverte d'une mousse verte et visqueuse. Il frappa trois coups qui se répercutèrent sourdement à travers la salle. Trois autres coup, plus fort, remuèrent les chaînes qui entravaient la porte de l'extérieur. "Frère" appela-t-il, "Frère je suis prêt". Aucune réponse, aucun bruit ne s'éleva. La pièce était maintenant éclairée en son sein d'un brûlant rayon de lumière blanche. Le géant frappa à nouveau. Le bruit se répercuta un millier de fois, l'instant sembla millénaire et, alors que mourraient les derniers échos le marine recula de trois pas avant de charger la porte. Celle-ci tînt bon faisant au mieux crier les chaînes qui la retenait. Deux fois, puis trois et le bois craqua, les chaînes coulèrent le long de l'embrasure et le champion pu enfin quitter les lieux. Posant le pied dans le cloître, le géant ne pu réprimer un mauvais sentiment alors qu'un frisson las et insidieux se propageait le long de son échine. Il récita un verset et se lança d'un pas pesant sur le chemin cerclant la cours. La brume froide qui inondait le sol n'était pas la cause de son tourment. Pas plus que ne l'était la neige qui commençait à tomber calmement en cette fraîche matinée. Alors qu'à chacun de ses pas il fendait les nuages glissant à ses pieds et que chaque regards recherchant les moindres détails lui confirmaient qu'il était certainement devenu le seul homme de l'Empereur-Dieu progressant dans ce décor, il dégaina calmement son pistolet-bolter et raffermi sa poigne sur la sainte lame qu'il tenait. Tel un sombre cuirassé aux livrées éclatantes, contrastant avec l'écume insaisissable et tempétueuse qui coulait sur le sol, la masse noire avançait avec calme et fermeté. Rompu aux combats sur de nombreux mondes, le champion ne s'était que rarement retrouvé seul, et jamais dans ses propres murs. Secouant la tête, il repoussa cette pensée. Il ne serait jamais seul, car jamais l'Empereur-Dieu ne l'abandonnerait. Se raccrochant à sa foi, comme le naufragé se raccroche à une épave, il oublia ses craintes, ou plutôt son instinct. Lui et ses frères n'avaient jamais de craintes, jamais de doute, ils étaient le saint glaive et le bouclier inébranlable de l'humanité, ils dominaient leurs corps par l'esprit et écrasait leurs esprit par la foi. Alors même que dans sa tête s'affrontaient son devoir, sa raison et ses pulsions, il parvint à l'entré d'un couloir. Des profondeurs de son être l'affrontement se tut cédant la place à trois cent ans d'expérience. Déjà son corps se mouvait pour lui et les injonctions de son esprit faiblissant, il pointa son bolter en avant, préparant sa lame à une éventuelle parade. Quelque chose se terrait malicieusement dans ce couloir, il le discernait, il le savait, non, il le sentait. Désormais focalisé sur une idée, il progressa plus rapidement. Avançant méthodiquement entre les murs où l'eau suintante avait gelée, où l'obscurité ambiante demeurait inexplicable -ou trouvant une explication trop rationnelle pour être plausible- il sentait son corps se tendre. Un bruit de pas tinta faiblement derrière lui. Se retournant promptement et dans un grand silence, il ne distingua rien. Son instinct lui dictait ce que son esprit condamnait tout en étant la cause de ses maux. Pourquoi n'y avait-il rien? Il détestait cette situation. Il se sentait proie et cette idée l'écœura. Il n'était pas plus proie que prédateur, il était la montagne immuable qui se dresse, il était l'acier indestructible qui ne craint nul choses. Il n'avait pas, ne devait pas avoir de volonté, si ce n'est celle d'obéir. Il ne devait pas avoir de crainte si ce n'est de lui-même. Mais pourquoi n'y avait-il rien? Un bruissement sur son flanc et sa main tira trois munitions avant qu'il ne la domine à nouveau. Il préféra mettre cette réaction sur le compte de réflexes d'années de combats plutôt que sur son anxiété toute humaine. Il savait qu'il n'avait pu garder de l'être humain cette méprisable fragilité. Il se promit de redoubler ses prières ce soir là et de jeûner trois jours pour se repentir de sa faiblesse. "Empereur, guide moi" murmura-t-il. Écoutant l'abysse pendant une éternité, il reprit sa progression. D'autres écho lui parvinrent. Il se retourna, toujours rien. Devenait-il fou? Non, il brandit sa foi dans les ténèbres comme un phare dans la tempête de son âme. Il se rassura et comprit qu'il n'avait de crainte. Ses enseignements lui revenant, il prononça"La peur ne nous caressera pas, car sa paume n'est qu'une illusion fruit de mes égarements". Sa vie n'était qu'un feu, une étincelle dans le flot incessant des âmes au service de l'Empereur-Dieu. Il ne pouvait avoir peur, car la mort lui était inévitable. Elle l'avait maintes fois visité, elle lui avait tenu compagnie en bien des moments, c'était maintenant une vieille compagne. Mais pourquoi n'y avait-il rien? Cette pensée le dévorait. Plus que tout il haïssait la solitude. Non parce qu'il aimait être entouré. Un dévot de l'Empereur n'a pas à aimer. Il voulait juste arrêter de réfléchir. Réfléchir était monstrueusement angoissant. Bien sur il avait été formé et cela nécessitait une force mentale exercée et la culture d'un savoir spécifié, mais réfléchir seul mènerait probablement à l'erreur, et pire encore, à l'hérésie. Et seul dans ce couloir, il accepterait tout être venant à son encontre. Qu'il soit allié pour apaiser ses doutes ou ennemi pour rassurer sa foi. Semblant se moquer de ce pauvre être perdu entre ses convictions et le monde qui l'entourait, le couloir ne lui renvoya que le murmure glacé du vent courant dans les couloir alentour et l'image de la brume glissant tranquillement à ses pied, que seule son emprunte troublait quelques instant. Jetant, comme un éclat de rire, à la face du space marine cet affreux constat: rien ne bougeait alentour. Celui-ci, nullement atteint par les railleries fatalistes dont cet endroit malicieux l'éclaboussait reprit son avance minutieuse. Et les ténèbres de riposter à cette indignante indifférence. Elles s'épaissirent, dansèrent, et frémirent, tandis que le fleuve blanc coulant sur la pierre jetait en l'air des formes de plus en plus folles sur les jambes du space marine à chacun de ses pas. Tantôt une main, tantôt une langue, ici un visage aux orbites vides, là un corps nu de femme. Et pourtant au milieu de cette mer en pleine euphorie, le marin solitaire restait concentré sur sa tâche ne semblant rien remarquer - ou peut-être ne voulant rien remarquer- de la représentation que lui jouait le sombre couloir. Préoccuper par lui-même sans observer alentour, le space marine pensait, et comme les pensées s’entretuaient dans sa tête, il fit ce que toujours il avait sut faire pour les étouffer, il pria. Seigneur, que prier était rassurant. Dieu, qu'elle étincelante lueur au milieu de ces ténèbres qui s'épaississaient suivant la mesure de ses cantiques. Les premières minutes lui apportèrent un tel soulagement qu'il se surprit lui-même. Lissant son esprit et contraignant sa réflexion, il put reprendre son avancée et progressa rapidement. Il n'hésitait plus, il ne craignait plus, pour tout dire, il ne ressentait plus. Seules, résonnant dans son casque, les dévotions à son unique maître l'importait. Il pu fouiller un bon nombre de pièces et arpenter plusieurs couloirs sans faiblir, sans que son corps ne lui dicta d'aucune manière ses agissements. Pourtant, alors qu'il s'évertuait pour la dixième fois à répéter l'opération méticuleuse de pénétrer une salle obscure il sentit sa résolution faillir. Il n'arrêta pas ses chants pieux, pas plus que ses lèvres ne purent contenir le flot sacré de sa donation à l'Empereur. Mais traîtreusement, ses pensées remontèrent comme le poisson remonte la rivière. Peut-être était-ce du à la récitation mécanique, exempte de tout investissement personnel. Peut-être que réitérer jours après jours, années après années, décennies après décennies, les mêmes dévotions avait altéré l'immaculée beauté de celles-ci, ou tout simplement n'y trouvait-il plus assez de courage sans s'en rendre compte. Lorsqu'il comprit que sa pensée avait recouvert sa dévotion, il s'arrêta net et toutes ses sensations refirent surface, prenant leurs revanches avec sadisme, comme si le fait de les avoir noyé dans le lac de sa mémoire leur avait donner une signification plus palpable. Autour de lui, la brume s'épaissit et les ténèbres l'entourant l'obligèrent à passer en vision infrarouge. Ses sens écoutaient les abîmes qui voulaient le submerger. Mais pourquoi n'y avait-il toujours rien? Il ressentait d'une manière plus vive encore qu'à l'entré du couloir une présence. Cependant pas d'écho, pas de bruissement, rien ne trahissait l'existence de cette chose qui le regardait dans l'ombre. Il voulu prier à nouveau, mais sa récitation passa une fois encore au second plan des tâches qui tournoyaient dans sa tête. Quelque chose remuait dans son esprit. Il avait besoin qu'on le trouva, qu'on le tua ou qu'on le sauve. "Empereur, ne laisse pas ainsi rouiller ton glaive, ne laisse pas le rempart de tes enfants sans protection. Ma résolution est ferme mais ma main est traître, guide-moi, laisse moi un signe" gémit-il faiblement. edit entre deux exams: @Wolf's Shadow, Tu noteras les deux dates, le premier post remonte à 2007, donc il est vrai qu'il soit mal écrit et un peu niais et effectivement le sergent à l'air d'une grosse tâche sans éducation qui ne sait pas motiver ses troupes. Je vais quand même défendre celui-ci: -L'attaque surprise ressemble plus à une rencontre fortuite entre une troupe space marine et un amas peau verte. -Le un contre deux, je pensais au corps à corps. Je sais pas si tu t'es déjà battu contre deux gars en même temps, mais c'est plutôt compliqué, surtout que même tu es SM, tu n'as pas pour autant la vitesse et la grace combattante d'un eldar. Donc le un contre vingt, c'est peut-être pas dure, mais en les pillonants à distance façon tau. A la rigueur si on prévoit à l'avant les coups de ses adversaires. Bon passons il s'agit d'un très vieux récit. -Pour ce qui est de la WAAAGH!, le nombre n'a jamais influé, les orcs sont toujours nombreux. Plus serieusement, il s'agit d'un cri de guerre, peut-être n'ai-je pas le niveau d'étude d'un haut-commandant impérial sur la culture peau-verte, mais pour ma part, je vois la waaagh! comme un hymne, moins mélodieux certe. Le plus gros exemple est dans Dawn of War, l'original, pendant la cinématique d'intro, où on voit une dizaine d'orc faire la waaagh!. Le second texte par contre est plus interresant car plus récent et il relève plus de mon niveau actuel bien que de nombreux passages soient à arranger, notemment celui qui explique que les SM n'ont pas peur de la mort parce qu'il est vraiment mauvais. Je pense surement en faire un récit, si je trouve la foi suffissante. -J'ai effectivement confondu l'âge des SM normaux et du chaos, j'ai mélangé et l'ombre de la damnation s'étant sur moi. Je retrouve le passage et je corrige. Correction de fautes encore en cours
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Depuis 4 ans que j'ai commencé les premiers chapitre et depuis 4 ans où le warfo est un rendez-vous pour la suite de l'histoire. C'est très émouvant d'en être arrivé là... La plus belle de mes révérences pour la patience et l'obstination dont tu as fait preuve durant ces longues années. Artharian
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Nouveau Concours récit (SF/Fantastique) - Number 6
Artharian a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
+1 (réponse geek ) Pour les deux périodes. Ensuite, je susi daccord avec ton idée du post anonyme à une date précise. Mais on ne peut pas le faire maintenant que SoK a déjà posté. Mais l'idée me plait. -
Nouveau Concours récit (SF/Fantastique) - Number 6
Artharian a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Bon, ça peut paraître stupide comme question mais... Est-ce que la date de fin coorespond à la dernière limite pour poster son texte ou à la limite pour poster son texte et voter? Si oui au second, je me permets un petit conseil: Il faudrait mettre une première date pour le post des texte, et une seconde date limite pour le vote. La date pour poster n'est pas une date limite, mais une date à laquelle tout les participants rendent en même temps leurs textes. Cela évite le plagia ou l'inspiration ( ben oui, sans mauvais esprit, pour moi un concours reste un concours ) Ensuite, la seconde date, entre trois jours et une semaine après la date de post, permettrais d'avoir suffisement de temps pour TOUT lire, sans avoir à survoler. Personellement, il me faut environ 30 à 45 minutes pour apprécier un post de texte comme ceux de la rubrique Fantastique (ex: Le médaillon des quatres de Inxi ou Les Incroyables Aventures De Fandalg le Gris, histoire éponyme). Cela permet de pouvoir lire tous les textes, y compris celui poster le dernier jour et de voter en conséquence. Bref, je retourner frapper mon clavier à coup de marteau de guerre nain sinon je n'aurais pas fini mon texte à temps. Amicalement, Artharian -
Nouveau Concours récit (SF/Fantastique) - Number 6
Artharian a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Bon, peut-être que certain ici se souviennent de moi. Je naviguais sur le web et je suis retomber par hasard sur ce forum que j'ai déserté il y a fort longtemps. Bref, c'est juste pour savoir si je pouvais m'inscrire également. Cela fait longtemps que je n'ai écri et il faut avouer que cela me manque. --> Attends une réponse s'il vous plais <-- D'avance merci. Edit: Merci de ka réponse Inxi. Et bon courage à tous. -
de retour après plus de 6 mois de silence, je rédige ce court texte histoire de me remettre "dans le bain" avant de réattaquer l'épopée de Morgoth. Morgoth CE PREMIER POST NE COORESPOND PAS A L'HISTOIRE DU TITRE. POUR VOIR LE TEXTE DESCENDRE AU PROCHAIN POST Le soleil se couchait, éclairant le ciel de ses rayons. Quelques nuages parcellaient l'étendue orangée. Les réacteurs des Thunderhawks Space Marines laissaient derriere eux de longues trainées orangeâtre dans le ciel. De la fumée montait des cratères d'obus et des batiments en flamme. C'était la guerre. Un petit groupe de soldats en armures bleues progressaient entre dans les ruines d'un ancien complexe industriel. Le sergent Baladan se tourna vers son escouade de Space Marine: "-Mes frères. Nous devons purger ce monde de la présence ork. Nous continuerons vers l'Ouest pendant encore quelques temps. L'Empereur nous protège." Les soldats reprirent leur marche entre les débris amoncellés. Ils avaient parcourus une centaines de mêtres quand le communicateur du sergent gresilla: "-Frêre Baladan, nous avons repéré des Xenos approchant dans votre direction. Ils sont nombreux. J'arrive avec mon escouade, nous devrions pouvoir en venir à bout. -Merci frêre Dihlmar, je prépare mon escouade, répondit Baladan. -L'ennemi ne passera pas! Pour l'Empereur, rugit le comunicateur. -Pour l'Empereur! renchérit le sergent." Soudain une raffale se fit entendre. Un des spaces marines s'effondra. "A couvert !" rugit Baladan alors que ses hommes sautaient derriere des blocs de bétons. Les armes orks avaient l'avantage de faire beaucoup de bruit pour peu de choses et les tirs des spaces marines ajustés avec précision abatirent une bonne partie des forces adverses. Les bolters avaient finit de cracher le feu mais les soldats de l'Empereur restaient à couvert. Soudain un cris bestial retentit: "WAAAGH!!!". Baladan risqua un regard et vit une marée d'humanoïdes verts courrant vers eux. Il décrocha une grenade de sa ceinture et la jetta dans les flots de bras et d'armes. Puis il ordonna des tirs métodiques. la grenade explosa dans une gerbe de sang, de viscères et de bras. La vingtaines de monstres qui leur fonçait dessus fut réduite de moitié alors qu'elle arrivait à leur contact. Les spaces marines se battaient à un contre deux et tout espoir semblait perdu lorsqu'une salve de tir issus d'un batiment avoisinant abattit trois monstres. Peu de temps après tous les orcs étaient étendus sur le sols. Les sauveurs sortirent de leur cachette. Il s'agissait de géants en armures bleues "-Merci Dihlmar, nous étions perdus sans vous, commençat Baladan. -C'est la volonté de l'Empereur, frêre Baladan. répondit l'autre. Il punit ses ennemis dans sa colère. Nous ne sommes que sont bras. Mais ces orcs semblaient moins nombreux que..." Une énorme série d'explosions secoua les ruines alors que les spaces marines étaient anéantits. Lorsque la fumée se dissipa, la silouhette d'un orcs se forma dans l'obscurité d'un batiment. Celui-ci tira sur le cigare qu'il avait coincé entre ses dents et dit: "-Lé ork revienn' toujours. Toujours plus grands toujours plus for. Pask'on est dé ork et cé pas lé zom bleu ki vont nous battre! -WAAAGH!!! rugirent une vingtaines de voix derriere lui" merci à SonOfKhaine pour la coorection des fautes en espérant qu'il n'en reste pas^^ J'avais toujours écrit orc mais bon :blushing:/>.
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J'adore l'elfe:) Il est aussi direct que le loup^^ Bon j'adore ton histoire, toujours aussi bien depuis la dernière fois. Carractères bien forgés, ça promet de l'action et une bonne baston à la fin. A moins qu'il face peace and love tous enssemble (ça serait dommage vus que c'est une fin banale). Je te souhaites bien du courage et ... suiîiiite svp...
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Argh je vais peut-être briser la poésie mais est-ce-que les orcs se reproduisent comme dans le codex 40k? C'est-à dire mi animal mi végétale, leur cellules se toute seul à partir d'un morceau de peau et dans les condition nécéssaires. Ou comme le disent les chamans gobelins: "Lé orcs c komm lé champignon, sa pouss' tou seul!"
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et bah.. J'ai eu un peu de mal a suivre son raisonnement mais à par ça ça va^^ J'ai tout compris à la fin. J'trouve qu'il est quand même taré Gerheim... non? A par ça j'aime beaucoup, continue
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Voilà une photo de Stonehenge: Un peu petit mais bon bref: Moi je trouve que tu as la technique pour faire le squelette des maquettes, je les trouves bien... MAIS (parce que comme pour tout il y a un mais et que la perfection n'existe pas...) Observe la photo: Les pierres ne sont pas uniformément peintes, certaines sont recouvertes de mousses (tu aurais pus jouer la dessus) enfin tout ça pour dire que tes pierres font trop peintures... Ensuite, concernant l'herbe, tu remarquera qu'il y a des trace dans le sols (je sais pas si ont les vois sur toutes les photos enfin je vais pas te souler avec ce décros là plus longtemps. Concernant ta suite de décors: J'aime bien aussi ils sont bien établis, le squellette est là encore bien fini, Mais (parce que comme pour tout il y a un mais et que la perfection n'existe pas...) Pas fini (tu l'a dit toi même je sais mais je vais te donner des exemple qui feront "réalistes" (parce que réaliste en héroic fantaisy^^): Déjà l'arbre ellfe sylvain j'adore... Il fait arbre et tout en plus les p'tites feuilles, CA fait réaliste. Mais par contre, pour les racines, c'est à améliorer. Par exemple, il faudrait que tu en face plus, Conseil: essaye d'imiter les racines de cet arbre, c'est à dire, une très grosse sur un côté semblant s'enfoncer dans le sol, et plusieurs petite qui partent d'un peu autour, mais il faut que tu garde à l'esprit que plus l'arbre est gros, et plus les racines seront grosses. Cela dit, ton travail est bien. Ensuite pour les batiments, j'verrais bien une texture sur les murs du genre: bonne chance. Mais (parce que comme pour ... yaaargh nan pas taper j'm'arrête), je te ferais un peu la moral (gentillement, c'est promis^^). Je t'ais parler correctement, j'ai considéré que t'avais fait des efforts et que j'trouvais que tu méritais pas que du: "ton truc c'est de la m... (même si les gens le pense, ça se dit pas comme ça)". Il y a un grand truc dans la vie pour pouvoir avancer c'est reconnaitre que l'on a des défauts et les gens quand quelqun dit: "ok je reconnais je peux faire mieux", il admire, c'est dure d'être bon, c'est encore plus dure de reconnaitre qu'on est pas le meilleur... Bref tout ça pour dire que si tu réponds un truc du genre:" Mais de toute façon ton post il sert à rien, casse toi...", je viens même plus voir ton topic (sujet) parce que pas savoir écouter quand t'es sur un forum, c'est comme refuser de manger quand on t'offre un buffet. Les gens qui sont là t'en veulent pas à mort! Et puis si tu met tes images sur internet, il faut t'attendre à ce que les gens donnent leurs avis en bien ou en mal, tu l'a fait, c'est courageux. Sur cette petite leçon de morale (qui s'adresse pas qu'as toi, mais à tout le monde), je te dit bonne chance, pousse encore plus loins dans la recherche du detail et de la coloration et pense un truc avant tout, fait toi plaisir... Bonne chance
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Je le deteste de plus en plus ton elfe noir :'( A par ça, le scénario continu bien et j'aimerais bien savoir... ... la suite
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Artharian, joueur depuis six ou sept ans. Amateur de récits fantastiques et de science-fiction. Le back ground de warhammer et 40k est exeptionnel et très dévellopé permettant de rédiger de bonnes histoires. bref, j'écris en ce moment: MORGOTH livre premier: elfe noir et désolations nordiques chapitre 1- Eclaireurs chapitre 2-l'héritier (pas encore mis en ligne) livre second: voyage en Lustrie Livre troisième: Le Roi-Sorcier Les deux derniers livres ne sont pas écrit ainsi que la majorité du premier. Seul les deux premiers chapitres sont rédigés. Histoire: Morgoth, un elfe noir typique de sa race est porté disparu suite à une bataille dans le nord. Il est receuilli par une organisation qui semble en savoir long sur son histoire. Et il se découvre des pouvoirs étranges. Avec son fidèle compagnon Gartharoth il va tout tenter pour retrouver ses terres volées par son frêre et protèger le trône du Roi-Sorcier. Pour cela il voyageront des toundras nordiques aux jungles étouffantes de Lustrie en passant par l'Empire afin de pourchasser les ennemis de leur race...
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J'aime... Ton héros est une ordure. Les elfes noirs sont magnifiquement bien réstitués. P'tite question. Les vers dont tu parles ils existent vraiment dans le back ground warhammer? Parce qu'il me semble que ce sont des capes en peaux de dragons des mers que portent les corsaires. A moins que ce soit une nouvelle race de dragons J'ai adoré la description de l'interieur de l'arche, elle est originale. Bref continu ^^