Aller au contenu

L'Ours

Membres
  • Compteur de contenus

    252
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par L'Ours

  1. Bonsoir, merci pour les derniers coms. Malheureusement, je n'ai rien de digne d'être montré concernant la session Boum. Rentré dans le dur niveau boulot et ce n'est pas prêt de s'arrêter. Donc, on met ça entre parenthèse pour ne pas prendre de retard sur la session 2. Début de la session 2 : Le soldat Vantine retint un juron en manquant s'étaler après avoir trébucher sur un gravas dans l'obscurité. Les vétérans avaient pourtant radoté toute cette journée de repos que cela cachait quelque chose, il n'avait pas pu s'empêcher de se réjouir de ce répis bienvenu. Mais à peine la nuit tombée, il se retrouvait maintenant embarqué dans une mission nocturne : les unités de reconnaissance avaient pu repérer durant plusieurs nuits des cérémonies hérétiques se tenant juste derrière les premières lignes ennemies, dirigées par plusieurs chefs religieux. L'occasion était trop belle de les supprimer. Il en était encore à se demander pourquoi le sort s'acharnait sur lui, tout en progressant le plus silencieusement possible dans les ruines selon un itinéraire repéré par les scouts, ne distinguant les reliefs du terrains et les camarades de son groupe qu'à la lueur des fusées éclairantes et des incendies ravageant encore certains immeubles. Après un temps qui lui parut beaucoup trop long, il commença à percevoir les cris et les chants provenant de la cérémonie en cours. Ils se rapprochèrent, prenant pour couverts successifs les pans de mur d'un immeuble effondré jusqu'à enfin découvrir leurs adversaires. Vantine les trouva d'emblée beaucoup plus près qu'il ne l'aurait souhaité mais leur position était idéale. Il tenta de se concentrer uniquement sur ses cibles potentielles, essayant autant que possible de faire abstraction du rituel en cours comme on le leur avait dit pendant le briefing. Il savait cependant de quels cauchemars seraient peuplés ces prochains sommeils. Chacun prit sa position et se choisit un cible, parcouru de frissons, les mains moites, les doigts crispés sur son arme, attendant un ordre de tirer qui tardait à venir. Soudain, un cri primal, puissant, roula comme un coup de tonnerre. Une fraction de seconde plus tard, les têtes des chefs menant cette abjecte cérémonie disparurent dans une brume sanglante. Ce fut immédiatement la panique chez les hérétiques et les membres de l'embuscade n'eurent qu'à ajuster une par une leurs victimes qui couraient en tous sens sans aucune cohésion ou discipline. Un vrai stand de tir digne de l'académie. Les tirs, les chargeurs s'enchaînaient, les lasers brûlant les chairs, les armes lourdes disloquant les corps. Au bout de longues minutes, une résistance et même un début de contre-attaque sembla s'organiser. Vantine entendit alors un coup de trompe, profond et grave au milieu de tout ce chaos. L'ordre de repli fut donné et la colonne entreprit de prendre le chemin du retour, disparaissant dans l'obscurité. Ce n'est qu'une fois revenu au camp, affalé sur son mince matelas de couchage, les yeux dans le vide que le soldat Vantine se demanda qui étaient les mystérieux alliés qui les avaient si efficacement épaulés dans cette mission. Voici donc les 7 ratlings de prévus. Oui je sais, ils ne ressemblent pas vraiment aux hobbits du futur et c'est justement voulu car je ne pense pas que cela aurait collé avec le thème de mon armée. J'ai tenté quelques rappels dans les poses aux figurines classiques de ratlings mais on s'arrête là. Je repasserai dès que possible pour quelques explications supplémentaires. J'aimerais justement avoir vos réactions sans, histoire de voir si elles sont compréhensibles comme ça ?.
  2. Mieux vaut tard que jamais, voici le résumé de la session 1 des Pauvres Compagnons de l'Empereur : Le soldat Vantine jura pour qui voulait l'entendre : ils revenaient encore. Il ne savait pas exactement ce qui l'avait prévenu en premier : les fumées d'encens de mauvaise qualité entraînées par le vent, ou … oui ça y est, il avait mis le doigt dessus : les effluves nauséabondes de crasse que les brumes purificatrices étaient bien incapables de couvrir. Bientôt le tintement des cloches, les cris de dévotions ainsi que les claquements des fouets parvinrent à ses oreilles. Tout en continuant à déballer tout le répertoire fleuri de sa connaissance, il enfila son respirateur, presque heureux qu'il fasse parti de l'équipement standard de la Légion d'Acier. Mieux valait encore respirer, ou plutôt suffoquer, dans son masque que d'attendre que ces remugles infâmes le prennent à la gorge jusqu'à lui donner la nausée. Son sergent avait eu beau lui expliquer, avec plus ou moins de patience, il se disait encore que la guerre devait vraiment tourner très mal et les renforts être bien loin de les atteindre pour accepter le soutien d'une bande pareille. Les voilà qui commençaient à déambuler parmi les groupes de soldats, qui ne demandaient pourtant qu'à profiter d'un peu de repos dans cette accalmie qui serait probablement de courte durée. Son masque lui permit de les étudier à loisir, son regard devenu indéchiffrable derrière ses optiques. Les plus mesurés se contentaient de psalmodier, les plus timides de murmurer des prières, offrant aux soldats des colifichets grossièrement fabriqués, représentant des crânes, des aigles, proposant également des petits micelles. Ceux là étaient encore vêtus descemment, portant les habits de leur ancienne vie ou encore des éléments de tenus militaires récupérés, le tout déjà bien rapiecé et usé jusqu'à la trame. Ils paraissaient tout ce qu'il y a de plus inoffensifs et inspiraient avant tout la pitié. Mais parmi eux, vociféraient également des individus faméliques, à peine vêtus, le dos souvent strié de plaies à vif, hurlant et postillonnant, les yeux révulsés. L'Imperium serait sauvé le jour où chacun se serait repenti de ses pêchés, vociféraient-il, proférant aussi des imprécations contre ceux qui marchaient délibérément vers la damnation. Le soldat Vantine se rappela, horrifié, les fusils laser et tout le matériel militaire, certes hors d'âge, que l'on avait distribué à ces illuminés. Entre ces deux catégories, on trouvait toutes les étapes de la déchéance physique et mentale, les humains ordinaires semblant se transformer progressivement pour devenir les enragés, portant tout les attributs de la dévotion de plus en plus confuse et radicale : cloches, fouets, encensoirs, cagoules... Avec un gros soupir qui se transforma immédiatement en quinte de toux, le soldat Vantine s'éloigna rapidement et discrètement, préférant encore se retrouver volontaire désigné pour une quelconque corvée que de rester dans les parages. Le soldat Vantine devait avouer, ne serait-ce qu'à lui même, que son jugement sur cette bande de guerre était erroné. Aussi exaspérants qu'ils pouvaient être au cantonnement, cette troupe hétéroclite montrait un tout autre visage sur le champ de bataille. Pas tous cependant, il ne fallait pas se leurrer : les plus atteints qu'il avait pu croiser, ou plutôt éviter, faisaient exactement ce à quoi il s'attendait : courir droit devant en hurlant, dénués de tout instinct de survie. Mais, en étant cynique, il fallait reconnaître qu'ils n'étaient pas dénués d'utilité : la vision de ces énergumènes en lambeaux et au regard fou devait déstabiliser plus d'un adversaire. De même, la quantité de projectiles et de décharges laser qu'ils pouvaient absorber avant de s'écrouler était impressionnante, et ça, c'était autant de moins pour les autres. D'ailleurs, leurs propres camarades n'hésitaient pas à s'en servir comme bouclier ou première vague sacrifiable. Car au final, la plupart affichait une attitude martiale, résolue mais raisonnée avec un sens de la discipline et une coordination insoupçonnés. La prise de chaque rue, chaque bâtiment était orchestrée, chacun semblant savoir exactement ce qu'il avait à faire : scruter la chaussée, surveiller les fenêtres, changer de couvert, assurer un tir de couverture, de suppression, prendre flanc des ennemis retranchés avec grenades et lance-flammes... Un point cependant continuait à les rendre agaçants, surtout pour ses supérieurs : ils refusaient toute tentative de contact avec leurs alliés, toute velléité de coordination, agissant selon leur propre tempo et sans sembler tenir compte des agissements des autres effectifs. Finis les prières collectives, les sermons publiques et les propositions de confession, ils n'en référaient qu'à leurs propre hiérarchie dont les plus hautes sphères restaient pour l'heure invisibles. Dans une autre vie, ils ne se seraient probablement jamais rencontrés, ils venaient de milieux, de mondes qui n'avaient rien en commun. Quelque chose pourtant les avait réunis : la guerre et le désespoir. Les luttes permanentes de l'Humanité pour la survie leur avaient tout pris : leur famille, leurs biens, leur quotidien, leurs certitudes, les laissant perdus dans l'obscurité. Au milieu de cette nuit d'errance, ils reçurent pourtant de l'aide, d'abord de quoi survivre, soigner leurs blessures physiques et morales, leur permettant de voir émerger pour eux une nouvelle vie : Les Pauvres Compagnons leur apportèrent la Lumière. Cette Illumination les remit dans les pas de l'Empereur qu'ils avaient presque oublié. Elle redonna un sens à leur vie et ils la Lui consacrèrent. Chaque minute, chaque pensée, chaque action Lui était dédiée. Leur nouvelle mission était désormais de combattre le Mal sous toutes ses formes, partout où ils le trouveraient et d'apporter cette même Lumière à chaque humain dans cet univers qui Lui appartenait. Ensemble, ils formaient le Peuple Elu, destiné à guérir l'Humanité et à voir se lever à nouveau l'Empereur qui les guiderait et les protègerait pour l'éternité.
  3. Mieux vaut tard que jamais, voici le résumé de la session 1 des Pauvres Compagnons de l'Empereur : Le soldat Vantine jura pour qui voulait l'entendre : ils revenaient encore. Il ne savait pas exactement ce qui l'avait prévenu en premier : les fumées d'encens de mauvaise qualité entraînées par le vent, ou … oui ça y est, il avait mis le doigt dessus : les effluves nauséabondes de crasse que les brumes purificatrices étaient bien incapables de couvrir. Bientôt le tintement des cloches, les cris de dévotions ainsi que les claquements des fouets parvinrent à ses oreilles. Tout en continuant à déballer tout le répertoire fleuri de sa connaissance, il enfila son respirateur, presque heureux qu'il fasse parti de l'équipement standard de la Légion d'Acier. Mieux valait encore respirer, ou plutôt suffoquer, dans son masque que d'attendre que ces remugles infâmes le prennent à la gorge jusqu'à lui donner la nausée. Son sergent avait eu beau lui expliquer, avec plus ou moins de patience, il se disait encore que la guerre devait vraiment tourner très mal et les renforts être bien loin de les atteindre pour accepter le soutien d'une bande pareille. Les voilà qui commençaient à déambuler parmi les groupes de soldats, qui ne demandaient pourtant qu'à profiter d'un peu de repos dans cette accalmie qui serait probablement de courte durée. Son masque lui permit de les étudier à loisir, son regard devenu indéchiffrable derrière ses optiques. Les plus mesurés se contentaient de psalmodier, les plus timides de murmurer des prières, offrant aux soldats des colifichets grossièrement fabriqués, représentant des crânes, des aigles, proposant également des petits micelles. Ceux là étaient encore vêtus descemment, portant les habits de leur ancienne vie ou encore des éléments de tenus militaires récupérés, le tout déjà bien rapiecé et usé jusqu'à la trame. Ils paraissaient tout ce qu'il y a de plus inoffensifs et inspiraient avant tout la pitié. Mais parmi eux, vociféraient également des individus faméliques, à peine vêtus, le dos souvent strié de plaies à vif, hurlant et postillonnant, les yeux révulsés. L'Imperium serait sauvé le jour où chacun se serait repenti de ses pêchés, vociféraient-il, proférant aussi des imprécations contre ceux qui marchaient délibérément vers la damnation. Le soldat Vantine se rappela, horrifié, les fusils laser et tout le matériel militaire, certes hors d'âge, que l'on avait distribué à ces illuminés. Entre ces deux catégories, on trouvait toutes les étapes de la déchéance physique et mentale, les humains ordinaires semblant se transformer progressivement pour devenir les enragés, portant tout les attributs de la dévotion de plus en plus confuse et radicale : cloches, fouets, encensoirs, cagoules... Avec un gros soupir qui se transforma immédiatement en quinte de toux, le soldat Vantine s'éloigna rapidement et discrètement, préférant encore se retrouver volontaire désigné pour une quelconque corvée que de rester dans les parages. Le soldat Vantine devait avouer, ne serait-ce qu'à lui même, que son jugement sur cette bande de guerre était erroné. Aussi exaspérants qu'ils pouvaient être au cantonnement, cette troupe hétéroclite montrait un tout autre visage sur le champ de bataille. Pas tous cependant, il ne fallait pas se leurrer : les plus atteints qu'il avait pu croiser, ou plutôt éviter, faisaient exactement ce à quoi il s'attendait : courir droit devant en hurlant, dénués de tout instinct de survie. Mais, en étant cynique, il fallait reconnaître qu'ils n'étaient pas dénués d'utilité : la vision de ces énergumènes en lambeaux et au regard fou devait déstabiliser plus d'un adversaire. De même, la quantité de projectiles et de décharges laser qu'ils pouvaient absorber avant de s'écrouler était impressionnante, et ça, c'était autant de moins pour les autres. D'ailleurs, leurs propres camarades n'hésitaient pas à s'en servir comme bouclier ou première vague sacrifiable. Car au final, la plupart affichait une attitude martiale, résolue mais raisonnée avec un sens de la discipline et une coordination insoupçonnés. La prise de chaque rue, chaque bâtiment était orchestrée, chacun semblant savoir exactement ce qu'il avait à faire : scruter la chaussée, surveiller les fenêtres, changer de couvert, assurer un tir de couverture, de suppression, prendre flanc des ennemis retranchés avec grenades et lance-flammes... Un point cependant continuait à les rendre agaçants, surtout pour ses supérieurs : ils refusaient toute tentative de contact avec leurs alliés, toute velléité de coordination, agissant selon leur propre tempo et sans sembler tenir compte des agissements des autres effectifs. Finis les prières collectives, les sermons publiques et les propositions de confession, ils n'en référaient qu'à leurs propre hiérarchie dont les plus hautes sphères restaient pour l'heure invisibles. Dans une autre vie, ils ne se seraient probablement jamais rencontrés, ils venaient de milieux, de mondes qui n'avaient rien en commun. Quelque chose pourtant les avait réunis : la guerre et le désespoir. Les luttes permanentes de l'Humanité pour la survie leur avaient tout pris : leur famille, leurs biens, leur quotidien, leurs certitudes, les laissant perdus dans l'obscurité. Au milieu de cette nuit d'errance, ils reçurent pourtant de l'aide, d'abord de quoi survivre, soigner leurs blessures physiques et morales, leur permettant de voir émerger pour eux une nouvelle vie : Les Pauvres Compagnons leur apportèrent la Lumière. Cette Illumination les remit dans les pas de l'Empereur qu'ils avaient presque oublié. Elle redonna un sens à leur vie et ils la Lui consacrèrent. Chaque minute, chaque pensée, chaque action Lui était dédiée. Leur nouvelle mission était désormais de combattre le Mal sous toutes ses formes, partout où ils le trouveraient et d'apporter cette même Lumière à chaque humain dans cet univers qui Lui appartenait. Ensemble, ils formaient le Peuple Elu, destiné à guérir l'Humanité et à voir se lever à nouveau l'Empereur qui les guiderait et les protègerait pour l'éternité.
  4. Caroline, noooooooon ! Pourquooooooooooi ??? ??? Bon, en voilà au moins une qui n'a pas pas fini scalpee par la tondeuse... Hâte de voir ce sue tu vas en faire!!!
  5. Hummmm, des SM au caramel, ça ça être bon. Je ne connaissais pas tes talents de cuisinier ! Sans rire, c'est bien que tu es pu avancé un peu, le tout c'est de ne pas se tromper et de bien mettre le plâtre sur les murs et la peinture sur les figs... Tu es sûr que tu n'aurais pas pu avancer sur les armures des Hellblasters et faire les bitz à part ? Pas grave, tu peux toujours aller voir le sujet du patron pour te consoler ? (ou ma session Boum d'ailleurs...) On a tous des imprévus, c'est comme ça, et promis, les coups de fouet seront délicatement appliqués Bon courage !
  6. Ca bidouille, ça bidouille par ici ! Et en plus vous êtes deux pour la mise en couleur. Je trouve que ton travail de conversion s'équilibre bien entre bitz, moulage et impression. Il faudra un jour que tu nous expliques comment tu choisis quelle technique tu utilises et comment tu travailles en impression puisque c'est dans l'air du temps. A bientôt
  7. L'Ours

    [Double-A] Back to 93

    C'est que ces blister collector, on hésiterait presque à les ouvrir mais bon, il faut pas oublier le but premier de ce qui est à l'intérieur ! Bon courage en attendant pour finir la session
  8. L'Ours

    [Double-B] Maison Lannister

    Plus tu nous en montres et plus j'aime ces figurines. Je trouve qu'elles sont vraiment imposantes avec leurs plates et leurs armures matelassées. On sent bien le côté mastoc et encombrant de l'équipement, contrairement à d'autres gammes où on a presque l'impression d'un vêtement léger. Et l'effet de masse est bien là ! Allez, bon courage, c'est sûr que les couches de base, c'est pas forcément le plus intéressant mais c'est toujours satisfaisant de voir la figurine apparaître petit à petit et de réussir à obtenir une base propre quand on s'est appliqué.
  9. Un moment que je n'ai pas commenté par ici. J'adore le fait que tu joues à fond la carte de l'esprit gobelin déjanté et improbable et les squigs qui accompagnent donnent aussi beaucoup de caractère. Bon courage pour finir, si ton boulot te le permet !
  10. Très sympa ces dernières figurines, effectivement, tu es presque au bout ! Entre les armures vintage et le choix du jaune, je trouve que tout ça a une vraie touche old school très plaisante. Le jaune me fait vraiment penser à des bad moon des années 90, à la fois assez flachi et qui tourne vite à l'orange. Manque plus que le socle en vert ! La bannière est faite maison ? Curieux de voir comment tu t'y es pris et comment tu comptes l'utiliser : tu vas repeindre par dessus ?
  11. Mais pourquoi ? ! Et puis oui d'abord, mais d'habitude c'est plutôt des animaux moins exotiques ! Quoi ? .... Mon chien me dit que tu n'es pas très gentil et qu'il voudrait bien manger...
  12. C'est bien pour ça pour ma part que je n'ai jamais osé me lancer dans une armée bretonnienne. Et pourtant, c'est plutôt un thème d'armée de croisés qui me faisait envie. Enfin bref, comme tout le monde, j'air la mâchoire qui pend comme un de tes squelettes en regardant tes boucliers. Et c'est presque dommage parce qu'on en oublierait ce qui les tiennent et qui sont tout aussi sympa ! Bon courage pour finir
  13. Moi ça ne me gêne pas. GW a toujours plutôt tapé dans la période Renaissance pour définir l'Empire et je trouve que ton choix de figurines est très cohérent (après je ne suis pas un spécialiste de l'histoire militaire). Les deux régiments sont très réussis en tout cas. Franchement, j'étais un peu dubitatif de ta manière de traiter le jaune mais au final c'est réussi et bien contrasté. J'aime bien la peinture du prêtre également même si j'ai un peu de mal à retrouver les attributs distinctifs de sa fonction sur cette figurine : s'agit'il d'un prêtre d'Ulric ? (Désolé, je ne suis pas très au fait du fluff impérial)
  14. Les yeux sont bien mieux comme ça effectivement, ça paie toujours de prendre un peu plus de temps sur certains détails, si on en dispose ! Pour l'armure, effectivement le rendu sur la première fig me plaît d'avantage mais franchement, c'est pas pour ça que la deuxième est ratée. Même si ce n'est pas voulu, ça apporte un peu de variété. On peut imaginer que ces nains qui sont quand même eux aussi des forgerons à la base ont pu chacun concevoir leur équipement différemment.
  15. L'Ours

    [DOUBLE-B] Cornes et crocs

    Mais mais j'ai du me tromper de sujet. Je passe voir des hommes bêtes et je tombe encore sur un ork ! Pour parler d'abord des hommes bêtes, j'aime vraiment le traitement de la peau et effectivement je ne vois pas l'intérêt d'ajouter autre chose. Je trouve que ta mise en lumière et tes contrastes sont justes bien dosés et permettent de gommer cette musculature parfois un peu exagérée et trop dessinée. J'aimerais bien voir le rendu final du socle une fois l'eau artificielle sèche, je suis curieux. Pour l'ork, j'avais déjà pu voir ce type de conversion à partir du Nemesis mais je trouve que c'est une bien meilleure idée d'être allé au bout du truc et d'avoir aussi remplacé les bras. Cela orkifie beaucoup la machine et fait complètement la pièce d'origine. (En père de famille , j'ai toujours trouvé que le pilote faisait pensé à un enfant dans un harnais ventral...) Bonne fin de session !
  16. Un moment que je n'ai pas commenté ici moi et pourtant il y a de très belles choses. Hâte de voir la Sainte et ses copines finies, avec de beau closes-up, qu'on puisse admirer ton talent ! Pour le chevalier, il part très bien aussi. Je pensais que tu aurais fait la cape avant d'attaquer la peinture. Je ne suis pas sûr de comprendre les deux couches de sous-couches. J'ai l'impression de voir la technique au Maskol ou assimilé pour faire ressortir de la rouille ensuite. Me trompe-je ? Pareil que mon collègue, j'ai un peu de mal avec les flammes du gros chalumeau. Pour moi, cette flamme doit être réfléchie en pensant à un liquide : soit il est en pleine action et dans ce cas là on aurait plutôt une flamme en cône qui s'incurverait éventuellement vers le bas à la fin, du à l'éjection du combustible sous pression, soit on est plutôt en phase de démarrage ou d'arrêt et la flamme partirait plutôt vers le bas en cascade. Après, il y a aussi simplement l'option veilleuse allumée, sûrement plus facile à réaliser.
  17. Les socles sont classiques mais j'aime bien en l'état moi. Je préfère justement les herbes comme ça que dispatchées un peu au hasard, je trouve ça plus crédible. C'est sûr que si tu veux te lancer dans des freehand, tu vas être obligé de limer (pas de mauvais esprit monsieur au dessus...) les boucliers. Je ne vois pas où tu pourrais en mettre ailleurs. Peut-être pas sur tous mais de temps en temps.
  18. Tu nous montres du plastique nu avec des bons morceaux de kitbashing dedans et bam! d'un coup tout avance. Merci pour les tutos et les précisions, il y a des choses à retenir là dedans (je note surtout pour les chevrons) Deux petites questions pour ma part (tu vas trouver que tout le monde t'en pose...) : - d'où vient le fusil de sniper du Raven Guard ? - qu'utilises tu comme fixateur pour tes pigments ? Bonne continuation
  19. Très sympa tout ça et les marquages sont une bonne idée ! Pour ma part, je dirais 1 et 3 : 1 pour le marquage d'escouade et 3 pour les grades. Je ne sais pas si cela existe en jeu mais cela pourrait être une manière de distinguer une figurine comme chef d'escouade au moins d'un point de vue esthétique. Bonne continuation
  20. Merci pour vos retours. Désolé mais je reviens sans photos car je n'ai pas pu toucher un pinceau depuis 10 jours donc rien a avancé (le boulot tout ça...). Je vais essayer de me remettre en selle ce weekend mais je ne pense pas réussir à terminer avant la fin du mois. Ce boum sera à cheval sur deux sessions, tant pis! J'ai grattouillé un peu de plastique pour la prochaine session mais c'est tout (en vrai, je me suis quand même bien amusé mais vous découvrirez tout ça dans 15 jours). Merci de ton passage et pour le lien qui est effectivement bourré de bonnes idées. Je ne me suis effectivement pas trop intéressé de près aux armes pour le moment, m'attachant surtout à les faire ressembler dans l'ensemble à des armes laser pour que les figurines restent facilement identifiables en jeu mais je vais voir ce que je peux faire pour la suite ! (enfin, en fait j'ai carrément dérapé sur ma dernière fig pour ce qui est des armes, mais pareil, chut! pour le moment) C'est marrant, parce qu'en fait, je crois que le côté uniforme vient aussi de la manière dont j'ai ordonné les figs pour la photo (je me rassure comme je peux). Alors là tu me lances un sacré défi de peinture pour mon pauvre niveau mais je vais tenter bien sûr!
  21. L'Ours

    [Double-A] Dissidence

    Ça avance bien tout ça, tu en vois presque le bout ! Pour le gros lard, je ne pense pas qu'il soit utile de rajouter encore un freehand sur le gant : tu en as déjà mis un sur l'épaulière et un sur son pantalon, et juste en dessous du gant en plus. Point trop n'en faut, surtout que les deux sont déjà d'une grande qualité ! Pour les autres, pareil qu'au dessus, j'aime beaucoup le bouffon avec sa tunique bariolée ! Pour critiquer, je dirais qu'il manque un petit quelque chose pour la peau d'animal, quelques nuances peut être pour donner un côté moisi ? et le violet du pantalon de l'arbalétrier pourrait être un peu plus vif pour mieux se distinguer des nuances de la peau (après c'est peut être la photo!) Bon courage pour finir !
  22. Et ba voilà, j'ai raté plein de trucs ici aussi ! Je plussoie pour les freehand, le plus simple pour les affinés est sûrement de reprendre les bords avec ta couleur de fond mais c'est déjà très bien en l'état hein ! Surtout que tu es obligé de changer d'une épaulière à l'autre ! J'aime beaucoup le "quelques"...
  23. Pareil, même en une année, j'en ferais déjà pas une comme ça... Alors je pense qu'on te pardonnera si tu dépasses un peu (le délai hein, pas sur la fig) Je n'avais pas commenté les plumets mais effectivement, il sont très bien comme ça maintenant, cela ajoute une petite touche de couleur supplémentaire qui vient bien contrebalancer ton schéma sobre. Allez, bon courage pour finir !
  24. C'est honnête comme timing. et combien d'heures pour monter ce p... de finecast ? au moins autant je suppose... Une très bonne idée des bandes ajoutées sur les capes de camouflage, elles cassent la monotonie des capes tout en restant vraisemblables dans le schéma. Merci pour le petit tuto sur les gemmes, effectivement, cela demande une certaine motivation mais si tu aimes ça ! Tu n'as plus qu'à faire des constructs après tous ces Exodites.
  25. Pour du Deathskulls, je pense qu'il vaudrait mieux garder du blanc en complément du bleu pour rester dans le traditionnel. Après des pointes de jaunes en plus, pourquoi pas ! On peut par contre effectivement imaginer toutes les nuances de bleu, ça sera moins rébarbatif pour toi ou te permettra au moins de choisir celle que tu préfères. Tu peux même tenter des damiers si tu es motivé (ou si tu as le temps...) Pour des Deathskulls, les boit'ki'tu s'étaient un passage obligatoire ! Les tiennes sont très sympas.
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.