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Inxi-Huinzi

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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Oups, lapsus Je découpe les arrondis en piquant avec un compas. Quelqu'un a déjà essayé ? C'est laborieux mais ça marche pas trop trop mal. Je pensais... Est ce que mettre un morceau de carton pour cacher la bordure ( style carton de céréales ) ça peut le faire ? Est ce que c'est important si c'est que la 'sous couche' le carton et que donc je risque de mettre quelque chose par dessus ( problème, ça se reposera avec le dépron ) Débris, des bouts de cartons nan ? Ca devrait être corrects je pense ! Une idée ? Je vais faire une recherche sur le fofo pour voir si y a un sujet qui en traite. Hum, je sais pas... J'y ai pas réfléchi. Le moins fragile pour pas trop cher. Modulaire je pense. Chaque maison sera sûrement sur une légère couche de carton ( encore boite de céréales ) qui pourra donc être déplacée. Je pourrai ainsi mettre des débris dessus. Ca aura même un effet trottoir. Je m'en doute... J'ai dévié depuis le début et je mets un peu toutes les questions qui me passe par la tête. Ca me permet d'avoir tout rassemblé clairement. Ca fait pas quelque chose de trop fragile après ? ( même 15cm ça fait de bonnes bâtisses !! ) Le truc des renforts après, j'ai peur de faire quelque chose de travers alors que le fuselage carton me permet de bien prendre mon temps. Peut être qu'effectivement j'opterai pour ça quand je saurai faire de beaux patrons, bien découper du premier coup... Je vois pas comment on fait par contre, que ce soit pour le dépron ou pour le carton. Faut faire parties par parties non ? Quand je m'attèlerai à la peinture, je ferai des tests. Comme ça je saurai ce que je cherche !!! J'y pensais, je fais une paire de maisons et j'en ferai quelques unes comme ça. Pour changer.. Bon, passons au vraiment intéressant pour moi. Ca reprend cette adresse-là que j'ai déjà donné http://gidian-gelaende.de/Material_HP/Wolf...lbum/index.html Ce qui m'intéresse c'est... La deuxième série de photos, la numéro 13. La maison qu'on voit en bas à gauche. Comment créer cette effet mur du deuxième étage ? Moi je pensais à du plâtre mais question : est ce que le platre colle au carton ? Est ce que ensuite, je peux faire, genre des fissures, ou tout autre effet qui fait maison détruite ? Ensuite, tout bêtement, le tuto sur le dépron pour faire des murs briqués... J'ai juste à dessiner les briques parallèles en fait ? Faut beaucoup appuyer ? Autre remarque, est ce que je peux faire des murs en plâtre que je collerai par dessus le carton ? ( Idem pour plancher ) Ca rendrait que réaliste non ? @+ -= Inxi =-
  2. Inxi-Huinzi

    L'Hypnophobe

    Moi j'aime mieux au contraire. Je sais pas, au moins y a de l'action et ça pas beaucoup de descriptions pour rien. Il meurt et c'est une bonne chose. Déjà, il ira mieux et ensuite, tu auras pas à te soucier de ses problèmes mais bien de la trame. Ca changera le champ lexical en plus ! Bon, allez, chouite ! Voyons le fin mot de l'histoire ! @+ -= Inxi =-
  3. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Me revoici !! Gerheim tente de gagner sa part du passage en volant les nobles mais il n'arrive qu'à se faire très peu d'or malgré ses talents. Soudain, il remarque qu'une partie de la ville est en feu et décide d'aller voir. Il voit que ce qui brûle n'est que la ville qui se trouve en dehors des remparts et qu'une bataille semble avoir eu lieu. Gerheim retourne faire le rapport au moment où Vetalas est convié à une partie de poker. Chapitre 88 Vetalas avait écouté le rapport poliment. Evidemment que cette attaque l’inquiétait mais pour lui, Gerheim exagérait tout. C’était juste une attaque comme les autres, rien de plus. Pour le moment, la seule véritable chose qui importait, c’était ce qui allait se passer ce soir. Cela faisait plus d’un mois qu’il n’avait pas joué alors qu’il était habitué à des parties hebdomadaires, presque quotidiennes. Un sentiment d’exultation et d’excitation montait déjà en lui et aurait accéléré son cœur s’il n’était pas déjà en train de s’arrêter avec l’apparition de la nuit. Attendre que le garçon arrive impatienta encore plus le vampire. Vetalas oublia rapidement les dernières nouvelles et continua ses cents pas. A la tombée de la nuit… C’était vague comme notion du temps. Cela pouvait durer une heure et ils étaient là, à faire le pied de guet comme des bouseux. Cette idée l’irritait et il serra les dents de rage. Une voix fluette s’éleva dans les airs une paire de minutes plus tard. -Où étais-tu ? Cria le vampire en défoulant son impatience au milieu de la rue. Le jeune garçon s’arrêta un peu surpris de l’accueil qu’on lui avait réservé mais continua son chemin, nullement intimidé. -Bon on y va ? Fit-il. On nous attend déjà là ! -Passe devant, on te suit ! L’encouragea Gerheim en tendant sa main pour lui indiquer de passer. L’enfant haussa les épaules et partit tout droit en direction de ce que Vetalas avait dénommé le quartier interdit. L’enfant avançait sans se soucier des gens qui les observaient. Le mort-vivant les surveillait avec son sonar interne, à très faible portée pour l’instant. Ce deviendrait plus facile lorsqu’il récupérerait tous ses pouvoirs. Vetalas jeta un petit coup d’œil dans son dos et remarqua que Gerheim était aussi sur ses gardes. Même Loriol regardait de droite à gauche, reniflant discrètement. Arrivés à la démarcation, le garçon siffla un bon coup. Vetalas s’arrêta juste derrière lui. Il semblait avoir peur de cette ligne. Loriol et Gerheim étaient tout aussi circonspects que lui quant à la limite physique entre les parties pavées séparées par cette frontière de terre. Ne comprenant pas la raison de cet arrêt soudain, le noble fit mine de s’avancer. -N’y va pas ! Le retint Jeff en tendant le bras au niveau des genoux de son aîné. Le vampire décrocha la main avec colère. -Ne t’avise plus de remettre ta main sur moi ! Dit Vetalas lentement et serrant les dents. Jeff se renfrogna et se mit à bouder. -Passe ! Vas-y ! Rétorqua l’enfant. Vetalas se doutant qu’il y avait quelque chose adopta la même posture expectative que Jeff et attendit. Le natif de la ville renifla en voyant que le noble ne s’exécutait pas. Quelques secondes après, un homme sortit de l’ombre d’un porche et s’avança vers eux. Comme Gerheim, il se dissimulait sous une cape à capuche. Sans lui laisser le temps de parler, Jeff prit la parole. -On peut passer ? Dit énergiquement le plus petit, au moins par la taille. -Vas-y, Jeff. C’est bon. Ils empruntèrent la route désormais sûre et autorisée. Une fois éloigné un peu de cette frontière urbaine, Loriol rattrapa Jeff qui les devançait et posa une question que Vetalas essayait de résoudre. -Y aurait eu quoi s’il était passé ? -Il aurait été criblé de carreaux ! Les Dix n’aiment pas qu’on viole leur territoire. Loriol le laissa reprendre de l’avance. -Pourquoi tu l’as empêché de passer ? S’étonna le loup-garou sans vraiment attendre de réponse. L’enfant s’arrêta, se retourna et s’exclama : -Ah bah t’es sympa avec ton ami !! -Je n’ai pas d’amis ! Corrigea Loriol. -Ah ! Répondit seulement Jeff. Vetalas, qui marchait à côté de Gerheim ne broncha pas à l’échange. Au moins, les choses étaient à plat avec le gamin. Il ne poserait que moins de questions. Le reste du trajet se fit en silence. Vetalas regardait de droite à gauche mais espionnait plus avec son sonar. Cette fois-ci, la nuit maintenant bien sur eux, il avait récupéré pratiquement tous ses pouvoirs. Contrairement aux bordures, personne ne les épiait. Une fois passé, on était assez libre de ses mouvements… dans une certaine mesure évidemment. Le noble relâcha alors sa surveillance et sa méfiance et se concentra sur la partie qui arrivait. Pas le droit à l’erreur, surtout mauvais joueur qu’il était. Jeff les mena jusqu’à une maison plutôt quelconque. Un homme fumait, le dos appuyé sur le mur, au coin de la bâtisse. Il ne broncha pas à l’arrivée des quatre et les laisser entrer sans poser de question. L’habitation était toute creuse, les cloisons avaient été tombées auparavant. Une grande table était le seul mobilier dominant. De petites chaises avaient été disposées le long des murs tout autour de la grande pièce. Sans leur laisser le temps de réagir, on poussa Vetalas jusqu’à la table. Les autres participants étaient déjà là et fixèrent le noble. Le vampire regarda dans son dos Jeff s’en aller après avoir glissé deux mots à Gerheim et Loriol qui, eux, s’assirent sur les chaises. On posa des torches sur des trépieds derrière chacun des joueurs qui étaient au nombre de quatre plus le croupier. Vetalas ne voyait plus personne et fut bien obligé de s’intéresser à ce qu’il se passait. -Quoi ? Fit-il alors que tout le monde n’avait pas cessé de le regarder. Les autres ne répondirent pas et se contentèrent de soupirer pour s’intéresser à leurs jetons. Le noble mit la main à la poche et lança une bourse de deux cents pièces d’or au croupier. Celui-ci fit une moue impressionnée et sortit plus de jetons que les trois autres joueurs réunis. Vetalas avait voulu faire l’habitué et ça n’avait pas manqué. Il n’y avait pas de limite au jeu et il pouvait maintenant perdre beaucoup. Il regrettait et se dit qu’il aurait mieux fait de demander les règles de la partie avant, quitte à passer pour un novice. Cette sensation de remord ne dura qu’un instant car il se fendit d’un sourire en comprenant qu’il allait gagner et qu’il n’en avait en fait cure. Vetalas, alors que le croupier préparait le change, s’intéressa à chaque joueur pour en trouver les futurs tics comportementaux. Ils jouaient sur une table ronde et les participants étaient en arc de cercle d’un côté. Le croupier, lui, était seul face à eux. Vetalas était à un bout ce qui était plus facile pour regarder les joueurs. Le vampire se les décrit un à un. Le premier était nerveux, à tel point que le noble pouvait lire dans son esprit. Ce ne serait pas l’adversaire le plus difficile à battre. Il pensait tout le temps que pour sa famille, il devait récupérer tout l’or qu’il avait déjà perdu. Sa femme n’était pas au courant qu’il jouait et ce soir serait la réussite ou la mort… Cet homme portait une chemise blanche ouverte sur un torse poilu. Une chaîne argentée y pendait. Le magicien lui ferait plus tard la remarque de s’habiller. C’était un manque de respect… L’homme suivant était moins rustre et plus concentré. Il portait un chemisier rouge très serré sur une chemise blanche ample qui sortait en éventail au cou et aux manches. Il était rasé de près et était d’une ou deux années plus jeune que lui. Il s’amusait avec les jetons qu’il faisait habilement passer entre ses doigts démontrant une certaine habitude des salles de jeux. Il rivait ses yeux sur sa pile de jetons sans laisser d’indice sur ses pensées. Le dernier était le plus confiant. Physiquement, il était chétif mais barré de cicatrices. Un bras passé derrière le dossier de sa chaise, il était avachi. Il soupirait régulièrement et ne s’intéressait guère à la table. Vetalas se demanda comment il pouvait être aussi sûr de lui. Le vampire attrapa ses jetons et les classa rapidement et méticuleusement. Une seconde après, les cartes furent distribuées. Trois au centre et deux par personne. Vetalas regarda ses cartes. Deux intendants. C’était la carte venant après la reine, le prince et l’empereur. Cette dernière étant la meilleure carte. En jeu, il y avait un dix, un huit et surtout un autre intendant. La chance commençait déjà à être de son côté. Au début, il ne comptait pas feinter. Monter gros pour montrer qu’il avait du jeu. Ensuite, il changerait radicalement ce qui permettrait de bluffer sur les plus grosses mises. A côté de lui, l’homme nerveux n’avait qu’un huit et un trois. Vetalas l’entendit penser qu’il allait tenter avec sa paire. Le tour fut rapide et seul celui à la paire le suivit. L’homme au chemisier rouge paya un jeton pour voir son jeu et le vampire accepta, c’était son but. Le décontracté hocha la tête. Les langues commencèrent à se délier et la conversation commença. -D’où viens-tu ? C’est la première fois que je te vois jouer ici, fit le balafré à Vetalas. -Oui, répondit le mort-vivant conscient que beaucoup de monde autour de lui était intéressé par cette information. On va dire que j’aimerais que mon or me serve à quelque chose avant que je meure dans la guerre qui se prépare ! Des murmures parcoururent la salle lui prouvant que ce sujet était au cœur de toutes les conversations. Discrètement, Vetalas amena les personnes présentes à en parler. Un nouveau tour de cartes fut joué et ce fut le voisin du magicien qui gagna, lui s’étant couché au deuxième tour. Le noble relança la conversation à la fin de la manche tandis qu’il mettait sa blind, somme minimale obligatoire pour jouer le tour d’après. -Mais qui nous attaque en fait ? Demanda Vetalas en tirant sa paire de carte jusqu’à lui. -Sors un peu de ton quartier, rit la crapule du groupe. Tout le monde sait qui ils sont… -Foutaise, fit d’un ton léger celui au chemisier rouge sans lâcher ses cartes des yeux. Ce sont que des légendes ! Ajouta-t-il en regardant celui qui était confiant à sa gauche. -De quoi vous parlez ? Demanda le plus faible d’esprit à la place de Vetalas qui allait poser la même question. -Des hommes-scarabées ! S’exclama le balafré en se redressant sur sa chaise. On dit qu’ils sont dans la région depuis bien avant nous ! Vetalas gloussa rapidement. -Allons, vous n’allez pas croire à ces contes de nomades ? Demanda-t-il. Le petit à sa gauche, haussa les épaules compulsivement. -Qui sait ce qui nous tombera dessus ! -Nous sommes assez protégés pour tenir face à n’importe quelle attaque ! Clama le plus concentré des trois autres joueurs, celui qui devait avoir des origines nobles. -Au fait, je suis Vetalas. -On m’appelle Bol dans le milieu, fit le confiant, balafré et sûrement escroc du lot. -Je suis Pierre, fit celui qui était nerveux, endetté au point qu’il allait se retrouver dans la même situation que les trois paysans et qui était aussi le seul dont on pouvait lire les pensées. -Henri, dit le dernier d’un hochement de tête, celui concentré, noblement habillé avec sa chemise rouge. Vetalas perdit une nouvelle fois la partie et ce fut Bol qui emporta une mise assez importante, environ un quart des gains de la table. Le vampire soupira. En jeu, il devait y avoir cinq cents pièces d’or. Cela représentait, un vingtième de ce qu’il devait amasser pour une seule place. C'est-à-dire qu’au rythme d’une partie par semaine, chose déjà rare, il lui faudrait plus d’un an pour amasser le pactole. Sous condition qu’il gagne tout. Le mort-vivant espérait que cette table n’était qu’une petite du lot sinon il ne pourrait jamais gagner assez d’or. Vetalas sortit ces considérations de sa tête pour relancer le dialogue. -Quel est le montant maximum gagné dans une soirée ? Joua le vampire comme s’il était excité par la réponse. -Je crois que c’est mille pièces d’or ! Répondit Bol après avoir réfléchi. -Seulement ? S’étonna le noble avec franchise cette fois-ci. -Donne-les moi si tu veux, fit Pierre en s’attirant un sourire de Henri. -Il n’y a que les dix qui parient des sommes bien plus élevées ! Ajouta Bol. Mais bon, tu n’accéderas jamais à ces parties. Vetalas s’énervait. Cela lui rappelait ce que l’enfant avait dit. Le léger bourdonnement sonore des conversations autour de lui l’agaçait. Il jeta un bref regard mais ne vit rien, trop ébloui par les torches qui encerclaient la table. Le croupier distribua une nouvelle fois les cartes alors que Pierre, le pauvre, venait de remporter une petite partie d’une demi-douzaine de pièces d’or en valeur. -Et pourquoi je ne serais pas assez digne de jouer avec eux ? Fit Vetalas irrité. -Oh, c’est pas ça, mec ! Calma le jeu le balafré, gagnant à ce moment-ci du jeu de cartes. C’est qu’ils jouent cash et font pas de crédit. C’est les seuls qui peuvent se payer le droit de perdre ! -Surtout en ce moment ! Fit Pierre qui n’arrêtait pas de regarder ces deux nouvelles cartes. -Avec la guerre ? Demanda Vetalas. -Non, même ! Répondit Bol le balafré. Les temps sont durs. A notre échelle, l’économie va bien mais par rapport aux autres villes, nous sommes pauvres… -C’est-à-dire ? Demanda Henri qui ne comprenait pas non plus tout en réajustant son chemisier. -Pour faire simple, ici, avec une pièce d’or, tu es riche. A la Capitale, tu ne peux survivre qu’une semaine avec autant d’argent. Vetalas se maudit en regardant ces deux cartes. Ils n’étaient pas prêts de partir. Il espéra au fond de lui que Gerheim et Loriol discutaient avec les spectateurs pour trouver une manière de gagner l’argent nécessaire. @+ -= Inxi =-
  4. Il faudrait déterminer quel est cet équipement à l'avance. Il faudrait une limite de fouille par persos. Chaque soldat ne peut trouver qu'un nombre limité d'indices ( objets ? ) et s'en faire dépouillé par l'autre bande. Je dirais pas ça. C'est mieux que si le héros part, tous partent. Mais si un homme part, lui part. @+ -= Inxi =-
  5. Donc Gardien vas-y, ton sujet est ici ! Les gens viendront petit à petit sur le fofo L'idée était la suivante : @+ -= Inxi =-
  6. Juste pour prendre des nouvelles, vous en êtes où de vos scénarios ? Gardien_des_Secrets, tu veux que je fasse le sujet pour ton scénario ou tu l'as pas encore fini ? @+ -= Inxi =-
  7. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Ca marche pour la dissolution. Chaud, chaud, chaud de faire de beaux patrons !! Des conseils ? Ca aussi pas facile ? Avec quoi découper des matières fines comme le carton ou le bois très fin ( style cagette ) pour faire des arrondis parfaits ? Fait normalement !! Indique moi les endroits sur les photos que je vérifie ! Pour la technique 1, je pense connaître, pour l'autre... Connais pas du tout Mais comme c'est pas la couche finale et que je vais mettre du dépron par dessus, est ce que c'est grave ? Petite question, est ce que quelqu'un à des conseils pour les couleurs de base qu'il faut pour peindre une ville. Je vais en acheter en gros pots, de l'acrylique, mais où et quoi je sais pas. Des couleurs en particulières ? J'ai refait deux bâtiments, dites moi donc que faire Batiment du haut donc, vu que celui-ci du dessous, c'est celui d'avant : Et l'escalier tout juste commencé : @+ -= Inxi =-
  8. Inxi-Huinzi

    Le Médaillon des Quatre

    Voici la suite !! Les trois compagnons apprennent qu'Anir se dirige en direction de la Capitale. Pour entrer dans celle-ci, les compagnons d'aventure doivent disposer de trente mille pièce d'or, somme considérable, ou entrer en faisant partie d'une armée. Alors qu'ils cherchent un moyen de gagner des sous, un garçon intervient pour proposer ses services comme informateur. Chapitre 87 Gerheim regarda le noble et l’enfant marchander pendant une paire de minutes. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait ça et il donna du fil à retordre à Vetalas. L’elfe noir souriait sous cape, dans tous les sens du terme, à la vue du vampire qui refusait de céder à une offre correcte mais seulement proposée par quelqu’un ayant la moitié de son âge. Il finit par plier aux conditions du coût de l’information. Ils n’avaient même pas encore commencé à parler de ce que les trois voulaient. Vetalas parvint à une ultime réduction en promettant qu’à chaque fois qu’ils auraient besoin d’un quelconque renseignement, le mort-vivant se tournerait vers lui. Gerheim savait que l’autre se moquait de cette promesse, les mots n’étaient que des mots, avait-il dit une fois, ils n’engagent en rien. L’elfe noir améliora la transaction en proposant d’une voix monotone à Vetalas d’extorquer par la violence les informations au garçon… Ce dernier les regarda mi-figue mi-raisin, ne sachant si c’était de l’humour ou une proposition sérieuse. Vetalas sortit une pièce d’argent de sa bourse, visiblement satisfait de la transaction. -Que voulez-vous ? Demanda le petit garçon en la rangeant dans l’argent dans les plis de sa veste. -Comment tu t’appelles ? Demanda Gerheim froidement. L’enfant lui répondit naturellement, comme s’il était inconscient de ce que pouvait lui faire l’elfe noir. Il lui parlait en toute franchise, comme il l’aurait fait avec son père et comme il l’avait fait avec Vetalas. -Jeff ! -Bien, Jeff, répéta Vetalas comme si ce prénom lui piquait la bouche. Où pouvons-nous jouer aux cartes avec des mises importantes ? Le garçon ne prit même pas la peine de réfléchir. -Y a quelques endroits mais pas pour vous ! Fit-il toujours aussi gaiement. -Pas pour nous ? Chercha à savoir Gerheim. -Ben vous êtes bidons ! Dit en haussant les épaules le garçon et se tordant les mains. -Toi-même, grommela Loriol juste assez bas pour que le drow l’entende. -Et c’est quoi cette réflexion ? Demanda Gerheim. -Un problème ? Lui retourna le loup. Gerheim ne chercha pas le conflit et lui laissa avoir le dernier mot. Jeff, curieux, avait temporairement arrêté sa conversation pour regarder l’échange entre Loriol et lui. Il reprit, parlant pratiquement d’égal à égal avec le noble qu’il prenait pour son ami. Cela semblait légèrement irriter le vampire. -Les grosses mises, c’est les gros joueurs, donc que des gars sûrs… -Et que faut-il avoir pour être un gars sûr ? Demanda Vetalas avec empressement. Il était tellement insistant qu’il avait pratiquement acculé le garçon contre le mur d’une maison. -Une réputation ! Réussit à articuler en rentrant un peu la tête dans les épaules. Faites-vous une réputation et on vous indiquera les grosses parties ! Ajouta Jeff en reprenant de la prestance. -C’est où qu’on commence ? Demanda Loriol. -Rendez-vous ici, ce soir à la tombée de la nuit ! Proposa l’enfant en tendant sa main. Vetalas la lorgna, soupira et utilisa seulement deux doigts pour la secouer. Le garçon ne s’en vexa pas et partit pratiquement aussitôt dans la ruelle qu’il avait utilisée sans dire au revoir. -Super ! Lança Loriol après le départ de son aîné sans que Gerheim comprenne si c’était ironique ou pas. -Bien, attendons cette nuit alors se résigna Vetalas. -Et ensuite ? S’intéressa le drow. Tu comptes gagner trente mille pièces d’or ? Il y a quelques temps de ça, l’idée aurait paru stupide au noble qui aurait juste tenté de gagner sa part du butin mais depuis quelques temps, ils s’étaient tous résignés au fait qu’ils devaient être trois pour récupérer l’artefact et que faire équipe seul ne faisait qu’empirer les choses pour tous. -Pourquoi une somme si élevée ? Demanda Loriol. -Ainsi, ils ferment la frontière au monde extérieur, expliqua Gerheim. Les Dieux seuls savent les idées qu’ils se font là-bas du dehors pour l’y exclure ainsi de leurs vies… Mais ils sont cupides car ils laissent quand même rentrer les gens avec des prix plus qu’onéreux. Comme si cette somme les lavait de la souillure de l’étranger. Gerheim ne savait pas si Loriol avait compris. Il aurait peut-être dû utiliser des termes plus simples. Néanmoins, le loup-garou ne demanda rien d’autre. -Je chercherais à rassembler vos propres fonds si j’étais vous… Leur dit Vetalas. A moins que j’accède aux grosses tables, il nous faudra des dizaines d’années avant d’avoir une telle somme. -Rendez-vous ici au crépuscule alors ! Annonça Gerheim. Ils allaient une nouvelle fois se séparer mais cela faisait longtemps que tous s’étaient faits à cette idée. Gerheim leur tourna alors le dos et quitta la maison des paysans pour s’enfoncer vers la cathédrale, bâtiment central de la ville. Au-dessus de lui, le ciel se couvrait et il ne tarderait pas à neiger dans les parages. Dans le col, tous les chemins devaient être maintenant impraticable forçant ainsi les habitants à vivre en totale autarcie. L’elfe noir comptait rassembler son argent en le volant. Il était naturellement doué pour ce genre de choses. Une guerre approchant, les gardes ne surveilleront sûrement pas la ville et les marchands, gonflés d’or par les achats à l’approche d’un hypothétique siège, ne demanderaient qu’à être délestés. Arrivé au niveau de la place centrale, Gerheim s’assit sur des escaliers et attendit le bon moment pour agir enveloppé dans la cape qu’il avait volée à Vetalas et qui le protégeait admirablement bien du froid. Il lui fallut une bonne heure avant de trouver une cible potentielle. Avant cela, les gens qui étaient passés ne transportaient rien de valeur sur eux ou avaient été escortés par des hommes à qui Gerheim ne voulait pas se frotter. De plus avec le froid, tout le monde était pressé et ne prenait guère le temps d’être inattentif. Les marchands étaient barricadés chez eux et ne sortaient plus les étaux, se contentant d’attendre que les clients viennent à eux. Gerheim dépouilla sa cible assez facilement et plongea dans une ruelle pour compter son butin. Le pseudo riche ne possédait que deux pièces d’or et de la menue monnaie. L’elfe noir avait été trompé par la forme exagérément pleine de la bourse créée, en réalité, par de petits cailloux. Ainsi, on pouvait croire que l’homme possédait une petite fortune alors que ce n’était pas le cas. Gerheim soupira et mit les deux pièces d’or dans une poche tout en gardant celles de cuivres dans une autre. A cette vitesse-là, il n’était pas prêt de trouver les dix milles pièces. Il devrait faire cinq mille prises comme celle-là. C’était impossible car déjà, les personnes possédant rien que deux pièces d’or étaient rares et Gerheim ne pourrait pas sans cesse voler les mêmes. Il y avait des limites à la stupidité humaine. Il se fit cent pièces d’or en huit heures. Il était assez content de ce résultat et se doutait qu’il ne se ferait pas autant tous les jours. Gerheim était allé de gauche à droite, dépouillant la ville de tout ce qu’il pouvait l’être. A cette vitesse, il lui faudrait une centaine de jours afin de tout rassembler. Mais comme précédemment, il savait qu’il devrait plutôt compter sur une bonne année juste pour sa part et sans se faire prendre. Il fallait qu’il trouve une autre solution. Il lui restait une bonne heure avant de rejoindre ses compagnons en espérant que leurs recherches fussent meilleures. Gerheim eut du mal à se l’avouer mais il commençait à douter du succès de l’opération et que qui que se soit ne retrouve un jour le médaillon. Le chef de patrouille de la veille passa pour la quatrième fois devant lui en lui jetant le même regard soupçonneux. Gerheim le regarda s’éloigner en se disant que celui-ci ne les lâcherait plus d’une semelle. Il devait prendre garde. Une fumée noire attira son attention. Cela venait de l’est de la ville. Gerheim était du bon côté de celle-ci et décida d’aller mener son enquête. Plus il s’approchait, plus quelque chose lui paraissait louche. Déjà, il y avait beaucoup trop d’agitation pour un simple incendie. Les soldats affluaient dans cette direction tandis que les citadins fuyaient dans le sens contraire. Ils auraient pourtant dû rester sauver leurs maisons des flammes. De plus, les largeurs des rues étant faibles, les flammes auraient dû se propager rapidement mais au lieu de ça, la colonne de fumée restait constante. Plus Gerheim approchait, plus il se posait de questions. Il finit par avoir sa réponse quand il aperçut les remparts : C’était la ville de l’autre côté des murailles qui brûlaient. L’elfe voulut monter voir ce qu’il se passait mais deux gardes l’en empêchèrent. Gerheim se retourna pour reprendre la ruelle qu’il avait empruntée pour prendre à gauche cinq mètres plus loin. L’air était étouffant et empestait la cendre qui commençait déjà à retomber. L’assassin escalada les parois de la rue. Il attrapa le rebord d’une fenêtre et se propulsa sur un fil à linge juste assez élastique et résistant pour l’envoyer sur une autre fenêtre supérieure. A force d’escalader ce grand bâtiment pourvu d’une petite tour créée sur son toit, Gerheim eut bientôt une vue qui dominait juste assez les remparts pour voir ce qu’il se passait. L’extension urbaine se situait à l’est de la ville, collée au rempart, elle était encerclée par des champs. Comme le reste de la région, les terres étaient également entourées par la forêt. De là où il était, il ne voyait pas les champs mais devinait leur présence par les trous au niveau des cimes des arbres. D’après la configuration de la ville, au départ, il n’y avait pas de maison, seulement peut-être quelques cabanes pour des outils sans importance ou cassés. Ensuite, par excès de confiance, ils avaient dû construire des entrepôts et des maisons pour vivre la journée. Rien ne se passant, ils avaient fini par vivre à temps plein dans ces bâtiments et un village de deux cent âmes s’était élevé. Maintenant, la moitié de celui-ci était en feu. Une artère centrale, celle qui donnait sur la porte des remparts, séparait la partie en train de brûler de celle encore intacte. Les soldats s’activaient à lancer de l’eau sur les bâtiments faisant face à l’incendie pendant que d’autres tiraient des cadavres en direction des portes. Des poutres craquèrent et un bâtiment s’effondra tirant des cris de stupeurs aux guerriers proches et lançant des étincelles de toute part. Il y avait eu une bataille, cela ne faisait pas de doute. Gerheim ne voyait pourtant pas de cadavres des agresseurs. Ils devaient être en forêt. La guerre était toute proche si les attaques se faisaient diurnes. Ils devaient vite trouver l’or et fuir cette ville avant que les batailles ne fassent rage. Le drow aurait bien été voir à quoi ressemblaient ces attaquants mais renonça car il ne voulait pas être coincé de l’autre côté. Le dirigeant de cette ville allait sûrement faire évacuer la zone pour se retrancher derrière les murailles. Le drow descendit de son perchoir. Il en avait assez vu et il aurait été dommage qu’on le repère ainsi juché. Une fois au sol, il décida de retourner voir les deux autres afin de leur faire part des dernières nouvelles s’ils n’étaient pas déjà au courant. Cela faisait beaucoup de préoccupations. Comment avoir l’argent ? Que faire s’ils ne l’avaient pas avant que la bataille ne débute ? Que pouvaient-ils faire en attendant ? Combien de temps pouvaient-ils laisser à Anir comme avance ? Quand ne pourraient-ils plus jamais retrouver le médaillon ? Gerheim avait peur de la réponse logique à toutes ces questions qu’il décida d’étudier une par une en rejoignant Loriol et Vetalas. Les deux étaient déjà là quand il arriva. Ils ne parlaient pas et les seuls coups d’oeils qu’ils se jetèrent étaient emplis de dédain. La situation ne changerait sûrement pas. Loriol était assis sur un bidon de bois devant l’entrée des paysans qui n’étaient d’ailleurs pas là et Vetalas faisait les cent pas au milieu de la rue. C’était le moment du rapport. @+ -= Inxi =-
  9. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Grosso-modo, j'ai compris De toute en cas de doute, je demanderai Je laisse le sujet ici et pas en long terme vu que c'est un mélange entre décor\technique\long terme Quand je disais que je ne savais pas trop, c'était pour dire que j'avais pas trop compris l'astuce J'ai jamais dilué ma peinture Ca sert à quoi ? C'est quoi le principe ? Pour le reste, j'ai commencé le fuselage carton de ma première maison qui sera pleine. C'est à dire décor pur et pas jouable ( déjà pour commencer ) Donc je vous mettre les photos de l'avancement. @+ -= Inxi =-
  10. Inxi-Huinzi

    L'Hypnophobe

    Faux, j'ai déjà essayé de le lire et j'ai vraiment pas aimé donc c'est pas de ta faute, loin de là ! Faux, quelque chose de chiant, c'est quelque chose qui serait imbuvable pour tout le monde, ce qui n'est pas le cas de ton texte. J'accroche l'idée et le fond mais pas la forme, c'est tout Tu fais comme tu le sens ! On est quand même d'accord que ca fait moche hein @+ -= Inxi =-
  11. Inxi-Huinzi

    L'Hypnophobe

    Hum, j'aurais dit l'inverse là 'Un ami à moi' est beaucoup moins indigeste que 'un mien ami'. Au pire ' Un de mes amis ' Bon ben dans la continuité hein. Je pense pas que mon avis évoluera d'ici là vu que j'aime pas trop, voire pas, le style de Lovecraft. C'est lourd et long. Deux choses qui ne vont pas ensemble. Du lourd, ça peut être bien sur des petites nouvelles. Sur du long ça peut être plus dérangeant. Je dis ça parce que je sais pas le nombre de pages que tu vises mais je pense que ça va être long si tu commences à mettre que maintenant les éléments fantastiques. Bref, c'est bien écrit mais je trouve qu'on écrit beaucoup pour pas dire grand chose de bien important. Moi j'aime bien la lettre dans ce passage qui diversifie le truc ! @+ -= Inxi, qui aime bien quand même mais sans plus =-
  12. Inxi-Huinzi

    La Machine infernale

    Bien !!! Effectivement, on avance un grand coup et tellement bien ciselé qu'en fait, on a pas de question à se poser. Tu réponds au fur et à mesure à chaque brèche ouverte ! Comme le coup du 'nous' Pour le reste, je dois dire que l'intrigue est originale et que j'aimerais bien savoir comment Naif va prendre une part à l'histoire pour sauver l'enfer ! Moi je sens que ça sera de manière spéciale, quelque chose que seul ton esprit pervers peut inventer @+ -= Inxi =-
  13. Donc pour la ville, je pense qu'elle doit être tortueuse, donc beaucoup de décors ou utiliser des sortes de checkpoint. Il faut déterminer aussi comment déplacer les créatures ennemies sur la map. Peut être aussi imaginer comment remplacer les zombis par autre chose Quand on aura fait la bonne version avec zombis ! @+ -= Inxi =-
  14. Peut être en commençant par des zombis et augmentant la difficulté de plus en plus. On peut donc commencer avec 15 zombis venant des trois bords de la table (peut être même à des endroits aléatoires de la carte ) et qui se dirigent vers le groupe fuyard. Ensuite, 10 créatures plus puissantes apparaissent. On peut aussi penser à chaque mort de zombis, une créature peut apparaître. Etc.. @+ -= Inxi =-
  15. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Ah ! Ca change tout alors ! J'attends le temps de maitriser les bases de la construction classique et je me penche sur cette histoire de moules ! Oui de tout ! Ca sera des demi-facades, en longueur comme en largeur.. Des toits effondrés, des marques d'incendie.. De la mousse, les coups des feuilles mortes... Ce genre de truc. Je me demande par exemple, comment je fais faire un trou dans mes tuiles avec les poutres en dessous pour que ça fasse ruine. Prendre la planche de balsa pour simuler le plancher, ça d'accord. Le coup de charpente détruite, je sais pas trop, je suppose que le balsa pour faire la charpente. Par contre je vois pas du tout pour la partie du toit tuilé. Les débris sur le plancher ou des trucs qui pendouillent du toit en direction du plancher ? Je veux savoir comment il faut faire pour que ça fasse fenêtre. Plus qu'un trou dans un mur de carton. J'ai vu par exemple de faire des pierres qui suivent le contour de la fenêtre... Faire ce genre de choses... A h ? Balades en forêt quoi Je sais pas si ça se trouve dans le commerce ! J'y attends du monde Bon c'est vrai que maintenant, je revois à la hausse mes projets C'est pas mal ! La able fait par contre un peu vide pour du Mordheim ! Sinon, autre petite question. Comment je fais pour peindre tout ces décors. Quel genre de peinture je dois utiliser ? @+ -= Inxi =-
  16. Ben on peut pas te donner de conseil sans que tu nous as pas pondu un premier truc. Donc MP moi dès que tu l'as fini et je nous fait un scénario 2. Donc celui de Tomas1993 devient le numéro 1. On y va pour les critiques alors. En proposition, je proposerai de rendre les zombis quand même dangereux pour pimenter tout ça. Ensuite, il faudrait qu'en fonction du nombre d'indice, on puisse trouver un trésor sur un jet de dés. Pour le reste, ça me paraît pas mal ! @+ -= Inxi =-
  17. On commence par lequel ? Celui de thomas ? Si j'ai bien compris, Gardien_des_Secrets, tu vas le faire tout seul, non ? @+ -= Inxi =-
  18. Bon on se servira de ma réponse-ci pour mettre le scénario à jour pour qu'ensuite il soit plus facile à retrouver. Alors allons-y idée, discussion, blabla en tout genre. Moi je pensais à un scénario solo en fait. Mon idée intro est la suivante : Les fous sont nombreux à entrer dans Mordheim mais peu en ressortent un jour. Dans ce scénario, vous jouerez une bande dont le seul désir est de rejoindre la porte de sortie... Je pensais à une ville en labyrinthe et des attaques constantes de créatures venant de toute part. Les créatures sont de plus en plus fortes ( carac à déterminer ) et de plus en plus nombreuses. Voilà, on développe ou on trouve autre chose ? @+ -= Inxi =-
  19. Inxi-Huinzi

    Trois propositions

    Bien, commençons par un scénario alors !!! Je nous crée un sujet ! @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Un lien intéressant qui m'inspira sûrement pour des maisons. Après ce qui devient 'embêtant' c'est que ce sont des maisons pleines et que les miennes font partie du jeu et on doit pouvoir entrer dedans pour la majorité. Après se pose aussi la question comment faire cet aspect ruine. Comme modéliser les trous, les chutes d'une partie du toit, etc... D'accord, je vois le genre. J'ai fait une base carton toute simple pour un bâtiment, je rajouterai du dépron quand je m'en serai procuré. Les deux ! Après faudrait que j'aille à Casto et les deux sont super loin. Ca m'arrange pas forcement cette histoire. J'irai voir à Part Dieu ce qu'il en est. Si c'est des prix abordables, pourquoi pas !! Je vais déjà essayé de maitriser une technique et ensuite j'irai me pencher sur les autres. Comme ça, je verrai ce qui me convient le plus ! Pas mal, effectivement !!! Et le coup des feuilles ? Comment qu'on ferait ( cf photo au dessus du post d'avant ) ? Pour le bâtiment que je viens de créer aujourd'hui, c'est comment après avoir fait le trou pour une fenêtre, l'améliorer pour en faire quelque chose de réaliste. ( Les fenêtres sont ouvertes voire défoncées, tout autant que la porte pour l'exemple que je suis en train de créer ) @+ -= Inxi =-
  21. Inxi-Huinzi

    Trois propositions

    De toute manière, la création de campagne comme de scénarios peut être aussi bien en solo qu'à plusieurs. D'ialleurs, dans mon idée de base, je pensais surtout à plusieurs. Je sais pas combien y a de personnes dans le coin mais des groupes de quatre m'auraient paru bien. Ensuite les campagnes, ce n'est qu'une suite de scénarios. Le seul truc qu'on a trouvé, c'est les liens entre chaque ! Bon en tout cas, les joueurs de Mordheim se font de plus en plus présents dans le coin ce qui est bon signe même si je nous trouve pas bien nombreux. @+ -= Inxi =-
  22. Inxi-Huinzi

    [Mordheim] Décors

    Je veux bien un aperçu car j'ai regardé le sujet, les photos sont plus actualisées. Prends la peine de faire remonter le sujet, on fait par MP. Il me semble avoir lu que c'était formé de dépron. Non ? Ca rejoint ta remarque suivante. D'ailleurs, par rapport au carton, c'est quoi la différence ? ( Je suis passé au brico dépot mais ils en avaient pas donc pour l'instant, je vais commencer à travailler avec du carton industriel d'assez bonne qualité ma foi ) Hum. C'est quoi un magasin d'art créatif ? Ou je peux en trouver ? En fait c'est plutôt ça ma question C'est normal que le lien que tu fournis me donne comme lien, une réponse dans ce sujet ci ? Franchement ça rend bien mais 34$ les briques, ça fait cher le morceau de pierre Je tenterai bien le moule mais je sais vraiment pas faire :/ D'ac OUi des morceaux précis. Du genre les fenêtres, sur le topic du dépron. Ils montrent comment faire donc ça ira. Je pensais à fabriquer directement ces éléments de décor. Par exemple, comment fabriquer des tuiles de bel aspect ? Comme faire de la mousse ou des sortes de feuilles mortes comme on peut voir là : (Si c'est marqué image ipb, faites bouton de droit dessus et afficher image sur chaque image ibp pour voir ce que c'est pour ceux qui se demanderaient si c'est pas des liens morts ) C'est pour des rendus finaux comme j'ai déjà fourni le lien ou une ville d'aspect comme ça : ( juste la première photo ) Par ici le lien @+ -= Inxi =-
  23. Déjà première remarque. Pour ceux qui ont leur habitude par ici, y a t il beaucoup de monde qui fréquente ce coin ? Parce que j'ai pris avec plaisir la modération que j'assumerai sans problème ( j'ai l'hab des petites sections ) mais elle serait plus facile à faire revivre et faire grossir ( le but est de l'extirper des sections spécialisées avec des sous catégories ) mais pour ça, faut du monde de motivé. Donc, 1) Pourriez vous poster des rapports de batailles ? 2) Est ce que cela vous tenterait de faire un projet commun avec cette section et l'autre que je modère en faisant un récit commun à Mordheim ( ça souderait la communauté du coin ) ? 3) Qui a envie de faire un projet commun pour créer des scénarios et des campagnes ? @+ -= Inxi =-
  24. Alors, chose promise, chose due. J'explique. comme les autres sujets, avant de les épinglés, je vais laisser toutes les réponses dans ce sujet. Celui-là sera pour les règles persos. Principe, vous proposez une règle perso qui est ensuite jouée ( ou pas ) et notée sur 10 par les membres. Moi dans les épinglés je fais un classement par note que j'actualise à chaque fois que quelqu'un donne son avis ce qui permettra de trier les bonnes règles à utiliser et les moins bonnes. On évite les grosses règles qui feront l'objet de post à part ( on mettra dans 'les bons sujets de la section' ) Bien, allez-y !!! (Répondez même si la règle c'est - Je dis n'importe quoi - : Les guerriers peuvent laisser tomber leur armure pendant la partie. C'est pour montrer que même ça c'est bon ) Toute modification des règles quoi @+ -= Inxi =-
  25. Inxi-Huinzi

    L'Hypnophobe

    Non du tout ! Tu mets des dialogues !! C'est aussi facile que ça ! Ca coupera toutes ces phrases au passé simple @+ -= Inxi =-
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