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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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J'arrive pas à me décider, ils sont tous pas mal... Après, on a beaucoup de retard et ça serait dur de tout commenter. A partir de là : est ce que tous les personnages créés sont dans le premier post ? Si non, il faudrait les y rassembler. Après, on se fait un post pour les étudier et les corriger un par un et voir ceux qu'on garde ou pas ! Ca vous irait ? @+ -= Inxi =-
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scénario mordheim Scénario numéro 4
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Mordheim
Tu l'as retesté ? On peut le valider ? @+ -= Inxi =- -
Les règles sont pas mal, on a pas mal avancé ! Alors moi, là où j'ai un peu de mal, c'est quand même sur les mouvements. Y a que du 6 et même du 9. Je trouve ça particulièrement violent ! Surtout si leur compétence à ces skavens c'est les bébéttes, je leur aurais pas mis autant de mouvement. Ca serait plus pour les skavens assassins. Sinon qu'est ce que je voulais dire.. Ah oui, il y a des unités qui ont pas leur stats écrite. Je suppose que c'est parce que c'est les mêmes mais ça serait bien de les mettre, ça serait plus pratique pour comparer ! Allez, bon boulot ! @+ -= Inxi =-
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Je dis que les deux formations se valent. Après faut pas oublier que les humains encaissent difficilement les charges et que c'est vrai du F4 en tir c'est intéressant ! A partir de là, testez et dites nous ce que ça vaut. Je joue régulièrement contre un de Marienburg et il joue pratiquement pareil avec plus de tireurs par contre. Il avance en groupe et plombe de flèches en avançant. J'ai mis ce sujet en tactica donc vous pouvez étudiez les unités une à une, y a pas de souci @+ -= Inxi =-
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Le Cda Règlement : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=137090 Discussion : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=137097 La BD Mordheim http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=141718 Discussion : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=138529 Les bandes Skavens du clan Moulder État : Terminé Bretonnie État : Finalisation Elfes Sylvains État : Finalisation Gobelins FAQ http://docs.google.com/View?id=dd8f3k4p_31dmc2sghh Les scénarios Scénario numéro 1 : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=113273 Le Coffre du Mort : Les bandes ont récemment entendue parler d’un fabuleux trésor marqué d’une terrible malédiction. Il est caché un endroit reculé de Mordheim, et à l’abri de tous regards indiscrets et sous la protection des âmes tourmentées, et des créatures maléfiques vivent dans ce sinistre lieu… Scénario numéro 2 : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=113562 La chasse aux morts vivants : Une chasse aux Morts vivants dans Mordheim (ou un village aux alentours) avec récompense à la clé. Le nombre de joueurs : de 1 à 4 joueurs. Scénario numéro 3 : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=113912 Le camp des Ogres : Depuis plusieurs jours de nombreux membres des différentes bandes parcourant Mordheim disparaissent. La seule hypothèse c'est ce groupe d'ogres récemment installé dans les quartiers nord. Alors s'allier avec les autres bandes pour vaincre ces nouveaux (mal) venus ou alors tenter le coup seul pour essayer de sauver ces gens et peut être par la même occasion recruter de nouveaux membres. Nombre de joueurs : 1 à 5 Scénario numéro 4 : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=116456 Trouble-fêtes : Alors qu’une bande fête copieusement et de quelques façon que ce soit sa précédente victoire : beuverie, rituel, sacrifice … Ils sont surpris dans leur ferveur par une bande adverse bien décidé à s’inviter et à gâcher la fête. Nombre de joueurs : 2 Les tacticas et les explicatas : Tactica ? Explicata ? Quelle différence ? Les explicatas sont une explication de la liste de bande ou d'un sujet objectif. Ce n'est qu'une explication de la bande ou du sujet, n'y cherchez pas d'astuce. Les tacticas, au contraire d'explicatas, sont un avis d'une bande subjectif. Ils sont fait à partir d'expérience de joueur et vous oriente sur une façon de jouer. A lire si vous avez du mal à jouer une bande. Là où les terminés sont rassemblés (Mercenaires, Morts-vivants, Culte des possédés, Hommes Lézards, les Répurgateurs) Les tacticas et explicatas Les Bretonniens État : Début Les sœurs de Sigmar État : Finalisation @+ -= Inxi =-
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Concours récit (SF/Fantastique) - Number 5
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Ca va, c'est juste une rime Non mais, y a rien à voir entre les deux @+ -= Inxi, je vous jure, ceux là... =- -
Concours récit (SF/Fantastique) - Number 5
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Alors le sujet du concours.... Soulèvement ! Comme j'ai terminé mes partiels, je vais m'inscrire ! Les règles maintenant : *Tous formats acceptés ( sauf dessin évidement ) Je fixerai une taille de copie à rendre une fois la liste des inscrits ainsi que les dates clés. *La non présence de votes ou de commentaires ne sera pas sanctionné ( mais leur présence bonifiée ) *Date pour rendre le sujet : 6 janvier. *Toutes époques acceptées Liste des inscrits 16 : Hexeoclann Waz 0'mor'tyr Celt Lightsbirth Ignit le Fourbe Shas'o Benoît SonOfKhaine Djagerno prophète ybraesil tar mineldur Petimuel Fandalg Lord Paladin Celeborn Enmerkar ( inscrit mais comme c'était pas vraiment dit, à vérifier aussi ) Lami Maintenant les petites données, comme il est marqué dans le titre du post, vous avez deux semaines pratiquement pour rendre votre œuvre. Jusqu'au dimanche 6 janvier. La taille du texte devra être de trois pages words de taille 9 ( on est moins nombreux donc vous pouvez plus ) Cette taille est un maximum, pas un minimum !!! Je poste dans un futur très proche le topic pour les votes et commentaires pour ceux qui voudront s'avancer ainsi que les nouvelles règles ! bonne chance à tous Oukonposte ses textes : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=118707 Oukonposte ses votes et commentaires : http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=118708 Tout le monde peut voter, même des non participants déjà. Ensuite vous faites deux classements de trois personnes dans l'ordre de vos préférés. Deux top3. Le premier récompense la qualité de l'écriture, le vocabulaire, l'orthographe, la cohérence totale. Le deuxième récompense l'originalité du texte, son lien avec le sujet, si les idées sont bien exploitées. Le premier a trois points, deuxième deux et troisième un. Si jamais vous faites qu'un classement, je donnerai que 3,2, 1 et non pas 6, 4, 2. Ca évitera de trop grandes différences justifiées seulement par la paresse de la réflexion. @+ -= Inxi =- -
Concours récit (SF/Fantastique) - Number 5
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Récits
Demain soir promis. Je suis en examen et demain soir j'aurais du temps ! Je me suis fait avoir par mon emploi du temps !! @+ -= Inxi =- -
Lorsque le RO se trouve à moins de 12 ps du chef de la bande, celui-ci n'est pas soumis à la stupidité. Vous pouvez inclure autant de rebuts dans votre bande que vous le souhaitez @+ -= Inxi =-
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Moi si je dis rien c'est que je plussoie. Après je me referai bien une réétude globale après mes partiels jeudi. Pour l'instant, j'aimerais surtout l'ajout ses stats des figurines afin de voir la cohérence ! @+ -= Inxi =-
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Bien et bah merci à tous, ça fait du bien de temps en temps de savoir qu'y a quand même des personnes, même discrètes, qui lisent Ca m'a redonné un bon coup de motivation, je vous le cache pas !!! Alors sur les remarques avant que je mette la suite : Au niveau de l'histoire, on a dépassé le milieu je pense. Il reste encore deux gros morceaux va-t-on dire. On va commencer à refermer progressivement les portes. Et sur la fin, je vous fais une surprise équivalente à l'exil par les siens dans l'Ascension d'un héros. Bref tout ça pour dire que la fin, c'est la première chose à laquelle je réfléchis et je sais où on va. Donc je vais pas en rajouter pour la faire traîner sauf si quelque chose me plait vraiment. Je me tiens à mon idée et je pense pas que l'histoire s'essoufflera. Ben y avait une sorte de fougère du chaos ! Ca compte ? Allez, à l'histoire ! Loriol est en train de surveiller la maison quand on laisse devant chez eux un nouveau drapeau. Le rouge étant substitué par un noir, symbole de mort. Ils maintiennent la partie et grâce à Jeff qui identifie des voleurs voulant se joindre à eux et à l'intuition de Loriol qui tombe sur les voleurs alors qu'ils se préparent, ils réussissent à passer une soirée tranquille. Chapitre 98 Gerheim surveilla le départ des joueurs dans l’aube journalière. La neige était bien tombée cette nuit mais les va-et-vient des soldats avaient gardé un chemin moins atteint par les intempéries. Gerheim décrocha une stalactite qui pendait au-dessus du porche en se disant que ce n’était pas humain des températures pareilles. Il resserra sa cape et sa capuche qu’il n’avait pourtant pas mise de la soirée. Gerheim n’avait vu aucun comportement suspect pendant les jeux mais il s’avoua qu’il avait été négligeant. D’abord car tout le début de soirée, il n’avait fait que penser à sa jambe et qu’ensuite, il avait songé à un remède contre les voleurs. Il se rendit soudain compte qu’il était seul dehors lorsqu’on lui souhaita un bon repas. Il retourna au chaud et ferma la porte. Vetalas et Loriol devaient être partis se coucher à la grange car seuls les paysans s’activaient sans énergie aucune. Rihu avait l’air hagard et ne faisait que bailler depuis la chaise sur laquelle il était assis. Feleru ouvrait légèrement un volet pour qu’un peu d’air frais vienne remplacer celui oppressant de l’endroit. Et pour terminer, Jiru passait un rapide coup de balai pour rassembler les plus gros déchets. Gerheim monta à l’étage pour se reposer. En grimpant les marches, il sentit nettement sa blessure le brûler. Il serra les dents pour atténuer la douleur puis reprit l’ascension. Pour se changer les idées, il se demanda pourquoi Vetalas ne dormait pas confortablement dans un lit plutôt que dans la froide grange. Il n’eut pas vraiment le temps de développer la question – ni la véritable envie d’ailleurs – qu’il se jeta rapidement sur un lit, face contre matelas. Les draps sentaient plusieurs odeurs de transpirations différentes mais cela ne l’empêcha pas de sombrer rapidement dans le sommeil dans une sensation de bien-être et de remerciement créée par sa jambe. Il dormit d’une traite et pourtant, quand il se leva, il avait l’impression d’être encore plus fatigué et que seulement une seconde s’était écoulée. Il dut aller voir par la fenêtre de la chambre voisine, la sienne n’en disposant pas, la position du soleil pour être sûr d’avoir eu du repos. Le soleil avait amorcé sa descente depuis une heure et, la saison obligeant, l’obscurité était déjà sur eux. La ville était tout aussi blanche qu’au lever et la neige avait perdu son aspect fragile pour celui de gros blocs de glace. Quelques empreintes marquaient les routes mais les déplacements étaient réduits. C’était un avantage contre les assassins mais un problème pour les joueurs. L’air froid l’atteignit et ses poils se hérissèrent. Cela l’encouragea à se renseigner sur ses compagnons : il n’avait que trop traîné au lit. Il remit ses cheveux en place ainsi que son armure qu’il ne quittait jamais, même pour dormir, puis sortit de la chambre pour descendre. Loriol était le seul présent dans la pièce centrale. Il était en train de mettre une bûche dans la cheminée. Il en était assez loin et il finit par jeter le bois à un mètre de celle-ci. Le loup-garou semblait avoir beaucoup de mal avec le feu. Gerheim finit de descendre l’escalier et remarqua avec plaisir que sa blessure était moins enflée et moins chaude. Il rejoignit Loriol dans la salle à manger où tout avait été nettoyé et lustré. Il posa une question au loup quand celui-ci s’assit à la table de poker, du côté du croupier. -Où est Jeff ? -Pourquoi ? Fit surpris Loriol toujours réticent à aider. La vérité, le drow ne voulait pas la dire. C’était quelque chose utile à tous mais l’éclaireur préférait d’abord agir dans son coin ce sans quoi les deux autres auraient pu faire tout échouer. Il voulait seulement se renseigner sur les voleurs et, pourquoi pas, assassiner les Dix. Il savait où se trouvait une entrée à leur repère. Il voulait donc un avis externe ainsi que les informations pour juger de la crédibilité de son plan. Il était plus que probable qu’il soit tout bonnement impossible mais il voulait quand même essayer. Il répondit donc à Loriol de façon voilée. -On ne répond pas à une question par une autre question. J’ai des choses à lui demander. -Je sais pas où il est, fit le loup, il est bien ce gamin même si il est un peu chiant… Gerheim sourit involontairement. C’est vrai que l’identification des voleurs leur avait peut-être sauvé la mise. De plus, le gamin, même toujours dans leur patte, avait toujours le verbe adroit et le sourire facile. Il avait aussi beaucoup d’énergie. Trop peut-être. Vetalas revint alors, un peu plus joyeux que d’habitude. -Si toutes les soirées pouvaient devenir comme celle-là ! Soupira Vetalas en se laissant tomber sur une chaise de la salle. Nous avons fait cinquante pièces d’or hier. Gerheim trouvait ça bien même si c’était insuffisant. -A peine plus que ce qu’on a payé depuis qu’on est ici ! Fit le drow pour Loriol qui souriait ne mesurant pas combien cet or était insignifiant. -Et à ce que m’a dit Rihu, c’était une grosse soirée. Les gens avaient mis leur argent de côté depuis des mois dans l’attente que des tables leur ouvrent à nouveau les bras. Il s’arrêta brièvement. -Où ont les gueux d’ailleurs ? -Ils ont des prénoms d’une, fit agacé Loriol, et de deux, ils dorment car ils rangeaient encore à mon réveil. Gerheim reprit l’autre conversation avant que la situation s’envenime. -On devrait peut-être trouver une autre activité… -Comme quoi ? Fit Loriol visiblement intéressé. -Je sais pas vraiment, répondit Gerheim mystérieux en pensant fortement à son idée précédente ainsi qu’à l’éventualité de voler la recette des voleurs. C’était moins risqué que les assassins et beaucoup plus stratégique. Par contre, c’était tout aussi difficile à mettre en œuvre si ce n’était plus. Feleru entra à ce moment-là, coiffé comme à son habitude d’un chapeau. Il salua les trois d’un bref mouvement de tête puis s’assit à la table commune. Gerheim le pensait en train de dormir après les descriptions qu’avait faites Loriol mais pourtant, il était bien là. -Déjà levé ? Demanda Gerheim bien décidé à savoir ce qu’il avait fait. -Je viens d’aller aux remparts pour savoir si y avait du boulot pour nous ! Mais rien, tout est fermé ! -Cela ne change pas vos habitudes au moins… Remarqua négligemment Vetalas en regardant un de ses ongles. -Assez en fait.. Admit le paysan. Le soldat a involontairement lâché que la ville était assiégée. Une ambiance d’inquiétude tomba sur la pièce. Le paysan le plus malin des trois tempéra la chose. -Ce ne sont que des combats périphériques pour l’instant à ce que j’ai compris. La seule chose qui va changer, c’est que la garde sera moins présente pour faire respecter le couvre-feu… -Nous voici donc face à de nouveaux problèmes… Introduisit le vampire. Gerheim parla, sûr de comprendre les enjeux et certain que le visage rayonnant d’incompréhension du loup n’était pas qu’une illusion. -On peut donc craindre des attaques plus calculées des Dix et quand bien même on s’en irait hors de la ville, on serait tué par les assaillants… -Vous ne comptez pas transformer la maison en château fort ? S’indigna le plus petit paysan. -Je te rappelle que c’est votre futur commerce que nous protégeons, le calma avec acidité le mort-vivant. L’autre se tut. -On doit se préparer pour les deux bastons ? Soupira Loriol. -Il semblerait… lâcha pensif Gerheim. -Tout ce que j’aime ! Répondit le loup ravi. -Il nous faut des informations ! Se réveilla Gerheim. Où est donc passé Jeff ? -Sûrement en train de dormir dans la poubelle dans laquelle il est né ! Dit tout sourire Vetalas fier de sa remarque. -Moque-toi de lui mais au moins, lui, il irait dans le froid chercher des informations ! -Aller dehors par un temps pareil… Se suggéra le vampire un doigt sur le menton comme s’il envisageait la possibilité. Il faudrait être fou ! -Ou mort… Glissa discrètement Gerheim avec un flagrant sous-entendu. -Oh, il fait pas si froid, dit Feleru, j’en viens moi ! Dès qu’on marche, y fait bon ! Gerheim n’était pas pressé de tester ces dires. On était bien mieux au chaud dans la maison. -La température est supportable, ajouta Loriol en soutenant le paysan dans le seul but d’être contre Vetalas. -Bah, fit le magicien avec un geste de la main, vous êtes pas humains ! Il sourit et Gerheim ne put retenir le sien. Si le curieux paysan comprenait tous les sous-entendus qui passaient sous ses yeux… -Plus sérieusement, reprit irrité Loriol qu’énervait la ponctuelle complicité des deux autres, ça fait quoi ce soir ? -Pas de soirée, fit Feleru, on la repousse à demain. Ce matin en nettoyant… Il bailla à ce souvenir. -On a décidé de refaire ça demain. On veut faire croire aux voleurs qu’ils nous ont fait peur. -Combien de temps gagnons-nous ? Demanda le drow. -Jusqu’à ce qu’ils voient qu’on continue ! Si on a de la chance… deux jours ! Sinon, dès ce soir. Jamais j’ai entendu quelqu’un parler de l’annulation d’un drapeau noir. Les condamnés ont tous fini par mourir. -Bien, fit Vetalas. Nous n’avons pas d’autres choix que d’établir des tours de garde. -On a qu’à faire un d’entre nous avec l’un d’entre vous… Proposa habilement Feleru en désamorçant une source de conflit sur les partenaires. -Je sais pas avec qui je serai mais je veux bien commencer proposa le drow. -Je prends la suite, fit Vetalas sûrement désireux d’avoir tous ses pouvoirs au moment de la veille. Loriol grogna mais accepta de faire la dernière partie. Ca ne semblait pas lui plaire mais s’il y réfléchissait, il verrait qu’être de garde au début ou à la fin, c’était pour son rythme corporel, le mieux. L’après se terminait à grand pas et Gerheim se surprit à espérer la même tempête que la veille afin d’être tranquille. Malheureusement, le temps était dégagé bien que froid. Au final, les rues étaient couvertes de neige et pratiquement impraticables sauf en de rares endroits. -Feleru, on commence ? Demanda le drow. Le paysan comprit rapidement que le drow ne voulait pas perdre de temps et qu’il voulait commencer la garde dès maintenant. Ils sortirent du salon pour se rendre jusqu’à la porte d’entrée. -Comment fait-on… ça ? Hésita Feleru en mettant sa cape et un chapeau. -La garde ? Chercha à comprendre le drow. -Oui… Avoua le paysan. -D’abord, commence par réveiller tes frères pour leur expliquer ce qu’on va faire. Avez-vous un accès au toit ? L’interrogea le drow. -Oui, répondit l’autre en fronçant les sourcils. Mais vous ne comptez pas monter là-haut ? Réagit Feleru. Gerheim se réjouit du respect et de la peur qu’il y avait dans ce vouvoiement. -Si, confirma-t-il, de là-haut, la vue sera imprenable. -Et votre chute douloureuse ! Le toit est enneigé et verglacé.. Le prévint Feleru en baissant le ton en voyant que les yeux verts lui intimaient de prendre gare à ce qu’il dirait. -Allons-y. Le paysan n’osa pas contester et Gerheim le suivit jusqu’au deuxième étage où les trois natifs de Lensort dormaient. Il repéra iummédiatement la trappe du toit et n’attendit pas une quelconque autorisation pour l’ouvrir. L’air frais qui s’engouffra contribua au réveil brutal de Jiru et Rihu qui grognèrent. D’un coup de rein, Gerheim se propulsa à travers le trou. Il resta en suspension au-dessus de la chambre puis affermit sa prise en calant ses pieds sur les bords de la trappe. Effectivement le toit était traître et meurtrier. Le drow prit garde et atteignit avec adresse l’arrête formée par la réunion des deux pans de toit. A l’endroit exact où la cheminée émergeait. Gerheim se mit de façon à ce que le vent ne le fasse pas mourir de froid. Il allait devoir passer trois heures à patienter ainsi, il préférait mettre toutes les chances de survie de son côté. Il aurait pu se protéger mieux de l’air frais mais ça aurait été dangereux car cela aurait consisté à se mettre sur un pan de toit mais, tout talent pour la dissimulation qu’il avait, une silhouette noire sur un fond blanc de neige n’était pas discrète. Ainsi placé, il avait pour arrière plan le ciel qui s’obscurcissait de minute en minute et qui l’aiderait à se rendre invisible. Gerheim plaça alors sa main sur son arbalète à sa ceinture et attendit. Rapidement, une porte claqua en contrebas et Feleru commença à tourner autour de la maison pour la surveiller. Le drow avait ainsi une sorte d’appât. Le premier repéré serait le paysan et si tous les regards convergeaient vers celui-ci, Gerheim pourrait préserver sa propre vie pour agir en conséquence. L’éclaireur reporta son œil sur le lointain. D’où il était, il avait une bonne vue sur les environs car la maison, de ses trois étages, était une des plus grandes du quartier. Gerheim pouvait voir la cathédrale et les problèmes qu’elle représentait. Comme toute la ville, elle était recouverte d’une couche de neige camouflant les détails de leur civilisation. Quelques fumées tentaient désespérément de s’élever en de timides colonnes mais le vent brisait sans arrêt cette cohérence. Les torches seraient bientôt allumées et la garde ferait aussi peut-être un tour par ici. Gerheim s’accroupit en s’enfonçant d’avantage dans sa cape. L’attente serait longue. @+ -= Inxi =-
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Bien et bien heu... C'est pas mal vraiment comme d'hab d'ailleurs mais mais mais... Bon c'est court mais j'ai compris ta politique donc je comprends mais par contre quand c'est court et qu'on apprend pas grand chose alors je dis non Ou alors une suite rapide !!! Parce que là on est sur notre faiiiimmm @+ -= Inxi =-
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Ben on commente au fur et à mesure ! Mais après, je sauvegarde pas directement parce que ça se trouve, on voudra retoucher des trucs bons après. Sinon, fais deux parties dans ton post proprement différenciées. Une : Bien faite et une autre : en cours de développement Fais le déjà qu'on sache ce qu'on doit commenter et qu'on regarde si on a pas raté des choses ! @+ -= Inxi =-
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Non on peut pas sauver Edites ton premier message au fur et à mesure ! Comme ça on sait ce qu'il y a à critiquer. Pour la spé, oublier le CT4 que je proposais à la laisser à 3. Et comme on l'a déjà proposé, trouvez des spé à ce clan ci. On a déjà des bons points de départ ! @+ -= Inxi =-
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Je verrai plutôt ca : 0-2 Chef de meute 40CO M6 CC3 CT4 F3 E3 PV1 I5 A1 Cd6 Par contre, j'aimerais bien le fluff du clan moulder. C'est quoi déjà leur spécialité ? Je suis d'accord tu sais Mais quand on me dit une caractéristique, je me dis plutôt : tiens, qui a une telle caractéristiques. E4 ? Tiens comme mes HL, pourtant ce sont que de chétifs rats en comparaison. Et la je tilt Par contre, effectivement, je pars du profil d'un humain et j'augmente les caractéristiques en imaginant ce qui est le plus cohérent ! JE viens de voir que ma phrase était un peu pourrie. Je la refais dans l'idée que j'en avais : Le plus logique serait plus CT4 a la place de CT3 et CC3 à la place de CC4, enfin je les vois plus de loin les skav's @+ -= Inxi =-
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Je suis d'accord. Même 4 de F me parait incohérent. On peut pas comparer l'endurance d'un skaven avec un homme lézard Il faudrait moins rapide avec un petit bonus sur les terrains difficiles peut être. Il faudrait des mouvements moins rapide, 6 c'est trop je trouve. 5 est une bonne moyenne. Le plus logique serait plus CT4 a la place de CC3, enfin je les vois plus de loin les skav's Ensuite, au niveau du fluff, pour la vision avec les chiens et tout : il faut aussi savoir faire des concessions entre le fluff et l'équilibre. Il faut pas hésiter à se détache run peu de warhammer. Ca ne fera qu'augmenter la singularité de morheim ! @+ -= Inxi, y a du bon !!! =- PS : Une fois fini, je l'épingle !
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Bien ! Voici un nouveau chapitre. Je préviens, j'ai beaucoup de dossiers ( in the past ) et d'examens ( plus tard ) qui explique que j'écris irrégulièrement Normalement, je devrais pouvoir prendre de l'avance ce week end ! Bon frère m'a lancé une pique ( peu fondée ) comme quoi mon texte était trop long et que tout le monde voulait que ça se finisse, c'est pas vrai hein ? Vous voulez plus court ? Déjà que j'ai perdu kroxi là Bon, trève de blabla, voici la suite. A cause de la neige, la partie doit être annulée. Vetalas décide alors de mettre à profit ce répit pour faire de la divination. Il observe d'abord Anir mais ne voit seulement que le fait qu'il était encore dans la nature. Il continue ensuite avec Liesles qui dissipe son sort avant qu'il n'ait le temps de voir quoique ce soit. Pour terminer, Gerheim se réveille après avoir récupéré de sa blessure à sa jambe. Chapitre 97 Loriol finit de tasser la neige avec son pied. Il s’ennuyait ferme et pour s’occuper, il s’évertuait à dessiner des animaux en relief. La nuit était tombée et la neige, persistante bien qu’encore en petite quantité, avait tellement refroidi l’atmosphère que le loup s’était résigné à mettre une grossière cape. C’était un vulgaire morceau de tissu qu’utilisaient les faucheurs en été mais elle faisait largement l’affaire : le vent était moins pénétrant. C’était la raison pour laquelle Jeff, que tous supportaient bien visiblement, restait sur le pas de la porte, caché dans une couverture. Loriol, quant à lui, faisait des allers-retours entre l’escalier principal et le coin de la maison pour surveiller la porte arrière, exceptionnellement verrouillée. Deux torches semblaient peiner à éclairer la ruelle et étaient mises sur les deux bâtisses qui faisaient face à celle des paysans. Dix clients étaient déjà rentrés et Loriol avait fait consciencieusement son travail. Il les avait tous fouillés et, pour les plus louches d’entre eux, le loup-garou avait demandé à Jeff d’aller chercher un des paysans afin d’avoir une confirmation. Les armes étaient toutes déclarées et rangées dans la cuisine. Deux personnes furent déboutées et durent partir. Les deux proscrits s’en allèrent en jurant et l’un d’eux dut fuir lorsque Loriol lui courut après lorsque les propos devinrent intolérables. Un autre cas anima ce début de soirée, Jeff réussit à voir de loin le visage d’un individu arrivant qu’il définit comme un assassin. Loriol sur ses gardes le refusa mais l’autre hocha seulement la tête et partit diligemment avec un regard vers Jeff qui s’était caché depuis le début dans les couvertures. Plus tard, alors que le couvre-feu allait bientôt s’appliquer, ce même individu apparut dans la ruelle entre les deux bâtiments éclairés. Le lycanthrope le reconnut à son odeur. L’assassin ne traîna pas. Il fit demi-tour et repartit avant que Loriol ne réagisse. Le bruit des trente joueurs désormais présents lui fit oublier alors ce détail. Pour terminer, alors que la garde était déjà passée trois fois en une heure, un individu encapuchonné apparut au bout de la rue, côté rempart, et avança le long de l’avenue. Il regarda la maison et Loriol pendant une dizaine de secondes puis fila tout droit en déposant quelque chose. Le loup-garou n’avait pas bougé de la porte d’où il avait observé la scène. Grâce à son flair, Loriol remarqua que cette personne n’était pas celle d’avant. La curiosité l’emportant, il vérifia que les soldats n’arrivaient pas et alla ramasser ce que l’individu avait laissé. Loriol le tendit à Jeff et referma la porte d’entrée tout en jetant des coups d’œil qui se voulaient furtifs par la fenêtre. Le loup regarda l’autre enfant déplier le tissu. C’était un drapeau noir. -Je parie que c’est mauvais signe ! Dit sans surprise Loriol. Jeff hocha la timidement la tête. Le loup-garou regarda de nouveau par l’interstice du volet et renifla. Hors de la maison, l’air était secoué de bourrasques et le lycanthrope ne parvenait pas à sentir l’arrivée d’éventuels assaillants. -Combien de temps on a ? Demanda Loriol. -J’chais pas ! Répondit en retour Jeff en secouant sa couverture. Il paraissait calme et détaché mais Loriol l’entendit apeuré. -Reste-là et va prévenir Gerheim et Vetalas de se tenir sur leurs gardes, lui intima son aîné, au moins de taille. -Mais… ? S’indigna l’enfant. -Ferme-la ! Lui dit brutalement Loriol. C’est pas un jeu. Fais ce qu’on te dit ! L’enfant resta la bouche ouverte et ses grands yeux bruns n’assimilèrent qu’avec peine. Loriol ressortit et le vent le claqua immédiatement. Ses cheveux, même récemment coupés lui génèrent la vue un bref instant. La neige se remit à tomber. Elle formait un rideau mobile horizontal empêchant de voir à plus d’une demi-douzaine de mètres et transformant la zone en une atmosphère irréelle et inquiétante. La neige fondait de moins en moins lorsqu’elle touchait le sol et la peau de Loriol qui n’avait pas repris la cape. Loriol ne savait pas si c’était dû au vent mais à travers la tempête blanche, il eut l’impression d’entendre des voix. Le loup se dirigea rapidement vers une charrette de l’autre côté de la rue. Celle-ci était vide et déjà bien remplie de neige. Les flocons lui tambourinaient le dos tandis qu’il se penchait pour arracher un rayon de la roue. Il en choisit un qui en mesurait le diamètre puis l’arracha d’un coup sec. Armé d’une barre de fer gelée à peine plus courte que sa jambe, il retourna aux pieds des escaliers de la maison et attendit. Cinq bonnes minutes passèrent et Loriol était de plus en plus recouvert par la neige et se fondait admirablement dans le paysage. Il commençait à douter de son ouïe quand un éclat de voix l’alerta. Tout était laiteux et les bourrasques l’aveuglaient comme si on avait mis un mur blanc tout autour de lui. Suivant son intuition, il alla dans la direction de l’allée où était apparu le voleur. A mesure qu’il s’approchait, il sentait sa colère monter et sa transformation se faire. Les poils gris le recouvrirent et sa morphologie changea. Les oreilles, une queue et un museau apparurent. Loriol avança avec prudence vers l’emplacement approximatif de la ruelle. Il se fit repérer avant qu’il ne vit quiconque. -Attention ! Fit une voix dans la brume. Loriol se demandait comment ils avaient pu le voir alors que cette purée de poids s’abattait de partout et lui fouettait même les yeux. Il dut avancer de quelques pas pour commencer à voir les premières silhouettes sombres se découper. Loriol hésita une seconde en se demandant si l’inquisiteur ne les avait pas traqués jusque là. Il écarta cette futilité rapidement. Il devait vérifier en espérant que ce ne soit pas non plus la garde. Quand le loup-garou avança encore, il mit un pied dans le passage étrangement épargné par l’accalmie neigeuse. Une dizaine d’hommes se trouvait là. Armés, cagoulés mais visiblement surpris de voir que les problèmes venaient directement à eux. Plusieurs reculèrent en voyant la chose qui les défiait. Même couvert de neige, ils virent que Loriol n’était pas vraiment humain. Le plus téméraire d’entre eux attaqua le lycanthrope. Il chargeait épée levée et son cri se perdit dans le vent qui s’écrasait sur les murs voisins. Loriol plongea sa barre métallique dans l’estomac de l’homme qui laissait là une opportunité flagrante. L’homme lâcha son épée et expira tout l’air qu’il avait dans ses poumons. Personne ne bougea. Loriol regardait droit devant lui et entendit quelqu’un chuchoter que ça ne devait pas se passer ainsi et qu’il n’y aurait pas dû avoir de défense. Les envoyés des Dix paraissaient trop bousculés pour réfléchir. -Partez ! Clama Loriol la barre en avant comme une baguette. Deux voleurs ne se firent pas prier et vinrent rapidement chercher leur camarade avec méfiance. Ils battirent ensuite en retraite devant le loup. -On reviendra ! Lança un homme. On est prévenu ! -C’est ça… Grommela à voix basse Loriol. Compte dessus… Loriol les regarda disparaître dans les profondeurs de la nuit et de la tempête de neige pour ensuite lui aussi regagner sa demeure. Le loup-garou l’atteignit à travers le chaos ambiant et se demanda comment il ne s’était pas perdu ni à l’aller, ni au retour. On y voyait plus qu’à un mètre et il n’y avait aucun point de repère. Il claqua la porte et vit que Vetalas et Gerheim l’attendaient plutôt soulagés de le voir apparaître. -Alors ? Demanda sans préambule le vampire. -C’était rien de spécial. Mais vont revenir, obligé ! C’étaient des débutants. -Espérons que la tempête de neige calme leurs passions… Dit Rihu qui avait capté ce morceau de la conversation en passant. -Nous avons gagné un jour tout au plus, résuma le noble en haussant les épaules. Demain sera une autre journée. Comme si de rien n’était, chacun partit reprendre son poste. Jeff servait de guetteur extérieur même s’il n’y avait pas grand-chose à voir, Vetalas dirigeait la table de poker, Gerheim tournait pour vérifier la cohérence des attitudes et des parties pour trouver les tricheurs et Loriol se tenait prêt à intervenir en cas de trouble. La bonne humeur régnant pour le moment, il partit aux cuisines où Jiru s’afférait. -D’jà y en a qui sont montés dormir, lui apprit le paysan pour engager la conversation. L’homme coupait quelques ingrédients et préparait un repas. L’enfant loup s’adossa à une table vierge de toute utilisation et le regarda faire. Sans l’attente d’une quelconque réponse, le paysan continua. -Y dorment avant et jo’ront après les autres. C’ sera plus facile pour eux de jouer les part’es suivantes, en plus, ils sont sûrs d’ dormir un peu. Jiru jura ensuite avec force et conviction. Il venait de se couper et se tenait le doigt pour éviter de saigner de partout. Il prit un vieux chiffon et se l’entoura autour de la plaie pour arrêter l’afflux sanguin. Loriol secoua la tête de pitié et partit prendre la relève. Le paysan ne dit rien quand il vit que le loup savait y faire. Il accueillit même plutôt avec le sourire le fait que quelqu’un le relaie un peu pour qu’il puisse se soigner tranquillement. Il le rejoignit ensuite pour lui apporter les ingrédients au fur et à mesure. Ils en profitèrent alors pour discuter d’un de leurs seuls points communs : la cuisine. Vetalas entra dans la cuisine et manifesta son étonnement de voir Loriol à l’œuvre par une question : -Comment sais-tu cuisiner ? Dans sa question transparaissait le fait qu’il ne devait être qu’une bête et que c’était normalement hors de sa portée. -Avant, fit Loriol avec un sourire nostalgique sans lâcher l’eau qui bouillait des yeux, j’étais ami avec un cuisinier et j’aimais bien le regarder faire. J’étais infirme et ça me changeait les idées ! -Comment cela infirme ? S’étonna le vampire de la porte. -Rien… Se renferma Loriol qui regrettait de s’être allé dans cet élan de nostalgie. Il avait beaucoup trop parlé à son goût. -Et il lui est arrivé quoi à ton ami ? Demanda Vetalas en reprenant une voix dénigrante. -Il est mort… Rétorqua Loriol en tournant ses yeux verts en direction du noble. Mangé dans sa propre marmite… @+ -= Inxi =-
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Bien, je termine le concours précédent parce que je crois que j'ai oublié les points bonus et voici le nouveau !! Donc inscription blabla, vous connaissez le topo ! Pour ceux qui savent pas, je vous renvoie aux précédents concours. Au moment du lancement du sujet, je remets les règles et les liens vers les posts ! @+ -= Inxi =-
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Alors premièrement, les passages en noir bof bof ( Tiens la critique négative ) Limite, tu peux laisser le dialogue au même titre que les autres, ça gênera pas ! Mais en noir, ça fait vraiment trop bizarre. Oh my god, même une faute !!!! Bon pour le fond, effectivement ça bouge. alors dans l'ordre ( ou pas ) Les elfes qui agissent contre l'humaine. De là, plusieurs points. Ils disent avoir besoin de lui et pourtant l'assomment, tuent le wolfen ( je pense pas qu'il est mort et même en le faisant disparaitre s'il est, l'orc se doutera que c'est eux ) et enlève la fille. Moi, meme si c'est pour mon bien je les tue tous. Ensuite, nédacié qui rox Je l'aime avec ses gobs lui. Je voterai pour une présence plus importante dans le récit de ce perso. Ensuite le mutin, on entend plus parler de lui! Que fait il ? Ah oui, et l'humaine qui a des pouvoirs magiques, j'y crois pas trop. Je pense que c'est la gentillesse mais si y a pouvoir en jeu, je dirai que c'est ceux du semi orc ! Pas les siens! @+ -= Inxi, presque constructif pour une fois =-
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Avec un peu d'organisation, on devrait pouvoir surmonter les problèmes ! Surtout que dans un premier temps, ça sera à petite échelle. Par contre au niveau des résultats de nos parties, je pense plutôt au fur et à mesure que les comparer à la fin ! @+ -= Inxi =-
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Justement, là est ma subtilité ! J'aimerais essayer deux trucs ( attention je suis optimiste ) Premièrement, faire une campagne style celle du chaos sur warhammer battle avec possibilité que chacun fasse ses parties dans son coin et avec un mix des résultats, on puisse avancer. Ensuite développer une autre type de campagne qui pourrait se faire i un jour on décide de se faire un tournoi. Y aurait des gens partants pour essayer alors ? @+ -= Inxi =-
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Non non au contraire, je veux pas le faire tout seul ! Si des gens sont motivés, je préférerai le faire à plusieurs ! D'où ma proposition ! @+ -= Inxi =-
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Voila, depuis quelques temps, je pense à une campagne. Après je me suis rappelé qu'une existait déjà sous hellspawn. Donc je l'ai regardé vite fait. Une partie me plait et l'autre beaucoup moins ( sur la présence du mdj en particulier ) A partir de là, je voulais savoir si d'autres partageaient l'envie de se faire une campagne plus personnalisée ou je suis condamné à m'adapter celle déjà faite ? @+ -= Inxi =-
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Hop la suite ! Un peu mou mais ce coup-ci c'est pour parler d'un truc. D'un point particulier Je prépare quelque chose pour marquer quand ça va changer Bref, c'est mystérieux ce que je viens de dire, mais normal. Les compagnons parvinrent à s'enfuir mais Gerheim blessé, finit par s'évanouir. En attendant, les autres organisent la première partie qui est à demi succès car il n'arrivent pas à récolter beaucoup d'argent. A la sortie des joueurs, il remarque un drapeau rouge planté devant la maison. Chapitre 96 -C’est un mauvais signe ? Demanda Loriol en devançant Vetalas. -Très, répondit Rihu en soupirant. Il fronça les sourcils en se rappelant qu’ils n’étaient pas d’ici. Il s’expliqua. -Le drapeau rouge équivaut à un signal d’ultimatum. Les Dix le font planter quand quelque chose ne leur va pas. -Il n’aime pas que nous jouions dans leurs plates-bandes, n’est-ce pas ? Comprit le vampire. -Oui, exactement ! Confirma le paysan joueur. -Ah ! Soupira d’aise Vetalas comme si on venait de lui enlever un poids. Si ce n’est que ça… Acheva-t-il en baillant. Je vais me coucher ! -Mais… mais ! Bafouilla incrédule Rihu qui regardait Vetalas contourner la maison pour aller se reposer à la grange. Vetalas l’écouta paniquer et s’étonner de son calme alors qu’il pouvait mourir. Le magicien l’oublia à la seconde où la voix mourut et le laissa seul avec Loriol. Il avait envisagé d’aller dormir dans la maison, même si les chambres étaient en aménagement. Ca aurait toujours mieux valu que le froid et le dur sol de la grange. Si on lui avait dit un mois auparavant qu’il dormirait dans ces conditions, il n’en n’aurait pas cru un mot. Il aurait parié sur un problème mental. Au final, il se convainquit de transférer seul son sac de terre sacrée, seul endroit où il pouvait régénérer, dans une chambre où il dormit bien vite. Il se réveilla à l’heure de manger. Il pensait avoir entendu des voix dans son sommeil. Il resta néanmoins coi dans son sac qu’il avait mis entre deux armoires. La pièce dans laquelle il se trouvait était la plus désordonnée de toute et tous les meubles couchés au sol lui fournissaient une discrétion satisfaisante. Il s’extirpa lentement et s’approcha de la fenêtre de son étage. Il avait en tête l’avertissement de Rihu et il se demanda si le message des concurrents de l’autre quartier était vraiment sérieux. Pourtant, il était risqué de mener une telle opération en plein jour. Même si la garde était moins importante que la nuit, elle n’accepterait pas le désordre en temps de guerre. Vetalas se pencha par la fenêtre et sourit, à la fois de soulagement et d’irritation. Loriol semblait se chamailler avec Jeff. L’enfant voulait à priori l’aider à porter les deux grosses piles de fagots que le loup charriait à l’intérieur. Il était clair qu’il serait écrasé sous le poids des bûches mais Jeff, par naïveté ou par bonheur de gêner Loriol, ne voulais pas le comprendre. Il continua même quand le loup-garou le lui expliqua pour la quatrième fois. Le lycanthrope allait perdre patience et il lui mettrait une pile dans les bras et, trop lourde, elle lui tomberait dessus. Pourtant, Loriol parvint à contourner l’obstacle même si une bûche tomba et que Jeff finit par avoir ce qu’il voulait. Ils disparurent dans la maison et Vetalas prit son sac de terre pour aller le remettre dans ses affaires. Il ne pouvait prendre le risque que les paysans prennent le sac pour ce qu’il n’était pas et le remettent dans la nature. Une fois sa besogne correctement faite, il retourna au chaud dans la maison. L’hiver était mordant. Le ciel était gris et le vent puissant. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu aussi froid, ses vêtements d’apparat n’étaient pas suffisants. Il ferma la porte au moment où les premiers flocons tombèrent. Il grommela tout en frottant ses deux mains l’une contre l’autre pour y faire revenir la chaleur. Loriol et Jeff étaient à une fenêtre et regardaient avec une expression béate la neige tomber. Le grand Jeru regarda l’extérieur avec une moue résignée. -Ell’ va t’nir cette neige ! Comme aucun des deux compagnons conscients ne bronchèrent, il développa. -La partie annulée, on va pouvoir continuer d’aménager les chambres ! -Comment ça annulée ? Répéta Vetalas interloqué. Ils ne vont pas se laisser décourager par quelques flocons ! -Je crains que si ! Dit Feleru qui ne portait d’ailleurs pas son habituel chapeau. Les premières neiges tiennent toujours et je vous parie que d’ici une heure, il y aura déjà une énorme couche. Vetalas se renfrogna. Il ne manquait plus que ça. Le temps aussi se liguait contre eux. Malheureusement pour les compagnons, même la nuit tombée, l’adepte de la nécromancie ne pourrait pas le chasser. Il pouvait invoquer le mauvais temps mais lutter contre le naturel n’était pas dans ses cordes. Il se programma alors une séance de magie. Il devait refaire ses stocks de composants et il avait vu un champignon non loin de là qui pourrait lui être utile. Il devait le prendre avant que la neige le fasse disparaître. Il avait aussi besoin de toiles d’araignées mais la maison en regorgeant ce ne serait pas un problème. Vetalas allait renouer avec l’espionnage magique, chose qu’il ne connaissait que par les connaissances transmises par feu son deuxième père vampire. Le mort-vivant jeta un coup d’œil à l’extérieur par-dessus l’épaule des deux premiers observateurs. La ville s’était déjà recouverte d’une pellicule blanche et effectivement, elle ne fondait pas, preuve que l’entassement allait se poursuivre. Les rues étaient vides et personne n’allait sûrement braver le froid aujourd’hui. Le crépitement du feu qui brûle dans la cheminée le fit se retourner. Feleru venait d’allumer un foyer et Vetalas l’en remercia intérieurement car il faisait vraiment froid même dans la maison. Le noble s’approcha des premières flammèches et se mit dos à l’âtre. Une odeur de bois brûlés emplit rapidement la pièce. Rihu apparut dans la pièce un torchon en main. Il sentait la nourriture et cela eut le mérite de ramener l’attention de Loriol de ce côté-ci de la pièce. Jiru partit aider son frère et la table fut rapidement mise et tous s’installèrent pour manger. Aujourd’hui, il y avait du pâté en croûte que Vetalas mangea avec empressement car il mourait de faim. Il se dit pendant ce repas frugal qu’il avait besoin de sang frais. Il ne lui en restait plus beaucoup, à peine plus qu’une outre de sang de vache. Vetalas se surprit à garder les pieds sur terre et de ne pas céder à ses caprices. En même temps, il se rendit compte que sa nature humaine le menottait. Il était dépendant de sa conscience et chaque acte de barbarie aggravait les crises suivantes. S’il n’avait pas été mort, il serait sûrement devenu fou. Chassant ces préoccupations qui se résoudraient à la récupération du médaillon, il acheva une collation classique indigne de sa condition supérieure mais avec le mérite d’être nourrissante. Le repas avalé et une conversation innocente faite, les six retournèrent ranger un peu, Gerheim remplacé par Jeff qui s’était fondu avec facilité parmi eux sans que personne ne proteste. Il se contenta de regarder toute la journée ce qui agaça légèrement Vetalas qui le dénigra tellement subtilement que l’enfant ne comprendrait probablement jamais. Les chambres furent vidées entièrement sauf celle où récupérait Gerheim. Loriol tapa plusieurs fois contre la porte soi-disant de façon involontaire. Les trois chambres du premier étage étaient prêtes pour la réception de trois personnes. Vetalas trouva ça insuffisant et il ne se gêna pas pour le faire remarquer. S’ils ne pouvaient accueillir que six personnes au total, autant fermer boutique immédiatement. Le problème était qu’étant une maison ancienne, les lits étaient des gros meubles emplissant la plupart de la pièce. La solution était de les revendre et de racheter à la place de plus petits lits prenant moins de place mais ce qui permettrait d’accueillir plus de monde. Il y avait donc deux autres petits problèmes qui en découlaient, le premier était de sortir les lits de ces pièces alors que ces dernières semblaient avoir été construites autour des couches. Et l’autre anicroche, et pas la moindre, était de convaincre les paysans de se séparer de leurs meubles ancestraux et sûrement à forte valeur affective. Vetalas reporta ce problème au lendemain car n’ayant pas énormément faim, il alla discrètement à la grange. Il prit une grosse cape qui ressemblait étrangement à un tapis mais qui ferait l’affaire pour aller jusqu’à là-bas. La nuit était noire et profonde et la lumière semblait venir de la neige elle-même. La couche mesurait un peu moins d’un mètre et Vetalas eut vraiment du mal à la traverser. Il sautilla sur le sol quand il parvint au bâtiment pour se débarrasser de la neige. D’un coup de sonar, il s’assura d’être seul et alla chercher quelques composants. Une fois pris le fameux champignon et une fleur qu’on appelait poison bleu, il prit ensuite un disque de métal incurvé que Loriol avait utilisé pour regarder son reflet. Il mit la partie arrondie sur le sol et un peu de neige dessus afin de former une flaque de la taille d’une assiette. Le vampire commença son incantation et la feuille se désagrégea dans le liquide sans la moindre fumée mais troublant légèrement l’eau. Il rajouta ensuite le champignon tout en continuant de prononcer les paroles rituelles. Il ferma les yeux et se concentra sur l’image de Anir. L’eau vira au noir et une image apparut. D’abord obscure puis de plus en plus nette. Vetalas pencha sa tête au-dessus du miroitement et observa. La nuit était aussi profonde que les alentours de la grange, ils n’étaient donc pas encore arrivés jusqu’à la capitale. Le contrôle sur la vision était difficile à mettre en œuvre mais il réussit à reculer pour avoir un aperçu plus global. Ca ne lui servit pas à grand-chose car le campement ressemblait fort à ce qu’il avait vu quand ils en faisaient partie. Anir se leva et s’approcha d’un chariot d’où il tira un coffret qui tira un sourire à Vetalas. Il avait tenu ce coffret en main… Il regarda le chef mercenaire l’examiner, tenter de l’ouvrir mais abandonner pour le remettre à sa place. Cette tentative rappela au noble qu’il devait aussi trouver où les deux autres avaient caché les clés. Il fit disparaître l’image en la touchant du doigt puis ferma les yeux et invoqua une nouvelle image. Cette fois-ci, ce fut l’image de Lieles qui apparut. L’inquisiteur était dans une petite pièce très élégante et tout en bois. Il y avait tout un tas d’effigies religieuses et l’homme de foi en regardait une tout en tournant le dos à son interlocuteur. Ils devaient être dans une pièce de la cathédrale. Vetalas ne pouvait pas entendre ce qu’il se disait car le sort ne le permettait pas et il ne voyait pas le visage des deux hommes. Le mort-vivant n’avait pas souvenir d’avoir croisé l’autre bien que son visage rappelait celui qui s’était avancé et avait terrassé la sorte de pieuvre sous les trois villages. Il portait une simple chemise et pantalon par-dessus lesquels un baudrier se croisait sur son torse et qui soutenait deux armes à feu. L’inquisiteur se tourna d’un seul mouvement en fronçant les sourcils. Vetalas crut que c’était sur quelque chose qu’avait dit le second mais il comprit que non quand l’autre tourna sa tête vers lui. Il fit un mouvement de main et l’image disparut. Le vampire pesta et soupira. Le plus jeune avait vraiment du talent. Le sort ne l’ayant pas vraiment fatigué mais sa journée à tout déplacer si, il décida de se reposer ici. Le froid ne le tuerait pas tant qu’il ferait nuit et il aurait le temps ensuite de rentrer. Il but la dernière outre de sang et entra dans son sac qu’il glissa dans une botte de foin où il se cacha. Tout le monde dormant dans la maison, il ne devait pas s’exposer. Une chouette se posa sur une poutre. A ses ordres, l’animal le préviendrait de toute intrusion. La terre maudite ayant tout de suite sa propriété curative, Vetalas s’assoupit. Le vampire se réveilla en ayant l’impression d’avoir vraiment dormi pour la première fois depuis des semaines. Le noble s’étira et retourna à la maison en traversant de nouveau la neige dans l’autre sens. Heureusement, celle-ci avait fortement diminué après la fin des hostilités et dépassait à peine son tibia. Les affaires allaient reprendre. En entrant, Vetalas s’assit à la table alors que tout le monde finissait son petit déjeuner. Il devait être deux heures avant le zénith. Personne ne lui posa de question quant à ses activités nocturnes et il but seulement un jus de fruit frais mais assez amer qui lui fit perdre ce goût sec qu’il avait dans la bouche. Une conversation, mêlée à l’excitation de la soirée qui s’annonçait, commença entre les six présents. Chacun s’organisa un rôle et ils se demandèrent combien de personnes allaient revenir et si leurs voisins de l’autre quartier allaient faire parler d’eux. Vetalas se surprit à apprécier ce moment. Les paysans le laissaient tranquille, ne posaient pas trop de questions et vivaient simplement l’instant présent. Une combinaison qui faisait que, au moins pour sa part, il ne les éliminerait sûrement pas en partant. Un Gerheim blessé apparut alors dans l’escalier. -Combien de temps j’ai dormi ? Demanda-t-il. -Plus d’une journée ! Répondit Jeff. Les yeux verts se fixèrent sur l’enfant comme s’il se demandait ce qu’une telle créature pouvait faire ici. Il ne dit pourtant rien. Le drow vint s’asseoir et Vetalas observa sa démarche. Il fallait vraiment savoir sa blessure pour voir le léger boitillement que produisait le drow en marchant. L’éclaireur soupira en se prenant la tête dans les mains. -Que s’est-il passé ? La conversation continua alors après qu’un des paysans fit un grossier résumé de la situation. Vetalas et Loriol s’entendirent d’un coup d’œil pour raconter plus tard ce qu’il s’était passé après son évanouissement. @+ -= Inxi =-
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J'aurais mis pluriel ^^ Pour le fond, on acheve un peu tout ça. On continue la relation avec la dryade où j'ai vraiment cru qu'il y allait avoir du bisou dans l'air ! Alors les remarques : pas hésiter lors de converss à marquer le locuteur parce que dès fois on ne sait plus qui parle. Et aussi au niveau du banquet, le moment avec le sabre... On comprend pas trop la transition ! Maintenant qu'on a de nouveau l'intrigue.. suite @+ -= Inxi =-