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Sire d'Epinette

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Tout ce qui a été posté par Sire d'Epinette

  1. ... le squat Ca ira ou je fais dans le plus glauque? C'est pas mal... pas mal du tout (quoi qu'un peu long...) :'(
  2. Pour marquer ton désintérêt pour une discusion, le plus sage est de l'ignorer (plutôt que d'insulter ceux qui y participent...).
  3. Ce genre de discussion (en moins riche) a déjà eu lieu en section background il y a fort longtemps. http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=44618 Voici un extrait, je mets en gras ce qui permet d’affirmer que même si les chevaliers bretonniens sont des humains imparfaits, ils agissent quand même de façons bénéfiques et se battent et meurent pour protéger les faibles (veuve, orphelins, paysans).
  4. Dans l'absolu oui. En pratique tu compares les listes d'armées entre elles et tu as décidé à priori les effectifs de tes paquets finaux (comme un concours)... Ce qui est beaucoup plus facile que d'attribuer une note "objective". Il "suffit" de séparer les listes en 4 (ou 2 ou 3) paquets égaux. Et là c'est assez simple. J'ai 32 listes d'armées, un paquet de 8 bourrins, 8 faibles et dans ceux qui restent dans la marais central, je discrimine les 8 plus forts et les 8 moins forts. Si telle ou telle armée en ballotage, laquelle est la plus forte plus forte ou plus que l'autre. Enfin, même si ça gène à la marge, si tu veux le titre suprème il faut être prêt à tout affronter. donc... Et en plus la compo n'intervient plus directement dans le classement => moins de pression compo sur les orga (qui ont d'autres chats à fouetter), moins problème de compo, moins de masturbation intellectuelle autours de la compo.
  5. Ayè je compris…(presque) En fait ronde simple, 32 joueurs PAS de note de compo Le plus bourrin (qu’on ne connaît pas mais qui existe) rencontre n’importe qui mettons le 19ème en compo (compo moyenne). En ronde accéléré, on décide que les 8 plus bourrins vont compter comme ayant trois victoires fictives de plus : ils vont s’affronter entre eux. Et là, le 1 (le plus bourrin) va affronter quelqu’un de sa poule. disons que 1>5, 2>6, 3>7, 4>8, tandis que 9 affronte 13, etc… Un certains nombre de gagnant dans chaque poules de compo grossiers, mettons que 1, 2, 3 et 4 gagnent Au deuxième tour, 1>3, 2>4 Au troisième tour, 1>2 Au 4ème tour, on vire les victoire fictives (cad on ne tient plus compte des poules de compo grossiers) 1 affronte le gars à 3 victoire réelles des poules plus basses. Au final pour être 1er, il faut avoir batailler dur... mais en dessous c'est cool (sauf à être dans la poule haute)
  6. Ces mesure permettant un changement de mentalités mettent un certain temps avant de prendre effet. Faut persévérer… Les poules c’est bien, c’est facile, c’est confortable ça a bien des qualités… et c’est au détriment de la pertinence du classement. Faut voir aussi ce qu’on a perd avec les poules. De nos jours, en poule, optimiser son classement c’est la chasse à la compo qui sera favorablement vue (et notée) par les orga… Si possible avec un effet kiskool peu perceptible… ce qui permettra d’affronter sereinement ses adversaires de la poule… et peut être gagner le poduim. J’avais bien compris ta prose (et pourtant…). Perno a mal compris ou te fait un procès d’intention (c’est fréquent par ici). Je suis d’accord. On a connu ça avant. Normalement, de tels joueurs ne devraient pas être podium d’un tournois avec un classement pertinent… ni même être bien classé. Ils peuvent venir, pas de soucis. Je ne comprends pas pourquoi ne pas faire s’affronter les gens les plus proches en terme de compo (ronde suisse accélérée) et choisir délibérément un écart. Si on peut s’éviter cet écart… Mais j’aime bien le principe car en pratique noter la compo de 1 à 32 (ou de 1 à 200) est impossible… alors faire volontairement des appariements décalés, on élimine la portée d’une erreur de note compo (qui a des effets dramatiques… (en plus ou en moins) en cas de tournois poule seulement. Sinon, mes réflexions les plus avancées sur le classement ressemblent furieusement à la ronde accélérée. En fait j’attribuerais une note de compo grossière (pas étalonnées 1 à 200 mais 1 à 4, ce qui est plus facile). Les joueurs de même palmarès s’affrontant, de préférence de niveau de compo comparable, mais le palmarès et les équipes sont prioritaires sur la compo pour les appariements. Résultat : tu as, tout au long du tournoi, des adversaires qui te ressemblent en compo sauf si ton parcours est exceptionnel (que des victoires ou que des défaites)… auquel cas tu finiras par affronter des joueurs à palmarès égal et compo différentes.
  7. J’ai pas bien compris là. A ce que je croyais, la ronde suisse consistait à faire s’affronter des joueurs de classement comparable : le premier (au classement provisoire du tournois) contre le deuxième, le troisième contre le quatrième, etc… Prenons un cas simple : 32 joueurs, victoire ou défaite Au deuxième tour, on a 16 gagnants et 16 perdants… donc 16 1ers et 16 « 17ème. Classiquement, on fait s’affronter les 16 gagnants par couple entre eux, et les 16 perdants aussi, les joueurs se rencontrant ont donc le même palmarès à ce tournois Tu préconises de faire jouer le 1er contre le 17ème ? Ou tu parles d’un classement des joueurs antérieur à ce tournois pour éviter que les têtes de séries ne s’affrontent trop tôt ? (Classement qu’on n’a pas à Warhammer…)… et cela ne concerne que le premier tour ?
  8. Si les villes sont moins en sécurité et doivent se clôturer, si les habitâts ouverts disparaissent ou se fortifient (et donc se concentrent), bref si des barbares (ou des brigands) parcourent la plaine pour piller tout ce qu'ils peuvent... ben logiquement les échanges et le commerce se compliquent et se raréfient fortement. C'est plus facile de piller des marchands itinérants qu'une ville, non ?
  9. J’espère qu’on va rameuter des vrais historiens sur cette question. Je suis d’accord avec tes propos. Je pense que cette façon de faire de faire était la seule possible pour assurer la sécurité du fief. Je crois que la féodalité s’est mise en place suite à l’insuffisance de l’armée centralisée (les armées romaines qui défendaient les frontières(les limes)). Cette armée étaient débordée par les invasions barbares. A cette époque (7-8ème siècle), l’occident est confronté à des invasions sanguinaires très mobiles venant du sud (cavaliers musulmans), de l’est (cavaliers hongrois) et du nord (viking). Les villes et les habitats dispersés (car sécurisés aux frontières, comme de nos jours) de l’Empire romain sont des proies faciles. Ces territoires vulnérables sont pillées et ne peuvent plus payer l’impôt. Les soldats de l’Empire ne sont donc plus payés et l’armée impériale, déjà insuffisante, disparaît. Il n’y a plus d’or pour payer l’armée centralisée qui peine de toutes façons à se porter contre tous ces ennemis très mobiles. Le commerce et le numéraire disparaissent. Il ne reste plus qu’une richesse : la terre et les paysans qui l’exploitent. Les habitats dispersés disparaissent, les villes jadis ouvertes se couvrent de murailles… et les habitants remettent leur sécurité entre les mains de guerriers capables de se mesurer aux envahisseurs (donc à cheval) de les protéger sans argent (donc en payant en nature (prélèvement de récolte ou corvées)). Ce sont les hommes d’armes d’un puissant seigneur étranger… ou un local. Et comme la féodalité assure la sécurité, ça perdure un gros milliers d’années jusqu’à ce que le chevalier devient obsolète et essuie des défaites sur le champs de bataille (les féodaux ne peuvent se payer l’industrie nécessaire à la fabrication de l’artillerie et des armes à feu, c'est le retour à l'état centralisé).
  10. Et si la supposée menace n'était pas aussi importante que les chevaliers la présentent? Ca ne serait toujours pas de l'exploitation inique? "Warhammer is dark..." Faudrait savoir si warhammer is dark, si la menace est telle qu'aucun espoir n'est permis pour les hommes... Ou si à l'exact inverse, la menace est fictive et exagérée pour que les chevaliers dominent les paysans... Les deux suppositions étant exactement contraire, c'est l'une ou l'autre... ou encore aucune des deux (comme par exemple, les efforts consenties par les bret sont adaptés à la menace, la preuve en est que la bretonnie survit (et même améliore sa situation))
  11. C’est vrai. La féodalité (au moyen âge et en bretonnie), fonctionne comme une maffia. Mais la présence des brigands et des autres dangers est avérée (d’ou les batailles de WHB…). Un système de défense décentralisé, comme la féodalité ou la maffia, est un système de protection qui fonctionne quand une autorité et une défense plus centrale (armée et justice nationale ou impériale) n’existe pas ou n’est plus suffisant. La maffia ou la féodalité ont moins de raison d’être lorsque la sécurité est assurée de façon centrale, aux frontières, par un état ou un empire…
  12. C’est parce que juste quelques posts plus haut tu expliquais que les chevaliers « n’étaient pas des anges » car ils exploitaient les paysans (sous entendu, les impôts prélevés par les chevaliers trop élevés (les chevaliers qui sont en Bretonnie l’armée, la police, la justice, l’aménagement du territoire, le recouvrement des impôts… bref, toute l’administration). Je tentais d’expliquer qu’une imposition très élevée (les paysans bretonniens donnent 90% de leur production à leur seigneur) n’est pas synonyme d’exploitation. Les richesses englouties pour la guerre pendant les guerres (par exemple, les français en 14-18) ont été énormes : la production presque complètement consacrée à la guerre (soldats mobilisés travaillant à 100% pour la guerre, économie de guerre pour les autres), le capital existant mobilisé (réquisition des chevaux, de la nourriture, des voitures en plus des équipement militaire, achat d’armes à l’étranger avec le capital accumulé jadis) ou détruit par la guerre (villes, villages et bâtiment détruits), un endettement à l’étranger… Ce prélevement monstrueux est-il de l’exploitation ? C’était le prix à payer pour vaincre… ou pour ne pas perdre. Or ces efforts, cette « exploitation » économique (je ne parle pas ici du coût humain) a moins de raison d’être dans la démocratie France en 14-18 qu’en Bretonnie de Warhammer. Car en Bretonnie, on se bat pour les mêmes raisons qu’en 14-18 (sa culture, ses frontières, des territoires, le respect des alliances, peut-être la haine de l’ennemi, etc) et aussi « simplement » pour la survie de l’espèce. Si les allemands avaient gagné la guerre en 14-18, au pire du pire, ils auraient occupé tout le territoire, ils auraient pillé, violé et volé, mis à l’amende et nous aurait forcé à parler allemand. Ils auraient aussi fait de même avec tous nos alliés (Russie, Angleterre, Serbie, Belgique plus tard Italie et USA). Ils n’auraient pas –jamais- exterminé le peuple français, ce que feraient des orques ou des hommes bêtes victorieux… Cette (longue) parenthèse n’a d’autre but que d'essayer de te convaincre (et d'autres) qu’il n’y a pas exploitation inique des paysans par les chevaliers comme tu l’as écrit. Cette exploitation n’est pas pour le bon vouloir des chevaliers. C’est un moyen qu’une société humaine en péril à trouvé pour éviter l’anéantissement. Non, le chaos et les autres ennemis des hommes n’ont pas encore gagné la guerre.
  13. Bon, il y a un truc à comprendre là. L’exploitation des paysans et les « privilèges » des chevaliers, ça sert pas à faire plaisir aux chevaliers. Ca sert à la défense. Si l’exploitation des paysans cessait, les chevaliers ne seraient pas aptes à la guerre, la Bretonnie perdrait la guerre qui l’oppose aux orques, aux skavens, aux chaotiques, aux hommes bêtes, aux MV. Ces ennemis exterminerait tout simplement l’humanité. L’exploitation elle est tout simplement nécessaire à la survie du peuple. Et le job, les valeurs, la raison d’être des chevaliers, c’est justement de protéger les faibles : la veuve et l’orphelin et tous les non combattants (cad les paysans). Ils le font ou ils meurent en essayant de le faire. C’est leur devoir. Tu sais ce qu’elle fait la démocratie en guerre (France en 1914-18, USA et Angleterre en 1939-45) ? Elle fait la guerre. Avec conscription de tous les hommes (jeunes ou vieux, père de famille, anti-militariste, josé-bovéiste and co), effort de guerre monstrueux et des sacrifices financiers, matériels et humains considérables. Et cela, alors que les enjeux de ces guerres entre humains (question de frontières, de cultures, de territoires, de domination, de soutien d’alliés et d’honorer des alliances) sont bien moins importants que la survie pure et simple qui est l’enjeu des guerres dans le monde de warhammer. Les soldats de ces démocraties qui refusent d'obéir en présence de l'ennemi sont passés en cours martiale et généralement condamnés à mort. Au vu du sort réservé aux soldats non professionnels, dans des sociétés plus respectueuses du libre arbitre (démocratie) et dans des guerres comparativement limitées, on imagine le sort d'un chevalier qui ferait preuve de lâcheté et ne remplirait pas son job. Malheur à lui s'il est découvert. Pas d'inquiétude, le chevalier bretonnien se bat, défend la veuve, l'orphelin et le paysan au prix de sa vie s'il le faut. La Bretonnie serait horrible car les chevaliers prélèvent 90% de taxe. Combien de point de PIB étaient consacrés à la collectivité (défense, soldes, pensions des veuves et des invalides…) lors des guerres totales historiques entre humains (dont les enjeux sont je le répète, bien moindres que les guerres de warhammer) ? Nous sommes déjà à 44% de prélèvement obligatoire en France (c’est à dire 44% de taxe) alors que nous n’avons pas à faire d’effort ou de sacrifice pour notre survie et que nous avons une mentalité assez individualiste.
  14. Ben les humains sont quand plus ou moins gentils... De Gaulle, l'abbé Pierre, Mère Thérésa, Hitler, Staline, le chef du gang des barbares sont tous des humains. C'est quoi agir en humain ? Ne peut on dire que certains humains ont été (et sont) plus gentils ou plus méchants que les autres ? Quant à ceux qui cassent (des mc do, des villes ou des maisons), ils penchent clairement coté méchants. Celà dit, les cases gentils/méchants sont mouvantes en fonction des circonstances. On peut (on doit) accepter d'être du même coté de moins méchants que d'autres plus grand méchants. De Gaulle était allié de Staline contre Hitler... Et ce dernier basculerait aussi coté gentil si on était confronté pour de vrai à des skavens...
  15. C’est bien triste ce que tu dis. On m’a déjà parlé ainsi… Ben tu sais quoi, j’y crois pas. Et je fais comme si ta vision du monde était fausse. Je garde un à priori favorable sur les gens (bon, en faisant quand même un peu gaffe). Et tu sais quoi, j’ai bien raison… Car des gentils, des gens favorables, désintéressés, serviables, loyaux, honnêtes, amicaux et plus, on en rencontre quand même beaucoup…. Beaucoup plus en étant favorable à priori que méfiant à priori. Quant aux gens se réclamant (consciemment ou pas) de l’axe du mal, il y en a (j’en ai vu aussi). Je les ignore et les évite si je le peux. Et sinon c’est la guerre. Mais les méchants sont bien moins nombreux que les autres. Non, le monde réel n’est pas glauque. Il peut y avoir plusieurs gagnants à la fois. Le Sire, gentil con optimiste, ptutôt qu'enculé infâme, qui n’a pas manqué et ne manque pas d’amour... et qui trouve souvent des personnes en rapport. Et pour ce qui est du monde de warhammer, il y a suffisamment de méchants en dehors des bretonniens. Vivent les gentils... et pourvu que les gentils gagnent.
  16. Le bon goût je sais pas. Mais j’ai MON bon goût et tu ne l’as pas… (applique ici la mode du tout se vaut… STP) Ben avec nurgle (et d’autres), tu as déjà de quoi t’éclater avec des chevaliers bien glauques. Amuse toi. Il y a bien assez de méchants-vilain-pas-bô à warhammer sans rajouter en plus les bret. Mais si. On peut aimer le bien même entouré de mal et même si le bien n'est pas tout à fait pur. C'est même quand il est le plus rare que le bien est le plus précieux. Les preux bretonniens et les hauts elfes sont les perles du monde. L’axe du bien de warhammer en somme.
  17. Juste pour dire que je suis d'accord avec tout ce que dit Ser Eddard Mais bon, faut pas detester les bretonniens pour comprendre
  18. Le seigneur bretonnien sur hippogriffe Je le joue systématiquement dès 2000 points Mes raisons sont les suivantes : La beauté de la figurine Avoir un jeu plus varié (un seigneur sur hyppogriffe occupe le coût de deux gros fers de lances ou trois ou quatre petits, les bret sans hyppo je trouve ça plutôt chiant à jouer) La terreur si utile face à certains ennemis (hommes bêtes et skaven surtout) et l’immunité à la terreur. Me permettre de ne pas mettre trop de perso dans le même panier à point (il me semble aisé de battre ou au moins tenir en échec un fer de lance, même avec perso) Et surtout sa mobilité. J’insiste sur le critère de mobilité… car le seigneur bretonnien, selon son équipement et indépendamment de sa monture, peut être outillé pour mener à bien de nombreuses missions spécialisées : anti cavalerie lourde, anti monstre, anti perso, blindé, unité d’appui mi lourde et -relativement- économique. Et l’hyppogriffe lui permet d’être là où il faut pour mener à bien sa mission là où un destrier exigerait la bonne volonté de l’adversaire… Stratégiquement, la présence de ce volant lourd empêche aussi un adversaire d’occuper trop de terrain lors de son avance du premier tour… ou d’accepter d’en payer le prix. Enfin, les bretos profitent tout de même assez largement du cd du général sur gros monstres… puisqu’ils sont plutôt cavaliers (à la différence de mes impériaux ou de mes peaux vertes). Contrer les gros monstres en face Avec l’Empire, je tire simplement dessus avec des tirs lourds (canon, canon à répétition, arquebuses) et de la magie. Même procédé avec les orques. Avec les bret, je règle ça au CC. Bien sûr, mes archers tentent bien de lancer quelques volées… mais je n’attends pas mes gueux pour tuer les gros monstres ennemis. C’est juste pour agacer et mettre un peu la pression. Une (ou deux) bonne charge de fer de lance fait le job… Ou un bon duel de gros monstres (avec la bénédiction et des OM ou/et des vertus adaptés, le bret part avec un avantage…). Pour des gros monstres « lâches » qui refusent le contact (gardien des secrets, Belakor) c’est plus compliqué. Là le gars ne viendra pas au close… Je procède en deux vagues. Une première vague (les fers de lances les plus puissants et la GB) va agresser l’ennemi. La deuxième vague (des fers plus petits et le seigneur sur hyppo si aucune cible n’était dispo au 1er tour) est en arrière. La deuxième vague dégagera la première vague si elle est agressée… ou tentera de charger et de retenir le gros monstre « lâche » le temps que d’autres forces bret revienne à le rescousse. Je n’ai jamais affronté de très gros monstres (dragons, démons majeurs combattants…). Je les redoute et leur garde une attention particulière en attendant de les rencontrer.
  19. Oui : les formations normales sont aussi accessibles aux chevaliers bret. Néanmoins, si tu veux déborder, il me semble qu'il faut recouvrir complétement le front. Dans ton exemple, ça donnerait plutôt ceci Au départ : 1er tour de CC © © © © © © © © © E E E E E E E E E E E E E E E Avec bonus de rang de 2 pour les chevaliers, de 2 pour l'ennemi Tentative de débordement, 2ème tour de CC © © © © © © © © © __E E E E E __E E E E E __E E E E E avec aucun bonus de rang pour les bret et bonus de rang de 2 pour l'ennemi débordement réussi, 3ème tour de CC © © © © © © © E E E E E © __E E E E E © __E E E E E avec bonus de débordement de flanc pour les bret Ta formation est possible si tu charges un char (qui fait la largeur de 2 chevaliers en front) ou avec plusieurs unités de bret.
  20. Sire d'Epinette

    La Quête

    Bataille à Moussillon L’armée de Nazarie s’est établie sur une de île dessinée par la Grismérie au cœur de la ville de Moussillon… une île appelée Beaulieu. Depuis son arrivée, l’armée bretonnienne patrouille l’île Beaulieu de long en large. L’île fait quatre kilomètres de long sur un de large. L’île est systématiquement nettoyée de ses occupants. Des dizaines de goules ont été débusquées, exterminées sans pitié. Les goules ont pris l’habitude de fuir les bretonniens maintenant… sitôt découvertes, elles ne cherchent plus à combattre et fuient… Préférant se jeter à l’eau plutôt que d’affronter les épées bretonniennes… Sire trouvait cet établissement facile, trop facile. « Enfin, tout va pour le mieux », pensait-il. Fidèle à ses habitudes, Sire d’Epinette ordonne la construction de fortifications. Les matériaux proviennent des ruines des bâtiments locaux. Moussillon est un immense cloaque, parsemées de ruines obscures et suintantes… et Beaulieu ne fait malheureusement pas exception. Un terrain accidenté par les ruines n’est pas à l’avantage de la chevalerie bretonnienne… au contraire d’un terrain plat et dégagé… Tout en bâtissant des fortifications, les ruines de Moussillon sont systématiquement rasées, le terrain est aplani, pour le rendre favorable à la chevalerie. Ce travail de terrassier suscite des tensions. Les chevaliers sont plus habitués à l’épée qu’à la truelle… Les chevaliers de la quête, en particulier, montrent de plus en plus de réticence à œuvrer sous la conduite de maçons. Ils s’en plaignent amèrement au Sire : « Les gueux nous commandent. Nous sommes venus ici nous battre.». Les Sire explique qu’ici, seule la compétence compte. Avant de combattre, il faut fortifier ses arrières. Néanmoins, les chevaliers de la quête les plus turbulents sont affectés à des tâches militaires : les patrouilles dans l’île Beaulieu, la protection des travailleurs -les ruines étant souvent habitées par des goules ou d’énormes chauves souris- et la reconnaissance à Moussillon. C’est ainsi que les bretonniens arrivent au château des Ducs de Moussillon. Trouver le château n’a pas été difficile… C’est une construction énorme, élevée, massive, de pierres grises. Des douves emplies de brumes, entourent le château. Des tours massives, de pierres noires ceinturent la place forte. De multiples bâtiments dans la cour dépassent des épaisses murailles. Au centre, trône le donjon, fermé et colossal. Un drapeau déchiré flotte encore au dessus du donjon. La bannière rappelle vaguement celle de Maldred Moussillon : de sable à une fleur de lys d’or à filière de même. Mais la fleur de lys apparaît tordue, torturée, encore plus menaçante que de coutume…. Ainsi ce passent les jours à Beaulieu : la journée, les bretonniens se fortifient, maçonnent et patrouillent durant le jour. La nuit, les bretonniens se terrent dans leurs abris. Car Moussillon n’est pas sans danger, bien des gardes disparaissent la nuit… Mais chaque jour, Sire d’Epinette a la satisfaction de voir les bretonniens, mieux protégés, plus forts et plus nombreux. Car chaque jour, l’armée se renforce. L’exemplaire réussite de Martial de Gwéran attire nombre de chevaliers errants. Ce chevalier, autrefois fils puîné de petite noblesse sans terre et sans richesse comme il en existe des milliers en Bretonnie, est aujourd’hui seigneur d’une ville prospère et, comble de l’honneur, parent du roi par alliance… En effet, le roi Louen, soucieux de marquer son intérêt, son engagement et son soutien à cette reconquête de Moussillon, a donné une de ses petites filles en mariage au seigneur de Gwéran… Le bruit courre en Bretonnie que l’armée de Nazarie est entrée à Moussillon. Des dizaines de pèlerins et de chevaliers de la quête désireux de participer à cette noble cause arrivent chaque jour. Fort de ces attraits et parfaitement ravitaillée par le poisson de Nazarie, l’armée du Sire croit continuellement et est aujourd’hui d’une puissance formidable... Ce matin, le château de Moussillon parait particulièrement attirant. Quelle gloire, quel honneur pour ceux qui prendront le château !!! Le bruit court dans l’armée, propagé par des pèlerins récemment arrivés : « Moussillon est à nous. » Cette conviction est partagée par tous, nobles et manants. Le Sire se laisse lui aussi griser par tant d’enthousiasme… et par la fabuleuse force de son armée. Chacun pressent que le château de Moussillon est mûr, prêt à tomber, offert aux preux bretonniens… il suffit de le prendre… L’armée de Nazarie se rassemble et se regroupe au pied du château. Aujourd’hui, les bretonniens ont laissé leurs truelles et ont fourbi leurs épées et leurs lances. A la porte –close_ du château de Moussillon, Sire d’Epinette fait proclamer sa lettre de mission de Louen, qui le désigne, au nom du roi de Bretonnie, comme possesseur légitime de Moussillon. Un silence lui répond… La certitude du bon droit accroît la ferveur des bretonniens. Un bruit court chez les pèlerins : il suffit de faire à genoux, trois fois le tour du château pour qu’il s’ouvre. Avec ferveur, pèlerins, archers, hommes d’arme et chevaliers s’exécutent… Le pont-levis de Moussillon ne s’abaisse pourtant pas. Un pèlerin, Pierre, remarque une fissure dans la muraille. « Regardez ! Cette fissure dans la muraille est une invite. Il suffit de grimper par là pour entrer. » déclare t’il à la cantonade. Joignant le geste à la parole, le pèlerin abandonne son bouclier et commence son escalade. Tous les pèlerins lui emboîtent le pas en plasmodiant des prières à la Dame. « Vont il réussir à ouvrir le pont-levis ? » se demande le Sire. D’un coté, il pressent que Moussillon s’offre… de l’autre sa raison lui crie que cela n’est pas possible… la conquête de Moussillon ne peut être aussi facile. S’il en était ainsi, les bretonniens auraient reconquis la ville depuis longtemps… Des chevaliers de la quête descendent de leur monture et s’apprêtent à suivre les pèlerins. « Restez à vos postes, à cheval près du pont-levis et attendez qu’il s’ouvre pour pénétrer dans la place. Vous chargerez ensuite avec moi. » ordonna le Sire. Les chevaliers de la quête maugréent quelque peu… mais la perspective d’être les premiers cavaliers à pénétrer dans la place les rassure. Ils obéissent. Des hommes d’arme entament à leur tour la montée de leur propre chef… par un gros lierre cette fois, que le Sire, malgré son attention, n’avait pas vu. Le Sire veut à la fois les retenir et les laisser monter. Les retenir car sa raison lui crie que cette invitation est un piège. Les laisser monter car le château ne peut que tomber et que les pèlerins ont sans doute besoin d’aide. Quelle confusion ! Le château avale les piétons bretonniens. Tous les pèlerins sont dans la place maintenant. D’autres hommes d’armes s’apprêtent à monter à la suite des pèlerins. Un homme tombe, puis un autre. Les hommes d’armes s’entraident les uns montant sur les épaules des autres. C’est curieux, car aucun pèlerin n’a eu autant de mal. La fissure ne se serait elle pas refermée ? Quelques hommes arrivent néanmoins au sommet. « Restez ici. » ordonna le Sire, de plus en plus méfiant. Environs une centaine de soldats sont entrés dans la place maintenant… et le pont-levis ne s’ouvre toujours pas. Les bretonniens attendent, troublés. Aucune trace de la centaine de grimpeurs, aucun bruit, rien, un silence de mort couvre cette grande masse d’homme. « Au nom de Louen, ouvrez » ordonne le Sire aux pierres grises. Les bretonniens attendent encore une heure, immobiles. « Nous levons le camps et repartons. Moussillon ne s’offrira pas ainsi. Nous reprenons notre garde à Beaulieu.» conclut le Sire d’Epinette. C’est dans un silence de mort que l’armée repart, déçue et acceptant la perte d’une centaine de piétons.
  21. Sire d'Epinette

    La Quête

    Le conseil de Nazarie Arnaud de la Brière arriva le dernier, en retard de quelques minutes : des problèmes de circulation dit t’il en s’excusant. Sire d’Epinette avait convoqué le conseil de Nazarie. Celui ci était composé de lui même, Duc et seigneur de Nazarie, d’Arnaud de la Brière, de sa Dame, Diane de Lyonesse qui prenait une part importante du fardeau de la gestion quotidienne de Nazarie, de Martial de Gwéran, seigneur de sa ville et de Gabriel de Soncarl chevalier du Graal et compagnon du Sire. « Je vous ai réunis ici pour trouver une solution à nos problèmes. Je vous résume la situation. Depuis plusieurs semaines, il n’est question à Nazarie que de conflits de voisinage, de querelles sur la possessions de terres, de dégâts occasionnés par des animaux, et d’incidents de circulation, de disputes continuelles et j’en passe … Cela alors même que nos greniers sont plein, que nous sommes en sécurité et que des immigrants, attirés par notre prospérité, arrivent chaque jour dans notre cité. » Gabriel de Soncarl s’exprima le premier : « Les bretonniens sont solidaires et disciplinés en temps de dangers. Mais ils se chamaillent maintenant pour des raisons futiles… » Diane continua « La cause de ces désordres multiples est simplement due la surpopulation à Nazarie… L’appel à Louen a été entendu. Des centaines de bretonniens émigrent chaque semaine dans cette ville. Nazarie compte maintenant plus de dix mille habitants… » Sire objecta : « Mais dix mille habitants, ce n’est rien. Comparez avec les autres ports du vieux monde. Et certaines villes impériales, comme Altorf ou Nuln, accueillent une population plusieurs dizaines de fois supérieurs en nombre… » Diane continua « Les bretonniens récemment arrivé dans Nazarie ne sont pas des pêcheurs. Ils sont paysans et viennent avec leur cheptel. Les chevaliers viennent avec leur chevaux. Chaque immigré emmène avec lui sa ménagerie. Pour chaque humain, il y a ainsi deux ou trois gros animaux, bovin ou équidé… sans compter les innombrables poulets, cochons, chiens… qui tentent de glaner leur nourriture dans les rues sales de Nazarie. Nazarie est surpeuplée. Et tous les problèmes viennent de là. » « Que proposez vous Diane ? » « Il faut interdire le bétail dans Nazarie même. Il faut bien prendre conscience que Nazarie est un port. Nazarie doit être peuplée non pas de paysans, mais de pêcheurs, de marchands, de marins et d’artisans. Les citadins n’ont nul besoin de vaches et de cochons. » Le Sire n’était pas convaincu par cette explication. Pour lui, le bétail était une richesse. Considérer cet abondance de richesse comme un problème n’était pas –du moins pas pour le moment- dans son schéma mental. « Quelle est la situation à Gwéran ? » s’enquerra le Sire. Martial répondit : « La situation est bonne. Les marais salants fonctionnent à plein. La demande est forte, le peuple heureux. » « Pourriez vous accueillir d’autres colons ? - Nous pouvons accueillir des colons… mais, Gwéran et ses alentours ne peuvent accueillir que peu de bétail, ma terre ne s’y prête pas. Je crois messire, que Diane a raison. Pour accueillir du monde, il faut interdire les vaches et les cochons dans les villes. » « Arnaud, votre conseil ? » Arnaud était pris entre deux loyautés : sa femme ou son suzerain. Il se rangea du coté de son épouse… « Puisque vous le pensez tous, nous interdirons Nazarie au bétail. « Ce n’est pas tout Sire. » continua Diane. « Les poules qui circulent librement sont également facteur de crasses, de saleté, de désordre. - Les poules aussi ? Pourquoi pas les lapins pendant que vous y êtes… » Diane garda le silence… un silence qui confirmait que les lapins domestiques entraient bien eux aussi dans le champ d’interdiction… « Mais en cas de tempête qui interdirait la pêche, que mangerons nous ? » continua le Sire. Le Sire était furieux. Comme 95% des bretonniens, c’était un campagnard. Il avait toujours vécu entouré de vaches, de cochons, de chevaux… Des poules picoraient fréquemment à sa table… il dormait avec des chiens... Les animaux domestiques était pour lui synonyme d’opulence. Leur vue, leur bruit, leur odeur rassuraient le Sire… Se priver de toute cette richesse… Non, décidément, il n’était pas fait pour la ville. Pourtant, il pensait que Diane avait –encore mais cette fois contre lui- raison. Et cela le rendait furieux. « Arnaud, vous avez reconnu les alentours. Où établir des nouvelles colonies, des colonies rurales pour accueillir le bétail, les paysans et … les chevaliers de Nazarie ? « Entre Gwéran et Nazarie, il y a peu de terres favorables, ainsi que l’a dit le seigneur de Gwéran. Au sud est, il y a des marais insalubres. La terre est favorable à l’est de Nazarie. Il y a bien des marais ça et là, mais de larges territoires peuvent être colonisé jusqu’à Moussillon. Il y a une bande de terre riche dans laquelle la Grismérie pose ses alluvions. Une colline surplombe cette vaste plaine sur des lieues et permet la vue sur la plaine de loin en loin de Moussillon jusqu’aux faubourgs de Nazarie. Cette barrière permet de voir Nazarie de très loin. Au sud de la Grismérie, il y a de bonnes terres et parfois des marais. Il y a même un lac qui accelérerait grandement notre établissement sur ces terres. C’est un lieu tout à fait favorable… » « Et à Moussillon ? » questionna le Sire. « Moussillon semble vide et plein de ruine. On ne peut évidemment pas y accueillir de bétails... Mousillon est bâtie de part et d’autres de la Grismérie. Il y a des îles à cheval sur les deux rives… Ces îles sont moins urbanisées que les rives nord et sud. Elles constituent des beaux lieux relativement sécurisées pour y établir une base militaire… » Le Sire reprit la parole. « J’interdirais les vaches et les cochons dans la ville mais je laisserais notre peuple disposer de poules et de lapins. Nous allons coloniser d’autres terres. Arnaud, me prêteriez vous allégeance cette fois ? » Arnaud se souvenait de son échec à Brière. Sa vie basculait vers plus de responsabilité et cela l’affolait. Il sentit que Diane lui prenait la main, à son côté. Elle était sa femme, avec lui pour cette tâche comme en toutes les autres... Ce soutien le rassurait. Arnaud se lança. « Oui messire. Je suis prêt aujourd’hui à assumer des responsabilités. Vous serez donc seigneur de Nazarie, Arnaud.» continua le Sire. « Nous délaisserons pour temps le sud de la Grismérie, car l’armée de Nazarie doit être capable d’intervenir dans toutes les colonies… et le fleuve est un obstacle majeur. Nous coloniserons toutes les terres entre Moussillon et Nazarie, et nous bâtirons des forts sur la barrière qui domine le lit de la Grismerie. - Allons nous disperser l’armée dans chacun de ses forts ? » demanda frère Gabriel. « Non. Nous garnirons les places fortes de piétons, mais l’armée restera assemblée en un seul point. Nous présence militaire sera concentrée au plus près de Moussillon… Peut être même jusqu’à ces « beaux lieux » qu’Arnaud a repéré à Moussillon même. Notre armée devra fixer nos ennemis de Moussillon le plus loin possible à l’est pour la prospérité de nos établissements. Après les défaites qu’ils ont subi sur terre et sur mer, je doute fort que les morts-vivants des mers reviennent nous agresser à Nazarie. Nous mettrons néanmoins en place un système d’alarme qui appellera l’armée en cas de besoin. Ce conseil est terminé. Demain, vous me prêterez allégeance en place publique Arnaud. Je promulguerais l’interdiction du bétail à Nazarie et endosserais l’impopularité de cette mesure. Pour que nos paysans gardent espoirs, que nous conservions notre mode de vie et que notre présence s’enracine en ces terres, j’annoncerais la colonisation de nouvelles villes… Je prendrais la tête de l’armée de Nazarie pour protéger cette nouvelle progression. Ma dernière décision pour Nazarie sera de vous nommer seigneur et protecteur de Nazarie. » Sire continua : « Ayez bien à l’esprit l’importance de votre tâche à Nazarie, Arnaud. Nazarie n’est pas seulement notre ville principale. Nazarie est notre mère nourricière en ces terres. Nazarie est le cordon ombilical qui nous relie à Louen. Nazarie est la clé de Moussillon. Toutes nos autres villes, toutes nos armées peuvent être perdues. Mais Nazarie doit être tenue à tout prix et contre tous nos ennemis. Est-ce bien clair Arnaud ? » C’est à la suite de ce conseil que les bretonniens fondèrent, au nord du grand fleuve, trois villes fortifiées sur la barrière entre Nazarie et Moussillon : Pontcastel, Sauvenay et Mondeluc. Ils établirent à Moussillon même une base militaire qu’ils appelèrent Beaulieu. A Beaulieu, la vraie guerre commença.
  22. J’aime bien ta génération et répartition des dés. C’est une bonne idée qui semble équilibrer les vents magique tout en encourageant le camp fort en magie. OK pour phase 1 et 2. Phase 3 : Je pense qu’il faut que l’attaquant parle en premier ET en dernier. Car dans ce cas, c’est l’attaquant qui choisit les sorts qui passent… et cela encourage les sorts généralement inutile mais parfois décisifs qui font la différence dans une bataille par la qualité d’un sort (et non par l’avalanche de sorts identique comme aujourd’hui en V6). En plus, je ne voit pas vraiment l’intérêt de lancer ou contrer avec des gros mago. Je propose cette modification : Il n’y a plus de limite au dés utilisables par niveau du sorcier. L’attaquant alimente un sort en dé, éventuellement avec une pierre de pouvoir ou autre (les dés sont dépensés mais sans les lancer). Le défenseur peut - utiliser un parchemin de dissipation - en rester là - utiliser des dés de dissipation pour contrer… il en dépense le nombre qu’il veut. Si le défenseur utilise un pam le sort est automatiquement dissipé, les dés attaquants sont dépensés. Si le défenseur en reste là, l’attaquant lance ses dés pour voir si le sort passe. (Il ne peut pas renforcer son sort) Si le défenseur décide de contrer, l’attaquant peut renforcer son sort en doublant son nombre de dé. Ensuite chacun lance les dés dépensés. Le sort passe ou pas. Pourquoi doubler ? Pour que l’attaquant choisissent les sorts à passer Pour que l’attaquant risque le fiasco. Pour que le défenseur puisse quand même mettre le paquet sur une dissip. Subtilité : Le score de l’attaquant est augmenté de la différence (niveau de magie attaquant - niveau de magie défenseur). J’aime bien tes fiasco, rebonds, tueurs de sort… Tu autorise beaucoup trop de dés conservés. Un seul par sorcier.
  23. Non, car ils perdent leur bonus +1 en sg pour troupe monté. Donc la sg des chevaliers classique ne change pas, mais les cavaliers qui n'ont pas de bouclier perdent de la sg. Ce qui changent avec une sg plus faible qu'aujourd'hui : les cavaliers légers, les chevaliers de la quête qui utilisent l'arme lourde, et surtout les perso sur dada sans bouc (seigneurs/héros avec fléau ou arme lourde, grande bannière (sg 4+ plutôt que 3+ avec armure lourde et dest cap)).
  24. Dis donc toi, avec ton soucis tout coûte cher, tu serais pas un peu rappiat ? L’arme supplémentaire est une arme aujourd’hui franchement délaissée. Je passe sur les guerriers du chaos qui sont à la rue quelque soit leur équipement… Mais l’arme supp peut équiper d’autres troupes qui pourraient être des porteurs d’arme supp et qui ne le sont pas… L’arme supplémentaire est possible chez les orques… Elle est abandonnée malgré les figurines de la boîte de base (l’orque passe de 5 à 7 points, ce qui est une grosse augmentation de coût, et perd le bonus kipkoup pour gagner une attaque). L’arme supplémentaire est quasi absente chez les unités de monstres (ogres, minotaure) qui pullulent mais prennent systématiquement l’arme lourde. Idem pour les perso à pied… Un coup de pouce est nécessaire à cet arme en terme de jeu… pour que nous, joueurs, prenions le temps de réfléchir à nos équipements… et que le jeu soit plus diversifié en terme de troupes jouées. +1A en charge est il suffisant pour réhabilité cette arme délaissée ? Peut être, peut être pas. Et ainsi, on aurait un choix de troupe épineux : les soldats armés d’arme supp seront toujours balayés contre la cavalerie loudre, la cavalerie lourde serait mis en échec par les lanciers et les hallebardiers, lesquels seront à leur tour éléiminer par les fantassins équipés d'arme supp. Le choix est difficile et la bataille intéressante car il y a toujours un cas où l’arme jouée est intéressante.
  25. Le canon blesse plus facile (F10), a une plus longue portée, tire sur 360°, peut tirer à mitraille, snippe … Je veux diversifier le jeu. Donc différentier l’arquebuse de l’arbalète, rendre le rendu visuel des régiments d’arquebusiers plus sympa (2 rangs) et occasionnellement, créer des armes anti chevaliers. Mais je ne veux surtout pas handicaper les arquebusiers face aux monstres et aux chars, bien trop présents également à mon goût. Le point capital que tu sembles négliger est que seul un arquebusier « Sire » sur 2 tire à chaque tour. Donc le volume de tir initial des arquebusiers « sire » est deux fois moindre que les actuels. 1,33 exactement. Et la nouvelle version fait exactement le même dégât : pour 96 points, tu as 12 arquebusiers « Sire » en 2 rangs de 6, 6 qui tirent à chaque tour, 2 qui touchent (à LP), 1,33 qui blessent… exactement comme la version actuelle. Mais le régiment de 12 arquebusiers est visuellement plus attirant et tactiquement plus intéressant (6*2 est bien plus économique en place que 12*1). Je gage que 5 chevaliers impériaux (5*23=115 points) perdront contre 14 arquebusiers « Sire » (8*14=112 points) en assaut frontal. Les arquebusiers protégeront donc une partie du champs de bataille contre la cavalerie lourde… mais il sera intéressant de les contourner. Ta baliste à répétition a une portée deux fois plus importante : elle menace bien plus de terrain que les arquebusiers. La baliste à répétition peut tirer sur 360°… Les arquebusiers peuvent être dans le vent en ne plaçant rien devant. La baliste à répétition est impossible à éviter ou contourner. Reste qu’elle ne tient pas le terrain… Meilleure au tir contre la cavalerie à 1+ de sg, aussi bonne au tir contre les cavaleries lourde à 2+ de Sg, moins au tir bonne contre tout ce qui a 1PV et une sg d’armure jusqu’à 3+ (tireurs, infanterie, cavalerie moyenne et légère…) : l’absence de sg ne compense pas le volume de tir 2 fois moindre. Les arquebusiers sont cependant plus forts en CC (normalement, ils auront un bonus de rang) et moins encombrant. Contre les volants, j’ai calculé un peu avant qu’il fallait une salve de 24 pour tuer un chevalier pégase à découvert… non béni. En fait il faut une salve de 29 arquebusiers pour tuer un chevalier pégase béni à longue portée… bonne contre les volants la nouvelle arquebuse t’es sûr ?
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