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Warhammer Forum

Inxi-Huinzi

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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Haha ! Voilà que tout s'explique !!! Bon reste encore savoir ce qu'il va dire mais maintenant je sais que l'invasion du chaos se passera en terre humaine et pas elfe comme je le pensais ! Et je suis bien content de la réaction du prince elfe, je peux pas me le voir ! Le père non plus qu'est devenu un vrai c*n mais le roi se la pète vraiment trop Mais bon, c'est ce qu'on attend de lui ! xD Bon, trève de blabla, j'attends la déclaration ! @+ -= Inxi =-
  2. Inxi-Huinzi

    Mercenaires

    Bon un chapitre flashback plutôt intéressant puisqu'on apprend un peu plus sur un des personnages. On voit où il veut en venir assez rapidement (les histoires de vengeance, perte de famille toussa toussa, faut quand même plus que quelques écarts pour que ça soit réellement original ) On en oublierai presque les malheurs du petit ! Par contre, je me demande plus ce qu'il va se passer après l'exécution (et le viol ?) où là ça peut réellement devenir intéressant ! Alors suite ! @+ -= Inxi =-
  3. Néanmoins une nuance ! Une figurine cachée en début de tour ne sera visible que par une figurine qui la voit. C'est a dire que le reste de la bande ne voit pas la figurine. C'est pour ça que je parlais de inchargeable a partir du moment où elle est cachée mais si un archer bouge, la voit, il pourra tirer lors de la phase de tir. Tout ça pour dire en résumé qu'une figurine faisant sauter un caché le fait pour elle et pas pour toute la bande. @+ -= Inxi =-
  4. C'est l'interprétation qui va pas en fait Une fois que tu déclares ta figurine cachée, elle n'est plus vue (elle se jette au sol, elle ne fait qu'un avec le muret, tu la couches, tu la retires de la table, tu fais ce que tu veux mais elle n'est plus vue :'( !!!) Ce qui fait qu'au tour de ton adversaire, elle sera inchargeable parce que cachée (elle pourra être ciblée par un arc si un archer vient la découvrir ou un sort si un mage en fait autant) @+ -= Inxi =-
  5. Ben je vois pas l'astuce là Je viens de relire la règle fr et c'est exactement la même que les "anglais". Tu es derrière un couvert après ton mouvement, tu peux te cacher et ne peut plus être pris pour cible ! Donc l'intérêt a déjà été évoqué avant et je peux même rajouter que : tu es à portée de charge de HL, à 6ps par exemple, ben tu te caches derrière un puits situé à 5ps de eux ben ils peuvent pas te charger parce que tu es caché et leur initiative ne permet pas ta détection ! @+ -= Inxi =-
  6. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Mes travaux

    J'aime bien le dernier guerrier ! J'étais réticent au début de faire des figurines tout métal (ça aurait donné un aspect boîte de conserve) mais la vérité c'est que ça rend plutôt bien en fait. Mention spéciale aux yeux de la figurines qui lui donne un air d'être vraiment taré En même temps, il se bat dans les rues de Mordheim, y a de quoi ! @+ -= Inxi =-
  7. J'avoue ça peut être pas mal mais il est vrai que 'sacrifier' deux compétences juste pour ça, ça fait quand même mal ! Tu peux avoir quand même mieux ou plus sympa tout en faisant un vrai tueur ! @+ -= Inxi =-
  8. +1 avec GDS, cette bande est celle que je joue en ce moment dans notre campagne et tu peux demander à Heaven, Vall ou Zbum, elle est vraiment sympa est assez polyvalente. Tu peux très bien rester fluff (comme moi qui essaye les strensi avec hallebarde + arquebuse mais que ça sert pas vraiment à grand chose ), tu as un ours sympa (ça c'est pour les bandes violentes en face genre les possédés), tu as des cosaques qui haissent toutes les créatures tu mal (donc relance des jets pour touchés ratés une fois) ce qui peut être pas mal pour toi. Ensuite les héros sont assez polyvalents et tu en trouves un avec F4 qui peut faire mal aux grosses endus ! A toi de voir ! @+ -= Inxi =-
  9. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Merde trio a survécu !! J'aurais bien aimé qu'il meurt en fait. Il se la pète trop ! Bon la bataille qui suit n'est pas trop décrite vu qu'on se concentre plutôt sur l'état de trio plus que ce qu'il se passe aux alentours. Le passage pour moi intéressant est celui avec les elfes et quand tu as dit qu'il fallait les garder fidèles ça l'a fait penser que le jeune la allait être recruté par le grand père de trio en utilisant sa rancœur et son envie de vengeance. Pour l'instant, ça sera du wait and see ! Alors suite !! @+ -= Inxi =-
  10. Inxi-Huinzi

    Mercenaires

    Waaa, il est bien blasé ! Je pensais qu'il allait réagir mais pas a ce point ! Les pauvres, enfin la pauvre ! Il aurait au moins pu lui donner de l'espoir ah les histoires d'amour en pleine guerre, ça fait jamais long feu !!! Bon, a la lecture de ce passage me vient une question : qu'est ce que c'est que cette histoire de dragon ! D'où qu'elle sort la bébête ! Par contre je me disais en ecrivant la que j'ai pas l'impression de cerner la trame de l'histoire... Tu gagnerais a bien la rappeler clairement !! Allez suite ! @+ -= Inxi =-
  11. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Et ben c'est excellent tout ça ! On sent vraiment qu'on est rentré dans le tiers deux de l'histoire. Finis l'introduction et la 'chute' de la première partie, la guerre a éclaté et ils bougent tous en direction du sud. Après je me demande si ça sera une longue partie et si la guerre va durer longtemps ou pas. De toute je pense pas trop puisqu'il faut encore qu'il décide d'aller voir les haut elfes où il va se battre contre son grand père. Ensuite les nouveaux personnages, on apprend que la sorcière serait sa future femme à Trio. A voir si c'est de l'info ou de l'intox, je vois pas si ce groupe et surtout elle va devenir un personnage important. Enfin bref de blabla, j'attends la suite ! @+ -= Inxi =-
  12. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Bien voici la suite ! J'ai un peu de retard donc samedi sera vite le chapitre suivant ! Alors que Loriol et Gerheim s'unissent à Lieles pour lutter contre Petre et récupérer le siège du pouvoir de l' Eglise, ceux-ci tombent dans un piège et se retrouve enfermés dans la cathédrale isolés. Chapitre 159 Les carreaux frappaient inlassablement la porte tirant Gerheim de la torpeur dans laquelle il sombrait de plus en plus vite. L’elfe se demandait ce que pouvaient bien viser les soldats car ce n’était qu’une porte en bois. Il imagina toutes les possibilités allant de la guerre psychologique au simple ennui. L’elfe était actuellement allongé sur un banc de bois dans la nef centrale, les mains croisées derrière sa tête. Lieles et ses hommes ne cessaient de s’activer, s’enquérant de tout ce qu’il était possible de savoir sur l’endroit et ne cessant de regarder par les vitraux les plus élevés si la situation évoluait. Gerheim avait, avec Loriol, fait un tour de l’endroit qui était vraiment majestueux. C’était une énorme église qui avait comme particularité d’avoir une sorte de premier étage en mezzanine qui accueillait salles à manger luxueuses, bureaux privés et chambres des dirigeants de tout le culte de l’Empire. Ils avaient vu que nombre de ces chambres étaient verrouillées et ils s’étaient demandés si les personnes à l’intérieur de celles-ci s’était volontairement enfermées craignant la vengeance de Lieles ou avaient été mises là contre leurs grés. Ils avaient ensuite regardé à chaque vitrail, en état ou non, ce qu’il se passait à l’extérieur et étaient même montés au clocher pour avoir une vue plutôt incroyable de la ville. Ne sachant que faire par la suite, ils décidèrent de prendre un peu de repos ne pouvant imaginer quand ils y auraient droit la prochaine fois. Loriol avait adopté la même posture sur un banc voisin mais semblait tout aussi nerveux que Gerheim, ce qui n’était guère étonnant sachant qu’ils étaient entourés de leurs pires ennemis. Gerheim se méfiait de chaque mouvement et de chaque regard qu’on jetait dans leur direction. De plus, ayant utilisé sa broche et l’autre ayant été volée, il se retrouvait complètement cerné et n’avait aucun moyen de sortir de là avant pratiquement huit à dix heures ce qui était le temps que la broche se recharge. De plus, le banc de bois était inconfortable au possible et trouver le sommeil dans ces conditions n’étaient pas évident. Loriol semblait être quant à lui dans un palace sur son lit de bois car ses ronflements réveillaient parfois son homologue elfe. Alors qu’un temps indéterminé s’était écoulé, Lieles les interpella tous les deux, tirant le loup de ses rêves et Gerheim de sa léthargie. -On a besoin de vous, venez. Loriol lui bâilla au visage et se frotta les yeux. Il ne comptait pas s’exécuter aussi facilement. L’elfe, étant moins retors et curieux de savoir ce qu’on leur réservait se mit en marche derrière Lieles qui avait déjà commencé à remonter l’allée centrale. Loriol fut bien obligé de suivre bien que l’éclaireur l’imagina songeur et désireux de reprendre sa sieste là où il l’avait laissée. Ils utilisèrent des escaliers en bois qui agrippaient circulairement une colonne pour desservir la mezzanine. Ils parcoururent la moitié de la cathédrale pour s’arrêter devant ce qui devait être la plus grande chambre de l’endroit. Lieles se la mit de dos et les fixa. -Dans cette chambre, il y a le grand cardinal que nous avons enfermé. Nos lois nous obligent, pour tous les serviteurs de l’Eglise présents ici de lui obéir. Vous, vous n’êtes pas des hommes de Dieu. -C’est le moins qu’on puisse dire ! Se moqua Loriol. -Nous avons besoin de savoir où ils ont enfermés les autres évêques et prêtres de la ville, continua-t-il comme si Loriol n’existait pas. -Pourquoi on ferait ça ? Demanda le lycanthrope. Il y a largement assez d’hommes portant des robes en ville je trouve. -Vous ne comprenez pas, soupira l’inquisiteur. Ces hommes qui sont enfermés sont de notre côté, ou le seront. Si nous parvenions à les libérer, ils dresseraient la population contre les ennemis de l’Eglise. -Question de point de vue, le corrigea Gerheim. Quelque soit le camp, ce sont des êtres humains. N’oublie pas que ce qui est mal pour vous, est le bien pour eux. Si Petre n’avait pas été du côté de ceux que tu trouves déloyaux à Dieu, qui soutiendrais-tu ? Lieles ne trouvera rien à répondre. -La question ne se pose pas puisque telle n’est pas la situation, coupa-t-il finalement. Il se trouve qu’une guerre civile a éclaté avec l’aval de l’Eglise, c’est intolérable. Gerheim ne répondit rien par peur de tant vexer l’inquisiteur que ce dernier lâche ses chiens sur eux. Ils n’étaient pas en position de force si bien qu’ils arrêtèrent, autant Loriol que Gerheim, de lui chercher des poux. -Peut-il lancer des sorts ? Demanda Loriol. L’inquisiteur sembla surpris par cette question. -Non, non je ne crois pas ! Bafouilla l’homme de foi. -Bien alors réglons ça au plus vite ! Expliqua Loriol en poussant Lieles sur le côté. -Attends, c’est… Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que Loriol, d’une faible pression de la main à l’endroit où les deux portes à battant se rejoignaient, arracha la serrure. -Fermé… Acheva l’inquisiteur. Loriol entra alors que des protestations outragées s’élevaient, les regarda et referma les deux portes tant bien que mal. Lieles se tourna vers l’elfe qui retenait un sourire devant le désarroi de l’humain. -Que va-t-il faire ? S’inquiéta Lieles. -Aucune idée, admit Gerheim. Mais je ne pense pas que ça traîne. Peu après, il y eut des sortes de grognements plus proches du chien que de l’homme et des cris apeurés comparables à ce que pourrait faire une fillette de dix printemps. Il y eut des bruits de casses et de poursuite puis plus rien pendant une trentaine de secondes. Lieles fit mine d’entrer mais Gerheim tira son épée d’un mouvement souple pour lui barrer le chemin. -Tu nous as confié la tâche… Laisse-nous gérer. Loriol ressortit à ce moment-là. Gerheim le vit sans surprise en train de changer de forme pour reprendre apparence humaine. Le grand cardinal ne souhaiterait sûrement plus jamais sortir de cette chambre, pensa l’elfe. -Je vous laisse une minute et déjà en train de se taper dessus ! S’exclama Loriol. -Nous étions juste en train de débattre, le corrigea Gerheim en rangeant son épée. Loriol haussa les épaules comme s’il s’en moquait. -Il a parlé, continua le loup. Il a dit qu’ils étaient enfermés aux oubliettes. -Logique… Commenta Lieles en hochant la tête. Ca tombe bien, c’est par là que vous allez sortir pour aller chercher des renforts. -Hein ? Ne comprit pas le lycanthrope. -Il faut aller chercher le reste de mon armée et trouver pourquoi elle n’est pas déjà là. -Qui nous accompagnera ? Demanda l’elfe curieux. -Personne, avoua Lieles, juste vous deux. Gerheim comprit immédiatement que quelque chose clochait. -Qu’y a-t-il dans ces oubliettes ? Demanda-t-il. Lieles parut déçu qu’ils comprennent. -C’est un ancien réseau d’égouts qui parcourt le quartier, personne ne sait vraiment ce qu’il y a dedans car personne n’en est jamais revenu. Mais vous inquiétez pas, dit-il en souriant, vous êtes bien plus monstrueux que ce qu’il peut y avoir dedans ! J’en suis sûr ! Il partit sans même leur laisser le temps de répondre. -Pourquoi j’ai l’impression qu’on nous envoie en tant que chair à canon ? S’interrogea Loriol. -Que l’on meure ou que l’on réussisse, Lieles sera content. -J’espère bien ne pas lui faire ce plaisir ! Grogna le loup-garou. On fait quoi ? -Ce qu’il a dit, reprit Gerheim, j’ai pas envie de passer plus de temps parmi les hommes de Lieles, je préfère tenter ma chance ailleurs. -Bien d’accord ! Répondit Loriol avec entrain. Et si on pouvait trouver de quoi manger en chemin, ça ne pourra que faire du bien. Gerheim ne pouvait qu’acquiescer et maudissait ce genre d’évènements où dormir et manger devenaient aléatoires. Ils redescendirent à la nef principale et la traversèrent jusqu’à l’autel où ils prirent à droite. Quand ils avaient visité le lieu, il avait vu un escalier descendant jusqu’à une porte cadenassée. Gerheim n’aurait pas pu dire si elle avait été utilisée récemment ou pas ce qui lui faisait se demander si les autres prêtes n’étaient pas, depuis le temps, déjà morts de faim, de soif, ou de toutes autres causes que l’elfe se refusait pour l’instant d’imaginer. L’éclaireur invita Loriol à ouvrir la voie dans tous les sens du terme. Si Lieles ne leur avait pas donné les clés c’était qu’ils avaient carte blanche pour agir. Si ce n’était pas le cas, l’inquisiteur n’aurait eu qu’à y penser. Dans une explosion de bois fracassante, le loup ouvrit un passage pour tous les deux. Les soldats qui n’avaient pas été prévenus commencèrent à accourir craignant une brèche mais Lieles leur cria à travers la cathédrale que tout allait bien et qu’ils pouvaient retourner surveiller la porte principale. Gerheim descendit prudemment les marches qui étaient plutôt serrées ce qui lui évita de chuter. Il s’arrêta à peine le porche passé pour laisser ses yeux s’adapter à l’obscurité même si une torche lointaine produisait une légère lueur orangée. C’était un escalier en pierre qui s’enroulait autour d’un boyau qui descendait dans les profondeurs du sol. Gerheim attaqua les premières marches en se demandant pourquoi ils finissaient irrémédiablement sous la surface. Arrivé en bas, l’elfe attrapa la torche plus par convention que par utilité et s’engagea dans un corridor séparant deux rangées de plusieurs cellules. L’elfe se réjouit, il n’aurait pas à chercher très loin les prêtres. Ca paraissait logique car les précédents propriétaires de l’endroit n’avaient sûrement pas voulu aller très loin dans les catacombes. Comme auparavant, le drow laissa Loriol s’occuper de toutes les portes. Dans chacune des cellules se trouvait une dizaine d’hommes qui avaient osé se révolter. Ils étaient en général accompagnés d’une petite quantité de vivres. Cela était vrai pour toutes les cellules excepté les deux dernières. Dans la première de celles-ci, les occupants étaient tous morts, d’une maladie imagina Gerheim lorsqu’il entra en se voilant la bouche et le nez avec sa cape pour regarder la couleur verdâtre de la peau des prêtres. Et dans la deuxième, il y avait un groupe d’hommes qui n’avaient rien d’ecclésiastiques mais comme ce n’était pas leur problème, Gerheim dit à Loriol que Lieles déciderait lui-même ce qu’il comptait faire d’eux lorsqu’ils remonteraient à la surface. Lorsqu’il dit ça, le visage d’un des prisonniers blêmit et il s’enfuit le plus vite possible dans le sens inverse, s’enfonçant dans les catacombes. Ni Gerheim ni Loriol ne le poursuivirent et ses compagnons haussèrent les épaules d’incompréhension et aussi parce que la seule chose qu’ils voulaient était sortir de cet endroit. Si l’autre voulait se perdre et mourir là-dedans, c’était son problème, semblèrent-ils avoir convenu tacitement. -Remontez, vous êtes libres, ordonna Gerheim au groupe si bien que personne n’hésita durant la moindre seconde. Loriol hocha la tête une fois que le dernier prisonnier eut disparu dans l’escalier. Gerheim se tourna vers l’obscur couloir où s’était échappé le fou. Après une expiration libératrice, il se mit en avant en se demandant ce sur quoi ils allaient bien tomber. @+ -= Inxi =-
  13. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Bon ! A part : Sur la forme, j'aurais rien à dire sur ce passage de transition vu qu'on présente de nouveaux personnages dont j'ignore s'ils auront une place importante ou non. Je réserve mon avis et j'attends la suite ! @+ -= Inxi =-
  14. Inxi-Huinzi

    Mercenaires

    Bon ben ca avance ! J'ai dû relire avant parce que je me demandais d'où elle sortait cette pierre. J'en viens donc aux dialogues immédiatement et à ce lancé justement. Je trouve qu'il a trop une réaction d'enfants en se plaignant, on l'imagine presque boudé. Je pense que tu pourrais lui faire une réaction d'homme sachant qu'il a quand même été blessé. Genre qu'il s'énerve franchement ! Enfin moi je ferai ça On lui a pas volé sa glace non plus ! @+ -= Inxi, courage, fuyons =-
  15. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Bon ça va pas trop mal la récupération bien que je confirme que ce que j'ai dit auparavant. Le sorcier est vraiment trop.. inutile.. je dirais. La mère et l'enlevement ne sert strictement a rien si ce n'est : rappelé le sort de la mère, renforcé la vision qu'ont les soldats de Trio. Mais tout ça aurait été tout aussi bon si ça n'avait pas été écrit genre en quelques phrases. Parce que là, j'ai soit l'impression que y a un truc qui va pas (le sorcier prépare quelque chose) mais comme le sorcier réagit comme ça, il semble avoir peur, je dirai que la sortie est mal négociée et qu'il devrait pas avoir peur de ce petit anneau. Peut être insisté sur pourquoi il a peur de cet anneau et son pouvoir. Pourquoi il peut maintenir à distance son supérieur ainsi que son démon de maître... Ce qui fait beaucoup. Et d'ailleurs la réaction de la mère où qu'elle est ? Enfin bref, beaucoup de questions ! @+ -= Inxi =-
  16. Inxi-Huinzi

    L'invocation

    bateaux ; était passé nuisibles désagréables Bon j'arrête là, y en a trop !!! Je te laisse fouiller le reste parce qu'il faut une relecture ! Pour le fond, un rassemblement. Je trouve un peu maladroit le passage entre l'elfe et les gardes. Ca fait puéril et les gardes plus crédibles. Mais c'est sensé être une elfe, hautaine et cruelle. Elle aurait dû rentrer dans le tas, même si c'était que pour les mettre chaos. Là elle reste là à pleurnicher ça fait bizarre. Surtout avec sa mission. Ensuite le regroupement est bien mené même si je comprends pas encore cette insistance sur l'âge ! On dirait vraiment que c'est important pour l'histoire ! Allez la suite ! @+ -= Inxi =-
  17. Inxi-Huinzi

    Forme des socles

    Veux tu que je rappelle à tout le monde une de tes charges héroïques/stupides/suicidaires/incompréhensible de ton chef bretonnien seul dans mes répurgateurs qui s'est retrouvé encerclé ? Bon le socle est plus grand mais c'est pour dire que ça peut arriver ! Surtout dans les parties où il n'y a pas de test de déroute ! Nous on les tourne sur elle-même jusqu'à ce que ça soit bon, tout simplement ! Mouhahahha Voilà la raison des échecs cuisants de conquérir la ville des damnés @+ -= Inxi =-
  18. Inxi-Huinzi

    Forme des socles

    Ben moi si ! Je trouve que c'est plus que gênant. Ca change totalement la physionomie des combats puisqu'au niveau de la zone de contact, ça change tout... Un soclé carré 20*20 c'est 8 personnes autour. Un socle rond je pense que si tu en mets 5 tu es content... Donc pas d'accord parce que ça change tout (qui n'a jamais engagé une figurine avec trois de front ? ) @+ -= Inxi =-
  19. Inxi-Huinzi

    [Marienburgers] 1200 Co.

    Il dit que les arcs (long ou pas) ne sont pas là pour tuer les endurance de 4 et que GDS disait qu'avec l'argent en plus, les marienburgs pouvaient s'acheter mieux (arbalète ou mieux) pour taper les grosses endu ou juste faire plus mal. @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Bon je pensais que le dernier chapitre allait faire plus de bruit mais tout le monde semble avoir ses priorités donc je continue ! Les retardataires donneront leurs avis plus tard ! Voici la suite !! Arrivés à la montagne, les quatre se retrouvent devant les portes de l'enfer. Alors que Lieles croit Vetalas incapable de sauter avec le médaillon, il se retrouve à le regarder faire impuissant. Disparaissant droit vers sa mort, les deux autres décident de venger la mort de leur compagnon qui les affecte plus que ce qu'ils auraient pu croire. Chapitre 158 Lente fut leur descente de la colline sous le ciel couvert de constellations. Loriol et Gerheim étaient autant maussades d’avoir perdu le médaillon que l’un de leur compagnon. L’inquisiteur, quant à lui, ne s’intéressait qu’à l’objet et son abattement en sortant de la grotte s’était vite transmis au reste de ses hommes comme une maladie. Gerheim et Loriol étaient sortis les premiers et s’étaient rapidement vus encerclés par les hommes de Lieles qui étaient restés dehors en surveillance. Pourtant, alors que les deux survivants étaient clairement responsables de la perte du médaillon et qu’en plus, Loriol était celui qui avait tué son mentor, Lieles avait ordonné à ses suivants de baisser leurs armes. L’elfe n’avait pas eu l’explication qui ne vint que plus tard dans la descente. -Que s’est-il passé dans la grotte ? Demanda l’elfe au loup qui marchait en contrebas. -J’ai cru que Lieles allait se jeter dans le vide déprimé et comme on a besoin de lui pour prendre la ville, j’ai décidé de rester dans le coin. J’ai jamais vu quelqu’un aussi déçu et en colère de la perte de quelque chose. Je regrette vraiment pas que le médaillon ne soit plus là ! Lieles m’a regardé après et il m’a demandé de le tuer. L’elfe arrêta son cheval et fixa Loriol. -Je l’ai pas fait comme tu le vois, répondit l’autre en haussant les épaules et se remettant à marcher dans la colonne de cavaliers. J’ai hésité, tu imagines même pas comment ! J’ai rien dit et je suis parti avant de changer d’avis ce qui semblait arriver plutôt vite. Après je l’ai entendu crier et peut-être même pleurer mais comme j’étais bien avancé dans les mines, ça peut être un mauvais écho. Par contre il a clairement dit « Je ne peux pas me tromper ! » et « Ils n’ont pas pu changer ». Je comprends pas trop ce que ça veut dire mais depuis il fait la gueule. Gerheim sourit et poussa un peu son cheval pour prendre de la distance sur Loriol dans l’obscurité de cette nuit sans lune. Le loup savait qu’il faisait ça pour éviter les discussions quand il avait appris ce qu’il voulait. Le lycanthrope ne dit rien mais le regarda s’éloigner en retenant ses insultes. Il se changea les idées en regardant la ville au loin. En chevauchant dans les collines qui formaient le bas de la montagne, la cité apparaissait et disparaissait au rythme des descentes. La première chose qu’ils voyaient alors était les grandes tours qui ponctuaient la ville. Loriol se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir dedans car, au départ, on lui avait dit qu’il y avait des mages mais le loup n’avait pas entendu de leurs activités depuis le début de la guerre civile. Peut-être était-ce uniquement des rumeurs et que ces tours étaient vides, qui pouvait savoir ? Ils seraient normalement de retour avant le levé de jour calcula rapidement de tête Loriol. Seul, il pourrait y être bien avant mais personne ne semblait pressé de retourner dans une ville en proie à la guerre. Loriol non plus n’était pas vraiment pressé, il espérait qu’avec un peu de chance, le conflit serait terminé à leur retour. Se poserait ensuite la question de savoir ce qu’il se passerait avec Lieles. L’inquisiteur les tolérait pour l’instant dans le groupe bien que cela n’ait pas été discuté mais que se passerait-il lorsqu’il remarquerait qu’ils restaient des tueurs malgré leurs bonnes volontés et qu’il décide d’en finir une bonne fois pour toutes ? Il faudrait qu’il en touche un mot à Gerheim pour qu’ils décident ensemble. Loriol ne savait pas pourquoi mais il se sentait perdu, sans but. Depuis le début de leur aventure, il avait perçu le médaillon comme un objectif, le moyen de se racheter. Mais maintenant, il était en enfer sans même que personne ait vu ce qu’il y ait dans la boite. Elle aurait pu être tout aussi bien vide. Loriol sourit bêtement devant sa remarque tant cela pouvait être vrai. Il finit alors par se dire que, finalement, mourir dans la capitale pouvait être une bonne chose car, s’il survivait, il n’aurait aucune idée de ce qu’il pourrait faire de sa vie. Surtout qu’une partie de cache-cache permanente avec Lieles risquait rapidement de le pousser à bout. Se promettant de reporter ce débat intérieur à plus tard, l’enfant loup se mit à trottiner car les cavaliers tout de blanc vêtus se mirent à accélérer l’allure. Il était plutôt agréable de courir par le temps qu’il faisait alors car, après ces quelques mois enneigés en altitude, l’air doux de la plaine lui faisait le plus grand bien. Il ne faisait pas encore cette douce caresse du printemps mais sa constitution lui permettait de passer outre ces petits inconvénients. Le sentier qu’ils empruntaient se transforma rapidement en route puis elle se pava de plus en plus pour que, à quelques kilomètres de la ville, le convoi se transforme en véritable cirque ambulant prévenant à des kilomètres à la ronde leur arrivée. Il n’y avait pas trop de lumières nocturnes et les étoiles vaquaient à leurs occupations mais quiconque aurait jeté un œil de la muraille aurait pu les voir arriver. Cela ne paraissait pas très important quand tous les regards étaient tournés vers l’intérieur des remparts mais un œil ennemi aurait rapidement fait d’appeler des renforts. Tout en courant, Loriol vérifia que ses deux brassards étaient toujours solidement attachés puis suivit la troupe hors du sentier le long des murailles. Etant évanoui lors du passage à l’aller, le lycanthrope ne savait pas vraiment par où ils étaient sortis avec Gerheim. L’entrée se trouvait n’être, en fait, qu’un morceau de rempart troué, qui semblait avoir été taillé depuis des lustres. Le trou était assez vaste et n’avait pu être fait à la hâte ou par la force car les parois étaient lisses comme du verre remarqua Loriol. Malgré ça, il ne chercha pas à en savoir plus car il n’avait aucun moyen de savoir comment ce trou avait été fait et ce qui avait bien pu emprunter ce chemin. La ville était complètement déserte dans ce quartier ouest mais cela paraissait normal car c’était l’endroit des classes moyennes, très près des voleurs qui n’avaient pas pris parti dans le conflit actuel. Au nord se trouvait le clergé : leur destination. La troupe longea le mur intérieur. Si Loriol avait bien compris, l’armée de l’inquisiteur était partie là-bas au moment où les hommes de feu Anir avaient tenté de la prendre à revers. Ils arrivèrent en vue de la grande cathédrale et Loriol fut véritablement ébloui par la taille de l’édifice. On ne se rendait pas bien compte de la taille du monument car celui-ci était dans un coin de la ville. C’était un massif rectangle de briques rouges troué en son centre par une grande tour qui se coupait horizontalement en un autre bâtiment rectangulaire parallèle au premier et qui partageait donc la tour en deux. Devant la cathédrale, il y avait une large place entourée de colonnes et à gauche une entrée pour des jardins qui se situaient en contrebas de l’édifice religieux et qui semblait en faire le tour complet. Loriol fut véritablement respectueux de ceux qui avaient construit ça car elle devait bien s’élever à une cinquantaine de mètres de hauteur. Revenant plus terre à terre, le loup-garou remarqua les corps par centaine éparpillés ça et là. La cathédrale semblait intacte mais il n’y avait plus aucun signe des protagonistes du combat qui s’était déroulé là. Gerheim menait la troupe et avançait prudemment, les mains à portée de ses gardes d’épées. Loriol regardait tout autour de lui en essayant de trier les odeurs humaines de celles de fumée et de tripes. Il n’arrivait pas à savoir si c’était un piège ou pas. Une lance plantée entre deux pavés de la place laissa entrevoir le dessin qui figurait sur le drapeau qui y était attaché. C’était bel et bien des hommes de Lieles comme de Pietre qui gisaient là. Le combat semblait avoir éclaté au milieu de la place puis s’être dissipé progressivement aux extrémités. Loriol regarda alors la statue qui trônait au milieu de la place et se demanda qui pouvait être l’homme immortalisé dans cette pierre noire. Il n’eut pas le temps de percer les ténèbres de la nuit pour essayer d’identifier le visage qu’une série de cris s’éleva tout autour d’eux. Les colonnes parurent s’enflammer et les torches volèrent dans leur direction. Les chevaux paniquèrent tandis qu’ils furent pris pour cibles par des projectiles et qu’une série de soldats émergeaient de toute part et leur fonçait dessus. Plusieurs hommes de foi tombaient déjà transpercés ou désarçonnés. Surpris, Lieles tenta de réorganiser ses troupes par-dessus le vacarme ambiant. -Tous à la cathédrale ! Hurla l’homme debout sur ses étriers. Les hommes réussirent à surmonter leur panique et rejoindre leur chef qui lui-même rattrapait Gerheim au bas des énormes portes de bois. Loriol arriva juste à temps pour que l’elfe parvienne à dire, de façon étrangement calme, que les portes étaient verrouillées. -Ouvrez ces portes ! Cria Lieles en tambourinant de ses poings les planches de bois tandis que ses hommes créaient un cercle défensifs autour des portes et qu’une véritable armée émergeait des rues des alentours. Préparez-vous à réceptionner la charge ! Ordonna fermement Lieles à ses hommes en se retournant. Même Loriol trouvait bizarre que les chevaux doivent rester immobiles alors que c’était une force de frappe. Il les aurait fait contre-charger à sa place. Au lieu de discuter stratégie, il appliqua plutôt la sienne. Il frappa plusieurs coups sur la porte qui parut vaciller sur ses gonds comme frappée par plusieurs béliers en même temps. Le bruit fut si fort qu’il surprit tout le monde et créa un calme surnaturel pendant lequel Loriol en profita pour crier : -Ouvrez ! Y a l’inquisiteur ! Juste une seconde après, son appel fut couvert par le cri des centaines de soldats qui se motivaient à attaquer. L’intervention de Loriol fut visiblement entendue car dans les grandes portes qui s’étendaient sur cinq mètres de larges sur trois de hauteur, une plus petite s’ouvrit juste assez grande pour qu’un cheval puisse y passer en baissant la tête. Une vingtaine de pointes de lances en émergea formant un véritable barrage empêchant d’avancer. Pourtant, quand ils reconnurent Lieles, tout s’abaissa et ils purent entrer en vitesse sans échanger la moindre parole. -La voie est libre ! Lança avec précipitation Lieles à ses hommes. En avant, abandonnez les chevaux s’il le faut. Les trois premiers à entrer furent les compagnons qui purent entendre à loisir les carreaux et flèches se planter dans la porte principale. Ils regardèrent tous avec inquiétude les soldats entrer pour ne voir qu’au final, ils n’étaient que vingt guerriers et cinq chevaux. -Nous étions le double il y a une seconde ! S’écria Lieles horrifié en s’approchant des portes qu’on refermait à la va-vite. -Les autres sont restés dehors pour que nous ayons le temps de rentrer, monseigneur, dit un homme peiné en enlevant son casque et s’agenouillant devant l’inquisiteur. Lieles continua de marcher vers les portes et posa les mains dessus. Il fit un terrible soupir mais reprit sa contenance en se retournant. -Que faites-vous ici ? Demanda-t-il à ses hommes qui leur avaient ouvert. Où est l’armée ? -Nous pensions qu’elle était avec vous monseigneur, nous sommes le groupe envoyé mettre aux arrêts le grand cardinal. -Mais cela fait plus d’un jour que je vous ai envoyés là ! S’étonna l’inquisiteur. -Nous savons, monseigneur, répéta l’homme avec respect, mais cela a été plus long que prévu et nous nous sommes ensuite retrouvés coincés. -Que s’est-il passé ? Demanda curieux Gerheim qui s’attira un double regard du soldat et de Lieles qui fit néanmoins signe de répondre. -Nous sommes des hommes de foi et le cardinal est notre autorité, s’il ordonne, nous obéissons. Et il a ordonné, comme vous le craigniez monseigneur, de le laisser tranquille. Nous l’avons donc enfermé dans sa chambre et nous sommes bouchés les oreilles pour ne rien entendre. Loriol éclata de rire. -Pas vraiment dans le protocole, se moqua-t-il. L’homme continua comme si le loup n’avait jamais parlé. -Il n’y avait que peu d’hommes de Petre sur place et ils pensaient avoir la situation en main. Ils n’ont pas voulu que nous prenions possession du lieu et nous ont attaqué les premiers. Nous les avons tués et nous sommes barricadés ici en attendant que vous arriviez. -Les consignes sont-elles suivies ? Demanda Lieles à la fin du rapport. Combien êtes-vous ici ? -Oui, nous suivons les consignes, monseigneur, nous ne prenons pas partie mais attaquons ceux qui nous empêchent de faire notre devoir. Nous sommes quarante-deux soldats ici. Dix sont en train de dormir, vingt montent la garde ici et la dernière dizaine se trouve aux vitraux autour de la cathédrale pour surveiller. Que faisons-nous ? Demanda craintivement le guerrier. -Il est peut probable qu’ils tentent de forcer l’entrée, dit l’inquisiteur, ils n’ont que faire de cet endroit et de plus, tous les moyens de prendre une place forte doivent être mobilisés contre le palais. Je crains que nous devions attendre notre armée. @+ -= Inxi =-
  21. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Sympa ! Par contre est ce que la bague retire la magie aux alentours ou montre seulement ce qu'il y a de caché ? Parce que dans ce dernier cas, je vois pas ce qu'il a à craindre. Il le tue et détruit la bague. Le coup du j'ai des amis fait pas vraiment peur quand on voit que l'autre sert directement le démon. Enfin bon, ça serait peut être à préciser et pas qu'en commentaire, aussi dans le texte Pour la suite, je pense pas que ça finisse aussi facilement a voir ce que lui réserve l'autre. Tant qu'il sera pas reparti de la tour, je penserai toujours à une arnaque en perspective ! @+ -= Inxi =-
  22. Oups et tu as bien fait ! Voici les résultats ! 1 Grobelin 1 1 2 Lightsbirth 3 2 2 2 3 1 3 3 2 1 3 Celt 1 3 1 1 2 3 2 1 2 4 Fandalg 1 3 1 1 2 3 1 2 5 Enmerkar 3 2 2 6 Lord Palouf 2 3 1 1 1 1 Le classement est donc : Light : 22 Celt : 16 Fandalg : 14 Lord palouf : 9 Enmerkar : 7 Grobelin : 2 Les votes et commentaires sont inclus ! Maintenant qui pensait quoi : (y en a qui ont pas joué le jeu de s'auto critiquer !!!! Si je poste a votre place les textes c'est pas pour que vous disiez a votre tour une phrase équivalente à 'c'est le mien celui là !) Celt Bon, déjà : 1) Grobelin 2) Lightsbirth 3) Mézigue 4) Fandalg 5) Enmerkar 6) Lord Paladin Fandalg Monsieur 1 - Grobelin Monsieur 2 - Enmerkar Monsieur 3 - Celt Monsieur 4 - Mons... Madame 5 - Lightbirth Monsieur 6 - Lord Paladin Light Et qui a écrit quoi: 1. Grobelin 2. moi 3. Celt 4. Fandalg 5. Enmerkar 6. Paladin Voila bravo à tous !! @+ -= Inxi =-
  23. Ben déjà juste en vrac : -Bien relire les règles de Mordheim qui sont pleines de subtilité. Je vois que tu n'as que trois héros sur cinq possible. Ils donnent potentiellement deux dés supplémentaires durant la phrase d'exploration... -Les hommes bêtes je dis rien de particulier, peut être tu en auras moins après avoir acheté les héros (même si c'est trop tard puisque vous avez déjà fait une partie, ça sera pour une future bande) après c'est un choix au niveau de ta méthode de jeu. @+ -= Inxi, investir dans le héros =-
  24. Pas obligé de fermer ! Et content que tu l'aies pas pris mal ! Si tu te fixes sur une des deux listes t'as juste à continuer ici @+ -= Inxi =-
  25. D'accord avec GDS et Vall. Val a raison pour le fait que GDS devrait mettre des formes aussi exact soit son message et pour les commentaires suivant les bandes mais je pense pas que Lahire a un mauvais fond, c'est juste bien motivé C'est la que GDS a raison : Le fofo est pas l'endroit où réfléchir sur les bandes. Ça Lahire, il faut que tu le fasses chez toi et une fois que tu t'es fixé sur une bande tu postes pour qu'on t'aide mais tu ne mets pas tes réflexions au fur et à mesure !!! Ca ne rime a rien. @+ -= Inxi, réfléchi au coup du patron et va poster un jet ce soir =-
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