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Inxi-Huinzi

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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Ben pas forcement ! Je rappele que dans les règles c'est à partir de 25% de perte et les gens se prennent pas la tête en disant : olala ça fait combien :'( pour plus de facilité, y a qu'à prendre 50% ! @+ -= Inxi =-
  2. Moi j'ai pas voté gobelins :'( Pour la dernière règle, pourquoi faire une limite de nombre ( donc fixe ) plutot que de augmenter le pourcentage de déroute ? Genre au lieu que ce soit à 25% le mettra à 40 ou 50 @+ -= Inxi =-
  3. Inxi-Huinzi

    un coup de Nain

    Ca dépend ! Moi pour l'originalité, et pour les différencier, je les arme et constitue un peu comme je le sens... Après y en a qui te diront qu'il joue que contre des joueurs où les troupes doivent être équipés en fonction de l'arme qu'ils ont en 'visible' ! @+ -= Inxi =-
  4. On demande au moins avant d'histoire que c'est encore bon... A part ça, c'est accepté. Nouvelle règle pour TOUS à partir du concours SUIVANT : Si un vote n'a pas été fait d'un auteur, son texte ne sera pas pris en compte ! Je pense que c'est la moindre des choses. Je force pas les commentaires même si c'est bonus mais les votes... ( à partir du prochain, je le répète. La, la présence du vote est encore bonifié ) @+ -= Inxi =-
  5. Tu as trois semaines !!!! Et l'autre sujet qu'il m'avait donné qui me plaisait c'était : "vide" @+ -= Inxi =-
  6. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Voici la suite fidèle lecteur Désolé pour la semaine dernière mais partiels obligeant, j'ai dû recentrer mes priorités !! Après concertation avec Jo, un ancien capitaine des Dix qui cherche du pouvoir, les trois décident de prendre contrôle des hommes des Dix pour attaquer la banque de Brader, maire de Lensort. En échange, les trois s'engagent à remettre l'organisation assassine aux mains de Jo. Loriol suit donc Jo à son insu alors qu'il part assassiner les Dix. Chapitre 113 Gerheim attendait avec une impatience non dissimulée le retour du loup. Si tout allait bien, il ne leur faudrait que deux heures. Le loup-garou n'avait pas à se dévoiler mais juste s'assurer qu'il n'y ait pas de complications. La dernière bataille semblait proche. Il n'y avait plus un seul bruit, plus le moindre mouvement. Il y avait juste eu un scarabée un peu trop entrepreneur. Au départ, tous s'étaient réfugiés à l'étage croyant que c'était un éclaireur. Après plusieurs minutes, Gerheim avait compris que ce n'était pas l'avant-garde d'une troupe mais bien une unité isolée qui cherchait quelque chose. Vetalas s'en était débarrassé et Gerheim avait surveillé ses arrières, son bras n'étant pas encore opérationnel. A cet instant, son épaule était bleue et il souffrait le martyre à chaque mouvement. Depuis, ils avaient dû cacher le corps de la bête dans la grange mais comme l'odeur apeurait les chevaux et les faisait remuer, ils durent l'enterrer. Les destriers calmés, ils retournèrent à la maison. Gerheim s'inquiétait particulièrement pour les animaux dont la survie était indispensable à la suite de leur mission. C'était leurs seuls biens. Il fallait rapidement s'en aller, conclut-il. Ils ne pourraient rester cachés indéfiniment et lui ne le voulait pas particulièrement. Il avait un médaillon à retrouver. Gerheim toucha la clé qu'il avait dans l'une de ses poches. Elle permettait d'ouvrir la boite du médaillon avec celle de Loriol. L'elfe noir n'arrivait pas à trouver où le loup avait bien pu la cacher. Gerheim avait peur qu'il eût enterré quelque part pour revenir la chercher plus tard. Si jamais le le lycanthrope venait à mourir, pourraient-ils ouvrir la boite sans la deuxième clé ? Gerheim balaya ses doutes et se concentra sur la forme qui venait d'apparaître au fond de la rue et qui revenait en trottinant. Loriol ne se donnait pas vraiment de mal pour être discret. Heureusement que le rassemblement général gardait les rues plutôt vides. Plus il s'approchait, plus Gerheim vit qu'il était couvert de sang. Quoi que Loriol avait fait ce n'avait pas dû être dans les plans. La porte dégagée, il entra sous le regard désapprobateur de Vetalas. -Que s'est-il passé ? Demanda Gerheim. -Un peu de ménage ! Avoua le loup en reniflant un grand coup. Certains voleurs regardaient avec surprise le loup couvert de sang. Personne n'eut le courage de leur demander ce qu'il s'était passé. Ils allèrent dans la cuisine, tout près de la porte qui menait sur le champ de la grange. La pièce était vide et ils pouvaient parler tranquillement. -Alors ? Répéta l'elfe. -Je crois que j'ai limité la casse, leur apprit Loriol. A chaque fois qu'un Dix est mort, des hommes, toujours fidèles, partaient prévenir les autres. Je crois pas que j'en ai oublié un seul. -La mission ? Demanda Vetalas. -Il est passé dans huit bâtiments différents alors je crois que la majorité des Dix est morte. La porte d'entrée claqua et Jo revint vers eux le sourire aux lèvres. Sa moue disparut quand il vit le loup en sang. Il posa une question muette du regard. -On a été attaqué, mentit Gerheim. Alors ? -C'est un succès ! Annonça avec triomphe Jo. Le seul point noir, c'est que deux des seigneurs les plus influant sont encore en vie. -A quoi devons-nous nous attendre alors ? L'interrogea Vetalas. -Je ne sais pas, concéda Jo. Tous les capitaines vous rejoignent et sont d'accords pour le plan. Mais s'il reste des troupes fidèles aux Dix, elles déserteront discrètement et chercheront à rejoindre les deux seigneurs restants. -Pas grave, fit Loriol, je pense qu'ils vont plus rester cacher en faisant un bilan de la situation. -Loriol a raison, l'appuya Gerheim. Ils vont rester cachés et le temps qu'ils se remettent debout, on aura déjà attaqué et volé ce cher maire de Lensort ! Avec l'argent, il te sera facile de détrôner les deux restant définitivement. Une explosion secoua la ville et arrêta leur dialogue. -Je crois que c'est le signal que nous attendions, fit Vetalas. -Où sont les voleurs ? Demanda Gerheim avec précipitation. -Déjà prêts. Une centaine d'entre eux attendent au sud. Les flammes ont déjà englouti la moitié de la ville. Il faut se dépêcher. -Alors, on s'en va maintenant ! Déclama Gerheim. Je m'occupe des chevaux, Vetalas et Loriol, essayez de vous occuper de l'évacuation de la maison. Jo, fais converger les troupes par ici, nous allons à l'assaut d'une banque. Personne ne protesta. Tous étaient excités à l'idée d'enfin bouger. Par contre, Gerheim ne savait pas ce qu'ils feraient s'ils échouaient. Dans tous les cas et quoiqu'il se passe, ils passaient leurs derniers moments dans cette ville. De toute manière, vit-il en sentant cette odeur de fumée désormais omniprésente, dans quelques jours cette ville serait rayée de la carte. Le vent s'était levé et la ville serait complètement brûlée. Gerheim alla donc sortir les chevaux qui avaient senti l'excitation ambiante. Les flammes les paniqueraient bientôt et ils semblaient heureux de pouvoir bouger plus loin que le bout de la grange. Gerheim rassembla les affaires qui étaient cachées, sella les chevaux et chargea le tout. Il rangea sa petite arbalète qui était sans munition et prit une série de dagues de jet. Il chevaucha un cheval et prit les trois autres par les rênes et les guida jusqu'à l'entrée de la maison où une troupe plutôt imposante s'était rassemblée. Autant d'hommes que de femmes : une centaine de personnes attendait là. Les anciens voleurs se différenciaient plutôt bien car c'étaient les seuls dont le peu de pièces d'armures renvoyaient l'éclat du soleil. Il était malheureusement trop tard pour rechercher au travers de la ville de quoi équiper les nouveaux venus. Ceux qui paraissaient les plus armés étaient ceux qui parlaient avec Jo et qui devaient donc être les autres capitaines qui s'étaient ralliés à lui. Vetalas et Loriol le rejoignirent et Gerheim mit pied à terre. -Par où allons-nous passer ? Demanda à tous le vampire. -Nous allons remonter vers la cathédrale centrale puis piquer à l'est. Nous nous approcherons le plus possible des flammes puis trouverons une rue pour aller vers le nord. Personne ne nous arrêtera. Gerheim réarrangea son bras dans son écharpe. Ça le démangeait mais il survivrait. Vetalas s'apprêta à monter sur son destrier quand Gerheim l'arrêta. -Il serait mieux de confier les chevaux à des voleurs ou aux paysans. Si jamais nous tombons dans une embuscade, les premiers visés seront les dirigeants... C'est-à-dire ceux qui seront sur les chevaux. Vetalas regarda d'un air étrange le cheval puis s'en écarta. Gerheim mit du temps à retrouver la trace des deux paysans, Rihu et Feleru. Ceux-ci étaient en train de parler avec la famille qu'ils avaient recueillie quelques temps auparavant. L'elfe noir espérait que les deux paysans leur avaient expliqué que dès que la troupe aurait passé le mur qui avait coupé la ville, leur seule chance de survie était d'aller se masser près des autres réfugiés. L'éclaireur ne donnait pas cher de leur peau s'ils les suivaient dans l'attaque à venir. Gerheim ne risquerait pas sa vie pour sauver la leur. -Rihu, toi qui connait pas mal de monde, va voir Jo et les capitaines pour leur dire d'avancer. L'elfe se tourna ensuite vers Feleru. -Il nous faut quelqu'un pour tenir les chevaux pendant que nous allons avancer. Occupe-t'en avec ton frère lorsqu'il sera revenu. Le petit paysan qui avait cette fois-ci un large chapeau blanc ne chercha même pas à discuter la volonté du drow. Gerheim savait que ce dernier n'était guère doué avec les chevaux mais il n'avait pas vraiment le choix. Ces animaux étaient plutôt rares en ville et Gerheim se demandait même si ce n'était pas les derniers dans cette cité. Au final, c'était des objets de fascination mais aussi de convoitise. L'elfe noir n'aurait pas aimé avoir la désagréable surprise de voir que des hommes avait déserté avec leurs chevaux et leurs matériels. Au moins, si les trois étaient forcés de faire confiance, autant que ça soit à des gens qu'ils connaissaient un peu. Gerheim siffla un grand coup et se mit en avant. Il y eut peu de commentaires sur le départ que cet étranger donnait. A priori, déjà quelques rumeurs planaient sur ces trois qui avaient pris le contrôle des hommes des Dix par le biais de Jo. L'elfe noir s'en moquait, emmitouflé sous sa cape, il cachait son visage des interrogations comme du froid. Le drow ne savait pas si c'étaient les flammes, la température ou son propre corps mais il lui semblait que le temps était plus supportable même s'il pensait qu'il faisait plus froid que les jours précédents. Le soleil qui brillait dans le ciel était une assurance qu'il ne neigerait pas avant le lendemain et que les flammes risquaient de ne pas s'arrêter de si tôt. Ils suivirent donc le chemin qu'ils avaient tracé dans leur tête sans rencontrer la moindre patrouille de quelque camp fut-elle. Gerheim s'approcha à une cinquantaine de mètres des premières flammes et il trouva la chaleur bien assez forte. Pendant quelques temps, les hommes seraient au chaud. Par contre, Gerheim remarqua que Loriol se tenait le plus possible en retrait des flammes. Le drow savait que les loups n'aimaient pas le feu mais l'elfe savait que le lycanthrope avait un secret qu'il ne partagerait jamais. Quelle avait bien pu être son histoire pour qu'il n'arrive même pas à regarder les flammes ? C'est au moment où il imaginait les possibilités de réponse qu'un événement plutôt inattendu arrêta la petite armée dans son élan. Au contraire de ce qu'avait supposé Gerheim, les hommes de Lieles étaient eux aussi au plus proche des flammes. Bien que leur troupe à cet endroit ne se compose que d'une dizaine d'hommes, ils étaient encore bel et bien là. Gerheim disparut en une seconde dans la foule et resta au premier rang, bien qu'habilement dissimulé derrière de solides gaillards. L'elfe ne savait pas si ces hommes les avaient vus lors de la bataille sur la place et il ne pouvait pas prendre le risque que sa peau le trahisse. Ce fut Jo, accompagné de Vetalas et d'autres individus, qui s'avança au poste de garde. C'était un muret de bois bâti à priori à la va-vite et dont la porte était du même acabit. La muraille coupait la rue et comblait le trou qu'il y avait entre les deux maisons plutôt efficacement. S'ils continuaient à l'est sur cette voix, ils se seraient trouvés face aux flammes. C'était donc la seule entrée vers le nord qui ne les faisait pas passer par la cathédrale où devait avoir lieu en ce moment même la bataille. -Halte ! Qui êtes-vous et d'où venez-vous ? Clama le porte-parole qui n'était visiblement pas rassuré qu'une troupe aussi importante ait décidé de passer par son point d'accès. Gerheim regarda Vetalas qui mit une main dans le dos de Jo et qui commença à parler. A la surprise de l'elfe, ce fut Jo qui parla à voix haute. Le magicien bougeait à peine les lèvres et personne ne devait comprendre que le vampire avait pris le contrôle par magie. -Nous étions des résistants ! Notre repaire brûlé par les flammes, nous avons dû fuir. -Qui étiez-vous pour être autant dans un repaire... Dit-il en allongeant le dernier mot soupçonneux. -Nous nous connaissons pas vraiment. Nous sommes des petits groupes qui se sont rassemblés lorsque nous avons été oubliés de l'autre côté. Le bébé choisit ce moment pour pleurer et Gerheim lui en fut presque reconnaissant si le bruit ne lui portait pas sur les nerfs. Au moins, les hommes de foi comprendraient que c'était vraiment des habitants de toutes conditions et pas seulement des combattants d'âge mûr. -En temps normal, j'irai chercher mon supérieur mais nous devons nous hâter de quitter les lieux alors dépêchez-vous de passer. La porte s'ouvrit lentement et la troupe avança, Vetalas relâchant son emprise sur Jo. Les soldats partirent en trottinant à peine la troupe commença à avancer. Gerheim ne sut pas si c'était à cause des flammes ou si des renforts étaient nécessaires à la cathédrale mais en tout cas cela faisait leur affaire. Maintenant, le plus dur restait à faire. @+ -= Inxi =-
  7. Alors le sujet du concours choisi par Lord Palouff le vainqueur du précédent concours .... Crépuscule! Comme j'ai terminé mes partiels donc je vais m'inscrire ! Les règles maintenant : *Tous formats acceptés ( sauf dessin évidement ) Je fixerai une taille de copie à rendre une fois la liste des inscrits ainsi que les dates clés. *La non présence de votes ou de commentaires ne sera pas sanctionné ( mais leur présence bonifiée ) *Date pour rendre le sujet : 26 avril. *Toutes époques acceptées Liste des inscrits 19 : Ignit le Fourbe Fandalg prophète ybraesil waargh Lord Paladin Linuath Lami djagerno Lightsbirth Jaina SonOfKhaine CodoulePou Fatman Shas'o Benoît Ninouki Inxi-Huinzi Artharian franz2411 Celt Maintenant les petites données, comme il est marqué dans le titre du post, vous avez trois semaines pratiquement pour rendre votre oeuvre. Jusqu'au dimanche 6 janvier. La taille du texte devra être de trois pages words de taille 9 ( on est moins nombreux donc vous pouvez plus ) Cette taille est un maximum, pas un minimum !!! bonne chance à tous Oukonposte ses textes : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=125314 Oukonposte ses votes et commentaires : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=125315 Tout le monde peut voter, même des non participants déjà. Ensuite vous faites deux classements de trois personnes dans l'ordre de vos préférés. Deux top3. Le premier récompense la qualité de l'écriture, le vocabulaire, l'orthographe, la cohérence totale. Le deuxième récompense l'originalité du texte, son lien avec le sujet, si les idées sont bien exploitées. Le premier a trois points, deuxième deux et troisième un. Si jamais vous faites qu'un classement, je donnerai que 3,2, 1 et non pas 6, 4, 2. Ca évitera de trop grandes différences justifiées seulement par la paresse de la réflexion. De plus, les votes ne sont plus postés mais me seront envoyés par MP ! Seuls les commentaires devront être présents ! @+ -= Inxi =- Edit : Ignit : Merdeeeee
  8. Y a pas mal de cas où les elfes vont prêter main forte aux humains quand ils ont des problèmes. Ils anticipent à LT donc empêcher qu'ils prennent la pierre magique maintenant c'est éviter d'avoir des problèmes plus tard à son utilisation ! @+ -= Inxi =-
  9. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Mes travaux

    Ben Mordheim en général ! Ca montre l'étendue des unités qu'on peut utiliser ^^ Par contre il faut essayer de faire des gros paquets sinon ça va devenir trop vite ingérable ( à long terme faudra sûrement séparer par auteur ) @+ -= Inxi =-
  10. Donc ça serait des remakeS au final ? @+ -= Inxi =-
  11. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Mes travaux

    Je les aime bien tes pirates ! Ca flash mais je trouve ça pas gênant sachant que c'est que des photos donc je sais pas trop en vrai ! Alors voilà, tout ça pour dire que vivement que ça soit peint, tu nous mets ça en épinglé qu'on voit le résultat ! @+ -= Inxi =-
  12. Moi je le trouve sympa le nouveau venu. Par contre je laisserai tomber celui de l'exectuteur, cette règle là est un peu superflue ! Bon voilà rapidement, pour des capacités ça m va mais pour le prix, je ne peux pas juger, je vois pas trop là mais ça serait dans ces environs là ! @+ -= Inxi =-
  13. Le sujet tombera samedi ou dimanche peu importe ! Lord Palouff m'a déjà envoyé les sujets depuis quelques mois donc je vais en choisir un @+ -= Inxi =- Edit :
  14. Allez hop, ca fait longtemps ! En avant ! Sujet donné dans deux semaines ! @+ -= Inxi =-
  15. Inxi-Huinzi

    Les armures !!

    Doucement, doucement ! Les goûts et les couleurs.... Moi je joue la règle basique du bouclier : 6+ et basta ! Pour le rendre intéressant, pourquoi pas combiner ses règles avec celles de la rondache ? @+ -= Inxi =-
  16. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Après avoir pu vérifier de nouveau le comportement étrange des scarabées, les trois comprennent aussi que l'ultime bataille a été accélérée par la présence de Lieles qui peut ainsi éviter que les humains ne brûlent, vivants, dans leur propre cité. Ils doivent également tempérer les paysans qui croient que ceux-ci vont rester jusqu'à la fin pour les aider. De là naîtra une idée que Vetalas utilisera sous l'impulsion d'un des anciens capitaines des Dix. Chapitre 112 Réunis à l'étage, les trois parlaient. -Que fait-on alors ? Demanda Gerheim. -On a qu'un seul choix, dit Loriol, on part comme prévu dès le début de la dernière bataille. -Nous avons une autre solution, fit Vetalas. Loriol s'étonna et ne chercha pas à le cacher. C'était bien la première fois que le vampire laissait filtrer une de ses idées. Cela signifiait que soit il avait besoin d'eux, soit il y avait quelque chose qu'il leur cachait. Loriol tenta de se concentrer pour trouver la réponse car ce n'était pas la vérité que le noble avait l'habitude de dire. -Prenons le contrôle des voleurs et pillons leurs ressources pour s'en servir pour entrer dans la capitale. Anir ne sera bloqué par les neiges seulement pendant quelques semaines. -J'y ai déjà pensé, avoua l'elfe à la peau noire, mais si tout leur argent a disparu dans les flammes, nous allons risquer nos vies pour rien. -Sauf si dans cette situation, nous nous servons de ces hommes nouvellement acquis pour aller voir ce cher dirigeant de Lensort et sa banque. -Attaquer la banque ? S'étonna Loriol. Gerheim pensa pendant quelques secondes et Loriol écouta ensuite ce que les pensées avaient donné. -Trop dangereux, fit Gerheim, ce ne sont que des mutins. Ils ne savent pas se battre, c'est à peine s'ils peuvent couper des gorges aux coins des rues la nuit, Ils ne feront pas le poids face aux gardes. -Sauf si nous attaquons lors de la bataille. -Il y a trop de variables, soupira le drow, et si les gardes ne vont pas aider Lieles ? Et s'ils y vont mais qu'il reste trop de troupes ? -Et que veux-tu faire ? S'énerva le vampire en ouvrant les bras. Gerheim garda le silence et Loriol se demanda ce qu'il devait être en train de ruminer. Il finit par reprendre la parole. -Très bien, alors faisons ça. Loriol savait qu'en cas d'échec, Gerheim tomberait sur Vetalas comme un faucon sur sa proie. Le loup-garou également se ferait un plaisir de le rabaisser. Vetalas jouait sa réputation et, en cas d'échec comme de victoire, Loriol serait satisfait. Maintenant qu'ils étaient décidés, il faudrait agir au plus vite car les flammes brûlaient déjà la moitié de la ville. Loriol n'était pas rassuré et son instinct le poussait à s'enfuir. Il ne voulait qu'une chose : partir de cette cité au plus vite. Il était prêt à tout pour que cette échéance s'accélère. Loriol ouvrit la porte et pencha la tête. -Jo ! Cria-t-il. -Oui ? Répondit une voix lointaine. -Monte ! Ordonna sèchement le loup-garou. Le ton qu'il avait utilisé ne laissait place à aucune objection ce qui était plutôt mieux car Loriol n'était pas une personne avec qui on pouvait négocier. L'homme courut dans les escaliers et apparut à peine fatigué dans la petite chambre. Chacun des trois individus avait pris appui sur un des murs de la pièce si bien que le dénommé Jo n'eut d'autre choix que de rester immobile entre les trois dirigeants des lieux. Cette position dut le mettre mal à l'aise car il dansait d'un pied sur l'autre en regardant autour de lui les trois compagnons plongés dans l'obscurité de la minuscule chambre. -On va peut-être utiliser ton plan, commença le vampire en s'attirant son regard. Nous avons besoin de tout savoir. Ce qui nous attend comme tes motivations. L'homme ouvrit grand la bouche mais Vetalas le coupa dans son élan. -Nous sommes particulièrement doués pour détecter les menteurs donc ne nous prend pas pour ce que nous ne sommes pas... Lui conseilla le vampire. Jo soupira puis réfléchit, changeant sûrement ses propos. Loriol ne pouvait absolument pas savoir quand une personne mentait si celle-ci savait se contrôler. Vetalas avait sûrement un pouvoir lui permettant de le faire. Après un nouveau soupir, Jo parla : -Pour ma part, je suis en très mauvais terme avec mon supérieur et sa disparition me serait très utile. Loriol vit Gerheim tourner la tête vers Vetalas. -Parce que tu as essayé de l'assassiner grossièrement au début de la guerre, expliqua Vetalas, Et maintenant, tu veux te servir de nous pour regagner le droit légitime de commander. Loriol entendit le cœur de l'homme battre à la chamade. Il ouvrit grand les yeux et bafouilla : -Mais... Mais comment ? -Je t'avais dit de ne pas mentir ! Le menaça le mort-vivant. -Je n'ai pas menti ! Se défendit immédiatement l'homme. Je n'ai juste pas tout dit... -Il a pas tort ! Dit Loriol qui le défendait uniquement pour contrarier Vetalas. -Bien, dans ce cas, recommence et n'oublie rien. -Bon, ben tout ce qu'il vient de dire est vrai. Mes troupes me soutiennent mais tant qu'on a pas commencé la révolution, personne ne suivra. Je suis pas assez fort pour prendre le contrôle de toutes les troupes des Dix et vous êtes bien plus charismatique que moi. Loriol se dit que ce n'était pas bien dur. L'homme d'une cinquantaine d'années ressemblait à un vieux cuistot avec son léger ventre et ses cheveux qui se dégarnissaient. -Tout le monde sait que vous êtes compétents, rares sont ceux qui ont jamais osé défier les Dix et qui y ont survécu. Ce fut leur première preuve de faiblesse et je pensais que vous pourriez être les seuls à pouvoir prétendre à ce changement. -Qu'est-ce que tu en tirerais ? Demanda Vetalas sans démentir les propos de Jo. Tu nous propulses à la tête de ton groupe mais tu n'y gagnes absolument rien. -Je me débarrasse de mon supérieur et j'attends mon heure et mes promotions qui peuvent à nouveau être d'actualité. -Tu attends plutôt qu'un malheur nous tombe dessus par le biais de nos rivaux et, ou, de ceux que nous avons destitués, le corrigea le vampire. L'homme ne dit rien et baissa les yeux, honteux de ses pensées mais résigné au fait qu'il ne pouvait rien leur cacher. -Tu as de la chance, lui dit le magicien, nous sommes d'accords pour te laisser le contrôle des voleurs à une seule condition... -Je suis prêt à donner tout l'or de la guilde s'il le faut ! S'enthousiasma l'individu. -Ça tombe bien... Commenta froidement l'elfe noir. -C'était une expression, dit en calmant ses ardeurs le capitaine humain, nous l'avons entièrement perdu dans les incendies... Loriol comprit que Vetalas allait donc devoir passer au plan B. -Justement, fit le vampire, j'ai une proposition qui pourra nous ravir tous les deux. Jo se tut par politesse. Il savait reconnaître une offre qu'on ne lui proposerait pas deux fois. -Nous voulons attaquer la banque de Brader. -C'est de la folie ! C'est une véritable forteresse ! Il n'y avait aucune moquerie dans ces paroles, juste de l'inquiétude face à un projet ambitieux. -Nous en avons besoin, coupa court Loriol. On t'aide pour les Dix, tu mets les voleurs à notre disposition pour le braquage. Son sang ne fit qu'un tour que Jo sut ce qu'il allait répondre. -J'accepte. -Comment allons-nous organiser l'assassinat des Dix ? Demanda Gerheim. -Vous n'avez rien à faire, dit Jo avec un grand sourire, j'ai déjà tout prévu. J'ai juste besoin de vous afin que personne ne soupçonne que je suis le cerveau de l'affaire. Si vous prenez le pouvoir, personne ne saura que c'est moi. -Et comment vas-tu t'y prendre ? Dit Vetalas lentement comme si l'homme était stupide. A priori, le mort-vivant ne pouvait pas tout savoir. -J'ai des amis dans chaque groupe de voleurs, ils n'attendent qu'un signe pour agir. Je tuerai mon supérieur, sans le rater cette fois-ci puis les rouages se mettront en route. Si tous les Dix ne sont pas morts d'ici la fin de la journée, les survivants seront en train de se terrer dans un trou en espérant que la tempête passe. -Et si tes amis se dégonflent ? Posa comme question Gerheim de façon pertinente. -Je me fais passer pour un messager et je m'occupe des autres personnellement. -Et si tu es découvert pendant que tu les tues ou avant d'y arriver ? Demanda cette fois-ci Loriol. -Je vous assure qu'on en arrivera pas là. Nous sommes en tant de guerre, tout le monde se cache. Les nouvelles ne leur parviendront pas. Il eut un petit silence puis Vetalas le congédia en lui donnant son accord pour se mettre au travail immédiatement. Une fois qu'il eut refermé la porte et qu'il se fut éloigné, la conversation reprit entre les trois compagnons de voyage. -L'un d'entre nous devrait le surveiller, proposa Loriol dont la prudence l'exhortait à se méfier. A juste titre, ce n'était qu'un humain et sa confiance et sa présomption pouvait tout gâcher. -Merci de te proposer... Lui fit malicieusement Vetalas. Loriol mit quelques instants à comprendre. En pleine journée, le vampire ne pouvait bouger et Gerheim, avec son bras blessé ne servait strictement à rien. Le loup-garou jura. -Ça va échouer, dit Gerheim pessimiste. -Il est au moins aussi perverti que nous, commenta Vetalas. -C'est bien ce qui m'effraie, fit Gerheim d'un soupir. @+ -= Inxi, à l'heure pour une fois =-
  17. Inxi-Huinzi

    [regles] lance et charge

    Pareil, je joue avec la lance qui frappe toujours en premier ( charge et chargé ) mais par ordre d'initiative après le premier tour de corps à corps ! @+ -= Inxi =-
  18. Oui, il faudrait repreciser en gros quelque part le but du sujet : C'est pas pour la bande préférée qu'on vote mais bien pour celles qui seront refaites en priorité. Pour ma justification, j'ai voté HL et EN parce qu'on a arrêté notre campagne à cause de l'équilibrage et j'ai mis EN après EN parce que je voudrais bien faire des HE et je les trouve plus à refaire que les EN ! @+ -= Inxi qui a refait le ménage pour que personne ne s'offusque =-
  19. J'ai fait le ménage. J'ai raté un post assez injurieux que j'aurais pas dû laisser passer et j'ai fait un grand ménage pour que ça ne touche désormais plus ou moins qu'au sujet. Par contre je rappele que le modérateur c'est moi (donc je peux va voir de remarque sur l'orthographe siouplé, c'est mon droit ça ) et comme c'est une chose qu'on ne peut me contester, je veux que le respect et la tolérance soit de mise dans la section ! Maintenant que la section est lancée, je vais commencer un peu à durcir le tout. Pour toute question, c'est du MP, je veux voir que des ogres après mon message ! @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    non Alors que l'incendie s'étendait toujours plus, les brigands campent dans la maison où une famille les rejoint après qu'ils l'eut découverte dans une maison à priori abandonnée. Au cours de la journée qui s'en suit, ils remarquent que des groupes de scarabées tendent de curieuses embuscades aux pillards pour les exterminer. Ils réussissent à tuer les insectes géants mais Gerheim en est blessé à l'épaule. Chapitre 111 Le groupe de brigands finit par trouver une autre base de repli. C'était une grande maison dont l'entrée se trouvait dans une impasse dont les côtés n'étaient autres que les ailes de la maison. Loriol avait passé ainsi une heure, sous la supervision de Gerheim et Vetalas, à tirer des gros buffets et armoires pour faire de la pièce principale une véritable place forte. Vetalas avait remarqué que Gerheim avait un bras en écharpe mais, astucieusement dissimulé sous sa cape qu'il portait en permanence, ce n'était pas bien visible. La nouvelle bâtisse se situait à quelques centaines de mètres de la cathédrale, ils en profitèrent pour jeter un coup d'œil à la situation. De ce qu'ils comprirent, elle était chaotique mais pas désordonnée. La ville était coupée en plusieurs parties. Au sud-ouest, la ville était déserte et une brèche était le point d'entrée des scarabées. Au sud-est, la ville était en grande partie en feu ainsi qu'une partie du nord-est même si cela avait au moins l'avantage de le purifier de la maladie qui l'avait infectée. Tout le nord-ouest était sûr grâce aux nobles qui avaient rassemblé les gardes pour leur défense propre. Ce qu'ils n'imaginèrent pas, c'était que des maisons de riches familles avaient déjà commencé à brûler. Seul Lieles semblait se soucier des habitants, enfin, c'était ce qu'ils supposaient. La population était tout autant de futurs soldats pour son armée naissante. Vetalas se demandait comment l'inquisiteur parvenait à nourrir et loger près d'un millier d'hommes. Sûrement en réquisitionnant au nom de son dieu, supposa également le vampire. Le fait était que la cathédrale avait été coupée en deux par des barricades de chaque côté. Le groupe de trois avait vu, de façon fugace, que les hommes de Lieles bloquaient l'accès principal au quartier nord par une sorte de mur improvisé qui s'étendait à l'est et à l'ouest et dont le point central était la grande église. D'après ce que Vetalas avait pu voir en volant près du camp des scarabées, les hommes de l'inquisiteur étaient assez nombreux pour contenir les animaux. Si les riches de la ville n'avaient pas été plus occupés par leur bienêtre que par ce que la raison ordonnait, ils auraient envoyé les gardes contre-attaquer et exterminer les insectes. Malheureusement, leur égoïsme et leur paranoïa les avaient condamnés à se méfier de Lieles et donc à se plonger dans une guerre plus longue qu'elle n'aurait dû être. Vetalas et les deux autres venaient à peine de rentrer que Rihu leur demanda des nouvelles. Vetalas expliqua brièvement qu'ils avaient trouvé une maison où se replier et où les chevaux auraient également de la place. Loriol déposa également une paire d'épées, une arbalète et des carreaux qu'ils avaient trouvés en chemin. En les voyant, Gerheim avait décidé de garder la majorité des projectiles. -Pourquoi on doit partir ? S'alarma Rihu. Vetalas sourcilla. -Pourquoi crois-tu que depuis hier nous parlons d'une nouvelle base arrière ? Le noble le dit de façon si supérieure qu'il aurait pu l'appeler « abruti » à la fin de sa phrase que personne n'aurait vu la différence. Mais Vetalas se refusait à utiliser le langage d'un charretier. Les paysans parurent comprendre leur situation et le désespoir leur masqua le visage comme un nuage gris l'aurait fait sur le soleil. -Mais cette maison est tout ce que nous avons ! S'indigna le paysan joueur, Rihu. -Tout... Souffla le petit Feleru. Vetalas leur laissa le temps de réaliser la situation périlleuse dans laquelle ils se trouvaient tous. Comme visiblement, ils n'arrivaient pas à accepter le fait que leur maison pouvait disparaître ou être saccagée, le mort-vivant leur expliqua : -Écoutez, tôt ou tard, nous devrons nous battre. Notre cachette ne le demeurera pas éternellement au motif que les habitants de cette cité ont décidé que leur ville devait brûler plutôt que de régler le conflit qui était à leur porte. -La faute n'est pas notre, lui rétorqua un ancien assassin. -Je ne le nie pas, concéda Vetalas, mais vous auriez pu au moins faire quelque chose avant contre ceux qui vous ont mis maintenant dans cette situation. Rihu leva un sourcil voulant signifier que c'était impossible et se tut et la conversation s'arrêta là pour ce sujet. -Les gardes ne veulent pas se battre car ils sont pris pour cibles en priorité ! Dit un homme qui faisait le guet à la fenêtre. -Ça s'appelle la guerre, grogna Loriol de l'autre bout de la pièce devançant le vampire. -Non, ajouta le dernier interlocuteur qui gardait un œil sur l'extérieur, lors des combats de l'autre jour sur la place, les insectes géants évitaient au maximum les combattants qui n'étaient pas soldats. Comme s'ils étaient leur cible. Ni Gerheim ni Vetalas n'exprima ses pensées à voix haute. Mais ce comportement étrange avait déjà été suspecté par les cerveaux de la bande. Vetalas aurait payé cher pour savoir qui ou quoi était à l'origine de tout ça et pourquoi. Loriol ne se rappelant plus ce qu'il avait vu à l'extérieur de la ville, ils étaient donc dans une impasse. Rihu et Feleru ne semblaient plus les écouter. Vetalas s'imagina brièvement ce qu'il se serait passé si sa maison avait été dans ce cas-ci. Il s'avoua qu'il n'aurait pas pu quitter son petit manoir et aurait tout fait pour le défendre. Il se demanda alors comment allaient les choses. Il y avait peu de chance pour qu'il soit pillé sachant qu'il y avait laissé une petite troupe de mort-vivants ainsi que ses trois épouses vampires. Normalement, sa demeure serait toujours là lorsqu'il reviendrait avec le médaillon. -Il serait temps que tout se termine, reprit Gerheim. Mais je vous rassure ce le sera bientôt, depuis quelques temps les insectes se rassemblent, la dernière bataille va avoir lieu. -J'espère que la victoire sera notre, dit Feleru. -Elle le sera, affirma le tacticien elfe noir. La seule variable est de savoir si le combat aura lieu avant ou après que les insectes aient laissé les soldats brûler dans leur propre ville. Vetalas se demanda si le plan final n'était pas de compter sur la vanité humaine pour que tout brûle sans que quiconque ne réagisse. Heureusement pour eux, Lieles étant entré dans la partie, il pouvait les sauver avant d'en arriver là et faire bouger les choses. -Que comptez-vous faire ? Demanda Rihu en secouant la tête. Vetalas ne dit rien et se demandait pourquoi personne ne leur avait encore posé la question. Croyaient-ils vraiment qu'ils allaient rester ici ad vitam eternam ? -Nous attendons que le gros de la tempête passe puis nous partons, leur expliqua Gerheim. -Vous ne restez pas pour la bataille finale ? S'étonna un des paysans. Vetalas rit de bon cœur et s'arrêta le visage tout aussi étonné que son interlocuteur juste avant. -Vous êtes sérieux ? Rétorqua-t-il en passant tour à tour de Rihu à Feleru. Quelle raison aurions-nous de rester ? -Je... Je ne sais pas... Bafouilla Rihu visiblement choqué de la réponse et de la question. Je pensais que... Non rien, acheva-t-il devant l'expression sérieuse du vampire. -Ce qu'il veut dire, tempéra Gerheim, c'est que nous resterons avec vous jusqu'à ce que ça soit l'heure de partir. Gerheim avait juste dit de façon plus diplomatique et floue ce qu'il venait juste d'annoncer. Vetalas s'étonna de voir que cela sembla rassurer l'auditoire. Ils comptaient vraiment sur eux pour les guider. Le noble s'en moquait royalement. Seuls les forts survivraient, cela en avait toujours été ainsi. Que croyaient-ils ? Qu'ils allaient se battre par amitié ? Pourquoi mourir et perdre leur temps pour une cause qui n'était pas la leur. -De toute manière, ajouta Loriol, vous avez pas besoin de nous ! -C'est faux, fit Feleru, regardez comment vous nous avez dirigé ! -Et ? Le coupa Vetalas. Que comptez-vous que nous fassions ? -Je ne sais pas, avoua Feleru, continuez les actions ponctuelles... -On ne ferait que quelques pertes, reprit cette fois Gerheim, c'est une bonne stratégie à long terme seulement. -Il vous serait facile de renverser les Dix, proposa un homme, un ancien assassin. Devant le mutisme de la troupe, il se permit de continuer. -Ils sont divisés sur ce qu'ils doivent faire. Certains veulent se cacher, d'autres se battre ou en profiter pour piller la ville. Nous les subalternes voyons les limites de notre système et la grogne monte doucement. Je suis un capitaine d'un des Dix et je peux rallier mes troupes. Avec celles-ci, d'autres se joindraient à vous et les Dix plieraient et vous obéiraient. Cette possibilité fit sourire Vetalas. C'était osé. -Et comment te nomes-tu, ambitieux petit personnage qui n'est pas sorti du rang quand nous cherchions des meneurs parmi vous ? -Jo, répondit-il en hochant la tête comme si la remarque précédente était un compliment. -On ne restera pas, répéta Loriol, nous poursuivons Anir. Gerheim le foudroya du regard avant qu'il n'en dise trop. Vetalas réfléchit à une nouvelle possibilité à laquelle il n'avait pas pensé : celle de prendre le contrôle de tous les voleurs de la ville, de regarder l'or qu'ils possédaient et, dans le cas où il n'y en aurait pas beaucoup, d'attaquer la banque de la ville avec tout leur effectif. Un plan commença à germer dans sa tête. @+ -= Inxi =-
  21. C'est ce que j'allais marquer, dans un post ou dans un autre. Les bandes ainsi faites ne sont pas jouables Mordheim mais sont la plus grosse partie du travail pour les réadapter correctement !!! @+ -= Inxi =-
  22. Ok, ca parait un peu mieux après les explications ! Pourtant deux remarques pour les deux races mises en cause 1) Tu nous dis donc que les ogres ont perdu juste à cause de malchance et d'orgeuil du joueur De là, y en a un des deux défauts qui sautent dès la prochaine partie. C'est à dire qu'en fait, pour battre les ogres, il faut juste compter sur la malchance aux dés ? Ca fait just... 2) Les momies ont été testées à long terme ? Je veux dire dès trois ou quatrième parties, je pense qu'il doit déjà avoir de flagrantes différences non ? Rien que pour les jets d'exploration :/ @+ -= Inxi =-
  23. Je rejoins lordante sur un point : Si on veut les jouer en campagne mais seulement en 1v1 ? Comment on fait ? On pourra jamais gagné. C'est peut être réaliste mais sans intérêt ! @+ -= Inxi =-
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