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Sire d'Epinette

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Tout ce qui a été posté par Sire d'Epinette

  1. 1D3 blessure ça fait exactement 2 blessures en moyenne. Un canon a F10, détruit les chars, poursuit sa trajectoire, peut être runé, peut tirer à mitraille... Un canon fait plus de dégâts qu'une arquebuse... Je répète, les 2 blessures ne sont là que pour que les arquebusiers aient la même efficacité qu'aujourd'hui contre les monstres, les chars, les régiments de monstres. Il faut 2 fois plus d'arquebusiers pour infliger le même volume de tir, par contre, le même volume de tir est deux fois plus mortel face à des créatures à plusieurs PV. Donc face à ces cibles, le rendement des arquebusiers est inchangé grace à ces 2 blessures.
  2. Pour le tir sur 2, nous nous comprenons peut-être mal. Quand je dis un sur deux tir et l'autre recharge, et qu'on peut les déployer sur deux rang, ça veux dire : Que si les arquebusiers sont par 20 en 2 lignes de 10, 10 tirent à chaque tours. L'unité bénéficie d'un bonus de rang, peut faire feu continu mais ce feu continue côute plus cher que 10 arbalétriers : ils sont deux fois plus nombreux...) Si 10 arquebusiers sont retranchés dans un bâtiment (donc tirailleurs), 5 tirent à chaque tours. Si 12 arquebusiers sont sur une colline, ils peuvent être sur 3 rang de 4, et 6 tirent à chaque tour... et l'unité bénéficie d'un bonus de rang de 2. Sur la qualité naine, nous nous comprenons mais nos avis divergent. Pour moi seul les spécialistes d'un prix >=6 point doivent bénéficier de la sg arme de base plus boucliers. Et ce, même chez les nains. Et c'est pour ça que les équipement additionels (arquebuse, lance hallebarde, etc...) doivent être interressante. Ensuite, pour que ta fière race ne soit pas vexée, je peux t'assurer que ton arquebusier nain au contact avec bouclier même sans bonus de sg (donc avec 5+ en sg) reste plus efficace au contact qu'un épéiste impérial spécialisé (donc à forciori d'un arquebusier impérial...), de part son profils supérieur de nain (CC, endurance et Cd)... mais il sera moins efficace au contact que l'épéiste nain spécialisé dans sa tâche.
  3. Exactement. L'arquebusier porte un fusil qui est son arme principale bien avant l'épée et le bouclier. L’arquebusier passe sa vie à entretenir son fusil, à s’entrainer à le charger le plus rapidement possible, à viser le mieux possible… son épée au fourreau et son bouclier dans le dos. Alors que le nain épéiste se focalise sur l’escrime (heu… avec son marteau ou sa hache, ce qui est plus efficace pour un nain...) et l’usage individuel et collectif de son bouclier. (mur de bouclier, tortue, etc...). Ton arquebusier nain reste un adversaire difficile au CC, il a CC4, E4, Cd9 et une sauvegarde 5+, mais il est moins efficace que le nain spécialiste. Ensuite le bouclier de l'épéiste est un équipement principal toujours porté. Il peut être plus imposant que le bouclier "appoint" d'un arquebusier. Tout ceci justifient un meilleur bonus de sg. Et au niveau jeu, il convient du différencier les troupes et leur usages. L'arquebusier ne doit pas être trop bon au tir ET au CC Dans la vie, on ne peut pas tout faire... il faut choisir.
  4. Les lanciers hauts elfes battent déjà facilement les autres infanteries. De front. Il y a des soldats qui n’ont pas CC 4 et qui ne sont pas des sous-soldats pas cher. Par exemple les soldats impériaux (hallebardiers, lanciers), les gardes des cryptes, voir les squelettes. Je trouve indu de réserver trop d’avantages à cette CC4. La CC4 n’est pas et ne doit pas être le Graal du combattant… Dans l’esprit tu as tout à fait raison. Mais quelle infanterie a M6 ? Je ne vois que les coureurs d’égouts skaven et les skinks… non ? Ces troupes auront elles envie de venir s’empaller de front sur un mur de pique, de lance ou de hallebarde ? Ont elles une chance dans ces conditions ? Non… donc autant simplifier et ne PAS faire d’exception… Pas la peine de compliquer les règles avec un truc qui n’arrive pas (ou qui ne change rien au résultat… des skinks chargeant des lanciers de face se font balayer, que les lanciers aient F3, 4 ou 5)). Pff, des règles et des calculs compliqués. Pourquoi ne pas simplifier dans ces conditions : pas de sg d’armure c’est plus simple et anti cavalerie lourde. Pas de sauvegarde => pour faire de l’arquebuse une arme anti cavalerie lourde. Un tir sur deux. Pour qu’elle ne soit malgré tout pas trop puissante et pour faire des régiments visuellement attractif sur la table (sur deux rangs) et historiquement correcte (les arquebusiers étaient sur plusieurs rangs, un rang tirait, les autres rechargeaient). 2PV => pour que l’arquebuse, alors même qu’un arquebusier sur deux tire (l'autre recharge), conserve la même efficacité contre d’autres troupes rentables à plusieurs PV sans beaucoup de sg (char, gros monstres, unités de monstre (ogres, kroxi)). Une balle me semble plus dangereuse qu’un carreau d’arbalête… car pour l’enlever, il faut opérer (triturer l’intérieure des chaires avec un couteau). Alors qu’un carreau peut être retirer plus facilement. En outre il y a un aspect jeu qui permettrait de différencier l’arbalète et l’arquebuse… Heu… tu voudrais réduire la brochette d’infanterie … et la brochette de cavaliers, c’est au poil ? Il y a déjà un malus de mouvement avec les caparaçons. La plupart de ceux qui ont le choix (mercenaire, CV) jouent leur chevaliers lourds sans caparaçon. Si tu empêches en plus la marche forcée, ça va tuer les chevaliers lourds de l’empire, des bret, des hauts elfes et du chaos… Mais ça va être l’avénement des cavaleries lourdes sans caparaçon (mercenaire, sf, sanglier, chevaliers noirs,…), des cavalerie moyennes, et surtout des chars et des monstres (ogres kroxi,…). Proposition fort peu pertinente je trouve. Là encore, la lance est payante, couteuse. Il faut qu’elle serve. Je trouve au contraire que la lance n’est pas assez présente en particulier pour les personnages. Sinon, vive les armes lourde, fléau, arme de base, marteau de cavalerie... C’était une provocation non… Sur la cavalerie. Si les lanciers, les piquiers, les hallebardiers, les arquebusiers deviennent plus efficaces face à la cavalerie lourde, l’intérêt de celle ci diminue. Mais la cavalerie conserve un rôle important. Il ne faut pas tuer la cavalerie. Il faut améliorer les armes historiques anti-cavalerie qui fonctionnent plutôt mal avec les règles actuelles(lance, pique hallebarde, arquebuse).
  5. J’ai jamais eu ce genre de problèmes… (enfin pas depuis que j’ai dépassé 6 ans… c'était il y a trois dizaine d'années quand même !). Ce serait un peu hallucinant entre gens de bonne compagnie… La malemoule arrive même avec les dés. « Et v’la t’y pas que j’arrive pas à faire 6 ou plus avec 3 dés de dissip ! » (ou que je sors un fiasco !). Je précise que les parchemin de dissipation étaient disponibles à cette époque… elles le resteront. on peut oublier les dés aussi… au tout ou partie de son livre, ses fig… enfin, le jeu c’est sérieux… Perso, ces cartes bien fun et aléatoires me manquent... après cette magie V6 pratiquement sans surprise. La magie devrait être alétoire... bien plus aléatoire que les machines de guerre.
  6. Effectivement. La V5 souffrait des profils des mago, lanceur de sort mais également très puissant en corps à corps (3A F4, toutes armes magiques ou autres permise (donc F6), E4 et 4PV pour le seigneur sorcier humain). Facteur agravé par l'existence de nombreux OM communs et surpuissants (amulette noire qui annulait les blessures sur 4+ ET les renvoyait à l'adversaire en CC, bâton crâne qui tuait en cas de test de Cd raté). Résultat, mon seigneur sorcier humain bien équipé se mangeait un dragon en CC... Mais il ne faut pas confondre le profil des mages et la rentabilité des OM au système de magie lui même. Les profils des mago V6 sont mieux (1A pour un seigneur sorcier) que ceux de la V5. Mais le système de génération des vents magique et les lancements des sorts V5 sont mieux que leurs homologues V6. Bref, le monde magique idéal selon le Sire serait les profils et les OM pour mago V6 alliés au système de génération des vents magique et lancement des sorts V5.
  7. J’ai une autre trouvaille pour le bouclier pour l’affaire du bonus arme de base + bouclier, des armes lourdes montées trop présentes et de l’absence d’intérêt des lances de cavaleries (en particulier pour les personnages). L’idée serait celle là : Il existe des grands bouclier et des boucliers standards. Le grand bouclier donne un bonus de sg de +2 (au tir et au CC). Il n'y a plus de bonus pour l'infanterie équipé d'arme de base et de bouclier. Les cavaliers perdent leur bonus de +1 en sg car ils sont montés. Le grand bouclier équipe d’office les fantassins spécialistes« d’élite ». C’est à dire les fantassins qui n’ont que l’arme de base et le bouclier (et éventuellement une armure) et dont le coût équipé est >= 6 points (épéistes impériaux, maraudeurs, guerriers du chaos, saurus, nains, squelettes, etc… et tous les perso à pied) Le grand bouclier remplace l’ancien bouclier pour tous les cavaliers. Les infanteries inférieures (prix <=5 points) ou non spécialistes (par exemple les lanciers) n'ont que des petits bouclier. Conséquence Ca change rien à la sauvegarde des cavaliers classiques qui usent de boucliers. La cavalerie sans bouc voit sa sg réduites de 1. Les personnages montés avec arme lourde (ou fléau) voient leur sg réduite de 1 point. => Les personnages montés avec arme lourde (ou fléau) vont être moins intéressant et on va revoir des personnages montés avec lance de cavalerie (ou arme magique+bouc).
  8. Le système de magie V5 la phase de magie V5 se passait en 4 étapes : 1 : distribution des vents magiques Les joueurs se partageait à égalité 2D6 cartes vents magiques. Les cartes vents magiques étaient de 3 sortes : des cartes de pouvoirs, des cartes dissipations et des cartes spéciales (je parlerais des spéciales plus tard). 2 : lancer/contrer les sorts Les sorts exigeait 1 à 3 cartes de pouvoir. 2.1 Le joueur actif (dont c’est le tour) alimentait les sorts qu’il voulait lancer. 2.2 Le défenseur pouvait utiliser une carte de dissipation. Il obtenait ainsi le droit de dissiper le sort sur 4+. Le défenseur pouvait choisir dans la foulée de renforcer la dissipation en utilisant des cartes pouvoirs. Chaque carte pouvoir diminuant le dé requis de 1. 2.3 L’attaquant pouvait ensuite renforcer le sort : chaque carte de pouvoir ajouté par l’attaquant augmentait le score de dissipation requis de 1. 2.4 Lancement du jet pour dissiper retour au 2.1 tant que le joueur actif le désire et a des cartes de pouvoirs 3 : Contrer les sorts actifs Le joueur actif peut dissiper les sorts actif à l’aide de carte de dissipation (sur 4+ mais le joueur actif peut renforcer la dissipaion avec des cartes de pouvoir. 4 : Conserver/défausser les cartes vents magique Chaque sorcier pouvait conserver une carte vent magique pour la phase suivante. Les cartes en excès étaient défaussées. Exemple : Les vents magiques soufflent. 9 cartes de vent magique sont distribués, 5 pour l’attaquant, 4 pour le défenseur. L’attaquant a 4 cartes pouvoirs et une carte dissip. Il a un sort qui exige 2 cartes pouvoir et 1 sort exigeant une carte pouvoir. Le joueur actif lance son sort à 2 cartes de pouvoir. Un sort essentiel à ce moment. Le défenseur à 1 carte dissip et 3 cartes pouvoirs. Il use sa carte dissip et ajoute 2 cartes de pouvoir. Il dissipera donc sur 4-2=2+ L’attaquant a encore 2 cartes de pouvoir. Va t’il renforcer son sort pour tenter de le faire passer ? Ou laisser tomber pour lancer un autre sort ? Si le sort est décisif à ce moment, l’attaquant va user ses 2 cartes restantes. Donc le jet de dissipation se fera à 2+2=4+ Le défenseur lance sa dissipation à 4+. Si l’attaquant avait décider d’en rester là pour la dissipation du premier sort, le defenseur aurait du réussir une dissipation à 2+ pour contrer le premier sort… mais l’attaquant aurait pu lancer un deuxième sort. A la fin, attaquant et défenseur conserve une carte vent magique chacun. Subtilité : les sorciers de niveau supérieur contre plus facilement et sont plus difficile à contrer. Ainsi un sorcier supérieur contre à la base sur 3+, un sorcier de niveau égale contre ur 4+, un sorcier de niveau inférieur sur 5+. On a donc intérêt à avoir le sorcier de plus haut rang… Mais les petits sorciers sorcier conservent autant de vents magique d’un tour à l’autre que les grand… on a donc intérêt à jouer des petits sorciers porte vents magique. Dernières subtilités : il existe des cartes spéciales qui perturbe le fonctionnement normal. Ainsi il existe des cartes rebond, tueur de sorts qui sont des cartes de dissipation uniquement utilisable par un sorcier et qui en cas de succès dans la dissipation ont un deuxième effet dommageable pour l’attaquant… donc face à ces cartes spéciales, les renforcements de dissipation et de sorts se multiplient… Il existe aussi une cartes drain de magie qui aspire la magie, ou pouvoir total qui alimente complètement un sort et qui ne peut être contré. Avec ce système, l’optimum est beaucoup plus difficile à saisir qu’avec le système linéaire de la V6 : Il n'est pas suicidaire de sortir sans magicien : on a quand même la moitié des vents magique, on contre quand même sur 5+ et on peut renforcer la dissipation des sorts les plus génants Il est intéressant de se contenter d’un petit sorcier niv1 : on usera grace à lui de tous ses vents magique et ses cartes spéciales pour pas trop cher. On peut même réussir à lancer son unique sort si le défenseur est trop économe de ses cartes de pouvoirs en dissip (ou en cas de pouvoir total)… Il est intéressant d’avoir 2 ou 3 sorts… ainsi en magie offensive nous aurons le loisir de renforcer un sort ou d’abandonner face à une dissipation lourde et d’en faire passer un autre… à chaque phase. Il est intéressant d’avoir le plus gros sorcier sur la table : lancements de sort et dissipations en sont grandement facilités. Il est intéressant d’avoir un ou deux petits sorciers acolytes capables de porter les vents magiques d’un tour à l’autre et donc de gérer en partie la phase de magie suivante (gestion offensive ou défensive). Par contre il n’était pas très judicieux d’avoir plusieurs grands sorciers car on n’a pas plus de pouvoir que l’autre, juste plus de choix de sort. Pour avoir fréquenter les bourrins à cette époque, toutes les combinaisons de sorciers étaient possibles et optimisées. Du simple niv 1, au niveau 2-3, au binôme niv 3 et 1, au binôme niv 4 et 1. On était très loin des standards porte pam ou full magie d’aujourd’hui… Et les parchemins de dissipation étaient rares…
  9. Bon alors finalement, moi je verrais au final Les Graals et et les pélerins en base 1+ errants, archer en tirailleurs et levée paysanne en base ne comptant pas dans le nombre des choix de base minimum à prendre homme d'arme, royaume, sergents, questeux en spé et les chevaliers pégases en rare 0-1. L'inconvénient de cette répartition est que les pégases sont disponibles. Je rajouterais bien des mercenaires du coup (puisque la bataille peut avoir lieu à l'étranger).
  10. Je ne pense pas qu'une armée du graal se limiterait au territoire bretonnien. Pourquoi toujours voir les humains assiégés et sur la défensive ? Une incursion sur les terres skavens, orques ou occupée par le chaos n'est pas à exclure. La fée enchanteresse pourrait bien guider ses adorateurs en loren, en lustrie ou chez les nains... Et là, point de seigneur et garnison bretonniens locaax...
  11. Ce système encourage toujours à prendre un max de sorciers. Si celui qui a une infériorité en magie a des chances de passer un sort (ça c'est bien), celui qui domine va balancer moult moult sort (et ça c'est mal)... Par exemple, à 5/1, il y a 4 sorts qui passent systématiquement... et un 5ème un quart du temps. Donc on doit prendre beaucoup de sorcier avec ce système... Ce n'est pas bon. Sire, le système de magie V5 était parfait. Pourquoi l'avir changer
  12. C’est incomplet. Les chevaliers errants sont tous sans terre et célibataires -et c'est effectivement pour ça qu'on les appelle errants-. Leur objectif est de devenir chevalier du royaume : c'est à dire trouver d'abord un domaine et ensuite une épouse. Le chevalier errant ne travaille pas. Il est équipé, nourri et logé soit par sa famille, soit par un chevalier protecteur plus riche, soit encore par la providence. Malgré leur nom seule une minorité de errants, la dernière catégorie, errent. Le chevalier errant héritier. Le domaine tant convoité peut être classiquement le domaine familial. Dans ce cas le(s) chevalier(s) errant(s) reste dans son domaine familial. Lorsque son père meurt ou se lance en quête du Graal, le fils aîné prend sa place par héritage et devient chevalier du royaume. Ces chevaliers errants sont donc dispersés dans tous les domaines bretonniens. Dès que l’ost est convoqué, le chevalier errant combat bien évidemment au coté de son père. Seul ce type de errant a peu de chance de se joindre à un ost du graal (pas plus que son père chevalier du royaume en fait). Le chevalier errant courtisan. Lorsque le chevalier errant a déjà un (ou plusieurs) frère aîné, il n’héritera pas. Dès lors, la solution la plus raisonnable pour obtenir un domaine est de se voir confier un domaine par un chevalier plus riche. Le chevalier errant entre alors au service d’un riche chevalier et tente de mériter par sa valeur et sa loyauté, la confiance et l'estime de son protecteur... et un fief (qu'il devra peut être conquérir avec l'appui de son protecteur). Lorsque le protecteur, satisfait du jeune chevalier errant, lui confie enfin un domaine, le chevalier errant passe chevalier du royaume, prend femme et devient dès lors vassal de son protecteur. Ces chevaliers errants vivent dans les principales villes bretonniennes où vivent les plus riches chevaliers de Bretonnie… Dans l'espoir de plaire à leur protecteur, ils acceptent toutes les missions. Ils sont évidemment de toutes les batailles du chevalier protecteur. Mais les Graals sont d’une part parfois eux même possédant et d’autre parts, même s’ils ne sont pas eux même possédant, sont très influents auprès des puissants. Donc un chevalier errant courtisan a un intérêt matériel évident à faire son possible pour se distinguer au sein des osts du graal. Le chevalier errant errant. Le chevalier errant, surtout s’il est beau et sans héritage, peut aussi partir en quête d'un domaine sans seigneur, d’une héritière (les histoires de princesse à sauver…), ou d’une veuve dotée d’un domaine (moins romantique, mais tellement plus fréquent…). Dans ce cas le chevalier errant erre pour trouver sa dame et… son manger. Il sera là aussi de toutes les aventures et de toutes les batailles dont il aurait connaissance. En particulier il se joindra sans hésiter au osts du Graal. La différence entre ces errants errants et les chevaliers de la quête, est que les questeux cherchent La Dame alors que les errants errants cherchent une dame. Et au delà de ses considérations bassement matérielles déjà plutôt favorables à l’intégration des chevaliers errants aux osts du graal, n’oublions pas que les bretonniens sont un peuple religieux… ainsi que le souligne le Baron de Havras...
  13. En fait, la raison d’être de cette liste du Graal par rapport à la liste classique (et croisade), c’est de permettre plusieurs unités de chevaliers du Graal… et accessoirement plusieurs unités de pélerins (c'est moins intéressant car déjà possible avec la liste croisade). Et ce, au prix d’une raréfaction des troupes bretonniennes régulières : chevaliers du royaume, hommes d’arme, archers en ligne, chevaliers pégases , trébuchet, seigneur et paladins non graaleux. L’autre règle intéressante qui peut promouvoir cette variante est la possibilité de prendre un champion chevalier du Graal pour guider les errants (sans l'enthousiasme exubérant des errants en croisade ). Donc voilà, c’est pas facile de réorganiser les catégories base, spé rare pour refléter tout ça…
  14. Oui enfin, on part à la base d'une armée bretonnienne... donc on parle quand même cavalerie. Ben ouais. La liste d'armée "horde humaine à pied bénie par des prêtres" existe déjà ... C'est la variante impériale du culte d'ulric je pense. Faut voir ce que l'armée du Graal peut apporter... entre le culte d'Ulrich, l'armée bret standard et la liste croisade... Les chevaliers pégases sont bien limités dans cette armée du graal. Si j'ai bien tout compris, ils sont interdits à moins de 2000 points (le premier choix rare est automatiquement trusté par les chevaliers du graal).
  15. Hélas oui, la Fée est loin d’être toute puissante. Tu comprendras quand –si- tu trouves ce que l’on nomme le Graal… Et ce sera parfait, enfin. On aura le loisir d’en mettre une ou deux unités dans les ost du graal.
  16. Bien sûr... mais tous les bretonniens (sauf les félons…) voudraient combattre au côtés des graals... Je voulais dire que les questeux ont des raisons et des intérêts tout particulier d'intégrer ces osts du graal. C'est leur devoir et leur désir Le devoir. Les questeux sont d’abord des chevaliers. Le devoir de tout chevalier est de combattre… Mais ce devoir s’impose encore plus pour une cause juste, une cause défendue par une concentration inhabituelle de chevaliers du Graal. Le désir. Un chevalier de la quête a pour objectif personnel de rencontrer La Dame -et donc le Graal-. On murmure ça et là –avec raison- que les damoiselles du Graal et les chevaliers du Graal ont parti lié avec cette entité. Côtoyer les damoiselles et les chevaliers du Graal, c’est à dire combattre dans un ost du graal, c’est pour un chevalier de la quête se rapprocher de personnes qui ont déjà rencontré La fée, qui oeuvrent en tout moment pour Elle, et qui continue sans doute à La voir épisodiquement. Si le chevalier de la quête se montre digne, il n’est pas stupide de penser que damoiselles et chevaliers du Graal feront les intermédiaires. Donc il faut que le chevalier de la quête montre ses mérites dans les osts du graals… Voici des arguments pour que les chevaliers de la quête de par leurs désirs et leurs devoirs, soient d’eux même plus présents dans un ost du graal que dans un ost ordinaire.
  17. Je répète bien : copyright Sire d'Epinette. Tant qu'à mettre le copyright Sire, je préfèrerais que tu donnes un prix inférieur à la levée paysanne. 3 points est un prix technique trop élevé : il y a des gob pour moins cher de profil supérieur... et avec un bouclier. 3 point la levée paysanne à poil c'est trop cher. 2 points par tête pour nos sous gueux sans bouclier serait un prix plus correct (rentabilité inférieure aux gob mais bon). 3 points si tu leur donne la lance ou le fléau de série. Quant à l'invention des levée paysanne, elle n'est pas de mon fait. Les bretonniens V4 (une liste d'armée genre horde sauvage de 1992 (environ)) incluaient des levées paysannes. Et puis je persiste à dire et à penser que les quêsteux ne devraient pas être 0-1 dans un ost du graal avec 3 arguments : C'est le désir et le devoir des questeux. La Dame utilise les outils qu'elle trouve. Et il faut bien mettre les questeux à l'épreuve pour voir qui seront ses champions.
  18. Un peu quand même si ! Tu dis toi même qu'on y apprend plein de trucs... Même si ça suffit pas. Mais j'ai dis d'abord apprendre à parler sur un forum. Et ça, il faut pratiquer et donc il faut un espace ouvert à la discussion... qui devrait être le forum armée et qui n'existe plus vraiment.
  19. Mais non on s'en moque pas. On parle et on s'attarde sur ce qui ne va pas... Le forum tactica ne va pas attirer de viande fraiche... Les débutants qui interviendront sur ce forum vont se faire houspiller… Avec raison, tactica n’est pas leur espace de discussion. Armée leur est largement fermé. Ils n’ont dès lors plus d’espace de discussion, d’aguerrissement. Bientôt la disparition du warfo faute de renouvellement... Le problème c'est la politique trop strict appliqué aussi à armée... qui interdit les erreurs et donc l'apprentissage (du forum d'abord, de whb dans une moindre mesure). Sire, qui veut de la place pour tous, pas forcément la même place mais de la place pour tous. PS, pour merci, la tactica "terminés" sont à la racine d'armée. Ils ne seront pas enterrés.
  20. Heuh Léonardo, tu n'es pas obligé de casser en partant ce que tu as créé. Je rejoins ton avis : le warfo va s'étioler mais que celà ne soit pas de notre fait. Part sans tout casser par anticipation. Laisse la responsabilité de leur politique à ceux qui la mène... . Bref, je te ferais le même conseil que pour les modo : si un sujet ne vous interresse pas, laissez le tranquille... ne fermez pas ou ne supprimez pas le sujet. Soyez tolérant. Contentez vous de laisser vivre -ou mourir- sans vous Sans le tuer vous même. Et pour toi, Léonardo, ça veut dire laisse le tactica mercenaire tel qu'il était début octobre... Sire, tolérant.
  21. Sire d'Epinette

    La Quête

    Goëlar de Lothern « Venez messire, il doit être par ici. Il se sera échoué, le temps cette nuit a été à la tempête.» Sire d’Epinette avait été prévenu au déjeuner par un pêcheur qu’un navire était venu s’échouer entre Nazarie et Gwéran. Sire d’Epinette avait ordonné à ses cavaliers de le suivre et la petite troupe était partie immédiatement. Il y avait tous les indices d’un naufrage. Des barriques et des débris flottaient ça et là. Ils y avaient tellement de rochers sur cette partie de la côte que le navire devait être brisé en mille morceaux… Une petite crique apparut bientôt. Elle avait un sol sableux et ne faisait que dix mètre de large. Et c’était ici que le navire était venu s’échouer… « Ce vaisseau a eu beaucoup de chance », expliqua la pêcheur. « Cette petite crique de sable est la seule que je connaisse sur des lieux de rivage. Le reste de la côte est sauvage et est constitué de roche acérée. Si le bateau avait rencontré les rochers environnant il aurait été déchiqueté… et son équipage avec. ». Le vaisseau était en difficulté et avait –entres autres avaries- perdu son mat. Néanmoins, la dévastation n’était pas totale. Sitôt que l’équipage aperçut le cavaliers bretonniens, il y eu un branle bas de combat. Il y eu quelques injonctions dans une langue inconnue et en quelques minutes, valides et blessés se regroupèrent, prêt à se défendre. Les cavaliers bretonniens montrèrent leur bannière : d’argent à croix de gueule à fleur de lys en chef de même. Les naufragés montrèrent leurs couleurs. D’argent à tête de dragon d’azur à vague de même. « Des elfes. » comprit le Sire. La chance n’était sans doute pas le seul facteur pour cet échouage favorable. Les marins s’étaient arrangés en ordre de bataille. Des lances étaient dressées au premier rang. Deux rangs d’archers étaient abrités derrière. Encore plus loin en arrière, il y avait les soldats blessés. Malgré leur faiblesses, ceux ci protégeaient quand même un peu l’arrière de la formation. Bien que les elfes se soient déployés au mieux de leurs maigres moyens, le Sire estimait qu’ils seraient vite balayés par une bonne charge. « Frère Gabriel, votre conseil ? » demanda le Sire. « Soyons charitable frère Erevan. Même si les elfes ont, par le passé, agressé des hommes, et que nos amis nains nous conseillent de nous méfier des elfes, ces naufragés ne nous ont pas fait de mal. Ils ont besoin d’aide… et nous ne risquons rien.» « Vous avez raison. » Sire d’Epinette descendit de son destrier, retira son heaume et s’avança main levée. Les elfes se détendirent un peu. Chaque soldat elfique était grand et élancé. De plus, les elfes portaient un heaume conique qui les grandissaient encore. Sans destrier, l’infanterie haut elfe était impressionnante. Sire se présenta : « Je suis Sire Erevan d’Epinette, sujet de Louen, Roi de Bretonnie, serviteur de la Dame et maître de ce lieu. A qui ai-je l’honneur.» Un silence lui répondît. Sire répéta son propos très lentement en essayant de s’aider de gestes. Le capitaine elfique lui répondit dans un langage harmonieux mais incompréhensible. Sire d’Epinette comprit qu’il avait affaire à un certain « Goëlard un Lothern », capitaine du bateau. Goëlard montrait son mat brisé. Sire ne comprenait pas un mot, mais il savait que Goëliard voulait réparer son bateau. Sire fit comprendre à Goëliard de le suivre et l’emmena en forêt, lui montrant des arbres. Goëliard désigna un chêne centenaire au cœur de la forêt. Il était droit et haut de trente mètres. C’était l’un des plus beaux de cette forêt. Sire d’Epinette prit une hache et commença à l’abattre. Il fût aidé par les bretonniens et l’arbre fût bientôt mis à terre. Elagué, le tronc fût débardé à l’aide de chevaux et transporté à grand peine auprès du navire elfique. Les elfes se mirent au travail. Sire observait les elfes qui reconstruisaient leur mât et réparaient les avaries moins graves. Sire avait demandé aux charpentiers de Nazarie de venir proposer leur aide. Mais les elfes étaient des constructeurs de bateau accomplis et la compétence du plus simple soldat elfique égalait celle des maîtres charpentiers bretonniens. Ces derniers profitèrent de la leçon… Goëliard montra ses tonneaux brisés. Sire d’Epinette comprit qu’il faudrait du ravitaillement. Sire d’Epinette envoya chercher des stocks de poissons. En quelques jours, le vaisseau elfique fût prêt à appareiller. Goéliard un Lothern parla amicalement au Sire et reprit la mer. « Nous nous sommes peut être fait des amis à peu de frais. » pensait le Sire. … Un mois plus tard, trois vaisseaux elfiques apparurent à au large de Nazarie. Sire reconnut la bannière de Goëliard un Lothern. Il ordonna de leur permettre d’entrer pacifiquement. Les navires accostèrent et le Sire reconnut le capitaine elfique. Il était accompagné d’un elfe lettré, qui connaissait le bretonnien et servît d’interprète. « Mon seigneur, Goëliard de Lothern vous remercie pour votre aide charitable. - Je suis enchanté d’avoir pût aider le seigneur de Lothern. » L’interprète rapporta ces paroles à Goëliard et les deux elfes éclatèrent de rire. « Non messire, nos usages ne sont pas les vôtres… Bien qu’étant de Lothern, Goéliard n’en est pas le seigneur. Goëlard est un capitaine de vaisseau dragon comme tant d’autre au sein de notre immense flotte. Lothern est dirigé par le haut roi Phénix, Finubar le voyageur… Pour vous remercier d’avoir sauver notre vaisseau dragon, le roi phénix vous propose ce bijou qui équivaut au prix du bateau. - Je suis honoré de votre présent, mais je ne crois pas qu’un arbre et quelques barriques de poissons vaillent un tel bijou. » Goëliard de Lothern poursuivit dans un bretonnien hésitant : « Et pour vous remercier de nous avoir sauver la vie de mon équipage et la mienne, je vous offre mon amitié. » - Je ne puis qu’accepter l’un et l’autre et vous remercie chaudement, vous et votre roi. » Sire d’Epinette regarda le bijou. C’était un rubis gros comme un œuf de poule. Il était cousu dans un bandeau de soie, enfiché avec des griffes d’or fin. Un serre tête magnifique… Il était si beau et si gros que les meilleurs orfèvres tiléens eux même n’auraient pu réaliser une telle merveille.. Sire d’Epinette estimait qu’il pourrait échanger une paire de canons contre ce bijou. D’un autre coté, un tel bijou ne pouvait pas rester caché dans un quelconque coffre à trésor… il faudrait l’arborer. C’était aussi un signe d’amitié dont l’ostentation flatterait les elfes, et un signe de richesse qui impressionnerait les hommes. Montrer ce bijou était un acte politique qui devait être. Sire d’Epinette n’en voulait pourtant pas pour lui. Diane n’était pas l’épouse du Seigneur de Nazarie, mais elle était la première Dame de Nazarie. Ce bijou devait lui revenir. Sire d’Epinette offrit le bijou à Diane… qui le mit à son front avec élégance. Goëliard parla en elfique et le traducteur expliqua : « Ce bijou, madame, vous sied à ravir. Il ne pouvait trouver meilleur écrin. » Tout le monde se congratula. Il y eut un banquet pour fêter cette amitié pleine de promesse. … La cloche d’alarme réveilla la ville. Les bretonniens gagnèrent leur abris, imités par leur hôtes elfiques. Goëliard fût informé que des morts vivants des mers bombardaient régulièrement la ville. Le bombardement durerait vingt minutes, puis le morts vivants n’auront plus de projectiles et repartiraient. Par l’intermédiaire de son traducteur, Goëliard demanda si les bretonniens avait prévu une riposte… et devant la réponse négative, il proposa de s’en charger. Les elfes gagnèrent leurs vaisseaux et se préparèrent à combattre les morts-vivants. Les vaisseaux dragons sortirent bientôt et se rangèrent en ligne de bataille, zigzagant sans cesse pour compliquer le tir des catapultes ennemies. Les trimères morts-vivantes étaient au nombre de six. Elles s’alignèrent face aux vaisseaux elfiques pour profiter au mieux de leur supériorité numérique. Les vaisseaux elfes s’approchèrent rapidement, tirant des traits de balistes… auxquels répondaient quelques rares rochers de catapultes… qui fort heureusement, rataient leur but. Bientôt, des nuages de flèches elfiques s’abattirent sur les bateaux morts vivants. Profitant d’une brusque bourrasque de vent, les vaisseaux elfes basculèrent vers la gauche. Les vaisseaux se suivaient maintenant une telle vitesse que les trimères mort-vivantes furent incapables de se réorganiser. Les elfes s’étaient joué des trimères et, abandonnant le front précédent, elles se présentaient maintenant sur le flanc des trimères : le rapport de force en était inversé : trois vaisseaux dragons elfiques affrontaient la même trimère… Les vaisseaux elfiques continuèrent leur assaut avec violence. Les balistes à répétition crachaient des volées de projectiles qui balayaient les ponts ennemis. Les morts-vivants, piètres tireurs comparés aux elfes et à un contre trois, n’arrivaient pas à répliquer efficacement. Un, puis deux ponts mort-vivants furent bientôt vidés de leur équipage. Une autre trimère fût éperonnée sur son flanc… la trimère était mortellement touchée, mais le vaisseau dragon avait été ralenti. Les deux vaisseaux elfiques continuèrent l’assaut. Les trimères essayaient de s’échapper maintenant. L’une d’elle fût attrapée, éperonnée. Quelques squelettes tentèrent de prendre d’assaut le bateau elfique. On s’y battît au corps à corps… Le dernier vaisseau ne voulait pas donner seul la chasse aux deux dernières trimères. Il patrouilla, gardant ses camarades. Finalement, les bateaux elfes se dégagèrent et allèrent couler une des trimères immobilisées. Puis, un vaisseau elfique aborda la dernière trimère pendant que les deux autres montaient la garde. L’ultime trimère fût ramenée à Nazarie. La victoire était totale. Les morts vivants des mers avaient perdus quatre de leur six trimères… et repartaient vaincues. Les bretonniens jubilaient car un coup terrible avait été porté à leurs ennemis… Les elfes furent accueillis en héros à Nazarie… Un nouveau banquet fût rapidement organisé. Généreux, et sûr de l’infériorité des trimères morts – vivants comparées aux vaisseaux dragons elfiques, Goëliard fît don de la trimère aux bretonniens. Sire conférait avec Goëliard. Il remercia Goëliard pour le châtiment des morts-vivants, et pour la trimère. Sire d’Epinette baptisa la trimère la Goëliard, le premier vaisseau de Nazarie. Pour l’instant, personne à Nazarie ne savait comment naviguer…. Mais ils y avaient des marins qualifiés en Bretonnie, à Brionne, à Bordeleaux ou à l’Anguille. Il suffisait de demander un équipage à Louen. Sire demandait à Goëliard s’il connaissait ces morts-vivants. D’où venaient ils et s’ils pouvaient être châtiés. « Ces morts-vivants sont des pirates à priori indépendants. Ils habitent une île au large de la Tilée. Ils se contentent de piller les ports et les navires peu défendus, principalement tiléens. Ils évitent habituellement de s’en prendre directement à nous. De part et d’autre nous sommes dans une sorte de neutralité… Bien sûr, nous ne les aimons pas, mais nous avons tellement à faire par ailleurs… Ces morts-vivants ne pouvaient pas savoir que nous étions vos hôtes...» Sire d’Epinette songeait qu’une flotte elfique serait une bonne protection… quant aux elfes… Plus il y songeait, plus il pensait que cela pouvait être une bonne idée. Sire osa : « Seigneur Goëliard, je songeais à quelque chose d’ambitieux. Votre Roi serait intéressé à disposer d’une base navale sur nos côtes ? - Il se pourrait bien. Qu’avez vous en tête, messire d’Epinette ? - Il se trouve que je suis seigneur de ce lieu et que je suis habilité à conférer tout ou parti de mes responsabilités à des vassaux que je peux librement choisir. Prêtez moi allégeance et je vous confie Nazarie ! » Goëliard pâlit et demanda, encore poli, en quoi cela consistait. Sire d’Epinette expliqua les droits et les devoirs du vassal et du suzerain, que ces échanges de serments impliquait. Sire décrivit aussi le cérémonial (cf chapitre Exode). Au cours de la description, Goëliard blêmissait de plus en plus. « Jamais je ne serais votre homme de main. Jamais je ne m’agenouillerais devant un humain. Je ne suis pas le seigneur de Lothern, mais je peux remonter sur cinq mille ans l’histoire de ma famille… jusqu’à l’époque où vos ancêtres étaient vêtus de peaux de bêtes et d’armes en pierre. Vous m’avez sauvé la vie, Sire d’Epinette et vous ne connaissez pas les hauts elfes d’Ultuhan. Aussi je vous pardonnerais pour cette fois cette provocation. Mesurez bien ma mansuétude, Sire bretonnien, car je vous avise que des guerres ont éclaté pour moins que ça. » Sire n’osa plus répondre et le banquet se poursuivit dans une atmosphère lourde. Sire demanda aux bouffons et aux ménestrels de venir égayer la soirée… mais Goëliard ne sourît pas ni ne fît aucun commentaire. Enfin cette pesante soirée s’acheva au soulagement de tous. Les elfes repartirent au matin. Sire raccompagna Goëliard et essaya de sauver ce qui pouvait l’être : « Vous êtes notre ami. Vous pouvez revenir quand vous le souhaitez, pour vous ravitailler, réparer des avaries ou même simplement pour nous rendre visite. ». Goëliard ne répondit pas et la flottille elfique repartît vers l’ouest.
  22. Pour faire une critique constructive (car il y a plein de gens que je connais personnellement et que j’aime bien parmi les administrateurs, JB, Zara,GG), je pense qu’il faut pouvoir discuter sur un forum sans formalisme monstrueux. Vous n’allez pas plier les gens à votre formalisme, vous allez vider le warfo de toutes interventions, celles que vous souhaitez interdire ET celles que vous souhaitez encourager. Organisez des forums ou sous forum « armée » plus sérieux et plus strict si vous le souhaitez (tactica, discussions sur le jeu, la racine d’armée) mais laissez le possibilité à d’autres de s’aguerrir sans tout de suite leur couper les ailes à travers un formalisme pointilleux, des fermetures et des avertissements. Si un post ne vous intéresse pas, ne le fermez pas mais ignorez le. Si un forum « liste d’armée » libre ne vous intéresse pas, (et c’est mon cas) n’y allez pas. Mais laissez les autres discuter, s’aguerrir et plus tard, parfois, certains ex-snot feront des interventions riches. Si le forum coûte des sous et si vous proposez cette modérations/restriction par soucis d'économie, demandez plutôt des cotisations à l’inscription avant de pouvoir poster ou répondre. Autre soucis, il y a certains sous forum vide (création et développement, scénario). Réunissez tous les créations et développements. Le sous forum manifestation aide aux orga, pourrait être à la racine du forum manifestion (actuellement vide). Sire, qui a été débutant à warhammer et sur les forums.
  23. Ecoutez un peu le génial tiléen. Faudrait retrouver un post de Lyondri où il se moquait d'une fédération de jeu d'histoire technocratique... On y est presque... Edit : Tiens j'ai retrouvé le post de Lyondri http://forum.warhammer-forum.com/index.php...191&hl=histoire Qui se lance dans le guide du parfait membre de warfo ? Sire, impertinent
  24. tir sur 2 rangs oui, c'est indispensable. On pourrait même faire tirer les rangs suivants à 50%. Exemple 20 GM en 4 rangs de 5 feraient 15 tirs. Reformation : non, c'est trop puissant. Espace réduit. Pourquoi pas... sympa et assez background. Inutile de préciser la suite.
  25. J'approuve tout ce que tu dis... (et je me répète aussi...)
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