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[40k-Imperium] Les Régiments de Dagaz
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Swissknife dans Armée Unique
3. Défense aérienne : 3.1. Armement anti-aérien mobile Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" – Le mariage réussi du neuf et de l'ancien Conception et développement Le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est né de la nécessité d’adapter rapidement l’industrie de Dagaz aux standards impériaux tout en exploitant les ressources déjà disponibles. Lors de l’intégration à l’Imperium, les chaînes de production de la Fédération tournaient encore à plein régime, produisant en masse le Vc.Sb 251, un transport semi-blindé semi-chenillé robuste et éprouvé. Plutôt que d’abandonner cette production en faveur des modèles impériaux classiques, l’état-major et le Mechanicus local prirent la décision pragmatique d’adapter ces châssis pour divers rôles militaires. Le mariage du châssis du Vc.Sb 251 avec la tourelle antiaérienne de l’Hydra impérial fut la combinaison la plus efficace et la plus pérenne. La modularité du châssis permettait une intégration rapide du système d’arme, tout en conservant une excellente mobilité pour le soutien aux forces terrestres. Aujourd’hui encore, cette variante reste en production, confirmant sa fiabilité et son efficacité sur le terrain. Doctrine et rôle sur le champ de bataille Le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est conçu pour offrir une couverture antiaérienne efficace aux colonnes mécanisées et aux positions stratégiques des Régiments de Dagaz. Sa batterie quadritube de 35 mm à tir rapide lui permet d’engager aussi bien des appareils ennemis que des cibles légères au sol. Défense mobile : Grâce à son châssis semi-chenillé, il accompagne les convois blindés et d’infanterie en terrain accidenté, offrant une protection immédiate contre les frappes aériennes ennemies. Soutien feu-sol : Bien que conçu pour l’antiaérien, sa cadence de tir et la puissance de ses obus explosifs en font un excellent appui contre les concentrations d’infanterie, les véhicules légers et même certains blindés légers. Déploiement rapide : Moins encombrant et plus facile à produire qu’un char Hydra traditionnel, il peut être déployé en grand nombre sur les fronts où la menace aérienne est élevée. (Nota hors fluff : ca c'est bien sur le papier, en réalité j'en ai qu'un seul et il y en aura qu'un seul, s'était un plaisir unique car ca prend du temps et surtout c'est pas économique pour un sous cette conversion). L’état-major de Dagaz a rapidement intégré le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" dans sa doctrine tactique, en l’utilisant à la fois pour sécuriser les têtes de pont lors des assauts et pour protéger les bases avancées. Les avantages et les contraintes du modèle "Dagaz" de l' "Hydra" L’un des principaux atouts du Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" réside dans sa mobilité. Grâce à son châssis semi-chenillé, il est capable d’évoluer sur des terrains difficiles, suivant sans peine les formations blindées ou mécanisées, là où des véhicules antiaériens plus lourds peineraient à progresser. Sa production, plus rapide et économique que celle de l’Hydra impérial classique, en fait une solution avantageuse pour équiper massivement les régiments dagaziens. Son armement, bien que principalement conçu pour l’antiaérien, s’avère redoutable contre l’infanterie et les véhicules légers, offrant ainsi une polyvalence appréciée sur le champ de bataille. Toutefois, cette conception pragmatique ne va pas sans compromis. Son blindage reste léger, limitant sa résistance aux tirs directs et le rendant vulnérable aux armes antichars ou aux frappes d’artillerie. De plus, son châssis semi-chenillé, bien qu’efficace en tout-terrain, offre une stabilité moindre par rapport aux plateformes chenillées complètes, ce qui peut affecter sa précision lors de tirs prolongés. Enfin, bien que fiable, son équipement de détection reste en deçà des modèles impériaux plus récents, nécessitant souvent un soutien en ciblage provenant d’autres unités pour maximiser son efficacité. Malgré ces limites, le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" s’est imposé comme une pièce maîtresse de la défense antiaérienne dagazienne, prouvant qu’une approche pragmatique et éprouvée peut se révéler tout aussi efficace que les modèles standardisés de l’Imperium. Héritage et impact Avec le temps, le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est devenu un élément emblématique de l’arsenal dagazien, reflétant l’approche pragmatique de la guerre propre aux Régiments de Dagaz. Son maintien en production témoigne de son efficacité et de son rapport coût/efficacité imbattable, confirmant qu’un bon design peut parfois surpasser l’innovation pure. Si l’Imperium est souvent réticent à s’écarter de ses modèles standards, il n’a pas cherché à interdire cette variante, preuve de sa valeur tactique indéniable. Le marquage sur ce véhicule indique qu'il appartient à la 4ème Batterie de "Défense Contre Aéronef" (DCA), et que c'est la 4ème pièce de la 2ème Unité de feu. Le symbole de l'aile représente l'insigne de la 4ème Batterie de DCA. La couleur indique ensuite l'unité de feu. Noir : 1ère / Rouge : 2ème / Jaune : 3ème / Blanc : Unité de remplacement (ou 4ème). Fidèle aux couleurs grises, héritage de la Fédération, et habituée à opérer plutôt en terrain urbain, cela n'empêche pas les régiments de Dagaz d'appliquer un camouflage, toujours dans les tonalités grises. Le principe reste de casser les formes du véhicule, afin de le rendre moins vite détectable et aider à un camouflage plus élaboré si nécessaire. +++ EN SAVOIR PLUS ? : -> 4. Véhicule de reconnaissance -
[30-40K] L'Histoire de Dagaz et de ses régiments
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Swissknife dans Récits
Je voulais que les bandeaux séparent les "chapitres", sans toutefois surcharger la page, pas évident à doser. Effectivement, la taille ne les rends pas toute bien lisible. Merci pour l'appréciation sur le dialogue. C'est un passage important pour comprendre la "philosophie" que vont prendre les régiments de Dagaz dans l'avenir. Je l'ai écrit, réécrit, de multiple fois, avant de m'arrêter sur cette version. +++ 5ème Régiment de Dagaz : "Les Aigles de Dagaz" +++ Devise : "In caelo, virtus nostra" (Dans le ciel, notre force) Insigne : Un bouclier d'azur. Meublé d'un aigle d'or, chargé d'un 5 d'argent. Si l'animal en soit est totalement étranger aux habitants du système de Dagaz, il représente à la fois, l'Imperium et un prédateur volant. Commandant actuel : Général (des Airs) Valerus Kael Historique Le 5ème régiment, surnommé les Aigles de Dagaz, naquit d’une ambition militaire audacieuse : exploiter la puissance aérienne non plus comme un simple soutien, mais comme un élément central du champ de bataille. Jusque-là, l’aviation dagazienne se contentait de frappes pré-planifiées et d’escortes limitées. L’état-major, conscient des limites de cette approche, envisagea une refonte totale de son emploi tactique, visant à faire des appareils non plus de simples vecteurs de destruction, mais les pivots d’une guerre de mobilité et de projection rapide. L’idée était simple en théorie, mais sa mise en œuvre nécessita des changements radicaux. Il ne s’agissait plus seulement d’envoyer des avions et des bombardiers pour frapper des positions ennemies, mais de créer une unité combinée capable de contrôler le ciel et d’influer directement sur le déroulement des batailles terrestres. Cela impliquait la création d’une chaîne logistique dédiée, la formation de pilotes spécialisés dans l’assaut tactique à basse altitude et la conception de nouvelles procédures pour l’appui des troupes au sol. Les premiers membres du 5ème furent sélectionnés parmi les pilotes et équipages vétérans des régiments déjà existants, ainsi que parmi les fantassins ayant montré une aptitude à opérer en milieu hostile avec un minimum de soutien au sol. Cette nouvelle force devait être capable de réagir en quelques instants, de frapper avec précision et de disparaître avant que l’ennemi ne puisse riposter. La Valkyrie devint la monture de choix et représente l'ossature de toute unité du 5ème. Baptême du feu et adoption de la doctrine Le premier véritable test du 5ème eut lieu lors de la Campagne de Cenvone, un conflit marqué par des combats en terrain difficile, où la logistique traditionnelle peinait à suivre le rythme des affrontements. Ce fut là que la doctrine du 5ème prit tout son sens : frappes-éclair contre les lignes ennemies, insertion rapide de renforts là où le front menaçait de s’effondrer, évacuation express des blessés et des unités isolées. La Valkyrie fit ses preuves au sein des forces de Dagaz. L’impact tactique fut immédiat. En l’espace de quelques semaines, l’ennemi se retrouva incapable de verrouiller le front, chaque tentative d’encerclement étant brisée par l’intervention soudaine et brutale des Aigles de Dagaz. L’état-major prit rapidement conscience que cette nouvelle approche de la guerre aérienne était non seulement viable, mais essentielle. La devise "Dans le ciel, notre force" devint plus qu’un simple slogan : elle symbolisait l’évolution d’une guerre où la suprématie aérienne ne se limitait plus à dominer le ciel, mais à influencer chaque mouvement des forces terrestres. Un succès mitigé, mais un potentiel indéniable Bien que redoutablement efficace, le 5ème Régiment n’est pas exempt de défis. Sa dépendance à une logistique rigoureuse, la nécessité d’une coordination parfaite avec le commandement terrestre et les risques inhérents aux interventions en basse altitude en font une force aussi vulnérable que puissante. Les autres régiments dagaziens, bien que reconnaissant leur utilité, savent que la guerre ne se gagne pas uniquement depuis les airs. Toutefois, l’évolution continue des doctrines militaires dagaziennes tend à confirmer que le 5ème Régiment ne fait qu’effleurer son plein potentiel. Les stratégies développées au fil des campagnes sont désormais analysées et adaptées pour maximiser leur efficacité, et il est évident que la guerre future ne se concevra plus sans la présence des Aigles de Dagaz planant au-dessus du champ de bataille. Tradition Avant chaque mission de combat, pilotes et troupes aéroportées partagent un rituel singulier : uriner ensemble sur le patin d’atterrissage gauche de leur appareil. Ce geste, d’apparence triviale, est pris très au sérieux et perçu comme un porte-bonheur garantissant protection et succès au combat. +++ EN SAVOIR PLUS ? -> 6ème Régiment de Dagaz "Guerriers de Mannaz" Valkyrie du 5ème :- 12 réponses
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[40k Culte Genestealers] Planification(s)
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Hammerstein dans Armée Unique
J'adore. Un beau personnage, sa cape usée rend très bien et donne du caractère. -
[40k-Imperium] Les Régiments de Dagaz
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Swissknife dans Armée Unique
Toujours merci pour tes commentaires qui me font plaisir. Le Malleus est dans les dernières unités que j'ai assemblée et la taille du socle offre un belle opportunité de faire quelque chose. Je ne voulais pas gâcher ça. Peut-être car ma première armée (en WHB) était Comte Vampire, une armée dénuée d'arme de tir, je me suis lâché sur le sujet avec ma Garde Impériale. Enfin, je peux tout anéantir à distance Et ca permet aussi d'attirer le tir plutôt sur tout ce qui a un canon et fait peur, plutôt que sur l'infanterie Merci, oui, Osprey est une source d'inspiration. Par contre, pour la carte... c'est un hasard, j'ai disposé sur le socle comme si des liasses de papier s'étaient trouvée soufflée dans la rue. J'ai placé juste au dessus d'un, le sergent, mais sans idée que le papier ferait une carte. +++ OCl18 15 cm "Bombast" - Entre le mortier et le Basilisk, l'obusier de campagne. Historique et développement L'OCl18 15cm "Bombast" est une addition récente dans l'arsenal des Régiments de Dagaz. Conçu comme une pièce d'artillerie de campagne standard dans l'Imperium, l'État-Major de Dagaz a toutefois choisi de le reclasser en obusier, un terme correspondant mieux à son utilisation effective selon leur doctrine militaire. Son intégration dans les Régiments de Dagaz résulte d'une étude approfondie de leurs besoins en puissance de feu mobile et soutenue. Tout comme le Malleus, son châssis a été remanié pour correspondre aux exigences de maniabilité des régiments dagaziens. La suppression du bras central du tireur facilite non seulement la mise en traction de la pièce, mais permet également une accélération du rechargement, offrant un cycle de tir plus réactif et limitant les risques d'accidents sur le terrain. Malgré ces modifications, le Bombast reste fondamentalement une pièce standard de l'Imperium. Pour les lecteurs souhaitant approfondir l’histoire technique et doctrinale de cette arme impériale, l’ouvrage "Traité sur l'optimum balistique et la stabilité cinétique du modèle Bombast, tome XXI", rédigé par l'Acolyte-Archiviste Magos Balirus Draxius, offre une analyse exhaustive de ses performances et de son évolution. Doctrine et emploi Conçu pour le tir indirect à longue portée, l'OCl18 15cm Bombast est idéal pour marteler les positions retranchées, briser les concentrations de troupes ennemies et perturber les assauts blindés adverses. Sa portée et sa capacité à tirer des obus lourds en font une arme redoutable, mais son encombrement logistique et sa dépendance à un ravitaillement constant le rendent vulnérable aux offensives rapides. Les doctrines d'emploi du Bombast varient selon les régiments dagaziens, son intégration étant encore en phase d’optimisation. L'état-major étudie encore son usage optimal et attend les retours d’expérience pour ajuster son déploiement stratégique. Si l’OCl18 15cm offre un compromis entre puissance et mobilité, son temps de mise en batterie est significatif et exige une planification méticuleuse des positions de tir. Il est fréquemment combiné avec des éléments de reconnaissance avancée pour maximiser son impact. Expériences de combat Les premières campagnes impliquant le Bombast furent menées dans le cadre de la Croisade Indomitus, notamment contre les forces renégates du secteur Zekros. Lors de la bataille de Zekros IV, les batteries dagaziennes du 4ème Régiment déployèrent ces obusiers pour pilonner sans relâche les positions adverses. Un artilleur du 4ème Régiment, interrogé après cette bataille, résuma leur expérience de la manière suivante : "Le Bombast parle, et l’ennemi s'egosille en cri inutile. On les a regardés courir sous nos obus pendant des heures, et à la fin, il ne restait plus que des cendres. Si ça, ce n’est pas la justice de l’Empereur, alors je ne sais pas ce que c’est." Cependant, toutes les opérations n’ont pas été aussi concluantes. Lors des engagements dans la jungle hostile de Xyphos-Primus, la mobilité limitée du Bombast s'est avérée problématique. Son déploiement y a été rendu difficile par les conditions du terrain, forçant l'état-major à revoir son emploi sur des théâtres de guerre plus exigeants. Conclusion L'OCl18 15 cm "Bombast" illustre parfaitement l’approche dagazienne de la guerre : robuste, fiable et conçu pour maximiser la puissance de feu tout en restant pragmatique dans son emploi. Si son poids et sa logistique en restreignent parfois l’utilisation, il demeure une pièce essentielle de l’arsenal dagazien et continue d'évoluer à mesure que ses doctrines d'emploi se précisent. Son impact sur la stratégie militaire de Dagaz est indéniable, et nombreux sont les officiers qui considèrent son déploiement comme un présage de victoire imminente. L’optimisation de son usage, en fonction des théâtres d’opération, sera déterminante pour inscrire définitivement cette pièce dans les traditions martiales des Régiments de Dagaz. OCl18 15cm en position, prêt à tirer. Ici déployer en terrain urbain. Un OCl18 15cm en position de tir, protégé des éclats du champ de bataille par son environnement immédiat. Son encombrement oblige à réfléchir bien à l'avance de l'endroit idéal de son déploiement. 3 hommes seulement suffisent à l'emploi actif de l'OCl18 15 cm, un chef de pièce, un chargeur, un pointeur. Un OCl18 15cm en pleine action, le pointeur vient de tirer sur la commande de tir. Tout comme pour le Malleus, les servants ont pris l'habitude très dangereuse d'approcher les réserves de munition, afin de maintenir une cadence de tir appréciable. Le rechargement sur le modèle Dagaz, avec la suppression du bras central, permet un chargement autrement plus rapide, autorisant au maximum 6 tirs/tour. Afin d'aider le pointeur, les tables de tir sont inscrite sur l'intérieur du bouclier, à gauche. Plutôt rare, cet officier utilise un béret comme couvre-chef, ils sont généralement plutôt usité dans les branches blindées des régiments. Ils ont l'avantage de faciliter l'usage d'un ComVox. +++ EN SAVOIR PLUS ? : 3ème Régiment de Dagaz "Les Diables rouges" : 4ème Régiment de Dagaz "Les Inébranlables" : -
[40k Culte Genestealers] Planification(s)
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Hammerstein dans Armée Unique
Effectivement, ca me plait. Ils sont en digne suite des Fanatiques, avant le même soin de traitement. J'ai hâte de découvrir le personnage -
[40k-Imperium] Adepta sororitas is the new black
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Guili Man dans Armée Unique
Les socles de glace sont magnifiques aussi. Mais ce bouclier... le nombre de détail que tu arrives à y faire figurer... c'est impressionnant ! -
[WH40K - Adeptus Mechanicus] Quand La machine rencontre la nature
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Raf dans Armée Unique
La rouille, la patine, sont tellement bien rendu, et à juste dose pour servir le narratif. Comme toujours la disposition, la mise en scène. Chaque unité raconte une histoire !- 127 réponses
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[WHB-Bret] Les seigneurs de Kernouailles
Swissknife a répondu à un(e) sujet de tortus dans Armée Unique
Tout est si soigneusement peint, une figurine très agréable à regarder, avec maintes petit détail. L'aspect de l'armure est très bien rendu, l'écu ressort fort bien. Ce qui me bluffe totalement, c'est le rendu de son pourpoint. Les volumes sont parfaitement traité. -
[40k-Xenos] Les tribus déchaînées de l’Asgarth
Swissknife a répondu à un(e) sujet de gekko dans Armée Unique
J'adore le grot avec son masque de soudeur. Pis le gant pour tenir son lance-flamme est bien rendu. Il en a de la verdure à kramer...- 504 réponses
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[30-40K] L'Histoire de Dagaz et de ses régiments
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Swissknife dans Récits
Merci beaucoup Chaque régiment correspond à une de mes listes d'armées, que je justifie par un background. Les exemples de bataille décrites correspondent aussi à des parties jouées. Ton observation est juste, il aurait été cohérent de voir des unités de génie, sapeur, pour des anciens mineurs. Une incohérence dans la construction de ce fluff. Le raccourcis explosif = artillerie est un peu léger en cohérence. +++ 4ème Régiment de Dagaz : "Les Inébranlables" +++ Devise : Semper stans, numquam victus" (Toujours debout, jamais vaincu) Insigne : Un disque de sinople bordé de même. Meublé en son centre d'un écu de sinople chargé d'un 4 de même. Accosté de laurier de sinople. La symbolique principale de l'écu représente le régiment comme un protecteur de l'Imperium et les deux branches de laurier sont là pour évoquer la gloire de ses vétérans. Commandant actuel : Général (d'Infanterie) Helbrecht Garon Historique Le 4ème Régiment de Dagaz, surnommé "Les Inébranlables", est issu des batailles les plus sanglantes menées par les forces de Dagaz. Fondé à partir des vestiges des 1er, 2ème et 3ème Régiments, il fut constitué d'hommes ayant survécu aux pires engagements de la Grande Croisade. Les premiers Inébranlables étaient des soldats ayant vu leur régiment anéanti autour d'eux, mais qui, par un entêtement proche de la folie, avaient continué à se battre jusqu'à l'ultime munition. Cette épine dorsale de vétérans aguerris a donné au 4ème Régiment son caractère intransigeant et sa réputation d'unité capable de tenir une ligne même lorsqu'elle est donnée pour perdue. Ils sont les sentinelles inflexibles qui ne reculent pas, même sous un barrage d’artillerie implacable ou face à une marée xénos inarrêtable. Si ce statut d’invincibilité fait leur fierté, il est aussi la source d’une réalité brutale : le 4ème est le régiment de Dagaz ayant connu le plus de refontes. Leur taux de pertes, effarant lors des batailles prolongées, a mené à de multiples reconstitutions au fil des siècles. Chaque nouvelle formation voit l’incorporation de soldats d’autres régiments, souvent des rescapés des pires affrontements, perpétuant ainsi cette tradition du sacrifice et de la résilience. Composition et Doctrine Le 4ème Régiment est conçu pour capturer et tenir des positions stratégiques coûte que coûte. Son approche repose sur une force combinée d'infanterie mobile, de blindés, protégé par ses batteries d'artillerie prêtes à briser l'ennemi avant qu'il ne puisse submerger leurs avancées. L'infanterie du 4ème est plutôt variées combinant vétérans, soldats du rang, équipée de mortier et lance-missile. L'infanterie du 4ème est parfaitement entrainée et habituée à travailler en totale coopération avec sa composante blindée. En règle générale, une escouade d'infanterie est accompagnée par 3 Leman Russ (dont un est un Vanquisher ou un Exterminator). En soutien, le régiment aligne facilement deux pièces d'artillerie autotractée "Basilisk" (modèle Dagaz), capables d'assommer l'ennemi à longue distance. Le 4ème utilise son artillerie pour verrouiller ses positions et briser tout assaut direct. Le 4ème se repose aussi sur ses vaillantes troupes de reconnaissance, des Sentinelles blindées, dont l'armement varié leur permet d'aller en avant des troupes afin d'éradiquer toute menace trop importante pour son infanterie. Plus d'une fois, le 4ème a remporté la victoire mais au prix du sacrifice d'une grande partie de ses troupes. Ainsi sur Nitro Secundus, face à une bande d'Astartes du Chaos, s'ils réussirent à conserver suffisamment longtemps le contrôle des sources d'énergie et de l'émetteur astropathique, se fut au prix du sacrifice de toute ses sentinelles blindées, d'une bonne part de sa force blindée et de son infanterie. Tout le monde dans le régiment se raconte l'histoire du commandant de l'époque, accompagné de son fidèle porte-étendard et du médic, au milieu des ruines du centre astropathique, sous la pluie de missile d'une unité de Terminator du chaos, résistant vaillamment à la déferlante d'éclat, de débris. Ripostant avec son pistolet laser, tout en sachant qu'il était futile d'espérer éliminer un adversaire, mais maintenant le moral de ses troupes, encourageant tous à tenir encore, jusqu'à l'arrivé des renforts. Culture et Traditions Le 4ème est le régiment ayant connu le plus de refondation de tout les régiments de Dagaz, autant car il est très souvent déployé car pouvant répondre à tout type de menace, mais aussi à cause de sa tradition, confinant à la croyance dogmatique. Ainsi avant une bataille, tous les soldats du régiment participent à une cérémonie nommée "Le serment indéfectible" . Rassemblés en spirale, ils se passent de main en main une pièce commémorative frappée de l'effigie de leur premier commandant, à réception de la pièce, le soldat promet solennellement à l'Empereur de "Toujours tenir sa position et de ne jamais céder à l'ennemi". Cette promesse faite à l'Empereur tend effectivement à accroître la résilience du 4ème Régiment, comme l'ajout de vétéran en son sein, qui pour la plupart se considèrent comme des morts en sursis. Après tout : "Mieux vaut mourir pour l'Empereur, que vivre pour soi-même". +++ EN SAVOIR PLUS ? -> 5ème Régiment de Dagaz "Les Aigles de Dagaz"- 12 réponses
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C'est une armée tout en élégance, raffinement et exécuter de main de Maître ! Je me délecte de ces pages et jalouse l'exécution. Ces cavaliers par leur seul présence, impose le respect.
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[30-40K] L'Histoire de Dagaz et de ses régiments
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Swissknife dans Récits
Merci beaucoup. J'ai pris beaucoup de plaisir à imaginer et rédiger tout le fluff. A la base, c'était mon p'tit délire, j'ai hésité à le partager. +++ 3ème Régiment de Dagaz : "Diables Rouges" +++ Devise : "Cito age, Recta intende" (Frappez rapidement, visez juste) Insigne : Un disque d'argent bordé de gueule. Meublé en son centre d'une grenade explosant de gueule, sur lequel repose un 3 d'argent. La symbolique de l'insigne est limpide, elle illustre les origines minières de la première levée du régiment, la grenade remplaçant les plus civils charge de démolition. Commandant actuel : Général (d'Artillerie) Linus Nekett Historique La formation du 3ème Régiment de Dagaz est marquée par une particularité culturelle forte qui le distingue des autres unités de la Garde Impériale de son monde. Dès les premières levées, une proportion importante de ses recrues était issue d'Uruz, un monde minier où la manipulation des explosifs et le travail en environnement instable forgeaient des spécialistes nés dans l’art de la destruction à distance. Cette compétence native, couplée à une culture de la discipline et du calcul, se transmit progressivement à l'ensemble du régiment, influençant aussi bien ses traditions que sa doctrine d'emploi. Ce qui était à l'origine un simple regroupement fortuit devint une véritable spécialisation, entretenue et perfectionnée par les différents états-majors successifs. Avec le temps, le 3ème fut non seulement reconnu comme un régiment d’artillerie de premier ordre, mais aussi comme un centre d’excellence en matière de destruction préparatoire. Sa capacité à mener des bombardements de précision sur des positions retranchées fit sa renommée, et les autres régiments de Dagaz n'hésitent pas à envoyer leurs artilleurs en observation lorsqu'il est stationné à proximité. Son surnom, "Diables Rouges", trouve une double origine : d'une part, la couleur rouge attribuée traditionnellement aux unités d'artillerie, et d'autre part, les tempêtes de feu infernales qu'il est capable de déclencher sur le champ de bataille. Dans l’esprit des ennemis de l’Imperium, le 3ème n’est pas une unité, mais une malédiction qui annonce destruction et mort certaine. Composition et Doctrine Le 3ème Régiment est la force d’artillerie dominante de Dagaz, possédant non seulement le plus grand parc d’artillerie, mais aussi l’un des plus variés. Cette diversité lui permet de répondre à tous les types de menace et de soutenir l’infanterie et les blindés en fonction des exigences du terrain. Ses batteries comprennent des Deathstrike et Manticore, pour des frappes stratégiques longue portée, Basilisk (modèle Dagaz), pour les tirs indirects de saturation, Malleus et Bombast, pour l’appui direct sur le champ de bataille, Mortiers lourds, pour la couverture des avancées d’infanterie. Le 3ème est structuré autour d’une doctrine de guerre statique et fortifiée. Contrairement à des régiments plus mobiles, il ne cherche pas à engager directement l'ennemi sur le terrain, mais plutôt à l'anéantir avant qu'il n'atteigne les lignes de défense. La coordination entre les batteries est assurée par un Maître d’Artillerie, véritable stratège de la guerre à distance. L'unité de base en déploiement est une unité de feu de 3 Basilisk. Cette dépendance à l'artillerie impose une logistique rigoureuse. Le véhicule le plus courant dans le 3ème n'est pas un char, mais le "Maultier", un véhicule de servitude lourd assurant un ravitaillement continu en munitions. En campagne, un simple ravitaillement peut durer des heures et mobiliser des dizaines d'engins. Les relations avec les autres régiments de Dagaz sont contrastées. Si le 2ème, le "Poing de Fer", partage avec lui l'amour des armes lourdes, des frictions existent quant à la classification des nouveaux Basilisk modifiés. Blindés ou artillerie ? Pour le 2ème, la question ne se pose pas : ce sont des blindés d’appui. Mais pour le 3ème, il est évident qu'ils relèvent du domaine de l’artillerie. Un débat sans fin, qui, en temps de guerre, se résout souvent par des affectations autoritaires de l’Etat-Major. Culture et Traditions Comme toute unité prestigieuse, le 3ème Régiment entretient des traditions fortes, renforçant la cohésion entre ses membres. L'une des plus célèbres est la "Salve de l'Aube". La Salve de l’Aube : chaque jour de combat, à l’aube, toutes les batteries du 3ème effectuent une salve synchronisée en l'honneur de l’Empereur. Ce rituel, précédé d'une brève prière dirigée par le missionnaire régimentaire, est censé attirer le regard de l'Empereur et guider leurs tirs pendant la journée. Dans la vie quotidienne du régiment, l'humour noir et le cynisme sont omniprésents. Un adage répandu parmi les artilleurs du 3ème dit : "Si l'ennemi riposte, c'est qu'on n'a pas tiré assez." Une mentalité qui résume bien leur approche du combat. +++ EN SAVOIR PLUS ? -> 4ème Régiment de Dagaz "Les Inébranlables"- 12 réponses
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[40k-Xenos] Les tribus déchaînées de l’Asgarth
Swissknife a répondu à un(e) sujet de gekko dans Armée Unique
Effectivement, il a des belles canines, de quoi se faire un p'tit pécule à flamber dans des breloques colorées. Tu as sculpté la spalière avec la lune ?- 504 réponses
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[WHB8-Côte Vampire] La Flotte de Xana la Sanglante
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Vlast de Naggarond dans Armée Unique
Alors là, c'est vivement original. Ce côté coloré et flamboyant, change avec les habitudes plus verdâtre et grisâtre des armées "Vampire". L'effet de l'eau est superbe sur les socles comme le sable, ca fait voyager. La garde des profondeurs envoi du lourd aussi, avec ses armures bien travaillée. (mon armée WHB, celle de mes débuts est du Comte Vampire, mais je ne me rappelle pas d'artillerie, c'est de l'unité mercenaire ?) -
[40k Culte Genestealers] Planification(s)
Swissknife a répondu à un(e) sujet de Hammerstein dans Armée Unique
Excellent ces Acolytes, l'orange de leur tenue, assorti au Daikiri (qui a un joli orange flamboyant, effectivement) ressort parfaitement avec leur carnation violacée. J'ai une totale ignorance dans les figurines du Culte, (mise à part le Goliath qui m'a fait plus d'une fois de l'oeil, comme véhicule de servitude) et je trouve très sympathique de découvrir ainsi l'étendue de cette armée. En plus, avec du background, c'est un plaisir. Le petit matériel explosif associé est sympathique. Une belle unité que ces "Fanatiques".