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Imperator

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Messages posté(e)s par Imperator

  1. Allez, un texte plus court, mais prépondérant pour l'ensemble, Je vous l'avoue, j'ai décidé de la fin. Je vous rassure tout de suite, je ne vais pas bâclé le tout aussi vite que cela, mais cette transition a le mérite d'être assez clair. Bon, en vérité, je voulais savoir si ça allait toujours avant de commencer la description de l'étranger et de raconter une de mes petites histoires...

    Les jours qui suivirent furent tristes pour Friedrick qui, ne faisant pas attention au nombre croissant de regards plutôt agressifs à son égard, voyait sa tendre et chère lui refuser tout contact, tout regard. Vechnos lui-même vint à ressentir l’atmosphère de mort qui régnait en maître dans son cour. Il fit la remarque lors d’une blague qui fit autant d’effet qu’un pet de mouche dans une conversation de taverne. D’indignation il s’écria :

    « Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Quelqu’un est mort ? Allons, vous êtes jeunes, arrêtez de tirer des têtes pareilles et soyez plus attentifs ! Je vous jure que la suite est intéressante, parole de Vechnos. »

    Les deux visages sourirent dans un même mouvement et les regards se croisèrent. Emelia ne boudait plus, elle était souriante, comme ressuscitée. Fred, pour la première fois, soutint ce regard et s’emplit de toute la joie dont il regorgeait. Ce moment annonça la fin du calvaire. Elle lui avait pardonné. Qu’importait qu’il ait fallut presque huit jours et une remarque du professeur, elle lui souriait à présent et seul ce fait comptait. Le cour put reprendre et l’atmosphère s’avéra cette fois si légère que Vechnos, à nouveau, se permit un commentaire :

    « C’est bon les jeunes, faut pas tomber dans l’excès inverse non plus ! »

    Le pauvre vieux croyait que l’on se moquait de lui et tentait de sauver son honneur. Il ne se doutait même pas que sous ses yeux se produisait un miracle à peine imaginable, un miracle des plus prodigieux, un miracle beau, atrocement et mortellement beau.

    Juste avant de sortir su bâtiment, Emelia vint voir son compagnon de cour et lui dit :

    « Pourquoi n’es-tu pas venu ? »

    Friedrick ne savait que répondre. D’un côté, il pouvait lui avouer la vérité, dure à croire, et de l’autre, il pouvait mentir, inventer une histoire…

    « J’ai voulu enter par la fenêtre de derrière et je suis tombé lors de mon escalade, ma tête a heurté quelque chose de dur et je me suis endormi, enfin je veux dire évanoui… »

    Il scruta le doux regard pour savoir si elle le croyait. La réponse ne fut jamais trouvée, mais il eut au moins le bonheur de pouvoir à nouveau plonger ses pensées dans cet océan de douceur qui émanait des yeux incroyablement scintillant de la jeune fille.

    « D’accord, je veux bien te croire… Écoute, j’ai quelques lacunes en lecture et je pensais que tu pourrais m’aider. J’ai chez moi un très beau livre, la ballade du bouffon, avec lequel tu pourrais m’enseigner, si tu es d’accord évidemment. »

    Là, Frederick n’en revenait pas. En plus d’avoir été pardonné, il se voyait offrir une seconde chance ! Elle l’aimait donc vraiment ? Mais pourquoi se cachait-elle, pourquoi utiliser des prétextes ? Tant pis, il irait.

    « Ne t’en fait pas, si tu as le moindre problème en lecture, je me fais fort de tout tenter pour le régler. »

    Elle partit aussitôt chez elle, laissant pour tout adieux un rire cristallin qui mit longtemps à s’effacer des oreilles de l’adolescent. Soudain, il pensa avoir rêvé. Il allait se réveiller, dans son lit, et se dire que ça avait été un beau rêve, à classer avec tous ceux qu’il faisait d’habitude. Il attendit un moment, comme pour montrer que la rêverie était terminée, mais rien ne se produisit. Il ferma alors les yeux et se concentra afin de mettre fin à l’instant à son sommeil avant que le rêve ne se transforme en cauchemar. Une main lui frôla soudain l’épaule.

    « Vous rêvez jeune homme ? »

    C’était Vechnos. Tout était encore là, il ne rêvait pas.

    « Dites, l’étranger est là, il vous attend. Je me demande d’ailleurs quand est-ce que vous avez put demander à le voir… »

    « Quoi ? »

    « Oui, c’est étrange. Je ne me souviens pas avoir entendu que vous ailliez approché cet étranger. Quoi qu’il en soit, il vous attend. »

    « Soit. »

    Un étranger, mais de quel étranger pouvait bien parler ce vieux sénile. Mais bien sûr, il devait s’agir du fameux qui était arrivé il y a peu. Mais il ne lui avait jamais parlé ! Comment pouvait-il avoir demander une entrevue ? Tout allait décidément bien à l’envers ces derniers temps. Tant qu’à faire, autant le faire avec. Il se laissa donc guider par son professeur jusqu’à une salle remplie d’écrits de toutes sortes et qui servait à l’entreposage des archives. Au beau milieu, assis sur une chaise, siégeait l’étranger.

    Alors, ça va toujours, je n'ai pas épuisé mon jouet?

    Imperator, qui se demande s'il ne ferait pas mieux de continuer à faire des petits morceaux afin de garder son texte en haut de la liste... Non, ce srait déloyal. Je ferais donc plein de longs morceaux... (vraiment chiant ce problème...)

  2. Bon, ben si tu t'en fous qu'on aime ton texte, ben alors pourquoi continuerais-t'on à le lire?

    Ben parce qu'on l'aime bien, justement! Allez, comme ça ils vont aller jouer à délivrer des prisonniers (dont une certaine mère...). Cool.

    Vas-y quand même molo, parce que je compte écrire ce soir et que je ne résisterai certainement pas à l'envie de lire la suite...

    Imperator, qui trouve ce texte bien écrit et qui préfére le lire que de s'occuper de ses histoires à lui...

  3. L’arène Titxa sortit de la reine

    Je crois que c'est un jeu de mot( comme: Gal, amant de la rein, alla tour magnanime, galament de l'arène à la tour Magne à Nime. Non, je dois me tromper (Mr Petch, petit cachotier...))

    Sinon, ben j'ai pas vraiment compris ce qui s'est passé... Tuanahok est entré en transe et la p'tite aussi? Bon, ils ont parlé aux dieux, vut des images? J'vois pas...

    Je rajouterais aussi ce bout-là:

    (- C’est toujours bien une prophétie.

    - Ca dépend, des fois ça parle de détruire le monde)

    Naheulbeuk... Vraiment très connu semble-t'il...

    Allez, explicite un peu ce passage ou, au pire, explique-moi... J'aimerais pouvoir suivre Tuanahok sans avoir un poids qui m'empêche de tout comprendre... (même si j'ai pas loup égrand chose.. Dans l'ensemble, La p'tite devient la garde du corps de Tua et ce dernier va à Tlanxla pour passer la porte du temps...)

    Imperator, qui aime bien les petits messages cahés dans les textes...

  4. Bon, je me permet tout de même de dire que les Tau sont en tout cas plus gentil que le chaos.

    Pourquoi? Parce que le chaos nous tuerai sans réfléchir. Les Tau, eux, seulement si l'on est une menace, et encore (ils ont tenté d'inclure les orks!).

    Franchement, ça a l'air plutôt bien.

    Et puis, un autre aspect de ma question initial, c'était: Est-ce que les Tau ne seraient pas une manoeuvre détournée du chaos de foutre l'impérium encore plus dans la mouise. (ou est-ce qu'ils s'avéreront des alliés de l'impérium.)

    Voilà, en gros...

    Évidemment, ça va plus loin, mais je résume.

    Imperator, empereur qui trouve les Tau affreusement méchant car ils ne tuent pas tout ce qui approche et qu'ils vont jusqu'à parlementer!

  5. That's all. Parenthèse fermée ")"

    Ok!

    il suffit de voir les réactions d'Imperator

    Pourquoi toujours moi?

    je l'avoue est le parchemin de quête qui s'efface au fur et à mesure... pour le reste, j'approuve, c'est d'un classique affligeant.

    Le pire, c'est que tu a prouvé que tu sais faire mieux! Un peu de boulot et je suis sûr qu'on se fendrait la poire! Tiens, si tu veux une mort bizarre, j'ai tué un cheval d'une manière qui me plaît passablement bien. (cf: Murear).

    Allez, khaela, au boulot! J'suis sûr que tu peux soutirer au chaos un truc des plus sadique!

    Imperator, empereur qui ne doute plus de rien après le coup du haut-elfe(j'en reviens toujours pas, quel *****)

    Je préfère vous le dire tout de suite, le texte sur le Chaos restera tel quel...

    Dommage...

  6. Premièrement:

    -Ce serai donc une forteresse volante ?

    Franchement, j'ai crut à une blague... On dirait un dialogue de Naheulbeuk!

    Sinon, tu répéte sans arrêt le mot île ainsi que plusieurs autres mais en quantité moins importante.

    Reste que l'histoire est bien menée. Un peu simplète par moment, mais plutôt agréable.

    Mon conseil:

    - relis-toi (pour les répétitions)

    - reste dans ce style, ça fait tellement plus drôle que de lire un texte sombre comme il y en a tant (par contre, si ta prétention était de nous livrer un trcu sérieux, alors, tout à fait entre nous, je crois que c'est loupé...)

    Imperator, dur mais correct!

    (c'est bien quand même, que tu ne te méprennes pas sur mes dires.)

  7. Ce qui va suivre va peut-être paraître étrange et mal placé, mais...

    Étant trop habitué aux massacres inutiles, aux tueries et autres boucheries commandées uniquement par un caprice (de moi), je suis obligé de dire que:

    Ben oui c'est ça qui est drôle!

    ça ne me fait plus rire depuis longtemps (suis lassé, cassé et je recherche de nouvelles formes de tortures (j'deviens peut-être vieux, qui sait? Non, comme disent les autres, j'peux pas être vieux, parce que je suis jeune.)).

    Voilà quoi...

    C'est un humour qui va bien au départ, mais qui, à la longue, s'épuise. C'est toujours la même chose. Imagines-toi avoir passé des années à tuer par caprice (parce que c'était vraiment ça) et soudain lire une nouvelle où tu entends parler d'une mort par caprice (parce que là aussi c'est vraiment ça). Bof, inintéressant, vide, banal. Ce n'est plus une blague, c'est une répétition. Je sais que ça en ferait crever de rire passablement beaucoup, mais, comme je me plais à le dire à certains de mes copains (j'en ai qu'un, je l'ai féhoté qui tournait autour de mon royaume), j'ai passé l'âge. (comme pour sortir avec les filles. C'est nul, c'est vide de sens, c'est purement infantile et puéril.).

    Voilà. Il suffit pourtant de s'attacher au personnage qui est tué, à lui donner une vie, une histoire pour que sa mort (brutal dans le cas présent) devienne un véritable déchirement. C'est dès que le type nous est connu que nous vient l'envie de se révolter contre la tyrannie de la mort qui passe sans prévenir, sans raison.

    Encore une fois, je suis lassé de la mort de types inconnus. Mainteannt que j'ai épuisé ce niveau-là (bien trop facile à mon goût), je suis en quête de bien plus délicieux supplices! (tiens, si tu veux voir de quoi je parle, va lire Yves, tu comprendra assez vite (attention, Yves est une transition entre les nouveaux supplices dont je parle et la description de la mort bête et incompréhensible (toujours à mon goût) dont il est question dans cet unique bout de texte)).

    Imeprator, empereur trop critique qui espère ne pas avoir froissé qui que ce soit en disant ce qu'il pense (chose qui n'est pas donnée à tout le monde de nos jours.)

    P.S.: Khaela, t'es pas obligé de prendre tout ça en compte... (ben oui, je râle, mais faut pas écouter...)

  8. je croit qu'une seul puissance supperieur avec toujours un peu de mystere a son sujet que son les dieux de warhammer et les anciens est une choses a conserver, car le mystere joue un grand role dans le fait que ce monde soit aussi pationnant... il ne faut pas s'etendre aussi loin a mon gout....

    L'ennui, c'est que vous m'expliquez les dieux. Du moment que vous me donnez l'origine des dieux, je vais voire plus haut. En fait, tout le problème vient du fait qu'un dieu peut apparaitre et diaparaitre à n'importe quel moment et que donc, ils n'étaient pas là depuis le début. Tout ceci m'oblige donc à poser cette force supérieur qui aurait tout créer et qui serait inintelligente afin de ne pas pouvoir interargir avec. Cette force, ce pourrait être le Warp.

    Bon, c'est vrai que c'est dur voir impossible de débattre de cela, mais je dois avouer que je m'amuserai beaucoup à inventer l'histoire d'un paysan propulsé au rang de dieu par la stupidité d'humains et autres. Ce serait poilant et en plus ce pourrait passer au niveau background. Que du bonheur quoi. (bien sûr, ça se terminerai par la disparition de ce nouveau dieu, mais bon, rien que pour rire...)

    Allez, je vous embête plus. Mais si on me demande de quel droit j'écris un truc pareil (si je l'écris), je les enverrai ici!

    Imperator, empereur qui a des preuves sous la main (inutile d'effacer, j'ai tout pris sur Word...)

    ps: étant à l'égal des dieux (ce qui n'a pas été de tout repos), je n'apprécie pas tellement l'idée que n'importe qui puisse atteindre le même niveau sans avoir à vraiment bouger le petit doigt. (surtout que moi, les âmes, je les crées. Bon, je sais, je ne fait pas partie de l'univer de Warhammer, mais bon... J'suis juste à côté!) (à prendre au second degré...)

  9. Par contre, il faut vraiment revoir la transition bibliothèque/cadavre pour l'elfe...

    Je soutient... En effet, il m'a fallut relire le passage pour bien comprendre! Donc en fait, l'ennui, c'est que ce n'est pas clair. Il suffirait, je pense, d'un ou deux mots pour que ça le devienne. Essaie, on verra bien.

    Mais ça n'empêche pas qu'il soit très bon (le texte en entier).

    Pour le chaos... Ben, ouais, en effet. C'est court, rapide, sans sentiments. Je dois avouer que ça laisse une étrange impression de vide, de néant (je me croyais chez moi!).

    Je ne sais pas si je suis le seul (il semblerais bien), mais je te propose d'étoffer un peu, à moins que ce ne sois fait exprès. (après tout, le vide, l'absurde et l'étrange sont des sentiments possibles.).

    Pour m'expliciter un peu plus (ça se dit?), je peux résumer le texte par: un guerrier du chaos entre, coupe la tête au morveux et passe au suivant. Le p'tit? Ben... Un cueilleur? J'sais pas, je le connais à peine. En fait, je suis juste complétement étonné, interloqué (ça se dit?) devant la fin. D'un côté, ça paraît normal, mais de l'autre... Bof, il est mort et alors?

    Voilà quoi, c'est ça que j'ai ressenti à la lecture. (vu que je suis le seul, ça doit être insignifiant et dut à un épuisement (entre deux séquences de relecture de mon texte...).)

    Imperator, empereur qui n'en revient toujours pas de ce **** de haut-elfe!

  10. Une mentalité typique de l'homme du moyen âge et du religieux en général pour qui il faut-faut absolument un créateur derrière chaque chose. Non, rien n'est dit dans tout ca.

    Attention, j'ai pas dit créateur, j'ai parlé de force créatric. Parce que s'il n'y en a pas, alors comment tout se serait créer? Ensuite j'ai posé la question de créateur ou pas.

    Vois-tu, je pensais que, si jamais il y avait eut créateur, on en aurait entendu parler... Mais vu que non, j'en déduis provisoirement que tout s'est créer sous l'effet d'une force naturelle et qui a donné des règles (comme la règles de pesanteur de tout corps ou ta règle des âmes éparpillées) pour tout géré.

    Et il me semble absolument obligatoire qu'il y ait eut cette force, car si les dieux sont créer à partir d'âmes, il a bien fallu créer d'abord les âmes...

    Maintenant, si tu me sors que ce sont les dieux qui font les âmes, alors faut que j'arrête parce qu'on finirait dans l'histoire de l'oeuf et de la poule (ce qui n'est pas encore le cas).

    Un exemple con est l'Empereur. Mais bon (c'est plutôt l'inverse)

    Donc tu penses que ça pourrait marcher, que c'est, en tout cas en théorie, possible? Chouette!

    Le warp est lié à la matière. C'est simplement la vie qui organise le warp lié. Après, la raison en est ce qu'on nomme l'obligation narrative.

    Si je domprends bien, on arrive là à l'extrêmité du scénario, la partie inexpliquable pour laquelle on invente... Mais donc, les âmes c'est du Warp (ou une partie de le Warp, si tu préfére...)? Donc si je te suis, tout était là au départ et il n'y a pas vraiment d'âmes qui se crée totalement, mais seulement des morceaux de Warp qui deviennent des âmes. Dès lors, j'en conclus que les dieux n'ont rien à voir là-dedans.

    Bon, je conclus beaucoup de chose peut-être pas toutes vraies, mais je suis tes exemples. Enfin voilà, si j'ai tout compris, les dieux ne maîtrisent pas l'élément essentiel de la personnalité, sont soumis à des règles naturelles qu'ils ne peuvent enfreindre (comme l'on enfreint pas la gravité) et le moindre péouse perdu peut, s'il réussit à trouver un moyen de canaliser l'énérgie des âmes des morts (ou si des millions de types se mettent à croire en lui jusqu'au fanatisme et crèvent) devenir un dieu.

    Imperator: "ça me va bien comme ça, c'est plutôt marrant!"

  11. C'est tjs aussi bien !!! Continue mais moins vite!!!

    Si je puis me permettre... Merci, ça fait su bien d'entendre ça!

    Bon, comme je l'ai dit, ce sera tout pour ce soir, mais, avec un peu de cahnce, je reprends demain. Faut dire que ça doit être dur de tout lire au fur et à mesure. Allez, je sais ce que je vais faire! J'vais me relire. J'ai écris ça tellement vite que j'ai dut laisser un tas de non sens ou de mauvaises transition. Bon, ben si je dois faire de grands travaux, j'vous avertis.

    Imperator, empereur content de voir que son texte plaît en dehors du néant.

  12. Dites, c'est très intéressant tout cela...

    Mais... Si c'est l'humain qui crée les dieux (enfin, si ce sont les âmes etc...), j'en déduis qu'il y a encore une force supérieur aux dieux et à laquelle ils doivent plier. En effet, sans que cette force, que je suppose inconnue, sois intelligente, elle a tout de même créer le Warp et a instauré les règles.

    Maintenant, ma question... Cette force est-elle inteligente ou ne l'est-elle pas.

    Évidemment, il devient difficile d'argumenter pour ou contre, mais dire son avis devrait suffire.

    Voyez-vous, je suis étonné du concept selon lequel les dieux sont créer et je m'étais posé cette question. Mais elle entraîne un cercle vicieux d'autres questions auquels il me semble tout aussi impossible de répondre.

    Encore une question. Dans l'hypothèse improbable qu'un être doué d'une âme réussisse à capter et emmagasiner ces fragments d'âmes des morts, il pourrait acquérir la puissance des dieux (ça me paraît un peu gros, pourtant votre scénar/idée le permet indirectement.).

    Encore pire, qui crée les âmes. Sont-elles là depuis le début, mais dès lors comment expliquer une possible expension de l'univers et donc une augmentation du nombre d'âmes (je pourrais vous expliquer tout cela en détail, mais je crois que vous comprenez très bien)? Serait-ce cette force supérieure?

    Et puis, si l'on admet la force supérieure, est-elle malléable, peut-on l'utiliser, la remanier afin d'obtenir plus de pouvoir?

    Imperator, empereur que toutes ces questions amusent à cause des possiblités immenses qu'elles renferment. (p.s.: elles m'amusent mais elles ont tout de même sérieuses!)

  13. je vais decroche deja je sais pas comment j'ai fais pour tout lire!

    je sais pas... Soit t'as aimé, soit t'es un as de la lecture...

    Sinon c'est du tout bon

    Merci!

    C’est donc habillé de la manière qui lui était habituelle et complètement dénué de toute capacité de danse que Frederick alla à la grande masure qui servait de salle des fêtes.

    Construite peu après l’arrivée des premiers colons, cette grande bâtisse n’avait eut de cesse de s’agrandir à tel point qu’au moment dont je vous parle, un régiment de cavalerie aurait put manœuvrer sans être en quoi que ce soit gêné, si ce n’est par les nombreux poteaux sensés soutenir l’ensemble. Les murs avaient dut, à l’origine, être fait de bois, mais avaient été refait en pierre lors du dernier aménagement. Le plafond se situait à plus de trois mètres du plancher et de nombreuses lampes alimentées par des sources de gaz souterrains éclairaient le tout. Des miroirs avaient été placés judicieusement afin de réverbérer la lumière et d’amplifier encore la capacité de l’endroit à remplacer le soleil.

    Friedrick la connaissait pour y être allé lorsque personne n’y était ou pour s’y être faufilé parfois, mais c’était bien la première fois qu’il allait y rester. Il hésita un moment. Devait-il entrer par la porte principale, grande ouverte qui semblait ingurgiter le flot de fêtards ou allait-il éviter la chose en tentant de trouver un passage par l’arrière. Cette pensée lui parut un moment étrange, et ce à juste titre, mais il y céda et décida de contourner la masure. Tout absorbé par sa probable futur rencontre avec Emelia, il ne fit pas attention ni à la boue ni aux herbes folles et, en peu de temps, ses pantalons perdirent le peu de dignité qu’il leur restait. Arrivé vers le mur de derrière, il chercha l’entrée si convoitée. Il croyait se souvenir d’une petite fenêtre surélevée. Sa mémoire ne le trompant pas, il l’aperçut soudain. Il lui fallait maintenant l’atteindre, ce qui n’était pas une mince affaire. Il voulut abandonner, mais l’espoir d’au moins apercevoir sa nouvelle amie lui mit du baume au cœur et il se mit à escalader. Ce travail s’avéra plutôt facile et il voyait s’approcher son entrée de secours avec une aisance qui lui faisait perdre toute prudence. C’est ainsi que, arrivé à peu près à mi-hauteur, il chuta.

    Cette chute eut deux conséquences. La première fut d’envoyer le jeune homme droit dans une énorme flaque visqueuse, probablement de ce fameux mélange de terre et d’eau. La seconde fut que, à cause d’un choc avec un bout de rocher malencontreusement situé là, Fred s’évanouit. La dernière chose qu’il entendit fut un grand silence, puis un tonnerre d’applaudissements. Il n’en doutait pas, Emelia venait d’arriver. Il sombra dans l’inconscient.

    Je vous laisse aisément imaginer sa colère à son réveil. Certes, d’un côté, il était rassuré car il n’avait pas eut à montrer ses manques. Mais de l’autre, il avait trahi sa parole ! Il avait dit qu’il viendrait et il n’était pas venu ! Elle lui en voudrait ! Peut-être l’avait-elle attendu, peut-être avait-elle patienté toute la soirée. Il imaginait son visage perdu dans de sombres pensées de désespoirs. Si elle l’aimait, elle avait dut être particulièrement triste de ne pas l’avoir vu. Elle, elle ! Mais elle, elle ne l’aimait certainement pas. Alors pourquoi craindre quoi que ce soit ? Son absence n’avait certainement même pas été remarquée et tout allait rentrer dans l’ordre. Il lui fallait toutefois en être sûr. Une seule personne pouvait le renseigner, Willy.

    Il se mit alors en quête de ce dernier et finit par le trouver devant chez lui alors qu’il disait au-revoir à la petite Catherine. Avant qu’il n’eut put dire mot, Will l’empoigna et le tira jusque derrière un pan de mur. Il commença :

    « Dit, tu as dormi dans la boue ou quoi ? Tu t’es battu ? »

    Cette pensée fit sourire Fred. S’il s’était battu et s’était, à cause de cela, retrouvé dans cet état, il savait pouvoir compter sur son ami pour obtenir une sanglante revanche. Le cas avait déjà eut lieu, mais nous en reparlerons plus tard.

    « Aucune importance… Dis-moi, tu es allé à la fête hier ? »

    « Bien sûr… T’imagines que j’allais pas rater ça ! Y avait une série de copines que je n’avais pas revues depuis un bout de temps, presque trois jours et je me suis fait un plaisir de renouer quelques liens. Sinon, on a eut droit à une tournée de bière ! On s’en est mit, t’imagine pas ! Et en plus… »

    Il regarda soudain le visage exaspéré de Friedrick.

    « Ah, oui, je vois… Tu voudrais que je te parle d’elle, n’est-ce pas ? »

    « Pas ici, allons dans ma chambre. »

    Mût par une force commune, ils se mirent en route pour l’endroit choisit. J’aime autant vous dire que, ce jour là, les commères eurent matière à travailler lorsqu’elles virent passer le solitaire dans un état aussi lamentable. Mais pire encore, alors que les deux compères arrivaient au but, ils croisèrent la route du groupe de fanatique d’Emelia et Emelia elle-même. Elle semblait un peu plus froide que d’habitude, comme contrariée. Lors du passage au même niveau, quelques railleries fusèrent. Pour Fred, ce n’était rien. Il n’osait pas regarder, mais il devinait le masque de dédain qui lui était réservé, il sentait peser sur lui le poids de l’amertume. Sans y faire attention, il redoubla de vitesse. Une fois à l’abri de ses murs, il s’assit, puis, prenant sa tête entre ses mains, il pleura un peu, simplement pour sortir un peu de la peine qu’il avait en lui. Willy, assit en face, ne sut que dire. Dans ces cas-là, le mieux, c’est de garder le silence. Au bout d’un moment, quand le visage boueux parsemé de traits clairs qu’avaient provoqués les larmes eut repris une apparence de marbre, il posa la question.

    « Allez, avoue-moi tout. Que s’est-il passé ? »

    Pendant que Friedrick avoue tout son malheur à son ami, je vous propose de s’écarter, afin de laisser un minimum de vie privée à cet être brisé. Allons plutôt du côté de Damien. Que faisait-il ? Pourquoi ais-je décidé de vous emmener voir ses actes ? Tout simplement parce que je crois que cela peut vous intéresser, presque autant que tout ce que je pourrais vous dire d’ailleurs. Commençons donc par le commencement. Un jour, Damien apprit que sa dulcinée allait suivre des cours chez un autre professeur. Cela lui allait très bien. Seulement, il apprit par la même occasion que ce professeur avait un élève. Pas n’importe quel élève… Le solitaire, Friedrick. Comme il arrive souvent dans ces cas-là, la jalousie décida de pointer le bout de son nez. En vérité, qu’avait-il à craindre ? Emelia lui avait promis mère et monde, elle l’avait déjà embrassé et lui avait avoué son amour. En face, il y avait un jeune fou, un peu idéaliste qui préférait sans doute les oiseaux à une relation et que l’on avait jamais vu, de mémoire d’homme, au bras d’une fille. De toute manière, cet être à qui toutes les pratiques du monde sont inconnues ne pouvait rivaliser. Toutes ces raisons, Damien ne voulait les entendre. Entendons-nous, il était amoureux. En tout cas, autant que l’on peut l’être. Si le feu qui le dévorait les premiers jours s’était peu à peu apaisés par une certaine habitude, il n’en restait pas moins aimant et l’idée de voir sa belle seule avec un autre pendant certaine journée le remplissait d’une terreur incontrôlable. Dès ce moment là, il décida d’éliminer cet adversaire. Il conçut pour cela une stratégie des plus vicieuses.

    Quel fut-elle ? Ais-je à vous le dire ? Le sais-je même ? Me croyiez-vous omniscient ou même devin ? Certes, je connais la fin de l’histoire, mais vous ne pourriez pas tout comprendre si je vous exposais maintenant le projet funeste de Damien. De toute façon, vous seriez trompé, vous vous mettriez à croire ce qu’il ne faut pas croire, à penser ce qu’il ne faut justement pas penser. Si je vous révélais ce plan, vous déduiriez une fin qui n’est pas la bonne et vous vous désintéresseriez de ce récit, croyant tenir une vérité qui vous dégoûterait de juste droit, mais une vérité fausse. Pour toutes ces raisons, je ne peux pas vous dévoiler la chose.

    Damien avait donc conçu sa stratégie et, rassuré quant à la protection de son bien le plus précieux, il s’était préparé à la fête. La suite fut des plus banales. Il dansa, il rigola beaucoup, entraînant Emelia dans des valses compliquées et dont il s’étonnait toujours qu’elle suive avec une dextérité peu commune. La soirée se passa bien et il oublia tous ses doutes et ses craintes lorsqu’il s’aperçut que le jeune Fred n’était pas dans la salle. Dès qu’il se sépara de sa douce moitié, il réunit tout de même certains de ses copains, gens plus dévoués à Emelia qu’à lui, mais qui voyait en ses paroles celles de l’objet de leur culte. Il commença donc son plan par leur dire de se méfier du solitaire, car ce dernier semblait trop proche de leur déesse. Il leur communiqua sa peur, ses craintes. En peu de temps, il eut devant lui une bande de fanatiques prêts à écharper le jeune impudent. Il leur demanda de se contenter de le surveiller, pour le moment.

    Encore une fois, je vous le dis, je ne peux vous avouer le plan dans son ensemble. Si je me permets d’ajouter cela, c’est pour que vous ne pensiez pas que j’aie fait tout un cinéma uniquement pour vous cacher une réaction aussi basique. Le plan était bien plus audacieux, bien mieux imaginé. Il devait lentement, mais sûrement éliminer sa cible sans que celle-ci puisse réagir. Cette cible était Friedrick et l’étau commençait déjà à se resserrer.

    Voilà... Normalement, je m'arrête là pour aujourd'hui. J'aurais même tendance à attendre un peu que d'autre puisse prendre le train avant la fin. (pis, je fatigue). Allez, j'suis sûr que quelque chose vous a titillé. Si c'est le cas, hésitez pas! Dites-moi tout, même si vous trouvez votre remarque négative! Comme on dit, j'en ai besoin.

    Imperator, empereur qui sait qu'il n'a pas put tout réussir comme cela.

  14. Bah si Gamma n'est pas trop loin de Paname (pardon Paris), on boiera un pot ensemble ... cela te consolera ...

    Ah vrai dire, LA Gamma est soit loin de Paname, soit très et immensément loin de Paname, ça dépend de quel point de la gamma tu parles. Si tu te rapporte au centre, je dirais qu'avec un ou deux univers parallèles, tu peux y arriver.

    je vois que tu seras bientôt des notres Imperator

    Je suis l'empereur, craint par les hommes et par les dieux, grand destructeur de mondes et annihilateur de vie. Je suis l'empereur, chancelier de la haine, grand gardien des portes de l'enfer et archiduc de la terreur. Je suis l'empereur et damné...

    Si tu veux juger de la chose (mes exploits) va voire Yves (j'ai bien réussi), la ville des damnés (je me suis loupé à la fin), Aerion (ce type là me tue! Rien à faire, je ne peux pas le toucher, il échappe à mon pouvoir!).

    Imperator, empereur avant tout... (bon, maudit avant tout...)

  15. Non tu ne faiblis pas, et un tournant se prepare.

    ouf, tu me rassure... Pour ce qui est du tournant, ce n'est que le premier... Et puis, ce qui m'embête, c'est que je n'ai toujours pas choisi la fin et je ne sais donc pas comment jouer avec cette fête... Bon, un peu d'Evanescence et c'est repartit...

    Ils auront du mal a suivre a cause de la cadence de ton ecriture.

    Ben... Ouais, mais si on me compare au mystère de Daerdhin ou aux exilés, je fais vraiment petit... Pis la cadence va baisser dans peu de temp (si je pars faire la fête, si un évênement vient bouleverser mes plans, si on me fauche mon CD d'evanescence (cette musique a été faite pour attirer les muses!!!)

    Imperator, empereur qui, ayant perdu un défi, veut relever celui-là!

  16. Oh le... Oh mais le... Mais je vais le... Oh put***!

    Ainsi dois-je bien m'avouer vaincu! Oui, t'as réussi! Oui, t'as trouvé une faiblesse des haut-elfes! Mais non de l'autre, c'est vraiment pire que sadique! Jamais vu autant de... de...! C'est même innomable!

    Si je mets la main sur ce fils d'en***, je le déchire, je l'étripe et je prendrais sa peau comme tapis pour mes latrines!

    Alors là, si je m'attendais!

    Bon, essayons d'être objectifs... Tu as parfaitement utilisé l'arrogance des elfes, talons d'achille de cette race millénaire. Ton histoire paraît tout à fait réaliste, et en plus tu met tout cela sous le signe de l'amour. Je me permets donc, au passage, de dire à Mr Petch: Tu vois, il y a deux façons de détruire...

    C'est du pure sadis... génie!

    Encore bravo!

    Imperator, qui a perdu son défi (et qui ne peut même pas nier...)

  17. Allez, j'vais pas m'arrêter maintenant, il me reste encore beaucoup de travail!

    Cette dernière était en train de discuter avec une amie. Frederick aimait bien sa mère, et celle-ci le lui rendait. Elle lui avait appris la gentillesse, l’idéal des hommes libres et égaux, la nature et les joies de la vie. Cette éducation avait dut se faire sans l’aide du père, mort depuis bien longtemps dans un accident. Si vous alliez demander à Friedrick des détails sur cette mort, il n’aurait rien put vous dire de plus que moi. Ce sujet n’avait jamais été entamé et il semblait même avoir été banni du foyer. De toute façon, Fred n’avait pas connu son père et ne le regrettait pas. Sa mère étant d’une nature douce, il avait rapidement put prendre une grande indépendance et avait maintenant une totale liberté. Voulait-il dormir à l’extérieur qu’il le faisait, sans se poser de questions. Il lui était arrivé de passer trois semaines sans donner de nouvelles. Il savait que sa mère ne s’inquiétait pas, confiante en son fils et en la sûreté de l’endroit. Elle l’imaginait vivant ses histoires d’amours, comme tous les adolescents de son âge et voyait en lui le futur doyen du clan. Comme toute mère, elle refusait d’admettre que son fils fut imparfait. Pour compenser les longues absences de celui-ci, elle s’était formée un cercle d’amies qui lui racontaient les histoires du village. C’était le seul moyen pour se renseigner, car la mère avait ce même trait de caractère qu’elle devait avoir légué à son fils et qui consistait à rester distant de la foule.

    Ainsi, quand Friedrick arriva dans ce qui servait de salon, vaste pièce parfumée et vastement ensoleillée, Mme Idelfried, sa mère, était avec une de ces amies dont je viens de vous parler, en l’occurrence Mme Erdgraber. Quand la première aperçut le jeune homme, elle l’apostropha :

    « Friedi ! Tu connais la nouvelle ? »

    « Non… » répondit celui-ci, un peu las d’avoir à se connecter au monde extérieur à chaque fois qu’il entrait en ce lieu. « Mais je parie que je vais bientôt la connaître… ».

    Il s’en fichait. Dans son esprit, seul existait encore la voix de sa chère amie, de cette merveilleuse jeune fille qu’il avait quitté un peu plus tôt.

    « Il paraît qu’un homme est arrivé au village, un étranger ! Il a été amené dans la hutte des Kipellsbrieg. »

    « En fait, il a été mis là-bas pour qu’il puisse se reposer. Le pauvre homme était gelé. » poursuivit la Erdgraber.

    Friedrick la regarda avec un grand sourire, un de ces sourires dont seul l’auteur sait qu’il est faux. Un de ces sourires pour lesquels il s’était entraîné toute une vie.

    « Et à quoi ressemble notre homme ? »

    Il s’en fichait éperdument, mais il savait que la politesse voulait qu’il s’y intéressât. Il s’y intéressait donc. Il s’étonnait de la fréquence à laquelle revenait le mot homme. Bof, cette vieille pie d’Erdgraber aura été toute bouleversée par du sang nouveau, se dit-il. Vous l’aurez peut-être remarqué, Fred ne portait pas vraiment dans son cœur les amies de sa mère. C’était en fait dût au fait qu’il les avait surprises en train de le critiquer… Sans qu’il soit incapable de supporter la critique, il ne pouvait supporter qu’elle se fasse dans son dos. De plus, dans le cas présent, il s’agissait d’une critique sans fondement, de railleries basées sur des rumeurs. Il n’en avait pas fallu plus pour développer un sentiment de sourde rancune.

    « Il est grand et beau, son visage est un peu sombre, mais il a subi tant d’épreuves, le pauvre…Imaginez donc ! Il lui a fallu traverser les montagnes, trouver le col… Peut-être a t’il eut à combattre des loups. Mon mari me disait justement que… »

    « Le mari ? » s’écria Fred.

    « Bien sûr, mon mari ne peut s’en empêcher…

    À ce moment là, Frederick comprit qu’il lui fallait fuir au plus vite s’il ne voulait pas paraître trop étrange. N’arrivant pas à se concentrer, il avait mélangé le monologue de la Erdgraber avec ses pensées et en avait déduit qu’Emelia était mariée. Heureusement, son erreur semblait avoir passée inaperçue, mais il ne fallait prendre aucun risque.

    « De toute manière, un étranger ici, ça ne peut être que des problèmes en plus… » dit-il soudain, profitant d’une pause de la vieille. Aussitôt, il monta l’escalier qui menait à sa chambre, en fait une sorte de grenier qui occupait tout l’étage.

    Cette phrase qu’il avait utilisée pour finir la conversation, du moins celle qu’il avait lui avec l’amie de sa mère, car les deux continuaient sans lui, cette phrase donc est un moyen des plus efficaces pour résoudre les problèmes. Si, dans le cas présent, Fred ne le pensait pas, il faut savoir que, chez les villageois, l’idée était largement répandue. En effet, pour ces braves gens enfermés dans un endroit des plus paisibles et paradisiaques, tout ce qui est à l’extérieur ne peut être que dangereux et mauvais. En fait, il est à craindre que, sans l’intervention des sages, la population n’exécute tout arrivant qui viendrait troubler la quiétude de ce lieu. Est-ce que cette conduite est acceptable ? À première vue, non. Pourtant, au vu de certaines expériences, l’on ne saurait leur en vouloir d’avoir peur. Je sais d’expérience que nos voisins ne nous veulent pas tous que du bien et qu’à trop peu se méfier, l’on prend des risques inconsidérés. De là à justifier une conduite bien barbare, il n’y a qu’un pas que ni moi, ni Friedrick n’oserions franchir.

    Ce dernier était donc arrivé dans son grenier aménagé et prit comme première précaution de s’assurer de la réussite de sa sortie. Il tendit l’orteil en direction du rez-de-chaussé.

    « Oui, une immense barbe je vous dis. On la lui coupe en ce moment… Oui oui, vous connaissez les jeunes filles. Il suffit d’un peu de nouveauté pour qu’elles arrivent à des faire des choses indécentes… Oh, ne m’en parlez pas, j’en ai déjà repérez deux qui lui tournaient autour… »

    Tout allait bien. La discussion continuait comme s’il n’avait jamais été là. Il s’en retourna donc à ses affaires. Pour commencer, il lui fallait considérer un fait, si Emelia l’avait invité à une fête, il lui faudrait être présentable, or, il n’avait jamais tenté pareil exercice… Il fallait se coiffer, s’habiller. Il faudrait, une fois là-bas, danser. Il n’avait jamais dansé. Dans sa tête, il imaginait déjà la catastrophe, le moment où il tomberait lamentablement sur le sol, pathétiquement. Emelia comprendrait qu’il ne valait rien, qu’il n’avait aucun talent et elle le laisserait tomber. De toute manière, il fallait déjà penser à l’habillement. Encore une fois, le même problème se posa. Que mettre ? Sa mère avait rempli sa garde-robe de nombreux vêtements cousus avec la soie des vers que l’on trouve non loin de la chute d’eau. Mais ces habits étaient si nombreux, de styles si différents ! Friedrick se maudit intérieurement de n’avoir jamais suivi ce courant jusqu’ici répandu et que l’on nomme la mode.

    En effet, il s’était toujours défié de ce qu’il considérait comme une entrave aux libertés individuelles et s’en était totalement passé. Il était d’ailleurs traité d’original par beaucoup pour ce penchant à ne pas suivre le groupe. Peu lui importait, à l’époque. Mais là, il devait trouver ce qui plaisait en ce moment, ce qui allait le rendre plus beau. Il pensa un moment aller demander l’avis de sa mère, puis, se ravisa. En effet, comment lui dire qu’il voulait paraître bien mis dans une soirée sans lui avouer son secret… À vrai dire comment aller dans une soirée en étant bien mis sans que tous ne se doutent de quelque chose ? Il allait être la risée des autres, la honte s’abattrait sur lui. Évidemment, si Emelia le soutenait, il n’y ferait pas attention, mais pourquoi le soutiendrait-elle ? La prudence est une qualité autant qu’un défaut et, dans le cas présent, elle fit tant hésiter le brave garçon qu’il se résolut à oublier ses projets d’habillements, de danse et autres. Il allait paraître pour ce qu’il était. C’était risqué, suicidaire même, mais au moins, ce serait honorable. Quand l’on est solitaire, c’est bien la seule chose qui compte, l’honneur. Chez Frederick, c’était sa seconde obsession. Il avait développé un amour-propre, une fierté qu’il avait cultivée en secret. Il connaissait ce penchant et tous les défauts qu’il pouvait lui apporter et s’en méfiait donc. Ne croyez dès lors pas qu’il se sentait supérieur en quoi que ce soit par rapport aux autres, bien au contraire, mais simplement qu’il voulait se sentir digne de quelque chose, ou de quelqu’un. Cette pensée le faisait rire. La seule personne dont il aurait voulu être digne était une déesse. Tout effort dans ce sens était bien désespéré. Toutefois, il ne se décourageait pas et suivait sa morale autant qu’il le pouvait, pensant qu’à défaut d’être bien physiquement, il pourrait tenter d’atteindre un niveau satisfaisant moralement.

    C'est toujours bien ou est-ce que je faiblis?

  18. Non, t'as rien oublié!

    Un clou à tête carrée! Fallait y penser! Ces nains sont vraiment des perfectionistes!

    Allez, je veux mes hauts-elfes

    Imperator, empereur qui considère que le défi n'a toujours pas été relevé (attention, va falloir t'appliquer!)

  19. D'abord:

    Gueule en biais écarta l’avorton de son chemin avant de reprendre son chemin.

    Désolé, mais en ce moment, je fais la guerre aux répétitions...

    Ensuite...

    Ben heureusement que la garde est intervenue, parce que je t'avoue que je commençais à m'échauffer au récit de ces pleutres de soldats qui restaient cachés dans leur coin plutôt que de venir en aide au supérieur, aussi bête et inutile qu'il soit! Tout ça pour dire que t'a vraiment joué avec mes nerfs d'une manière que je ne ressens pas souvent et dont je me permets de te féliciter!

    Allez, j'veux la réaction de Franz! (je te l'avoue, ton récit me pousse à vouloir la mort de ce type là...)

    Imperator, empereur qui déteste que l'on s'en prenne à la hiérarchie (vu que j'en fait partie).

  20. Encore une fautes de frappe

    Je crois que Word n'aime pas copier/coller les ... Mais bon, je ferais plus attention! Merci encore!

    A mon avis tu te fait plaisir avec ce texte, car etant different de ceux que tu ecris d'ordinnaire, c'est comme un nouveau terrain de jeu.

    J'irais même plus loin, c'est de la vengeance!!! (rire sadique...). Non, c'est en effet un beau jouet qui offre des possibilités extrêmes et qui me pose à chaque fois le problème, est-ce qu'elle l'aime ou pas... Je vais t'avouer qu'avoir la vie de ce pauvre type au bout de mon clavier me fait de plus en plus rire...

    Essaie, tu verras, c'est désopilant!

    Mais attention car premierement les lecteurs vont avoir du mal a suivre

    Tu veux dire... À tout lirs ou bien à comprendre le texte? Parce que si c'est comprendre le texte, faut me montrer ou ça bug...

    et finir par te lasser de celui-ci.

    Peut-être, mais ça ne changerait pas vraiment des autres jouets... (mais là, je pense arriver au bout, même si ça s'annonce long. En plus, faut que je m'attaque à enrichir l'ntrigue...)

    Je ne le dit pas car sa risquerait de detruire le suspence qui est de tres belle qualite.

    Tu ne pourrais pas détruire le suspens, car même moi ne je ne pourrais pas te donner la fin. Je l'ai dit, dans ma tête, elle change chaque heures... Le bonheur de Fredercik ne tient vraiment qu'à un fil bien mince qui rsique à tout moment de se rompre..

    Imperator, empereur qui, n'ayant pas de jouets dans le néant (c'est un peu vide pour ça), vient en chercher dans votre monde!

  21. Désolé, j'avais pas vu...

    Encore sorry... (j'ai effacé)

    Je sais pas... mais t'es pas obligé de mentionner un dieu... d'ailleurs cette expression existe en version "on croirait que tu as vu un mort/un fantome"

    Pas bête, mais j'ai oublié de préciser que la personne qui dit ça est justement un fanatique sataniste (l'équivalent dans le monde de warhammer). D'où justement une certaine tension. Mais ça, c'est un autre sujet...

    Les athées/agnostiques eux, renforcent le dieu Necoho

    Les pauvres...

    La source viens des Realms of Chaos il me semble...

    cf les textes de Slereah

    Euh... J'suis pas vraiment calé dans la recherche d'information... Désolé, mais t'arriverais à me sortir la phrase ou l'emplacement exact de l'info (oui, je suis nul en jeu de piste...)

    Imperator, qui n'a plus besoin de dieux!

  22. Bon, faut pas en faire trop non plus... Au départ, je voulais juste savoir comment traduire la phrase de notre monde: Quel tête tu fais... On dirait que tu as vu le diable!

    dans le monde de warhammer.

    Et si je posais la question, c'est parce que la phrase:

    Quel tête tu fais...On dirait que tu as vu Slanesch!

    Me faisait plus rire qu'autre chose...

    Sinon, vous êtes sûr pour le coup des dieux plus ou moins puissants selon le nombre de croyants? Parce que, dans ma vision à moi, il y a les vrais dieux et les faux dieux... Les vrais sont rééls et règnent bel et bien, les faux sont des inventions humaines! Parce que sinon, ça donne trop de pouvoir aux humains! Et puis, les dieux skavens doivent être plutôt violents vu le nombre d'adeptes...

    Bon, je passerais sur la version athée, alors j'aimerais juste savoir... Vous avez des documents qui prouvent vos dires pour le monde de warhammer (parce que dans le notre, là, vous pourrez me sortir ce que vous voulez, je n'écouterais pas, étant anti-clérical et anti-religieux au possible (en tout cas, je le voudrais))?

    Imperator,empereur à l'égal des dieux et qui a accédé à ce rang par la force!

  23. Bon, j'vais partir dans ce sens là...

    La nuit fut bien agitée pour le pauvre Frederick qui, un moment remplit d’une joie sans borne, un autre mélancolique et réaliste, ne pouvait trouver le sommeil. Il en aurait fallut bien plus pour que, le lendemain, il fut absent des cours. En fait, il fut tant en avance qu’il trouva porte close et dut se résoudre à attendre. À vrai dire, son enthousiasme lui avait ôté le sens des réalités… La nuit n’était pas encore finie. Il s’assit donc sur le perron et patienta sagement, imaginant ce qu’il allait dire, rêvant d’une occasion de parler avec l’objet de ses rêves, avec cette personne si attachante. Il passa de longues heures ainsi, puis commença à entendre des rires et des dialogues qui se rapprochaient. Méfiant de nature, Frederick alla se cacher derrière un pan de mur et attendit. Il vit arriver au bout de quelques minutes un attroupement de joyeux lurons entourant Emelia et son amie, l’ensemble venant sans nul doute souhaiter à la belle une bonne journée. Cette vision terrifia Fred qui, détestant la foule, voyait là un obstacle de plus à une liaison avec celle de son cœur. Après beaucoup de bavardages et de petites blagues, elle se sépara du groupe et entra dans l’édifice. Le reste s’en alla. Dès que le dernier s’en fut aller hors de sa vue, Friedrick entra à son tour, déterminé à faire ce que l’on appelle communément : Le premier pas !

    Seulement, quand il vit Emelia assise sur sa chaise, le regard fixé sur le retardataire, il perdit tout courage. Il présenta une ou deux rapides excuses à Vechnos, l’appelant Emelia tellement obsédé qu’il était par la belle personne. Heureusement, le vieil homme n’y fit pas attention car il était plongé dans la lecture du livre très célèbre Pensée de Francis, livre écrit par un paysan… Le cour commença un peu plus tard. Ce jour là fut dédié au grand Sigmar. Fred, bien qu’envieux de paraître intelligent ne put comprendre un mot de ce qui était dit. Soudain, sa voisine lui demanda s’il pouvait lui expliquer en quoi Sigmar était un dieu, étant à la base un humain ainsi que le lien avec la comète. Fred resta interdit. Il ne savait plus que faire ! D’un côté il pouvait répondre, mais dans ce cas, il allait paraître inculte et idiot. Sinon, il pouvait rester muet et faire comme s’il n’avait pas entendu… Mais il risquait de passer pour une andouille. De toute façon, ce devait déjà être le cas, car, à force d’hésiter, il restait figé, comme si mille années l’avaient statufié. Elle répéta sa question. Il devenait urgent de trouver une parade. Il choisit de répondre.

    Difficilement, douloureusement, il se retourna et, prenant son courage à deux mains à défaut de fuir à toute jambe, il se mit à dire ce qu’il savait sur Sigmar et sa comète. Il se surprit soudain à expliquer des choses qu’il n’avait pas comprises, à élucider des mystères qu’il se posait à chaque cours ! Son esprit rebondissait aisément, inventant lorsque sa mémoire faisait défaut. Il se sentait transporté et ne voulait plus s’arrêter. Une main se posa sur son épaule, c’était le professeur.

    « Vous voulez peut-être que je vous laisse ma place ? »

    « … »

    Frederick n’eut pas le temps de répondre. Emelia l’avait précédé.

    « Monsieur, il m’expliquait certains points que je n’avais pas compris. »

    « Soit, mais la prochaine fois, venez me le demander directement. »

    Incapable de comprendre ce qui lui arrivait, subjugué par une force surpuissante qui le collait au dossier de sa chaise, Fred se mit à rêver. Elle lui avait parlé, il lui avait parlé ! En plus, elle avait pris sa défense ! Il se sentait libre, libre de tout problème, de tout tracas. Il n’y avait plus de barrière entre lui et elle, il n’avait qu’à lui parler, elle répondrait. Mais ce ne pouvait être qu’une illusion. Elle avait juste eut besoin de renseignements et ça s’arrêtait là. Cette version était bien plus probable. Comment aurait-elle levé les yeux sur lui alors qu’il était le plus moyen des moyens ? Il sentit la rage l’envahir. À quoi bon être là, à côté d’elle si c’était pour souffrir indéfiniment, inutilement ! Il se mit à s’imaginer dehors, loin de tout. Il en fut encore plus nerveux. tre dehors, c’était ne plus la voir… Et ça, il ne le voulait pas.

    Il préféra se plonger dans ses pensées plutôt que de tenter de reprendre le contact. De toute façon, elle allait bientôt rejoindre ses amis et amies et elle ne penserait plus au petit Frederick. Ce fut presque triste qu’il partit du cour, le soir venu. Il fut convenu de reprendre deux jours plus tard. Cela était dut à une fête surprise comme il s’en faisait parfois, quand un événement quelconque venait donner un prétexte pour festoyer. Là, il s’avérait qu’un étranger était arrivé au village, fait si rare qu’il ne s’est produit que deux fois depuis l’installation de la communauté. La première fut l’arrivée d’une jeune femme enceinte qui mourut trois jours après, emportant son bébé dans la mort et la seconde fut celle d’Emelia, vu que tous croyaient qu’elle descendait du ciel. De toute façon, cette fête ne signifiait qu’une chose dans l’esprit de Fred : Tous allaient rire et chanter pendant que lui irait se plaindre dans sa cachette. Belle perspective en somme. Il allait se mettre en route pour sa maison lorsqu’une voix l’arrêta. À nouveau, il se crut emmené dans un rêve et resta immobile, comme pour échapper au regard. C’était Emelia :

    « Friedrick, tu viendras à la fête ? »

    « Quoi ? »

    « Est-ce que tu viendras à la fête ? »

    « Euh…Oui, bien sûr ! »

    C’était faux. Il n’avait jamais eut l’intention d’aller rire et chanter, mais quand une personne aussi estimée vous le demande, il est impossible de refuser. Il voulut ajouter quelque chose, mais elle s’en était déjà allée, rattrapée par son groupe d’amis.

    Encore abasourdi par sa journée, Frederick marcha jusqu’à sa maison comme un fantôme, croisant Willy dans les bras de Delphine mais sans le reconnaître. Il était dans un autre monde, un monde où il avait avoué à Emelia son amour et où ils s’aimaient comme l’on ne peut s’aimer, où il était heureux et où elle était heureuse. Il vivait au paradis. C’est alors qu’il arriva devant sa maison. Pour la première fois depuis longtemps, très longtemps, elle lui parut belle et joyeuse. Les murs de bois lui apparurent resplendissant et le toit de mauvaises tuiles plus solides que les murailles des châteaux. C’est dans cet état de joie qu’il arriva devant sa mère.

    Voilà... ça semble plutôt bien partit! (je crois qu'il ne faut pas faire attention au scénar et attendre). Voyons plutôt si tout cela peut passer pour possible...

  24. Je joue au correcteur  , meme si je n'ai pas vraiment a dire(

    Ben t'as raison de me faire remarquer mes fautes! Si tu en vois, il est parfaitement normal que tu me le fasses remarquer, je t'en suis d'ailleurs très reconnaissant!

    Sinon j'aime bien le doute qu'a Fred car je me rappel avoir eu le meme genre de probleme, et j'avoue que ce n'est pas tres cool comme sentiment mais c'est la vie et sa arrive.

    Ben là, je vais pousser ce doute au paroxisme (du moins, je vais essayer...) et jouer un peu avec. Et puis, c'est un sentiment que l'on m'a longuement décris et que je pense donc connaître... (ben oui, je me suis renseigné avant de commencer!)

    J'attend donc la suite avec impatiente pour savoir comment il va s'en sortir.

    Et moi donc! Sache qu'un jour, je lui prévois une fin heureuse et que le lendemain ( ou même l'heure suivante), je le vois terminer dans un drame que scheakespire n'aurait pas désapprouvé (dans le sens, termine mal... Après ça, il va de soit que je ne me compare pas à ce grand auteur anglais (qu'il essaie de manier le français et l'on verra...)

    Imperator, empereur qui pense qu'il faut faire remarquer les fautes d'ortho (ou de grammaire).

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