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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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Pas vrai, un héros qui survit est un héros qui fouille. Cf page 121 et quelques Tu le sais pourtant xD @+ -= Inxi =-
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Alors le sujet du concours choisi par Waz le vainqueur du précédent concours .... "Étrangers" Les règles maintenant : *Tous formats acceptés ( sauf dessin évidement ) *La non présence de votes ou de commentaires ne sera pas sanctionné ( mais leur présence bonifiée ) *Date pour rendre le sujet : 28 fev. *Toutes époques acceptées Liste des inscrits (0) : Maintenant les petites données, comme il est marqué dans le titre du post, vous avez un mois pratiquement pour rendre votre œuvre. La taille du texte devra être de trois pages words de taille 9 ( on est moins nombreux donc vous pouvez plus ) Cette taille est un maximum, pas un minimum !!! Oukonposte ses textes : En Mp pour moi Oukonposte ses votes et commentaires : Vous m'envoyez vos votes, vous ne les postez pas ! Tout le monde peut voter, même des non participants déjà. Ensuite vous faites deux classements de trois personnes dans l'ordre de vos préférés : Le premier récompense la qualité de l'écriture, le vocabulaire, l'orthographe, la cohérence totale. Le deuxième récompense l'originalité du texte, son lien avec le sujet, si les idées sont bien exploitées. Le premier a trois points, deuxième deux et troisième un. Si jamais vous faites qu'un classement, je donnerai que 3,2, 1 et non pas 6, 4, 2. Ça évitera de trop grandes différences justifiées seulement par la paresse de la réflexion. Votes, commentaires et textes me seront envoyés de façon anonyme (vous pourrez les envoyer bout par bout, je les posterai immédiatement donc ça sera facilement modifiable/stockable !) Avant chaque texte, vous aurez le droit à une petite explication ! Elle sera faite avant les commentaires et pas pendant. Elle n'est pas obligatoire, a vous de voir. Après vos votes, vous pouvez trouver (ce n'apporte pas plus de point, juste du plaisir) qui a écrit quel texte. La dernière nouveauté : C'est un concours Saga&récits. Il y aura un concours en janvier (après les fêtes) et un autre en mars. Si vous voulez faire de ce concours un saga vous le mentionnez. Pour cela il faut uniquement que vos textes se suivent d'un concours à l'autre. Vous n'avez le droit qu'à une seule absence à un concours (sinon ça fait pas de saga) Cela rapportera 4 ou 5 points (ça réduit l'originalité donc il faut compenser). Au niveau du reste, c'est exactement comme les autres. (En postant, au deuxième concours, la suite de votre 'saga' vous perdrez l'anonymat mais c'est pas grave, c'est pour le 'fun' qu'on fait ça) Vos textes n'ont pas besoin d'être des stands alone (puisque vous avez le droit à un texte d'introduction avant le texte donc vous pouvez faire un résumé) Pour tout le monde : Ce n'est pas obligatoire et même ceux qui ont dit saga peuvent dire : je fais le concours normalement, juste un texte classique ! Pour ceux qui font saga, faites un cours résumé de ce qu'il s'est passé avant en guise d'introduction. @+ -= Inxi =-
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Le problème c'est qu'il y a rien à lire dans un tactica si on dit rien de spécial. Les gens savent lire et tout ce que tu dis est évident. Ca ne fait que redire d'une autre manière ce qui est écrit. Quand il y a différence c'est bien parce que TOI tu donnes ton avis et une orientation. Donc effectivement c'est bien pour chasser les ambiguités mais ça aide pas particulièrement à faire une liste. Moi ce que je fais, c'est que je précise encore plus. Donc j'ai fait une différenciation des termes : Maintenant, on a une différenciation à faire : Explicata et Tactica. J'ai déjà changé en épinglé ça sera plus clair. Chaque explication a un avantage inconvénient mais on saura quoi attendre de la lecture ! @+ -= Inxi =-
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C'est vrai qu'il faut faire attention ! Mais on a assassin F4, deux black skaven a F4, ca fait vite mal ! JE joue vermineux avec deux armes, ça fait de la charpie tout ensemble !! Mais c'est vrai que c'est tuer avant d'être tué ! (Après initiative importante permet de réattaquer avant l'autre si bien que ça laisse une nouvelle chance) @+ -= Inxi =-
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Pas le tellement une énorme différence puisqu'au finale, tu peux avancer à 5, ce qui est plus que tout le monde pratiquement et au moment de charge, ça permet de mettre tes héros où tu veux. Vermineux de front et les héros sur un côté de l'autre bande par exemple. Même si tu veux jouer le 6, avec des couteaux tu peux bien harceler les côtés ! Tu arrêtes de le regretter dès la deuxième partie et la quatrième puisque ce sont les passages de niveau ! Donc ma préférence va toujours pour le vermineux. Les rats géants deviennent intéressant (j'ai pas dit bien) qu'à CT (deux parties). Bien d'accord ! La fronde a quand même plus un aspect psychologique : L'autre ne se déplace qu'à couvert parce qu'il se dit qu'il y a toujours une chance que ça réussisse à passer (et ça passe dès fois ! Maudites SoS !) Elles deviennent intéressant dès qu'il y a une progression de CT. Les griffes ! Y a une compétence faite pour ça @+ -= Inxi, je complète le tactica =-
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Et ben c'est pas mal tout ça ! Je commenterais plus en détail ce soir je pense mais je tenais à te faire part d'une remarque pour améliorer déjà le tout : Faire une note des compétences en fonction de celles à prendre en priorité (genre avec des étoiles !) Par exemple Dur à cuire : ***, Gladiateur *, Expert en arme **. Effectivement ça dépendra toujours de la bande et de l'orientation qu'on veut y donner ! Mais ca pourra déjà aider ! @+ -= Inxi, rendez vous ce soir pour la suite =-
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Et voici la suite les amis ! Après s'être échappés des arènes, les quatre se regroupent à l'hôtel où Vetalas leur donne des explications plutôt convaincantes sur la présence de l'inquisiteur parmi eux. Chapitre 147 Après ce moment de concertation, Loriol et Gerheim quittèrent la chambre du vampire le laissant à ses pensées. Ils s’étaient laissés jusqu’au milieu de l’après-midi pour se reposer et pour se consacrer à n’importe quelle activité pour autant qu’ils soient là à l’heure du goûter afin qu’ils puissent décider de la suite des évènements. Vetalas se prit alors un moment pour nettoyer sa saleté et pour panser ses plaies qui ne guériraient pas avant le soir. Il décida pour terminer de dormir un peu après avoir donné la consigne à Flam de le réveiller à l’heure. Le mort-vivant ne put néanmoins retenir une crise de panique lorsqu’il passa par le sauna. Cette crise avait été provoquée par le souvenir des récents évènements. Il prit conscience qu’il avait failli mourir et qu’il n’était encore là que par une chance incroyable. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits et remonter dans sa chambre. Une fois la douche prise, il s’était allongé sur son lit pour enfiler des nouveaux vêtements mais s’était endormi en une poignée de secondes. Des coups à la porte le tirèrent de son sommeil et le vampire ouvrit brièvement les yeux. Cette position lui faisant du bien et étant encore fatigué, il reposa sa tête sur le lit et se rendormit. Flam fit bien son travail puisqu’il retoqua une nouvelle fois tirant de nouveau Vetalas de ses songes. Le magicien, comprenant que l’autre ne lâcherait pas l’affaire, finit par s’asseoir sur le bord du lit et fixa le sol. Une nouvelle série de coups à la porte le fit, cette fois-ci, se lever. -Je suis réveillé ! Cria Vetalas au travers de la porte. Il lui fallut quand même cinq minutes pour s’habiller et descendre là où étaient attablés les autres. -Lieles continue de briller par son absentéisme ? Demanda le magicien en prenant place. -Ouais, répondit le lycanthrope entre deux bouchées de saucisses particulièrement juteuses qui donnèrent faim à Vetalas. -J’espère que tu as fait le bon choix en décidant de le faire venir ici… S’il décide de nous trahir, nous n’aurons pas d’échappatoire. Vetalas ne répondit pas et attaqua sa propre assiette dans laquelle il y avait de la salade. Ils n’étaient pas assez forts tous les trois pour arriver à mettre en échec Petre et ils avaient besoin d’aide. De toute manière, Vetalas pensait sérieusement que c’était tout aussi risqué que son alliance avec le loup ou l’elfe. Il risquait peut-être moins de chose puisque ce n’était pas le genre de l’inquisiteur de faire des coups tordus. -Nous devrions quand même penser à un plan bis au cas où Lieles déciderait de s’en prendre à nous, les prévint Vetalas. -Quel est le plan normal ? Demanda Loriol. -Je suppose que nous allons devoir laisser Lieles rassembler ses hommes pour qu’ils se tiennent prêts, dit Gerheim en mâchant. Pendant ce temps là, nous devons apprendre à connaître notre adversaire. -Comme quoi ? S’interrogea le loup. -Savoir ce qu’il compte faire ensuite, qui sont ses alliés, de quels moyens il dispose, les lieux qu’il contrôle… Compléta l’éclaireur. Flam passa enlever l’assiette de Vetalas pour y disposer le plat principal si bien que tous se turent pendant quelques secondes. -Je pense que la prochaine étape de son plan sera de tuer l’empereur, proposa le mort-vivant. Nous devons juste trouver comment il compte s’y prendre. -Pourquoi il l’a pas déjà fait ? Demanda Loriol. -Pardon ? -Pourquoi il ne l’a pas déjà fait ? Répéta Loriol. Il est son numéro deux pourtant ! Les occasions doivent pas manquer ! Gerheim se secoua la tête car il n’avait pas de réponses à donner. -C’est justement ça que nous devons découvrir, dit Gerheim. Quelque chose doit nous échapper ! Nous devons trouver ce qui l’en empêche et nous assurer qu’il ne puisse pas passer à l’action. Le silence se fit à table pour essayer de trouver une réponse. Vetalas savait qu’ils ne trouveraient rien mais ils auraient peut-être une piste qui les conduirait là où ils pourraient avoir une réponse. A part interroger directement Petre, Vetalas ne voyait pas comment agir. Il ne connaissait pas assez bien la ville pour savoir vers qui se tourner. -J’ai peut-être une explication… Dit une voix timide sur leur côté. Se tournant à l’unisson, ils découvrirent Flam qui nettoyait avec un torchon une assiette qui devait être depuis longtemps propre. Cela ne surprit personne de le voir là à les espionner. Personne non plus ne fit mine de le menacer pour s’être ainsi introduit dans leur conversation. -Alors tu nous espionnes ? Demanda Vetalas. Tu sais qu’il est déjà arrivé malheur à d’autres pour moins que ça ? Le Flam ne répondit rien mais ne perdit pas la force de son regard. -Parle ! Ordonna Loriol. Ils pouvaient se permettre de dialoguer tranquillement car personne d’autre n’était présent dans la salle à dîner. Flam laissa l’assiette sur un meuble et posa la serviette par-dessus le tout pour s’approcher. -D’après ce qui se dit, l’Empereur serait devenu paranoïaque et ne laisse plus personne l’approcher sans que cent de ses plus fidèles gardes ne l’entourent. Malgré cela, ses plus proches conseillers, ne comprenant pas cette peur, tentèrent de le convaincre qu’il ne pouvait rien se passer. Il a essayé l’autre soir de sortir sans son escorte mais on a essayé de l’assassiner au beau milieu de la réception ! Les trois eurent la bonne idée de ne pas se regarder sachant parfaitement qui étaient les responsables de ce fiasco. -Dorénavant, plus personne ne peut l’approcher directement et pour se débarrasser de l’Empereur, Petre doit trouver un moyen d’attirer tous ces gardes loin de là. En tant que premier des ministres, il sera le succédant à l’Empereur même s’il est l’assassin reconnu… Telle est la loi du royaume. -Remercions ceux qui sont responsables de cet attentat raté alors ! Dit Vetalas en levant sa chopine et appuyant sa remarque d’un regard aux deux autres mais surtout à Loriol pour qu’il tienne sa langue. -Et que faudrait-il pour que Petre soit mis hors d’état de nuire ? Demanda Gerheim. Flam haussa les épaules. -L’Empereur a peur sans savoir de quoi… Mettez un nom sur cette crainte et vous vous débarrasserez sûrement de lui ! Sur cette phrase, l’homme se releva et partit aux cuisines. C‘était ce qui était sans doute de mieux pour lui car cela éludait le moment de la discussion où les trois allaient se concerter pour savoir ce qu’ils allaient faire de cet homme qui en savait trop. Flam avait juste surpris leur conversation si bien qu’il se poserait de nouveau plus de questions qu’il n’aura eu au final de réponses. -Nous revoilà à la case départ, fit Vetalas. Comment pouvons-nous faire ? Je ne nous vois pas aller vers Anir et dire : Comment vas-tu ? Peux-tu venir avec nous rien que deux minutes pour aller dénoncer ton supérieur ? -Et pourquoi qu’on pourrait pas juste abandonner l’idée de remettre de l’ordre en ville pour se concentrer sur le médaillon ? Je veux dire, l’empereur peut plus être tué donc Petre peut plus être dangereux ! Ca nous regarde plus ! -J’aimerais que ça soit aussi simple, avoua Gerheim. Malheureusement, même sans qu’il soit Empereur, nous sommes toujours une menace et nous n’avons aucun moyen de retrouver le médaillon. Lieles choisit se moment là pour descendre de sa chambre. Ses yeux étaient rouges mais c’était l’unique preuve du deuil qu’il était en train de surmonter. Il s’approcha d’eux et dit : -Je vais en ville rassembler ce qu’il reste de mes hommes. Vetalas se leva pour lui faire face : -Et ensuite ? Quel est ton plan ? -Une fois mon armée rassemblée, je trouverai qui nous a envoyés à l’arène et le ferai brûler. Une fois que ça sera fait, je trouverai pourquoi le conseil de mon ordre m’a tenu éloigné et je prendrai des mesures qui s’imposent. Pour terminer, je trouverai le médaillon et me débarrasserai de vous. -Pas mal comme plan, admit Loriol. Juste la fin qui me chagrine un peu. Le loup ne dit rien d’autre et attaqua ses lardons fumés. Gerheim revint à des questions plus pertinentes bien qu’il dût lui aussi prendre note des intentions de l’inquisiteur. -Et où vas-tu rassembler ton armée ? Comment allez-vous vous déplacer sans attirer l’attention ? La ville n’offre plus de place et il sera impossible de rassembler autant de monde dans un même endroit. -Je trouverai, dit Lieles avec force de conviction. Bien, trêve de discussion, je dois retrouver mes commandants. -Sais-tu où les trouver ? Demanda Gerheim en s’essuyant la bouche pour se lever. -Oui, dit l’homme de foi avec suspicion quand il vit le mouvement. Vous ne comptez pas venir j’espère ? -Non, dit l’elfe noir, mais nous devons aussi aller en ville. Autant rester groupés le plus longtemps possible, n’est-ce pas ? -Pourquoi on doit aller en ville ? S’inquiéta Loriol qui comptait bien continuer de manger. Gerheim lui fit les gros yeux si bien que le loup haussa les épaules et continua de dévorer son repas. -Je vais chercher mes affaires, dit l’elfe. Vetalas resta là, il n’avait pas besoin de grand-chose. Il s’était reposé et il ne rêvait que l’arrivée de la nuit pour qu’il puisse se régénérer. Le temps que le drow redescende, Loriol avait abrégé la fin de son repas et était aussi prêt à partir. L’inquisiteur était près de la porte et sortit dès qu’il vit Gerheim redescendre. Alors que Vetalas s’apprêtait à suivre leur pire ennemi, l’elfe noir le retint. -Il y avait ça sur la porte de ma chambre, leur annonça ce dernier en tendant une feuille de papier au vampire. Vetalas la parcourut du regard. C’était une note leur indiquant que dans la maison de Petre se trouvait ce qu’ils cherchaient. Comme Vetalas savait que Loriol ne savait pas lire, il relut le tout à voix haute. Cela lui permit par la même occasion de vérifier si rien ne lui avait échappé. Comme il n’avait toujours pas plus de réponses, il se tourna vers les autres. -Une idée de qui a bien pu écrire ça ? Demanda le magicien. -Aucune, avoua Gerheim. Il n’y avait personne en haut et je n’ai vu aucune trace quand je suis monté. J’aime pas ça… Quelqu’un sait à propos de nous et cet indice est trop facilement gagné, ça sent le piège. -Effectivement, accepta Vetalas, mais pour l’instant, rien nous empêche d’aller jeter un œil en prenant nos précautions. -Pourquoi ne pas plutôt chercher du côté de celui qui a laissé le message ? Se demanda l’elfe à voix haute. -Parce que si quelqu’un cherchait à nous nuire, il aurait pu le faire ici, comprit le mort-vivant plus vite. Il y a forcement quelque chose là-bas qu’il n’y a pas ici. -On va voir ! Se réjouit Loriol. L’inactivité me ronge ! Ca serait pas notre premier piège et au moins on est au courant qu’on est attendu ! -Le loup a raison, concéda Gerheim. Le temps nous manque et nous ne savons pas quand Petre atteindra l’Empereur. Nous n’avons plus le loisir d’attendre une bonne occasion. -En route alors ! Lieles doit se demander ce que nous fabriquons… Acquiesça Vetalas. Sauf s’il est parti ! Ajouta-t-il en sortant dans la rue et remarquant qu’elle était vide. -Ce n’est pas grave, calma l’elfe noir. Il n’aurait fait que de nous ralentir. Qu’il s’occupe de ses affaires et peut-être que cela nous permettra de créer une diversion. @+ -= Inxi =-
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Bon ben rebelotte ! Je me rappelais de ce passage enfin de son dénouement bien qu'il ne me semblait pas que dans la première version elle soit si réticente et 'peureuse' à y aller seule ! Finalement, ça colle bien avec le personnage et j'attends vivement les premiers passages que je connais pas et que tu as pu mûrir ! @+ -= Inxi =-
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Intéressant ! Bon j'avais un chapitre de retard mais me voilà rattrapé ! Enfin chapitre pas vraiment.. Passage dirons-nous ! Bref, alors dans l'ensemble j'ai bien aimé mais je trouve rapide le fait qu'il passe par la demeure du garçon pour se trouver à Kislev juste après. Je dis pas forcement au niveau des descriptions même si j'y pense un peu mais surtout par l'aspect psychologique qui n'évolue pas du moment où il s'enfuit jusqu'à ce qu'ils attendent l'accouchement. De plus, j'aurais trouvé logique qu'ils disent au père indirectement que tout va bien... Bon voila pour mes remarques, j'attends la suite ! @+ -= Inxi =-
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Et bien ! Vous m'avez gâté ! En tout cas, ça fait pas mal de trucs à dire ! Commençons : Oui je sais bien ! J'y ai pensé sur le coup c'est pour ça que le meilleur moment c'est quand c'est le point de vue de Vetalas parce qu'on le vit de dedans. Des yeux des deux autres, c'est impressionnant mais moins parce qu'ils s'en moquent ils ne sont pas concernés ! C'est un des problèmes de tourner les points de vue sur les personnages :/ C'est tout à fait vrai ! C'est ce que j'essaye de soigner en ce moment et c'est toujours la première chose que je regarde durant mes relectures ! Mais y en a qui passe encore au travers. Non ! Parce que je sais les limites dans mon histoire ! Je lis des vraies histoires dans des livres et je suis loin mais loin d'être comme ça ! Vous êtes pas hyper nombreux à me lire par rapport à ce que pourrait faire le forum donc quand ça deviendra plus important, pourquoi pas... Mais d'ici là ! (Je sais les trucs comme lire sur un ordi c'est pas évident toussa toussa) J'y travaille petit à petit ! J'ai pas appuyé sur la touche au bon moment ! Allez l'histoire : Alors qu'ils viennent de tuer le géant, Lieles, son ami et Vetalas se retrouvent en très mauvaise posture. Loriol et Gerheim décident alors de leur porter secours. Chapitre 146 Ce fut bien plus facile à dire qu’à faire car, une fois que les cinq furent rassemblés et que les loups qui avaient servi d’escorte furent trop diminués pour continuer, les soldats comme les gladiateurs les plus récents se rassemblèrent pour faire face. Loriol et Lieles le remarquèrent les premiers et firent front à leur façon : en laissant plusieurs mètres d’espace entre eux. Les démonstrations respectives des deux premiers avaient visiblement calmé les ardeurs des chasseurs qui, même à dix contre un, ne voulaient pas mourir. Gerheim, épées aux poings, fit de lents pas de côté et s’approcha des pieds du géant d’où il serait plus facile d’escalader. Alors que tous continuaient de se faire face, un homme surgit des grilles et hurla quelque chose aux soldats. Gerheim n’entendit rien mais les menaces devaient être plus fortes que la mort car ils chargèrent tous, peur au ventre mais semblant ne plus rien avoir à perdre. -Dépêchons-nous de grimper ! Dit Gerheim en joignant le geste à la parole. En quelques bonds, il prit appui sur l’intérieur du genou puis sur le coccyx afin d’escalader le dos jusqu’au public qui s’était lancé dans une véritable mêlée générale. Heureusement, cela ne concernait qu’un seul millier de personnes, une minorité, si bien qu’ils seraient laissés en paix une fois là-haut. Loriol le suivit et fut encore plus rapidement dans les gradins. Suivant leurs recommandations, Vetalas fut le suivant à monter et fermèrent la marche Lieles et son ami. Gerheim tourna la tête de part et d’autre mais à part les cadavres que le géant avait laissés en se débattant juste avant de mourir et ceux des gardes qui avaient été balancés du dessus, il n’y avait personne. Les trois autres eurent plus de mal à monter mais Gerheim ne s’en souciait pas vraiment. Sauf pour Vetalas car c’était quand même pour lui qu’ils étaient descendus. Les deux autres pouvaient bien avoir des problèmes avec les gardes qu’il s’en moquait. Ce fut d’ailleurs ce qu’il arriva. L’inquisiteur et son ami se battaient en équilibre sur le bas du dos du géant contre les gardes qui se mirent à les harceler constamment. Les plus tenaces étant ceux avec les fouets qui avaient une allonge supplémentaire. Il était impossible pour les deux derniers de continuer l’ascension sans se faire attraper par un des maîtres esclaves. Les coups d’épées que les deux pouvaient donner ne changeaient rien et ils continuaient d’être harcelés par ces lanières aux bouts ferrés. L’ami de Lieles, dans un temps mort, tourna sa tête vers son compagnon, la hocha et sauta. Lieles eut beau crier, son instinct l’empêcha de le suivre dans cette folie. L’homme percuta une demi-douzaine de personnes ce qui permit à Lieles d’atteindre le rebord. Le courageux humain cessa de se débattre et expira à la seconde où il vit que son ami était en sécurité. -Nous devons partir ! Dit Loriol sans la moindre émotion. Gerheim était d’accord mais ne l’exprima pas tout haut. Ils ne savaient pas ce que l’arène avait encore à leur envoyer et déjà ceux en bas faisaient demi-tour dans le but de les rejoindre. Heureusement que les arbalétriers avaient été tués, pensa Gerheim, sinon ils n’auraient jamais pu arriver jusque là et auraient été criblés de carreaux dans le sable. Gerheim guida la troupe vers le haut et vers les escaliers qui leur permettaient de rejoindre le rez-de-chaussée. L’ordre de déplacement ne changea pas et Lieles resta en retrait, les yeux humides et interdits. Cette partie du plan se réalisa sans anicroche et ils purent se fondre dans la foule facilement. Comme tout le monde avait essayé de s’enfuir en même temps pour échapper à la riposte des soldats qui allaient venir, cela avait été un chaos au travers duquel les quatre tentèrent de se faufiler. Au-dessus d’eux, des archers s’étaient postés de manière à abattre tout fauteur de troubles. Comme les rues étaient trop petites pour absorber la sortie d’autant de spectateurs d’un coup, les compagnons se retrouvèrent serrés les uns contre les autres au milieu d’une foule compacte. Autant de proximité gênaient les quatre qui feignaient de s’ignorer. -Merci, lâcha Vetalas à contrecœur. Je ne sais pas pourquoi vous êtes venus, je ne l’aurais sûrement pas fait… -Tais-toi avant de nous le faire regretter, répondit l’elfe en direction du centre du carré que formaient leurs corps afin de n’être entendu que par le moins de personne possible. -Qu’est-ce qu’ils foutent devant ? Cria quelqu’un dans leur dos qui s’énervait. -Barrage ! Rétorqua une autre de personne à l’avant. Gerheim fit un mouvement de tête à droite, en direction d’une maison. Ils durent pousser et mécontenter plusieurs personnes afin d’arriver jusque là et ils eurent de la chance que Loriol fût d’humeur passable sinon le bilan aurait pu être dramatique. -Loriol, si tu veux bien nous dégager un passage… Lui demanda l’elfe en laissant de la place devant la planche de bois qui servait de porte. L’éclaireur prenait toujours soin à bien expliquer sa pensée devant Loriol car il craignait que celui-ci ne comprenne pas toujours les sous-entendus. C’était l’exact opposé de Vetalas qui, lui, comprenait toujours plus que ce que Gerheim voulait laisser signifier. Le loup-garou regarda discrètement autour de lui et posa la main au niveau des battants du haut. Il ne sembla même pas pousser que la porte craqua et tomba en avant dans la maison dans un grand bruit. La foule qui patientait là, coincée entre ces rangées de vieilles bâtisses à deux étages, laissa un cercle méfiant devant ce spectacle où néanmoins personne ne se risqua d’intervenir. Les quatre s’engouffrèrent à l’intérieur de l’édifice et Gerheim remit la porte dans le trou même si elle ne tenait désormais plus que dans un équilibre précaire. Regardant autour d’eux, il vit que l’unique pièce était vide. -Et maintenant ? Demanda Loriol le premier. -On doit rejoindre l’hôtel au plus vite, dit Gerheim. -Prenons par les toits, proposa le vampire. -Ils sont surveillés, leur apprit l’éclaireur. J’y suis passé et de toute manière nous serons quand même plus discrets en passant par le sol. -Nous devons au moins contourner le barrage qu’ils ont fait, dit Vetalas. Nous rejoindrons ensuite l’hôtel facilement, ils ne doivent pas penser que nous puissions aller aussi loin aussi vite. -Ca me va, essayons cette porte ! Proposa Loriol en se dirigeant vers l’autre accès de la pièce. Ce dernier n’était pas verrouillé et Gerheim vit s’ouvrir la porte sur une cour rectangulaire. Les murs qui la formaient ne mesuraient que deux mètres, à part le dos de la maison en face qui en formait également un, et il était facile de voir ce qu’il se passait chez le voisin. Au moins ce côté-là, il n’y avait personne car les soldats au-dessus d’eux avaient les yeux rivés sur la foule de l’autre côté de la maison. -Nous allons avancer et ressortir un peu plus loin, leur décréta Gerheim. Comme à l’accoutumée, personne ne répondit à voix haute ce qui ressemblait le plus à un accord. Lieles les suivit, s’étant contenté pendant toute la conversation de n’être qu’un témoin hagard, les yeux perdus sur le sol. Leur progression fut rapide et ils avancèrent jusqu’à arriver à un plus grand mur qui devait donner sur la rue. Gerheim savait pertinemment que Vetalas et Lieles n’étaient plus en état d’escalader des choses si bien qu’ils allaient devoir tenter la maison de la cour où ils se trouvaient. Ils n’avaient fait que trente mètres depuis la soi-disant localisation du barrage et si la maison était habitée, ses occupants auraient largement le temps de mettre leurs poursuivants à leur recherche. Gerheim poussa la porte qui s’ouvrit aussi facilement que la précédente. Comme il le craignait, la maison n’était pas vide et un homme, un vieillard visiblement, se leva inquiet et sur la défensive. L’elfe noir fut immédiatement sur lui. -Ne bouge pas, nous ne faisons que passer sauf si tu décides de pousser des cris. L’homme parut surpris et retomba sur le lit autant par peur que parce que la lame de l’épée lui caressait la gorge. Il s’allongea alors que les trois autres ouvraient l’entrée et sortaient. Une fois que tous furent dehors, Gerheim rangea son épée, rabattit sa cape et fit de même tout en prenant soin de refermer la porte. En tournant la tête à gauche, il put voir qu’une vingtaine de gardes filtrait le passage au compte-gouttes. Personne ne regardant vers eux, Gerheim rattrapa le trio qui s’échappait devant lui. Pour une fois, il n’y avait pas eu de problème put-il se réjouir. Avec l’arène, une grande partie de la population de cette partie de la ville n’était pas là et l’activité dans les rues étaient restreintes au minimum. Même les commerces étaient fermés exceptionnellement et, comme ceux-ci allaient bientôt rouvrir, ils foncèrent tête baissée sans même un regard autour d’eux. Arrivés à l’hôtel, ils marquèrent une pause. -Allez-y, dit Gerheim aux autres, je passe par derrière pour vérifier. Vetalas hocha la tête. Prudence était mère de sûreté et il serait dommage d’avoir fait tout ça pour que quelqu’un ait retrouvé leurs traces jusque là. L’elfe prit alors la petite rue à peine plus large que lui qui servait à stocker les poubelles et les ordures. L’odeur n’était pas franchement alléchante mais il pourrait le supporter autant qu’il le fallait. La ruelle menait à un petit labyrinthe d’autres ruelles et après une paire de virages, il fut en vue de l’arrière-cour que Flam balayait. Gerheim décida de ne pas se dévoiler, il n’avait pas d’explications à donner quant à sa présence de ce côté-ci de la rue. Le bruit que firent les trois dans la maison attira l’attention de Flam qui laissa son balai contre le mur et partit à l’intérieur. L’elfe noir en fit autant à quelques pas derrière lui. -Bon... oh ! S’exclama le propriétaire. Un nouveau venu ! Dois-je préparer une chambre ? Avec Vetalas et Lieles en piteux états, Flam devait mourir d’envie de savoir ce qu’il s’était passé. Malheureusement pour sa curiosité qu’il devait réprimer, les trois s’étaient préalablement assurés de son silence avec un bon paquet de pièces d’or. -Oui, lui répondit Gerheim en le faisant sursauter car il ne s’était pas attendu à ce que le quatrième soit dans son dos. -Vous pouvez utiliser la chambre au fond du couloir, il manque des serviettes mais elle est déjà prête. -Ca sera suffisant, dit Vetalas en invitant l’inquisiteur à passer devant. Le jeune humain s’y engagea, rapidement suivi des trois autres. Arrivés à l’étage en question, Lieles traversa le couloir et entra dans la chambre dont ils venaient juste de parler. Les compagnons le regardèrent faire sans protester, c’était l’heure de son deuil et il fallait de toute manière qu’ils parlent tous les trois sans que l’inquisiteur soit là. Ils entrèrent alors dans la chambre de Vetalas. Ce dernier s’assit sur son lit et défit ses chausses tandis que les deux autres préférèrent rester debout près de la porte. Le vampire se pencha en arrière en équilibre sur ses bras et les regarda. Gerheim perdit patience le premier et l’apostropha : -Alors, parle ! Dit-il sèchement. J’espère que tu as une bonne raison pour l’avoir protégé après tout ce qu’il a essayé de faire pour nous tuer. -Oui ! Rétorqua Vetalas sur le même ton en se levant et pointant l’elfe du doigt. Je vous rappelle qu’il a essayé de nous tuer au moins autant de fois que nous avons essayé nous-mêmes de nous tuer. Je ne suis pas stupide et je sais ce que je fais ! -Comme se faire enfermer dans une arène ? Lui lança à la figure Loriol. Gerheim ne dit rien mais la remarque de Loriol venait de casser parfaitement l’argumentation de Vetalas qui fixait maintenant méchamment le loup. -J’ai joué de malchance. Je ne pouvais pas savoir que Lieles allait venir tout gâcher. Mais au moins, grâce à cela, je sais comment nous allons récupérer le médaillon. -Et comment ? Le coupa le lycanthrope de façon inutile puisque le magicien allait continuer. -Avant toute chose, je dois vous dire que Lieles est au courant pour le médaillon et qu’il veut également le récupérer. -Je croyais que tu allais parler pour le défendre mais tu ne fais qu’empirer son cas, dit froidement l’elfe en baissant sa capuche, je ne vois même pas pourquoi j’attendrais la fin de ton récit pour lui trancher la gorge. -Et pourtant… Répondit rapidement le vampire. Quand nous étions enfermés, il m’a appris d’intéressantes nouvelles sur ce qu’il se passait en ville. Comme nous le supposions, Petre est bien derrière tout ce qu’il se passe depuis que nous nous sommes rencontrés et peut-être même bien avant ! Son influence engloberait les cultes puisque Lieles s’est fait gracieusement limogé alors qu’il s’apprêtait à fouiner en ville. De plus, les personnes qui étaient avec nous dans l’arène étaient toutes des personnes influentes dans les milieux politiques, intellectuels et militaires. -On dirait que quelqu’un prépare un coup d’état… Comprit Gerheim. -Je vois toujours pas pourquoi on doit épargner l’inquisiteur ! Gronda le loup. -Parce que, comme nous, il va maintenant être traqué. Ne croyez pas que nous allons être tranquilles maintenant. Petre nous voulait morts et au lieu de ça, il s’est retrouvé avec la mort de deux cents de ses hommes et une petite rébellion à mater. -Je comprends toujours pas, ajouta Loriol. Gerheim ne dit rien mais il ne savait pas encore non plus où voulait en venir le vampire. Vetalas soupira. -Si jamais Petre devient empereur, nous ne récupérerons jamais le médaillon et nous devons l’en empêcher par tous les moyens. Avec Lieles et ses hommes, nous avons un moyen de riposter. Nous pouvons trouver où se cachent les trésors et prendre d’assaut l’endroit ou même encore faire pression sur lui à tel point qu’il sera obligé de négocier. -Il y a de l’idée, admit Gerheim. Mais le problème est que même sans être empereur, il est le numéro deux du gouvernement et ses pouvoirs sont quand même illimités. -Oui mais l’empereur reste plus puissant. Les soldats lui doivent allégeance si bien que tant qu’il est en vie, Petre ne peut rien faire. Et c’est une bonne chose car je vais devenir sa cible pour m’être enfui et vous aussi pour m’avoir aidé. -Il n’est pas fou, lui dit Gerheim, tous les soldats ne doivent pas être loyaux… En tout cas maintenant, c’est lui ou nous. @+ -= Inxi =-
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En discussion ça irait pas parce que quand je recopie tout, on les voit plus ! DAns le sujet pourquoi pas mais le mieux c'est quand même dedans ! Après c'est sûr qu'on fait pas mal de travail mais ceux qui vont dans les tacticas y vont pour apprendre à jouer une bande. Si on ne fait qu'expliquer et présenter tout comme bien, ça les aidera pas franchement. Je trouverai une solution ! @+ -= Inxi =-
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Le bon vieux débat Donc ça ce n'est pas un tactica mais pas un explicata ! Je pense qu'un joueur, comme ça m'a été confirmé sur l'autre poste, cherche plutôt du travail mâché sur les choix à faire plutôt qu'une explication générale sur la bande qui n'est que de la compréhension ! Donc je pense que donner des conseils persos est une bonne chose ! @+ -= Inxi =-
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Merci à tous pour ces commentaires ! Ca fait plaisir de savoir que les gens qui ont commencé sont toujours motivés pour lire la suite de l'histoire !! Merci aussi à ceux qui sont plus discrets et qui se contentent des MP, j'apprécie vraiment ! Merci à Gemini et Silver aussi d'être aussi réguliés Pour vous récompenser, une suite ! Envoyés à l'arène en compagnie de Lieles, Vetalas fait face à des monstres de plus en plus puissants sous le regard attentif de Loriol et Gerheim. Chapitre 145 Loriol s’amusait beaucoup devant ce spectacle et s’était finalement plongé dans l’ambiance pour suivre les humeurs de la foule : criant, chantant et sautant. Comme tout le reste de la population locale, il s’était tu quand le géant avait fait son apparition dans l’arène. Il n’aurait pas aimé être à la place de Vetalas et avait presque de la peine pour lui : ça allait être douloureux. Enfin si le géant ne faisait pas comme l’araignée et qu’il ne cherchait pas à s’échapper. Heureusement, la bête à huit pattes avait fait son coup d’éclat de l’autre côté de l’arène et ils avaient été épargnés, mise à part la boule de feu qui lui avait tiré des jappements, des sensations fortes. Le géant regarda autour de lui rapidement et se dirigea vers le groupe de condamnés humains. Ceux-ci, vaillamment, passèrent à l’action et tentèrent d’attaquer le monstre. Leur technique semblait simple : attaquer aux jambes pour une mise au sol. Comme aucun d’entre eux ne lui arrivait plus haut qu’aux mollets, l’entreprise paraissait délicate. Le géant devait être assez stupide car, alors que les humains commençaient à l’attaquer à grands coups d’épées, plutôt inefficaces d’ailleurs, il resta là à les regarder en dessous de lui. Alors que la seconde d’après, passant du tout au tout, la bête gronda et tapa son torse de ses poings. Il leva le pied et l’abattit sur Lieles. L’inquisiteur eut le temps de se jeter sur le côté mais un des prisonniers que ne connaissait pas Loriol n’eut pas cette chance. Il resta dans le sol, complètement enfoncé et bien mort. La chose décida que ses pieds n’étaient pas assez influents et tapa d’un coup de massue qui rata tous les protagonistes mais qui toucha un mur de l’arène la secouant et faisant tomber les spectateurs les plus proches, tel un tremblement de terre. Cela n’eut pour effet au final que d’ouvrir une petite brèche dans le local des outils des esclaves. Le géant trouva plus agaçants ces humains qui lui tournaient autour en lui piquant les pieds que de détruire l’arène visiblement puisqu’il arrêta là son assaut. Loriol vit Vetalas bien en retrait de la scène, tournant autour du géant également mais plus pour essayer de rester constamment dans son dos que pour essayer de le prendre à revers. Concentrés sur leur survie, aucun des autres ne le réalisait ou s’en offusquait. L’inquisiteur, son ami et les six autres survivants continuaient de tenter de percer la peau solide du géant mais ne réussissaient qu’à l’énerver encore plus. Le coup de masse que le monstre porta ensuite fut plus réussi puisqu’il le combina avec son autre main. Le tronc envoya un des humains à l’autre bout de l’arène où son vol ne fut arrêté que par le sable puis le mur. La main, quant à elle, attrapa un autre individu qui vit ses cris s’abréger à l’exact moment où le poing se referma et fit craquer sa colonne vertébrale qui fut broyée sous la pression. L’étau se resserrait irrémédiablement sur les gladiateurs amateurs et Loriol tenta de déduire qui serait le prochain à mourir. Les survivants se concertèrent et le dernier humain, qui n’avait aucun lien avec les trois autres, se mit à courir au milieu de l’arène en criant et en faisant de grands gestes. Même le loup-garou comprit que c’était une diversion et pourtant, après un léger moment d’hésitation, le géant suivit celui qui s’activait et qui tentait de s’éloigner au plus vite même si les distances parcourues n’étaient pas franchement les mêmes. Lieles occupa alors le centre de l’arène pendant que Vetalas et l’autre humain se précipitaient dans la brèche crée dans le mur par le géant qui menait au petit entrepôt des esclaves. C’était un couloir qui mesurait deux mètres de haut pour autant de large dans le mur de l’arène, au niveau du sol, et qui était uniquement séparé de cette dernière par des barreaux qui quadrillaient l’espace. Ils en ressortirent rapidement avec les grandes perches munies des draps. Loriol n’avait pas vraiment compris à quoi cela avait servi si ce n’est que juste après, les boules de feu avaient fusé dans la place. Sur la vingtaine de cristaux qui entouraient l’arène, ils eurent le temps d’en cacher quatre. Le lycanthrope n’avait pas lâché des yeux les gardes qui étaient au-dessus d’eux mais ceux-ci n’avaient pas visiblement reçu l’ordre d’intervenir. Lieles fit des mouvements avec ses bras mais, non convaincu, il se rabattit vers les deux autres qui attendaient près du trou de la réserve. Le géant était encore bien occupé par l’humain qui, même acculé contre le mur, donnait du fil à retordre au monstre si bien que les trois autres eurent tout le temps de se préparer. Le militaire s’était plaqué contre le mur et esquivait adroitement les coups et repoussait les gros doigts avec la pointe de son épée. Malheureusement pour lui, il s’était condamné en s’éloignant autant et personne ne pourrait plus le sauver. Le géant était vers le milieu de l’ovale de sable si bien que Loriol le voyait plutôt bien même s’il le trouvait un peu trop près à son goût. S’il le voulait, le gigantesque animal pourrait facilement attraper des membres du public et comme Loriol était à l’endroit le plus bas des gradins, il aurait pu être l’un d’eux. Ce fut un bruit aigu qui vrilla les oreilles qui le fit se reconcentrer sur Lieles. L’inquisiteur avait retrouvé ses pouvoirs et avait décidé de s’en servir. Le loup-garou attendait que Vetalas en fasse autant mais il restait en retrait et laissait le soin à l’inquisiteur de s’afficher. Ce dernier, bien que diminué, continuait de se révéler impressionnant. Le bruit fut accompagné par un trait lumineux qui frappa l’épaule du géant alors qu’il venait enfin de tuer l’humain. Il ne resta à l’emplacement de l’impact que de la chair brûlée en forme de cercle et de la fumée. Cela l’avait blessé mais l’autre était un dur à cuire qu’on n’achevait pas aussi facilement. Lieles garda une main en l’air et l’autre tendue vers le géant qui se rapprochait en courant. Un nouveau rayon doré frappa la cible dans un même bruit effrayant. Un autre suivit puis encore un. Ce fut une demi-douzaine que Lieles invoqua en l’espace d’une poignée de secondes. Un frappa le genou gauche, deux la jambe droite tandis que le reste se perdit sur le torse et un dans le ciel. Emporté par son élan et grièvement touché aux jambes, le géant tomba en avant et s’affala contre le mur, le haut du torse et la tête sur l’estrade du public. Les trois n’eurent leurs vies sauves que grâce à l’espace qu’il y avait entre le mur et le corps de leur adversaire. Alors que le géant criait de douleur en agitant les bras dans le public fauchant des dizaines de personnes, Lieles qui était juste en dessous de lui leva les deux bras et tira à nouveau ses missiles. Ce coup-ci, l’inquisiteur visa mieux car les deux derniers rayons tirés ressortirent du dos du géant qui finit par s’immobiliser, touché à mort. Comme le monstre s’avachissait, les trois disparurent en se faufilant dans le trou du mur précédemment créé. Cela leur sauva la vie car les carreaux qui apparurent ne se figèrent que dans le monstre. Ces tirs surprirent tout le monde, Loriol le premier, et le public hua les gardes qui tentaient d’achever les trois prisonniers. La foule s’était attendue à ce qu’après cette démonstration et ce spectacle, les survivants puissent être relâchés ou du moins saufs pour le moment en attendant d’autres jeux. Plusieurs projectiles divers mais inoffensifs allèrent même jusqu’à heurter les soldats qui se faisaient de plus en plus nerveux. Pendant que l’agitation grondait dans l’arène, les trois firent pâle figure et ne ressortirent pas de la brèche. Le cadavre du géant gênait la vision de Loriol de l’autre côté de l’arène si bien qu’il ne voyait pas ce que faisaient les autres. Qui que ce soit qui gérait ces combats, il n’était pas décidé à laisser repartir les trois car tous les monstres restant furent lâchés. D’un côté de l’arène, ce fut les animaux, dont des loups, et tellement de créatures que Loriol n’arrivait pas à les identifier. De l’autre, ce fut tout ce qui était humanoïde : des nouveaux prisonniers, le gladiateur du début sans son chien ainsi que des silhouettes que le lycanthrope n’identifiait pas. Il devait y avoir près d’une centaine de choses courant sur le sable. C’était le chaos total puisque comme les trois semblaient décidés à défendre leur réserve, ce qui était tout compte fait plus intelligent, ce fut plus une mêlée générale qu’une chasse à Lieles, son ami et Vetalas. De son côté, le public continua de s’énerver et lorsqu’un garde, fébrile, ne put retenir son carreau de partir et précipiter un spectateur dans le vide, la foule contre-attaqua au mépris du danger pour venger les affronts journaliers. Les gardes n’eurent le temps de décharger leurs armes qu’une fois avant que les humains ne soient sur eux et les mettent en charpie. Pour la majorité d’entre eux, cela consista à être jetés des étages vers le bas des gradins. Loriol faillit se prendre deux gardes et d’autres spectateurs n’eurent pas sa chance et furent tués ou gravement blessés par ces corps venus d’en haut. D’autres soldats, des fantassins entrèrent dans l’arène côté avec les maîtres des esclaves qui rien que par leur présence faisaient fuir tout ennemi potentiel qui avait appris à craindre leurs fouets. Ils venaient veiller à ce que les humains lâchés juste avant se mettent bien à la rechercher des trois gladiateurs amateurs dans leur place fortifiée. -On fait quoi ? Demanda Loriol alors que la foule s’agitait autour d’eux pour venger les gens tués. Bientôt, le public allait s’en prendre à lui-même et les combats seraient généralisés. Au contraire de l’arène où, alors que les animaux se battaient entre eux, les humains avaient compris que pour que le cauchemar s’arrête les trois survivants devaient mourir. Ils étaient donc tous en arc-de-cercle autour de la brèche mais Loriol n’en voyait pas plus. Les gardes se mirent de façon à les protéger et que les animaux ne viennent pas les déranger. -On y va ! Soupira l’elfe. Allons les sortir de là ! Loriol sourit, lui aussi avait senti son malaise monter et il était en fait satisfait de se porter au secours du vampire. L’elfe noir sauta dans l’arène tout en s’agrippant astucieusement au mur qu’il utilisa pour ne pas se tuer une dizaine de mètres plus bas. Le loup-garou ne prit quant à lui pas autant de précaution car il se jeta tel quel en direction du sable tout en se transformant et en laissant sa brutalité l’emporter. Il fut le premier à toucher le sable et tua trois gobelins aux prises avec l’un de ses frères loups. Loriol hurla à la mort ce qui rassembla une véritable meute autour de lui. Gerheim restait en retrait et paraissait inquiet de savoir si on les regardait ou pas. C’était plutôt inutile puisque la foule commençait soit à vider les lieux soit à se battre. La dizaine de loups rassemblée, Loriol s’élança à quatre pattes vers les gladiateurs et les gardes tout en lançant à Gerheim un : -Occupe-toi des autres, je me charge des attaquants. Il dut paraître cruel ou effrayant car l’autre recula d’un pas, peu rassuré. Loriol ne s’en préoccupa pas et s’élança sur les humains avec ses compagnons canins. Ce n’était pas de sa faute s’il aimait la violence. Comme l’escouade arrivait de l’autre côté de la carcasse du géant, les humains ne virent arriver les bêtes sur eux qu’au dernier moment. Le cadavre du géant était à genoux, la tête dans les gradins si bien que Loriol sauta, suivi des loups, sur les mollets du géant puis d’un nouveau bond sur les soldats en contrebas. Les loups partirent du côté de la brèche et dégagèrent de l’endroit, en les attrapant au cou, les assaillants. Loriol prenait de nombreux coups d’épées mais la majorité d’entre eux ne faisait que l’écorcher et tant qu’ils ne visaient pas la tête, il n’avait rien à craindre. Mordant, frappant et griffant de tous les côtés, le loup-garou tua trois personnes avant que les gardes ne se regroupent au pied d’une des deux grandes colonnes de l’arène. Loriol calma sa fureur et alla prêter main forte à ses loups qui n’avaient pas sa force pour vaincre leurs adversaires. Comme pour les gardes, l’arrivée du loup-garou les fit tous reculer, méfiants et apeurés tandis que Lieles, Vetalas et le dernier humain enlevèrent la planche de bois qu’ils avaient mise devant le trou du mur et qui était criblée de carreaux comme de coups d’épées. Gerheim était en train de parler aux trois autres et pointait chacune de ses épées sur les humains dont il se méfiait ce qui laissa l’opportunité à Vetalas de sortir. L’inquisiteur ne fit pas de geste menaçant mais bouillonna en silence lorsqu’il vit Loriol sous sa forme animale. Même son compagnon, qui rencontrait pour la première fois la Némésis de son ami, partagea sa haine. Pourtant, ils ne tentèrent pas d’agir. Même si Gerheim devait être menaçant ainsi face à eux et en pleine forme, l’inquisiteur aurait pu les faire disparaître du monde en un geste. Loriol ne comprit pas pourquoi l’homme de foi ne bougeait pas alors qu’il avait sa vengeance à portée de main. Le loup-garou, lui, avança prudemment jusqu’à en être qu’à un seul petit mètre puis se détourna. Il était indéniable que l’autre le haïssait mais pourtant il ne tentait rien. -Pas le temps pour ça ! Fit le loup à voix haute. Vetalas comprit la méfiance et leur expliqua les derniers évènements en résumé. -J’ai beaucoup de choses à vous dire mais pour l’instant, sachez qu’il est de notre côté… Gerheim rangea ses armes. -Qu’il reste loin de moi ou de Loriol… Le loup gronda. Si Vetalas était allié à Lieles, ils devaient rester loin d’eux en attendant que les explications soient données. -Une idée pour sortir ? Demanda l’ami de Lieles tout en regardant avec crainte tous les humains qui leur faisaient face d’un côté et les animaux qui cherchaient de nouvelles cibles sur lesquelles passer leur rage de l’autre. -On va utiliser le corps du géant comme une échelle… Décréta Gerheim. @+ -= Inxi =- Edit : C'est pas la première fois qu'il utilisait ça ! Dans la forêt pour tenir les monstres à distance il utilise les loups ! En semi lycanthrope dirons nous ! Sa forme la plus puissante n'est qu'une fois par mois. Il l'utilise plusieurs fois dans l'histoire Merci pour le lien !!!
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Alors je fais une grande partie sur la forme pour te montrer que ça va vraiment pas et qu'il faut vraiment plus de sérieux dans la relecture : Y a un problème dans la phrase, le point peut être, je sais pas en tout cas ça veut rien dire ! accord Accord et je vois absolument pas le fait que la fin de la phrase implique son début ! Ok ils se battent contre l'empire quand ils voient une des villes mais en quoi ça sous entendrait qu'il y ait d'autres morts ? Accord et la phrase est mal dite. Ca serait plutôt : Le premier, ainsi que le deuxième et le troisième, avait eut lieux non loin des côtes Bretonniennes, . Y a un "qui" de trop et relis à artir du mais et trouve où est la faute ! PArce que ça veut rien dire Voilà tu te rends compte qu'il y a quand même un énorme travail encore à fournir de ce côté là ! Fais attention ! Bon passons à l'histoire : La deuxième partie est intéressante puisqu'elle va introduire beaucoup plus d'explications sur les meurtres et les possibles liens qu'ils ont les uns avec les autres. On a aussi une explication de chacun d'entre eux et les moyens dont ils disposent tous. On sait pas grand chose mais je pensais aussi aux EN mais ça a pas l'air d'être ça donc attendons... La troisième partie : On retombe sur là où on s'en était arrêté plus ou moins. Il restait juste un passage où elle apprenait sa nomination ! Bref un peu mieux que dans mes souvenirs ce passage ce qui prouve qu'y a du mieux en mieux (sauf pour l'orthographe ou y a encore des dizaines de fautes dans le passage ) @+ -= Inxi =-
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Hors de combat ! Enfin je suppose à vue de nez @+ -= Inxi =-
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Nouveau Concours récit&saga (SF/Fantastique) - Number 1
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
J'étais en train de finir mes commentaires quand j'ai vu ton message Korelion Bon mes réponses : Donc Pierre est en fait un des amis de Neldirage qui est le héros de L'ascension d'un héros comme l'un d'entre vous l'avait reconnu ! C'est une saga donc y aura peut être une suite (c'est pas mon truc les concours) mais donc vous pouvez en déduire qu'il est pas mort comme l'un d'entre vous pensait et s'en plaignait ! En tout cas, les textes étaient tous sympas et je suis content de la qualité de chacun d'entre eux et des nouveaux participants ! ( Et de O mortyr qui a voté sans participer !) Waz tu pourras m'envoyer les nouveaux sujets quand tu veux J'essaye plus les MP, ta boite est pleine depuis 9 ans. @+ -= Inxi =- -
Nouveau Concours récit&saga (SF/Fantastique) - Number 1
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Alors les voici ! Fallait juste le temps ! Waz 2 112332232 +1 +2 = 22 Celt 33112233 +1 +1 = 20 Lord Paladin 133323 +1 +1 = 17 Son of Khaine 23132 = 11 Poupi13222 +1 +1 = 11 Korelion 22111 +1 +1 = 9 Lightsbirth 122 +1 +1 =7 Fandalg311 +1 +1 = 7 Moi131 +1 +1 = 7 grobelin 311 = 5 Shas'o benoit 31 = 4 Djajerno2 = 2 Julius von drak1 = 1 Pour ceux qui ont joué le jeu de qui a fait quoi : Celt 1 Korelion ? 2 Lightsbirth 3 Inxi-Huinzi 4 Grobelin 5 Poupi ? (le dernier que j'ai placé, pas convaincu du tout ) 6 Waz ? 7 Fandalg 8 Shas'o Benoît ? 9 Lord Paladin ? 10 Julius von Drak 11 Moi 12 Djagerno ? 13 SonOfKhaine Fandalg et les auteurs potentiels (mes excuses à ceux pour qui je me suis trompé, c'est à dire certainement tous) : 1 Lord Paladin 2 Djagerno 3 Inxi-Huinzi 4 Grobelin 5 Waz 6 SonOfKhaine 7 8 Poupi 9 Shas'O Benoît 10 Julius Von Drak (pas trop dur çui'là) 11 Lightsbirth 12 Korellion 13 Celt Waz 1° ) Poupi 2° ) Lib 3° ) Inxi 4° ) Grobelin 5° ) Korelion 6° ) Moi (Oué, facile celui-là ) 7° ) Fandalg 8° ) Shas'o 9° ) Lord 10° ) Julius 11° ) Celt 12° ) Djagerno 13° ) SoK Light Après, pour ce qui est de deviner qui a écrit quoi... Je ne suis pas douée pour ça mais voilà ce que je pense: 1. Lord Paladin, 3. Djagerno, 4. Grobelin, 5. Waz, 6. Korelion, 7. Poupi, 8. Shas'o Benoît, 9. Toi?, 10. Julius van drak, 11. Celt, 12. Fandalg, 13. SonOfKhaine. Et le vrai ordre était : 1 Lord Paladin 2 Lightsbirth 3 Moi 4 grobelin 5 Korelion 6 Waz 7 Fandalg 8 Poupi 9 Shas'o benoit 10 Julius von drak 11 Celt 12 Djajerno 13 Son of Khaine @+ -= Inxi =- -
Mensuel !!! Et comme déjà dit, l'anglais dans le nom de la ville est atroce @+ -= Inxi =-
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Héhé On continue dans la lancée ! Les trois se trouvent aux arènes dans différentes postures. Loriol et Gerheim dans les tribunes et Vetalas sur la piste en train de sauver sa vie au même titre que Lieles. Chapitre 144 Vetalas se remit en garde tant bien que mal en essayant de faire abstraction des milliers de citoyens qui criaient leur mise à mort. Le vampire sourit au public en revenant vers le centre de l’arène, autant garder bonne figure devant la mort. Hors de question que les gens aient une image de lui tremblant de peur. Surtout qu’il serait normalement le dernier à mourir. Effectivement, Vetalas ne prenait pas de risque et restait soigneusement derrière Lieles et ses acolytes afin d’éviter une mauvaise rencontre. Le mort-vivant regarda rapidement le ciel en soupirant. La chance n’était pas de son côté car l’interrogatoire s’étant prolongé tard dans la nuit, il n’avait pas pu régénérer. Il avait quand même subi moins de blessures que l’inquisiteur qui s’était refusé à parler. Vetalas avait rapidement compris l’astuce et avait menti de manière convaincante. Cela n’avait pas empêché ses geôliers de continuer leurs tortures pour être sûr que c’était tout ce qu’il avait à dire. Le vampire fit jouer les muscles de son dos et regarda les grilles s’ouvrir. C’était son dos qui avait le plus souffert et la peau déchirée frottait sur ses vêtements lui tirant de petites grimaces. Des cris le tirèrent de ses pensées et le cercle de condamnés se fit plus serré. Des humains sortirent des grilles et foncèrent sur les ennemis de l’Empire. Les nouveaux venus dans l’arène ne se posèrent pas de questions et comprirent que leur survie ne dépendait que de la mort de leurs opposants. Malgré cela, quelques-uns des nouveaux, des voleurs d’après leurs habits et allures, s’attaquèrent mutuellement pour régler leurs comptes. Une fois ces gorges tranchées, ils coururent aussi vers la bande de Vetalas. Cet affrontement finit de nettoyer le rang de ceux qui ne savaient pas se battre, à sa propre exception. Les voleurs ne firent par compte par le poids face aux guerriers de la bande qui, de façon ordonnée, tinrent à distance les fripouilles avant de contre-attaquer et de les achever. Vetalas, quant à lui, ne fit pas grand-chose sinon se cacher derrière les autres comme cela avait marché lors du combat d’avant. Le public applaudit à la fin de la bataille et le magicien leva le bouclier et l’épée au ciel pour les remercier pensant que ça lui était destiné. Le groupe de dix guerriers profita de la pause pour faire de brèves présentations pendant que les esclaves nettoyaient l’arène. Ceux qui étaient morts étaient des ministres, des scribes et des intellectuels. Ceux encore en vie étaient des généraux et des officiers ayant acquis beaucoup d’influence. Lieles et ses amis se présentèrent aussi, les deux derniers se révélant être des amis de l’homme de foi autant que des commandants influents de l’ancienne armée de l’inquisiteur. Le groupe se tut quand le cliquetis caractéristique des chaînes annonça qu’une nouvelle fournée d’adversaires allait faire son entrée. Vetalas arrivait à ne plus entendre que les respirations difficiles des guerriers qui reprenaient leurs souffles ainsi que les raclements des épées que l’on nettoyaient sur les vêtements. Le magicien eut le temps de voir qu’une bagarre s’était déclenchée dans les gradins et que, après que des spectateurs se furent faits jetés des étages supérieurs durant l’affrontement, des gardes intervinrent pour isoler et mater les fauteurs de trouble. Dans le meilleur des cas, ceux-ci auraient le droit d’être à sa place, pensa le vampire avec ironie. En tournant la tête vers ses propres problèmes, Vetalas vit d’abord avec soulagement que c’étaient des humains mais se mit à les craindre quant il vit que c’étaient des gladiateurs professionnels. Ils portaient peu de vêtements mais des parties clés de leurs corps, comme leurs têtes par exemple, étaient couvertes d’armures. Le mort-vivant se concentra particulièrement sur un qu’il trouvait impressionnant. Il avait un casque de couleur doré surmonté d’une plume rouge. Il n’avait rien d’autre sur tout le corps si ce n’était un petit pagne autour de la ceinture. Deux bracelets lui serraient les poignets et l’homme maniait une sorte de grande épée qui ressemblait à une lance. Perdu dans ses pensées, Vetalas ne vit pas qu’il s’était éloigné des autres condamnés et que le gladiateur le fixait également. Le temps qu’il le remarque, il était trop tard pour se rabattre car les autres humains étaient maintenant inaccessibles et aux prises avec leurs adversaires. Effectuant une sorte de ballet de combat, Vetalas ne pouvait pas se glisser derrière eux sans risquer de prendre un coup ou de faire tuer tout le monde. Il était condamné à se battre contre l’adversaire qu’il avait repéré. Son manque de concentration allait lui coûter cher. Le vampire se mit en position en reculant lentement, peut-être qu’il pourrait retourner se cacher si une brèche se créait. Le gladiateur se mit à trottiner et mit son énorme épée sur son épaule. Vetalas retint ses jambes de ne pas trembler devant cette montagne de muscles qui avait décidé de le tuer. Le mort-vivant ne faillit jamais voir le premier coup tant la rapidité de l’homme le surprit sur les quelques derniers mètres. Vetalas fit un pas de côté et l’énorme lame se planta de quelques centimètres dans le sol. Contrairement à ce que pensa le vampire, il dégagea rapidement l’arme et effectua un coup de taille sur plusieurs mètres. Heureusement pour Vetalas qu’il réussit à reculer jusqu’à être hors-de-portée de l’individu. Cette manœuvre le conduisit malheureusement encore plus loin des autres et le gladiateur le séparait désormais de ses compagnons. Le noble pouvait quand même compter sur ses réflexes d’outre-tombe qui lui permettaient de ne pas être mis en charpie sur l’instant. Le soleil réduisait ses capacités si bien qu’il ne pouvait compter sur rien d’autre. Vetalas n’était pas doué pour le combat mais il comprit rapidement que la faiblesse de l’autre se situait au corps-à-corps. Le mort-vivant se demandait par contre s’il était intelligent de trop s’approcher car vu la taille de ses biceps, l’autre pourrait sûrement lui briser la nuque à mains nues. Vetalas attendit le coup suivant qui vint de haut en bas et tourna sur lui-même puis plongea en avant, tant pis pour la poussière. L’autre n’eut pas le temps de réagir et le nécromancien réussit à avoir ses alliés, ou tout du moins ceux qui ne voulaient pas sa mort, du bon côté de l’arène. Sans savoir si l’autre le suivait, Vetalas s’enfuit en courant sous les rires des spectateurs et poignarda l’adversaire d’un général dans le dos. Vetalas tenta de dégager sa prise mais la lame devait être coincée entre deux côtes si bien qu’il continua d’aller en avant et laissa l’épée là où elle était. Comme plusieurs combats s’étaient succédés, le mort-vivant ne pensait pas avoir de mal à retrouver un autre moyen de se défendre. Au moins, le général qu’il venait de sauver faisait face au gros gladiateur et le vampire était légèrement en retrait du demi-cercle défensif. Vetalas ramassa une petite épée en la secouant pour enlever le sable et fit un signe de la main à son rival qui venait de subir une plaie à l’avant-bras face à son nouveau combattant. Le gladiateur s’énerva et mit un grand coup de taille qui détruisit l’arme de l’humain, son torse et le sourire du mort-vivant. Le noble était de nouveau confronté à son adversaire et n’avait toujours pas de chance de le battre. Le vampire tenta de se battre plutôt que de fuir. Prenant son courage à deux mains, il tenta de harceler l’ennemi pour l’empêcher de lever son arme ou de l’attaquer avec ses grosses mains. Il savait qu’il maniait son épée comme s’il chassait les mouches mais cela avait le mérite de tenir l’autre à parfaite distance même si les spectateurs devaient maintenant se douter de son espérance de vie. Il allait surtout être en difficulté si les autres gladiateurs parvenaient à se libérer des guerriers condamnés qui avaient accompagné Vetalas. Malheureusement pour le plus musclé du lot, ses compagnons périrent face aux soldats plus expérimentés sans qu’aucun d’eux ne fasse le moindre mort. Vetalas reçut rapidement le renfort des autres alors que son avant-bras commençait à fatiguer. Le gladiateur fit de grands arcs de cercle qui maintinrent les dix guerriers à distance mais malgré sa force, l’homme se fatigua et finit par être transpercé de toutes parts. Le vampire sourit en regardant le cadavre, il n’était toujours pas mort même si d’après l’état de fatigue général, cela n’allait pas tarder. Les deux porte-voix se firent silencieux quelques minutes et l’elfe se demanda si les organisateurs de l’arène avaient vraiment prévu qu’ils survivent tous jusque là. Le vampire entendit alors les trompettes sonner de nouveau et une cohorte de soldats entra dans l’arène pour se poster contre les murets de tous les niveaux supérieurs. Visiblement, c’étaient des arbalétriers et Vetalas se demanda si après avoir tué tous les monstres de cette arène, ils allaient simplement mourir par des projectiles. Comme les militaires ne bougèrent plus, le nécromancien reprit espoir mais le perdit aussitôt lorsque la grille s’ouvrit. Une énorme araignée en sortit et tourna sur elle-même complètement déboussolée. Chacune de ses pattes mesurait la taille d’un homme et ses multiples yeux ne reflétaient que la colère. Alors que le vampire se demandait qui allait mourir en premier, la bête fit une chose folle et, d’un puissant bond de ses pattes, se propulsa directement dans l’un des étages du public. La foule se dispersa aussi vite qu’elle put mais la population était tellement serrée que l’araignée en tua une dizaine en atterrissant au milieu d’eux. Des spectateurs préférèrent tenter l’arène et se jetèrent par-dessus bord. La chute était trop grande pour la plupart qui finit par mourir quand même ou se casser tellement d’os qu’ils furent incapables de faire plus que de rester allongés dans le sable. Dans le même laps de temps, les gardes firent feu à l’unisson et une ligne noire se rejoignit sur l’araignée qui accusa une bonne centaine de carreaux alors qu’une grande partie des traits atterrissait également parmi la foule. L’araignée finit par gigoter sur le ventre et une nouvelle série de carreaux lui perça l’abdomen en une véritable carapace de traits. Il y eut moins de victimes humaines mais cela n’empêcha pas quelques tirs perdus de toucher des citoyens. Vetalas s’attendait à ce que la mascarade de spectacle s’arrête là mais plutôt que de fuir l’arène, les habitants de la ville rugirent de plaisir et semblèrent en demander plus. Les condamnés ne purent même pas se réjouir de ce déboire qu’une plateforme qui descendait dans le sol leur apprit que le répit n’allait être que de courte durée. Un mugissement, d’une vache lui sembla-t-il, fit froncer les sourcils à Vetalas. Pourtant quand la silhouette se fut extraite du sol, Vetalas déglutit et aurait pris ses jambes à son cou si seulement il y avait eu un endroit où aller. Un minotaure leur faisait face et son imposante hache à deux mains mesurait, comme son porteur, pratiquement trois mètres. L’animal mi-homme mi-bovin avait deux cornes, dont une cassée, sur le front et son horrible face de vache bavait constamment. Le monstre gratta le sol de sa patte et chargea. Vetalas ne savait pas combien pesait la bête mais elle fit trembler le sol à chaque foulée. Un ami de Lieles se dégagea et chargea la bête qui freina brusquement son attaque. -Toi ! Fit l’homme en désignant la bête. On a un compte à régler, j’ai jamais oublié ! Cria-t-il. Vetalas tourna la tête vers Lieles mais celui-ci regardait son troisième ami en quête de réponse. Personne ne semblait savoir ce qu’il se passait et quel passé commun avait les deux belligérants. En tout cas le jeune homme, qui ne portait qu’un pantalon, courut sur le minotaure qui paraissait surpris d’être chargé. La vache géante s’élança également et se rapprocha dangereusement de sa proie. L’homme s’arrêta au dernier moment et lança son épée en la faisant tournoyer. Il avait bien calculé son coup car, prit dans son élan, le minotaure ne put l’éviter et la lame lui sectionna tous les muscles du genou avant de se figer dans l’os. Le monstre ne se laissa pas abattre pour autant car il se servit de l’élan de sa chute pour frapper avec sa hache. Même si celle-ci rata sa cible, l’animal utilisa son corps comme un bélier et toucha l’homme à l’épaule. Fasciné par ce qui se déroulait sous leurs yeux, personne ne bougea pour prêter main forte à l’homme qui était étalé dans la poussière au même titre que le minotaure qui avait perdu l’usage d’une jambe. Déboussolé, le lieutenant de Lieles se redressa tandis que la bête mugissait sans chercher à se lever. L’humain ramassa deux épées qui trainaient là et se mit en quête d’achever le monstre qui ne pouvait plus fuir. Pourtant, l’hideuse créature toute noire le sentit approcher et, attrapa sa hache à côté d’elle. D’un mouvement qui avait dû demander une force incroyable, le monstre envoya sa hache comme une lance droit sur l’homme. Ce fut réalisé avec tant de force et si vite que la cible ne put l’esquiver et le compagnon de Lieles prit l’arme en plein estomac. Même si ça avait été mal lancé et que la hache avait plutôt frappé avec le manche, comme un marteau, les dégâts n’en seraient pas moins fatals. L’homme s’effondra tandis que Lieles et son ami se précipitaient en criant. Vetalas ne prit pas la peine de bouger car il avait dû mourir sur le coup, toute la zone d’impact broyée sur le coup. Tandis que Lieles achevait le minotaure qui essayait de se traîner jusqu’à des armes et tentait d’attraper l’inquisiteur pour le tuer à l’aide de ses gros bras, le troisième homme se mit au chevet de son ami, à genoux. Vetalas était triste pour lui mais son acte de courage leur avait sauvé la vie à tous… enfin temporairement en tout cas. Le vampire ne savait pas ce qu’espéraient les deux autres, ils allaient tous mourir de toute façon. Ne l’avaient-ils pas encore compris ? La foule rugissait de bonheur et le groupe de survivants commençait à devenir leur favori car les encouragements devenaient plus nombreux que les mises à mort. Le deuil à peine commencé, tous suivirent leurs instincts de survie et se concentrèrent lorsqu’un tremblement secoua toute l’arène et un cri aussi puissant que celui des spectateurs fit s’installer un silence de mort dans la place. Le sable sembla s’ouvrir en deux au milieu de l’arène si bien que les neufs derniers survivants coururent du côté gauche de l’ovale en attendant de comprendre, au même titre que les spectateurs, ce qu’il se passait. Un « oh » général de surprise ponctua la découverte. En l’espace d’un instant un géant fit son apparition. C’était une créature plutôt maigre d’une quinzaine de mètres de haut. Deux chaînes lui ceignaient les chevilles et une énorme masse, qui devait d’ailleurs être un tronc d’arbre, trônait dans ses mains. La créature portait une sorte de grande bâche marron autour de la taille et plusieurs flèches et tatouages décoraient déjà son torse. Le mort-vivant vit un cadavre dans son autre main ce qui laissait supposer que la créature ne s’était pas laissée faire dans les prisons. Vetalas se demanda vraiment si tous les arbalétriers ici présents seraient capables de vaincre une telle créature si celle-ci décidait d’en faire des siennes. En tout cas, il était désormais sûr que c’était leur dernier combat et l’issue semblait évidente. Vetalas se demanda soudainement ce que pouvaient faire les deux autres et aurait aimé qu’ils soient à ses côtés pour une fois. Gerheim et Loriol devaient sûrement dormir sans imaginer une seconde ce que les prisonniers avaient fait aujourd’hui et la façon dont ils allaient mourir. @+ -= Inxi =-
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Et bien et bien ! Je dois dire que je m'attendais pas à ce qu'ils fuient tous les deux. Je me suis dit qu'elle allait rester là (même si je voyais pas encore le coup du gamin comment ils allaient gérer) et qu'il y aurait des nouvelles péripéties quand il reviendrait ! Mais là ça chamboule ce que je pensais. Pas de défaut, la cérémonie et l'annonce qu'elle est enceinte sont bien réalisés. Ca ne demande qu'une suite ! En avant ! @+ -= Inxi, et arrête de croire que 10 000 personnes répondent au texte en récit, deux réponses c'est bien =-
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Mea culpa pour la disparition de l'autre ! Encore navré ! Pour ce deuxième extrait, je dois dire que c'est mieux qu'avant. Par contre il reste deux trois problèmes : une mauvaise gestion des temps : quand tu parles de la Lumière que filtre dans les feuillages, tu parles au présent au milieu du passé. Fais attention. Autre point, je trouve que la vitesse de lecture est trop brusque, des actions sont lentes et tu décris et juste après tu accélères ! Comme des acoups en voiture ! Faut accélérer progressivement ! Voyons où mèneront ces morts ! Suite ! @+ -= Inxi =-
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Nouveau Concours récit&saga (SF/Fantastique) - Number 1
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Vous avez plus que jusqu'à demain les jeuns ! Motivation finale ! Bonne année à tous ! @+ -= Inxi =- -
Désolé ! Pour cause de maladie hivernale, j'ai pris du retard xD Alors que Gerheim revient blessé d'un mystérieux combat en ville, Loriol part prendre des nouvelles de Vetalas alors que le drow lui a dit que celui-ci avait été arrêté. Content d'apprendre que c'est effectivement le cas, Loriol retourne se coucher car le lendemain, Vetalas et Lieles seront jetés aux arènes de la ville. Chapitre 143 Gerheim attendit prudemment que Loriol se lève. Il n'était pas franchement en état de se battre et rien qu'en se tenant debout, il sentait toutes ses plaies protester. Eleth ne l'avais pas raté et Gerheim n'avait rien pu faire. Coincé dans la ruelle sans aucune de ses épées, l'autre elfe lui avait tourné autour en jouant avec les tranchants de ses lames. Notre drow n'avait pu survivre que grâce au médaillon qui l'avait téléporté à quelques rues de là. Comme c'était lui-même qui avait volé le même médaillon à Eleth, l'autre n'avait pas pu le suivre. C'était leur première confrontation directe depuis que l'éclaireur avait compris son retour et que son ancien mentor n'avait pas été tué dans l'arche. Il avait dû en sortir dans un sale état car maintenant un masque de cuir lui voilait la face. Cette fois-ci, Gerheim irait en ville armé et préparé et enverrait aux enfers ces lois qui interdisaient à quiconque de se défendre. Il était plus dangereux pour lui d'errer désarmé que de se faire prendre par la garde. -Je meure de faim ! Annonça Loriol en s'étirant. On va prendre quelque chose à manger et on y va. Les combats peut pas commencer à l'aube Effectivement, Gerheim était allé demander à Flam, le tenancier - puisqu'il apprit enfin son nom sans apprendre par contre son origine - l'heure à laquelle commençaient les arènes et Flam avait répondu que c'était deux heures avant le déjeuner et leur avait conseillé de ne pas perdre de temps car les gens arrivaient de bonne heure. Comme il était encore tôt et que ça lui ferait du bien, Gerheim accepta la proposition de Loriol et tendit la main pour l'inviter à emprunter le couloir. L'elfe retint sa respiration quand le loup passa devant lui mais la bête ne se vengea pas pour le réveil difficile qu'il lui avait imposé. Flam leur avait laissé des fruits, du pain et des tranches de lard fumé. Gerheim prit un peu de tout et se servit un verre d'eau pendant que Loriol se rinçait la bouche à la bière. Bien qu'appréciant leur petit-déjeuner, ils ne trainèrent pas car ils ne savaient ni où aller ni comment rentrer à l'intérieur de l'arène. Ils n'avaient plus qu'une heure devant eux et sortirent de l'hôtel pour aller en direction de l'arène en question. Il leur fallut passer devant l'arène royale, qui était réellement gigantesque et sur plusieurs étages finement scultés. Elle devait pouvoir contenir une bonne centaine de milliers de personnes mais Gerheim dut abandonner l'idée de la voir de plus près car il avait encore pas mal de lieues à parcourir. Ils comprirent rapidement qu'ils se faisaient plus près de leur but lorsqu'une foule de plus en plus compacte se créa progressivement autour d'eux. Les conversations étaient excitées et s'enthousiasmaient du programme à venir qui semblait avoir été particulièrement soigné. Gerheim et Loriol tombèrent rapidement sur la queue pour entrer dans l'arène et se désespérèrent de l'attente. Les autres entrées semblaient aussi prises d'assaut si bien qu'ils restèrent sur place et patientèrent. Cela dura quelques secondes avant que Loriol ne commence à faire des allers-retours. Ils avancèrent vite sur la moitié du trajet puis la queue s'immobilisa durant près d'une demi-heure. Ça allait bientôt commencer et il semblait que l'arène était complète. Pourtant ça n'empêchait pas les organisateurs de continuer de vendre des places en serrant les spectateurs à l'intérieur. Loriol se stabilisa à côté de lui en grognant. -On pourrait facilement passer devant, proposa Loriol en serrant et desserrant les poings. -Non, le calma Gerheim, on est là pacifiquement. Nous allons y aller mais sans se faire remarquer. Tu voudrais tout rater parce qu'aux prises avec la garde ? Loriol dut convenir que non mais faillit se résigner à le faire quand une grande clameur monta des spectateurs de l'arène. Cela devait venir de commencer. Il leur fallut néanmoins trente minutes de plus pour entrer après avoir payé docilement leur place. Une fois passées les premières arches, deux escaliers montaient à gauche et à droite. On leur indiqua celui de gauche et ils durent monter au premier étage sans pouvoir aller plus haut. La vue n'était pas la meilleure mais ils seraient au moins près du spectacle. L'arène se découvrit devant eux dans un vacarme croissant. Ils virent d'abord les étages supérieurs véritablement bondés puis toute l'arène devant laquelle ils se figèrent quelques instants. C'était impressionnant et cent mille personnes criant leurs encouragements dans cet ovale parfait leur fit monter des frissons dans le dos. Il n'y avait pas d'espaces réservés aux plus riches bien que, dans l'une des tribunes, des hommes tout de rouge vêtus encadraient une vingtaine de personnes pour leur laisser de l'espace. N'ayant d'autre choix que de descendre les marches devant eux pour trouver de la place, Loriol et Gerheim durent se plaquer debout contre le muret de pierre de leur tribune. Celui-là même qui donnait sur la grande arène de sable. Dans cet espace beige, on pouvait voir quatre trappes de bois fermées et deux colonnes de pierre à chaque bout. Pour l'instant, c'étaient des cavaliers qui assuraient le spectacle en démontrant par des jeux leurs talents. Gerheim trouvait ça moins intéressant que les jeux dans les arènes de l'arche. Mais effectivement, ici, personne d'innocent n’était sacrifié ce qui était peut-être mieux, pensa-t-il. Gerheim relativisa cette dernière pensée car c'était seulement l'introduction de la journée et, d'après la vitesse du procès de Vetalas, il n'était pas sûr que toutes les personnes qui allaient défiler aujourd'hui étaient vraiment coupables de quelque chose. Loriol gigota et appuya ses deux bras sur le muret tout en regardant juste en dessous de lui l'escouade de chevaux qui passait. C'était ennuyeux et Gerheim regarda sans vraiment regarder jusqu'à ce que les applaudissements le tirent de ses pensées. Il n'avait pas remarqué que son étage était maintenant aussi plein que les autres et qu'il était plaqué contre le muret par des spectateurs juste derrière lui qui essayaient de voir sur la pointe des pieds ce qu'il se passait. L'avantage de leur place, même s'ils n'étaient pas assis, était de n'avoir personne devant eux. Le loup se retourna en montrant les dents et poussa ceux qui le bloquaient. Les hommes comprirent et tentèrent de ne plus s'appuyer sur le loup mais ils étaient tellement nombreux à cet endroit que les humains n'eurent d'autres choix que de reprendre leur position contre Loriol à cause d'une poussée inverse. Les deux compagnons se jetèrent un regard lourd de sous-entendu et soupirèrent en se résignant à cette position. Gerheim regarda brièvement derrière lui et vit que certains spectateurs des tribunes du deuxième étage prenaient un malin plaisir à lancer des objets sur ceux du dessous. Heureusement pour eux, l'elfe noir n'était pas à leur portée. Quand les cavaliers quittèrent le lieu, ce fut au tour de deux hommes et deux molosses d'entrer. Ils vinrent par deux côtés opposés et sans sommation s'élancèrent l'un vers l'autre. Deux hommes parlaient à l'unisson dans chaque tribune latérale dans de grandes trompettes pour présenter les combattants mais la foule semblait les connaître car un grand chœur s'éleva et couvrit leurs paroles. Les chiens gagnèrent rapidement de la vitesse et entrèrent en collision un peu avant le milieu de l'arène, du côté de Gerheim. Le premier était un gros chien noir de la tête à la queue tandis que l'autre était bien moins large mais beaucoup plus haut et tacheté de brun. Le plus petit prit rapidement l'avantage en tournant et harcelant l'autre qui n'avait qu'un unique angle d'attaque vers le bas. Deux coups de dent mordirent le vide et le gros réussit un coup de truffe qui fit rouler l'autre chien sur le dos. Le temps de ces quelques échanges, les deux hommes s'étaient rejoints. Le premier, celui du grand chien, avait un grand fléau qu'il faisait déjà tourner au-dessus de lui et l'autre, armé d'un bouclier et d'une épée se mit en position défensive. Ce dernier, au moment où l'autre abattait son coup, fit un pas de côté rapide et le fléau ne réussit même pas à l'effleurer. Gerheim vit nettement qu'il aurait pu planter son épée dans les flancs exposés de son adversaire mais il se contenta d'un nouveau pas défensif. L'elfe noir soupira, c'était du spectacle... Même s'il avait pu gagner, le gladiateur préférait donner au public l'illusion d'un grand combat. Le drow ne prit pas le même plaisir à regarder la suite. Celui au bouclier perdit le soutien de son animal, blessé à une patte, mais ne le remarqua que lorsque le grand chien fut en train de sauter. Il détourna l'animal du bouclier et réussit à le propulser dans les jambes de son rival. Les deux compagnons tombèrent au sol et celui à l'épée planta son arme au travers du chien et cloua l'autre gladiateur au sol de l'arène, trempant le sable de son sang. L'homme leva les mains au ciel et se dirigea victorieux vers son côté tandis qu'une équipe d'esclaves traina le blessé, ou le tué, Gerheim ne savait pas, vers une autre sortie. Les hommes qui entrèrent ensuite avaient des grandes capes multicolores et les gens autour de lui retinrent leur souffle. Des nouveaux esclaves entrèrent en courant derrière eux avec de grandes perches surmontées par des grands morceaux de tissus. -Ils couvrent les cristaux d'antimagie ! S'exclama un homme en pointant les mains vers l'arène. Gerheim haussa les épaules pour dégager ce bras inopportun. L'elfe noir vit alors pour la première fois ces cristaux blancs disposés tout autour de l'arène dans les murets du premier étage. Il put donc remarquer qu'il y en avait un juste en-dessous de lui et se demanda s'il pouvait en attraper discrètement. Comme c'était à quelques mètres, il oublia l'idée. Un esclave se présenta et mit rapidement le tissu par dessus ces cristaux aussi grands que des têtes humaines. Les esclaves eurent à peine le temps de s'écarter que le combat magique commença. Gerheim fut étonné par la rapidité de ce qui se déroula sous ses yeux. Sur les dix mages présents, quatre furent assez rapides pour lancer autant de boules de feu, trois autres purent lancer des éclairs et les autres restèrent passifs, surpris. Sur les boules de feu, trois touchèrent avec succès leurs cibles et les enflammèrent instantanément. La dernière boule enflammée se perdit droit en dessous de Gerheim et explosa contre le mur projetant une vague de flamme vers le haut. Tous les spectateurs se jetèrent en arrière et le drow en fit autant. Les flammes léchèrent le vide qu'il avait laissé et s'évaporèrent dans une irruption de chaleur. La foule poussa un grand cri de joie devant le spectacle et l'elfe se replaça rapidement contre le muret avant d'être piétiné. Deux des esclaves qui n'avaient pas fui assez vite n'étaient plus que des cadavres noircis dans l'arène. Sept sorciers étaient morts dans cette première vague de combat et l'elfe vit qu'un des trois passifs s'étaient à priori bien protégé magiquement contre les attaques des autres. Ce dernier tendit les mains sur les deux adversaires restants et forma deux traits magiques en une poignée de secondes. Les traits prirent une vitesse ahurissante et s'étendirent pour prendre la forme de lance. Les deux autres furent perforés sans avoir le temps d'articuler le moindre mot. La foule applaudit cette fin de combat et ne s'arrêta que lorsque l'homme eut fait un tour pour les saluer et que de nouveaux esclaves avaient nettoyé l'arène et enlevé les bâches des cristaux d'antimagie. Gerheim ne comprenait pas pourquoi ces gladiateurs aimaient cette profession et ne cherchaient pas à s'évader. Il aurait été facile pour les mages de faire des centaines de morts mais ils avaient préféré donner du spectacle aux citoyens. Ce n'était pas comme ça que la magie allait se populariser. Gerheim trouvait assez divertissant ces combats et le suivant ne les déçut pas non plus. Un groupe d'humains, des voleurs d'après ce que comprit Gerheim des porte-paroles, affrontaient une bande de loups. Loriol fut d'abord assez crispé et désapprouva le traitement de ses amis canins mais le drow, lui, vit que les voleurs n'avaient que des dagues et qu'ils allaient se faire massacrer. Ce fut ce qu'il se passa puisqu'un seul des dix hommes réussit à poignarder aux flancs un des six loups. La blessure ne sembla même pas le gêner puisqu'il croqua l'humain qui n'était pas mort sous la première morsure. Loriol sembla se relaxer et des gouttes de sueur coulaient sur son front. Une fois le dernier humain tué, les loups se couchèrent face au loup-garou. Gerheim plissa les yeux et se tourna vers Loriol pour savoir ce qu'il avait fait. Comme il ne pouvait pas lui demander directement, il se promit de découvrir, plus tard et si l'envie restait, si l'homme-loup avait vraiment aidé ses congénères. Les deux annonceurs clamèrent ensuite qu'une nouvelle vague de prisonniers allait être lâchée pendant que les loups étaient appâtés hors de l'arène. Loriol hoqueta bruyamment en voyant les nouveaux gladiateurs entrer. Gerheim en fit de même, à sa manière, en crispant ses mains sur le muret. Enfin étaient lâchés ceux qu'ils attendaient. Ils étaient parmi une foule diverse et variée mais à priori de haute naissance car ils avaient tous le port altier des gens supérieurs. Vetalas et Lieles étaient également les deux plus mal en point de la bande et, visiblement, l'inquisiteur était le plus amoché. Du moins, c'était ce qu'il déduisit de cette distance car de sa position, ils étaient à peine plus grand que la phalange de son pouce. L'interrogatoire qu'ils avaient subi la veille avait dû être éprouvant mais ce qui était réellement inquiétant était que Vetalas n'avait pas régénéré depuis lors... Cela pouvait ne signifier que deux choses : soit la fin des tortures avait eu lieu peu de temps auparavant, soit quelque chose avait bloqué la régénération du vampire. Gerheim conclut que cela devait être les cristaux de magie car sinon, cela supposait que quelqu'un avait privé Vetalas de ses pouvoirs connaissant sa nature réelle. Le drow fut sorti de ses pensées par un geste étrange. Après avoir caché leurs yeux de l'éclat du soleil, deux des prisonniers coururent vers Lieles et s'agenouillèrent devant lui. Gerheim n'entendit pas ce qu'il se disait mais Vetalas, juste à côté de l'inquisiteur qui semblait d'ailleurs un peu trop pacifique à son égard, parut poser une question sur cette étrange manifestation et Lieles lui répondit quelque chose. Pendant ce temps, les prisonniers avancèrent dans l'arène à des degrés divers mais restèrent tous plutôt assez groupés. Armés d'épées courtes et de boucliers fendus, ils attendaient de voir ce qu'on leur avait réservé. Ils étaient une vingtaine à avoir les yeux rivés sur les grilles. Elles s'ouvrirent doucement et deux rugissements puissants arrêtèrent les respirations des spectateurs pendant une seconde. Deux ours noirs gigantesques entrèrent de chaque côté. Gerheim fut véritablement surpris car c'était de loin les plus grosses créatures qu'il ait jamais vues. Chacune des deux bêtes mesurait une fois et demi un animal normal. Un des deux servants de Lieles cria quelque chose et se précipita vers l'ours qui se situait à leur droite. L'elfe noir était presque sûr de connaître cet homme et il se demanda si ce n'était pas le bras droit de l'inquisiteur. En tout cas, cette réaction suffit à convaincre les autres que c'était mieux d'en tuer un avant de s'attaquer à l'autre. Gerheim se pencha légèrement par dessus le muret pour voir que l'ours qui n'était pas attaqué ne venait pas en renfort de l'autre ce qui les aurait pris en étau. Beaucoup trop loin pour qu'il puisse bien voir, Gerheim ne vit qu'un des deux hommes qui mourut. Celui-ci se prit une claque de l'impressionnant ours et tomba comme une poupée désarticulée. Tous les prisonniers se dirigèrent ensuite vers le deuxième animal sous les huées des spectateurs qui désiraient les voir mourir. Plus l'elfe regardait avancer la troupe, plus il était persuadé que certains devaient avoir été soldats. Les comportements, les regards et les positions ne trompaient pas. A l'opposé de l'autre moitié des prisonniers, dont Vetalas, qui tenait mal leurs épées et dont les pointes raclaient le sol lorsqu'ils couraient. Le vampire restait soigneusement derrière tandis que Lieles et ses deux amis faisaient un bouclier juste devant. Gerheim n'arrivait pas à savoir si cette protection était voulue ou c'était involontairement qu'ils fournissaient une couverture au magicien mort-vivant. Les autres prisonniers étaient disposés en tirailleurs autour d'eux mais l'éclaireur vit nettement que ceux qui savaient manier l'épée restaient plutôt au centre de l'arc de cercle pour se couvrir mutuellement. Quatre de ceux qui ne savaient pas se battre moururent pour le bien de la communauté restante. Ils tentèrent de tuer l'ours mais ne firent que l'énerver et attirer son attention. Deux périrent de membres arrachés, le troisième d'une morsure à la gorge et le dernier par étouffement quand les guerriers vinrent à bout de la bête et qu'elle tomba sur le malheureux. Content du spectacle, les habitants applaudirent. Son qui fut rapidement remplacé par un hoquet de stupeur quand les annonceurs déclarèrent que Petre et l'Empereur avaient expressément demandé que ces prisonniers restent dans l'arène jusqu'à ce que mort s'en suive. Les gladiateurs improvisés se rassemblèrent au milieu de l'arène pour éviter d'être trop près des portes quand celles-ci s'ouvriraient et pour discuter du moyen de tenir le plus longtemps possible. Gerheim comprit qu'étaient là uniquement des ennemis politiques et que ceux-ci allaient teinter de rouge le sol de la place. Il n'était guère possible que les gladiateurs épuisent le stock de créatures et qu'ils restent en vie, faute de mieux. Ils eurent néanmoins un peu de répit le temps que les esclaves dégagent en tirant les corps des deux ours. Gerheim se demandait bien ce que pouvait penser le vampire dans cette situation. Savait-il que ses deux compagnons se trouvaient dans le public ? Cela ne paraissait guère probable. A sa place, l'elfe aurait été désespéré de savoir que sa mort n'était qu'une question de temps et que personne ne pouvait, ni ne voulait, l'aider. C'était loin d'être une fin honorable pour un homme et encore plus pour Vetalas. Mais il n'avait que ce qu'il méritait et la sorte de trêve qu'il avait conclu avec Lieles n'allait sûrement pas changer grand-chose... Gerheim se reconcentra lorsque les grilles se rouvrirent. @+ -= Inxi =-
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Hop ! La seule faute que j'ai trouvé ! Bon pour une fois, j'ai deux choses importantes à te dire. Enfin des appréciations sur des points que je corrigerais : 1) L'attaque. Hyyyyyyper rapide ! Incroyable. Tout commence et se termine en une poignée de secondes. Je pense qu'il faudrait étendre le passage. Peut être juste avant un pressentiment néface... (Jamais auparavant tu as annoncé une attaque de démon ? Pourquoi ? Ca semble choqué personne dans l'assemblée donc ça soit être courant ! Pourquoi on a pas eu d'allusion ?) Pourquoi après l'attaque il décide de parler cash et il ne se remette pas de la surprise (des regards, de l'errance, des gardes qui entrent, du chaos quoi !) 2) L'enfant ! C'est pas une remarque constructive ou pour changer mais juste pour dire que j'y ai pensé quand ils couchent ensemble. Je me suis dit : 'et paf elles tombent enceinte et ils doivent le dire' xD @+ -= Inxi -
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Justement, je pense qu'il est plus intéressant pour un tactica d'expliquer comment jouer une bande en tirant des conclusions de nos propres expériences. Je pense pas qu'il est utile de jeter des fleurs à toutes les unités ou à toutes les armes parce qu'au final, on sait que c'est pas terrible. Le joueur sait qu'en lisant un tactica, il va apprendre ce que l'expérience lui aurait appris mais il faut pas rester trop général parce que ce n'est que réécrire ce qu'il est déjà marqué dans la liste de bande sinon. Par contre là où tu as raison c'est de dire que c'est ma façon de jouer donc si vous avez trouver des trucs sympas, des alternatives, et bien justement il me faut le dire. Ca donnera un aspect plus variés plutôt que ma seule vision des skavens ! (Comme a fait Sla' avec le fléau) Bon on avance pas mal ! @+ -= Inxi =- Ps : le sorcier nous on lance le sort à l'achat de l'unité (puisqu'on considère qu'un sorcier gagne pas son sort à l'aube de la première bataille mais bien au moment où on le recrute ) PPS : j'aimerais bien l'avis des joueurs de mordheim comme des débutants sur ce qu'ils attendent d'un tactica