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Imperator

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Messages posté(e)s par Imperator

  1. Alors la j'atten la suite avec impatience parceke je ne voi pa du tou où est la vérité dan cet histoire ,enfin si ,mai je n'en sui pa sur...

    Disons, plus ou moins par métaphore, que j'écris ce que me dictent les dieux... Et les voix de ces seigneurs sont impénétrables (mais je chercherai!).

    Si tu veux mon avis, c'est Aerion qui est maudit et c'est à cause de lui que le fort a disparu, non seulement dans le monde mais aussi dans la mémoire de tous.

    J'y ai pensé, mais n'est-ce pas un peu facile? On verra...

    j'adore particulièrement Yves.

    Une très grande amie à moi aussi...

    jamais je en susi parvenu à une conclusion...

    Un petit conseil... Tu en es à un stade que je ne te conseille pas de franchir... Certaines réponses ne valent pas la peine de se faire connaître...

    Allez, il va falloir que j'invoque les âmes perdues pour comprendre où je voulais en venir... Quoique... J'ai peut-être une idée!

    Imperator, empereur du néant...

  2. En effet, une quête se profile.

    ça commence vraiment bien: une possible trahison, des trésors, les retrouvailles avec la mère et de la baston!

    Emmène-nous donc sur ces terres désolées!

    Imperator, empereur qui te suit!

  3. Quelle excellente idée que ces lettres en parallèle !

    Même si je comptais le faire depuis un bout de temps, je me suis tout de même largement inspiré des "lettres SoC".

    Le mot de la fin m'a bluffé, c'est un coup de theâtre comme je les aime.

    Ben... En fait, il s'agissait de trouver un sens à tout ceci... Tu vois, je ne suis pas vraiment maître de ce qui arrive. Alors que Aerion retourne sur la côte en amenant la désolation avec soit est normal, mais que j'amène le lecteur à s'intéresser d'aussi près à la chose ne l'est pas...

    Du coup, j'ai été lire à côtés et en revenant, j'ai décidé que Boulard ferait désormais partie intégrante totale de mon récit. À part ça, aussi étrange que cela paraisse, c'est après avoir relu une partie des "3 noms d'Alarielle" que je me suis finalement décidé... Étrange quand on essaie de trouver le rapport... Enfin bon...

    Cependant, je trouve que tu abuses un petit peu des points d'exclamations

    Je vais tout de suite tenter une correction!

    Voilà, c'est fait... Mais franchement, je n'en ait trouvé que deux ou trois à effacé. Les autres (1 par paragrpahe au plus) me semblent parfaitement justifié (même si j'avoue ne pas être un exemple dans la matière et que j'accepterais donc ton opinion si tu as quelque chose à redire). Je vais aller du côté de la légion, histoire de voir l'utilisation des points d'exclamation. Je n'y ai jamais fait attention, mais ça peut être instructif.

    Voilà, c'est fait... En effet, tu distille beaucoup plus tes point d'exclamation! Mais l'ennui, c'est que toi, tu arrive à faire passer le sentiment sans... En ce qui me concerne, j'aurais bien du mal. À la première exclamation, à la première fureur, àla première chose un peu pas ordinaire, hop, je mets un point d'exclamation. Comment faire pour me sortir de cette spirale?

    Imperator, qui croit se rappeler avoir déjà été mis en garde contre ces points d'exclamation et qui veut tenter de règler ce problème...

  4. Ne te vexe pas, Impe

    En faites, vous n'y êtes pour rien, mais je suis vraiment sur les nerfs... J'aurais du mal à explquer la chose, mais le fait est que j'ai du mal à rester calme, concentré etc...

    Pour me détendre, rien de mieux que cette section!

    Mais l'ennui, c'est que, par un reflexe assez étrange et idiot, je me sens très vite agressé lorsque l'on dénigre ma critique (comportement que je ne supporte pas moi-même et qui a atteint son paroxisme il y a peu lors d'une réponse tout à fait indécente).

    Voilà... Je suis désolé d'être comme ça en ce moment, mais avec un peu de chance, ça devrait passer (ça ne dépent pas vraiment de moi...)

    Imperator, empereur bouleversé et damné qui vient chercher le réconfort au milieu du désert et de la jungle, du chaos et des elfes, des dragons et des dieux...

  5. Allez hop, une suite...

    ***

    Message du capitaine Boulard au fort de Saspherd

    Sergent, je vous serais gré de ne pas faire de blague par les temps qui courent... Un dragon! Vous pouvez m'annoncer une invasion d'orcs, une horde d'elfes ou une troupe de créatures mutantes, mais pas une énormité pareille.

    Je tiens même à préciser que vous répondrez de ce message devant le duc. Je lui ai en effet fait lire la lettre et lui et sa cour en sont encore plié de rire.

    J'ai pour ordre de vous faire relever de vos fonctions. Une escorte va venir vous chercher. Sur ce, je ne puis que vous souhaiter bonne chance, sergent.

    Capitaine Boulard

    ***

    Message de la capitainerie à sa seigneurie le Duc.

    Mon seigneur, je ne saurais vous déranger sans raison. Je sais que je vais vous sembler assez fou, mais l'escorte envoyée pour relever le sergent du fort de Saspherd a été stoppée par le brouillard. Impossible, selon eux, de le traverser. À peine seraient-ils entrés qu'ils ressortiraient. Je ne sais s'il faut prêter attention à ce genre de dires, mais vu les circonstances, je ne saurais être suffisamment prudent. Je vais donc aller sur place afin de vérifier ces affirmations.

    Un cavalier est arrivé avec une lettre du fort dans laquelle le sergent affirme que le prétendu dragon a décidé de dormir au milieu de la cour. Je ne saurais croire de pareilles choses, mais je vous l'ai tout de même jointe à ce message.

    Je crois qu'il serait bon de se préparer à la bataille. Du moins faudrait-il réunir les chevaliers...

    Je ne saurais dire. Dans l'espoir de pouvoir apporter des réponses, je m'en vais. Une fois sur place, je vous communiquerai les informations recueillies.

    Capitaine Boulard, serviteur de son seigneur.

    ***

    Message de la capitainerie à sa seigneurie le Duc.

    Mon seigneur, c'était vrai! La brume est là et elle est absolument imperméable. Vingt fois je me suis élancé et vingt fois je suis revenu sur mes pas, non par peur, mais par enchantement. Certains de mes hommes disent entendre des bruits dans le brouillard, mais j'ai beau tendre l’oreille, rien ne me parviens, sinon le néant.

    Vu les circonstances, je crois très sérieusement qu'il faut s’inquiéter au plus haut point. J'ai à nouveau intercepté un messager du fort. Tout semble aller là-bas. Le "dragon" dormirait.

    À ce sujet, je crois qu'il va falloir revoir nos certitudes. La version de chacun des messagers est rigoureusement la même. Ils ont vu le dragon, certain l'ont touché. Je préconise vraiment une levée des armes.

    Capitaine Boulard, serviteur de son seigneur

    ***

    Message de la capitainerie à sa seigneurie le Duc.

    Mon seigneur, j'ai reçu plusieurs messages alarmants du fort! Ils commencent à désespérer d'avoir des renforts et ils semblent s'alarmer. Les émissaires sont très nerveux. Nous avons évidemment re-tenté de traverser la brume, mais ce fut en vain. Des magiciennes sont venues à notre secours. Malheureusement et à notre grande surprise, elles n'ont rien put faire. Il semblerait qu'elles ne perçoivent pas les "vents magiques qui animent la chose". De toute manière, selon elles, il est presque impensable qu'un mage puisse maintenir un sort si longtemps.

    Qu'est cette brume, d'où vient-elle? Je n'en sais rien. Malgré les quelques illuminés qui affirment entendre des sortes de tambours résonner au milieu des nuages, je puis vous affirmer que le silence y est total, même lorsque l'on crie.

    Capitaine Boulard, serviteur de son seigneur

    ***

    Message de la capitainerie à sa seigneurie le Duc.

    Mon seigneur, deux messagers sont arrivés. Le premier m'a annoncé d'une voix blanche que le fort était envahit, le second transportait une lettre qui me maudissait. Il n'a pas dit une parole et ne semble même plus être avec nous. Absent pour nos questions, absent à tout élément qui nous entoure, j'ai put lui renverser un saut d'eau glacée sur la tête sans même obtenir un sourcillement. Son visage me fait peur. Seul la terreur ressort de ses yeux fatigués. Une terreur sourde, muette, mais une terreur totale.

    Le brouillard s'est dissipé un peu plus tard, laissant un soleil radieux éclairé la forêt verdoyante. J'ai tout de suite voulu envoyer une patrouille vers le fort, mais mes hommes refusent de bouger. Les chevaliers hésitent... Je me proposerais bien pour cette tâche, mais mon courage faillit à chaque fois que mes pieds me rapprochent de la lisière. Nous allons donc tenter de prendre une nuit de repos avant de s'avancer...

    Capitaine Boulard, serviteur de son seigneur

    ***

    Message de la capitainerie à sa seigneurie le Duc.

    Mon seigneur, nous sommes enfin entrés dans la forêt. Je voudrais bien faire croire que le courage de mes hommes ou de moi-même y est pour quelque chose, mais je mentirais et je déteste le mensonge. C'est en fait grâce à un puissant chevalier ayant accompli la quête que nous nous sommes décidés. En effet, en le voyant s'avancer sans crainte aucune dans ce lieu que le plus profond de notre âme rejetait, nous avons commencé à prendre conscience de la stupidité et de la honte de notre conduite.

    Mais là n'est pas le problème. En effet, il me faut vous annoncer un événement incroyable, tout à fait extraordinaire! Nous avions parcourut le chemin menant au fort et je priais d'avance la dame pour ce que nous allions découvrir. J'attendais à chaque mètre que s'ouvre à mes yeux le décor du fort ravagé, des corps déchiquetés et de la terre souillée par le sang. J'attendais craintivement et plus j'avançais, plus ma crainte augmentait. Mètre après mètre, la tension montait. Mes camarades étaient comme moi, nerveux. Encore un mètre, puis encore un. Je me rendais compte de l'extrême lenteur à laquelle nous nous déplacions, mais d'un côté, je n'en étais pas fâché. Les heures semblaient s'écouler pendant que, millimètre par millimètre, nous approchions de l'horreur. Et encore des millimètres, encore des heures. Perdu dans mes pensées, je serais tombé si le vaillant chevalier ne m'avait point rattrapé. Nous étions à l’extrémité de la falaise, nous avions dépassé le fort.

    À la stupeur succéda l'énervement. Toute la nervosité accumulée éclata en une gigantesque masse de cris, de coups de pieds perdus, de cheveux arrachés! Furieusement, nous fîmes marche arrière afin de voir enfin l'inévitable, ce que qui devait nous faire si peur pour que, même en passant devant, nous ne le voyions.

    Nous eûmes beau chercher, le fort fut introuvable. Il l'est encore. L'emplacement normal n'est plus qu'une grande clairière et si un combat s'est déroulé en ce lieu, je veux bien me pendre. Il n'y a rien. Les oiseaux jouent, chantent et rigolent. La forêt, plus admirable dans sa beauté que jamais, semble nous inviter à la joie la plus absolue.

    J'attends vos instructions.

    Capitaine Boulard, serviteur de son seigneur.

    ***

    Message personnel du Duc au capitaine Boulard

    Capitaine, vos états de service excellents et votre franchise et loyauté sans faille font que j'ai grande estime de vous. Toutefois, il est de mon devoir de vous faire savoir que je vois d'un très mauvais œil que vous ayiez rameuté tant de soldats, que vous ayiez dérangé des chevaliers sans mon aval, que vous n'ayiez pas attendu mes instructions.

    Vous me pensez peut-être injuste de vous faire de tels reproches, mais elles sont pourtant fondées. Capitaine, il n'y a pas de fort de Saspherd. Il n'y en a pas et il n'y en a jamais eut! Les hommes que vous me désigner comme des messagers n'en ont jamais entendu parler et affirment venir, sur votre ordre, de la garnison de Fotold, ce en quoi je les crois. Je me vois donc contraint d'avouer la folie qui s'est emparée de vous.

    Capitaine, les lettres de ce prétendu sergent de fort ne sont nul part et n'ont certainement jamais existé. Vous devez prendre du repos capitaine. Ainsi, je vous relève de vos fonctions et vous donne une semaine de paie. Ce traitement de faveur est dut à l'estime que tous ici ont pour vous. Profitez-en et vivez en paix.

    Inutile de répondre, je ne vous écouterai pas. Il n'y a pas de fort de Saspherd, il n'y a pas de sergent, pas de dragon et encore moins de brume.

    Votre seigneur et maître.

  6. Il avait décidé de dépasser cette borne noire plantée dans le sol qui marquait, selon les légendes locales.

    Qui marquait quoi? Bon, c'est un détail, mais faudrait compléter cette phrase...

    Sinon, c'est parfait, on est dans l'ambiance, on ressent les choses!

    Imperator, empereur qui fait des remarques s'il en a envie (oui, j'ai trouvé une faute, même plusieurs si vous le voulez!)

  7. Lut et approuvé! Mais c'est trop court...

    Allez, au boulot, on veut la suite!

    Un jour, je découvriarais le secret de l'empereur, dussè-je en mourir!

    Ah bon... À ta guise, mais je crois que ce sera en pure perte... Un auteur si jeune, quel dommage...

    Termine au moins ton texte avant (et ceux qui vont suivre).

    Imperator, empereur qui tient à ses secrets!

  8. terre des morts inapaisés

    et une légendes à propos de la terre des morts

    Juste pour rire...

    Mais vu qu'il y a un paragraphe de différence...

    Allez, Imperator, qui préférerait avoir la suite qu'avoir à faire des remarques...

  9. terre des morts

    Cette si vaste terre

    ces terres ne sont plus que

    Répétitions. Désolé, mais ça embête beaucoup...

    ces rois glorieux, maudits et déchus

    Et il ose parler de moi dans ses textes! L'empereur va intervenir! Quoi? Ah... Bon, ben désolé, fausse alerte...

    Vraiment une très bonne introduction qui met l'eau à la bouche (oui, même malgré les répétitions!)! Y a pas à dire, que ce soit tes skinks ou le désért, tu as une bonne facilité à nous emmener dans ton univers!

    Reste à voir la suite...

    Imperator, empereur maudit, mais pas, mais alors vraiment pas déchu!!! (lol)

  10. Ben on s'amuse bien chez les gnolls...

    En effet, Falcrisos semble vraiment trop détaché.

    Mais à part ça, c'est tout bon, tu peux continuer!

    Imperator, empereur qui sait ce qui lui reste à faire... (même s'il ne le fera jamais aussi bien que ça...)

  11. Tu sais, dans le néant, être heureux ne signifie pas grand chose...

    Et puis, comment pourrais-je plus te montrer l'intérêt que je porte à ton texte qu'en corrigeant certaines fautes d'orthographe (bien moins nombreuses que dans mes textes d'ailleurs...).

    Pour te répondre, non, l'empereur n'est pas content, il ne l'est pas et ne le sera jamais, damné et meurtri, sa vie n'est qu'un dilemne et ça, même les plus belles phrases n'y pourront rien...

    Imperator, désolé d'avouer ses faiblesses...

  12. Je pensais créer encore un post, mais en fait, ça a sa place ici...

    Alors voilà... Euh... Vous croyez que "les clés magiques de la rubrique" ont servit? Bon, c'est vrai qu'on aurait du mal à le dire, mais je voulais votre avis...

    Imperator, empereur qui craint qu'il ne soit trop tôt pour se prononcer...

  13. Des humains... Intéressant!

    Bon, ce fut un peu court, mais j'ai put trouver une ou deux choses...

    et là réside la fameuse portail du temps.

    - La portail du temps ?

    - Oui, on raconte que ce fameux portail fut bâti par les Anciens

    C'est "le" ou "la" portail?

    Parce que c'est soit l'un, soit l'autre...

    Le bruit de al cascade était terminé,

    "al"... Allez, une petite relecture et surtout Word! Je sais que tu fais une faute par texte, mais c'est justement pour cela qu'elle se remarque si vite!

    Imperator, empereur qui se veut exigeant! (reste que j'ai vraiment bien aimé!)

  14. C'était pas dans les termes du contrats ca

    Ben.. en fait si... Je suis retourné voire Falcrisos. Et oui, j'avais envie d'écrire mais je n'avais pas "le truc", alors je suis allé faire un tour et j'ai trouvé ce que je voulais...

    continue

    Bon, d'accord...

    Imperator, empereur vampirique suceur d'idée Falcrisossiennes...

  15. Allez, la suite de ce chapitre... Attention, quoi que vous puissiez croire, il ne se termine pas là, mais je n'ai pas encore attaqué la suite... Voilà donc mon texte:

    ***

    Message du fort de Saspherd au capitaine Boulard

    Capitaine, je suis étonné du manque de réponse dont vous me faites part ! Pensez-vous donc que je sois devenu fou ? Je puis vous assurez que non. Quel que soient les raisons qui vous poussent à dénigrer mes appels à l’aide, sachez qu’elles sont maintenant inutiles vu que le danger semble écarté. En effet, il s’avère que ce dragon et son monteur ne sont pas hostile. Même si la discussion que j’ai put obtenir avec le second fut plutôt brève et peu explicite, j’en ait tout de même retiré qu’ils ne seraient que « de passage ». Comment savoir si ses dires sont vrais ? Aucune idée, mais vu qu’ils auraient pu tous nous tuer depuis longtemps et qu’ils se sont contentés de dormir, je crois qu’il ne faut pas trop s’en faire.

    J’attend tout de même une réponse avec des instructions et, si possible, l’annonce d’une ambassade. Cette dernière me semble plutôt nécessaire dans le sens où cet elfe doit être un seigneur et qu’il serait donc bon d’accueillir royalement et diplomatiquement.

    Encore une chose… Faites attention, la brume ne s’est toujours pas levée et avec la falaise, il ne faut surtout pas s’écarter de la route, car une chute peut alors arriver à tout moment.

    Sergent Derek chef du fort de Saspherd.

    ***

    Message du fort de Saspherd au capitaine Boulard

    Capitaine, je n’ait toujours reçu aucune réponse. Aucun des messagers que je vous ait envoyé n’est revenu ! Les gardez-vous prisonniers ? Que faites-vous ? Je vous en prie, la situation ici commence à se dégrader. Mes hommes sont nerveux. Que ce soit la brume ou l’immense dragon, rien n’est normal et j’aimerais au plus vite avoir des instructions ! Un renfort ainsi qu’une ambassade seraient toujours les bienvenus ! Capitaine, c’est urgent, il nous faut une réponse !

    Sergent Derek chef du fort de Saspherd.

    ***

    Message du fort de Saspherd au capitaine Boulard

    Capitaine, ayant pensé à une possible présence ennemie qui pourrait avoir intercepté les massages que je vous ait fait transmettre, j’ai fouillé avec mes hommes la région. Il n’y a rien à part le brouillard qui ne nous a pas quitté ! Je vous conjure donc de me renvoyer mes hommes munis d’une réponse dans laquelle vous me donnerez mes instructions. Le monteur et la monture ne se sont pas réveillés depuis leur arrivée et je crains presque qu’ils ne soient morts. J’ai voulu envoyé des hommes escalader le monstre pour s’en assurer, mais ils refusent cette tâche. Je ne saurais les y contraindre vu que je ne le ferais pas moi-même.

    Encore une fois, je ne suis pas fou et j’aimerais une réponse dans les plus brefs délais !

    Sergent Derek chef du fort de Saspherd.

    ***

    Message au capitaine Boulard

    Capitaine ! La situation ici est critique ! Votre silence affole mes hommes que mes mensonges ne rassurent plus ! J’ai put assister au suicide d’un d’entre eux, ainsi qu’à plusieurs tentatives ! La brume omniprésente nous rend nerveux. Veuillez au plus vite répondre !

    Sergent Derek chef du fort de Saspherd

    ***

    Message au capitaine Boulard

    Capitaine, nous sommes envahis ! De la brume ressortent des bruits de tambours, des grincements d’armures et de longs hurlements ! Il est absolument certain qu’une armée a entouré le fort ! Mes éclaireurs n’ont rien aperçu, mais avec le brouillard, c’est compréhensible. Il nous faut des renfort. Capitaine, je ne saurais assez vous conseillez la rapidité ! Si la moitié des cris que nous percevons sont réels, alors notre ennemi a à sa disposition suffisamment de soldats pour raser mes murailles et ma tour. Le dragon dort toujours. Je vous en supplie capitaine, venez avec des renforts, nous ne tiendrons jamais !

    Sergent Derek chef du fort de Saspherd.

    ***

    Capitaine ! Voilà deux jours que nous attendons des renforts ! La brume s’épaissit et le mes hôtes se sont réveillés ! L’elfe a l’air plutôt inquiet, mais il n’a pas répondu à mes questions. Le seul mot qu’il prononce est « mort ». Le dragon est toujours couché, mais ses yeux globuleux nous observent avec un regard bien trop haineux. Je ne compte plus le nombre de déserteurs, ni de suicidaires ! L’anarchie seule contrôle mon fort et aucun de mes ordres n’est suivi. J’ai réussi à trouver un soldat suffisamment courageux pour vous aller porter ce message ! Regardez son visage et vous comprendrez qu’il n’est plus temps de réfléchir ! Les tambours redoublent d’intensité ! La brume les accompagnent ! L’ennemi avance ! Nous allons tenter une résistance héroïque. Aucun espoir de survie, mais au moins la certitude d’avoir été abandonnés ! Merci pour tout capitaine, merci pour cette mort, merci de votre ignorance ! Soyez maudits, vous et tout les autres, vous venez de sacrifier de valeureux et courageux guerriers de notre belle contrée !

    Derek

    ***

    Message du fort de Saspherd au damné capitaine Boulard

    Capitaine, ils attaquent ! La brume a franchit les murailles, elle nous enserre, nous coupant toute retraite. Les tambours suivent. Le dragon et l’elfe sont partit. Quand je lui ait demandé où il comptait fuir, le monteur a répondu : « Votre hospitalité m’a beaucoup touché, mais je crois que vous ne pourrez plus m’en faire profiter bien longtemps… Désolé pour tout, mais je ne peux rien faire pour vous. ». Il nous a abandonné comme vous nous avez abandonné ! Il a fuit, il a eut peur. Lui, au moins, il avait une raison d’avoir peur ! Les tambours, les hurlements d’agonie, les cris de désespoir, la brume omniprésente sont autant de raisons d’être terrifié que vous n’aviez pas ! Pourquoi ne pas avoir envoyé de renfort ? Pourquoi avoir refusé de répondre à mes appels à l’aide ? Sachez que nous n’aurons de repos dans l’au-delà que nous n’aurons réussi à vous faire payer cette couhardise ! Les murailles s’écroulent, leur bruit est celui d’os que l’on brise, de la terre qui se fend en deux. Nous allons mourir. J’aurais eut l’extrême contentement d’avoir put vous envoyer ce message avant la fin ! Vous savez quoi ? De toute façon, vous mourrez plus tard. Cette armée qui nous encercle va tout détruire ! Elle vous détruira donc et moi et mes camarades seront vengés ! Préparez-vous, car votre dernière heure arrive.

    Sergent Derek chef de l’ex-fort de Saspherd et qui vous emmerde !

  16. je suis d'accord avec toi finarfin, mais si tu veux t'éclater, ou bien tester, enfin juste t'amuser, ya rien de mal à ça, si l'autre est ok en face!

    Exactement ce que je réponds!

    En effet, je voulais vraiment tester ce que c'était que du full magie/tir. Jusqu'ici, j'avoue m'être passablement basé sur la magie au niveau des persos (à part l'électron libre, tout mes commandeurs et seigneurs m'ont déçu au plus haut point!), mais j'ai modéré au maximum mes ardeurs. Là, c'était vraiment un gros test. Et puis, mon adversaire et moi, on s'aime bien. Alors du moment qu'on est ensemble, que ce soit une partie normale ou un petit délire, ça reste un moment à passer ensemble...

    Allez, c'est vrai que c'est pas marrant comme liste, mais on le savait pas... Et puis, au quatrième fiasco, j'ai fini par le prendre un peu en riant (ben oui, faut pas être mauvais perdant non plus...). Je riais jaune, je l'avoue, mais je riais!

    Bon, Imperator, empereur qui re-promet de ne plus faire de full magie/tir!

  17. Bah encore un texte que j'avais jamais vu passé  et je regrette de ne pas l'avoir vu avant  .

    Ah bon, vraiment? J'en reste sans voix...

    Tu pense quoi du dernier passage... Vu que je l'ai fait après la lecture de Falcrisos, j'ai dut être un peu influencer... Je sais pas...

    Un style épatant qui rend l'histoire agreable a lire, des idees originales qui nous immergent tres vite dans l'histoire.

    Y a vraiment tout ça dans mon texte? En tout cas, je relève le "qui nous immergent très vite dans l'histoire". Si vous sentez ce que ressens le héros, alors c'est que j'ai finalement réussi à faire un bon truc...

    Bientot une suite ?

    Je vais t'avouer quelque chose... C'est la lecture de ton texte qui m'a poussé à écrire ce dernier passage, donc je pense attendre que tu continue pour aller m'inspirer (ou tout du moins me divertir!)

    Imperator, grand empereur, mais très modeste écrivain conscient de ses limites...

  18. En effet, la suite!

    Et oui, tu ne crois quand même pas qu'on vas se contenter d'un petit passage... Au boulot!

    Ah, j'oubliais... Tu répète un peu trop le mot magicien... Faudrait faire gaffe, ça devient de la répétition et c'est passablement gênant...

    Imperator, qui regrète que ce bout-là ne parle pas des nains!

  19. Voici donc la suite... Dites-moi si ça convient ou pas... Histoire que je ne fasse pas tout un chapitre (qui devrait s'avérer assez court) dans le vide.

    Chapitre 3

    Message du fort de Saspherd au capitaine Boulard

    Capitaine, un fait étrange s’est produit cette nuit, c’est à dire deux jours avant que vous ne receviez cette lettre. Voici les faits :

    Un des hommes de la patrouille du soir s’est écarté du reste de la troupe pour, selon ses dires, aller admirer la vue du haut de la falaise. Je tiens à préciser que c’est un homme que j’estime particulièrement et qui n’a ni tendance à la mythomanie, ni à l’ivresse ! Vous pouvez donc vous fiez à lui comme à moi. Je précise ceci afin que vous compreniez la gravité du problème. Il s’était donc écarté et admirait la nuit lorsqu’il entendit un bruit sourd derrière lui. Lorsqu’il se retourna, seul la lisière vide de la forêt s’ouvrit à son regard. Appelant la patrouille, il se rendit compte de son isolement. Je vous le redis, j’estime beaucoup cet homme, et sa réaction est là pour appuyer mes dires. Au lieu de s’enfuire comme la plupart des soldats qui auraient put être là à ce moment, il s’avança résolument vers la forêt afin d’identifier l’origine du bruit. Ce dernier se refit d’ailleurs entendre et plus proche, toujours selon ses dires. Cette chasse aux fantômes dura environ une heure et il commençait à désespérer de jamais savoir ce qui au fond de lui l’effrayait quand il déboucha dans une clairière. Cet endroit est bien connu de mes hommes et de moi-même. Nous nommons ce trou de forêt « le doux », car lorsque l’on y entre, l’herbe douce nous accueille très chaleureusement, tranchant avec la végétation plus qu’épineuse de notre sombre forêt. Mon homme entrait donc dans « le doux » et il y vit, tenez-vous bien, un dragon et son cavalier. Vous allez pensez que je délire, ou que mon soldat délire, mais je vous le répète, vous pouvez avoir totalement confiance en lui, comme en moi ! Cloué sur place par cette étrange vision, il ne fit rien lorsque l’étrange personnage descendit de sa monture et lui demanda d’où il venait. Contre toute logique, mon homme ouvrit la bouche et, presque involontairement, lui déclara qu’il provenait du fort de Saspherd à trois miles au nord. Aussitôt, sa semi-pétrification se serait envolée. Prenant ses jambes à son cou, il est revenu directement au fort et m’a raconté son histoire.

    J’ai évidemment envoyé une patrouille vérifier ses dires, mais elle est revenue bredouille. « Le doux » est bel et bien marqué des empreintes de mon homme, mais aucune trace quelconque du passage ou de la présence d’un étranger, et encore moins d’un dragon…

    Je vous recommande encore une fois la plus grande attention à ce message, en effet, il est très important que vous compreniez que cet homme est sûr, qu’il n’a pas bu et ne boit pas, qu’il n’est ni mythomane, ni cinglé ! C’est certainement le meilleur élément de la troupe, et le plus prometteur.

    Sergent Derek, chef du fort de Saspherd.

    Message du fort de Saspherd au capitaine Boulard

    Capitaine, il faut que vous veniez, c’est absolument incroyable ! J’ai, en ce moment et sous mes fenêtre, un dragon à la taille plus que titanesque qui dort tranquillement. Il ne s’agit ni d’une blague, ni d’une folie ! En même temps que je vous écrit ce message, son monteur, un elfe à ce qu’il semble, m’observe. Je vais tout vous expliquer :

    Le petit matin pointait le bout de son nez, accompagné par une très forte brume qui, d’ailleurs, ne nous a pas quitté depuis. Je fut réveillé par un bruit sourd qui se répétait à intervalles régulières et par les cris du soldat en question lors de ma précédente missive. Enfilant mon uniforme, j’eut à peine le temps de monter dans la tour qu’une masse gigantesque sortait du brouillard. Je fut, je l’avoue volontiers, absolument terrorisé ! Partout, je voyais mes soldats fuir, se débander ou tout simplement se mettre à genou pour prier. La taille du monstre dépassait celle des murailles et lorsque le titanesque dragon se stoppa devant ce qui semblait être à ce moment un portique, je crut que, pour la première fois de ma vie, j’allais vraiment passer un mauvais moment. Plongé dans mes prières, j’entendis soudain une voix. Relevant les yeux, j’aperçus une minuscule forme sur le dos du monstre. Elle répéta : « Excusez-moi, mais j’aimerais quérir chez vous l’hospitalité pour mon ami et moi, pourriez-vous ouvrir la porte, s’il vous plaît ? ». Je n’ai, je pense, pas besoin de vous préciser qu’il était de toute manière en mesure de défoncer mon petit portail en bois. Je me mit donc immédiatement à exécuter la volonté de l’étrange étranger. Le passage libéré, il fit entre sa monstrueuse et majestueuse monture dans l’enceinte, puis la fit se coucher. J’avoue avoir craint de voire défoncé mes murailles et bâtiments, mais par un fait étrange, le dragon réussit à trouver suffisamment de place pour son immense corpulence. Avant même que je n’aie le temps de dépêcher un cavalier pour vous faire avertir, le cavalier, un elfe comme vous vous en doutez certainement, sauta du dos du monstre jusqu’à mon poste d’observation. Pareil saut ne m’est pas familier et malgré la réputation que l’on fait aux asurs, je craint que celui-ci ne réduise cette dernière qu’à un ensemble de faits tout ce qu’il y a de plus normaux. Il m’a demandé si je connaissais un endroit tranquille pour discuter et je l’ai immédiatement emmené dans mon bureau, sous le regard plus qu’inquiétant de son monstre. Une fois dans la pièce, j’ai commencé la rédaction du document que vous tenez en ce moment dans vos mains… J’attends incessament des instructions et, si possible, des renforts de taille pour s’occuper de ce cas.

    Sergent Derek, chef du fort de Saspherd

  20. J'entends par là "textes écrits sous forme de lettres", mais aussi des analyse stratégiques, des rapports d'engagement (i.e. comptes rendus)et d'autres des services de renseignement.

    Ah, d'accord... Ben franchement, je crois que ce ne sont que des styles comme d'autres (ça fait partie de ces idées que j'aime à exploiter). Donc on en voit, mais c'est vrai que c'est rare...

    il faudrait peut être séparer les "sagas" ou textes à suite, des textes n'appelant pas de suite à priori?

    Non, je crois que je n'irais pas beaucoup du côté des sagas... Tu vois, mon problème, c'est que j'adore lire, mais uniquement quand j'ai commencé ma lecture... Sinon, le moindre paragraphe me rebute... Alors j'imagine la peine que j'aurais à commencer un récit si on me laisse le choix d'aller du côté des récits courts...

    Je tiens à préciser que pour ceux qui auraient le même problème que moi, ben une fois lancé, ça va très vite, trop vite même... Rien que ce soir, j'ai relu "les exilés", lu "Falcrisos" et "rêve" de Bahan... Comme quoi ce n'est pas si long...

  21. Ben voilà, j'ai réussi, j'ai lut Falcrisos! (et je vais continuer!)

    Bon, j'aime bien, malgré que j'aie un certain mal à te suivre et qu'il me faille parfois reprendre un peu en arrière pour comprendre (mais ce doit être dut uniquement à la fatigue).

    Le scénario est sympa avec une armée d'humain et des elfes noirs, un dragon et un château assiégé, ainsi qu'un mage faisant des murs de feu d'une taille imposante!

    Allez, continue! J'ai commencé, je veux la suite!

  22. analyses, lettres, études, comptes rendus, etc....

    Euh... Tu sous-entend par là: "texte écrit sous forme de lettre..."

    Ou bien vraiment des études de textes, etc...

    Quoi qu'il en soit, je n'ai pas vraiment compris...

    Si tu arrrivais à préciser et développer ta pensée, je t'en serais reconnaissant!

  23. Alors la tu as mit de vrai sentíment a l'interieur de ton texte

    J'ai aussi remarqué, à la relecture (après laquelle je n'ai rien changé...), que j'avais multiplié les phrases de trois mots et que je passais souvent du désespoir à la joie... C'est comme ça, ça dépend de l'humeur...

    c'est vachement bien

    Content que ça t'aie plu!

    J'en ai eu les larmes au yeux.

    Faut rien exagérer... T'aime quand même pas mon petit (c'est moi qui le dit) Aerion? Si? Je suis très flatté!!

    Imperator, empereur qui est content d'en avoir fini avec Steve (pour le moment...)

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