Aller au contenu

Joneone

Membres
  • Compteur de contenus

    357
  • Inscription

  • Dernière visite

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

  1. Clairement. Et typiquement le scénario "bataille de Mercal" de pour ceux qui connaissent (scénario dans un supplément campagne de la V5 de WHB). Ce scénario reprend la (re)conquête du Duc Rouge en Bretonnie avec une première bataille qui, dans le fluff, voit des paysans bretonniens épaulés par un preux chevalier se faire rouster par l'armée du Duc Rouge (dans les grandes lignes). L'enjeu de la partie n'est pas de gagner pour les Bretonniens mais de réaliser des exploits héroïque et qui auront une incidence sur le cours de la campagne. C'est fun, prenant, et on sort de la bataille rangée à qui à la plus ...
  2. Joneone

    Règle frappe en premier

    Ha ok, merci pour la précision. Mais les cas semblent extrêmement rare finalement.
  3. Joneone

    Règle frappe en premier

    Il me semblait que l'on ne pouvait pas modifier l'initiative jusqu'à un maximum de 10 ? Quel objet/sort le permet ??
  4. Joneone

    Règle frappe en premier

    Ok, merci beaucoup. Cela me confirme également qu'une matriarche elfes noirs avec Rune de Khaine et épée Tueuse de Dragons à de quoi donner des sueurs froides à n'importe qu'elle Prince Hauts elfes sur dragon....
  5. Joneone

    Règle frappe en premier

    Merci pour la précision ! Donc si deux personnages s'affrontent en combat singulier avec la règle Frappe en premier, les deux joueurs résolvent de façon simultanée leur attaque et à la fin du round de corps à corps, on réparti leur blessure ? Exemple, une matriarche Elfes noirs avec Rune de Khaine et épée Tueuse de Dragons affronte un Prince Hauts elfes sur Dragon, on résout donc les attaques simultanément. La matriarche obtient un 6 pour blesser et le Prince sur Dragon inflige 4 blessures non sauvegardées, les deux figurines repartent simultanément dans la mallette ?
  6. Hello, Petite question sur la règle frappe en premier dont je ne trouve pas la réponse dans le GBR. Si deux unités/personnages possèdent cette règle spéciale, comme gère-t-on l'ordre des initiatives en cas de combat ? Je partirais du principe que la règle s'annule et que l'ordre d'attaque se fait selon le profil ? Merci pour vos éclairages !
  7. Le "Speeder" est ultra soigné, ultra "propre" (sur les lining etc.). En soit, zéro "défaut" dans le pure style "heavy métal", c'est très jolie mais très "impersonnel" aussi. En tout cas, ça me transporte pas. La figurine est parfaite pour un Codex de Games ou Box art.... C'est à dire ? Tout retour d'expérience peut être intéressant. Tu as jugé dans quel concours ?
  8. Je rejoints les avis sur le niveau vraiment disparate de certaines figurines. Entre le "landspeeder" de Kevin Kotthaus et le Chaman Goblin d'Alberto Moreto Font, j'ai quand même l'impression d'un très gros gap de niveau. Même constat pour beaucoup d'autres pièces même si on a qu'une photo pour se faire un avis. Autant, pour certaines figurines (peintre), il n'y a pas (peu de débat), autant pour nombre d'entre elles, c'est franchement la loterie je trouve quand on compare avec celles non primées. J'imagine que cela est dû à la difficulté de juger "objectivement" un millier de figurines, d'autant que chaque juge a nécessairement ses propres critères "subjectifs" (avis plus ou moins tranché sur telle ou telle technique de peinture, affinité pour un style de peinture en particulier, ressenti différent sur un choix de composition etc.). Typiquement une figurine en "Commended entry" l'année dernière et la même pièce représentée cette année qui obtient un golden demon cette fois-ci... Enfin, le niveau est sans doute aussi "biaisé" par le temps passé dessus. Comment juger une figurine de 800 heures de peinture, conversion, etc. avec une figurine de "juste" 300 heures de peinture ? En fonction de sa taille ? De sa composition d'ensemble ? Des risques pris ou pas par un peintre ? De l'innovation apportée sur telle ou telle technique de peinture/sculpture ? Je crois que c'est aussi la limite de l'exercice.
  9. On est d'accord, dans une société devenue très concurrentielle sur le commerce "figurinistique", la valeur ajouté d'un vendeur physique devient évidemment un critère très important. Si Wayland, Doligames et autres proposent des réductions allant de 20 à moins 25% sur les produits Games c'est parce que leur business modèle permet d'être agressif sur le prix (absence de loyer, stock en flux tendu etc.). A l'inverse, ils ne proposent qu'un catalogue. Par conséquent, pour survivre, une boutique "physique" doit proposer une plus value pour vendre le même produit plus cher que la concurrence. Généralement, le seul terrain où une boutique "physique" peut ajouter une plus value c'est sur la capacité de proposer un accueil et des conseils personnalisés, sur l'organisation d'évènements, de cours de peinture etc. C'est d'ailleurs ce que font la plupart de ces boutiques, avec plus où moins de succès, typiquement l'exemple de la Waaagh taverne. Souvent, également, les gérants de ces établissements sont des "ultra" passionnés du monde "figurinistique" et ils essaient, pour la plus part, de le faire vivre du mieux possible : rencontre entre joueurs, conseil de peinture, table de démonstration etc. Si je raisonne uniquement porte-monnaie et que mes achats ne se font que via des boutiques e-commerce (pour ceux qui pourrait faire différemment et également acheter dans une boutique physique), on signe évidemment la fin des boutiques dans les grandes villes. La problématique est soulevé par la queue en bronze : Les boutiques en ligne sont légitimes, cela a été dis et redis. Elles comblent un besoin, notamment pour ceux qui sont loin des grands centre urbains. Finalement ce n'est pas le sujet. Mais si demain, les boutiques "physique" devait toutes disparaitre au profit des boutiques en ligne, on a le droit de penser que cela serait dommageable pour le hobby en lui-même et pour d'autres raisons maintes fois évoqués. Nos choix de consommation ont des impacts sociétaux et posent, par la même, des questions éthiques et philosophiques. Par exemple, et pour rester dans l'univers "figurinistique", je pourrais prendre le cas des services de peinture. Si je raisonne uniquement sur l'aspect porte monnaie et pouvoir d'achat, je commande en Pologne, c'est 20/25% moins chère que les tarifs pratiqués en France et à niveau de peinture égal. Je pourrai dire que c'est aux peintres français de s'adapter et de me proposer une "plus value" pour compenser cela : écoute client, SAV etc. Je pourrai même aller plus loin en disant que trop d'entre eux ne sont pas professionnels (mauvaise expérience), aucun intérêt de passer un commande via un peintre français. Là aussi, ça peut poser des questions éthiques, sociétales etc. Et on peut s'interroger sur les questions éthiques, philosophiques, sans faire forcément la moral.
  10. Chaque version a ses avantages et inconvénients. La limitation des personnages en 0-1 n'est pas satisfaisant pour moi car cela va créer aussi des déséquilibres. Si je joue gobelin de la nuit et que je suis limité à 0-1 en choix de seigneur, et qu'en fasse mon adversaire joue GDC ou comte vampire, ça va nécessairement créer un gros déséquilibre sur les choix de personnage... La limitation en point me permet au contraire de compenser la faiblesse de mes personnages par le nombre et ajouter plein de petits perso dans mon armée. Là je suis complétement d'accord. Jouer des scénario avec des décors/déploiement/objectif etc. c'est l'essence même de TOW.
  11. Je pense aussi qu'il y a incompréhension de part et d'autre. Personne, je crois, n'affirme qu'un commerce physique doit "nécessairement" guider nos choix de consommation et qu'il faudrait soutenir "coute que coute" tous les petits commerçants contre les méchants sites de e-commerce qui les tuent à petit feu. Le débat sur le choix de société est évidemment à nuancer en fonction des biens et services proposés (externalité négative ou non) mais également en fonction des villes concernés (les grandes et les petites). Dans une grande ville, souvent, un commerce en chasse un autre et c'est la vie des affaires diront nous. Mon vidéoclub a été remplacé il y a fort longtemps par un magasin de vélo. Pourquoi pas après tout. Avec la VOD (Netflix) remplace utilement un service qui consiste simplement à louer un film (DVD) pour le regarder chez soi. Une innovation "positive" pourrait-on dire sans trop d'externalité négative. J'ai presqu'envie de dire une évolution positive des choses. Ainsi, j'ai la chance d'avoir à 5mn à pied de chez moi, pléthores de petits commerçants, de la boulangerie au libraire en passant par le fromager etc. C'est vivant, c'est agréable, le centre ville à une âme comme on dit vulgairement. Et tout le monde contribue à faire vivre les petits commerçants car beaucoup y trouve leur compte et évidemment si un commerçant est trop cher, incompétent ou peu professionnel, il aura dû mal à survivre. J'ai aussi eu l'occasion de grandir dans une petite ville de province dans mon enfance, avec son centre ville plein de commerçants et d'artisans où les gens se côtoyaient régulièrement pour aller faire leur course, bref une ville animée et vivante où, on pourrait dire, qu'il fait "bon vivre". Aujourd'hui, cette même ville est devenue ce que l'on nomme une ville "dortoir" (45mn en train de Paris, les loyers en moins), les petits commerçants ont tous fermés le rideau, il ne reste plus qu'un tabac, une pharmacie et 2-3 Kebabs. Pas un chat dans les rues, d'une tristesse à mourir. En revanche, on trouve en périphérie de cette petit ville le triptyque "Leclerc/McDonald/Kiabi" accompagné de son point de retrait Amazon et de sa station essence. C'est clairement un autre modèle de société. C'est donc une vision d'ensemble qu'il faut avoir. Dans cette ville, soutenir le petit commerce prend tout son sens. Enfin, dans une société où l'individualisme prime et que le tout digital devient la norme, il me semble sain de se poser des questions éthiques et philosophiques sur nos choix de consommer et sur le vivre ensemble. A nuancer à chaque fois, et évitons les raccourcis de part et d'autre.
  12. @Soldaarle débat au fond n'est pas de jeter l'opprobre sur Doligame mais, à travers l'intervention de @Le Cimmérien de réfléchir sur nos actes de consommation qui ne sont jamais neutre. Et notre façon de consommer est sans doute la conséquence d'une société individualiste qui ne cherche que l'intérêt de sa petite personne sans jamais réfléchir aux problèmes plus globaux. Tant que ça va bien chez moi, je m'en fous un peu des autres....Pas si simple...
  13. Mais sera-t-il personnalisé ? Adapté à une situation spécifique ? On a tous déjà vécu des expériences désagréables avec des commerçants/artisans et autres par manque souvent de professionnalisme/appât du gain etc. Peut-on pour autant généraliser ? Le propos n'a jamais été de nier le progrès technique mais d'être également lucide sur les limites de celui-ci. Il y a des progrès qui changent positivement le monde avec peu d'externalité négative et celui souvent adossé au néolibéralisme et qui posent des questions éthiques, philosophiques, sociétales et environnementales. Si pour que tu puisses avoir un train de vie comparable à celui d'un bourgeois du siècle dernier il faut exploiter des enfants en Asie, déforester l'Amazonie et créer un 6ème continent du plastique, est-on vraiment dans le progrès ? Bref, évidemment on dérive du sujet.
  14. Je recite un article lu récemment et intéressant sur le sujet "La technique : promesse, mirage et fatalité" et que j'invite donc à lire : "(...) C'est aussi oublié le caractère fondamentalement ambivalent du progrès technique avec des conséquences simultanément positives et néfastes. Par exemple, la liberté de déplacement qu’offre l’automobile se paie d’heures perdues dans les embouteillages engendrés par la massification de son usage, de la stérilisation des sols désormais bitumés, de la pollution croissante de l’air et de notre transformation en « hommauto »." "(...) Ainsi, chacun croit volontiers que la technique fournira les réponses nécessaires aux problèmes complexes de notre temps, qu’il s’agisse de la pollution, du réchauffement climatique, de la faim dans le monde ou des questions que soulèvent les mégapoles. Cette foi naïve dans le progrès, réinventée à chaque génération, qui sous-tend le discours profane vantant ad nauseam les vertus du numérique, de l’intelligence artificielle ou des univers connectés, fait l’impasse sur les coûts multiples, d’abord financiers (qui assurera les gigantesques investissements nécessaires et avec quelle contrepartie ?) puis sociaux (la destruction créatrice schumpétérienne servant de cache-sexe intellectuel à tous ceux qui se refusent à penser les conséquences sur le travail d’un changement technique effréné), enfin écologiques, tant il est vrai que les « technologies propres » n’existent pas – certaines ayant seulement un impact moindre que d’autres. Nous sommes ainsi entretenus dans l’illusion d’une puissance sans borne, bien que nous soyons régulièrement mis en garde, depuis le retentissant rapport du Club de Rome en 1972 – sans parler de nombreux précurseurs moins célèbres –, sur les limites matérielles de cette expansion, tant en termes de ressources minérales rares – énergétiques ou non – que de résilience des milieux naturels face à la destruction récurrente depuis le début de la révolution industrielle." "(...)Le monde social ne se divise pas en deux camps s’opposant frontalement, les technophobes obtus et les technophiles béats. Dans l’exemple de la biologie de synthèse analysé par Flocco et Guyonvarc’h, les agents du monde technoscientifique, bien qu’avertis des critiques formulées à l’encontre de ces innovations techniques, conscients notamment du caractère non soutenable du développement technicien actuel, n’en contribuent pas moins à pérenniser les activités de R&D, subjugués qu’ils sont par le discours de la technique comme évidence, voire comme le sens même de l’histoire, tout discours critique étant dès lors assimilé à une posture rétrograde ou technophobe." Pour toi mais pour les autres ? Par exemple un enfant qui viendrait en boutique avec sa maman et demander conseil ?
  15. On revient à un sujet de société à savoir le glissement de notre société vers ce que nombreux sociologues/philosophes nomment la société du virtuel et de l'individualisme conséquence indirecte notamment du néolibéralisme. De fait, tout individualisme tend à devenir un utilitarisme et nous ne sommes affectés que par ce qui nous concerne personnellement. Et cette phrase résume parfaitement cela : Je ne suis donc que concerné par 1) mon pouvoir d'achat 2) mes propres besoins. L'un étant lié avec l'autre. Il ne s'agit pas ici de renier ce qu'apporte le numérique, les réseaux sociaux etc. dans une société donnée mais de s'interroger sur une certaine forme de prédominance de celle-ci et qui finit par nous couper du réel, du vivant et, in fine, de ce qui nous entour. Il ne s'agit pas non plus de renier Amazone, Wayland et consorts mais de s'interroger sur les conséquences de ces entreprises sur notre tissu socio-économique. Elles sont aussi légitimes sur les services proposés, ce n'est pas le sujet. Elles savent combler un besoin, une demande comme beaucoup le font remarquer. Le hic, c'est que l'essor et la prédominance de ces entreprises du numériques n'est pas conséquences sur le modèle de société sur lequel on glisse et qui peut poser des questions éthiques et philosophiques. Netflix, c'est super, j'ai plein de chose à regarder de chez moi, "à la demande", quand j'ai envie, sans aucune contrainte. Mais on peut aussi s'interroger sur la mort des cinémas et ses conséquences socio-économiques. On voit bien dans les réponses des uns et des autres, les deux discours de fond. Le premier est de dire, en substance, que les choses sont en perpétuel changements et c'est comme ça. Le monde de demain sera juste différent. Le deuxième discours cherche justement à s'interroger sur ce monde de demain, un monde sans cinéma, sans librairies, sans cafés et sans restaurants. Un monde fait d'entrepôts, de livraisons uber, de fast-food et où tout est dématérialisé, déshumanisé. Un centre ville qui perd ses commerces, c'est aussi un centre ville qui perd son âme au passage. Quant au choix économique, celui-ci n'est que trop souvent un faux prétexte cachant le caractère très (trop ?) individualiste de notre société qui ne se soucis guère de l'environnement, de la planète, du collectif et du vivre-ensemble. Vivons heureux, vivons seuls ?
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.