Aller au contenu

Inxi-Huinzi

Membres
  • Compteur de contenus

    2 753
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Inxi-Huinzi

    Mercenaires

    Alors premièrement remarque : Pas d'italique parce que ça fait mal aux yeux. Je les ai tous supprimés mais attention pour les passages d'après car c'est gênant. Attention aux fautes également. Il y en a de partout et je pens e qu'une bonne relecture de plus ne ferait pas de mal. Tu as le temps de bien te relire Pour le fond, j'aime bien. Je vais me concentrer sur le principe qui me plait particulièrement le plus : l'invocation des orcs. J'aime beaucoup ce principe original de naissance par invocation quand on ressent de la haine. Ensuite pour ce qui est du reste, ça reste classique et j'ai l'impression de fouilli dans les dialogues. Fais attention à ce que ça reste clair ! Suite ! @+ -= Inxi =-
  2. Pour tous, molo parce qu'on se rapproche de plus en plus du flood sur certains messages @+ -= Inxi =-
  3. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Hop ! Merci pour les commentaires et les fautes notées ! J'ai corrigé tout ça ! Par contre petite question : Quelles sont les questions que vous avez ? Parce que normalement, toutes les portes son refermées et vous avez toutes les réponses donc j'ai peut être oublié quelque chose ! Dites moi ce qu'il reste à savoir que j'oublie rien ! Alors que Loriol se repose sur le toit du bâtiment, Gerheim et Vetalas se battent contre Anir tout en cherchant le médaillon parmi les caisses d'artefacts. Chapitre 153 Vetalas regarda avec effroi Anir se diriger vers lui. Etant la seule cible visible, il devenait donc la proie. Le vampire se promit d’en toucher deux mots à Gerheim quand il le reverrait. Le nécromancien se transforma et laissa la puissance d’outre-tombe l’envahir. Il s’éleva dans la pièce et se mit hors de portée d’Anir qui s’était arrêté, comme effrayé par l’allure de la créature. -Descends de là, lâche ! -Il n’y a rien de lâche à survivre, il serait stupide pour moi de mourir en héros… Néanmoins, attaquant par surprise, le vampire plaqua ses ailes dans son dos et plongea, saisissant Anir par la taille. Vetalas sentit une morsure dans son dos et perçut son propre sang le quitter. Le mort-vivant lâcha le mercenaire qui vola seul sur quelques mètres avant d’atterrir durement sur le sol. Le vampire arracha l’épée plantée dans son dos et la lança en direction des caisses d’artefacts derrière lui. Il put ainsi voir que Gerheim avait repris ses recherches. Vetalas les lui laissait bien volontiers car il n’arrivait pas à trouver le médaillon dans ce fouillis. Même si Gerheim ne risquait pas autant sa vie que lui actuellement, il avait plus de chance de retrouver le médaillon ce qui n’importait pas car il n’était plus intéressé par l’objet. Vetalas se reconcentra sur Anir qui se relevait sans dégât apparent. Il ramassa sa deuxième lame et se mit en position défensive face au vampire qui volait face à lui. Le mort-vivant avait déjà cicatrisé mais il n’allait pas tenter la même attaque. Si Anir lui coupait la tête, tout se terminerait. Il fallait être plus malin que ça et trouver la faille qu’il y avait dans cette armure. Vetalas avait regardé pendant un bref instant le duel entre Anir et Gerheim et avait vu la résistance de l’armure quand elle tourna avec facilité carreaux et lames. Il fallait essayer de la vaincre par magie. Le vampire sortit de sa poche un petit os et incanta un sort donc les voyelles, imprononçables pour une gorge mortelle, auraient rendu fous n’importe de qui de non-préparé à une telle concentration de magie noire. Le morceau d’os grandit dans son poing d’un côté pour former une lame d’un bon mètre. Se posant au sol, le vampire était prêt à en découdre et vérifier la solidité de l’armure face à la magie. Vetalas ne laissa pas le temps au commandant de Petre de réfléchir et fut en deux pas sur lui. Le nécromancien frappa de la gauche vers la droite. Anir suivit son instinct et bloqua le coup dans l’exact mouvement opposé. Les lames s’entrechoquèrent dans un léger crissement de métal et le mercenaire le repoussa d’un coup de pied dans le genou. Vetalas trouvait que l’humain le tenait un peu trop en respect. Le noble était plus nécromancien que vampire donc plus mage que guerrier et ce, surtout parce que son deuxième père mort-vivant l’avait été. De tous les souvenirs dont il avait hérité, il n’avait aucune image de lui en train de se battre. Quelques cours d’escrime n’auraient pourtant pas été du luxe comme Vetalas le remarquait désormais. Sa rapidité surhumaine lui permettait uniquement de rivaliser avec Anir pour ne pas être ridiculisé. De plus, feu son mentor avait trouvé utile de n’étudier que les sorts de protection et d’invocation si bien que Vetalas ne pouvait rien faire d’utile. Vetalas trouvait ironique que l’autre vampire ait passé sa vie, ainsi que sa mort, à vouloir se protéger de mourir pour finir empoisonné en goûtant à Vetalas. Le noble fit semblant de porter un coup et Anir recula de quelques pas. Le mort-vivant en profita pour saisir dans une de ses bourses de la poudre d’acier et la jeta en l’air en psalmodiant. Sa peau fut parcourue de picotements et il la sentit devenir plus lourde, plus dure et plus opaque comme s’il s’était renversé de la cire dessus. Anir tenta d’attaquer en profitant de l’absence de Vetalas qui eut quand même le réflexe de lever son épée d’os. Ce geste ne fut pas suffisant car l’épée que tenait le mercenaire glissa le long de la lame de Vetalas et continua son chemin sur le bras en produisant toujours un son de métal. Le vampire était satisfait de voir que son sort avait marché et recula pour se libérer de l’étreinte mortelle car, bien que plus résistant, sa peau pouvait quand même être abîmée. S’ensuivit alors plusieurs passes d’arme ou chacun essaya de faire des dégâts à l’autre tout en sachant que chaque coup porté ne pouvait provoquer la moindre entaille. Il se passa même un instant où les deux guerriers se regardaient face à face sans rien faire, sachant pertinemment que la délivrance viendrait du premier qui recevrait des renforts. En faisant tourner Anir lentement, Vetalas put voir que l’elfe était absent et se dit alors qu’il ne serait pas le premier des deux à avoir de l’aide. Deux possibilités à cela : Soit il avait trouvé le médaillon et était parti rejoindre Loriol, soit il avait décidé de venir l’aider et il attendait le moment pour frapper. Sachant que l’entrepôt était plutôt vide, le vampire comprit que la première option était la plus valable. Comme le combat était inutile et leur faisait perdre du temps, Vetalas se prépara à s’enfuir. Quand il pensa au temps qu’il leur restait, il sut alors comment vaincre le mercenaire. En utilisant la même technique qu’il avait utilisée contre la goule peu avant. Le sort d’aliénation du temps ne marchait que sur les choses mortes ou sans âme. C’était notamment une arme redoutable contre les vampires mais Vetalas doutait en rencontrer un seul un jour. Ce sort n’aurait aucune efficacité contre Anir lui-même mais ce n’était pas sur l’homme qu’il allait le jeter. Vetalas s’envola hors-de-portée et fixa l’homme en contrebas. -A quoi joues-tu ? Maudit sois-tu ! Te tuer sera rendre un grand service à la société ! Le vampire tendit le bras et posa sa main sur son front comme il l’avait précédemment fait. La main bougea de droite à gauche et ce, de plus en plus rapidement. Vetalas murmura des paroles interdites et l’air sembla se figer et tout se dérouler au ralenti. Le silence de mort qui régnait en était effrayant. Le mort-vivant avait une main tendue à droite, parallèle au sol et fit un geste rapide jusqu’à avoir le bras en face de lui, perpendiculaire à son corps. Il y eut une longue plainte de métal émanant d’Anir qui se regarda, ne comprenant pas ce qui se passait. Une goute de sueur coula sur le front de Vetalas car l’armure était de bonne qualité et le sort demandait toute sa concentration. Le vampire refit le même geste tout en continuant de battre mécaniquement des ailes. Il y eut un nouveau son de feraille comme si on tordait un morceau de métal très résistant à froid. Anir sembla comprendre que quelque chose n’allait pas et tenta d’empêcher Vetalas de réussir son plan. Il prit son épée par la pointe et leva le bras difficilement comme s’il était trop lourd pour lui et que son armure voulait l’en empêcher. Le vampire ne s’alarma pas alors qu’Anir détendit son bras pour lancer l’arme et fit un nouveau mouvement de bras comme s’il chassait un quelconque insecte volant devant lui. Au milieu de son mouvement, le chef des mercenaires se crispa et l’épée tomba au sol. Alors qu’Anir commençait à se crisper, Vetalas fit un dernier mouvement et se posa au sol devant un commandant immobile. Gerheim sortit mystérieusement du derrière d’une colonne et s’approcha. Vetalas se demanda comment il n’avait pas pu le voir avant. -Qu’est-ce que vous m’avez fait ? S’écria paniqué Anir. Gerheim tourna autour du corps figé du mercenaire et frappa du plat de sa lame l’armure avec un regard admiratif. -Tu as rouillé ! S’amusa le vampire. Ton armure est peut-être indestructible mais elle n’est pas à l’abri du temps ! Anir, dont on ne voyait que les yeux, fit un long soupir, comme celui que pousse un condamné avant de monter sur l’échafaud. Vetalas avait eu raison, l’armure avait été montée telle qu’il était maintenant prisonnier à l’intérieur. -Que va-t-on faire de lui ? Se demanda l’elfe. Vetalas ne savait pas trop. Il ne pourrait jamais sortir de là si bien qu’il ne serait plus un danger pour personne. -Il faut le tuer, dit le vampire sombrement. Anir ne produisait plus le moindre bruit et suivait avec attention l’avenir qu’on lui réservait. -Je croyais qu’on avait laissé ce genre de comportement derrière nous, l’accusa le drow. Il est sans défense, c’est hors de question ! -Il mérite de mourir bien plus que nous.De toute manière, comptes-tu le laisser là mourir peu à peu ? Reprit le nécromancien agacé. Il ne sortira jamais de là, il va mourir peu à peu de faim et de soif ! Gerheim se tourna pour répondre plutôt au commandant de Petre. -Et toi ? Qu’en penses-tu ? -Faites ce que vous avez à faire, dit Anir d’une voix plein de fierté. Vous n’êtes rien de plus que des monstres. Gerheim ne put qu’hocher la tête devant autant de courage. -Il n’est pas très malin d’insulter ses geôliers, fit remarquer Vetalas. -Aide-moi à le mettre au sol, dit alors Gerheim. Sans poser de questions, ils mirent Anir sur le sol plus ou moins facilement mais sachant que le bras était figé derrière la tête, cela compliquait les choses. Vetalas se demanda ce que comptait faire Gerheim car la seule partie visible d’Anir était ses yeux et ils étaient derrière de si fines fentes que même une dague n’aurait pas pu enfoncer. Au pire, Gerheim allait lui crever les yeux et cela ne rentrait pas dans la définition qu’avait donnée Anir de sa mort. Vetalas tira l’elfe à l’écart par sa cape. L’autre se laissa faire diligemment. -Que vas-tu faire ? S’inquiéta le noble. -J’ai de la poudre noire, répondit l’elfe, je vais en mettre dans les fentes de son casque et le faire sauter dans son armure. Gerheim dut comprendre que ça n’avait pas été sa meilleure idée en voyant que même Vetalas faisait un visage outré et choqué. -Je m’en occupe, dit le vampire en lui tapotant l’épaule, ça se passera mieux. Il y a un sort que j’ai toujours rêvé d’utiliser. Le vampire fit quelques pas et s’agenouilla à côté d’Anir. Le noble se mit sur un matelas pour ne pas se salir les genoux. Vetalas croisa les mains sur le casque du mercenaire et invoqua. C’était un sort, ou une prière, cela dépendait du point de vue, que même le père mort-vivant de Vetalas n’avait jamais utilisé. Cela s’appelait le don de mort et ne marchait que si la personne visée était sûre de mourir ou qu’elle souhaitait en finir avec sa vie. Comme ce sort ne dépendait pas vraiment de lui, il était plutôt facile à réaliser. Vetalas se releva à la fin en attendant de voir les effets de son sort. Le nécromancien se demanda s’il ne s’était pas trompé quelque part quand une sorte de brouillard noir se matérialisa lentement entre lui et Gerheim qui le vit et recula, alarmé. Du brouillard se dessina lentement une silhouette. Ce n’était pas vraiment humain mais pourtant, cela s’en rapprochait. Vetalas était sûr que sa main serait passée au travers comme dans de l’eau s’il avait essayé de la toucher. L’invocation n’avait pas de visage mais Vetalas était sûr qu’elle le regardait et cela le mettait mal à l’aise. La forme flotta et s’arrêta juste avant Anir. -N’aies pas peur, dit une voix sinistre et froide dans sa tête, ton tour viendra bien assez tôt… La présence s’effaça en un claquement de doigts et le laissa haletant. Le brouillard enlaça Anir et l’étreignit avant de s’enfoncer et de disparaître à l’intérieur de l’armure. Ce fut ainsi la fin d’Anir qui relâcha alors son dernier soupir. Vetalas se surprit à remarquer une nouvelle fois que la mort était aussi simple que ça. C’était bien la force la plus forte du monde que rien ni personne ne pouvait arrêter. Anir avait été leur cible pendant tout leur voyage et ils l’avaient tué, comme ça, d’un claquement de doigt. Vetalas s’était laissé bercé par les contes de héros lorsqu’il était enfant mais il se rendit compte alors que la réalité était différente et qu’un coup de poignard dans une sombre ruelle pouvait tuer n’importe qui. Changeant ses pensées et oubliant la menace de la mort elle-même, Vetalas se tourna vers Gerheim. -Le médaillon ? -Avec moi en lieu sûr, répondit rapidement l’elfe. Vetalas tendit la main pour qu’il le lui remette. -On en parlera à l’hôtel, refusa l’elfe, on a pas décidé ce qu’on allait en faire. Vetalas ne dit rien mais douta de Gerheim en se demandant si sa sincérité n’avait pas été feinte pour gagner leur confiance et s’approprier la boite qu’il savait ouvrir autrement. En attendant, Gerheim était toujours là et ne s’était pas enfui et lui avait donné un moment précis où il pourrait le récupérer si bien qu’il se demandait s’il n’était pas paranoïaque. Il attrapa Gerheim et s’envola pour rejoindre Loriol sur le toit en laissant là le corps de feu Anir, commandant des mercenaires, commandant de Petre. @+ -= Inxi =-
  4. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    C'est bon pour le passage d'explications, c'est pas du flood ce genre de choses !!! Je le savais ! Enfin pas tout à fait Mais quand tu parlais du reptile à un oeil, je savais que ça pouvait pas être lui et je pensais que ça allait être la fille ! Mais non, donc je pense que le cavalier qui mène la charge ne sera d'autre que le père ! Vivement qu'on arrive la @+ -= Inxi =-
  5. http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=144138 http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=144141 Voilà les liens, les participants sont : Lord Palouf, Grobelin, Lighsbirth, Enmerkar, Celt et Fandalg ! Je ne participe pas car pas satisfait de mon texte même si je le posterai a part peut etre pour le concours 3 en première partie ! @+ -= Inxi, vous avez jusqu'à fin avril =-
  6. Pas exactement ! Elle vaut deux dés au final et pas supplémentaire ! Tu en as jeté un de trop. La phrase du texte veut pas dire : "tu jetes un dé et elle en vaut deux autres de plus" mais directement "l'augure vaut deux dés d'exploration" ! Donc au final, 4 dés à lancer ! @+ -= Inxi =-
  7. Ca a l'air de s'être bien passé ! Juste une remarque, les soeurs jetent 5 dés ce qui semble pas possible vu que deux des héros étaient morts à la fin de la partie ! Tout héros hors de combat ne jette pas de dés d'exploration ! @+ -= Inxi =-
  8. Inxi-Huinzi

    L'invocation

    Oui j'ai hésité a supprimer pour cette histoire de vote... C'est du flood pur et dur et t'es le seul à décidé mais lance pas de vote comme ça. Si jamais tu le veux, tu mets au début d'un texte et tu attends les réponses dans les commentaires des autres ! Pas de vote direct, la prochaine fois ça sera effacé ! Bon lisons cette suite maintenant : Une faute là ! Sinon c'est pas mal ce texte car on apprend plein de choses mais en contrepartie la façon dont tu l'as construit fait bizarre. D'abord, on dirait que la première partie, tu l'as écrit pour t'amuser plus que parce qu'elle est vraiment utile si bien que ça fait un peu à rallonge. Quand les soldats partent en chasse par contre, ça devient bien et l'embuscade aussi. Seul défaut suivant, la conversation enfin l'interrogatoire qui fait bizarre au niveau des phrases. Et si tu pouvais aussi rajouter des descriptions physiques des agresseurs, ça aiderait ! @+ -= Inxi, au travail ! =-
  9. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Wa. Effectivement je m'y attendais pas mais cette surprise est peut-être trop énorme. Tu avais construit pas mal de choses pour tout balayer si bien qu'on se demande vraiment où tu veux en venir. Maintenant, je sens que ça va être un affrontement père fille qu'on va avoir ! Elle tourne du mauvais côté ! @+ -= Inxi, dommage que personne ait survécu =-
  10. Bon, juste pour dire que les textes arriveront au maximum jeudi soir (je voulais faire hier mais internet pourri oblige, j'ai pas pu..) Vous allez me dire et aujourd'hui et demain ? Ben cours pour aujourd'hui et Dublin demain pour la saint patoche donc ça attendra Vous aurez jusqu'à fin avril pour commenter et voter (y a 6 textes ça devrait aller plutôt vite) @+ -= Inxi =-
  11. Je viens de regarder, si la roulotte était soumise aux règles du chariot, ça serait marqué ! Donc là visiblement ça ne l'est pas donc c'est une figurine point barre ! @+ -= Inxi =-
  12. Les zombis, je les ai tous achetés là dessus ! Les goules GWS étant pas mal ! Tu peux les resocler mais les capes prenant pas mal d'espace elles dépasseront un peu ! LE site est vraiment bien en général et la figurine que te montre GWS est sympa aussi ! @+ -= Inxi =-
  13. Perso, j'utilise ceux là : http://www.heresyminiatures.com/brethren.htm Avantage : Ils sont beaux, ils ont le look MV et en plus ils sont vendus assez nombreux. Désavantage : Le socle est plus grand que le moyenne. C'est entre un socle normal de figurine et celles de grandes figs. C'est intermédiaire. @+ -= Inxi =-
  14. N'empêche le rat ogre pourrait lancer les skavens un peu comme les trolls vont pour les gobs sur blood bowl C'est une idée à méditer tiens ! Par contre c'est vrai que la roulotte est une figurine, effectivement tu as raison même si ça paraitrait plus logique de la considérer comme un bâtiment (avec grande cible !) @+ -= Inxi, papa c'est quoi ça comme oiseau ? Rien, c'est un skaven qui vole =-
  15. Moi je la prends ^^ ! @+ -= Inxi, +1 =-
  16. GDS a raison ça transporte pas en tant que tel ! Mais peut être qu'il fait allusion a faire monter les gars dessus, comme si c'était un bâtiment, puis bouger ! Ce qui serait cohérent vu qu'il parle après de charge plongeante ! @+ -= Inxi =-
  17. Franchement, je n'ai qu'un mot à dire à Mynus et Raoul : Félicitation C'est vraiment magnifique. Je peux rien dire tellement ça rend bien ! @+ -= Inxi, carrément jaloux =-
  18. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Pour Flam, une couverture est parfaite que quand on joue le rôle correctement ! S'il avait laissé la direction à quelqu'un d'autre, il aurait été suspect ! En tout cas merci pour le commentaire en général, tu viens de me donner une idée ! Les trois sont partis sur la piste du médaillon après que Gerheim ait avoué ne plus le désirer. Arrivé à l'entrepôt en question, Loriol semble se transformer. Chapitre 152 Gerheim se pencha sur le loup en comprenant immédiatement qu’il y avait un problème. Vetalas, quant à lui, paraissait plus dubitatif et regardait Loriol comme s’il était fou. L’elfe jeta un coup d’œil vers la lune qui était encore loin d’être pleine, ce ne pouvait donc pas être une transformation. C’était pourtant les mêmes symptômes. -Loriol, qu’est-ce que tu fais ? Tu vas nous faire repérer, s’inquiéta l’elfe. Une des mains du loup s’agrandit et se couvrit de poils blancs. -Je sais pas ce qui m’arrive, dit, la mâchoire crispée, lentement et péniblement le loup à quatre pattes sur le toit. Vetalas se pencha au-dessus de la rue pour voir si le remue-ménage qu’avait commencé à créer le lycanthrope avait attiré l’attention des soldats car ce dernier respirait de plus en plus fort comme s’il s’étouffait et que chaque gorgée d’air ne le satisfaisait plus. La deuxième main atteignit alors une taille comparable à l’autre et Gerheim nota cette fois-ci les griffes qui, pouvant couper l’acier le plus dur, se matérialisèrent. -Loriol, s’alarma Gerheim. Tu te transformes ! Pourquoi ? S’écria-t-il. C’est vraiment pas le moment là ! -Personne ne nous a vus, leur dit Vetalas en revenant et en prenant une position une position similaire à Gerheim, accroupi. -Tu crois… que… je le veux… Articula Loriol. Cette odeur de combat… C’est fort… Je dois lutter… -Accroche-toi Loriol, essaya de le calmer l’elfe une main sur l’épaule. Il l’enleva bien vite ayant peur que le loup le prenne mal et tente de s’en prendre à lui le premier. Le drow lança un regard désespéré à Vetalas mais il semblait tout aussi désabusé que lui en voyant que le loup-garou prenait la forme des pleines lunes. -Ne te laisse pas faire, ajouta Vetalas avec conviction qui comprenait les ramifications qu’une telle transformation créerait. La respiration se calma et la transformation de Loriol se stabilisa. Gerheim ne vit néanmoins pas la métamorphose faire marche arrière et les traits canins avaient considérablement modifié le visage de Loriol. Le corps du loup-garou n’avait pas commencé à enfler, mis à part ses bras et ses mains, mais il ne quittait pas sa position comme en proie à un mal profond. Puis lentement, Loriol reprit forme humaine et roula sur le dos en fixant le ciel. Gerheim respira lentement en priant n’importe quel dieu que la transformation avait bien été annulée. Vetalas fit un pas en arrière tandis que le drow s’avançait pour regarder le loup aux yeux fermés. Il les ouvrit soudainement et l’elfe mit les mains un peu brusquement sur les gardes de ses épées ce que Loriol ne vit pas. Ses yeux étaient d’un vert clair semblables aux siens mais beaucoup plus lumineux, comme si c’était le soleil même qui leur conférait cet éclat. Puis, progressivement, la couleur se ternit et les yeux du loup reprirent leur teinte naturelle. -Ca va ? Fit Gerheim. -Je sais pas, répondit le loup complètement déboussolé. -A quoi as-tu joué ? Demanda Vetalas acerbe qui venait d’avoir aussi peur que l’elfe. -Je ne comprends pas, geignit le loup en s’asseyant, j’aurais pas dû me transformer… Il se prit les mains dans la tête et Gerheim imaginait comme ça devait être dur pour lui d’être dans un corps qui ne lui obéissait pas. Le loup souffla un grand coup et l’elfe se demandait si, seul, il se serait mis à pleurer. L’imaginer en action était quelque chose de complètement abstrait pour l’éclaireur qui oublia cette idée. La malédiction était un cauchemar qui rendrait fou Loriol à la longue. Cette observation ne confortait que plus Gerheim dans son idée de laisser le médaillon au loup. -Comment as-tu fait pour arrêter la transformation ? S’intéressa Vetalas qui revint près du groupe, rassuré. -C’est vous, avoua le loup sans comprendre. Il y avait quelque chose en vous que je vous ai pris, comme de la force… Il chercha ses mots. -Plutôt de l’assurance… Et avec ça j’ai lutté. Gerheim se regarda mais n’avait pas l’impression que quelque chose avait changé durant ce bref épisode. Tout ce qu’il avait ressenti à cet instant c’était une forte peur de mourir et l’envie de fuir avec l’un de ses talismans. Il se sentait le même si bien qu’il mit ça sur le compte de l’imagination du loup. Vetalas sembla en faire de même car il s’abstint de toute réflexion. -Pourquoi ne jamais l’avoir annulé avant ? Demanda de nouveau Vetalas. -Je sais pas ! Répéta l’autre. Vous êtes jamais restés auprès de moi durant une transformation, imagina Loriol. Gerheim n’allait pas le contredire. Il fallait être fou pour rester à ses côtés dans des moments pareils. S’ils étaient restés cette fois-ci, c’était uniquement parce qu’ils étaient juste à côté de l’endroit où se trouvait le médaillon et qu’ils auraient pu tuer le loup si la mission avait été compromise. -Nous allons continuer avec Vetalas, décida Gerheim. Entre tout le sang que tu as perdu et cette crise, il est mieux que tu te reposes. Attends-nous ici ! Le loup-garou hocha la tête à la grande surprise des deux autres qui s’attendaient pourtant à quelques protestations. Il devait vraiment être perdu pour accepter à tel point sa condition. Les deux restants se sondèrent mais d’un regard qui signifiait la même chose, ils décidèrent de ne pas insister. Gerheim guida Vetalas jusqu’à une sorte de longue cabane métallique percée de trous de la taille d’une fenêtre. En se penchant par l’un de ces trous, ils purent apercevoir un grand et plutôt spacieux entrepôt. C’était un des seuls des environs à avoir cette structure par laquelle ils épiaient et qui dispensait durant la journée lumière et air frais dans l’espace. Comme ils étaient au beau milieu de l’hiver, Gerheim ne savait pas si c’était réellement une bonne idée. Tout le sol de l’endroit était recouvert de matelas. Il devait bien y en avoir une centaine. Et encore, c’était car dans un coin de la pièce s’entassaient des caisses de toutes les tailles. Gerheim les désigna à Vetalas. -Le médaillon doit être là-dedans, confirma le vampire. Gerheim se pencha un peu plus pour observer les défenses. Il ne restait qu’une dizaine de soldats qui finissait de s’équiper et se préparait à partir. Ca allait être le bon moment pour commencer à fouiller les caisses. D’après le plan qu’il avait vu, cet endroit deviendrait bientôt le centre névralgique de la rébellion du quartier des entrepôts et il serait beaucoup plus dur, voire impossible, de s’introduire là. Gerheim allait faire signe à Vetalas quand un crissement d’essieux caractéristique indiqua l’arrivée d’un chariot. Le véhicule s’introduisit jusqu’au milieu de l’entrepôt. Ce dernier était occupé par deux hommes qui furent salués par le groupe de soldats qui paraissaient tous désireux de ne pas traîner dans les parages. L’elfe mit quelques instants à reconnaître la forme toute de noire vêtue. Ce n’était qu’autre qu’Anir qui était recouvert d’une armure de la tête au pied, une armure noire comme sa peau et Gerheim comprit qu’il était équipé du même matériau dont les légendes parlaient. Le drow se demanda où et combien de minerai ils avaient extrait pour arriver à équiper une armée entière. -Je vais m’occuper des caisses pendant que tu te charges d’Anir, lui dit le vampire à l’oreille. Gerheim acquiesça. Ils avaient une bonne opportunité de récupérer l’arme la plus puissante de leur ennemi et d’éliminer un des principaux, si ce n’était pas le meilleur, commandements adverses. L’elfe escalada silencieusement la fenêtre et sauta à l’intérieur pour atterrir souplement sur une poutre en bois qui soutint sans difficulté son maigre poids. Vetalas le suivit peu après. Le vampire avait adopté la forme d’une chauve-souris et volait dans un coin de la pièce pour se poser non loin des caisses. Gerheim se déplaça alors le long des poutres, contournant, sautant et évitant les morceaux de bois transversaux. Il alla se placer juste au-dessus d’Anir qu’il comptait abattre d’un seul coup. En se laissant tomber sur lui, il ferait une chute d’une dizaine de mètres mais la force du coup le tuerait net. Gerheim espérait ne pas rater sa chance car s’il le manquait d’à peine quelques centimètres, il s’écraserait sur le sol. L’elfe avait de toute manière peur que, même en réussissant son coup, il ne se fasse des dégâts irréversibles. En effet, tomber de cette hauteur n’était jamais sans risque. Quand le moment fut pratiquement optimal, Gerheim tira sa dague d’un mouvement leste et fluide. La seconde d’après, il retint sa respiration et se laissa tomber dans le vide pour se fondre avec les ombres. Il ne prit jamais réellement de vitesse et Anir se rapprocha assez vite pour que le drow arme correctement son coup. Mais, comme à chaque fois ça n’allait jamais comme il le voulait, le conducteur eut une intuition plutôt rare chez un humain car il leva la tête et vit arriver sur eux l’incarnation de la mort. -Attention ! Cria l’homme en poussant Anir. Le malheureux ne sut sûrement jamais combien ce geste fut courageux car il enleva Anir de la portée de son bras. A la place, l’elfe ne tomba que sur le fou qui reçut le coup destiné au commandant des mercenaires. La dague ne lui laissa aucune chance. Elle lui perfora la gorge et le poids entraîna les deux corps au sol. Gerheim atterrit sur l’épaule et la sentit s’enfoncer dans la cage thoracique dans un craquement sinistre. Le drow sentit la puissance du sol vibrer en lui et en fut déboussolé pour quelques secondes. L’elfe ne put que rouler sur le dos sans maîtriser son corps. Il resta immobile à fixer le plafond sans avoir le contrôle sur quoi que ce soit avant de penser qu’Anir aurait dû le tuer depuis déjà de longues secondes. Gerheim se rappela la scène en roulant sur le dos et mettant les mains sur les gardes de ses épées. Anir se relevait d’un tas de caisses qu’il avait brisées lorsque Gerheim se mit debout. L’elfe avait mal aux bras mais sa crainte que ses os aient produit le craquement précédent s’envola rapidement quand en faisant quelques mouvements d’épaules il se sentit plutôt opérationnel. L’elfe noir vit qu’Anir semblait plus contrarié que blessé et qu’il portait deux longues épées noires à la main. L’elfe fit quelques pas en arrière tandis que le chef mercenaire prenait pleinement conscience de ce qu’il venait de se passer et de la mort de son subordonné. Il comprit également qu’il ne servait à rien d’appeler de l’aide car tous étaient en ville pour l’attaque et qu’il allait être obligé de livrer un duel. Du coin de l’œil et toujours en reculant, Gerheim vit que Vetalas reprenait forme et le regardait d’un œil inquiet en voyant Anir menaçant s’avancer vers lui. Le vampire ne pourrait pas fouiller les caisses tant qu’Anir était dans les parages, l’éclaireur devait donc l’attirer à l’écart. Il n’était pas un grand combattant au corps à corps mais était sûr qu’il pouvait tenir l’homme en respect. -Tu vas regretter d’avoir fait ça, le menaça Anir. Gerheim n’avait pas le temps pour un duel épique comme toutes les grandes chansons pouvaient en faire la description. Ce dernier sortit son arbalète et la pointa sur Anir qui ne fit pas mine d’esquiver. Il continua même d’avancer en évitant farouchement les caisses et les matelas qui le séparaient de l’elfe noir. Gerheim fit feu trois fois consécutivement et le résultat fut exactement le même pour chacun des carreaux. Au lieu de se figer dans le cœur, les traits ricochèrent, ou explosèrent, contre le plastron du mercenaire. L’elfe rangea l’arme en soupirant, la légende n’était pas qu’un conte de fée… A force de rester immobile, Anir fut sur lui rapidement et arma un coup en diagonale avec ses deux épées. Gerheim interposa les siennes et bloqua l’attaque en voyant avec satisfaction ses propres épées tenir le choc. Peut-être que le matériau était résistant mais il n’avait pas d’autres pouvoirs que sa solidité. L’elfe repoussa l’homme de quelques mètres et le combat s’engagea. Gerheim et Anir enchaînèrent des passes d’armes mais l’elfe noir était bien meilleur bretteur que l’humain car chacun des coups de l’elfe noir trouvait une faille dans la garde et allait percuter l’armure. Malheureusement, comme celle-ci était proche d’être indestructible, le drow ne causait aucun dégât à l’humain qui pouvait utiliser à loisir se concentrer sur le corps de l’elfe et non pas passer son temps à parer les épées. L’elfe tourna autour de lui mais l’armure devait être aussi légère que résistante car Anir semblait libre de faire ce qu’il lui plaisait. La dizaine d’échanges de coups suivants vit Gerheim tenter de trouver un endroit du corps que l’armure ne protégeait pas. A part les minuscules fentes des yeux, il semblait emmuré vivant dans son armure noire. Toutes les articulations avaient été soigneusement arrangées pour laisser une liberté totale de mouvement et pour, dans le même temps, protéger de tout coup. Anir ne paraissait même pas se fatiguer et ne produisait d’autre son que celui qu’il faisait lorsqu’il donnait des coups puissants. Gerheim avait attiré Anir de l’autre côté de la salle si bien que Vetalas s’activait à trouver le médaillon. Ce n’était pas un véritable succès car le vampire peinait à ouvrir et changer les caisses de place pour avoir accès aux suivantes. Il prenait trop de temps et Gerheim savait maintenant qu’il n’avait aucun moyen avec lui de venir à bout d’Anir tout seul. Peut-être la force de Loriol aurait pu les aider mais il n’était pas en état de quoi que ce soit. Alors que l’elfe bloqua astucieusement deux coups horizontaux, il se souvint qu’il lui restait de la poudre et de la drogue qu’il avait trouvées sur les bateaux. Il avait vu la puissance, autant de la drogue que de la poudre, et il aurait pu essayer de faire exploser l’armure mais Gerheim se souvint qu’Anir était trop mobile pour tenter une telle chose. Il était hors de question d’essayer de jeter de la drogue par les petites fentes car l’elfe n’avait pas le temps de le mettre à cet endroit. La seule solution aurait été de jeter le paquet entier au visage du combattant mais trop de choses auraient pu faire dévier le missile de sa course. Qui pouvait savoir également comment allait réagir Vetalas lorsqu’il reniflerait la drogue. Non, il devait combattre jusqu’à ce que le mort-vivant atteigne le médaillon puis ils s’en débarrasseraient pour de bon. Gerheim se demanda s’il n’avait pas pensé à voix haute quand Anir se tourna et regarda Vetalas s’activer. Oubliant complètement l’elfe, le chef des mercenaires se mit à courir dans sa direction. L’elfe, surpris, se mit sur ses talons et lui fit pleuvoir un déluge de coups que l’autre ignora tout simplement. Seul le croche-pied que lui fit le drow le fit finir sur le sol dans un raclement de métal et d’étincelles. Le boucan tira Vetalas de sa recherche et il ouvrit des gros yeux, à quelques dizaines de mètres de là, quand il comprit qu’Anir avait décidé de changer de cible. Pendant que le mercenaire se relevait, Gerheim se fondit dans les ombres en apostrophant Vetalas d’un : -Occupe-le le plus longtemps possible, je vais faire la recherche… Se relevant en jurant, Anir se dirigea vers la seule cible visible. @+ -= Inxi =-
  19. Inxi-Huinzi

    L'iris des Ethar

    Ok ! Bon ce nouveau chapitre est un peu mou ! Enfin je dis ça sans que ça soit un défaut c'est juste qu'à part le fait qu'ils se fassent éjecter du bateau, on a pas grand-chose. D'ailleurs, je tenais dire à ce sujet que je trouve ça facile qu'ils disent toute la famille ensemble. Ca aurait été plus crédible juste la femme. Après tu aurais pu faire genre qu'ils se jettent à l'eau pour venir avec et personne tente de les empêcher ! Pour la suite, je redis à chaque fois : je sais pas comment mais ils vont avoir des problèmes et seul le père va pouvoir les aider après qu'il ait appris qu'elle est toujours en vie ! @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    Les Couloirs de Khaine

    J'adore ! Franchement c'est bien pensé même si j'avais pas eu toutes les références, j'en ai remarqué quelques unes ! Ensuite j'ai bien le ton vulgaire et dépité où on sent vraiment qu'il est perdu et résigné. Bref j'ai que du positif à dire dessus ! Je m'en vais le relire une fois d'ailleurs, je verrai peut être plus de choses @+ -= Inxi =-
  21. Devant le faible taux de réponse, je laisse une semaine supplémentaire. Si jamais ça reste pareil, le concours sera annulé ! @+ -= Inxi =-
  22. Plus que quelques heures et on est trop peu nombreux (un peu plus que quelques heures vu que j'en recevrai sûrement dans la nuit !) @+ -= Inxi =-
  23. Bon rappel que c'est demain soir que ça se termine, finissez de m'envoyer vos textes. @+ -= Inxi =-
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.