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Tout ce qui a été posté par korelion
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Rencontre du troisième type-Histoire achevée
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Folles furieuses il manque le "plus" Bon, sinon, j'aime beaucoup, en y resongeant on est passé du sourire en coin de lèvre devant les idioties de ces 2 snots à un drame profond et touchant. En tout cas j'aime beaucoup, la fin contraste énormément avec le dvut, mais le décalage de l'humour au drame se fait par petites touches qui donc, ne choquent pas. Bref, j'adore! Korelion -
Sisi Inxi, les larmes sont salées! Bon, toujours aussi bon , mais hélas, toujours aussi court ! Un détail : Peut être faudrait-il ^réciser dès le départ qui sont les successifs "il". Korelion
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Rencontre du troisième type-Histoire achevée
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
CRAC! Et là, c'est le drame, tout s'enchaîne! Bref, toujours autant du bonheur, et j'attend la fin-fin avec impatience. Ben non, ce n'est pas une quasi-fin qui va nous satisfaire! Korelion, ha si N'y aurait-il pas un s à la fin de persuasif et ne manquerait-il pas un ne entre "vous" et "sous-estimiez" ? Elle était meilleur orateur que lui : Meilleure oratrice -
Bon, tu pense bien que en voyant le pseudo de l'auteur, je me suis jetté sur le texte! Bon alors voyons, un vampire? tiens, ça me surprend Bon, blague à part : très bon texte, comme dit, le vocabulaire et le niveau des phrases y est pour beaucoup. les derniers instants de la mort d'un vampire (même si c'est une chose que je vois souvent sur le champ de bataille ) sont très bien conté et j'attend la suite avec beaucoup d'impatience Korelion, zut alors, s'il vient là lui aussi, ou aurais-je la paix? ps : beinvenu au club quand même!
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Oups, j'avais laisser planer le doute au début, dans l'auberge, mais si en fait, c'est be et bien un ex ingénieur...désolé, maonque de coordination Oui, je sais désolé, mais j'ai eu quelques désagrémant PCtesque (merci Bill Gates ) mais bon, je vais essayer de me rattraper... Ben tiens, la suite, ça ira pour me faire pardonner Se dépêcher. Il était impératif de faire vite. Jamais, au grand jamais, Richter n’avait couru aussi vite. Au sommet de la colline, le relais. Les prévenir. Urgent. Son cœur battait à toute allure, l’empêchant de raisonner correctement. Il se retourna. Comme convenu, les lumières s’étaient à la limite du brouillard. Au sommet de la colline, le toit du relais commençait à pointer sa cheminée, comme un phare dans la tourmente. Richter courut de plus belle, forçant ses jambes comme jamais. Il avait fait son travail, il avait sonné le tocsin et prévenu ses supérieurs. Maintenant, la milice prenait déjà position sur les murailles de Helburg. Mais cette mission, il s’était porté volontaire. Prévenir Middenheim de l’attaque. Si c’était le Seigneur des Bêtes, le comte verserait une grosse prime, et Richter pourrait enfin cesser de faire le troufion. La bâtisse se dessinait maintenant très nettement. Richter ralentit sa course. En dépit de la distance, le relais aurait dû voir les lumières dans la plaine, les veilleurs auraient préparé un coursier et ils attendraient juste le message à envoyer. Mais nul ne se tenait devant le relais. Richter s’arrêta devant la porte. Nul bruit, nul cri, nul trace de lutte, de sang ou d’attaque. Ce silence oppressant lui était insoutenable. Il s’avança, posa la main sur la poignée. Le temps était comme suspendu, un doute profond commençait à poindre dans son esprit. Fallait il ouvrir et risquer de voir le relais vide, ses veilleurs égorgé par les bêtes, ou pire, tomber sur les agresseurs ? Ou bien fuir, retourner au village, prévenir le Bourgmestre de l’absence des veilleurs ? Richter prit une profonde respiration, puis commença à retirer sa main de la poignée. Puis d’un seul coup, poussa violement la porte et pénétra dans le relais. A l’intérieur, les veilleurs, assis à une table, un désespoir profond sur leurs visages. Puis le contact froid du métal sur sa nuque. Dans son dos, juste derrière lui, une lame caressait, mordait la peau de sa nuque. Elle ne s’enfonçait pas encore, mais il sentait que la lame ne demandait qu’à rentrer dans sa tête, enterrant à tout jamais les informations qui auraient dues en sortir pour s’échapper jusqu’à la cité du Loup. Richter savait que se retourner signifierait avancer l’heure de sa mort. Pour l’instant, il était encore en sursis. Les veilleurs ne bronchaient pas à sa vue, ils semblaient même trouver cette situation normale. Les secondes s’égrenaient lentement, ponctuées par la respiration saccadée de Richter. Que faire ? Essayer de gagner du temps ? Parlementer, mais est-ce que les bêtes savaient parler ? Ou alors agir, risquer le tout pour le tout ? Toutes ces questions furent rapidement éludées. Devant lui, une silhouette sortit de l’ombre, le visage et le corps caché par une lourde cape d’un bleu profond. Lentement, la cape dévoila un visage. Seul le mordant de la lame derrière son cou lui empêcha de sursauter sous la surprise. ___________________________ Morsliebb la sinistre était déjà haute dans le ciel. Les visages fermés, accablés par les terribles nouvelles, les représentants des notables venaient de partir. Seuls demeuraient dans la salle les militaires et les religieux. Chacun avait reçu son rôle, mais tous désiraient savoir le fin fond de la vérité. Aucun n’était assez dupe pour croire Boris Todbringer capable de tout révéler à de simples citoyens. Klaus le savait et les autres membres aussi, à voir l’expression de leurs visages. Il ne fallut pas longtemps pour que le comte congédie tous les serviteurs. Boris se leva et regarda tous les membres. « Messieurs, l’heure est bien plus que grave que ce j’ai pu laisser comprendre juste avant. » Aucun ne broncha. Comme Boris s’y attendait, tous avaient saisi que les infos distillées auparavant n’étaient que lacunaires. « De précieuses informations sont parvenues de la Cour impériale d’Altdorf. Un conflit terrible se prépare, et pour une raison obscure, nous en serons l’épicentre. Une horde telle que celle qui secoua le monde lors de la venue de Magnus avance vers nous. Je ne sais pourquoi ces fous veulent mettre Middenheim à sac, mais une chose est sure. Moi vivant, jamais la ville ne tombera. Je compte sur chacun d’entre vous. Aujourd’hui, je ne peux guère vous en dire plus, mais des informations devraient arriver d’ici peu. Je vous convoquerais donc prochainement. » Puis, d’un geste, Boris les invita à se retirer. Klaus partit parmi les premiers. L’affaire Lestrof le préoccupait, le prisonnier ne lâchait pas un mot, si ce n’était des cris de douleurs. Il lui fallait retourner en vitesse au couvent, voir si Luther avait réussi à tirer quelques informations. Hélas, si jamais il n’y avait pas de neuf, il serait contraint de brûler cet assassin en place publique. Non que la mort de cet immondice lui cause du remords, mais savoir que d’autres tel que lui couraient libres encore, et qu’il avait leurs noms quasiment à portée de main, cela l’enrageait. Hélas, seul Sigmar savait comment tout allait se terminer. Le trajet en carrosse jusqu’au Couvent des Filles de la Comète fut morose. Ressasser encore et encore les évènements, trouver la faille. Voilà comment Klaus avait toujours procédé, mais là, il y avait tant de failles, tant d’incohérences. Rien ne s’emboîtait. D’habitude, lorsqu’il flairait un culte, il ne lui fallait pas longtemps pour percer les erreurs des ennemis de la Lumière, mais là, tout semblait en contradiction. Et puis, la colère de Rhenard contre cet assassin n’arrangeait rien. Il fallait maintenant que Klaus navigue entre ses intérêts propres, sa mission, et le désir de vengeance de son vieil ami. Et aussi avec les nouvelles du Nord. Boris Todbringer avait beau n’être qu’un vulgaire comte vénérant Ulric, il savait faire preuve de sagesse. Et même si réquisitionner le clergé de Sigmar et d’Ulric afin d’éviter les débordements de la foule était une bonne chose, cela contraindrait le capitaine Répurgateur à délaisser quelque peu sa tâche. Lorsqu’il arriva devant le Couvent, Klaus sentit rapidement que quelque chose n’allait pas. Kurt, bien qu’encore convalescent, l’attendait devant le portail, protégé du froid par une lourde couverture. A ses cotés, la matriarche des Sœurs priait silencieusement, chapelet à la main. Et puis, toutes les lampes du Couvent étaient éteintes, bien qu’il soit plus de minuit. Klaus sortit du carrosse, un doute profond vint rapidement lui ronger l’esprit, doute conforté par l’absence de Luther. Diantre ciel, si jamais cela s’avérait être, jamais il ne pourrait calmer Rhenard. « Alors, qu’est ce qui se passe ici ? Kurt, ne deviez vous pas être dans votre lit à cette heure ? Et vous ma sœur, pourquoi faire donc le pied de grue dans cette ruelle ? » La lumière. Klaus l’avait comprit, avant de poser la question, il savait ce qu’on allait lui annoncer. Mais il avait besoin de l’apprendre de vive voix, et surtout de savoir comment. Ce fut Kurt qui commença. « Capitaine, si je suis sorti, c’est pour vous annoncer une bien mauvaise nouvelle. La sœur supérieure Malika m’a prévenu il y a peu. Le silence se faisait insoutenable. Mais le rompre signifiait avouer une grave faute pour Malika. Hélas, Saint Sigmar l’avait sans doute exigé ! « Voilà, capitaine. Il y a deux heures, nous avons retrouvé votre «Poseur de questions » mort étranglé. Le prisonnier a disparu. » ________________________________ Dans les sombres ruelles de Middenheim, Igor errait. Le destin était vraiment sans pitié. Depuis longtemps, ; il avait percé les secrets de la Confrérie de l’Harmonie, avait acquis plus de savoir qu’il n’aurait dû, alors que son maître continuait naïvement, à n’y voir qu’une simple réunion de mécènes. Mais maintenant Kulgar avait accédé au savoir. L’enquête des Répurgateurs représentait un grand péril pour la confrérie, et ils n’auraient aucun scrupule à vendre leurs serviteurs aux fidèles de Sigmar afin de pouvoir continuer leurs petits amusements. Igor l’avait appris à ses dépens, toutes choses à son prix, et le savoir est loin d’être la moins chère des marchandises. Tout ça à cause de cette discussion à l’auberge du Loup Hurlant. Igor Ce soir là, il était encore tombé dans les bras de l’alcool, et s’était mis à parler de tout et de rien, puis de sa triste vie. Un homme l’avait écouté, et lui avait proposé le savoir universel, toute la connaissance. Tout a un prix. Une simple bagatelle, disait l’autre, le prix annoncé semblait pourtant relativement accessible. Le silence, sur tout ce qu’il découvrirait, et le fait que son âme serait régulièrement sondée à son insu. Peu importe la chose, le coût, tout se doit. L’alcool, la solitude, le désespoir, la souffrance. Igor avait accepté. Sans le savoir, il s’était lié dans une chose dont il ne pourrait jamais, même avec son don, comprendre l’ampleur ni le raisonnement. La seule chose qu’il ne pouvait savoir, était celle qui lui offrait son don, son danger et son salut. On lui avait offert une chose pour laquelle des sages, des savants seraient prêt à tuer, et lui tuerait pour qu’on lui reprenne le cadeau qu’il lui fut fait. Moquerie du destin. Il lui fallait lutter contre ceux qui savaient et celui qui vient d’apprendre, contre ceux quoi voudraient savoir et contre celui qui ne voulait savoir qu’une chose, sa mort. Dans la ruelle, Igor se laissa abattre par le désespoir. Il ne lui restait rien, seulement la colère et la haine. Vengeance. Il fallait obtenir vengeance, que son maître paye pour le mauvais sort qui s’abattait sur lui, que la Confrérie paye pour la situation dans laquelle il était. __________________ Dans son secrétaire, Kulgar venait de finir la missive. Satisfait, il sourit à lui-même. Avec ceci, Igor se jetterait sur Merwinn, puis sur les Répurgateurs. Ainsi, il ne resterait plus qu’à s’occuper de l’assassin. Il fit appeler son page et lui remit le parchemin, avec pour mission de trouver Igor et de se faire accoster par lui. En lisant ceci, Igor n’aurait plus qu’une seule pensée, se venger de Merwinn. En l’évinçant, Kulgar aurait les coudées franches pour mener à bien son but, prendre en main et rendre bien plus glorieux la Confrérie. Puis, ceci fait, il se reposa. Dorénavant, rien ne pourrait entraver son ascension. ___________________ Il ne fallut pas longtemps à Ludwig pour retrouver son ex compagnon. En effet, le brave page connaissait les habitudes du serviteur. Mais Ludwig ignorait bien des choses. Igor n’était plus le même, et lorsqu’il vit arriver Ludwig, il se jeta sur lui. Ce dernier n’eut que le temps de prendre ses jambes à son cou et s’enfuir dans les ruelles. A gauche, puis à droite, puis encore à droite, il ne pouvait s’arrêter. Cul de sac ! Il se retourna. Rien, Igor devait avoir été semé. Prudemment, il retourna sur ses pas, à l’affût du moindre son, du moindre mouvement pouvant trahir la présence de son ex compagnon. Qu’avait-il pu se passer pour qu’il se conduise de la sorte ? La question traînait encore dans son esprit quand une main l’agrippa vigoureusement et le plaqua au mur. Igor ! Ludwig le regarda, non ce n’était plus Igor, c’était quelqu’un d’autre, un monstre dans le corps du serviteur. Et dans ses yeux, le page pouvait lire une certitude. La Mort. Les mains d’Igor se portèrent à son cou. Oui, la Mort, elle venait le prendre. Il sentit le souffle de vie le quitter, passer de plus en plus difficilement entre le collet formé par la volonté destructrice d’Igor. La dernière chose qu’il vit fut le regard sombre, empli de rage et de haine dans des yeux changeant perpétuellement de couleur. Concernant les remarques d'Imperator, je reprendrais le passage ce soir avec un peu de chance...
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Petit résumé : Kérôme, ex ingénieur et assassin, suit une quête obscure et mystérieuse. Celle-ci l’a mené à Middenheim. Après un meurtre (celui de Lestrof Hildar) et une tentative (sur Igor), il se fait capture par le Capitaine Répurgateur de Sigmar Klaus Svarniggson, assisté du lieutenant Kurt Dietrich, blessé par Kérôme, et du Commandant Rhenard des Chevaliers Panthères, qui a déjà perdu plusieurs hommes, soit sous les balles, soit par le poison. Kulgar van Henig, riche bourgeois de Middenheim résidant Hilldar Strasse, et mécène à ses heures auprès de la Confrérie de l’Harmonie, vient de découvrir la réalité de l’association à laquelle il participe. Dirigé par Merwinn Lhodhar, elle cache en fait un culte chaotique dédié à Slaneesh. Pressé par les évènements et l’enquête des Répurgateurs, Kulgar décide d’essayer de prendre le culte en main, le substituant à Merwinn. Pour cela, il souhaitait utiliser son serviteur Igor, d’apparence simplette, mais qui cache un lourd secret. Voyant qu’il va être trahi par son maître, il prend la fuite après avoir mis Kérôme hors d’état de nuire. Maintenant au dehors, sans soutien ni allié, il ne cherche qu’à se venger. Un simple passant vient d’en faire les frais. Dans la Drakwald, une armée silencieuse avance, aidé par des ombres muettes… La vie semblait avoir disparu du fortin. Au guet, Richter était seul. Tous l’avaient laissé à sa corvée et il commençait à avoir vraiment froid. Impensable en cette saison, le gel s’était abattu sur le village de Helburg. Les anciens avaient déjà donné des centaines d’avis différents, pour certains, c’étaient les villes qui détraquaient tout, pour d’autres, une punition divine. Mais rien de ce qu’il avait entendu ne le satisfaisait. Pour Richter, ce froid glacial, c’était bien pire que ça. Et en plus, le sergent s’était encore débrouillé pour se planquer au chaud, dans la salle d’armes. Saloperies de gradés. Et saloperie de brouillard dans la plaine. Un vrai brouillard, de ceux qui sont capables de vous envoyer vous faire perdre une jambe dans un satané piège à loups. Une restriction ordonnée par le comte parait-il. Pour la battue de la Bête. Tout ce que ça avait rapporté pour l’instant, c’était les plaintes des villageois pour les chiens happés par les pièges. Richter continuait de toiser l’épais brouillard lorsque quelque chose attira son attention. Une lueur pâle mais menaçante venait d’apparaître à l’orée de la forêt. Il s’avança rapidement, plissa les yeux, mais rien n’y faisait. Il ne distinguait pas ce que cela pouvait être. Il se retourna et se saisit rapidement du cordon du tocsin, puis hésita. Il retourna jeter un coup d’œil. La lumière n’était plus là. Soulagé, il se laissa tomber. N’aurait manqué plus que ça. En se relevant, il regretta amèrement ses derniers mots. Dans la plaine, un ciel étoilé venait d’illuminer la brume. ____________________________ Le bruit de pas résonnait dans le couloir. Gris, froid, venteux couloir. Seules les lourdes teintures blanches et grises répondaient de leurs couleur aux flambeaux suspendus à intervalles réguliers. Au bout du couloir, une lourde porte de vieux chêne, bardé de fer. Une fois devant, les deux gardes de faction l’ouvrirent sans tarder, laissant un flot de lumière et de chaleur envahir le visage de Klaus. Le vieux répurgateur pénétra dans la salle. Les hommes alentour se retournèrent, puis, craintifs, saluèrent poliment. Nul n’est assez fou pour oser braver un soldat de Sigmar en public. Mais combien n’hésiterait pas, une fois le rideau baissé, à entacher son noir manteau de sang. Klaus savait très bien à quel point les courtisans pouvaient être dangereux. Mais peu importait. Boris Todbringer avait fait mandé tout officier et religieux de la ville pour une réunion importante. Klaus était le dernier. Il s’assit rapidement aux cotés de l’archevêque de Sigmar. A la table se trouvait, outre le comte lui-même, Rhenard, qui ne lui adressa qu’un regard empli de colère, Ar-Ulric Emil Valgeir, le rustre et sauvage représentant suprême des Ulricans, le Grand Maître des chevaliers du Loup Blanc, les trois maréchaux, le Chevalier Eternel et quelques représentants de la haute bourgeoisie. En fait, ces derniers étaient une bonne dizaine. Mais Klaus savait que leur présence ici n’était que du folklore. Pour que le comte convoque les grands dirigeant de la ville et de la province, il fallait une situation catastrophique. Sans doute des nouvelles du Nord qui venaient d’arriver, et elles devaient être très mauvaises. Assez mauvaises pour que Boris Todbringer ait réussi à convaincre les deux cultes d’assister à cette réunion conjointement. Ainsi, la présence des notables tient plus de la flatterie politique que d’un réel intérêt. Le comte Boris se leva et fit signe aux gardes. Ils sortirent et les lourdes portes se refermèrent sur le conseil. _________________________ Kulgar regardait de sa fenêtre ses compagnons s’en aller, un sourire sournois aux lèvres. Il était assez satisfait de son petit coup d’éclat. Après son annonce, tous s’étaient inquiétés, pris dans une fièvre de panique et de peur. Tous sauf lui et Merwinn. Kulgar se retint de rire, mieux valait être discret. Merwinn avait très bien saisi ce qu’il cherchait à faire, et il savait que le vieux maître de la Confrérie ferait tout, absolument tout ce qui était en son pouvoir pour garder la mainmise sur sa petite secte. Mais Kulgar voyait plus loin, plus grand. Pourquoi se contenter de maigres dons et amusements, alors que le pouvoir tout puissant était à portée de main ? Il suffisait juste d’en faire un peu plus, de continuer à vénérer son Dieu. Machinalement, Kulgar recommença à triturer sa chevalière. La couleur mauve vif de celle-ci lui plaisait de plus en plus, et lorsque la pierre précieuse se parait d’une autre teinte, il ne pouvait s’empêcher de s’émerveiller. Mais l’heure n’était pas aux réjouissances. Kulgar voulait la place de Merwinn, et celui-ci ne se laisserait pas faire. Et puis, les Répurgateurs allaient sûrement continuer à s’intéresser à lui. Sans compter l’assassin de Lestrof qui courait toujours en liberté, de même qu’Igor. Il lui fallait se débarrasser de ses problèmes avant de pouvoir attaquer le pouvoir de Merwinn. Si les Sigmarites pouvaient capturer le spadassin et le brûler en place publique, il aurait ensuite tout le temps de se consacrer à Igor. D’ailleurs, peut être était-il possible de se servir d’Igor contre Merwinn. Bien sur, tout ce qu’il lui fallait, c’était transmettre un message à son ex serviteur à son insu. Kulgar se rendit dans son secrétaire. Une fois à son bureau, il se saisit d’un morceau de parchemin. Avec un peu de chance, il allait faire d’une pierre deux coups. Loin, dans une dimension impropre aux mortels, un amalgame ricana aux nez des autres. Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, j'en poste plus ce week end!
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En même temps, regarde par qui il peut être pris... Que des armées plutot soft en magie, ou il rmeplira don un rôle très puissant, surtour s'il croise un seigneur vampire! Bref, moi, j'aime bien, le coup du 1D6 blessures me parait un peu violent puisque s'il blesse et pas sauvegardée, il est quasiment sur de tuer (en même temps, pour qu'un mage se laisse charger par un humain à pied... ) Bref, il m' lair assez équilibré. Juste une chose, est ce que l'arme à deux mains magique est une arme lourde (portant donc sa force à 7) ou bien comme je l'ai compris, elle ne lui apporte qu'un +1 (force 5)? Korelion
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Création d'un comité de lecture de la rubrique?
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Sans vouloir donner l'impression de chercher à m'incruster, m'est-il possible de postuler ? Korelion, monoligne autour du pot -
Rencontre du troisième type-Histoire achevée
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Toujours aussi bon, l'atmosphère comique et burlesque semble avoir complètement disparu au profit de quelque chose de plus lourd et opressant. Toutefois, quelques erreurs : A mon humble avis, il manque le "pas" Heu, c'est Boubli qui est censé être intelligent?! A mon avis, une petite erreur de confusion Korelion, toujours conquis ! -
LRA le retrait de l'équipe de Privas
korelion a répondu à un(e) sujet de Paco dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
Mais heu ? déjà que je suis endetté de ceux de grenoble... -
Petit up. Après une longue absence, je le fais ré-émerger. Je n'ai rien rajouté, mais j'ai modifié un peu lepassage dans les tunnels, pour rendre un peu moins bourrin. Voilà voilà! Quoi, la suite? Korelion, oui oui, ça arrive !
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Rencontre du troisième type-Histoire achevée
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Ouah! je viens de tout lire d'un trait et franchement c'est tordant ! Faire cohabiter dans une même histoire les rébuts de la société orque et les gracieuses furies, quel tour de force! Korelion, en reveut! -
Création d'un comité de lecture de la rubrique?
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Petit up, au vu du Bug du serveur Garder une discussion par récit, celà permet de ne pas téléscoper les avis, mais celà donnerait une certaine cohérence à la démarche. Ainsi, toutes les discussions du comité de lecture seraient condensées en un seul post. Korelion -
Elfes Noirs et Hauts Elfes
korelion a répondu à un(e) sujet de Ludwig Muller dans Battle - Background
Il faut quand même voir une chose, c'est que les comparaisons faites le sont par de sgens lambda, tout le monde n'étant pas hélléniste jusqu'au bout des ongles . Hors, dans l'imagerie (à défaut de populaire, je dirais général )générale, Sparte est très tournée sur la guerre, et possèe de nombreux esclave, alors qu'Athènes symbolise la sagesse et tout le tremblement, ce qui, grosso modo( mais vraiment en gros) correspond à peu près aux points de vues athénien et spartiate. Il gaut aussi constater que les desgners de GW ne sont pas forcément des historiens de haut vol, ils se servent des clichés les plus gros possibles, afin de les rendre universel. Korelion, et puis de toute façons, c'est la magie de Warhammer (Comprenne qui pourra!) -
LRA le retrait de l'équipe de Privas
korelion a répondu à un(e) sujet de Paco dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
Au vu de l'avancement ici bas à Sainté Andrézieux, on pourrait peut être bientôt commencer à être de plus en plus actif! Vu qu'on commence à s'organiser un petit peu, si vous cherchez du monde, on est là! Korelion (looking for section récit ) -
Bon, le moins bon d'abord N'était! Repétition Ca c'était pour le mauvais côté. Bon coté C'est terriblement glauque, et j'adore ça! On ressent parfaitement le desespoir et la lassitude du prisonnier. Bref continue Korelion
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Mort de rire! Bon, je vais déposer une plainte pour tentative d'homicide volontaire avec préméditation par crise de fou rire! Sinon, un passage exceptionnel : Du grand art, de l'apothéose du craquage! Bref j'en redemande! Korelion, "-AU fait, DImanche... -Manche" Oui, oui, la porte au fond, à coté du Dealer....
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Je viens de lire ce qui s'est fait sur 2 mois et franchement, je suis bluffé! Rien à redire, le suspense est intenable! Quand à l'orthographe irréprochable, heu, juste ceci Ne serait-ce pas plutot livrée à elle même? A part ça, rien à dire à part : PARFAIT! Korelion, j'ai trouvé la p'tite bête, sisi, je l'ai trouvé
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korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Ok, dans ce cas, je me permets d'ajouter ma modeste contribution à ce noble édifice ! Au passage, placer le comité en Projets Spécialisés le rendrait trop isolé de la section, je crois sincèrement qu'il faut éviter ceci. De plus, laisser les topics dans la section récit permettra aux membres de la section de profiter des remarques constructives (puisque c'est le but!) qui seront faite sur le-dit topic et aux nouveax arrivants souhaitant se lancer dans la critique acerbe (oups pardon )... non, ceux qui désirent s'initier à la critique d'un texte pourront voir ainsi jusqu'ou aller et l'art et la manière de critiquer (pas au sens péjoratif!). Je dois reconnaitre qu'étant tout nouveau sur la section, le premier commentaire posté sur un texte fut assez dur, la critique n'est pas forcément quelquechose de facile en ce sens qu'il faut savoir être suffisament objectif toyut en donnant son avis propre...(hum, quelle profonde réflexion! ) Bref, éloigner les critiques du comité ne serait pas du tout dans l'interêt de la section, qui est quand même de permettre à chacun de progresser dans l'écriture, et accessoirement, de progresser dans la critique, afin qu'il y ait des retours réfuliers et constructif. Korelion, Philo du soir bonsoir! -
Création d'un comité de lecture de la rubrique?
korelion a répondu à un(e) sujet de Zarathoustra dans Récits
Salut à tous! Après une brève (quoi, deux mois, aux yeux d'une éternité d'agonie, que cela représente-t-il ? ) absence du forum (Merci Bill Gates! ), je tombe sur ce post. Bon, je reconnais n'avoir pas tout lu en profondeur, je ne me suis permis qu'une lecture en diagonale, mais il faut reconnaitre une chose, c'est que cette idée tient très bien la route et qu'elle permettrait d'approfondir certaines critiques que le temps ou la volonté nous poussent parfois à ne pas faire (Ô tempora ô mores! )!Sinon, voilà, ma curiosité me pousse à poser une petite question : est ce que vous embaucher encore pour le comité ? Korelion ps: Qu'est ce que j'apprends ? Inxi souhaite partir? Retenez le, vite! -
Emblème de la ligue
korelion a répondu à un(e) sujet de Solkiss dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
Ben quoi, une grande fresque avec un dragon, ça va pas ? Bon effectivement, on (surtout moi! ) est parti dans un bon gros délire mégalomane... Pour le logo simple devant, pas de soucis, mais le truc que je pige pas, c'est le coup du transfert via imprimantes ? Tu imprimes ton truc via PC et imprim' laser et tu passes ça comme un calco ? Korelion, un peu perplexe -
Emblème de la ligue
korelion a répondu à un(e) sujet de Solkiss dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
Sachant que c'est pour un dessin de t-Shirt, mieux vaut ne pas éxagérer sur les détails ! Un bête dragon sur fond de vallée montagneuse avec une rivière, truc simple sans trop de détails serait idéal ! Par contre, un truc, le logo LRA serait derrière ? Devant, que mets on ? le logo des clubs/équipes, ou nom du joueur ? Korelion, n°10, zinedine zidaaaane! -
Emblème de la ligue
korelion a répondu à un(e) sujet de Solkiss dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
pas bête, mettre le logo LRA au dos, histoire de laisser les Teams devant, ça serait très bien ça ! Faut juste se mettre d'accord sur le logo LRA, pour moi, le dragon sur paysage, je trouves ça très bien ! Korelion, nan, on va tout détruire, Lyon, Auxerre, PSG et Marseille (enfin, j'espère! ) -
Emblème de la ligue
korelion a répondu à un(e) sujet de Solkiss dans Anciens Jeux - Aide à l'organisation
Un truc bête, le sigle de la région, histoire de chercher du sposoring du coté du conseil régional ? Sinon, Au vu de la variété des paysages de la région, mieux vaudrait un truc assez simple. Peut être qu'un dauphin(or), notre région faisant un peu partie du dauphiné, ainsi qu'un damier rouge et blanc en quart rendrait bien, avec une inscription LRA en lettres or enluminées ? Korelion, ou alors, un damier vert et blanc avec une étoile d'or et l'inscriptions allez les Verts ? -
De la manière de ne pas jouer optimisé.
korelion a répondu à un(e) sujet de Falanirm dans Stratégie ancien règlement
A Stercz : Concernant le fait de vouloir jouer pour la gagne, je suis pas franchement d'accord ! Autant dess fois, une bonne bataille pour piétiner l'adversaire dans la boue c'est marrant, autant le faire tout le temps, ça devient pénible ! Pour le fait de jouer soft, c'est une expression, pour moi, ça veut dire pas systématiquement un full cavalerie et pleins de truc crades. Bon, par contre, l'autre jour, hértoïsme (en tant qu'attaquant ) contre des skav', et j'ai posé des archers ! Là, j'ai amèrement regretté d'avoir été gentil, parceque très soft, on finit par se faire ch... ! Toutefois, toujours Hard, ça deveint franchement ch.... aussi, parceque c'est une vraie course à l'armement ! Ensuite, personne ici ne souhaite imposer le soft, j'avais proposé des idées pour organiser un tournoi soft, mais pas onligé de le faire, et quand bien même, entre potes, un tournoi juste pour rire, pas méchant, qui servirait juste à sze retrouver et à faire des parties, y'a pas de lézards (enfin, sauf les hommes lézards ! Oui oui, la porte ? Non, pas tout de suite!) Concernant les scénarios, ben j'en ait fait 3 au total, bataille rangée, dernier carré et héroïsme! Pourquoi si peu ? Parceque la bataille rangée est l'archétype de lapartie éaquilibrée (imaginez une capture ou une percée avec des nains! ) et que le rapport de force se joue sur les qualités des joueurs ! les autres scénarios seraient à jouer en moins optimisé, pour tester et s'amuser ! Enfin, l'interêt de jouer très très méchant, des listes bien bourrines ? Ben j'ai fait héroïsme hier, 3000 pts de persos elfe, et j'ai aligné un bon gros dragon et une dizaine de mages ! et franchement, je me suis fait ch... plus qu'autre chose pendant les phases de magies ! Pourquoi ? Y'a pas de plaisir, tu lances des dés et tu rases l'ennemi, mais bon, c'est franchement du Yamm's ! Aucun plaisir !