Aller au contenu
Warhammer Forum

Inxi-Huinzi

Membres
  • Compteur de contenus

    2 753
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Inxi-Huinzi

    L'ascension d'Aktaïr

    Leurs cavaliers ? Pas besoin du "qui" Hin hin ! Interessante comme expression Euh le toursite me gene un peu la Ca fait un peu elfe noir avec creme de bronzage et lunette de soleil Sinon, j'adore ! Bien que j'ai eu le temps de deprimer entre ces suites ! Va falloir passer la seconde que je puisse lire tes oeuvres plus souvent ! Il n'y a, selon moi, qu'un passage à plus développer : Quand il revient a la forteresse car ca devient un peu confus, il faut l'avouer ! Mais sinon @+ -= Inxi, suiteeeeeee =-
  2. Bon, bon, bon ... Le truc, c'est que pour ce genre de scène je me demande que faire ? Je vais pas non plus dire que c'était d'une difficulté extrème du type : "Après des milliard de manoeuvres, de positionnement de la voile, il entra dans la grotte par la seule position possible" Je trouvais ca un peu gros pour simplement s'engager dans un trou qui apparait dans le creux des vagues La, ca rejoint un posé par Iliaron. Mais je serai honnete, j'ai pas ecris ce passage avec son commentaire en tete surtout qu'il a été posté après ! L'idée est donc de décrire ce lieu. Ca veut dire pour bien le décrire, rue/décor/ambiance, au moins quatre paragraphes. Donc cela va faire devenir de cette ville un lieu important. Ca va meme contribuée a rendre ce que j'ecris important à ce moment là. Alors qu'en fait la, non ... Pas du tout, mon héros ne fait que passer. Mais le vrai problème qui fait que j'écris comme ça est le suivant : J'écris pour moi. Et ca s'étend tellement que j'écris pour des lecteurs qui seraient comme quoi. Qui ni'aiment pas les trop longues scènes de descriptions ( Alors que sur certains textes, j'adore ! Justement les tiens Feurnard Mais la différence, je crois que c'est le talent ! ) Donc le truc, c'est que même avec un plan ( ce que j'ai fait pour les trois derniers chapitres si ma memoire est bonne ) vous avez toujours cette impression d'inutilté de certains passages ( la, en l'occurence, c'est tout le texte ) Alors que pourtant, si je me force à écrire ces passages, c'est qu'ils sont indispensables ( mis à part un, l'histoire avec Dinelgera qui sert surtout à poser par écris ce qui m'était arrivé ! Ca a permis de donner plus d'humanité à mon héros ) Donc pour revenir à ce problème de fil rouge, il y en a un : La transmission du message. Ensuite, sur le retour il tombe sur cette confrérie qui veut le tuer. Il décide d'agir mais a besoin d'allier qui sont plus au courant de lui. Ensuite, ils executent les seigneurs et transmet enfin son message. Au début, je voulais faire mourir le messager dans le repaire pour que Neryme se voit obligé de transmettre le message lui même mais devant mon manque de motivation, j'ai décidé d'abreger la nouvelle (bien qu'il ne soit pas exclus qu'une suite vienne plus tard, beaucoup plus tard, pour reprendre ou je m'en suis arrêté) Mais maintenant, après vos remarques ( que j'autanat très au sérieux vous conaissant ) Je me demande bien comment faire pour éviter ces problèmes car toutes les portes que j'ai ouvertes je les ai refermées ! C'était un problème que m'avait signalé Imperator sur mon dernier texte et que j'ai décidé de corriger : J'ai posé par papier, tout les personnages et ai décidé de les réutiliser ou de précisé clairement qu'ils ne seront plus là après ! Bref, avec ce plan, j'ai essayé de faire un effort sur la crédibilité du texte ( bon ce n'est voyant que sur la fin justement ou les tours de passe-passe sont fini, plus de corde, plus de poison, comme dans la vraie vie ! En tout cas, la réalité sera peut être le but de mon prochain texte ) Bon revenons un peu sur les autres commentaires : La, en fait, j'ai essayé de préciser au maximum ma vision de la scène en fait ! Cela consistait dans le fait que le duc se trouve face à la cage et se retourne en gardant un faciès desespéré et dès que Neryme ne le voit plus, il arbore un grand sourire sûr de la réaction du voleur. Et ca marche ... C'est le soucil du détail je pense mais je pense plutôit trouver une nouvelle formule pour essayer de garder la vision que j'avais de la scène. Cela montre comment le héros est naif et comment il se fait manipuler. J'aimerai aussi revenir sur ce point qui ponctue pas mal mes récits. Bon je vais prendre l'exemple des archers qui tirent sur Neldirage lorsqu'il y a la course poursuite dans le chateau et on m'a reproché qu'il s'en tire indemne car les archers n'arrivent pas à le toucher... En fait, quand on visualise bien la scene, tout va vite très vite. Les hommes doivent viser une cible qui arrive en plein galop vers eux, ça veut dire qu'ils attendront le moment d'être sûr de le toucher pour faire feu. Donc on peut supposer que ce sera lorsque Neldirage sera assez près. Mais si le cavalier, et donc notre héros, tourne avant la zone ou lmes archers s'étaient mentalement preparé à faire feu ? Le tir manque de précision car ils doivent relever l'arc au dernier moment et essayer de toucher une cible qui est en train de tourner puis mettre les voiles. Peut etre meme qu'il se met à y avoir des obstacles entre eux et la cible. Il me parait donc évident que notre ami s'en tire sain et sauf. Je corrigerai plutot la phrase de cette façon : L'introduction et la conclusion sont indépendantes du développement. Les mots de changent pas mais le principe si. Dans ma phrase cela veut dire que l'intro et la conclusion gravitent autour du texte et non pas le contraire. Ici, je dis donc que le texte est important et l'intro et conclusion ne passe qu'en second role et donc pas l'inverse. Parce que sinon, il faut que je refasse le texte et fasse une aventure en montagne avec la poursuite d'une araignée... Il ne sait rien passé : Je ne sais pas trop comment je dois l'interprêter. L'histoire d'un individu lambda qui va d'un point A à un B avec un obstacle C qu'il contourne. L'histoire banale d'un individu A. Enfin bref, le tout est de savoir où il ne sait rien passé. Mais bon puisqu'on vient précédement de parler de l'intro, du dvp et de la conclusion, je pense que l'on parle du texte en général. En meme temps, ca doit vrai si vous avez raison et que mon texte n'est qu'une suite de situation de facilité et de transitions fugitives. Grande question qu'est mon prochain texte ... Heuresement que j'ai pas posté le premier chapitre ce soir ! Je crois que je vais attendre un peu et voir s'il mûrit tout seul ! L'autre texte d'après aussi d'ailleurs ! En meme temps, c'est normal. C'est un défaut que je retrouve sur tout mes textes et meme en étant conscient que ca va pas de ce côté, je n'arrive pas à y remedier. C'est peut etre plus fort que moi ? Peut etre que pour moi c'est pas un défaut donc je ne vois pas quoi corriger ? Que sais-je ? Donc je suis pratiquement sur que sur les 50 premières pages que j'ai écrite, on a le meme problème ! Donc je vais terminer ce nouveau texte ( J'en suis qu'à la moitié ! ) Et puis je verrai bien si j'ai encore de la place sur mon disque dur pour l'archiver au chaud entre Falcrisos et la Confrérie Bon je dois aller manger, j'en rajouterai surement encore une bonne couche si quelqu'un a le courage de lire tout ca et a quelque chose à dire ! Ou tout simplement quelqu'un a quelque chose à rajouter sur mon texte que j'ai de nouveaux paragraphes à faire ! @+ -= Inxi, et bé ... =-
  3. Contre la note ! Ou s'il y a une note, que les participants n'aient pas le droit de voter ! La raison est simple : un humain reste un humain et l'esprit de compétition est très fort ! Donc mettre une mauvaise note ne peut que arranger le votant ! Faut faire attention @+ -= Inxi, choisir qui on prefere serait mieux =-
  4. Personne n'a dit qu'il la tuait Chacun le décide ou non Qu'est ce qu'un récit sans phrases classiques, hein ? Je te l'ai fait pour la peine Je crois que c'est incorrigeable !!! Je pense pas Mis à part le nom, on retrouve presque pas de point commun avec l'ancienne Exact ! Ca me permet de lancer l'histoire avec le magicien et la mort de ses deux compagnons ! Ca permet donc de terminer par la vengeance J'ai raté ce passage alors ! Parce qu'en fait au départ, il veut partir et rendre ses infos pour etr elibéré. Donc tous ces efforts sont fait pour le liberer de ce poids ! Mais au dernier moment, il décidé de rester et tout ces efforts finissent par être fait pour un renseignement ! Pas grand chose Ca soulage généralement ! Mes recits finissent fort generalement ca me permet de respirer ! Et puis aussi, je travaille sur d'autre texte à côté ! En ce moment deux autres sagas ( que vous verez bientot ), un projet ( avec Arga et Cassis ) et un concours ( avec Tirli ) Ce qui fait qu'en fait, c'est comme dix huit ans ! Ca change rien @+ -= Inxi =-
  5. Je suis sur que tu vas nous arranger cette phrase biscornue Encore ? L'a des problèmes musculaire le pauvre Sinon, c'est original le coup du cygne qui parle ! je m'y attendais pas ! J'ai meme cru que c'était un humain au début Comme quoi, tout le monde peut se tromper ! Nan, sinon c'est pas mal ! Gros travail !!! @+ -= Inxi =-
  6. Dire que tu lui as fait la morale pour poster à 21h00 J'te dis quelle est finie ta réputation ! Ouuuuuuuuuuuuuu ! Diktator ca rime avec A mort ! Tuez le Au bûcher !!!!!! Y en a un qui va bien se marrer demain n'empeche ! Allez bonne chance à tous et n'oubliez pas qu'on fait ça pour le plaisir !! @+ -= Inxi =-
  7. Heureusement qu'il y en a un qui suit ! Je laisse tout ce qui a fait le pourquoi de l'histoire et personne dit rien ! Allez, voici les dernières réponses normallement ! Désolé pour les fautes C'est vraiment hallucinant Epilogue Neryme faisait face à la vertigineuse falaise. D’où il était, il ne pouvait voir la discrète entrée. A cet instant, il se rappela tout, tout depuis le début. Et il se souvint la fin, surtout la fin. Lorsqu’il dût empoisonner la réserve de bière de l’aubergiste car il ne savait pas qui devait conduire le carrosse. Quand il avait construit les trappes dans l’écurie et avait déversé de l’huile dessus. Quand il avait suivi le carrosse dans la forêt et quand il avait assommé et prit la place du chauffeur. Et bien évidemment lorsqu’il avait mis le feu avec la torche qu’il avait laissé à côté. Ce plan avait été risqué mais le fait que les mercenaires ne fassent pas parti de la Confrérie avait bien aidé la chose. Il en avait abattu un en fuyant tandis que le reste avait été bloqué de l’autre côté par les flammes. Le capitaine mercenaire n’avait pas essayé de le poursuivre ce qui était compréhensible vu que la solde qui avait été versée ne comprenait pas le service après mort… Ensuite, Neryme s’était enfui et avait délivré son message aux membres de sa guilde… Sa mission était accomplie… Il reporta ses yeux vers le décor qui l'écrasait de sa taille. La cime de la montagne à laquelle faisait face Neryme était couverte de neige. De véritables dents de pierre sortaient à certains endroits de la roche ce qui donnait au lieu un aspect dangereux et primitif. Loin au-dessus, neuf pics formaient une impressionnante ennéade... Un vent glacial vint fouetter le visage de notre voleur. Neryme regarda le sol et abandonna tous ses fifrelins. Notre ami leva la tête vers le ciel où quelques flocons commençaient doucement à tomber. Au plus profond de la montagne, une créature attendait son châtiment. Elle avait tué ses amis et Neryme voulait sa vengeance. Il rabattit sa capuche… C’est ici qu’allait se jouer son destin, face à cette créature à huit pattes. -En avant ! Hurla Neryme, poing brandi vers le ciel en signe de défit. Aujourd’hui se joue les Huit pattes du Destin ! Mon Destin… Après ce moment, personne ne put dire s’il ressortit ou non de la grotte… Enfin personne de vivant…
  8. Voila la toute dernière partie ! Chapitre XVIII Le capitaine Van Hoff, célèbre commandant de la compagnie de mercenaires des Aigles Sanglants, assurait la protection du carrosse. Lui et ses trente hommes assuraient une garde sans faille aux quatre seigneurs des cités voisines qui se rendaient le plus discrètement à l’auberge du Fanfaron. Le carrosse suivait tranquillement le chemin, vibrant à chaque fois qu’il roulait sur un gros caillou. Le capitaine espérait que les essieux supporteraient les caprices de la route. Il n’avait pas envie de faire le mécanicien. Il donna un petit coup de talon à son cheval pour remonter la colonne de soldats. Il la dépassa puis alla voir deux cavaliers qui se situaient à une cinquantaine de mètres devant. -Alors ? Demanda Van Hoff. -Rien, capitaine, tout est tranquille. Le commandant hocha la tête puis fit ralentir sa monture pour se remettre à la hauteur du carrosse. A priori, ils livreraient le colis sans un problème… -Capitaine, il faut qu’on s’arrête ! -Que se passe-t-il encore ? -Toujours la même chose ! C’est ce pouilleux de conducteur du carrosse… Il n’arrête pas de vomir ! -Dis-lui de régler ce problème rapidement ! Le capitaine fit arrêter la colonne ce qui permit au paysan d’aller soulager son estomac dans la forêt. Notre commandant ne comprenait pas pourquoi il l’avait engagé… D’après le paysan, la bière qu’il avait bu avant de partir serait mal passée. Les seigneurs avaient insisté pour que ce soit un homme de leur choix qui conduise. Van Hoff ne savait même pas à quoi il ressemblait, à chaque fois qu’il avait voulu le regarder, celui tournait de l’œil et vomissait. Mais bon… les seigneurs l’avaient vu et il était de confiance alors… Le paysan moustachu courut derrière les arbres et Van Hoff entendit trop nettement le bruit de nourriture régurgitée s’étalée sur le sol. Le capitaine releva un sourcil puis attendit que l’homme ressorte… Ce qu’il tardait à faire. -Alors ! Hurla le capitaine. Que fais-tu ? Silence. Le capitaine dégaina son épée et alors qu’il allait ordonner à sa monture d’avancer, le paysan émergea de la forêt. Il semblait avoir retrouvé des couleurs et marchait avec plus d’assurance. -J’espère que ça ira ce coup-ci… Dit Van Hoff. Le paysan hocha la tête et remonta à sa place. Van Hoff se demanda quel métier faisait ce moins que rien : Il était assez musclé en fin de compte… Le carrosse se remit en branle et ils purent arriver, une heure plus tard et sans arrêts, à l’auberge. Le capitaine ordonna à ses soldats de vérifier la place. Une demi-douzaine se mit en position autour de la bâtisse. Une autre partie rentra dans l’auberge tandis que le reste vérifiait les alentours ainsi que la sorte d’écurie qui bordait la maison. Dans cette dernière, Van Hoff put voir qu’il y avait un énorme tas de foin mesurant quatre mètres de haut et une dizaine de mètres de large. Le capitaine mercenaire sourit en pensant qu’il pourrait dissimuler toute sa compagnie sous ce foin… Au dessus de ce premier étage, il y avait des petites planches en bois qui supportaient tant bien que mal d’autres meules de foin. Par précaution, les hommes vérifièrent chaque parcelle de terrain. Quand ses hommes eurent tout vérifié, Van Hoff fit signe au conducteur de venir. L’homme hocha la tête et fit claquer ses fouets. Le carrosse se remit doucement en route, puis il accéléra. Il prit beaucoup de vitesse, trop ! Nota le capitaine. -Arrêtez-le ! Hurla ce dernier à l’adresse de ses hommes. Le capitaine vit ses hommes essayer de s’interposer mais le conducteur ne semblait pas vouloir ralentir. Les mercenaires sautèrent hors de portée avant de se faire écraser par le cortège. Van Hoff vit le chariot passer à toute vitesse devant lui. Il vit également la tête de deux seigneurs sortir de la fenêtre pour voir ce qui se passait. Le conducteur du carrosse sauta de sa place et chevaucha l’un des deux chevaux qui menait le carrosse. Il dégaina une épée, alors qu’il n’était pas sensé être armé, et détruit ce qui retenait les bêtes. -Attrapez cette pourriture ! Dit Van Hoff en se mettant lui aussi à la poursuite de l’imposteur. L’homme libéra un cheval et attendit que le chariot passe à la vitesse de l’éclair devant lui avant se mettre à sa poursuite. Van Hoff était à deux cent mètres environ du tueur. Il vit avec effroi le carrosse de ses protégés s’écraser dans le foin de l’écurie. L’assassin coupa une corde sur le côté de l’édifice et le capitaine de mercenaires put voir avec horreur des meules de foin suintantes recouvrirent la partie du carrosse qui dépassait encore de la paille. Le tueur tourna la tête vers le capitaine Van Hoff qui arrivait au triple galop. Il ne restait que cinquante mètres. Le capitaine savait qu’il pourrait y arriver. Il encouragea sa monture de plus belle. En attendant, l’homme avait sorti une torche et la lança sans hésitation dans le foin. La torche se posa doucement dans la paille et sembla attendre que Van Hoff se rapproche. Subitement, le brasier prit un bon mètre de diamètre. La seconde suivante, ce fut toute une partie du foin qui s’embrasa. Et seulement dix secondes après. C’était toute l’écurie qui prit feu, alimenté par la paille, l’huile et le vent qui soufflait en rafale. Le tueur disparut derrière l’auberge avec sa monture tandis que l’on pouvait entendre nettement des cris d’agonie sortir du foin. Van Hoff voyait son argent et sa réputation partir en fumée. La chaleur l’empêchait d’avancer plus loin, sa monture était terrifiée. Cet assassin savait ce qu’il faisait, dû se rendre compte à l’évidence le capitaine. Dommage que ce n’était pas l’un des leurs…Une poutre consumée s’écrasa… Il rassembla ses hommes qui ne tentèrent pas de rattraper le fuyard et vida le lieu. @+ -= Inxi =-
  9. Inxi-Huinzi

    L'Ennemi intérieur

    Le quoique ne va pas trop, j'aurai mis un bien que plutot Bon c'est pas trop mal ! On comprend pas tout dans ce premier passage mis à part que quelqu'un va mourir ! Qui ? Pourquoi ? On ne sait pas ! Et ca demange de savoir .... Je te l'assure ! Suite ! @+ -= Inxi =-
  10. Il ne l'est pas justement puisque dans le chapitre précédent je dis qu'il est le seul a etre contre cette Confrérie parmis les seigneurs En fait, c'est l'informateur du début ! Celui qui lui fournit le plan de la maison du magicien... Je pensais que vous alliez vous en souvenir Bon je lui trouverai un prenom alors En fait, ca, ca me sert surtout au début pour introduire le texte et aussi quand .. Je peux pas en dire plus pour l'instant Mea culpa... Je l'ai écris hier soir, je l'ai relu deux fois ( et pourtant j'ai trouvé pas mal de fautes pour te dire ) mais a priori, c'est pas suffisant !! C'est toujours chiant ces passages ! J'ai mis des marques pour montrer que les negociations sont pas si facile mais je ne sais jamais quand j'en ai mis assez ... Il a beau le hair, le voleur va faire une tache des plus dangereuses pour lui Donc je me suis dit un petit bonne chance et un "tu en auras besoin" pour montrer la difficulté de la chose ne serait pas de trop @+ -= Inxi =-
  11. Sympa cette petite scène !! Pour commncer, parlons de la forme J'ai juste une petite répétition que j'ai noté : Sur "palabrer", c'est un terme qui est tellement rare que ca fait repetition la Sinon, pas grand chose à dire J'aime bien ce passage. L'action se precipite entre l'arrivée des gardes et le combat en haut des escaliers, essayes de ralentir plus ce passage avec des descriptions... A part ca : @+ -= Inxi =-
  12. Bon je post une courte suite maintenant puis le reste demain ! Je m'explique... En fait, j'ai eu une subite inspiration et le vrai dernier chapitre sera différent par le point de vue du narrateur. Bref, vous verez bien Chapitre XVII Neryme regrettait déjà son plan… En effet, notre ami arrivait sans aucunes armes dans le siège de la milice. Notre voleur comptait se rendre pour obtenir un entretien avec le Duc. Si cela tournait mal, il ne pourrait se défendre. Après une grande inspiration, Neryme poussa la porte et entra dans la bâtisse. A peine l’eut on reconnu, que quatre gardes se jetèrent sur lui et le rouèrent de coups. Grâce au ciel, le sergent ordonna que ses hommes se calment. -C’est bon, si je suis là c’est que je me rend, imbéciles ! Dit Neryme dans un râle. Pour son impudence, Neryme reçut un nouveau coup. -Foutez-le moi au trou et qu’on le lâche pas des yeux ! Erik, va chercher le Duc et grouille-toi ! L’homme partit en courant. Neryme fut jeter manu militari dans une cage des plus sordides… Où qu’il aille, il finissait toujours dans les mêmes prisons, se dit-il. Mais malgré les douleurs qui lui tiraillaient le ventre et le sang qui perlait de son visage, Neryme avait eu ce qu’il voulait : Un rendez-vous avec le Duc. Notre voleur attendit donc patiemment que celui daigne se montrer. En attendant, Neryme se roula en boule en espérant que cela atténuerait les douleurs. -Que fais-tu ici ? Dit une voix grave et autoritaire alors que le voleur avait perdu toute notion du temps. Neryme ouvrit les yeux et put voir le Duc. Exactement le modèle vivant des tableaux qui ornaient son château… L’homme, d’une soixantaine d’années, se portait plutôt bien. Une petite moustache grise dessinait le haut de ses lèvres et une calvitie bien avancée s’occupait de ses cheveux déjà courts. -Je me suis livré… Dit Neryme assez faiblement. -C’est pas ce que m’on dit mes hommes ! A priori, tu les aurais attaqués… -Croyez-vous sérieusement que si j’avais voulu les attaquer, il n’y aurait pas eu de morts ? L’argument sembla faire mouche et le Duc caressa sa petite moustache en faisant des allers-retours devant la cage. Dans un pénible effort, Neryme réussit à s’adosser contre le mur. -Pourquoi cette soudaine reddition ? Demanda l’archi-Duc. -J’aimerai vous proposer un marché, dit Neryme. -Penses-tu honnêtement que tu sois en position de négocier ? Demanda le Duc avait un petit rire. -A votre avis, Monsieur le Duc, serai-je venu ici si mon offre n’en valait pas la peine ? Le duc scruta avec intention la forme sombre qui se tenait contre le mur. -Je pense que non… Dit moi ce que tu veux ! -Je sais tout à propos de la Confrérie… Le Duc se retourna à la vitesse de l’éclair. Il jeta des regards à gauche et à droite puis s’approcha des barreaux. -Comment es-tu au courant ? Chuchota-t-il. -La question que vous vous posez le plus n’est pas comment je sais mais comment les arrêter, non ? -Je dois admettre que c’est exact ! Je n’ai pas envie qu’un homme prenne le contrôle de toute cette partie du monde ! Et encore moins mon domaine… -Passons un marché ! Dites moi comment les arrêter et on sera quitte ! Vous m’oubliez et vous n’aurez plus jamais à entendre parler de moi ni de cette Confrérie. Neryme était sincère, jamais plus il ne voudrait revenir dans ces régions. Ils s’étaient passés trop de mauvais souvenir. Des choses et sentiments qu’il aimerait oublier. -Tu ne peux pas les arrêter ! Personne ne le peut ! Mais tu peux les freiner, que si tu n’as rien à perdre, bien évidement… Le Duc se retourna ce qui donna à la scène un aspect assez théâtral. -Je n’ai rien à perdre ! Dit Neryme dans un souffle… On m’a déjà enlevé ce à quoi je tenais. -Dans ce cas là, j’ai un plan… Dit le Duc. Mais comment savoir si je peux te faire confiance ? Comment savoir si tu ne vas pas t’enfuir ? -A votre avis, serai-je venu sinon ? Si je voulais partir, je l’aurai déjà fait… -Bien alors écoute : Dans trois jours, les quatre seigneurs les plus influents de la Confrérie vont se réunir en secret. Ils se rejoindront dans une auberge, au beau milieu de la forêt. Tue-les et je réussirai à démanteler la Confrérie de façon diplomatique. Ils seront bien évidement escortés et ces seigneurs sont habitués aux tentatives d’assassinat. C’est donc une mission suicide. -Et je l’accepte ! Dit Neryme qui arrivait enfin à se remettre debout. Je ne sais pas encore comment mais je les tuerai ! -Si tu y arrives, je fais disparaître toutes les charges qui reposent contre toi… -Marché conclu alors ? Demanda Neryme. -Marché conclu ! Répondit le Duc en faisant signe à ses hommes de venir. Messieurs, continua-t-il, je ne veux pas de questions, escortez cet homme jusqu’à la sortie de la ville. Donnez-lui de la nourriture, un cheval et une carte qui pourra le mener jusqu’à l’Auberge du Fanfaron. Je ne pense pas que tu aies besoin d’or… Neryme sourit puis suivit les gardes. Quand il sortit, le Duc se contenta de dire : -Bonne chance, tu en auras bien besoin ! Neryme fut donc accompagné jusqu’à la sortie de la ville où un cheval l’attendait bien patiemment. Notre voleur le chevaucha puis partit en direction d’une cachette où il avait dissimulé toutes ses affaires. Il récupéra rapidement ses bourses, son épée, ses dagues et poignards, ses fioles ainsi que tout ses ustensiles. Il s’assit ensuite sur une bûche puis étudia la carte. Neryme plongea ensuite ses yeux dans les étoiles à la recherche de l’inspiration. Un plan naquit très vite dans son esprit. S’il était exécuté à la perfection, c’était le succès assuré. Maintenant, l’important était de tout mettre en place. @+ -= Inxi =-
  13. Inxi-Huinzi

    L'Ennemi intérieur

    Comme tout le monde : C'est bien écris ! Par contre, je suis pas très partisan des passages ou il y a une interrogation toute les deux phrases C'est extremement personnel mais ca a tendance à m'exaspérer car ca rend pour moi le texte plus lourd ! La, ce n'est qu'une intro donc ca me derange pas mais j'espere que ca ne sera pas pareil pour la suite Et pas en italique aussi Allez, suite ! @+ -= Inxi =-
  14. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Avoue qu'on est fier avec ce genre de phrase Une petite faute d'accord Bon je n'ai vu que ça comme fautes Donc ca va ! Une bonne maitrise : Belles descriptions, bonnes ambiances, realismes des décors ! Je vois rien à redire L'histoire à avancé d'un petit coup mais pas n'importe lequel ! On a une nouvelle amitié qui vient de naitre Bon ... A part ca, j'envie de lire la suite ! Et puis le dialogue aussi maintenant que tu m'as dit ce que c'était Allez, bon courage @+ -= Inxi =-
  15. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Moi, j'aurai mis en millions de picomètre Centaine de mètres aurait suffit tu sais ! Ca fait trop bizarre là Sinon, j'aime bien ce passage ! Surtout la fin en fait, en particulier le tout dernier passage ! C'est bien écris ! Limite je réutiliserai la formule ! Nan, je rigole, je te laisse tes belles phrases et me ferait les miennes :'( Bon sinon dans ce passage, je trouve que les rêves ne sont pas assez exploités ! C'est quand meme la plus grande nouvelle de ces derniers chapitres et on a pratiquement rien dessus On dirait qu'ils s'en moquent quoi ! Pour le reste, c'est du tout bon ! Vivement la suite ! @+ -= Inxi =-
  16. Inxi-Huinzi

    Vers les étoiles

    Une faute d'ortho et une virgule mal placée Bon sinon rien de bien méchant, je ferai gaffe au passage ou tu decris ses sentiments pour sa famille, n'en fait pas trop ! On comprend avec deux allusions, après ca allourdi ton texte !! Bon mis à part ce truc, j'ai pas grand chose à dire niveau défaut : meme rien ! J'ai bien envie de lire la suite au lieu de n'avoir que ce petit bout de texte sous la dent ! Bon, je te laisse bosser tranquilement ! @+ -= Inxi =-
  17. Voici l'avant avant dernier chapitre ! Tenez le coup si vous le pouvez ( meme si je vous livre de gros morceaux ) Allez bonne lecture ! J'espere que j'ai pas trop laissé de fautes : J'en ai corrigé pas mal mais je suis sûr qu'il y en a d'autres ! Chapitre XVI La barque montait et descendait au rythme des vagues. Par chance, la mer n’était pas trop agitée et Neryme n’avait pas trop de mal à contrôler sa frêle embarcation de bois. Il bougea le gouvernail improvisé et se rapprocha de la côte. Après quelques minutes à scruter la roche, il découvrit ce qu’il cherchait : une entrée qui se découvrait par intermittence. Si Neryme ratait son coup, il se retrouverait écrasé contre la roche. Avec une maîtrise insoupçonnée, Neryme passa pile poil dans l’intervalle. La grotte était assez sombre et spacieuse. On pouvait entendre des gouttes s’écraser à l’autre bout du lieu. Neryme sortit une torche qu’il alluma prestement. Il fit dériver son bateau jusqu’à une plage de sable fin. Il sauta par-dessus bord et grimpa des escaliers qui avaient été creusé directement dans la roche. Après une centaine de mètre, il tenta de pousser une porte de bois qui ne bougea que très peu. Après trois coups d’épaule, la porte céda enfin. Neryme se retrouvait à l’air libre dans une épaisse végétation. La ville n’était pas bien loin. Neryme se mit donc à suivre le sentier qui passait tout près. Il suivit celui-ci jusqu’à l’orée de la forêt. Comme sur l’aller, il attendit qu’un paysan passe pour sortir de sa cachette. A la différence de la première fois, Neryme assomma l’homme et le laissa au milieu de la route. Après s’être assuré que l’homme vivait toujours, il enfila ses vêtements et glissa les siens à l’arrière. Neryme fit claquer ses fouets ce qui provoqua la mise en route de l’attelage. Il passa devant les gardes sans le moindre problème. Une fois qu’il se fut assez écarté de la porte principale, il descendit du chariot et fouetta violemment les bêtes. Celle-ci poussèrent des cris stridents et s’élancèrent en direction de la porte. Neryme espérait ainsi que le chariot sortirait de la ville et que les gardes, le poursuivant, tomberaient sur l’homme inanimé. Neryme savait que cette conduite ne lui ressemblait pas et pourtant…Il annonçait à tout le monde qu’il était là et en plus il se souciait de quelqu’un d’autre que lui… Sûrement l’amour ! Se dit-il heureux. Il se mit à trottiner jusqu’aux quais. Pas question de perdre du temps. Il trouva son ami toujours au même endroit. -Oh ! Neryme ! Tu es fou, que fais-tu ici ? -Grouille-toi ! On bouge de là avant que je me fasse repérer… -D’accord, suis-moi, je sais où aller ! Les deux compagnons s’enfuirent dans des routes évitées de tous les gens normaux. Dans une rue pas plus large qu’un homme, ils tournèrent sur la gauche et passèrent une porte. -Nous voilà chez moi ! -C’est mignon ! Dit Neryme avec ironie. En effet, à part un lit, il n’y avait rien. Sûrement quelques coffres de camouflés mais rien de visible au premier abord. -Que fais-tu ici Neryme ? Tu sais qu’il y a des gens qui souhaitent ta mort ici ! -Justement, c’est pour ça que je suis revenu ! Je suis peut-être tout seul mais je suis sûr qu’il y a quelque chose que je peux faire pour les arrêter ou au moins les ralentirent un bon coup. -Je ne sais pas ! C’est vrai que tout seul, tu ne peux pas faire grand-chose ! Et les attaquer de front est suicidaire ! -Dis-moi tout ce que tu sais d’eux ! Et vite ! Déjà que tu m’as caché leur existence la première fois… je devrai te tuer ! -C’était pour ton bien que j’ai fait ça ! Je sais de quoi ils sont capables ! Tu n’es pas de taille ! -C’est ce qu’on verra ! Dit notre ami. -Tu es malade, hein ? Tu le sais ça ? Bon alors… Voilà ce que je sais : Cette guilde a été crée à la base pour détruire toutes les guildes de voleurs qui, je cite, « polluent » les belles cités. Elle a pris le nom de Confrérie de l’Ombre en hommage à une ancienne action qui aurait… enfin je sais pas trop de trucs là-dessus. En tout cas, les seigneurs les plus pourris des cités qui forment cette région du monde se sont unis… Sauf le Duc de Brankburg qui est contre cette idée. Ils ont engagé en majorité des mercenaires pour former la guilde ce qui permettra à la fin à l’un d’eux d’asseoir le contrôle sur cette guilde et ainsi, sur les cités voisines. Ah oui ! Ils ont aussi détruit quatre guildes et la votre est la prochaine sur la liste… -Tu seras gentil de mettre de l’ordre dans ton récit la prochaine fois ! Dit notre ami. Enfin bref… J’ai aussi entendu parler de la Confrérie de l’ombre, dit Neryme en s’asseyant au bord du lit. Je n’en sais pas plus mais je sais que mon chef y avait eu affaire. Il l’avait détruite pourtant ! -A priori, pas entièrement… -Mouais... Le Duc de Brankbrug tu m’as dit ? -Oui, c’est ça… Tu comptes t’en faire un allier ? -J’aimerai bien, dit Neryme, mais je crois que quelques petits différents nous séparent encore… Le nabot eut un petit rire. -Ah d’accord, je vois ! Dit-il avec un clin d’œil. -Je pense que je vais quand même essayer, je n’ai pas bien le choix… Sais-tu pourquoi ils s’en prennent à moi ? -Il pense que ton chef est au courant et que tu as envoyé dans ces régions pour enquêter… -Mais c’est faux ! Se plaint Neryme. -Mais ils ne le savent pas… -En plus, ils n’auraient pas essayé de me tuer, je n’aurai jamais été au courant. -Où vas-tu aller alors ? -Je crois que j’ai gagné un retour vers Brankburg… -Pars maintenant alors ! Le temps presse, plus tu t’attardes, plus ils se renforcent… -Merci pour tout ! Dit Neryme avant de partir… -De rien… Je dois être la première personne vivante à l’avoir entendu, tiens ! Ajouta le petit gars une fois que la porte eut claqué. Neryme, quant à lui, ne repartit pas par la voie de la mer mais bien par la voie terrestre. En effet, comme il en rêvait depuis longtemps, il lui était impossible de ne pas aller voir celle qu’il aimait… Il sortit donc de la ville le plus discrètement possible. Après avoir attendu quelques minutes pour voir si une filature n’avait pas été engagée, il s’enfonça dans la ténébreuse forêt pour trois heure et demi de marche. Plus il se rapprochait de la petite bourgade, plus son cœur s’accélérait. Oui, il était retombé amoureux ! Et il savait que cela était dangereux ! Mais que faire dans ces conditions ? Il ne faisait que penser à elle, il s’était adouci et avait gagné en compassion… Si cela continuait, il allait devoir arrêter son métier. Neryme eut un grand sourire, cela ne le dérangeait peut-être pas au fond… Il arriva à une centaine de mètres du village sur les coups de midi. Il croisa le regard de Dinelgera et elle vint à sa rencontre. Neryme rabattit sa capuche et eut un sourire qui lui remonta jusqu’aux oreilles. Leurs visages s’approchèrent et il reçut un unique bisou. -Que de distance… Pensa Neryme. Elle lui prit la main et partit vers une maison. C’était sûrement pour ça que les retrouvailles n’avaient pas été aussi émouvantes qu’il ne se l’était imaginé : Ils étaient sûrement pressés et il ne fallait pas que le père ne leur tombe dessus. Et ce fut comme ça pendant cinq jours, il se trouva des excuses. Elle était distante et au bout du deuxième jour, elle dit enfin : -Tu sais la dernière fois que tu es venu ? Et bien, j’étais assez gêné, je suis assez indépendante et je n’aime pas trop qu’on soit tout le temps ensemble… Et j’aimerai aussi que ça ne soit pas aussi intime que la dernière fois, que cela reste plus calme et amical… Sur le coup, Neryme n’avait pas su quoi répondre. Une énorme boule s’était formée dans son estomac, il avait du mal à mettre deux idées en place consécutivement. Une seule question lui brûlait les lèvres : Etait-ce terminé ? Il n’eut pas le courage de demander : Ils étaient en plein repas et Neryme se promit de demander après. Pierre, à l’autre bout de la table, n’avait rien dit ni manifesté au retour de notre ami… Il devait être terrorisé. A la fin du repas en tout cas, tout se termina bien, ils s’embrassèrent avant de dormir ce qui eut le mérite de démontrer à Neryme qu’il s’en faisait un peu trop. Mais la suite ne fut en rien rassurante. Elle était toujours aussi distante et Neryme se posait de plus en plus de questions qui se dissipèrent à chaque fois sur leur câlin post réveil et pré nocturne. Mais un jour, au détour d’une maison, Neryme tomba sur une conversation plus qu’intéressante. En effet, Dinelgera était en train de discuter avec l’un de ses amies. -Non, quand je l’ai revu, j’ai su que c’était différent, je ne ressentais plus les mêmes choses pour lui… Neryme faillit s’évanouir. Il s’adossa au mur de la maison et retint son envie de crier. Il pivota lentement et s’enfuit dans la forêt. Il n’en ressortit que bien plus tard, quand la nuit fut tombée depuis longtemps. Il rentra dans la maison, gelé par le froid et tremblant comme une feuille. -Ou étais-tu ? Demanda Dinelgera. -Je ne sais pas… Je suis allé prendre l’air. -Ca ne va pas ? Demanda-t-elle. -Pourquoi tu demandes ça ? Demanda Neryme. -Parce que d’habitude, quand on fait ça, c’est que quelque chose ne va pas ! Neryme avait du mal à retenir ses larmes. -Tu as entendu ma conversation ? Demanda-t-elle. -Non, pourquoi j’aurai du ? Mentit notre ami. -Alors dis moi ce qu’il ne va pas ! -Devine… Dit Neryme. -Ma distance ? -Entre autre ! Répondit notre ami. Elle soupira. -Tu sais, ce n’est pas facile d’attendre si longtemps. Au début, quand ils t’ont emmené, j’étais triste mais je savais qu’il ne t’arriverait rien. Et puis cette absence, on s’y fait, loin des yeux, loin du cœur, dit-on… -Il y a bien qu’à toi à qui ça fait ça ! Dit Neryme qui avait du mal à contenir son désespoir. -Je sais, mais c’est toujours comme ça quand ça devient sérieux pour moi… Mes sentiments ont changé depuis la dernière fois… -A table ! Entendirent-ils. Les deux protagonistes s’arrêtèrent donc de parler et sortirent de la maison. A son grand réconfort, elle tendit la main. Neryme eut un pâle sourire et lui attrapa : Ils étaient toujours ensemble ! Les deux derniers jours se passèrent un peu mieux, l’abcès ayant été crevé. Mais cela aurait été trop bien pour notre jeune voleur… Alors qu’il travaillait dans les champs, il reçut une missive : Je ne peux pas simuler mes sentiments, je suis désolé… Tu es quelqu’un de bien mais je ne crois pas que cela serait utile qu’on continue d’être ensemble… Il serait bon qu’on coupe tous les ponts et qu’on refasse notre vie chacun de notre côté. Comme ça, si jamais je suis de nouveau avec quelqu’un, tu n’en souffriras pas. Ce ne fut qu’un demi coup de couteau pour notre ami. Il s’y était déjà préparé et avait déjà pleuré pour ce moment. Cela n’empêcha pas son cœur de se briser pour la seconde fois. Il resta un instant les bras balans puis partit : Plus rien ne le retenait maintenant. Sur le chemin, il croisa Pierre qui se permit de sourire à son passage. Neryme lui dessina un nouveau sourire sur la gorge. Le vrai tueur était de retour. Jamais il n’aurait du replonger dans l’amour. Il l’avait failli faire mourir, il l’avait amolli, il l’avait surtout encore trahi. Neryme reprit la route de Brankburg, tous ses sentiments définitivement morts derrière lui… @+ -= Inxi =-
  18. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Bon ben rien à dire C'est vraiment pour meubler en attendant une suite que tu as fait ca ! Parce que peut etre un petit moment sur la psycho de hugo, il y a pas grand chose ! Bon bah j'attends une suite plus longue alors ... @+ -= Inxi =-
  19. Inxi-Huinzi

    la nuit des figurines

    Pas mal ! Ca fait du bien de pouvoir se replonger dans ce texte ! C'est un peu court et on reste sur notre fin mais sinon c'est vraiment bien ! Suite ! @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    Vers les étoiles

    Bon que dire ! Pour commencer, c'est une introduction assez classique mais toujours bien décrite ( Je sais que c'est dur de sortir des clichés ) Enfin breef, tu présentes le personnage d'assez loin mais je suppose que cela changera par la suite. Pour le reste, j'ai pas grand chose à dire ! J'ai pas vu de fautes et mis à part une phrase que j'aurai changé ( l'ordre des mots en fait ) j'ai rien à dire ! Bon et bien je t'encourage à faire une suite ! @+ -= Inxi =-
  21. Bon j'ai fait les changements qui s'imposaient ! Il me reste deux trois trucs à changer mais comme il datait un peu, je changerai plus tard Pour commencer, Kroxi Donc j'ai préciser des infos sur la scène, notement qu'il ralentit et qu'il coupe la scène, j'espère qu'avec les explications que j'ai données, cela va mieux. Iliraon Ca, j'ai laissé, ca me parrait possible J'ai réduit le nombre J'ai changé en reduisant la hauteur de la charrue ( il peut donc aller plus loin ) et en précisant que les hommes sur les chevaux derrière sont en armures contrairement à Neryme. Bonne idée ! J'ai failli remplacer mon passage tu sais Et enfin, Fourberass, Elgalen et Gemini La forme (et fond) ont été corrigé, merci d'avoir notifié les erreurs que je me suis empressé de corriger ! Maintenant, j'aimerai venir sur une remarque de Iliaron qui est la suivante : *Ben voilà, en fait, ces temps-ci j'ai un peu de mal avec ce texte car j'ai perud toute motivation d'écrire dessus. En fait, c'est bizarre à dire mais des qu'on change sa facon d'ecrire, la psychologie change aussi. En fait, on m'avait beaucoup fait remarquer sur mes textes précédents que je laissais pleins d'évenements ou persos en route ce qui rendait mon texte au final, pas achevé. Sur ce texte, j'ai voulu faire croiser tout ce que je disais pour que ca soit coherent et qu'un personnage ne disparait du recit que de facon expliquée et admise ( sans solution de facilité ) Maintenant, j'ai foutu un beau bordel dans mon recit a tel point que je sais pas par ou continuer ! Je sais un peu près quelle ligne adoptée mais ca me plait plus, j'aime pas être entravée à raconter certains trucs car ca ne me passionne pas en tant qu'écrivain.. Il va donc falloir que je fasse un gigantesque plan par papier pour tirer tout ça au clair... Mais comme ça fait deux ou trois chapitres que c'est comme ça, je voulais savoir entre autres si ca se ressentait dans votre lecture (en ce cas, je stop tout et j'attends d'avoir trouvé la bonne solution!) Mais sachez que je ne reste pas inactif, qu'en attendant j'écris un nouveau récit ! Il fera environ une centaine de pages word et je l'écris n'importe comment Je l'écris à ma manière et au final seulement, je ferai les ajouts pour le rendre plus solide et coherent Enfin voila, si vous avez des remarques, tout cela est le bienvenue ! EDIT : Ce qui me laisse donc à la conlusion que je risque de plus retoucher ce texte pour un certains temps @+ -= Inxi, qui s'il a oublié des trucs, bin je reviendrai ! =-
  22. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Voilà une paire de répétition ! Sinon pour ce passage, c'est vrai qu'il ne se passe rien et que ce n'est que des descriptions ! Donc à part dire que c'est joli et que c'est bien écris, je sais pas trop quoi dire Passons à la suite : Pas de faute ... Par contre, je pige rien Je vois pas ce que ca vient faire ici ! Je sais que c'est l'introp mais c'est vraiment pas une bonne idée de couper ton texte, quant tu vas revenir après sur la suite de l'histoire, c'est sur je serai perdu ! Galèèèèèèèère Sinon, j'ai rien à dire, c'est une intro bien sympatique ! J'aime bien le moment avec le bilboquet ! Ca fait realiste, ca donne plus de charme Sinon, saches que j'allais commenter ton texte ce soir, je me suis juste laissé emporter par la motivation de mon nouveau texte et j'ai pas vu l'heure passer ! J'ai ecris un peu beaucoup ( je viens de depasser en taille les huit pattes du destin) mais voila mon retard ( que j'avais pris quand j'étais en Belgique) de rattrapé ! @+ -= Inxi =-
  23. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Houla ... 'ti problème là ! C'est quoi que cette suite hein ? J'avais meme pas vu qu'il y en avait une, je croyais qu'au départ, c'était une de tes réponses ! Alors je veux plus de ça hein ? Bon c'est pas trop mal, tu te concentres sur le valet et sa personnalité. Un peu voleur mais conscient de ce qu'il fait. Il veut rendre service mais sait qu'il est maladroit ! Ca rend ton perso plus vivant, c'est bien ! Sinon je n'ai pas vu de fautes d'ortho ou autres donc tu maitrises bien la forme ! Alors essayes de perseverer sur une hypothetique suite ! @+ -= Inxi =-
  24. Vraiment super J'ai rien à dire sur ce passage ! A si .... Il a mit du temps pour arriver ! Après tous les efforts qu'on fait pour toi, tu pourrais poster plus vite ? Bon niveau forme, rien à dire, tu sais de quoi tu parles, tu sais manier la langue et cela se ressent dans ton histoire ! Tu as posé ton monde et maintenant on le traverse vraiment facilement, on vit dedans comme si c'était le notre et ca te permet à toi, de te concentrer plus sur la trame que sur le fond meme ! Allez, un ti combat pour la suite @+ -= Inxi =-
  25. Bon j'ai plein de changements à faire mais je vais juste expliquer ce passage que personne n'a compris visiblement Donc il va vers le cheval de l'homme que Neryme a desarsonner, noté Il se penche pour prendre la selle ( je vais mettre qu'il la coupe, merci Elgalen ), noté : Et pour terminer, Elgalen, tu dis : Et moi j'ai marqué : Donc voila, pour moi c'était assez clair Enfin si vous me dites que non, je changerai ce passage aussi @+ -= Inxi =-
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.