Aller au contenu

Imperator

Membres
  • Compteur de contenus

    1 162
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Imperator

  1. Imperator

    Jeunesse, vie et déclin

    Une suite? Serais-je seulement à la hauteur? C'est toujours à la fin que les problèmes se posent. Pourtant, si c'est demandé ainsi, et aux vu de circonstances, je veux bien en écrire une: Passé… « L’âme est immortelle… » La voix est lointaine. « L’âme, comme l’amour, est immortelle… » Un tourbillon, c’est un tourbillon de colère. « Chaque chose a une place dans l’univers… » J’ai si froid. « Le mal qui a été fait n’existe plus… » Tout a brûlé, tout, ils criaient si fort… « Dors, il faut dormir pour vivre. » Il y a quelque chose sur moi, je sens une présence. « Ce qui a été commencé doit finir. » Je sens son souffle chaud sur mon visage, si proche du mien…il crie soudain : « Je suis là !» Je m’éveille en sursaut ! Mais les ténèbres ont disparus, je suis seule, sur le lit. Quel affreux cauchemar, quel rêve épouvantable ! Mais il est déjà oublié. Dehors le soleil peine à se montrer, mais l’on entend déjà les chants des soldats, et au loin les bruits de la ville. D’instinct je touche une pierre, pour ressentir son contact froid, solide, râpeux. J’ai besoin de m’assurer de son existence, de mon existence. Dans ma tête, une parole résonne sourdement : « je suis là… ». Je ne sais pas où j’ai pu l’entendre, je n’arrive pas à m’en souvenir. Il y avait des tourbillons de flamme, des démons partout, grands et petits, des gens qui souriaient d’une manière inhumaine, comme s’ils se moquaient, comme s’ils se forçaient. Les yeux étaient vides, ils m’accusaient, et après j’ai chuté. À quoi bon se souvenir de ses rêves ? Pourtant cette cage, au pied de mon lit, aurait dû en faire partie. Les deux oiseaux, insouciants, continuent à voleter de part et d’autre de l’espace dans lequel ils sont confinés. Je les observe un instant, puis, de colère, je saisis leur prison et, l’amenant à la fenêtre, ouvre la porte dorée pour les voir partir, pour laisser s’échapper à jamais la dernière trace de mon passé. Aussitôt ils s’élancent, et s’échappent au dehors pour s’éloigner, l’un à l’est, l’autre à l’ouest, jusqu’à disparaître de ma vue. Je m’effondre alors contre le mur, soulagée mais triste, comme si au fond de moi j’avais espéré les voir rester, et mes mains viennent tenter de retenir désespérément mes larmes. Pourtant je les retire vite de mes yeux pour observer, tétanisée, les deux volatiles posés sagement sur mes genoux, qui semblent m’observer. L’un est jaune, l’autre a une tache rouge sur le ventre. En les voyant, une seule chose me vient à l’esprit, une seule voix, douce et réconfortante : « je suis là… » Je me relève, sans savoir pourquoi, sans savoir où je veux aller, ce que je vais faire. Je n’ai plus envie de reculer, mais pas non plus d’avancer. Je voudrais rester là, simplement, pour goûter durant l’éternité la puissance de cet instant. Peut-être aussi, m’attends-je à ré-entendre la voix me parler, mais les souvenirs sont bien éteint, et je ne rencontre qu’un silence troublant, et à peine troublé par les bruit du dehors. Je regarde les oiseaux, mais ils sont allés se nicher dans un recoin de la roche et s’y sont endormis. Sachant n’avoir aucun secours à attendre d’eux, je me décidais à aller à la rencontre du destin. 1ère rencontre : Éreintée, je m’offre enfin un peu de repos, adossée contre un mur, le long d’un couloir sombre de la forteresse. Combien de salles ais-je visitées, combien de couloirs ais-je arpentés ? La question serait plutôt de savoir ce que j’y cherchais. Un signe, sans doute, pour me mener à je ne sais quoi, à je ne sais qui ou je ne sais où. Il me prend l’envie de pleurer, de me laisser tomber, là, maintenant, pour ne plus jamais me relever. À tout prendre, c’est bien la seule chose qui me reste à faire, la seule et dernière. Devait-ce donc être là la dernière torture qui devait clore ma déchéance ? Mais alors ces oiseaux ? Cette voix ? Il me prend l’éclair d’un instant l’envie de croire que je ne suis plus que le jouet de dieux cruels cherchant à se venger de moi par une lente et douloureuse agonie, car qui d’autre que des dieux auraient pu me tromper à ce point ? Mais peut-être ais-je rêvé les oiseaux, peut-être ais-je inventé tout cela… Peut-être, simplement, suis-je folle ? Ce constat me pousse au silence. Je reste là, immobile, durant de longue secondes. Oui, je suis devenue folle. Voilà la triste réalité, voilà la seule réponse plausible à toutes mes questions, à tout ce qui m’a poussé jusqu’ici, dans ce couloir sombre, froid et humide, dans les tréfonds de la terre, simplement ma folie. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Il me prend à croire que cela peut changer quelque chose à ma situation que je m’en sois rendue compte. Mais qu’est-ce que cela pourrait bien changer ? Je suis prisonnière d’un monde que je déteste, mon âme est morte dans une forêt lointaine, qui n’a sans doute jamais existé, et moi-même, peut-être, je suis déjà morte. Non, je suis simplement folle, une déjà vieille folle, accroupie contre un mur sale, à la recherche de quelque chose qui n’existe pas. Voulant mettre fin à ces pensées qui m’exaspèrent, je me force à observer ce qui m’entoure, pour m’occuper, pour me forcer à rester lucide encore un instant. Le couloir est fais de grosses pierres qui se joignent en un demi-cylindre tronqué. Plusieurs clés de voûte soutiennent de part et d’autres le poids de la terre accumulée au-dessus. Je suis descendue dans les bas-fonds de la forteresse, et ce couloir est sans doute celui qui mène aux cellules, aux geôles. La présence si proche de la racaille et de la mort m’attire. Irrésistiblement, je me lève et me met en route. Bientôt je découvre une grosse porte de fer forgé gardée par un non moins gros homme joufflu et sale. En me voyant arriver il s’exclame, s’insurge, s’émeut et cherche à me faire faire demi-tour, mais en quelques mots je l’oblige à me céder passage. Deux pièces de bronze aidant, la porte s’ouvre et je pénètre dans un nouveau couloir bordé de nombreuses cellules. Celles-ci contiennent les petits malfrats, des hommes et des femmes qui ont eu le tort de déplaire par un mot ou une action à Gilles ou l’un de ses comparses. En m’apercevant certains se lèvent pour me supplier de les faire sortir, d’autres se soulèvent avec peine pour implorer un peu de nourriture, d’autres un peu d’eau. Certains, enfin, se contentent de me voir passer avec des yeux remplis de frayeur, figés dans le temps par de trop grandes souffrances. Mais ce n’est pas là ce que je suis venu chercher, si tant est que je sache exactement ce que je suis venue faire ici. Je pousse une grande porte et ouvre une puissante grille avec les clés du gardien, puis me met à descendre un escalier en colimaçon. Rapidement, je débouche sur une grande rotonde dont les murs sont ouverts en plusieurs endroits par de minces espaces menant chacun à une cellule. Je sais être arrivée dans l’endroit réservé aux traîtres et à ceux qui, à un moment ou à un autre, ont menacé Gilles. Derrière les grilles qui ferment leurs prisons, et grâce à la lumière d’une torche, j’aperçois de multiples être attachés aux murs, les uns suspendus, les autres simplement abandonnés là. Dans chacune j’aperçois des ossements, des cadavres en décomposition dont certains semblent avoir été dévorés par quelque créature monstrueuse. Il me prend l’envie d’ouvrir l’une de ces grilles, d’entrer et de me laisser moi aussi prendre et dévorer par ces êtres abrutis et sauvages. Mais l’un d’eux, soudain, réagit à ma présence et son cri, bestial, réveille les autres. Tous crient, mêlant la colère à la tristesse, tous s’agitent et, instinctivement, je recule lorsqu’un grand homme se jette contre la grille de la cellule dans l’espoir vain de me tuer. Je l’observe un instant, mais son visage a déjà disparu, happé par une foule nombreuse de bras et de cris qui ont envahi la place qu’il occupait. Je me recule encore et me retourne pour tomber nez à nez avec le gardien de la prison que le bruit avait attiré. Sa seule présence suffit à faire cesser les cris et lui-même cherche à me faire remonter, argumentant que ce n’était pas là l’endroit pour une dame comme moi. Mais déjà je l’interrogeais sur une trappe, au sol, que j’avais jusque là délaissée. Sans même écouter sa réponse, je tentais de l’ouvrir, mais aucune des clés ne fonctionna. La trappe était entièrement faite de métal et ne pouvait être bougée que grâce à un complexe mécanisme que bloquait un puissant cadenas. J’intimais l’ordre au gardien de m’ouvrir, mais il refusa, et son refus ne fit que me pousser plus encore à vouloir descendre voir ce que cachait ce passage. Comme l’ordre ne suffisait pas, je le menaçais de lui faire perdre son poste et, joignant le geste à la parole, lui promit quelques richesses s’il consentait à m’obéir aveuglément. D’un geste je lui fit même comprendre que s’il me servait bien, il aurait droit à plus que des richesses de ma part, et à l’étincelle qui traversa ses yeux, je compris l’avoir gagné à ma cause. Sans m’attarder sur cette nouvelle conquête, je lui fis signe de m’ouvrir le chemin, et il s’acquitta aussitôt de la tâche. Bientôt je pus apercevoir une échelle de bois qui s’enfonçait dans un trou dont je n’apercevais pas le fond. La première frayeur passée, je saisis la torche et me mit à descendre. Échelon après échelon, je continuais mon voyage, toujours plus profondément, jusqu’à ce que mon pied touche un sol de pierre. À ce moment-là, je pris vraiment peur, peur de ce qui m’avait amené ici, peur de ce qui pouvait se cacher dans la noirceur de cette prison, peur simplement de la mort que j’étais venue y chercher. Pourtant je ne pouvais remonter, non pas que cela m’était impossible, mais que de l’endroit où j’étais, je pouvais entrevoir une faible lueur au loin, bien plus rassurante que la vision de nuit qui me surplombait. Je prit donc le parti d’explorer prudemment l’endroit où je me trouvais. Un instant passa et mes pas me menèrent jusqu’à une grande salle taillée dans le roc à l’intérieur de laquelle était posée comme sur un piédestal une gigantesque cage. Tout en haut de la salle, il y avait trois minuscules ouvertures par lesquelles passaient de la lumière, en très petite quantité, mais qui permettait tout de même de voir. Et ce que je voyais me laissait bouche bée. Dans la cage il n’y avait qu’une homme, un seul, assis au milieu, comme endormi. Il était vêtu de haillons, couverts de diverses saletés et portait en de multiples endroits des signes évidents de torture. Pourtant ce qui attira mon regard furent ses mains, fines et graciles malgré les épreuves visiblement endurées, et sa tête, noyée dans l’ombre, mais où se distinguait un visage fin et doux, et aux côtés duquel étaient deux oreilles, des oreilles pointues. "Je suis là..." fit la voix dans ma tête... Cela ne s'arrête pas là, mais je fais une simple pause. De toute manière, il n'y a pas de suspens, vous savez déjà ce qu'il en est...Mais non pas ce qui va se passer.
  2. Donc en fait, c'est la subjectivité des propos, et non le post en lui-même, qui est remise en question, c'est bien ça ? Du coup: C'est tout de même exagéré... L'article en lui-même me semble au contraire très utile, et j'en ai moi-même bénéficié. Maintenant, qu'une notation subjective soit appliquée, c'est une question à voir. J'avoue que je serais pour plus de neutralité, en se contentant de présenter la saga en disant: - le sujet - la durée des épisodes - le nombre d'épisode Bref, de quoi orienter le lecteur sans pour autant chercher à l'influencer. Ensuite, on peut laisser le reste du sujet pour que chacun puisse donner son avis sur telle ou telle saga, encore que cela ne me paraisse pas obligatoirement constructif . Mais entre nous, venir démonter ce post d'une manière que je trouve franchement agressive, sans chercher à être un minimum constructif et proposer d'autres solutions ou des alternatives acceptables, voire des compromis... Ben c'est moyen . Manquer de respect à un modérateur ou à un membre ne change rien à l'affaire, ce sera toujours un manque de respect . Mais critiquer un projet, une oeuvre de manière négative n'est pas un manque de respect. La démonter violemment avec un certain sadisme (ce qui n'est pas encore le cas ici) en serait un... Impe, on peut effectivement se poser la question sur l'utilité des notes, partant du principe que celles-ci sont subjectives . Maintenant, n'oublions pas qu'à la base ce n'est ici que le recueil fait par un membre. Tout comme on voit parfois l'avis d'un membre sur l'ensemble des armées de battle, on peut très bien accepter qu'un membre donne son avis sur les saga tout en les présentant. Cela n'enlève rien à l'utilité première du post, soit présenter l'ensemble des sagas . ps: Ecouter l'avis des autres est un premier pas vers la vérité. N'écouter que son propre jugement est le plus droit chemin vers l'erreur. (en gros, même si son avis ne doit pas être pris pour argent comptant, il permet néanmoins de nuancer les choses et d'apporter une vision qui permettra de relativiser. )
  3. Imperator

    Suite...

    +1 avec vous, ça lui ressemble tellement . Ce serait aussi une explication pour le sort lancé au nain . Impe, redoutable adversaire en tout cas
  4. Imperator

    Suite...

    Au départ je me suis dit: "Et puis quoi encore, pas question je veux je le ferais toute façon j'ai dit que je le ferais et pis d'abord c'est mon tour... " Et puis... Au fond, franchement... à moins d'un miracle, je crois que je ne trouverais pas la flamme de joie en mon coeur qui pourrait me permettre de mener ce projet à bien. Du coup, oui, un délai supplémentaire pour laisser passer cette tristesse que j'espère passagère, ben ça ferait du bien . Impe, quand je pense à la cause de mon blues, j'ai envie de me tirer des baffes... ps: mais je ferais les dernières cases
  5. Imperator

    Suite...

    T'en as de bonnes... J'ai à peine eu le temps d'y réfléchir et je suis à vrai dire un peu crevé (j'ai eu un nuit... agitée). Mais on va essayer de faire vite. Mais pas ce soir. Impe, quoique... à voir.
  6. Imperator

    Suite...

    Quoi? Mais ça fais six jours que je dors que 6 heures par nuit. j'ai une montagne de travaille comme ac', pis en plus j'sais pas dessiner . Plus sérieusement, je vais m'y mettre... On va voir ce qu'on peut tirer de ce mystérieux individus. (tiens, me fait penser au prêtre de Sigmar du récit en relation avec cette BD, j'vais p'têtre exploiter ce filon). Impe, ah, ces nains ps: Bof, une masse téléscopique, c'est pas une erreur... c'est une aubaine .
  7. Imperator

    Suite...

    C'est étrange... Pour moi les liens marchent. Par contre je regrette qu'il y manque les dernières cases. Je pense qu'on saura se contenter d'un modérateur . Impe...
  8. Imperator

    Jeunesse, vie et déclin

    Rédemption: Ma vie aurait pu s'arrêter à cela, à cette succession sans sens d'hommes et de femmes... C'était le plus sûr chemin pour la destruction et la seule voix que je pouvais emprunter alors, la plus déshonorante, la seule que le destin m'offrait et que j'acceptais comme un libération. Mais s'il est des dieux en ce monde, ceux-ci furent assez cruels pour m'infliger une ultime blessure, la pire qui pouvait m'être octroyée, le souvenir vivace de mon passé, d'une joie qui avait été, si peu de temps hélas, la mienne et d'un visage que j'avais préféré oublier. Tout a commencé lors d'une des nombreuses réceptions qui se déroulent au château. Je venais d'entrer dans la salle à manger, ombre parmi d'autres ombres, marchant sans but au travers des convives. Je ne pensais alors à rien, ne ressentait rien et, pour être tout à fait franche, n'entendait même pas ce qui se disait autour de moi, comme si toutes les paroles échangées aussi puissamment pourtant n'étaient que les murmures impossibles des muets. Pourtant j'entendais, oui, j'entendais et ce fait éveilla ma curiosité trop longtemps engourdie pour que je m'en méfiasse. Tendant l'oreille, je prêtais attention au son particulier qui m'avait attiré, une mélodie étrange, et soudain propulsée par une énergie qui m'était devenue totalement inconnue, je fendis la foule en sa direction, pour en trouver l'origine, comme si celle-ci pouvait m'apporter autre chose que la mort après laquelle, depuis des semaines alors, je courrais. Mais ma course cessa aussi subitement qu'elle avait commencée aux pieds de Gilles. Il avait revêtu son plus beau vêtement, et entourant sa prestance de ce torchon, me regardait d'un air contrarié, furieux même, mais d'une fureur qui s'éteignit bien vite. "Nous parlions justement de toi.", me dit-il alors pour mon plus grand étonnement, en se tournant vers un gros homme dont le ventre n'aurait rien eu à envier aux plus fortes barriques. Pourtant ce ne fut pas son ventre qui m'attira vers lui, mais bien son visage, un visage que, malgré les années écoulées, je reconnus immédiatement et avec frayeur, car celui qui le possédait alors m'avait été donné comme mort. Ce visage n'était autre que celui de mon oncle, ou celui qui, le premier, avait tenu ce rôle, mon premier gardien, celui que je nommais "Khal". Sans faire attention à mon trouble, il me tendit une cage dorée aux fines ciselures et recouverte d'un magnifique drap blanc aux motifs dorés eux-aussi. J'abaissais les yeux sur la cage, puis les relevait et, sans comprendre, dit: "Merci." Gilles se retourna devant moi, l'aiur furieux, m'insultant pour l'avoir dérangé et à côté de lui se tenait un gros homme dont le ventre d'aurait rien eu à envier aux contrepoids des trébuchets et au visage joufflu et à ce point recouvert par la graisse que les yeux apparaissaient comme deux points noirs sur sa face. Son rire, enfin, faux, cassant, moqueur, finit de me mettre en fuite, laissant ainsi le loisir aux deux hommes de reprendre leur discussion. Ce n'est qu'une fois dans ma chambre que j'aperçus dans mes bras la grande cage dorée. J'ôtais le drap et un petit chant m'en remercia joyeusement. Dans la grande cage il y avait deux oiseaux, un jaune et un blanc. Le jaune semblait avoir du mal, parfois, à rester parfaitement cohérent, comme si ses os refusaient de se tenir les uns les autres, et sur le ventre de l'oiseau blanc j'aperçus des traces nettes de sang, un sang rouge clair, mais déjà sec. C'en était trop en une fois, et je sombrais dans un profond sommeil, incapable de savoir si je ne rêvais pas déjà. Au milieu de cette pensée, je ne sais pourquoi, je me suis prise à souhaiter ardemment que tout cela ne fut pas un rêve. Plus encore, j'implorais que ce ne le fut pas. Pas envie de lire, rien envie de faire, mais au moins j'ai avancé un peu ici... Bon, c'est sans doute plein de lapsus (j'en ai remarqué un au départ lors de mon écriture), mais au final ça devrait passer inaperçu. Pour le reste j'essaie de repartir vers quelque chose de moins "manichéen" (homme=viol) et de peut-être un peu plus beau. La transition est finie et puis... De toute manière avec le blues, j'ai pas envie d'écrire des choses tristes. Petit détail: le départ n'est PAS une manière de répondre à Elgalen. Du reste ses propos étaient et sont toujours parfaitement justifiés. C'est juste que je voulais marquer cette absence de sentiment chez Claire, et doucement en arriver à ce qu'elle voulait vraiment, comment, inconsciemment, elle s'était enfermée dans ce qu'il y a de pire. Les indices ne manquent pas, à vrai dire je m'exprimer même assez clairement à ce niveau. M'enfin, reste encore quelques passages à écrire, et puis la fin à mettre en forme. Après... Après on passera à la suite, ça n'a pas d'importance. Impe, "OH oui, j'ai le blu, le blu, le bluuuuuuuuues...." ps: mais heureusement y a un magnifique soleil derrière la fenêtre
  9. Imperator

    Suite...

    Juste pour dire que comme Gromuel est de retour et que moi, en ce moment, j'ai comme qui dirait le blues , je repasse enfin la main. Par contre j'suis toujours partant hein , pas question de sauter mon tour! Impe, j'suis p'têtre pas aussi fort que les autres, mais j'veux quand même continuer à participer B) . ps: je mise sur le lapin chaotique!
  10. Imperator

    Les sept compagnons

    Entre le blues (qui veut pas me lâcher ) et mon nouveau boulot (et oui, je bosse ), ça va pas être évident. D'autant que je compte trouver un jour le moyen de lire la fameuse saga dela francesca! Mais on va essayer . Impe, oh oui, j'ai le blues...
  11. Imperator

    Suite...

    Pas de chance... Remarque, c'est très joli les pyrénnées. Ceci dit, en théorie, Gromuel a une case de prête au cas où. Seulement comme il n'est pas là ça m'étonnerait beaucoup qu'il puisse pallier à cet imprévu . Le plus simple, c'est que le prochain fasse la suite. Otaji, c'est à toi . Impe, le pauvre lapin... un lapin zombie à présent?
  12. Imperator

    Suite...

    Je me posais la même question... Mais Von helleclaw a jusqu'à ce soir . Il fait durer le supsens le bougre! . Impe.
  13. Imperator

    Suite...

    Pas de problèmes . La question est: qui prend la place? Ben tiens, puisque les absents ont toujours tort, ce sera le tour de Gromuel . Impe, il a pas dit non, donc c'est oui...
  14. Imperator

    Les sept compagnons

    Tu va rire, mais j'ai encore trouvé un problème dans le texte... En fait tu as trop exagéré le passage en souvenir où tu dis que les enfants ont de drôles de rêves, tu sais, avec le carquoi, devenir le meilleur archer, un grand chevalier... Au bout d'un moment ça ne parait plus naturel. Impe, ceci dit, je retourne vite à mes occupations.
  15. Imperator

    Les sept compagnons

    J'suis pas contre. Par contre, au regard des autres elfes, c'est avant tout le gros des troupes qui doit être de première importance. Quant au discours, autant qu'il parle de la vengeance, etc... Bref, je te fais confiane pour tout mettre en ordre. Je sais... Mais rien n'empêche que l'esprit de Kev ait suivi ses compagnons un instant avant de réintégrer son nouveau corps (enfin, explication que tu voudra, qu'importe? ). L'important est de montrer ce lien. Or quoi de plus normal qu'un lien de cause à effet? Le mec sent pointer une menace mortelle (même si elle ne se réalise pas), et l'autre se réveille en sursaut. Du reste, as-tu déjà lu Bob Morane? C'est pas une source de haute littérature, mais à de nombreuses reprises le héros semble s'être fait tué alors qu'il a simplement été "assomé/drogué/ébloui/ ce que vous voudrez...". Je te propose la même chose, mais en moins fort. Par exemple, faire se terminer la chose par un coup de poing magistral avec ruée des soldats pour lui règler son compte (d'abord ruée, puis soudain voit le coup de poing arriver, grande douleur, trou noir et réveil en sursaut). Après, c'est normal que le grand manitou ait calmé ses troupes. Le mec n'aura pas été tué, on reste dans la logique des choses et on a notre lien... Remarque, si tu trouves un autre lien évident, j'ai rien contre . Je n'en doute pas une seconde. Tu remarquera d'ailleurs que je n'ai fais aucune remarque sur l'orthographe, et ce simplement, en y repensant, parce que ça m'était sorti de la tête puisque rien n'était venu me rappeler cet aspect-là. En un mot comme en mille, j'ai jamais eu à m'en soucier tout au long du récit, et y a pas à dire c'est agréable. Un exemple à suivre, un exemple que je devrais suivre .... Tant mieux... En effet je ne vois pas l'intérêt de les garder. Perso je me contente simplement de faire une copie de mon fichier Word avant de modifier. Du coup j'ai la version 1.0, 1.1, 1.2, 2.0 lorsque je reprends du départ... etc de mon texte. Mais je ne présente jamais que la version finale . Et puis... Faire disparaître deux ou trois pages de ton récit peut aider à donner du courage aux lecteurs . Parce qu'au final c'est moins long qu'il n'y parait. ps: à ce sujet, si tu veux, tu peux simplement rouvrir un nouveau sujet avec l'ensemble de ton texte final, mettre un lien vers ce nouveau sujet dans celui-ci et m'envoyer un PM pour me demander de fermer ce sujet...(ce que je ferais). Une sorte de remise à neuf . Et ce sera plus simple que de tout effacer. (sans parler du problème des commentaires). Dix minutes à tout casser, c'est bien peu de choses ... J'aurais voulu faire plus développer, mais ces temps j'ai vraiment les idées ailleurs, et ça bloque tout. Impe, à moitié dans le néant, à moitié dans le cirage
  16. Imperator

    Les sept compagnons

    J'ai trouvé un des passages: Y a un Kirla de trop... Et un Ilia qui manque . Mais franchement, ça peut être déroutant. Quant à l'intrigue, effectivement on commence à s'en rendre compte. Pour les raisons d'attaquer les humains, j'insistais sur le fait que de par ta façon de le raconter et de tout miser sur salvatus, on dirait que la principale raison est de sauver les humains. Pour les elfes (peut-être par pour Imladrik,mais bon), c'est loin d'être une raison. Au contraire il vaudrait mieux pour Imladrik d'en parler un minimum, un peu en secret...Enfin, c'est mon avis. Question transition: Effectivement, la fatigue aidant je n'avais pas vu ce lien... Du reste, j'étais justement en train d'y penser (sous la douche) à cette idée de rêve pour faire la transition. Une petite différence tout de même, c'est qu'une transition se doit de marquer un lien clair. Ici on termine une action avec une phrase relativement peu dynamique et soudain on passe à un réveil en sursaut. Franchement, ça ne colle pas. Essaie plutôt de faire une fin où on a l'impression que le type va se faire tuer, et soudain le réveil en sursaut. Là on sentira le lien, et en plus on sera doublement intéressé. D'un part par ce nouvel être qui semble lié au sort des sept compagnons (qui semble, tu parles ), et d'autre part à la question de savoir si oui ou non l'autre se sera fait tuer et ce qu'il sera advenu de lui... Bref, de quoi maintenir un certain suspens. Pour la machine à lancer des épées, c'est juste qu'elle apparait en une phrase et disparait aussitôt pour résoudre une énigme à peine entamée. Si on avait eu un long monologue d'un elfe se demandant comment ça avait été possible, et fouillant dans les possibilités, et au milieu de cela l'idée vite oubliée du lancé de couteau (oublié de par la force qu'il aurait fallu avoir, ou que sais-je), l'arrivée de cette machine aurait été déjà mieux vue . Reste qu'il est plus simple pour les hommes de faire empenner des flèches de couleur verte pour aller tuer les guetteurs et jeter l'opprobe. À voir si tu comptes refaire intervenir ta fameuse machine (ce peut être un beau coup de théâtre...). Impe, en passant... ps: ma quote provient du dernier chapitre... par contre je crois que tu as confondu durant plusieurs chapitres du texte...J'ai même cru à des lapsus révélateurs, ou un signe...
  17. Facile... on descend les aigles en spécial . Du coup il ne reste plus que les balistes et lions blancs qui peuvent s'opposer à elle, tandis que les aigles pourront s'opposer aux chars (tu parles ). Bon, c'est surtout l'ouverture vers des listes surbourrines... Question fluff, je ne dis pas, les gardes phoenix sont très bien en rare. Mais question jouabilité, faut avouer que ça pourrit tout. Franchement même à 15 points pièce, en spécial (en plus de devoir les acheter dans la réalité), je veux bien les jouer . J'en serais même heureux. Mais devoir me passer et d'aigles et de balistes à 1500, et devoir me contenter de deux aigles à 2000 alors que j'aurais impérativement besoin de mes balistes (pour faire face aux gros monstres et personnages surbourrins), ça fait mal. Quant au fluff, il reste correct dans la mesure où l'unité est limité en 0-1, de la même manière que les MdE ou les princes dragons, qui ne sont d'ailleurs pas plus courant que des gardes phoenix... Mais on peut toujours rêver. Les gardes phoenix n'en restent pas moins à 15 points, et en choix rare. Reste alors à réussir à exploiter ce nouvel avantage qu'offre la peur, et, comme je crois l'avoir dit précédemment, de la seule manière vraiment sûre, en essayant de faire fuir automatiquement l'adversaire (et l'ajout de char, en plus de faire baisser la PU adverse peut aussi aider à rattrapper ledit adversaire). Un groupe de 16 gardes phoenix, du moment qu'il charge, a tout de même cet avantage sur les autres unités d'élite hauts-elfe de n'avoir à gagner le combat de 1 (en plus d'avoir le surnombre) pour faire fuir l'adversaire. Il m'est déjà arrivé de gagner le combat de 6 avec des lanciers (de flanc, et je considère aussi les lanciers comme de l'élite) et ce au second tour de CàC et de voir l'adversaire réussir son test... Avec la GP, il n'en aurait pas été de même. De plus on gagne cet avantage minime mais toutefois réel d'être immunisé à ladite peur, et ça c'est déjà pas mal... Reste que si c'est jouable selon moi (et je l'ai déjà combattue (certes avec des squelettes khemri) pour savoir qu'elle peut avoir de l'efficacité (minime)), ça ne vaudra évidemment jamais ni les aigles, ni les balistes. Par contre ça peut valoir et les MdE et les lions blancs, même si leur rôle est légérement différent (surtout par rapport aux lions blancs). Bref, si je dois encore faire un achat, ils seront sur ma liste, et je compte bien les essayer. Espérons que d'ici-là elle sera descendue en spécial, et les guerriers fantômes et patrouilleurs ellyriens en base . Impe, c'est vrai qu'il faudrait équilibrer le LA HE, parce qu'entre une cavalerie lourde en base, des chars bien forts, des dragons, une magie puissante et des gardes phoenix ou autres gardes maritimes, c'est vraiment pas la justice qui règne.
  18. Imperator

    Les sept compagnons

    Beaucoup à dire, mais un peu fatigué pour ça... Tout d'abord, je n'ai pas lu ton récit dans des conditions optimales, ce qui a peut-être altéré mon jugement. Ensuite, un fait très important, par pitié édite les morceaux plutôt que de les remettre par la suite. Ta méthode allonge considérablement la lecture, perd le lecteur et m'a sorti de l'immersion déjà partielle qui était la mienne. Le pire à ce niveau est ce long passage qui relate le départ de l'aventure, lorsqu'ils jouent avec le bilboquet et que les deux compagnons se font tuer par des flèches vertes, et ce au beau milieu du récit sans que rien ne le rattache à l'action en cours, ni rêve ni pensée. Ensuite quelques remarques hâtives. J'ai beaucoup aimé le départ, jusqu'à ce qu'on en arrive aux elfes et à leur vie, avec ces histoires de sangliers. Là, j'avoue que j'ai dû me forcer un peu pour lire. Le style était bon, les phrases jolies, mais au final je n'accrochais pas, tout cela me semblait tout à fait étranger, mais étranger sans éveiller ma curiosité. Le coup de cet appareil à lancer des épées dont on a, par la suite, plus entendu parler et qui semble n'être qu'une solution de facilité (mais peut-être est-ce plus probablement ce que tu avais prévu, mais insuffisamment développé), m'a achevé. Finalement, l'arrivée des autres tribus a réveillé mon intérêt, ne serait-ce que par les chevaucheurs d'aigles qui avaient l'avantage de m'inviter au rêve. Peut-être est-ce là le signe de ce qui me posait problème, que tes elfes n'aient, jusqu'à cet instant, jamais paru à mes yeux autrement que comme des humains, et des humains bien faibles d'ailleurs puisqu'une journée de jeûne est capable de les couper de toute force. Peut-être aussi le manque de transition? Il faudrait voir ce point... Mais ce qui m'a enfin vraiment raccroché au récit et permis de m'immerger à nouveau fut l'apparition de ce rêve qu'a eu Kirla. Enfin je retrouvais ce qui m'intéressait avant tout, l'aventure des sept compagnons. Que n'as-tu pas parlé de ce lien plus tôt, ne serait-ce que par quelques fines allusions, et m'aurait permis de bien plus vite m'intéresser... La bataille en elle-même ne m'a pas parue rès vivace, peut-être parce que j'ai passé le principal de ma lecture sur ce point à me demander quelles étaient exactement les forces en présences. Particulièrement parce que l'infanterie semblait n'être composée que de dix elfes, ajoutée aux cinquante aigles,ne restait plus qu'un nombre aléatoire mais certes peu élevé de chevaucheurs. En face, par contre, ce sont des milliers d'hommes qui semblent siéger, mais dans une cité qui doit être fort grande. Bref, je n'épiloguerais pas là-dessus, puisque de toute manière je ne m'intéressais surtout qu'à Kirla. Toutefois deux derniers points: - je n'ai pas compris l'objectif d'Imladrik... Voulait-il faire un raid, libérer les hommes et s'enfuir, ou réussir à tuer tout les humains? Dans ce second cas, comment comptes-il réussir avec sa poignée de soldats? - Mais pourquoi donc ce sauvetage est-il important pour les elfes? C'est sur ce second point que j'insisterais... Tout au long je n'ai cessé de me demander: - mais pourquoi ne les ont-ils pas tués ou fait rançonner? - pourquoi les elfes peuvent-ils bien s'y intéresser au point de faire une pareille expédition... - en quoi ça peut bien les déranger que des hommes torturent d'autres hommes? Je sais qu'on parle d'êtres injustement torturés et emprissonés, mais ces excuses me paraissent bien faibles. S'il s'était s'agit d'elfes, j'aurais compris, mais un homme reste un homme, et le réflexe d'Ilia semble confirmer mes dires. Les prisonniers n'ont aucun lien connu avec les elfes, les elfes n'ont aucune raison de mourir pour eux... Attaquer les humains oui, mais libérer ces êtres... Enfin la confrontation. J'avoue avoir beaucoup apprécié toute la partie dès l'entrée dans la prison. Les dialogues sont bien faits, les interventions sympatiques et intriguante, le mystère est bien mené et très instructif. C'est sans doute sur cette partie, ainsi que le départ, que j'ai été le plus à même d'apprécier le texte, le scénario. (car au final c'est bien le scénario que je mets en cause). Enfin, un petit détail, mais tu sembles confondre sans arrêt les nom d'Ilia et de Kirla, au point que j'en ai été perdu. J'aurais dû garder en mémoire la phrase la plus significative, mais je tenais à te présenter celle-ci: J'aurais plutôt dit qu'un elfe qui tue quelqu'un de son peuple, c'est abject et justement plus qu'humain ... Mais tu dois me trouver dur, et dur je le suis . Sans doute trop car en vérité, je le sais, j'ai passé une heure à lire sans y faire attention, et bien que parfois j'aie lâché le texte, ça a été pour m'y replonger de plus belle. Donc au final, je serais bien injuste en disant que je ne l'ai pas apprécié . Du reste, j'aime aussi énormément la manière dont tu humanises les elfes en faisant ressortir ce qu'ont de mauvais les préjugés et la xénophobie. C'est une morale que tu mets bien en évidence et d'une manière très naturelle. De même, l'épisode des deux vigiles que l'elfe voudrait ne pas tuer m'a presque ému, dans le sens où tu avais pris le temps de nous les présenter, qu'ils m'étaient devenus amicals et que comme pour l'elfe j'ai eu de la peine à les voir mourir. Au fond tu as réussi à guider mes pensées en me faisant d'abord prendre en amitié les futurs morts pour mieux me les faire regretter et par la même me sentir lié à l'elfe qui, comme moi, les regrette. Bref, c'est vraiment un beau coup dont j'espère retenir d'ailleurs le principe . Là du reste, je n'ai qu'une chose à te dire, et c'est: mes félicitations , car tu m'as bien mené . Que dire d'autre? Malgré tout ce que j'ai pu avoir à lui reprocher, ton histoire s'est montrée pleine de surprises, et d'une morale qui n'a pu que me toucher, tout au long du récit. Au final je dirais simplement que j'espère trouver le temps (mais c'est plus une question de volonté, volonté de sortir du néant) pour lire une suite qui, j'en suis sûr, ne saurais tarder. Je t'ai fais des reproches, des reproches que je crois fondés, ou tout du moins qui transcrivent les impressions profondes que j'ai eu tout au long de ma lecture, mais acceptes tout de même mes félicitations pour un texte cohérent et au final très bien mené . Imperator, il me faut lire la saga dela francesca à présent...
  19. Imperator

    Les sept compagnons

    Je te le fais pas dire . Va en falloir du temps pour tout lire... Et encore plus pour faire une puissante critique. Impe.
  20. Imperator

    Serge le Poltron

    À mon avis, Popaul a carrément déménagé... Mais essayons de rester aussi politiquement correct que possible (y a des mineurs sur ce forum, dont, à quelques mois près, je ferais partie...) . C'est bizarre tout de même, le marin n'a pas la petite voix fluette qui va avec . Impe...
  21. Franchement, sans être un expert, j'aime. L'esprit est bien représenté (moins de défense, plus d'attaque) et puis, je dois bien l'avouer, j'aime le fluff. Du reste, j'ai dévoré les histoire des deux persos spéciaux. Bref, ça me donnerait presque envie de commencer les CV avec des lahmianes. (de toute manière je ne vois pas qui d'autre je pourrais jouer chez les CV). Impe, faudrait quand même trouver moyen de personnaliser un peu plus les unités spéciales, non?
  22. C'est tout de même la seule troupe (et je dis bien troupe) elfique permettant d'exploiter une autre facette de la psychologie que la panique. C'est pas si mal. Reste qu'en tant que haut-elfe, on a pas l'habitude de jouer avec ça... Et c'est vrai que le reste est plus facilement rentable, surtout dans les unités rare. Impe.
  23. Minime tout de même... On a la bannière du lion, un cd de 8 à 9 et divers autres objets assez efficaces dans le genre. Sans compter que cela ne résout pas l'utilisation de la GP dans un cadre général. Au passage, la peur m'a rarement posé problème, la terreur déjà plus... Compter sur un ennemi qui rate son test, c'est très limite. Contre des armées à très faible CD, pourquoi pas, mais si je dois jouer contre un bretonnien, je ne vais pas risquer de laisser ma GP se faire charger en priant (la dame?) pour qu'il rate son test. Reste: - faire fuir automatiquement l'adversaire - le faire rater son test quand on charge, auquel cas il touche sur du 6+... Il faudrait aussi voir sa force de frappe par rapport aux lanciers... Parce que contre de l'endurance 3 et 4+ de save, il me semblait que lanciers et MdE (suivant la manière de les placer) obtenaient à peu près le même résultat... Mais vu la force réduite et le manque d'attaque supplémentaires, la GP ne doit pas être à ce niveau... Bref, au fond on peut surtout espérer faire fuir l'adversaire, et peut-être adjoindre un ou deux chars à l'unités, plus soutenir avec deux balistes, ce qui devrait permettre d'obtenir facilement le surnombre... Enfin, contre une cavalerie, la GP risque de gagner assez souvent. Avec sa CC de 5, on la tochera toujours sur 4+, et si l'autre ne fait pas assez de morts, il fuit... Je parle bien sûr de petites cavaleries de 5 attaquant de face, mais c'est tojours ça. Et pour être sûr de gagner le combat, la bannière de guerre me semble indispensable. Format optimal par 16... Le champion ne me semble pas nécessaire, puisqu'on ne compte pas sur la force de frappe du régiment même. On arrive donc à quelque chose comme: 16 GP: 16*15: 240 + étendart et musicien: 21 + bannière de guerre: 20 Soit 281 points pour un pâté de 16. Contre 258 en MdE (avec champion et bannière de guerre, toujours par 16) et 214 pour les lanciers (avec musicien, étendart et bannière de guerre, toujours par 16). Au final ce n'est pas bien plus cher que des MdE. De la même manière que les MdE, il faut charger ou fuir, on ne perd que 1 de force et 1 de CC pour être immunisé à la peur et provoquer ladite peur... Donc certes c'est plus dur à rentabiliser... (déjà que les MdE peuvent décevoir) mais ce n'est pas tellement plus sac à point que tant. Sauf que ça prend un choix d'unité rare. À 2000, pour une liste avec GP, je verrais bien: prince porte-PAM (merci zara ): 240 20 lanciers avec musico et étendart: 238 20 lanciers avec musico et étendart: 238 5 HA avec musico: 122 5 HA avec musico: 122 2 chars: 170 2 chars: 170 5 patrouilleurs avec musico: 97 5 patrouilleurs avec musico: 97 16 GP avec musico et étendart, bannière de guerre: 281 2 balistes: 200 Soit 1975 points. (on trouve toujours l'utilité de 25 points...) On obtient alors un centre très dur avec la garde entourée par deux pâtés de lanciers (par 20, durs à prendre). 4 chars qui apporteront une puissance de frappe suffisante pour amenuiser les pâtés ennemis ou protéger les balistes, etc... Et des balistes pour affaiblir les futures proies de la GP. On pourrait aussi envisager l'utilisation d'un prince pot-de-colle qui permettra à la GP d'assurer sa charge. Mais l'arrivée des gardes phoenix dans ma liste ne m'enlève pas beaucoup de troupes et je conserve une certaine puissance. Je ne sais pas à quoi ça nous mène, car 67 points pour provoquer la peur et échanger les 12 attaques de force trois par 4 attaques de force 4, ça me semble un peu fort. Toutefois, bien utilisée, la garde phoenix doit tout de même pouvoir s'avérer redoutable, surtout si on a un peu de chance. Reste que comme cela a été bien dit, la GP ne sera jamais à la hauteur de deux balistes ou de deux grands aigles...
  24. Imperator

    Atterissage

    Attention, que ça ne parte pas non plus trop dans le débat de fluff... Oui il a existé une version qui permettait à des archers de tuer du marine, et en effet, dans la vérité, vu les surhommes et ce à quoi peuvent résister leurs armures, ce serait très improbable. Reste à voir ce qui serait le mieux pour le texte, que les archers puissent les tuer ou pas? En ce qui me concerne, mieux vaut qu'ils ne risquent rien contre de simples mortels, ce qui leur permettra de se mettre en danger contre des démons. De plus, vu le ton neutre employé, nous ne sommes pas prêts à les prendre en pitié, donc ce risque n'aménerait rien au récit, sinon le compliquer. Impe, on recentre le sujet Il n'a fait que rajouter une couche en passant du blindage de char au bunker nucléaire...
  25. Si, y a encore une section récit . Seulement on a tout réunit plus haut, en section communauté. Bon, j'ai pas le pouvoir de déplacer, donc en attendant je te conseille de venir poster là-bas , ce sera plus simple pour recevoir des commentaires. (sur le récit, difficilement sur les caracs). Impe... Allez, un petit lien: section récit et poésie / fantastique À priori, pourtant, elle est plus visible qu'avant
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.