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Ryuken

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Messages posté(e)s par Ryuken

  1. Ah bah oui, mais comment voulais-tu que je le saches :)

    "Et si je l'eusse su tu ne l'eusses pas vu"

    Bon bah je vais m'écouter ça moi, merci pour le lien, et puis après je vus posterais la suite, comme ça vous vous endormirez en pensant:

    "Ouf, y a plus con que moi" :)

    Ryuken, canard blaguedrôlophobe.

  2. Merci beaucoup! :)

    Après LOTR, une petite dérive Naheulbeuk...?

    Hélas je n'ai pas lu naheulbeuk... à priori le prochain épisode continue sur mon délire LOTR, j'ai encore plein d'idées :)

    Mais Gavin, une mitrailleuse enrayée et un célèbre tube des guignols seront aussi au rendez-vous!

    Ryuken, docteur ès humour lourd (ça rime en plus, ah, quel poète je fais...)

  3. Bon, je vous préviens, ce chapitre est moins drôle/pathétique car j'y met en scène mon histoire farfelue. Je promets de me rattrapper au prochain (Au programme, intervention musclée de Gavin, visite inopinée de la Terre du milieu et échangisme avec des furies... :) )

    II/ Le plan affreusement maléfique

    Quelque part (sans blague...), le même jour que le chapitre I (en gros on s’en fout)

    La créature masquée faisait les cent pas dans la pièce.

    C’était un bipède doté de quatre membres (deux antérieurs, deux postérieurs (ainsi qu’un autre postérieur...), il était doté de cinq prolongations à chacun de ces membres, d’une autre à l’entrejambe et d’une intelligence plus que limitée... bref, c’était un humain.

    Joan Nepher (note de l’éditeur: et merde il casse le suspens, quel con cet écrivain, vous lui donnerez demi-ration ce soir!) s’arrêta brusquement.

    -Qu’est-ce que t’as à me regarder, hein? Tu te fous de ma gueule maintenant que j’ai pris ma retraite? Tu crois que ça suffisait pas ces crétins d’elfes de la Tour Blanche de Hoeth?

    Ah maintenant que je suis plus là tu rigoles, mais attends un peu que je revienne!!!

    Ma vengeance sera teeerrriiiibbbllllllleeee!!! Mwahahahahahah!!!!!!!!

    Je renverrais Volkmar à Be’lakor! Je tuerais le conte de Neudorf! (nota bene: Ludwig Muller) Et je serais maître du monde!!!

    Ses anciens fidèles tentaient de le calmer. Le petit Mil (désolé, j’ai honte de ma blague) et les borgnes (c’est les borgnes....) s’activaient autour de lui.

    -Allez, chef, c’est pas grave!

    -Silence! hurla Nepher. Article 20 de la charte, vous n’avez pas le droit de me critiquer!

    -Euh, oui boss c’est bon, on recommencera pas...

    -Bon. Qui est l’énième crétin que Volkmar envoie contre moi?

    -C’est un chevalier inconnu qui s’appelle Pissauvent.

    -Il ne doit pas venir à bout d’Archaon!

    -Mais, pourquoi? risqua l’un des borgnes.

    -Parce que grâce à un sortilège que j’ai lancé, je contrôle Archaon grâce à sa poupée!

    Mwahahahahahah!!!!!!!

    -Mais, qu’est-ce qu’on va faire? demanda le petit Mil.

    -Comme tous les soirs, Mil. Nous allons conquérir le monde!!!

    -Concrètement?

    -Nous allons envoyer Pissauvent à Naggaroth! Pour le sauver la tour blanche enverra ses forces et ainsi nous ferons deux pierres d’un coup!

    -Génial! Inouï! Et pour le comte de Neudorf?

    -Pour lui, écoutez bien, j’ai un plan!

    Nepher le sombre se pencha et murmura à l’oreille de ses fidèles (note de l’éditeur: Génial! Merveilleux! Quel suspens!).

    Sortie Nord d’Altdorf, quelques heures plus tard.

    Pissauvent était sur son cheval. En fait de cheval, c’était une vielle carne qui n’avait plus que la peau sur les os. Notre héros lui-même était équipé d’une superbe armure en plastique et d’une épée de puissance en carton (made in Cathay). Sam Dégoûte (oui, ben moi c’est mon humour qui me dégoûte...) trottait quand à lui sur le dos d’un chihuahua bleu (tin tin tin tin tin! Chihuahua! )

    Formulant une dernière prière à St-Alessio son ange gardien (qui semblait lui avoir communiqué son humour pathétique...), Pissauvent s’engagea sur la route du Chaos (en trois rounds). Mais il n’avait pas fait quelques lieues que trois brigands lui fondirent dessus.

    -Les bourses ou la vie!

    Pissauvent avait mal entendu la réplique sus-citée. N’ayant pas particulièrement envie de se voir privé de ses parties génitales, il tenta de forcer le passage. Mal lui en prit, il reçut en effet un couteau dans le cœur.

    Sentant son âme monter vers les cieux, Pissauvent invoqua silencieusement son ange gardien.

    -Pissauvent! Utilises ta sauvegarde d’armure!

    Le chevalier se releva (les parenthèses suivantes expriment les pensées de notre ridicule héros).

    -J’ai une armure lourde (en plastique) et un noble destrier (une vielle carne), donc j’ai une sauvegarde à quatre plus (pas de sauvegarde)

    -D’accord, dit le milicien. Lance un dé.

    Pissauvent prit de sa poche un dé, le lança et tenta de le faire retomber sur un six en utilisant la force comme le lui avait appris son maître Qui-Gon-Jin (un étrange nippon).

    Le dé s’immobilisa sur un un (hin! hin!).

    -T’es mort!

    -Alessio! Invente une règle!

    Le saint concepteur de règles lui souffla quelque chose à l’oreille.

    -Second signe d’Amul!

    Il relança son dé, qui, à son grand soulagement, fit cette fois un quatre. Il se jeta alors sur le premier brigand et lui laissa la trace de son bouclier sur la gueule, se jeta vers le suivant en hurlant “Plus deux en force en charge!” et lui transperça le ventre d’un coup puissant. Il n’avait cependant pas vu le dernier qui s’était skavenement (nb: synonyme de “sournoisement”) approché de lui par derrière.

    Sam vit qu’il était temps de faire quelque chose. Il sauta sur le brigand qui eut une crise cardiaque en regardant sa tête et périt sur le coup.

    Ils étaient sauvé, quels grands guerriers ils avaient été! Remerciant silencieusement Games Workshop d’avoir inventé le domaine des cieux, Pissauvent allait reprendre sa route lorsqu’une il entendit une voix:

    -Pas mal, pas mal du tout!

    Le pathétique chevalier se retourna et dit:

    -Mais qui êtes-vous?

    -On m’appelle Khaela, répondit l’inconnu, je suis un elfe n... un haut elfe et le seigneur Volkmar m’a chargé de vous conduire à Archaon

    -Ah, ouais... et on passe par où? Parce que là y a un panneau.

    Pissauvent lut l’écriteau: “Chaos, à trente kilomètres, route réservée aux alcooliques et aux suicidaires”

    -C’est là non?

    -Que nenni, que nenni! Nous devons traverser Naggaroth, le pays des elfes noirs!

    Ainsi Archaon à revers nous prendrons!

    -Méfions-nous, murmura Sam. Les vêtements noirs et violets ne sont pas à la mode en Ulthuan...

    -Attends, c’est le super-giga chef modérateur, tu vas quand même pas avoir des soupçons!

    -Bon, et on part comment pour Naggapète?

    -Naggaroth, corrigea Khaela. J’ai loué un bateau. Il nous faut aller au port.

    Les trois compères se dirigèrent vers l’immense port d’Altdorf (note de l’éditeur: qui est située en pleine forêt... mais pourquoi j’ai engagé ce crétin?)

    Ils s’arrêtèrent dans une auberge.

    -Mais qu’allons-nous faire une fois à Naggadégueule?

    -Naggaroth, corrigea Khaela agacé.

    -J’ai bien entendu Naggaroth? les interrompit un elfe habillé de blanc avec un bandeau sur les yeux.

    -Euh, oui, mais, pourquoi?

    -En ce cas je suis des vôtres. Eltharion le maudit.

    Il faut ici préciser un peu au lecteur le personnage: chacun connaît Eltharion, sa cécité et sa soif de vengeance. Cependant, le roi Finubar, en vrai tapette qu’il est, refuse de suivre “l’épée blanche” pour détruire Naggaroth. Eltharion a aussi commis l’erreur de se tromper de chambre en allant à un rendez-vous galant (bah oui, il est aveugle) et de tenter de sauter la nièce du roi. Il est donc en exil temporaire.

    -Par les dieux, voilà une quête qui promet! lança un tueur à la barbe orange foisonnante. Hal Berenstein. Ingénieur-tueur. Je viens avec vous. Qui sait, la mort est peut-être au bout! Ma hache est vôtre!

    -Mais... ça existe ça un ingénieur tueur?

    -Ben, officiellement, non mais... en fait j’avais beaucoup bu et j’ai fait péter ma forteresse, et puis, j’ai prêté le serment du tueur... j’avais vraiment beaucoup bu...

    Khaela l’interrompit:

    Bon, c’est pas tout ça, mais on a un bateau à prendre nous... on va devoir y aller.

    Ils sortirent de l’auberge (“Au mouton dépecé”, la meilleure de la région!)

    -Mais, y a pas de bateau??? s’étonna Pissauvent.

    -C’est vrai, ça... se demanda Hal. Hé, l‘aveugle, que voient vos yeux d’elfe?

    Eltharion lui mit son poing dans gueule.

    Ils attendirent une heure. Toujours pas de bateau.

    -Ah, enfin le voilà, murmura Khaela.

    -Je vois rien!!! trépigna Sam.

    -Désires-tu que je te décrives la scène ou que je t’apporte un parapet? demanda malicieusement Hal.

    -Ouais, c’est bon, tu me casses les couilles avec tes répliques à deux balles, moi aussi j’ai vu LOTR, on a la télé chez les halflings!

    -En ce cas...

    -Bon arrêtez de vous chamailler tous les deux. On embarque.

  4. Hier, je piétinais sur mes textes. Je me suis alors défoulé en réalisant le texte le plus con que j'aie jamais fait. Inspiré par Asurear et Pratchett (auquel je rend ici hommage, vous ne comprendrez pas tout sans l'avoir lu), j'ai déliré pendant une demi-heure sur mon pc. En relisant je me suis aperçu que c'était à peu près compréhensible par d'autres que moi, même si je suis à des lieues des auteurs sus-nommés.

    C'est tellemment nul que je tiens à en faire profiter tout le monde, c'est pas souvent qu'on à le doit à une telle concentracion de blagues pas drôles dans un texte aussi court :D

    Les annales du Marteau-monde

    Prologue

    Dans l’océan cosmique, les étoiles se meuvent lentement à travers l’infini, apportant au vide leur lumière comme de petites lucioles.

    Regardez, orques brutaux, rustres humains, nains radins, elfes-éminés, lâches hommes-rats!

    Devant vous est le bouclier, lancé comme un disque par une main inconnue, il parcourt l’univers sans fin (nota bene: l’auteur de ce texte ayant une moyenne de 1.5 en lancer de disque on ne saurait prouver sa compétence en matière de lancer, il se peut donc que quelques erreurs se soient glissées dans ce texte hautement scientifique).

    Regardez, orques brutaux, rustres humains, nains radins, elfes-éminés, lâches hommes-rats!

    Devant vous, se trouvent les quatre polos rouges, employés d’une monstrueuse machine capitaliste, vendeurs ayant vendu leurs âmes à la sainte machine économique.

    Jour et nuit, sans relâche, payés au SMIC, perchés en équilibre instable (nota bene: où est-ce l’auteur qui a trop bu?) sur le bouclier, ils portent le marteau en chantant à tue-tête:

    “Si j’avais un marteau, le marteau de Sigmar, ohohoh, ce serait le bohneuuuuurrrrrr!!!!!”

    Regardez, orques brutaux, rustres humains, nains radins, elfes-éminés, lâches hommes-rats!

    Devant vous est le marteau, et sur la face aplatie du marteau (nota bene: celle où on retrouve souvent des restes de sang orque, on appelle ça la pollution) se trouve le monde.

    Dans leur grande originalité, les rares poètes peuplant ce monde (ils finissent généralement embrochés dans une taverne par des guerriers ne supportant plus la pluie) l’ont appelé le “marteau-monde”.

    Voilà l’endroit où nous vivons (et que les éminents linguistes orques, dans leur incommensurable sagesse, ont coutume de l’appeler “War’améreu”).

    Voilà l’endroit ou se passe notre triste, que dis-je notre dramatique, que dis-je notre tragique histoire.

    Soyez prêts à entrer dans un monde où les blagues à succès sont prohibées.

    Soyez prêts à vous tordre de rire devant l’humour minable de l’auteur.

    Soyez prêts à enfin faire la connaissance de la poupée d’Archaon...

    Le marteau-monde s’offre à vous!

    I/ L’église qui surfait

    Altdorf, un jour d’on-ne-sait-plus-quelle-année-et-on-s’en-fout.

    “De la malédiction des errata

    Oh Gavin,

    Délivre-nous!

    Puisse-tu rendre notre armée bourrine

    Puisse-tu y mettre des sauvegardes à 2+

    Nous t’en supplions

    Fais-nous gagner!”

    Le grand administrateur Volkmar I le “martifouetteur” termina sa prière et prit sa boîte de dés.

    -De nouveau il prit le dé, il le lança et fit double un en disant à ses disciples: Ceci est le fiasco, votre malédiction, et désormais vous lancerez deux dés six pour voir de quelle manière votre sorcier explose.

    -Amen, termina l’assemblée.

    Volkmar tourna alors le dos à la salle et laissa ses assistants terminer la GTC (Grande et Terriblement pathétique Cérémonie). Le théogoniste avait été ressuscité quelques mois plus tôt par le prince-démon Be’lakor, qui était parvenu à un bel accord avec l’empire: il leur rendait le vieux sadique contre une dîme de cent petits enfants par an (Be’lakor avait été appelé Pe’daufil par certains dieux du chaos).

    De retour dans sa patrie bien-aimée (qui ne pouvait plus le sentir), le martifouetteur avait ré-organisé l’Eglise. Sigmar avait été déclaré hérétique et condamné à mort à titre posthume, et Volkmar avait remplacé le parvenu qui s’était mis sur le siège de théogoniste, un parvenu du nom de Joan Nepher. L’église était désormais le warhammer-forum et rendait un culte à des divinités mystérieuses connues sous le nom de “salariés de games-worshop”.

    Le chevalier Pissauvent se releva de son siège, et intima à son écuyer de retirer le coussin qui lui permettait de surélever son postérieur afin de voir la cérémonie. A sa décharge, c’était un halfling, qui plus est un nain halfling (environ 50 centimètres pour les intéressés).

    Sam Dégoûte (ce personnage sera parfois appelé du nom sous lequel le fisc le connaît, à savoir Samsalace Dégoûte des Petits Pois) retomba sur son siège avec un bruit sonore.

    -Mais, maître! Je ne vois plus la scène!

    -Concentres-toi sur ce que tu vois dans ton esprit. La Force est avec toi, Sam.

    Le hobbit -euh, non, le halfling- ferma les yeux et tenta de se concentrer.

    Il ne se réveilla qu’une heure plus tard.

    Pissauvent le regarda en souriant et lui intime:

    -Debout, tire-au-flanc!

    -Moi, un tire-au-flanc? Ca alors! Ca m’dégoûte! (nous prions le lecteur de pardonner la blague lamentable de notre écrivain, qui sera fouetté comme il se doit)

    -Chevalier Pissauvent?

    La voix était indubitablement celle du très saint administrateur Volkmar. Pissauvent surpris se retourna.

    -Dans mon bureau. Immédiatemment, dit sèchement le saint homme.

    Le ton n’admettait pas de réplique et Pissauvent suivit le grand administrateur sous les rires narquois des notables jaloux.

    -Dans son bureau? Dessous, oui!

    -Alors, Pissauvent, on aime les coups de fouet!

    -Peut-être qu’il va le donner en cadeau à Be’lakor?

    Pissauvent glissa la main dans son caleçon et en sortit un pistolet qu’il braqua sur un gros bourgeois qui serait probablement millionnaire s’il vendait sa graisse deux sous le kilo; et tira dans le gras du ventre. Le gros crétin s’effondra assommé.

    -Qu’est-ce que ce bruit? demanda l’admin.

    -Oh, mon écuyer qui a trébuché, répondit distraitement le chevalier.

    L’administrateur était notoirement sourd, surtout quand quelqu’un critiquait sa politique.

    Ils arrivèrent dans une petite pièce qui avait servi d’urinoir à St-Gavin. Depuis, c’était le bureau de Volkmar.

    -Bien, Pissauvent, Uncle Sam is wanting you!

    -Heeeeeeiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnn???????? (exclamation récurrente lié aux compétences minables de Pissauvent en anglais et en technologie)

    -Heu...Warfo et Empire avoir besoin toi. Toi comprendre?

    -Ouais c’est bon, me prenez pas pour un snot non plus !

    -Pissauvent, comme tu le sais nous courrons un grave danger. Archaon le seigneur de la fin des faons va bientôt fondre sur notre beau site-pays!

    -Ah ouais... mais, et Valten?

    -Valten? Mais vous croyez qu’il existe? Illusion, monsieur Pissauvent! Hallucination! cria l’admin.

    -Mais, vous voulez dire... Il existe pas Valten?

    -Non. C’est un hologramme. Made in Cathay, crut bon d’ajouter Volkmar.

    -Heeeeeeeiiiiiiinnnnnnnnnnnn?????????

    -Un faux homme.

    -Ah, d’accord. Et moi, je fais quoi dans tout ça?

    -Partir tu devras. Par les monts tu chevaucheras. Des ennemis tu terrasseras. Périlleux ce sera, mais par réussir tu finiras.

    -Concrètement?

    -Archaon tuer il te faudra, car sans lui le Chaos souffrira.

    -Je pars quand?

    -Tout de suite tu t’en vas. Des questions à me poser tu as?

    -Euh... vous avez vu Star Wars combien de fois?

    Le saint administrateur lui jeta un regard noir qui fit comprendre à Pissauvent qu’il risquait sérieusement un coup de martifouet. Il se hâta de quitter la pièce. Sa dernière vision fut celle d’un gobelin manifestement sorti d’une illustration du GBR auquel Volkmar murmura:

    -Viens, Djé, on a un skin à faire, nous...

    Puis Pissauvent se lança vers l’aventure.

    Ryuken

  5. "et pour quelques bières de plus". Ça irait à tout le monde ?
    On a droit à la musique d'Ennio Morricone ?

    Elle était facile celle-là :'(

    Plus sérieusement (c'est moi qui vient de dire ça...oui c'est moi :mrgreen: ):

    L'idée des phrases imposées ne me plaît pas; je ne vois en fait guère d'intêret à ces obligations qui, selon moi, n'ajoutent rien aux textes et on l'horrible effet de me rappelermes rédactions de primaires (enfin ça on n'y peut rien :clap: ).

    Quelqu'un peut-il m'expliquer de quelle utilité est cette contrainte :D ?

    Pour ce qui est du texte; ça tranche avec le précédent! (que j'ai hélas loupé :P enfin j'ai fait un texte, mais je l'ai commencé après le début des votes :skull: ) On passe d'un texte à priori tragique à un texte qui risque ma foi d'être plus drôle.

    Après c'est plus une question de goût, personnellement je préfère les textes plutôt dramatiques. Je préfèrerais un sujet du type de ceux que Celeborn avait donnés comme exemple. Quoique la taverne, ça me permettra de jouer un énième massacre d'elfes bourrés par des nains qui ne le sont pas moins...

    Quoiqu'il en soit j'en suis.

    Ryuken

  6. J'ai dit:

    Il existe dans la section récits le topic "salon de lecture" qui pourra t'aider et t'éclairer

    Je le re-dis: inutile d'avoir deux topics identiques :D

    Sinon:

    Roger Zelazny:

    _ Le cycle d'ambre (11vol si je me souviens bien)

    Hérétique! 10 volumes pas 11!!!

    Argh!

    Zelazny est génail, j'ai lu ça à 14 ans et franchement c'est fabuleux.

    Hum personnelemnt j'ai bcp de mal avec Marion Zimmer Bradley et sa manière de s'approprier certaines istoires et de la revisiter pour donner de l'importance aux femmes ......

    Chacun son truc. Moi j'aime beaucoup :P

    Gemmell, çà se lit tout seul. 100% action sans interruption, les seules descriptions (c'est ce qui me manque mais les djeuns aiment pas toujours) sont les scènes de combats parfois gores.

    druss la légende, Légende, le roi sur le seuil, Waylander 1&2

    A part l'excellent "Legende" globalement je ne suis pas fan. Le grands héros froids et solitaires à la Conan, très peu pour moi :skull:

    Ryuken

  7. -Les haradrim, ou suderons, hommes noirs de l'est et du sud (mal)

    Les haradrim, ou suderons, sont une des multiples branches d'humains de la Terre du milieu. N'appartenant pas aux trois familles des edain, ils restèrent en terre du milieu quand Elros Tar-Minyatur fonda Nùmenor. Vivant au Sud-est du Gondor (au pays de Harad), ils furent maintes et maintes fois en lutte contre les hommes de l'ouistrenesse.

    Ils combattirent notemment le Gondor, se lançant sous le règne de Ciryandil (936-1015) à l'assaut de L'Umbar; assauts qui devaient se répéter sous le règne qui suivirent (1015-1050), jusqu'a ce que Ciryaher les batte et les force à reconnaître son autorité (1050). Ils restèrent calmes et relativement soumis à l'autorité des rois du Gondor durant les siècles suivants, mais la lutte fratricide et la peste affaiblirent les gens de Minardil, et vers 1850 ils reprirent au Gondor l'Umbar que venait de reprendre Telumethar Umbardacil des mains des descendants des "fratricides". De ces gens-là descendent les pirates de l'Umbar, qui ne cessèrent d'infliger au Gondor la crainte et la guerre.

    Lors de l'invasion du Gondor par les wainriders (gens des chariots) les rois de Harad s'allièrent à ces derniers et tuèrent le roi Ondoher et ses fils.

    Mais ils furent mis en déroute par le grand capitaine Eärnil qui devait plus tard ceindre la couronne.

    Il est probable que les hommes de Harad s'allièrent ensuite à Sauron lorsqu'il pénétra de nouveau en Mordor, et qu'ils lui furent vite inféodés. Ils conservèrent cependant leurs rois et leurs traditions. Pendant les temps des règnes des divers surintendants, ils ne cessèrent de razzier le Gondor, les pirates de l'Umbar attaquant notemment le pays en 2758. Sous le règne de Türin II, les haradrim marchèrent de nouveau et ravagèrent le Gondor du Sud. Türin fut finalement obligé de faire appel aux rohirims pour les chasser aux gués de Poros.

    Sous le règne du père de Denethor, Aragorn alla servir au Gondor sous le nom de Thorongil, et il fit un raid l'Umbar, écrasant les pirates et tuant leur chef.

    Durant la guerre de l'anneau, les haradrim répondirent à l'appel de Sauron et firent route vers la porte noire (Faramir mène une embuscade contre certains d'entre eux dans "les deux tours") avec les fameux oliphants, des gigantesques bêtes semblables par l'aspect aux éléphants et par la taille aux mammouths, sur lesqueels les haradrim avaient coutume de combattre. La cavalerie haradrim portait haut la bannière du Harad, le serpent noir sur fond écarlate, lors de l'encerclement de Minas Tirith, et ils menèrent une contre-attaque pour abattre l'avant-garde des rohirrim que menait Théoden mais celui-ci les vainquit, abattant leur chef et leur bannière, quelques minutes avant d'être vaincu par le Roi-Sorcier. Les oliphants menèrent alors une contre-attaque avec les troupes du Mordor contre Eomer, et ses cavaliers ne pouvaient rien face aux terribles bêtes, mais il faut secouru par les chevaliers de Dol Amroth et les archers de Morthrond qui en abbatirent un grand nombre (ils tiraient dans les yeux des bêtes).

    Au même moment, les pirates de l'Umbar attaquaient Pelargir, mais ils furent écrasés par les morts que menait Aragorn, et celui-ci parvint sur leurs bateaux aux champs de pelennor où il vainquit le mordor. A la bataille des chants de Cormallen, les haradrim combattirent vaillament, mais finirent pas se rendre et devinrent des sujets d'Aragorn Elessar, qui eut toutefois à guerroyer maintes fois pour acquérir leur soumission.

    Les haradrim ressemblent aux hommes de Gondor, tout en étant plus bruns et plus basanés. Leurs cheveux et leurs yeux sont noirs.

    Ils sont habillés comme les orientaux (sarassins, etc...) du moyen-age, et manient arcs et cimeterres. Ils se battent beaucoup montés sur leurs oliphants, mais disposent aussi d'une efficace cavalerie et d'une infanterie solide.

    Les haradrim étaient des gens du Mordor, ils étaient sanguinaires et sauvages, brutaux, mais forts au combats, vaillants, et ne manquant pas d'un certain sens de l'honneur. Tolkien en fait la description suivante: "et ceux (les hommes noirs) qui étaient le plus profondément et depuis le plus longtemps en mauvaise servitude, haïssant l'Ouest, mais qui étaient des hommes fiers et hardis, se rassemblèrent à leur tour pour une ultime résistance et une bataille désespérée."

    On peut les apparenter aux indiens, à de "nobles sauvages" comme ceux du grand Fenimore Cooper.

    Ryuken, voilà voilà :wink:

  8. Je pense, à mon humble avis, qu'il vaudrait mieux faire passer le message un peu partout sur le net, dans les sites internets de petites annonces par exemple. Cela décuplera les chances de trouver un nouvel administrateur.

    Hum...non, il vaut mieux que ce soit quelqu'un de warhammer forum

    Je suis plutot d'accord avec l'idée d'un "collège d'admins" même si ça peut créer le bordel s'ils ne sont pas bien organisés.

    Enfin bon, moi je suis bien trop nul en informatique pour pouvoir parler en connaissance de cause, je ne fais donc que donner un avis qui pourrait être ridicule (mes aptitudes sont ce qu'elles sont...)

  9. Des cheveaux.

    La cavalerie haradrim s'oppose à Théoden devant minas tirith, et il abat leur chef et la grande bannière "et sa lance se brisa alors qu'il mettait bas leur chef, son épée jaillit et le serpent noir tomba, et alors les suderons fuirent devant le courroux des hommes du nord"

  10. Depuis que je parcours les tables de jeu avec mes rats-adorés :-x , je ne peux que constater la puissance du full ratling/technomages

    Désireux de livrer de plus équitables batailles et de faire des plans tordus de conquête du monde plutot que de rester en arrière en tirant comme une vulgaire chose-elfe, j'ai crée ces petites règles pour inciter les seigneurs skavens à varier leurs listes et à s'amuser en jouant autre chose que ce beau full ratling/techno :lol:

    Mitrailleuse ratling:

    Ni le cout en points ni le fonctionnement ne change, mais la force de l'arme passe à 3. Elle reste cependant arme perforante, ce qui fait du -1 à la sauvegarde d'armure.

    Malefoudre:

    5+: 1d6 touches de force 4

    9+: 2d6 touches de force 4

    Comme d'hab, si le lanceur fait un 1, la touche lui revient dessus.

    Si le sorcier skaven utilise un fragment de malepierre parmi les dés qu'il lance et qu'il réussit, le sort passe force 5, car la malepierre a des effets terribles.

    Voilà, quand je veux gagner j'utilise les règles normales, quand j'ai envie de m'éclaer je prend ça :wink:

    A tester et à critiquer :P

  11. Très sympa même. Bons décors, vendeurs pas trop hypocrites (quand même un peu mais bon c'est des vendeurs :)) , le manager est très sympa...

    Bon, à moi de me re-présenter:

    Je suis un lycéen (2de) lyonnais, passioné par les warhammer et les jeux vidéo (surtout les rpg), à la vie banale, métro-boulot-dodo quoi :P , et pis je sais pas quoi dire d'autre, mon résumé de ma vie s'arrête là...

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