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Thalantir

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Tout ce qui a été posté par Thalantir

  1. Salut et merci pour vos retours. Eh bien c'est un scénario personnel. Il existe des supplément avec des scénarios préconçus, mais la plupart du temps c'est moi qui créer la bataille et qui adapte. En fait je recherche dans différentes sources (Wikipédia, sites spécialisés, livres etc.) des renseignements sur la bataille et je regarde les effectifs des armées et le déploiement. Concernant le premier j'essaye de retranscrire en termes d'unités ce que dit la source. Par exemple si on dit qu'il y avait 10 000 hoplites et 5000 peltastes je vais essayer de définir une échelle genre 1 unité d'hoplites représentera 2500 hommes donc il m'en faudra 4 etc. Je tâche de conserver les proportions même s'il m'arrive de les distordre si elles engendrent un trop gros déséquilibre en termes de jeu. Et ensuite une fois les unités définies s'il y a encore du déséquilibre j'essaye d'équilibrer en termes de points par l'ajout d'options ou de règles particulières sur le scénario (en rapport avec la réalité historique si possible). Pour le déploiement quand j'en trouve, je le reprend tel quel. J'ai composé les listes avec le recueil de listes d'armées "Biblical & Classical" de Warlord. Il y en a au moins une quarantaine donc on trouve son bonheur normalement. L'infanterie et la cavalerie sont réparties chacune en trois catégories : lourde, moyenne, légère. Chaque catégorie dispose d'une ligne de stats de base (Choc/mêlée, Courte portée, longue portée, sauvegarde de moral et Résistance). Par exemple les valeurs de choc et mêlée de l'infanterie légère sont la plupart du temps 5/5, la moyenne 6/6 et la lourde 7/7. Ça représente le nombre de dés qu'on va lancer pour les touches en mêlée. La sauvegarde de moral est généralement de 4+ pour la lourde, 5+ pour la moyenne et 6+ pour la légère. Il y a donc une ligne de stats moyenne et ensuite chaque liste dispose de troupes particulières qui vont avoir des variations soit directement sur les stats (par exemple les celtes sont violents au premier tour donc leur infanterie moyenne dispose d'une valeur de choc de 9 et de mêlée 6 (donc 9/6 au lieu des 6/6 habituels) soit par des règles spéciales (exemple : les frondeurs de Rhodes chez les listes grecques ont une ligne de stat classique mais disposeront de la règle tireur d'élite qui permet de relancer un dé au tir) soit par l'équipement (par exemple une unité avec des piques ne peut en aucun cas être chargée de front par une cavalerie et elle annule les bonus de charge des autres unités). Le concepteur joue avec et mixe ces trois levier pour distinguer les différentes troupes des différentes armée et coller à la réalité historique. Donc si on reprend les différents cas de figures chez les grecs : - l'unité d'hoplites est une infanterie lourde (donc 7/7 en choc/mêlée, 3 en soutien, pas de tir à court ni à longue portée et une sauvegarde de 4+) elle dispose par ailleurs de lances qui annulent les bonus de charge adverse et de la règle spéciale phalange qui transforme les défaites d'1 ou 2 pts en égalité. - pour comparer une légion romaine aura la même ligne de stat (7/7 en choc/mêlée, 3 en soutien et sauvegarde 4+.) Par contre elle aura des pilum qu'elle peut jeter à courte portée (ils ont donc 3 dés à courte portée) et réduisent la sauvegarde adverse d'un point au premier tour. Au lieu de la règle phalange, elle aura "disciplinés" qui permet à la légion de faire 1 mouvement même si l'ordre qu'elle reçoit est raté. On a donc deux unités qui partagent un squelette de carac de base + quelques variations mais de part leur armement et leur règles vont différer. Les hoplites sont très défensifs, les légionnaires sont plus dans l'offensif et dans la manoeuvre. L'infanterie illyrienne est une unité d'infanterie moyenne qui ressemble un peu aux celtes avec un choc plus fort et une mêlée conforme à de l'infanterie moyenne (8/6 donc), il ont 3 en soutien, 3 en courte portée, pas d'arme à longue portée et une sauvegarde d'infanterie moyenne de 5+. Ils n'ont pas d'armement particulier ni de règle spéciales L'infanterie thrace est une unité d'infanterie légère. L''infanterie légère a donc un tableau de caractéristiques de combat encore inférieur (5/5 généralement) mais par contre est tout aussi efficace en soutien et à courte portée qu'une infanterie lourde ou moyenne. Une sauvegarde de 6+ seulement. Par contre elle peut adopter la formation tirailleur et changer de formation sans consommer de mouvement. C'est donc une unité qui va être là pour harceler, soutenir et manœuvrer, en aucun cas pour affronter de front une infanterie lourde. Cependant l'infanterie thrace a un armement particulier par rapport aux autres infanteries légère : la Rhompaia sorte d'épée à deux mains incurvée. Comme ce sont des armes lourdes, l'unité perd l'attaque à courte portée mais gagne la possibilité de limiter les armures adverses à 5+ maximum : c'est donc une infanterie légère plus offensive qui va plutôt chercher à taper les infanteries lourdes sur leur flanc par exemple. Pour gagner la partie il faut détruire ou dérouter plus de la moitié des divisions composant l'armée adverse. Les perses avaient 4 divisions, il aurait fallu en détruire 3/4. Mais les greco-macédoniens n'en avait que 2 donc il fallait dérouter les 2. Cependant ici faute de temps, on a joué aux points pour attribuer la victoire (1 point par division adverse).
  2. Petit CR d’une partie d’initiation disputée avec Nicolas. Mon invité ayant fait part de son intérêt pour la période d’Alexandre, nous sommes donc partis sur une reconstitution de la bataille du Granique. Je prenais le commandement des perses tandis que Nicolas assumait celui des macédoniens Nous avons effectué un déploiement historique. Certaines photos sont un peu floues et je m'en excuse, je jouais en même temps donc ce n'était pas l'objectif prioritaire au départ. Les listes d’armées : PERSES Spithridatès Sparabaras Garde Sparabaras provinciaux Sparabaras provinciaux Archers en levée Javeliniers provinciaux Memnon de Rhodes Hoplites mercenaires Hoplites mercenaires Hoplites mercenaires Hoplites mercenaires Javeliniers mercenaires Mithridates Cavalerie lourde bactrienne Cavalerie mède Archers montés en armure Cataphractes Garde Archers montés bactriens Arsitès Cavalerie paphlagonienne Cavalerie hyrcanienne Cavalerie cylicienne Archers montés hyrcaniens Archers montés hyrcaniens MACEDONIENS Alexandre le Grand Hypaspistes Hoplites alliés Hoplites alliés Archers Javeliniers agrianiens Javeliniers agrianiens Cavalerie des Compagnons Cavalerie paeonienne Infanterie illyrienne Parménion Hoplites alliés Piquiers vétérans Piquiers Piquiers Cavalerie thessalienne Cavalerie thrace Infanterie thrace Frondeurs L’armée Perse était en infériorité en termes d’infanterie en revanche elle disposait d’un important effectif de cavalerie et de nombreux archers. Les macédoniens avancèrent assez lentement. Les perses tentèrent de se mettre en ordre de bataille mais les disputes entre les satrapes (représentées par le Commandement de 7 plutôt bas) firent que seul les hoplites mercenaires s’avancèrent en formation. Spithridates parvint également à faire déplacer son infanterie près des berges du Granique tandis que les commandants de la cavalerie se disputaient pour des questions de préséance. Les macédoniens firent traverser la rivière à leur cavalerie et à leurs tirailleurs et commencèrent à harceler les mercenaires grecs qui n’y prêtèrent pas attention. Sur l’aile gauche macédonienne les cavaliers thessaliens et thraces se placèrent en première ligne. Le premier choc eu lieu sur l'extrémité gauche lorsque les cavaliers légers paeoniens chargèrent les javeliniers perses et les détruisirent. Ils percèrent ensuite sur les archers montés et les déroutèrent également au nez et à la barbe des hoplites mercenaires avant de se replier. Ce raid audacieux fut une première alerte. les macédoniens traversent le Granique sur la gauche des perses les audacieux paeoniens vont détruire les archers montés jusque devant les lignes perses ! Les perses firent pleuvoir un déluge de flèches depuis l’autre berge du fleuve. Les tirs des fantassins et des cavaliers royaux eurent raison des cavaliers thraces ainsi que des hoplites alliés des macédoniens qui perdirent leurs nerfs et s’enfuirent. Encouragé par ce bon début de partie, Mithridates fit manœuvrer sa cavalerie vers l’aile droite perse afin de créer le surnombre. Arsitès fit charger sa cavalerie contre les thessaliens pour enfoncer l’aile gauche macédonienne et menacer le flanc de la phalange qui avançait. Encouragé par Parménion les Thessaliens contre-chargèrent et triomphèrent à deux contre un détruisant la moitié des cavaliers d’Arsitès et tuant le satrape dans la mêlée. Le vieux Parménion trouva également la mort dans l’affrontement. Les thessaliens font face à l'immense cavalerie perse Tandis que sur les extrémités les tirailleurs et les archers montés des deux camps se livraient un duel sans merci, Alexandre fit charger ses hoplites alliés contre les mercenaires grecs. Malheureusement emporté par la fougue le roi macédonien fut tué d’une lance et ses hommes refluèrent dans la rivière. Combat entre grecs sur le flanc gauche perse Heureusement pour eux les hypaspistes arrivèrent pour leur prêter main forte et la cavalerie des compagnons chargea le flanc des mercenaires et après une furieuse mêlée les mit en déroute. Au centre la phalange avançait lentement sous les flèches des perses qui ne leur firent que peu d’effet. Mithridates fit charger sa cavalerie lourde contre les thessaliens durement éprouvé, persuadé de les écraser. A la surprise générale ces deniers contre-chargèrent et remportèrent le combat détruisant les cavaliers lourds bactriens et tuant le satrape ! Emporté par leur charge les compagnons enfoncèrent (en réussissant crânement tous leurs tests de désorganisation) la seconde ligne des mercenaires grecs qui tint bon. Les mercenaires perdirent cependant leur commandant et subirent des pertes si lourdes qu’ils abandonnèrent le champ de bataille. La phalange se rapproche Pendant ce temps les hypaspistes avaient percé au centre et engagèrent l’infanterie perse. Les sparabaras se montrèrent plus coriaces que prévu puisqu’ils mirent en déroute l’élite de l’infanterie macédonienne (qui avait été déjà bien éprouvée par le combat contre les mercenaires) et repoussèrent leurs soutiens illyriens et agrianiens. Malheureusement la seconde charge menée cette fois par les illyriens dispersa définitivement les deux unités de sparabaras du centre gauche et emporta la division de Spithridatès qui parvint cependant à s’enfuir. Le centre perse est enfoncé à son tour Lot de consolation pour les perses, le remplaçant d’Arsitès et Mithridates avait enfin réussi à mettre leur cavalerie (encore largement en état de combattre) sur les rails et repoussèrent les thessaliens sans cependant réussir à détruire ces héros ! Les archers montés secouèrent l’infanterie thrace ce qui occasionna la déroute de la division de Parménion et qui allait donc emporter une bonne part de l’imposante phalange du centre. La cavalerie perse tient le flanc droit Mais il était trop tard : la nuit tombait et la gauche des perses était en ruines. Spithridates qui avait éliminé ses rivaux à la faveur de la bataille, prit le commandement général et sonna la retraite. Il disposait encore de la plupart de sa cavalerie. Les macédoniens étaient maîtres du terrain mais ils en avaient payé le prix, les perses avaient vendu chèrement leur peau. Victoire macédonienne : 2 divisions détruites contre 1 pour les perses MVP de la partie : la cavalerie thessalienne qui a détruit trois cavaleries perses !
  3. L’automne étant désormais bien arrivé, et le froid donnant peu envie de sortir par chez moi je me suis dis que j’allais refaire un HC (ça faisait longtemps) L’armée Galate : Thermomix (général) 1 Warband de taille imposante 2 Warbands 1 Unité de gardes du général Aile Gauche Cartrex 1 cavalerie noble galate 1 unité de chars galate 1 unité de cavalerie légère cappadocienne (taille standard) 1 unité d’infanterie cappadocienne Aile Droite Bitrex 1 warband 1 unité de fanatiques 2 unité d’infanterie légère paeonienne L’armée Séleucide Tétanos (Général) 1 unité de cataphractes 1 unité d’Agema Cataphracte 1 unité de peltastes 1 unité d’archers montés Scythes 1 unité de frondeurs 1 unité de frondeurs infanterie légère Infanterie lourde – Calvados 3 phalange de piquiers (dont une de vétérans) 1 phalange de gardes 1 Elephant Les galates prirent l’initiative de l’attaque et avancèrent d’abord dans la discipline, les séleucides formèrent leur ligne : deux phalanges à gauche du bosquet central et les gardes à droite. Puis les cataphractes et derrière l’autre unité de piquiers (les vétérans) qui restaient en réserve en attendant de voir ce que ferait la cavalerie celte. Les frondeurs de l’aile droite infligèrent deux blessures aux fantassins cappadociens qui tentaient de contourner le temple en ruine. Sur la gauche, les archers montés scythes firent également deux blessures aux paeonniens. Parvenu à un jet de pierre ou deux de l’ennemi, les galates se préparèrent à l’attaque. Thermomix avait échaffaudé un plan qui consistait à attaquer les phalanges à un endroit bien précis. Mais visiblement ses ordres furent ignorés puisqu’il y eu un formidable Fiasco….6. Donc les galates de sa division chargèrent droit devant en hurlant et percutèrent les phalanges situées à gauche du bosquet. Bitrex lui n’arrivait pas à déplacer ses troupes (ou ne voulait pas) tandis que Cartrex amenait simplement les cavaliers cappadociens à portée de tir des cataphractes mais sans effets. Chargeeeeeeeez ! Bref thermomix et ses troupes étaient seules. Pourtant l’impensable se produisit : malgré le malus de -1 au toucher imposé par le fait de charger une phalange de pique de face et malgré la sauvegarde de 3+ des piquiers qui avaient serrés leur rangs, ces derniers subirent 7 pertes et n’en causèrent que 3, leur règle phalange ne fonctionna donc pas et ils ratèrent tous deux le test de panique : déroute. La moitié de l’infanterie séleucide venait de disparaître sous l’assaut furieux des barbares. De l’autre côté du temple les cappadociens avaient chargé et rattrapé les frondeurs. Fuyons ! Ils sont fous ! Ce fut un choc côté séleucide et désormais il fallait agir vite avant que les renforts gaulois n’arrivent. Les cataphractes sonnèrent la charge contre les unités celtes victorieuses. Le premier régiment s’encastra dans la grande bande de guerre centrale et après une mêlée furieuse occasionnant des blessures de part et d’autre il réussit à la faire se replier. L’autre unité, l’Agema, menée par Tétanos en personne et soutenu par les piquiers de la garde affrontèrent la garde personnelle de Thermomix. La mêlée se termina par la victoire des séleucides mais les gaulois replièrent en bon ordre. En revanche dans l’assaut les deux généraux qui s’étaient trop exposés, furent tués ! La contre-attaque des cataphractes Coûte la vie aux deux généraux Les galates ne parvinrent pas à déplacer le moindre renfort durant leur tour. Les cataphractes repoussèrent à nouveau la grande bande de guerre, tandis que l’Agema et les gardes détruisaient la garde du général. Les flancs restèrent calmes, à l’exception d’échanges de tirs entre les archers montés et les paeonniens. Heureusement qu'ils ne bougent pas trop la derrière... A leur tour les séleucides firent charger une seconde fois leurs cataphractes. L’agema contre la troisème warband située à sa gauche, les autres cataphractes contre la grande warband et l’éléphant contre les cavaliers légers cappadocciens. Devant les trois mouvements de l’éléphants (guidé par l’ordre « suivez moi » de Calvados), les cappadociens décidèrent de rester pour éventuellement bloquer le pachyderme et permettre la contre attaque de leur cavalerie. La charge de l’Agema détruisit la warband à gauche mais laissa les grecs secoués. Au milieu par contre ce fut la grande bande qui fit replier les cataphractes. L’éléphant piétina les cappadocciens et grâce à sa règle spéciale transforma leur repli en déroute. Et de un pour l'éléphant ! Cartrex ordonna la charge des cavaliers nobles et des chars sur l’éléphant. Ce fut un fiasco qui occasionnant un seul mouvement les arrêtant juste devant le flanc de l’éléphant. Bitrex fit déplacer ses troupe mais d’un seul mouvement. La grande bande chargea les cataphractes au centre qui contrechargèrent et désorganisèrent les celtes. Le combat qui s’en suivit vit la victoire des cataphractes qui firent replier la grande bande au prix de lourdes pertes et la division de Thermomix était en déroute. Repoussez ces barbares ! A leur tour les grecs n’avaient cependant plus de marteaux puisque leur deux unités de cataphractes étaient secouée. Il les firent replier derrière leurs lignes, plaçant les vétérans en carré entre le bois central et le temple. L’éléphant isolé dans la pampa entouré d’ennemis fit une charge d’initiative sur le seul ennemi en vue : la grande bande. L’éléphant chargea et au prix de 3 blessures fit encore replier l’ennemi. Il profita de sa victoire pour se replacer avantageusement face aux cavalerie ennemis. Les galates peu rassurés chargèrent le pachyderme, il réussirent leur test de désorganisation mais ne parvinrent qu’à lui infliger deux blessures tandis que lui, aidé par son commandant leur en mis 2 également. Il évita donc de justesse d’être secoué et ce fut une égalité. Le reste de l’armée galates ne parvint pas à bouger sauf les cappadocciens qui jetèrent des javelots sur le carré des vétérans sans succès. A leur tour les séleucides tentèrent de rallier les cataphractes remettant une des unités sur les rails. Et les peltastes et les archers montés échouèrent à secouer les fantassins paeonniens. Durant leur second round de mêlée, l’éléphant toujours très inspiré par son commandant remporta cette fois la victoire, le « 6+3 » synonyme de survie des cavaliers nobles galates fut à la faveur de la règle spéciale de l’éléphant transformé en « 1+3 » synonyme de destruction et l’animal empala même sur ses défenses l’infortuné Cartrex au passage. Toujours pas ébranlé, le pachyderme se dit que ça serait cool de renverser ces jolis chars situés derrières les cavaliers nobles. La percée fut donc déclarée, l’éléphant ne fut pas désorganisé (les chars non plus d’ailleurs il réussirent leur test de désorganisation contre l’éléphant) et il les piétina joyeusement ! (4 pertes contre 0). La encore leur test de panique « 6+1 » fut transformé en « 3+1 » signifiant déroute. Et de deux ! Et de 3 ! Et de 3 pour l’éléphant de l’enfer !!! Il démolit donc à lui seule l’aile gauche de cavalerie des galates et offre aux séleucides une victoire inespérée (bien qu’aidé vraisemblablement par la trahison de Bitrex qui n’a pas bougé le petit doigt pour aider ses camarades en combat…
  4. Deuxième grosse bataille avec cette fois Malplaquet. Comme d'hab pour ceux qui veulent les ordres de batailles complets, ils sont dans le rapport en PDF qui se trouve ici Je jouais français avec Tharaniel tandis que Yotu et Benoit prenaient le commandement des alliés (Yotu Marlborough et Benoit Eugène de Savoie). Cette partie allait être une première et un test d'une certaine manière. En effet, il y a un déséquilibre très net entre les deux armées puisque les français sont en infériorité numérique. Ceci devant être compensé par les systèmes de redoutes installées sur la presque totalité du terrain. Là était la difficulté. Adapter des règles pour rendre les redoutes difficiles à prendre mais pas impossible. J'ai donc essayé de leur donner un mix entre les règles des bâtiments et des obstacles. J'ai aussi permis à la cavalerie de les attaquer (mais sans bonus) afin d'éviter qu'elle ne fasse que de la figuration. La Bataille La bataille commence, nous découvrons les cavaleries hollandaises et anglaises massées derrière la forêt (nous avions autorisé également puisque la forêt remplit le tiers de la carte d'attaquer les redoutes en formation dispersée, avec malus au besoin). En seconde ligne la division Hanovrienne Withers. Au centre Orkney et ses anglais, Orange et ses hollandais et les prussiens de Lottum appuyés par les deux brigades de cavalerie impériales. Sur notre flanc droit ils avaient positionné les trois divisions d'infanterie impériales. Les anglo-alliés se mettent en place Cavaliers dans la forêt Malplaquet est défendu La cavalerie autrichienne s'avance Le premier tour est pour les alliés et ça commence mal puisque un nombre hallucinant de bourdes se produit (3 et il y en aura 7 sur l'ensemble de la bataille, toutes chez eux) qui ralentit considérablement l'avance. De fait, les cavaleries à gauche avancent, les hanovriens vont n'importe où (guidés par des ordres mal rédigés sans doute), les anglais prennent le thé et les soldats de la Reichsarmee cueillent des fleurs. Seuls les prussiens déterminés et la cavalerie autrichienne avancent au centre. des prussiens déterminés De fait les premiers assauts alliés se font de façon désordonnés et sans uniformité tactique. En effet Yotu/ Marlborough avec sa cavalerie prend d'assaut les redoutes de Tharaniel au corps à corps, tandis qu'au milieu Benoit/Eugène privilégie le feu avec ses prussiens. Cependant Benoit a tout de même intelligemment lancé sa cavalerie contre le point faible de mon dispositif : la redoute centrale défendue uniquement par le régiment d'Alsace : 4 régiments de cavalerie leur tombent dessus, mais ces braves, prêts à tout pour défendre leurs caisses de Gewürztraminer ne subissent aucune perte et repoussent les kaiserliks avec 2 pertes en retour. Ouf ! Alsaaaaace ! A gauche Thara a du mal à manœuvrer ses troupes car elles sont trop nombreuses sur un petit espace, il les place donc en colonne pour les déplacer vers les ailes. De plus, le général Hautefort refuse obstinément d'obéir aux ordres. Ce gars là passera 7 tours sur les 9 à ne rien faire du tout (et avec lui sa précieuse division). Et encore sur l'un des deux tours où sa division bouge ce sera à cause du fait que le maréchal de Villars, excédé soit venu le relever de son commandement. Bref, ce mec a été un boulet. En cour martiale et au peloton d'exécution ! Thara réussi cependant à repousser les assaut des cavaliers ennemis et avance des régiments de la division Goesbriand pour prendre les redoutes avancées. vite prenons ces redoutes ! De mon côté je profite du fait que l'infanterie austro-impériale de droite ne parviennent pas à bouger pour attaquer les flancs du fer de lance qui s'avance (le pack prussien et la division hesso-saxonne), les dragons de Goesbriand sortent donc de nos lignes avec le régiment de Touraine et se placent sur le flanc. Les premières volées déroutent un des régiments saxons et infligent quelques pertes aux prussiens. Mais benoit réagit vite, il fait pivoter sa troisième ligne prussienne et dételer ses canons qui concentrent leur feu sur Touraine. 5 blessures, 5 sauvegardes... Ben ils en veulent les petits cas, je les replie tout de même. Le tour suivant ce sont les autrichiens qui parviennent enfin à se déplacer qui me balancent une seconde volée dans le dos : 5 blessures, 5 sauvegardes. Le général Pierre de Montesquiou d'Artagnan décide de faire un ordre suivez moi pour les passer en colonne et rentrer au bercail. Réussi ! Touraine rentre donc sans encombre avec le titre de régiment Matrix ! Touraine, se place, déroute l'ennemi, esquive les balles... ...Et retourne tranquillement dans ses lignes ! Pendant ce temps Orkney fait enfin avancer ses anglais et son artillerie (4 pièces ! ) commence à bombarder la garde suisse retranchée mais sans trop de succès. Yotu fait basculer la division Wither en colonne pour la ramener vers le centre. Les british décident enfin d'avancer Au centre justement le Prince Eugène va démarrer ses sessions de ralliement légendaire, rendant 2Pv par ci et par là pour renvoyer ses unités au combat. Un second assaut est repoussé par les courageux alsaciens avec une pertes cette fois. Et à chaque fois la cavalerie impériale replie et son général la rallie ! Moi de mon côté je foire tous mes ordres pour envoyer une troupe dans la redoute pour aider. Les prussiens continuent à tirer mais ne parviennent qu'à causer des pertes sporadiques que les commandants français tâchent de combler. A gauche Yotu joue un jeu assez intelligent d'assaut/repli dans la forêt qui a tendance à agacer les français. Surprise ! le reste du rapport ici
  5. Il me semble que ces unités ont été crée en au milieu du XIXème siècle. Donc en théorie c'est sous la règle Black Powder (pour les batailles livrées jusqu'en 1900)
  6. Petit CR sur la bataille de Lobositz, la première de la Guerre de Sept Ans. On entame donc un nouveau cycle. Donc les deux armées se font face et les prussiens prennent (comme souvent) l'initiative. Leurs lignes avancent doucement tandis que leur cavalerie de gauche se poste sur le flanc autrichien pour prendre ces derniers dans une nasse. Les autrichiens réagissent immédiatement en lançant une charge sur la cavalerie prussienne qui, surprise se fait complètement surclasser et part directement en déroute. Un des régiments autrichiens est cependant très avancé et subit le feu de l'infanterie prussienne qui le secoue. Ce régiment étant secoué je l'évacue vers la gauche de la table désormais libre et j'avance mes forces pour ouvrir le feu avec assez peu de succès. En retour toute ma ligne se fait désorganiser. Bizarrement une fois désorganisées mes troupes s'avèrent meilleures au tir puisqu'elles entament leurs homologues prussiens avec conviction. Les autrichiens entament un duel de tirs plutôt stressant avec les prussiens qui va durer 3 tours. A ce jeu ce sont étonnamment les autrichiens qui vont tirer leur épingle du jeu puisqu'ils se montreront plus solides face à la mousqueterie et un poil plus précis lors des tirs. Les croates notamment sur la droite vont totalement ruiner l'infanterie prussiennes par leur harcèlement continuel de volées précises. Sur la gauche je tente une charge vers les canons prussiens qui ne sont pas encore déployés mais j'échoue, mes dragons sont trop court. Ils prendront le feu de la division Brunswick et de ses canons les anéantissant complètement. Ma division de cavalerie est proche de la destruction La suite ici
  7. De rien. Je précise également que le forum Hail Caesar France a fait une traduction française de Black Powder et de Hail Caesar (et bon de Hail Caesar Fantasy aussi mais c'est déjà une création du forum)
  8. Salut, Le jeu utilisé c'est Black Powder, un jeu de bataille de masse qui couvre les guerres de 1700 à 1900. Il fait partie d'une série de trois jeux historiques fait par Rick Priestley pour le compte de Warlord Games et qui, bien que différents fonctionnent sur des mécanismes communs (notamment un système d'ordres qui simule les estafettes ainsi que l'aléa et la confusion des combats). Il y a Black Powder pour 1700-1900 (Guerre en Dentelle, Guerres napoléoniennes etc.), mais aussi Pike & Shotte pour 1500-1700 (Guerre de Trente Ans etc.) et Hail Caesar pour -4000 à 1500 (Antiquité avec Egyptiens, Assyriens, Grecs, Perses, Romains, Guerre de Cent Ans etc.). Il y a aussi un système "fantasy" fanmade (et en français) qui utilise ces règles Les trois jeux sont conçus pour se jouer à n'importe quelle échelle moyennant quelques ajustements mineurs et leur corpus de règles est à la fois très spécifique mais très simple. De même le nombre de figurines par unités n'a pas vraiment d'importance puisque c'est l'unité qui a des PV, donc chaque groupe de joueurs peut adapter ses unités en fonctions de ses envies ou de son porte monnaie. Ici par exemple je joue en 28mm (je viens de Battle donc je suis resté la dessus). Le bouquin recommande des unités d'infanterie de 24 figurines et de cavalerie de 12 figurines. Pour des raisons de thunes et de volonté de monter et peindre rapidement chaque unité on s'est mis d'accord avec mon groupe de joueurs pour faire du 12/6 (on a divisé par deux). Maintenant si on avait voulu, on aurait très bien pu partir sur du 15mm et/ou des unités de 48/24 etc. Bref, c'est adaptable. Plus d'infos dans le lien de ma signature.
  9. C'est parti pour le rapport de la partie jouée au club 3M et qui clôt notre cycle "Guerre de Succession d'Autriche" ! Pour le moment les autrichiens mènent 2 victoires à 1. Cette fois-ci je changeais de camp et me retrouvais à la tête des autrichiens avec Draco yerrev contre Parménion et Dabro. Ce fut le déploiement historique qui fut choisi et les prussiens commencèrent. Contrairement à ce qui fut tenté dans la réalité, nos adversaires optèrent pour une avance raisonnée, comptant sur leur supériorité numérique temporaire (un tiers de l'armée autrichienne était en réserve) et de leur supériorité au feu. Il avancèrent donc leur infanterie devant le Graner Koppe et conservèrent leur cavalerie en retrait. Les tirs ne firent pas vraiment recette. Au centre, ils se retranchèrent dans Burkersdorf et maintinrent leur aile gauche prête à une contre-attaque. Jeetze avance ses troupes Nous ripostions donc immédiatement mettant à mal la ligne prussienne notamment grâce à l'appui de notre batterie du Graner Koppe. Les saxons tentèrent une charge sur Burkersdorf mais ne se déplacèrent pas suffisamment. Comme nous n'étions pas assez nombreux sur le flanc droit, nous avions décidé de temporiser en attendant les renforts qui devaient venir par ici. Tout au plus essayions nous de déloger les dragons prussiens de la forêt mais sans succès. Les Saxons ratent leur charge sur Burkersdorf Comprenant notre plan Parménion tenta une charge de cuirassiers prussiens sur la division Wallis mais le combat se termina en une égalité et les cuirassiers replièrent. Devant le Graner Koppe la fusillade se poursuivait sans gain notable. Dans le même temps les saxons subissaient de lourdes pertes dû au tirs venant de Burkersdorf. La cavalerie autrichienne tenta une charge pour enrayer l'avance des grenadiers prussiens sur la gauche mais elle échoua et les cavaliers se trouvèrent en mauvaise posture. Les saxons furent repoussés de Burkersdorf secoués et les prussiens reprirent l'initiative. Le régiment de grenadiers-gardes fonça vers la ligne autrichienne, traversa le mur de feu et renversa un bataillon autrichiens à la baionnette avant de menacer le flanc d'un second déjà durement éprouvé par le feu prussien. Une brèche venait d'être ouverte dans le centre autrichien. Heureusement la cavalerie prussienne échoua à charger à gauche comme à droite. Les grenadiers gardes font une percée Les renforts arrivèrent donc à point pour les serviteurs des Habsbourg qui formèrent lentement une nasse destinée à enserrer la gauche prussienne. La suite ici
  10. Ramilies 1706 Ce samedi, c'était une grande première : une tentative de grosse bataille à Black Powder. Pour ce faire Yotu et moi avons mis en commun nos ressources pour revisiter la bataille de Ramilies en 1706. Nous étions 4 joueurs pour l'occasion se répartissant en 2 armées d'une douzaine de brigades chacune. Soit environ 3000 pts d'armée selon le livre de règles. C'est la plus grande bataille qu'on ai joué avec pas loin de mille figurines sur la table. Je réquisitionnai donc mon salon pour y implanter 4m de table et c'est parti ! Déploiement Nous nous sommes répartis les armées. Yotu ayant envie de jouer les français, je prenais donc la tête des anglo-alliés avec Jérémie tandis que Benoît rejoignait Yotu. Pour le déploiement nous avons fait différemment. La majorité des joueurs préférant un déploiement personnalisé plutôt qu'historique, j'ai proposé deux cartes plastifiées permettant de gribouiller au feutre effaçable. Nous nous sommes donc isolés dans deux pièces séparées et avons établi notre déploiement et notre plan de bataille. la petite carte plastifiée rudimentaire fournie aux participants Conditions de Victoire La victoire était obtenue de deux manières : - victoire totale selon les règles de Black Powder (dérouter plus de la moitié des brigades ennemies) - victoire mineure : si à la fin des tours impartis il n'y a pas de victoire totale on compte les points de victoire comme suit : • 2 pts par brigade en déroute • 1 pt par commandant tué ou capturé (pas en fuite) • 2 pt pour le général en chef • 4 pts par village situé dans la moitié de table adverse (ceux de sa moitié de table ne rapportent rien, histoire de forcer à bouger) La partie durait 6 tours, avec un septième tour sur 4+. Plan de bataille Anglo-allié Le terrain ne nous arrangeait guère. Un tiers du champ de bataille était cerclé par une rivière et sanctuarisait les villages d'Offus et Autre Eglise. De notre côté nous avions cependant seulement deux villages (donc moins à défendre) et les possibilités de prendre des points nous était plus "simples" (pour autant qu'il soit simple de prendre d'assaut des bâtiments) Nous avons rapidement abandonné l'idée d'attaquer Offus et Autre-Eglise d'autant que nos principales forces par rapport aux français était la puissance de feu et la supériorité en artillerie. Nous avons donc placé là bas une force réduite de 4 brigades principalement pour défendre le village de Foulx et pour contrer les contre attaques sur notre flanc. Jérémie prenait donc le commandement de ce "bouclier" constitué de deux divisions d'infanterie (Holstein et Dedem) et de deux de cavalerie (Hompesh et Cirksenia) Nous avons placé nos meilleures troupes sur la gauche dans l'espoir de prendre Taviers (et de conserver Franquenée) : soit les divisions Orkney et Tilly. Mais le Marteau principal nous l'avons mis au centre : les deux grosses divisions Spaar et Oxenstierna encadrées des brigades britanniques Mac Cartney (à gauche)et Meredith (à droite) et la cavalerie de Wurtemberg en troisième ligne. Pour compléter ce dispositif nous déployions deux batteries de canons en appui du centre et du flanc gauche. Le plan était de frapper fort au centre en direction de Ramilies, de prendre le village et d'étouffer ensuite l'une ou les deux moitiés de l'armée française. Plan de bataille Français Tel qu'il nous a été rapporté par nos adversaires, leur plan consistait à transformer Offus et Autre Eglise en forteresses (ils y ont déployé presque un tiers de leur armée) en utilisant la rivière et en bombardant Foulx pour ensuite le prendre d'assaut. C'est Benoit qui devait se charger de cela. Yotu avec des troupes réduites devait, lui, tenir au centre (3 divisions de cavaleries y étaient massées) et un contingent devait tenir Taviers (voire tenter de prendre Franquenée). C'était donc un plan assez défensif dans l'ensemble puisque la seule offensive prévue était celle sur Foulx. La Bataille Les Alliés commençaient. Je faisais donc avancer rapidement la ligne de bataille centrale vers la cavalerie ennemie. Jérémie restait en place tandis que le reste de l'armée refusa de bouger. les hollandais avancent vers Ramilies Côté français l'avance fut lente également excepté une tentative de charge de la cavalerie française au centre sur mes lignes qui échoua et mis les cavaliers dans une fâcheuse posture juste devant moi. la cavalerie française prend la sauce Dans la foulée j'ouvrai donc le feu avec le renfort d'un canon de 3 livres et je secouait le premier régiment de cavalerie et faisait fuir les hussards de Verseilles. A gauche mes anglais commençaient un duel de tir avec les brigades Grimaldi et D'Antin mais je ne poussais pas outre mesure, ne me sentant pas assez fort pour lancer directement la cavalerie de Tilly sur les lignes françaises. A gauche Jérémie organisait la défense, il plaça ses troupes le long de la rivière avec un appui d'artillerie et fit feu sur les colonnes de Biron et de D'Artagnan et obtint des résultats intéressants. Les français ripostèrent à leur tour causant des dégâts (notamment sur les gardes britanniques !) mais sans résultat notables à l'exception du régiment prussien "Prinz Von Preussen", avancé, qui fut effacé de la carte sous un feu nourri. Yotu fit charger ses dragons du roi sur la ligne de Spaar et parvint à percer détruisant le régiment Heuckelom et faisant dérouter le régiment Nassau en soutien. Le régiment Prinz Von Preussen en légère difficulté Je réagit immédiatement en faisant donner la seconde ligne (la brigade Oxenstierna) et sous les feux concentrés nous déroutions la brigade de cavalerie de Rohan-Chabot tandis qu'à côté le reste des bataillons de Spaar et la brigade Mac Cartney désorganisait les cavalerie d'Egmont et de Guiscard. A gauche les français étaient avancés en force et je fit marcher mes troupes droit sur eux en leur donnant le renfort de deux régiments de dragons sur leurs ailes. Avec l'appui de la batterie nous fîmes suffisamment de dégâts pour forcer Yotu à reculer ses troupes. duel de tirs sur la gauche Près de Foulx les français avaient mis en place 3 pièces d'artillerie et bombardaient le village où les troupes de Holstein étaient retranchées. Des incendies commencèrent à apparaître. Dans le même temps la masse des brigades Biron, Surville, Birkenfeld, D'Artagnan et Lede avançaient vers la rivière derrière laquelle les troupes d'Holstein et Dedem s'étaient positionnées pour les arrêter. les français se massent derrière la rivière la suite et l'Ordre de Bataille complet ici
  11. Introduction Ce vendredi au club 3M nous avons poursuivi notre cycle "Guerre de Succession d'Autriche" avec la troisième bataille, celle de Hoehenfriedberg (dont j'avais déjà fait une bataille-test et dont le CR est dans mon post de parties-test). Nous avions déjà fait une bataille plutôt sympa à Mollwitz pour la première (CR sur le forum) ou les prussiens l'avaient emporté mais seulement aux points, et une seconde à Chotusitz (où je n'ai pas fait de CR car je jouais seul) mais que les autrichiens avaient largement remporté. Nous étions donc à 1 - 1 en termes de victoires dans ce cycle et nous continuons donc avec Hohenfriedberg. J'assumais donc à nouveau le commandement de l'armée Prussienne avec cette fois un commandant pour mon aile droite à savoir Dabro alias le Margrave Karl et nous affrontions Tharaniel et Yotu, le premier dirigeant les autrichiens et le second les saxons. Déploiement A la demande des joueurs nous avons procédé à un déploiement historique. Pour ma part j'étais donc en terrain connu puisque ma partie test s'était faite avec ce déploiement. La position austro-saxonne était plutôt forte puisqu'ils pouvaient s'appuyer sur deux villages et qu'un troisième n'était pas très loin. S'ils arrivaient à se placer entre ces trois point forts, il serait difficile de les déloger. Mais nous avions l'initiative et notre placement de départ était tout à fait adéquat pour ce que nous comptions faire, à savoir suivre le plan de Frédéric II. Ce plan était simple. Temporiser sur la gauche en retenant les autrichiens et frapper vite et fort les saxons pour les détruire. Bataille L'aube se levait donc et nous entamions notre plan. Notre avance fut couronnée de succès et bientôt nos troupes se trouvaient à quelques encablures du village de Pilgrimshain, où s'était retranchés les saxons et nous mettions en place une batterie d'artillerie qui commença à pilonner les cuirassiers saxons qui représentaient la principale menace immédiate pour nous. Le plan se déroula parfaitement puisque écrasés par nos boulets les cavaliers saxons furent rapidement dispersés par les volées des grenadiers de Du Moulin. Par ailleurs, je parvenais à faire passer les dragons de la division Nassau dans le village au nez et à la barbe des autrichiens. Les prussiens sont devant Pilgrimshain En face la réaction fut lente puisque les autrichiens n'arrivèrent quasiment pas à bouger et que les saxons avancèrent sans coordination. La seule exception fut la cavalerie de Hoenhembs qui traversa la rivière à toute vitesse pour se placer sur un flanc gauche prussien par trop dégarni. En effet, trop confiant en la capacité de mon adversaire à rater les jets à commandement 7 de sa brigade, j'avais recentré la division de cavalerie Nassau au centre pour appuyer les offensives sur l'autre moitié de table au besoin. Bref cela s'avérera une des causes de ma déconfiture future sur ce flanc. A Thomaswaldau, Tharaniel mobilisa pas moins de 5 bataillons d'infanterie pour prendre d'assaut ce village dans lequel s'étaient retranché mes dragons, il opta cependant pour des tirs préliminaires qui ne donnèrent rien. La division Daun échoua à bouger, et celle de Wolfenbuttel se mis en ligne mais ses tirs d'artillerie lointains ne firent aucun dégât. La cavalerie saxonne échoua à charger, à l'exception des dragons de Von Renard qui furent sérieusement mis à mal par le tir de contrecharge des fantassins de Fouque et repoussés à l'issu du combat, secoués. Les dragons prussiens qui défendent le village de Thomaswaldau attirent l'attention Durant notre tour nous avançâmes tranquillement notre ligne de bataille pour causer un maximum de dégâts via notre première salve et notre cadence de tir supérieure (feu de peloton). L'effet fut au rendez vous puisque nous déroutions les cuirassiers saxons à Pilgrimshain, et causions des dégâts importants sur les lignes saxonnes ainsi que sur la division autrichienne de cavalerie Berlichingen qui fut pris sous un feu nourri. Nos canons matraquèrent les grenadiers saxons qui s'étaient avancés et ils subirent 2 blessures. Le flanc droit semblait devoir craquer rapidement. Si je parvenais de mon côté à tenir contre les autrichiens, Dabro serait en mesure de détruire l'armée saxonne et de se rabattre ensuite sur les autrichiens. ça chauffe pour les saxons La suite ici : https://www.dropbox.com/s/6my1jnbsqd8b5gx/Bataille de Hohenfriedberg C3M.pdf?dl=0
  12. Oui c'est surtout grâce aux dés. Il faut le reconnaître, car en règle général les phalanges c'est fiable et régulier et souvent indéboulonnable. Les celtes sont très dépendant des dés mais quand ils sont avec eux ça le fait. Après, HC a une zone d'incertitude plus grande que Battle, c'est aussi ce qui fait son charme, on ne peut jamais dire qu'on est sûr de perdre ou sûr de gagner.
  13. Je re tente un rapport de bataille Hail Caesar en espérant qu'il ait un peu plus de succès que ceux de BP. Séleucides contre Galates pour changer. Il fallait que je teste ma nouvelle table. Par contre je précise également avant qu'on me fasse la remarque : mon nouveau téléphone dispose d'un appareil photo qui soit n'est pas terrible soit que je ne maîtrise pas encore, bref certaines photos sont pas top et j'en suis désolé. Le Strategos Phagocytos venait de déployer son armée. Le puissant Basileus Antiochos de la dynastie Séleucide l'avait envoyé avec une petite armée pour punir une tribu de ces encombrants envahisseurs galates. Malré le traité de paix, ces derniers s'étaient octroyé des terres qui ne leur appartenaient pas et avaient rançonné les villages voisins. Phagocytos était confiant dans la puissance de son armée, il commandait le pinacle militaire de la civilisation hellénistique, nul doute que ces barbares seraient écrasés ! Il avait disposé sa phalange selon les préceptes en vigueur : au centre. Un mur de piques qu'il espérait infranchissable même si composés de jeunes soldats. Sur son aile droite il avait fait installer un engin de siège afin de faire goûter aux galates la puissance de la science grecque et plus à droite il avait disposé ses cataphractes appuyés par des archers montés perses. Sur l'aile gauche il avait déployé son Agema cataphractaire ainsi qu'un éléphant et des peltastes. L'aube se levait, il comptait bien en avoir fini pour le déjeuner... Armée Séleucide Aile Droite (Phagocytos, général) Piquiers Piquiers Cataphractes Catapulte Archers montés Aile Gauche (Argyros) Piquiers Piquiers Agema Cataphractes Elephant Tirailleurs peltastes Bitrex avait fait lever ses hommes dès qu'il avait repéré les préparatifs grecs. Ces séleucides ne pouvaient décidément pas les laisser vivre leur vie tranquillement. Ils demandaient juste à pouvoir s'installer où bon leur semblait et en rançonnant leurs voisins en toute amitié. Qu'à cela ne tienne ! S'ils avaient besoin d'une démonstration de l'art martial celte, ils allaient en avoir ! Ses gens étaient nombreux et vaillants. La motivation était grande et la perspective d'un glorieux combat (et de piller le camp grec) était alléchante. Bitrex avait placé ses bandes de guerres au milieu appuyés par ses plus intrépides javeliniers et ce, face aux phalanges ennemies. Il redoutait de s'attaquer à ce mur de piques mais il espérait que les troupes sur ses ailes feraient table rase pour épauler le combat au centre. Sur l'aile droite, il avait disposé ses chars, son char à faux et sa cavalerie noble appuyés par des fantassins cappadociens "alliés" (comprendre enrôlés de force). Sur sa gauche il avait disposé les fanatiques ainsi qu'une autre bande de guerre, appuyés également par deux unités de fantassins cappadociens. Ses deux ailes auraient fort à faire face aux cavaliers bardés de fer et à l'éléphant, mais Taranis saurait les inspirer... Armée Galate Aile Gauche (Bolderix) Fanatiques Bande de guerre Infanterie légère cappadocienne Infanterie légère capadoccienne Centre (Bitrex, général) Bande de guerre Bande de guerre Bande de guerre Garde du Général Tirailleurs javeliniers galates Aile Droite (Logarithmix) Cavalerie noble galate Char à faux Chars galates Infanterie légère cappadocienne Tirailleurs javeliniers galates Tour 1 Argyros fit avancer ses hommes pour contourner le petit bois au centre. Le reste de l'armée séleucide resta sur place sans doute dans le but de laisser l'initiative aux barbares. La catapultes infligèrent une perte à l'une des bandes celtes située à droite. La catapulte et le reste des tirs échouèrent lamentablement. Les Galates s'avancèrent avec détermination, toute leur armée contourna le bois au milieu de leur ligne et leurs chars à droite se positionnèrent à mi-chemin des lignes ennemies. Le reste de la division de Logarithmix refusa de bouger car des bagarres avaient éclatés concernant des histoires de partage de butin. Tour 2 Côté Séleucide Phagocytos parvint à faire avancer ses unités. En revanche, Argyros ne parvint pas à faire déplacer ses unités du flanc gauche. Cette fois, la catapulte et les archers infligèrent 3 blessures à la bande de guerre située à droite des lignes séleucides. Côté galate, ayant mal compris les ordres de leurs commandants les chars opérèrent un brusque tournant vers leur droite. il semblent qu'ils aient interprété les vociférations de leur chef comme une demande d'effectuer un large contournement de l'ennemi par la droite. Ils exposaient de facto leur flanc aux cataphractes ennemis ! Malgré cela, Bitrex parvint à rabattre ses bandes vers le centre de manière à couvrir leurs flancs par les bois et à percuter la phalange de biais si cette dernière tardait à réagir. Sur la gauche galate les fanatiques remontés à bloc abandonnèrent toute prudence et se jetèrent en hurlant sur les cataphractes séleucides qui contre-chargèrent immédiatement. Le combat fut sanglant et occasionna de lourdes pertes de chaque côté mais aucun camp ne prit l'avantage. La suite du rapport au format PDF (en fin du premier messsage) est ici : http://hailcaesarfrance.forumactif.org/t750-hc-querelle-de-frontiere-en-anatolie#6748
  14. On fait un petit bond dans le temps pour aller à la bataille de Dettingen lors de la Guerre de Succession d'Autriche, rejouer pour l'occasion au Club 3M. ORDRE DE BATAILLE Armée Française Général en chef : Maréchal de Noailles Gramont Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française D'Olières Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française Berwick Irlandais Irlandais Irlandais La Marche Dragons Français Dragons Français Hussars Français Cherisey Gendarmes Cavalerie de Ligne Française Cavalerie de Ligne Française Cavalerie de Ligne Française Contingent de flanc Chaumont Gardes Française Gardes Française Infanterie de Ligne Française Laly Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française Infanterie de Ligne Française Artillerie (1 Standard, 2 régimentaires) Armée Anglo-Alliée Général en chef : Roi Georges II Brunswick Garde Anglaise Garde Hanovrienne Garde Ecossaise Pultney Infanterie de Ligne Anglaise Infanterie de Ligne Anglaise Infanterie de Ligne Anglaise Monroy Infanterie de Ligne Hanovre Infanterie de Ligne Hanovre Infanterie de Ligne Hanovre Prince de Hesse Infanterie de Ligne Autrichienne Infanterie de Ligne Autrichienne Infanterie de Ligne Autrichienne Infanterie légère Croate Diemar Dragons Autrichiens Dragons Autrichiens Cuirassiers autrichiens Ligonnier Dragons Anglais Dragons Anglais Cavalerie de Ligne Anglaise Artillerie (2 Standards, 3 régimentaires) LA BATAILLE Le Roi Georges II s'est laissé piégé par le Maréchal de Noailles. Informé de la tentative d'encerclement dont son armée fait l'objet, le souverain britannique décide de défendre ses arrières en plaçant ses troupes en demi-carré. Les gardes britanniques et hanovriennes sont au centre du dispositif avec la cavalerie autrichienne. A l'arrière, pour faire face au troupes de Chaumont et Laly il a laissé la brigade autrichienne. L'objectif était de repousser les attaques de Laly tout en enfonçant les troupes de Gramont et de Noailles à l'Ouest. Pour réaliser la percée, les anglois disposent les brigades britanniques et hanovriennes de Monroy et Pultney juste derrière la rivière avec la cavalerie anglaise de Ligonnier. En appui sur une colline, l'artillerie britannique en supériorité devait couvrir l'attaque. Côté français le maréchal de Noailles prend un risque important en divisant ses forces. Il a placé deux régiments de dragons sous le commandement du Marquis de La Marche au sud de l'autre côté du Main pour rejoindre les forces avancées de Chaumont et Laly. Ces dernières sont en marche pour prendre Aschaffenbourg et compléter l'encerclement de l'armée ennemie et le timing de leur assaut sera très important. Au final Noailles n'a gardé que les brigades Gramont, D'Olières et Berwick ainsi que la cavalerie de Chérisey pour bloquer l'armée ennemie. La ligne de bataille britannique avance en ordre dispersé. Ligonnier lance une charge directe contre la première ligne française alors que le reste de l'armée n'arrive que péniblement à avancer. Il est aisé pour les français d'accueillir les cavaliers ennemis isolés avec une bonne salve qui les contraints tous à la retraite, à l'exception des cavaliers de la garde britannique qui engagent courageusement une mêlée furieuse mais indécise avec le premier bataillon de la brigade D'Olières. A l'arrière les autrichiens campent sur leurs positions, abrités derrière le Main dans les champs de maïs, dans l'attente des colonnes ennemies au sud. Les tirs de l'artillerie ne donnent pas grand chose. Côté français la mise en place est tout aussi chaotique avec une bourde due à des ordres mal rédigés qui envoient la brigade irlandaise en colonne sur leur droite. Les troupes de La Marche galopent lentement le long du Main pour prendre l'ennemi à revers. Le reste des troupes reste sur place. Les gardes à cheval britanniques poursuivent leur combat contre les français. Quant à Ligonnier il échoue à rallier ses troupes pour une seconde charge. En revanche l'infanterie croate s'infiltre dans le bois non loin de Dettingen à grandes enjambées. Ces tireurs confirmés font un carnage dans le bataillon français situé devant le gué lui infligeant deux pertes. Le Prince de Hesse, lui, n'arrive pas à mettre son infanterie en ordre de bataille face au sud. La suite ici
  15.   c'est plus facile pour ces unités en effet, mais même pour elles, la règle s'applique à partir de 6ps. Les forces d'Antigone à un moment ont bien réussi à coincer les archers montés d'Eumène parce que les unités était assez dispersés sur la map (ça se voit d'ailleurs sur la dernière photo du post, ils ont les hoplites derrières, deux packs de piquiers devant et deux packs de piquiers à droite, ils ne pouvaient que reculer).   Après ok 2m30 c'est beaucoup, je pense que 2m, 2m10 aurait largement suffit, mais j'avais envie de voir des belles manoeuvre^s ^^
  16. Nous avons joué sur 2m30 de large. 2M suffirait pour les 400 pts d'armée qu'on alignait de chaque côté mais à cause de la règle de proximité qui limite les mouvements il vaut mieux prévoir plus large, car si c'est trop serré il est très facile de bloquer les ailes et ça limite les manoeuvres rendant de facto les unités légères inutiles.
  17. Bon, reprise de HC après un gros interlude Mordheim et Black Powder. Et ce vendredi au club j'ai fait jouer la bataille de Paraitacene, un des gros épisode de la Guerre des Diadoques opposant Antigone le Borgne à Eumène de Cardia. La bataille fut palpitante jusqu'au bout et nous avons fait quasiment les 7 tours maximum que nous nous étions fixés. Finalement les dés et les éléphants ont eu raison du vieil Antigone pour une réécriture de l"Histoire. Ordre de Bataille Armée d'Antigone le Borgne Division 1 Général Antigone le Borgne, Stratège d'Asie Agema Cavalerie légère thessalienne Cavalerie légère thessalienne Peltastes Eléphants Archers Division 2 Commandant Peithon Satrape de Médie Cavalerie lourde Mède Cavalerie légère Mède Peltastes Peltastes Mercenaires grecs Division 3 Commandant Démétrios Polyorcète, fils d'Antigone Piquiers Piquiers Piquiers en levée Piquiers en levée Mercenaires grecs Armée d'Eumène de Cardia Division 1 Général Eumène de Cardia Défenseur des Rois Agema Mercenaires grecs Peltastes Eléphants Archers perses Division 2 Commandant Antigenes chef des Argyraspides Argyraspides (piquiers d'élite) Piquiers Piquiers Peltastes Peltastes Division 3 Commandant Eudamos Eléphant Archers bactriens Peltastes Archers montés Archers montés Cavalerie lourde bactrienne Déploiement Eumène : Les forces d'Eumène ont effectué un déploiement assez inédit. La division d'Antigène regroupant la majorité de l'infanterie s'est postée sur la droite en débordant un peu sur le centre. Avec les Argyraspides postés le plus prêt du centre. Les forces sous le commandement direct d'Eumène sont déployés au centre et regroupent une majorité de cavaliers dont son agema ainsi qu'un éléphant et une unité d'hoplites mercenaires. Sur la gauche, Eudamos faisait face à Démétrios avec la plupart des troupes légères comportant des archers montés bactriens, des archers à pieds ainsi qu'une cavalerie lourde bactrienne. Antigone : Antigone pour sa part avait opté pour un déploiement disymétrique par rapport à Eumène. En effet sur sa droite, face à la cavalerie et aux troupes légères d'Eudamos, il avait posté les troupes de Démétrios Polyorcète, son fils, avec la quasi totalité de l'infanterie, soit 4 blocs de phalanges sur deux lignes. Au centre, face à Eumène, il avait placé la division de Peithon composée d'une cavalerie lourde, d'une cavalerie légère, de mercenaires grecs et de deux unités de peltastes. Antigone lui même s'était placé sur la gauche face à Antigenes et son infanterie lourde avec des troupes plus variées, comportant l'éléphant, son agema, sa cavalerie légère thessalienne et ses archers. La bataille Tour 1 L'armée d'Eumène se mit en branle assez lentement. Antigene amèna ses argyraspides sur la droite pour s'aligner devant les forces d'Antigone. La division d'Eudamos notamment se retrouva prise de confusion et resta sur place : les dissensions entre commandants semblaient à nouveau se faire jour. En face, l'Armée d'Antigone avanca de façon beaucoup plus déterminée vers le milieu de la plaine. Les archers et les peltastes s'approchèrent à portée de tir et lancèrent leurs projectiles mais sans succès. Tour 2 Motivant ses troupes d'élite, Antigenes lanca l'assaut le premier sur les forces d'Antigone qui s'étaient fortement avancées. Les argyraspides se mirent en marche avec une discipline de fer et avec rapidité ils engagèrent directement l'Agema d'Antigone qui ne put contre-charger face à ce mur de piques. Le reste des piquiers d'Antigenes se mit en soutien. Eumène ne profita guère de cette ouverture car il échoua à faire bouger ses troupes (sans doute du fait de commandants récalcitrants qui contestaient les ordres de ce parvenu de grec). Sur la gauche de l'armée d'Eumène, le commandant Eudamos, face au mur de piques formé par Demetrios décida de rapatrier sa cavalerie lourde vers le centre, mais celle-ci n'appliqua cet ordre qu'avec lenteur et le redéploiement pris du retard. Les archers montés et leurs homologues à pied firent feu sur les phalanges de Démétrios en approche, parvenant à faire replier l'une d'elle, mais sans véritablement stopper l'avance du fils d'Antigone. Durant les combat, malgré la situation ultra favorable les argyraspides n'arrivèrent qu'à enlever 1 misérable PV aux cavaliers d'Antigone dont la riposte enlèva 2PV, le combat s'enlisait donc et Antigone profita immédiatement de ce retournement pour faire donner sa réserve : il fit charger son éléphant sur le flanc des argyraspides, ainsi que ses peltastes sur le flanc des piquiers qui soutenaient les argyraspides. il déploya également le reste de son infanterie au soutien et ordonna à ses archers de tirer sur les autres phalanges d'Antigenes pour les ralentir, ce qui fonctionna plutôt puisque ces dernières replièrent désorganisées sous le feu. Cependant, malgré le renfort du pachyderme, Argyraspides et Agema d'Antigone continuèrent leur combat acharné sans céder un pouce de terrain. En revanche les peltastes se firent nettement battre par les piquiers d'Antigenes et durent replier. Pendant ce temps, au centre, croyant sentir du flottement dans le contingent d'Eumène, Peithon décida de faire foncer ses mercenaires grecs pour attaquer la gauche du général ennemi. Il devait cependant pour cela passer au travers des archers montés et des peltastes d'Eudamos. Les premiers ouvrirent le feu avant de tourner bride, tandis que les seconds décidèrent de rester pour se battre et contre toute attente tinrent le choc. Toujours au centre, les autres peltastes de Peithon tentèrent de faire paniquer l'éléphant d'Eumène mais sans succès. La suite du rapport en format PDF ici : https://www.dropbox.com/s/ghlem9nnfl2gu28/Bataille%20de%20Paraitacene.pdf?dl=0
  18. La semaine dernière nous avons enfin pu faire la bataille d'Issos avec mes camarades du club. Pour l'occasion il a fallut réduire les tailles des régiments de cavalerie (on les a passé sur un seul rang) afin de pouvoir représenter les colossales effectifs perses. Il a également été nécessaire de proxyser certaines unités (on a donc pris quelques romains et quelques gaulois, pas le choix !) Les listes étant notoirement déséquilibrées en termes de points nous avons atténué quelque peu en donnant des bonus aux macédoniens. Le résultat final est conforme à l'histoire : une victoire macédonienne, mais qui ici ne fut guère décisive. Déploiement : Comme à notre habitude nous avons opté pour un déploiement caché. Nous avons fixé une limite de 6 à 8 tours (en fonction de l'heure) et si à son issue il n'y a pas de vainqueur clair, il y aura utilisation de points de victoire. Perses Le champ de bataille étant, conformément à la réalité historique, très étroit, les perses durent se positionner en deux lignes pour pouvoir déployer leur immense armée. Sur leur flanc droit les bactriens et les phéniciens, au centre les mercenaires grecs et les scythes. Sur la gauche le contingent royal de Darius et la cavalerie. 2 contingents de cavalerie avaient été placés en réserve pour surgir par le bord de table gauche des perses. Macédoniens Les macédoniens choisirent un flanc refusé pour tirer parti au maximum de leur meilleur commandement. Ils se positionnèrent face au centre et au flanc droit perse. Vu du côté macédonien, la gauche était occupée par la division d'Alexandre et la droite par celle de Parménion. Pour contrer la cavalerie venue du bord de table gauche, Parménion avait positionné sa cavalerie thessalienne en protection. Tour 1 Pressé d'en finir Darius ordonne à ses troupes d'avancer sur l'ennemi, mais l'hétérogénéité de son armée fit que ses commandants furent incapables de répercuter ses ordres, la masse confuse de l'armée perse resta sur place. Seuls les mercenaires grecs avancèrent résolument vers la rivière. De leur côté, sentant le flottement dans les rangs de leurs ennemis, Alexandre et Parménion firent avancer leurs hommes dans un ordre rapide et magistral pour traverser la rivière. Tour 2 La cavalerie perse se reprit enfin et se mit lentement en route vers la rivière pour prendre les macédoniens en tenaille. Les premiers tirs des archers perses s'abattirent sur les rangs des hoplites des cités grecques au service d'Alexandre et firent quelques pertes. Les soldats de Parménion traversèrent la rivière pour engager les hoplites mercenaires grecs. Alexandre fit de même face aux javeliniers et aux frondeurs mercenaires mais ces derniers se dérobèrent. L'armée macédonienne réussit cependant à passer la rivière. Malgré la violence du choc les mercenaires grecs ne cèdèrent pas un pouce de terrain et l'avance macédonienne fut bloquée. La suite ici (PDF en fin de premier post) : http://hailcaesarfrance.forumactif.org/t453-hail-caesar#3257
  19. Pour changer des bataille rangées nous avons testé mon scénario "embuscade" au club. Le résultat fut proprement épique ! Lors de cette partie chaque camp passa tour à tour du désarroi le plus noir à la joie la plus pure. Retournement sur retournement. Du coup je me suis lancé dans un petit rapport de bataille, car cela valait le coup ! Tour 1 : Les romains gagnèrent le toss et se déplacèrent en tortue vers la rivière. L'avance fut relativement homogène. Abribus déploya deux cohortes en carré sur ses flancs en prévision de l'arrivée des bretons La précieuse charrette du collecteur d'impôts restait derrière les soldats de Crapula. Les bretons eurent de la chance, ils firent arriver immédiatement leur division et eurent même le droit (grâce à un jet de 6) de poser sur le flanc côté adverse s'ils le désiraient. Schizophrenix avait donc toute latitude pour se positionner et notamment pour mettre la pression sur la division de Crapula. Il choisit cependant de poser toute son infanterie sur un côté à l'arrière de la colonne romaine face à Abribus, et ses unités légères du côté opposé. Malheureusement le commandant breton échoua à son ordre et seuls les fanatiques se déployèrent finalement seuls face au carré. Les catuvellauni de Thermomix se placèrent le long de la rivière Tour 2 : Les romains ne purent avancer que quelques unités en raison de l'échec des ordres d'Abribus et de l'avance plus prudente de Crapula. Les fanatiques durent déclarer la charge sur le carré et réussirent. Ils causèrent 3 blessures mais les romains ne bougèrent pas. Les chars et les javeliniers Catuvellauni ainsi qu'une horde traversèrent le pont pour prendre crapula à revers. Le reste de la division de Schizophrenix fut déployé et se mit à portée de tirs, sans résultat notable. la suite en format pdf ici (en bas de post) : http://hailcaesarfrance.forumactif.org/t418-hc-retour-sur-la-tove#2874
  20. Retour au club ce vendredi avec un gros morceau : la bataille de Magnesie. Deux listes à 500 pts en tâchant le mieux possible de conserver les proportions et les types de troupes présentes Déploiement Nous avons procédé comme d'habitude par un déploiement caché. Les côtés sont vus depuis le bord de table romain par convention. Le déploiement grec était somme toute assez classique. Il consistait sur le flanc gauche à un déploiement de ses meilleures troupes : la division royale avec l'Agema royale, les cataphractes, appuyés par la cavalerie légère capadoccienne contrôlant ainsi les deux rives de la rivière. Plus vers le centre, les argyraspides et les vétérans étaient déployés devant la bande de terre situé entre la rivière et le bosquet , Derrière les deux régiments d'infanterie d'élite se trouvaient le reste des cappadociens à savoir un char à faux et deux régiments d'infanterie légère cappadocienne. Au centre la phalange était alignée en un mur ininterrompu de pique accompagnés des galates et de l'éléphant, le tout encadré sur la gauche par le bosquet et sur la droite par le bois. A droite du bois, une forte cavalerie composées des nobles galates et de cataphractes ainsi que de javeliniers galates des archers montés scythe et de deux chars à faux complétaient le dispositif. Le déploiement romain était très iconoclaste. Contrairement à d'habitude, les deux légions romaines se placèrent sur les flancs. La légion de Scipion africanus à gauche sur la rive gauche de la rivière. et celle de Scipion Asiaticus le général sur le flanc droit. Les alliés grecs de Pergame formaient le centre du dispositif avec les hoplites et la cavalerie lourde en première ligne et les peltastes et archers en seconde ligne. Les alliés grecs étaient encadrés de chaque côté par les Alae lucaniennes et latines. Tour 1 Séleucides La bataille commença par une avance prudente de toute l'armée à l'exception des cappadociens qui n'ont visiblement pas compris les ordres et se retrouvèrent à la traîne. Romains Le flanc gauche romain avança avec prudence également, seuls les Equites se mirent à portée de javelots de l'Agema mais leurs tirs ne donnèrent rien. Le flanc droit avança un peu plus rapidement notamment les socii Equites qui s'avancèrent un peu trop. Au centre en revanche, les alliés de Pergame ne bougèrent pas ce qui eut pour effet de distendre davantage les lignes romaines. Tour 2 Séleucides Profitant de l'avance des cavaliers romains sur la rive ruisseau à droite, le char à faux déclara une charge d'initiative qui l'envoya immédiatement percuter les cavaliers. Dans l'espoir de ne pas perdre le combat, les socii Equites contre-chargèrent ce qui les approcha davantage. Suite à cela, les cavaliers nobles galates libérèrent la place pour le second char à faux qui alla directement rejoindre son collègue contre les cavaliers. Lors du combat qui s'en suivit les chars pulvérisèrent les socii Equites et se dispersèrent pour poursuivre les fuyards en déroute. Le premier sang était pour les Séleucides. A gauche, Les argyraspides, les cavaliers cappadociens et l'Agema tentèrent de traverser la rivière pour engager les légionnaires de Scipion africanus mais échouèrent. A défaut ils lancèrent leur javelots mais sans succès. Les archers montés scythes s'avancèrent vers les lignes de Pergame En revanche la phalange principale ne bougea pas , victime d'ordres contradictoires. Romains Scipion Africanus tenta de mettre ses troupes en ordre de marche pour faire face à la menace du contingent royal mais ses ordres ne furent pas exécutés assez rapidement. Ses vélites se placèrent à portée de tir et infligèrent des pertes légères aux argyraspides. Au centre, les légions alliées ne bougèrent pas attendant sans doute les troupes de Pergame qui avancèrent enfin pour se mettre à leur hauteur. les peltastes infligèrent plusieurs pertes aux scythes avec leurs javelots mais ces derniers ne flanchèrent pas. La suite ici : https://www.dropbox.com/s/ff0uiexkqxqbxzc/Bataille%20de%20Magnesie%20du%20Sipyle.pdf?dl=0
  21. Bon reculons un peu dans le temps à l'époque des conflits entre les cités états grecques et l'empire perse achéménide. La partie fut sacrément serrée et assez riche en jets pourris et en retournements. Le satrape Ramentafrès se délectait dans son palais des délices que lui conférait son rang. Les coffres étaient pleins et l'ordre régnait... Jusqu'à ce qu'un messager dérange sa quiétude pour lui annoncer une rébellion et une invasion. Rien que cela ! Les cités grecques de la côte s'étaient encore soulevées mais cette fois un corps expéditionnaire avait débarqué, envoyé par ces satanées cités grecques libres et notamment Sparte et Athène alliées pour l'occasion. Ramentafres se devait de régler rapidement ce problème, sans quoi le Roi des Rois sera fort déçu, et il n'avait aucune envie de le décevoir. Il ordonna a ses capitaines de rassembler toutes les troupes disponibles. Ordre de bataille Défenseurs des cités ioniennes Contingent lacédémonien : Général Afficionados Hoplites spartiates Hoplites spartiates Cavalerie légère lacédémonienne Hoplites corinthiens Archers corinthiens Peltastes Contingent Ionien et athénien : Commandant Gaspachos Hoplites d'élite athéniens Hoplites ioniens Hoplites miliciens ioniens Peltastes ioniens frondeurs ioniens Armée du Satrape Ramentafrès Contingent royal : Général Ramentafrès Immortels à pied Cavalerie de la garde (immortels) avec arcs Sparabaras char à faux archers tirailleurs Contingent lydien : Commandant Emportepiès Cavalerie lourde lydienne avec arcs sparabaras lanciers miliciens cavalerie légère avec arcs archers tirailleurs Contingent capadoccien : Commandant Petiteniès Cavalerie moyenne capadoccienne archers miliciens cavalerie légère capadoccienne avec arcs chars à faux javeliniers tirailleurs capadocciens Déploiement Grecs Les grecs se déployèrent en ligne avec leurs hoplites au milieu. Les alliés lacédémoniens dirigés par le général Afficionados sur la droite avec les hoplites corinthiens et les archers côté centre et les deux phalanges spartiates flanquées de leurs peltastes à droite avec la cavalerie légère thessalienne. Sur la gauche, les troupes ioniennes et athéniennes dirigées par Gaspachos avec les hoplites d'élites athéniens au centre puis plus à gauche les hoplites ioniens ainsi que des miliciens et des peltastes (ioniens également). Perses L'armée impériale est divisée en trois corps d'armée. Sur l'aile droite se trouvait le Satrape Ramentafres accompagné des troupes octroyées par le Roi des Rois à savoir un régiment d'immortels à pied et un autre à cheval, mais également un régiment de sparabaras ainsi qu'un char à faux. Les troupes situées au centre sous le commandement d'Emportepiès se composait du gros des hatru provinciaux lydiens sous la forme de d'une unité de sparabaras, de lanciers, de la cavalerie lourde lydienne et de la cavalerie légère lydienne. Sur l'aile gauche, les forces capadocciennes composées d'archers, d'un autre char à faux, et de cavalerie moyenne et légère. Plans initiaux Le plan d'Afficionados était simple avancer en ligne compacte et percuter le centre perse pour le détruire tout en employant ses unités légères et ses hoplites miliciens pour tenir les cavaliers perses à distance. Côté perse Ramentafrès souhaitait rester à bonne distance le plus longtemps possible pour profiter de sa supériorité en terme d'archers et tenter de désorganiser l'attaque grecque le temps de briser leurs ailes et de les frapper de flanc avec sa cavalerie. La bataille Tour 1 Le général grec chercha à prendre l'initiative mais ses ordres furent très mal répercutés et les soldats ne quittèrent pas leur position. Devant la fébrilité des lacédémoniens, les autres grecs préferèrent rester sur leur positions. Les perses n'étaient pas mieux lotis puisque la ligne de bataille s'ébroua dans la confusion et les ordres contradictoires. Ramentafres enjoint à ses hommes de rester sur place, mais les troupes centrales reculèrent tandis que le commandant capadoccien lui s'avanca résolument à l'attaque. Les archers montés capadocciens tirèrent une volée de flèches sur les rangs des miliciens ioniens qui perdirent leur sang froid et refluèrent en désordre hors du champ de bataille. La suite ici (fichier pdf avec photos) : https://www.dropbox.com/s/29ajnbuh91bbou2/La%20r%C3%A9volte%20ionienne.pdf?dl=0
  22. Merci !   J'en avais posté d'autres similaires un peu plus bas dans la page de cette section.   oui en effet il existe un risque en cas de repli que les éléphants piétinent tout ceux qui se trouvent sur leur chemin. Mais ce n'est pas arrivé ici.   Merci ^^. C'est également extrêmement efficace pour faire un mur mobile d'unités se soutenant mutuellement. Le risque est toujours de se faire prendre de flanc, mais ici ça s'est bien passé.   C'est un système de bataille de masse très fun, fluide et adaptable facilement aux figurines des joueurs, je suis complètement tombé fan dès mes premières parties. Si ce n'est pas déjà fait je te suggère de faire un tour sur notre forum (lien dans ma signature) si tu es intéressé pour en savoir plus.
  23. Bonjour à tous, L'été touche à sa fin et c'est bientôt la rentrée. Une petite envie de rejouer avec mes grecs et mes romains m'a étreint et je me suis donc organisé une petite partie à 300 pts. Certaines photos ont du être abaissées en qualité pour éviter que le fichier soit trop volumineux. Petit aperçu : 1) Les forces en présence Epire Division I contingent d'Epire: Pyrrhus Ier d'Epire, général Phalange Alpha, piquiers épirotes Phalange Beta, piquiers épirotes Agema, cavalerie lourde épirote Eléphants de guerre Infanterie légère osque Archers Frondeurs de Rhodes Division II contingent de Grand Grèce: Milon, commandant Phalange gamma, piquiers de Tarente Phalange delta, piquiers de Tarente Infanterie légère osque Cavalerie légère tarentaise Frondeurs Rome Legio Laurus : Consul Tetricus, général Hastati Hastati Principes Principes Triarii Vélites Vélites Equites Socii Ala Commandant Ubastus Hastati Hastati Principes Principes Triarii Vélites Vélites Socii equites 2) Déploiement Les romains se sont déployés sur le flanc droit de la table de jeu avec la légion romaine au milieu et les alliés sur l'aile droite avec les cavaleries sur chaque flanc. Les grecs quant à eux se sont positionnés avec l'ensemble de leur phalanges au centre. le flanc droit était protégé par les fantassins osques et les frondeurs de tarente. Le flanc gauche comportait les fantassins légers osques de la division épirote ainsi que les éléphants et l'Agema. [url=http://img173.imagevenue.com/img.php?image=38435_DSC_1180_122_505lo.jpg][/URL] [url=http://img158.imagevenue.com/img.php?image=38550_DSC_1181_122_509lo.jpg][/URL] 3) La bataille Tour 1 Rome Sur le flanc droit, les socii equites et les vélites alliés s'avancèrent au maximum sur le flanc droit. ils obtinrent trois mouvements et les equites se trouvèrent à portée de javelots des frondeurs tarentais. Les triarii alliés reçurent l'ordre de contourner la forêt mais échouèrent. Etant disciplinés ils avancèrent tout de même d'un mouvement mais le reste de la division ne bougea pas. Au centre, la division du général décida d'avancer de façon prudente de deux mouvements. Les equites romains et les vélites de la gauche se positionnèrent à la lisière de la forêt. Lors de la phase de tir, les socii equites échouèrent à causer la moindre blessures aux frondeurs de Tarente. [url=http://img41.imagevenue.com/img.php?image=38621_DSC_1188_122_85lo.jpg][/URL] Tour 1 Epire Pyrrhus ordonna aux éléphants et à la cavalerie légère de charger la cavalerie légère ennemie. Ils obtinrent 3 mouvements grâce au Cd de 9 de Pyrrhus et les equites fuirent mais d'un seul mouvement ce qui les fit rattraper et détruire par leurs homologues de Tarente. Pire encore pour les romains, le roi d'Epire envoya son Agema dans la brèche et elle obtint également trois mouvements ce qui lui permit de la positionner idéalement sur le flanc au côté de l'éléphant. Il fit aussi avancer ses osques mais échoua malgré sa relance à faire bouger ses frondeurs. Sur la droite, Milon fit prudemment avancer sa phalange en rangs serrés. Les frondeurs de Tarente et les osques quant à eux ne parvinrent pas à blesser les socii equites. [url=http://img234.imagevenue.com/img.php?image=38665_DSC_1193_122_575lo.jpg][/URL] La suite dans le rapport sous format PDF avec photos qui est ici : https://www.dropbox.com/s/u74i2x7hcp947c7/Rapport%20de%20Bataille%20Hail%20Caesar%203.pdf?dl=0 Bonne lecture.
  24. Je plussoie le message précédent et vais un peu prêcher pour ma paroisse. Hail Caesar est un jeu historique prévu pour jouer de la bataille de masse avec des règles faciles à retenir et qui peut se jouer à n'importe quelle échelle (du moment que tu as des adversaires pour jouer avec toi à la même échelle).   De plus nous avons traduit en français à la fois le résumé des règles de base et aussi le mod Fantasy pour jouer avec les figs battle. Le lien vers le forum est dans ma signature
  25. Je joue depuis 1997 à Battle et en ce qui me concerne ce sera non aussi.   - D'une part, ce que j'aime dans Warhammer Batailles Fantastiques... Eh bien ce sont les Batailles Fantastiques. Donc vu qu'a priori on va vers Warhammer Escarmouches Fantastiques ce n'est pas du tout ce que je recherche.   - Ensuite j'avais déjà du mal en V7/V8, non pas tant à cause du système de règle général qu'avec ces satanés livres d'armée si peu équilibrés.   - puis le massacre fluffique m'a dégoûté définitivement. Après c'est sûr que ce sont les goûts et les couleurs hein.... Mais moi j'aimais bien battle pour son univers histo fantastique ultra classique avec des nains, des elfes, des humains, des orques etc. Je n'ai donc pas digéré le tabula rasa d'EoT.   - et pour finir m'étant mis à Hail Caesar et appréciant beaucoup ce système je compte bien recycler mon imposant tas de figouzes avec Hail Caesar Fantasy à la traduction duquel j'ai participé.
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