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Inxi-Huinzi

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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. Tout d'abord, merci pour toutes ces réponses, qui, je dois dire, m'ont surprises ! Je pensais pas qu'il y avait encore tant de monde Ensuite, pour Gemini essentiellement, les fautes sont corrigées, ne t'inquiete pas ! Je les ai corrigé sous word et j'attends que tu arrives à la fin pour modifier tous mes paragraphes Pour Iliaron notement et les autres, j'ai pris en compte vos remarques et je corrigerai un peu plus tard car pour l'instant, j'ai perdu ma motivation sur ce texte J'ai commencé à retourcher certain passage comme le foin et le feu Je posterai tout ca quand ca sera bon ( En tout cas, sachez qu'il y a un nouveau texte qui se prepare ! J'en ai ecris autant que ce texte ci !) Allez la suite sans plus attendre : Chapitre XV Le cheval galopa toujours plus vite mais ses adversaires n’en étaient pas en reste, ils ne lâchaient pas prise. Le destrier arriva jusqu’aux champs d’entraînements. Il foula rapidement le sable fin et traversa la piste en largeur. Le cheval sauta par-dessus la barrière ce qui permit à Neryme de remettre de la distance entre lui et ses poursuivants. Ce que notre voleur ne vit pas, c’est que le champ d’entraînement était en fait une sorte d’arène à sortie unique. Neryme était en ce moment dans l’anneau extérieur et tournait en rond. Les autres soldats à sa poursuite étaient dans l’anneau central et se préparaient à l’intercepter. Quand Neryme vit la même sortie qu’il avait empruntée, il eut comme un doute sur ses chances de survie. En effet, quelques archers s’étaient mis en position et se préparaient à décocher leurs traits. Neryme fit tourner sa monture et passa devant les autres cavaliers qui reprirent la chasse. Les archers, quant à eux, avaient tiré trop tard ce qui fit que les flèches se perdirent dans le vent. Neryme se remit à slalomer dans l’arène centrale alors que les cavaliers du Duc tentaient une manœuvre d’encerclement. Ils réussirent même à le plaquer contre la barrière de l’anneau interne. Neryme motiva son cheval en lui flattant l’encolure. L’animal sembla comprendre sa demande, et après que Neryme se soit bien cramponné, l’animal s’élança. Le cheval fonça droit sur un cavalier qui était en train de sortir son arme. L’homme se baissa juste à temps pour éviter la bête qui le frôla. Neryme, lorsqu’ il se retourna, vit ce dernier chuter au sol. Et un cavalier de moins ! Essaya-t-il de positiver. Sa joie fut de courte durée quand il vit arriver deux cavaliers supplémentaires en renfort. Ceux-ci étaient aussi équipés d’arcs. Neryme allait donc devoir tenter une nouvelle sortie. Il fit un dernier tour pour pouvoir récupérer la selle du cheval qui n’avait plus de cavalier. Il ralentit sa monture, coupa la selle et fonça vers la sortie. Les adversaires ne le lâchèrent toujours pas d’une semelle mais ils étaient trop maladroits pour qu’une flèche ne puisse le menacer. L’animal arrivait à pleine vitesse. Les archers attendirent la dernière seconde pour tirer. Les flèches fusèrent dans les airs et se heurtèrent à une barrière de cuir. En effet, Neryme avait lancé la selle ce qui permit de dévier deux traits ainsi que d’en arrêter deux autres. Les tireurs, voyant que leurs missiles n’avaient pas atteint la cible, s’écartèrent avant que Neryme, et sa monture, ne les piétine. Ce dernier, au lieu de se rediriger vers la cour principale toujours en feu, tourna à droite en direction du petit village qui avait la chance d’être dans l’enceinte du Duc. Notre ami se demanda ce que les habitants devaient faire pour le Duc pour avoir ce privilège… Le cavalier sauta par-dessus une petite charrue et traversa le village. Derrière lui, Neryme entendit des bruits sourds : A priori, tous les chevaux n’étaient pas aussi doués que le sien. Surtout lorsque la bête devait transporter un homme en armure. Il continua à travers le village en zigzaguant. La porte de l’enceinte fut bientôt en vue. Neryme talonna de plus belle sa monture. Mais à peine fut-il à quelques mètres de l’arche que la herse s’abaissa violemment. Le voleur fut assez désespéré mais il encouragea sa monture de nouveau et la poussa en direction opposée des assaillants qui arrivaient : en direction des remparts. L’animal monta les marches rapidement et trotta sur le chemin de ronde. Par chance, la corde que Neryme avait dissimulée était toujours là. Il descendit de l’animal et lui envoya une grande claque sur la croupe pour qu’il reparte d’où il vennait et gêne ainsi la progression des hommes du Duc. En attendant, Neryme se jeta dans le vide. Il attrapa la corde de ses mains gantelées et se laissa choir jusqu’en bas. Il fit claquer la corde et celle-ci lui revint comme d’habitude. Il courut ensuite jusqu’à la palissade en se moquant éperdument si on le voyait ou pas. Il se hissa en haut de la barrière et sauta de l’autre côté. Neryme ne vit pas de patrouilles dans les environs. Il profita de cette aubaine pour disparaître dans la nuit avec son petit butin. Quelle journée ! Pensa-t-il en s’adossant à un petit muret. Il l’avait échappé belle.. Tout ça pour ces quelques bourses ! Il aurait pu cambrioler un marchand pour deux fois plus. Mais au moins, son honneur était sauf et son orgueil ne criait plus vengeance. Alors que Neryme reprenait ses esprits, il entendit des cris qui montaient de la forteresse. L’armée personnelle du Duc franchit les portes de la forteresse sous les ordres effrénés d’un capitaine. Neryme se remit debout en un clin d’œil et courut dans le centre ville. Après deux carrefours, Neryme perçut des bruits de festivité. Le voleur partit dans cette direction. Une fois arrivé sur la place du bal, il rabattit sa capuche et se joignit à la fête alors qu’au même moment, des gardes prenaient position. Neryme dansa rapidement avec une demoiselle, bras dessus dessous, puis il se glissa dans une petite rue aussi large que lui. Après quelques mètres, il découvrit ce qu’il cherchait : une petite bouche d’égout. Sans hésiter, Neryme la souleva et disparut dans les souterrains de la ville. Notre voleur se demanda s’il n’avait jamais autant emprunté ces passages. Après quelques secondes, l’homme en noir parvint à la conclusion que non. Il ressortit quarante-cinq minutes après, au niveau des docks. Neryme calcula rapidement le temps qu’il s’était écoulé depuis sa sortie de prison. Il ne lui restait plus beaucoup de temps… Il leva la trappe et sortit derrière une grosse caisse en bois. Après d’être assuré que ces maudits gardes n’étaient pas là, il courut sur les quais à la recherche du navire. Au grand damne de Neryme, il ne le trouva pas. D’après un homme sur le port, il l’avait raté de peu. Après quelques secondes de réflexion, Neryme décida d’acheter un petit navire. En fait, cela était même mieux car il pourrait choisir où il voulait aller. Le voleur n’était pas à l’aise à chaque fois qu’il partait seul sur l’eau. C’était un des rares endroits où les chances de réussite ne dépendaient pas de lui. De toute manière, Neryme avait juste à suivre la côte, il ne risquait rien. Il guetta donc le retour d’un pêcheur. Au final et en vue de l’heure, Neryme décida plutôt de miser sur quelqu’un allant sur l’eau. Un homme d’un certain âge apparut alors sur le quai. Le voleur approcha tranquillement de l’homme qui prit peur en voyant le sombre individu arriver vers lui. Neryme, voyant sa réaction, abaissa sa capuche et tendit les mains en signe de paix. L’homme parut soulagé et attendit que Neryme prenne la parole. -Bonjour l’ami ! Je souhaite acheter un navire ! En vendrais-tu un par hasard ? -C'est-à-dire que j’en ai un, dit-il de sa voix éraillée, mais il n’est pas à vendre. Je dois aller pêcher et sans barque c’est impossible ! Et si je vous le vendais, il y aurait des pertes dues au temps que je récupère ma nouvelle chaloupe. Neryme n’avait pas de temps à perdre, il abrégea la négociation que l’homme voulait entreprendre indirectement. -Je t’en offre le double ! -Vendu ! Se réjouit l’homme. C’est le navire là-bas… Neryme monta donc dans le navire et détacha les cordes qui le maintenaient à quai. Le bateau glissa lentement sur l’eau. Ce dernier n’était pas très grand et permettait seulement à deux hommes d’être dessus. Après une brève inspection, Neryme espéra que la barque n’allait pas couler car il était en piteux état. Il aurait pu en acheter dix des comme ça avec la somme qu’il avait payée… Maintenant, notre ami devait prendre une décision : Faire quelque chose contre l’organisation ou aller à la baie pour transmettre le message. Le message était d’une importance capitale. Il devait absolument prévenir son chef que son frère n’était pas dans ses régions. Une fois chose faite, il pourrait même très bien revenir ici avec des renforts pour contrer cette guilde. Mais d’un autre côté, Neryme savait que s’il n’agissait pas maintenant, il ne pourrait plus rien faire… Il hésita encore quelque minutes avant de mettre cap vers la ville de l’ex-magicien Tycontrel et cette maudite organisation : le message attendra, Neryme avait des comptes à régler. @+ -= Inxi =-
  2. Inxi-Huinzi

    La voie du Samuraï

    Regarde suffirait je pense La, j'aurai mis la première partie de la phrase au dessus, dans le paragraphe d'avant. La transition ne serait que meilleure ! J'aurai peut-être mis le verbe réapparaître Mis à part, ca, j'ai pas grand chose à dire. C'est une suite assez courte qui ne permet pas de grosses critiques ! Donc j'envie de dire que c'ezs tune bonne suite bien maniée et que j'attends la suite ! Le dialogue avec le seigneur risque d'etre assez interessant ! @+ -= Inxi =-
  3. Inxi-Huinzi

    Serge le Poltron

    Voila, dans ton histoire, je viens de prouver que tu savais pas écrire mouhahaha Donc voila les 'tites fautes que j'ai trouvées ! Sinon, je pense pas que ce passage apporte quelque chose de précis a ton histoire... Ca te détends et nous aussi par la meme occasion ! Enfin bref ! Tout ca pour dire qu'une suite est fortement attendue @+ -= Inxi =-
  4. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Bon, tu retrouves le meme defaut que tu avais au début : tes dialogues. J'ai l'impression d'en voir partout ! Un autre truc aussi, certains passages me font penser à des répliques de legolas dans le seigneur des anneaux : Qui sont ... space ! Du genre : "L'aube se leve rouge, beaucoup de sans a du couler ..." Des trucs qui font bizarre et manque de realisme ! Voila, en fait, je viens de tilter, des fois, tu fais parler tes persos pour rien dire alors que tu pourrais facilement le remplacer par une description ! Ma remarque a surtout à voir avec le second texte posté que sur le premier ou j'ai rien a reproché ! Enfin voila mon humble avis Sinon, pour le reste : Ton histoire est bien en place et on attend bien evidement leur arrivée pour voir comment ca va se passer ! Ah ... Autre chose pendant que j'y pense : Evite de t'eparpiller dans toutes les directions, trois passages, trois lieux et personnes differents va vite nous embrouiller donc fais bien attention ! Bon pour les qualités, pas besoin de les enumerer, tu les connais ! En tout cas, meme si ca parait dur, ton texte n'en est pour rien gaché ! Suite @+ -= Inxi =-
  5. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Il manque un point Ca fait classique ce duel ... Le chef des orcs contre le chef des humains, un petit duel qui va influencer le cours de la bataille Enfin, je vais dire un truc con : Je ne sors pas non plus de ce cliché que je reutilise aussi Enfin bref, tout ca pour dire que c'est pas trop mal et ton personnage perd son image de brute avec son valet notament, je sais pas si c'est un bien ou un mal, ca dependra de la suite ! Donc ... Suite ! @+ -= Inxi =-
  6. Non et non Vous aurez la réponse dans le dernier chapitre, et meme la dernière phrase ( j'ai tout prevu !! ) J'aime bien expliquer mes titres sur la fin Pour le moment, ca ne sera que des hypotheses ! Mais c'est facile à voir @+ -= Inxi =-
  7. Hop la, et encore merci a Gemini pour son travail ! Chapitre XIV Le mystérieux couple traversait les couloirs aussi discrètement que le permettaient les chaussures de la fille du Duc. Fort heureusement, cela n’attira pas l’attention des gardes qui connaissaient ce bruit caractéristique. La demoiselle s’arrêta juste avant une intersection. -Après ce couloir, il y a le bureau de mon père. La pièce est surveillée par deux gardes, je pourrai te faire rentrer mais pas te faire sortir… Le coffre se situe sous la chaise, il n’y a pas de verrou : mon père pense que sa localisation est son meilleur atout. Prends le minimum ! Maintenant adieu ! Dit-elle en faisant mine de passer le couloir. -Attends ! Dit Neryme. Même s’il n’en avait pas envie, il lui devait une faveur. Ne sachant quoi dire, il la remercia et l’embrassa avec tendresse sur la joue. Elle rougit et se remit en marche. -Vous, suivez-moi ! Entendit le voleur. Une fois que les bruits de pas se furent éloignés, Neryme se lança dans le couloir et entra discrètement dans le bureau. Il ne perdit pas de temps à la contemplation mais il vit rapidement que celui était sobre, sombre et fait tout de bois. Le voleur retira la chaise et se pencha vers la supposée trappe. A force de tâtonnements, le voleur localisa l’emplacement secret mais quelle fut sa surprise de voir une combinaison ! A priori, la fille n’était pas au courant de tous les agissements de son père … Cela faisait longtemps que Neryme n’avait pas eu à crocheter de coffre. Au bout de quelques essais, le voleur retrouva ses réflexes et après deux autres tentatives, il vint à bout du mécanisme. Neryme ouvrit la porte et se chargea de toutes les bourses qu’il put. Une fois chose faite, il chercha par où sortir et vit la cheminée. Celle-ci était faite dans une pierre blanche qui ressemblait à une sorte de marbre. Il se pencha par l’ouverture et trouva que le trou était assez grand pour qu’il puisse s’y glisser. Il commença l’escalade en appuyant son dos contre une des parois et en plaquant ses pieds de façon à monter par étapes. Sur les derniers mètres, il dut se servir de ses dagues en les plantant car le boyau s’était rétréci. Alors qu’il pensait être dehors, il resta coincé à sa grande surprise : En effet, les bourses, formant un relief sous sa combinaison, l’empêchaient de passer. Neryme avait tout sauf envie de se débarrasser de sa fortune… Après un soupir, il dut se résigner à en laisser tomber une grande partie pour pouvoir rejoindre le toit de la maison. Ce que Neryme n’avait pas vu pendant son ascension, c’est qu’il avait été repéré et qu’un gros feu avait été allumé dans la cheminée pour tenter de l’étouffer. Neryme, trop occupé à monter, ne l’avait remarqué que lorsqu’il sortit à l’air libre car des petites volutes de fumée montèrent à sa suite. Le voleur fut à peine en équilibre sur les tuiles qu’il vit une flèche passer juste à côté de lui. Des cris d’alarmes retentirent dans tout le château. Des hommes munis de torches se postèrent sur les remparts et d’autres commencèrent à monter sur les toits. Une nouvelle volée de projectiles passa juste à côté de Neryme qui se jeta dans la pente. Il dégringola du toit en glissant sur les tuiles. Il se raccrocha au rebord du toit et dut se laisser tomber dans le foin à une dizaine de mètres plus bas. A travers la paille, Neryme put voir des gardes qui prenaient position. Le voleur, toujours coincé sous cette dernière, ne pouvait sortir de sa cachette sous risque de se faire embrocher. Neryme vit ensuite le Duc lui-même qui regardait la paille en pensant y voir notre ami. Il secoua la tête, regarda un de ses hommes et hocha de nouveau la tête. L’homme s’approcha torche au poing et la jeta dans la paille. Neryme ne put s’empêcher d’ouvrir des yeux ronds et de lâcher un : -Oh merde ! Neryme, asphyxiant sous son foin, se déplaça vers le côté opposé. Il se plaqua contre le mur et se passa la main sur le visage pour enlever les brindilles ainsi que les gouttes de sueur qui s’étaient formées à cause de la chaleur. Neryme tâtonna le mur à la recherche de quelque chose qui pourraient le sortir de cette fournaise. Il trouva rapidement une trappe de métal qu’il défonça. Il s’engagea alors dans la brèche alors que les flammes arrivaient jusqu’à lui. Après avoir repris son souffle et remis de l’ordre sur lui, Neryme vit qu’il se trouvait dans l’écurie. Sans hésiter, le voleur se jeta sur un étalon. Il lui fit faire quelques pas en direction de la porte de sortie. Une fois devant, il tira un coup sec qui força le cheval à se cabrer en donnant de grands coups de sabots. Il retomba violement sur la porte ce qui eut pour effet de la faire exploser. Il talonna la bête et ils traversèrent la cour au grand galop. Neryme réussit à entendre le Duc hurler : -Rattrapez le ! Ne le laissez pas s’enfuir. Notre voleur tenta d’utiliser la porte principale. Les gardes la refermèrent juste avant qu’il n’y arrive et Neryme manqua même de s’empaler sur les lances qu’on tendait vers lui. Il fit demi-tour et d’un coup de hanche, il refit partir au galop sa monture. Cette dernière renversa deux gardes avant de hennir de joie puis de repartir à travers la forteresse. Neryme, en passant devant les écuries, vit émerger trois cavaliers. Il encouragea sa monture de plus belle avant qu’une course poursuite ne s’engage à travers l’énorme bâtisse de pierres. @+ -= Inxi =-
  8. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Alors pour les deux phrases, j'aurai fait un accord avec peau verte et la suite, et pour la première, il n'y a pas de "x" a feu Sinon dans l'ensemble c'est pas mal ! Meme si la bataille est assez longue sur papier, j'ai l'impression qu'elle est abrégée ... Je saurai pas dire ce qui rend cet effet mais c'est penible Sinon c'est pas mal, Je veux la suite ! @+ -= Inxi =-
  9. Inxi-Huinzi

    La Quête

    Et bien ma foi, c'est pas mal ! Bon principal changement de ce passage : Un peu d'actions ! Bon, donc que dire, une perte me parait peu pour 30 navires de squelette ... Sinon, j'adore ce petit probleme mer/terre, je me demande comment ils vont faire Niveau forme, une ecriture toujours belle et fluide, pas de reproches à faire la dessus ! Continues comme ca, et ca sera bien ! Sinon, bah suite ! @+ -= Inxi =-
  10. Je serai toujours étonné par le nombre de fautes que tu arrives à trouver ... Vraiment imprésionnant ! Merci pour ton travail ! Et merci à vous tous de me lire Sinon, voici la suite : Chapitre XIII Neryme ne savait pas sur quel pied danser. Elle lui appliquait deux comportements opposés. Lequel reflétait réellement la personne qui lui faisait face ? Le voleur déduit qu’elle était partagée entre la joie de le revoir et la colère de ce qu’il lui avait fait. Neryme allait voir si ses anciennes attirances étaient aussi puissantes qu’elles en avaient l’air. -Mais m’amour ! J’ai eu plein de problèmes ! Notamment à cause de ton père ! Et si je suis là, c’est bien pour toi ! -Menteur ! S’exclama-t-elle ! Je ferais bien d’appeler la garde sur le champ ! -Mais tu ne le feras pas ! Dit Neryme d’un ton enjôleur et en faisant grimper ses doigts le long du corset de sa conquête. Parce qu’au fond de toi, tu m’aimes bien ! Elle sourit pendant une seconde avant de cacher son sourire derrière une grimace et de chasser des doigts vagabonds. Neryme n’aimait pas ce jeu dans lequel il n’était pas à son aise. Il était attiré par cette femme mais il n’en attendait pas plus. Il continua quand même son jeu de séduction en se collant derrière elle. -Allons, allons, ne le nie pas ! Ca se voit encore ! -Tu te trompes, rougit-elle. Elle s’écarta à nouveau de lui pour chercher du regard un objet inexistant par la fenêtre. Il se recolla à elle en lui étreignant ce coup-ci la taille. Elle ne se débattit plus. -Tu m’as déçue … Tu m’as fait du mal en m’abandonnant ainsi … -Mais je suis revenu, lui glissa Neryme à l’oreille, tout va redevenir comme avant ! -Non, c’est impossible, dit-elle, il y a quelqu’un dans ma vie ! -Depuis longtemps ? Demanda-t-il. -Une semaine … -Tu pourrais l’oublier, dit-il avec un tendre baiser dans le cou. Elle lui passa la main dans les cheveux, pivota pour lui faire face, soupira, baissa les yeux et le repoussa pour se dégager doucement … -Je ne suis pas naïve, que veux-tu de moi ? -Comment peux-tu … Commença à feindre Neryme. -Ne t’enfonce pas Neryme… S’il te plait … Elle l’appelait rarement par son prénom. Uniquement quand la situation était grave. Il laissa donc tomber le masque de l’ignorance. -J’ai besoin de la fortune de ton père ! -Je l’aurai parié … Dit-elle en relevant les sourcils. -Mais ce n’est pas ce que tu crois ! J’ai laissé ma fortune à la prison et je souhaitais … Se rendant compte qu’il venait de faire une gaffe, il anticipa la question : -J’ai été arrêté pour … Neryme ne pouvait pas dire que c’était pour une autre femme … avoir été trop généreux envers un village ! -Voyez-vous ça … Dit ironiquement l’aristocrate. -Un des hommes, alors que je les avais sauvés des loups, a cru que je voulais être chef du village ! Il m’a dénoncé à ton père ! La demoiselle, convaincue ou pas, sembla accepter la réponse. -Tu as donc sauvé ce village ! Il y a beaucoup de rumeurs qui circule à ton sujet, tu le savais ? -Euh non, avoua-t-il, et que disent-t-elles ? -Tu aimerais que ton ego soit flatté hein ? Dit-elle avec un sourire, et bien sache qu’on ne tarit pas d’éloge, c’est sûr … Mais tu n’en sauras pas plus ! -Et pour mon problème ? Tenta Neryme. Elle soupira et dit : -Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je vais le regretter ! @+ -= Inxi =-
  11. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Et ben moi ca m'a plu ! J'ai vu tout de suite ton but dans ce passage ! Ce qui prouve que tu arrives de mieux en mieux à faire passer tes idées. Et puis c'est assez évident qu'on creuse ici les personnages ainsi que le tréfond de leur pensée ! Sinon, niveau forme impec ! Encore un grand dialogue à la Iliaron ! Ca va etre ta marque de fabrique ! Mais c'est vrai que ca rend les presentations plus vivantes meme si le but premier en est un peu perdu Ben sinon, je suis pressé de savoir comment ils vont au final faire pour rentrer ! Je crois que je vais devoir attendre mais je suis prêt à le faire ! @+ -= Inxi =-
  12. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Ben c'est pas mal du tout dis moi ! Bon niveau forme, je suis assez étonné ( et jaloux ) car malgré la taille de ton texte, j'ai pas vu une seule faute ( ce qui ne veut pas dire qu'il y en a pas ), même chose pour les phrases mal construites Pour le fond, c'est pas l'amitié qui ressort le plus je trouve dans ce passage, je dirai que c'est la confusion de Kirla ! Il sait pas quoi faire, et dans cette confusion on voit ressortir l'amitié ! Enfin c'est un trèc bon dialogue qui permet de voir que Kirla a des gens qui tiennent à lui et à qui il peut se confier !! Bon, j'ai fais le tour : Suite !!! @+ -= Inxi =-
  13. Inxi-Huinzi

    Serge le Poltron

    Bon c'est pas mal ! Par contre, il y a pas mal dea fautes ! Et c'est assez genant !! Du genre : Niveau fond, c'est une petite suite ! Un bon passage où ils se foutent de leur gueule Enfin bref un bon sourire pendant la lecture ! @+ -= Inxi =-
  14. Voila la suite ! Désolé de ce trou ou j'ai rien posté ! Mais je suis pas mal occuper à organiser quelques personnes Chapitre XII La maison, ou plus exactement, le château du Duc n’avait pas franchement changé en ces quelques mois. Les tuiles et les murs semblaient plus écarlates ce qui laissait supposer que ce dernier avait été rénové récemment. Le château se composait d’une première barricade de bois puis après quelques mètres et tours, un mur de quatre mètres de haut. Si Neryme avait si bien réussi leur dernière fuite, c’est parce qu’ils avaient bien préparé par où passer. Notre ami ne pensait pas que le plan qu’ils avaient utilisé soit, encore aujourd’hui, obsolète. Il allait donc passer de nuit entre les tours qui, à cet endroit, avaient été mal construites et qui laissaient entre elles une zone d’ombre dans laquelle notre voleur serait invisible. Ensuite, il aurait le choix entre escalader, prendre l’entrée ou utiliser la porte de derrière qu’utilisaient les esclaves et les cuisiniers. Et pour terminer, il devrait trouver quelqu’un capable de le renseigner sur le nouvel emplacement de la salle des coffres car Neryme se doutait que des changements avaient dû avoir lieu depuis son dernier passage. Neryme choisit de passer par les cuisines. La première raison fut qu’il savait où aller. La deuxième fut que l’entrée était trop dangereuse pour qu’il tente cet accès. Et pour terminer, il passerait par là pour se garder les murailles pour sa fuite : Il avait récupéré sa corde. Ensuite, Neryme irait voir sa conquête qu’il avait abandonné ici après leur fuite. Neryme espérait qu’elle aurait pardonné pendant tout ce temps mais il ne se faisait que très peu d’illusions … Le voleur alla donc en direction des fameuses tours qu’il devait franchir à l’aller et au retour et bien avant que le soleil ne pointe le bout de son nez. En s’approchant du lieu dit, il vit que la seule modification était la présence de barbelés sur le haut de la rambarde. Neryme sourit et escalada la paroi. Arrivée en haut, il se pendit aux planches et de l’autre main, sortit une pince qui allait lui permettre de couper les barbelés. Il se hissa par-dessus la rambarde, et juste après que la ronde fut passée, il courut en direction des murailles contre lesquelles il se plaqua. Une fois que son cœur se fut calmé, il essaya de percer la nuit de ses yeux pour voir s’il y avait le moindre indice sur le fait qu’on l’aurait repéré. A priori, tout allait bien, il pouvait rejoindre la porte de la cuisine. Neryme se cacha derrière un petit monticule de pierres qui semblait avoir été laissé ici après les travaux. Il se situait à deux pas de la porte. Normalement, notre ami n’aurait pas à attendre longtemps avant que le ravitaillement nocturne n’arrive. A peine se souvint il de ce détail que les premiers serviteurs passèrent en courant devant Neryme avant de s’enfoncer dans la nuit. Ils revinrent au pas de course les bras chargés de provisions. Le voleur, en embuscade, attendit que la majorité du groupe passe avant d’assommer le plus lent. Il enfila ses habits, ce qui n’était pas forcement agréable avec ceux qu’il portait avant et qu’il refusait d’enlever, prit les paquets et se mit à courir comme les autres esclaves. Un coup de fouet dans les jambes l’accueillit dans la pièce avec un chapelet de jurons : -Espèce de saloperie ! Le Duc ne va pas attendre toute la nuit ! Grouilles-toi donc ! Si jamais notre Duc se plaint, je te ferai pendre haut et court, espèce de vermine. Neryme se retint de lui couper la langue et se contenta de baisser la tête et de marmonner. Il suivit les employés sur une courte distance avant de se débarrasser des habits et des colis dans une des réserves. Après un petit regard dans le couloir encombré de tonneaux et d’ustensiles de cuisine, il se dirigea prestement vers le hall d’entrée. Neryme croisa différents serviteurs mais aucun d’eux ne s’alarma sur sa présence. Il arriva ensuite dans le hall d’entrée, lieu normalement restreint à la famille du Duc. Les serviteurs n’avaient pas le droit d’y être comme lui rappela un garde qui avait un peu trop forcé sur une outre de vin. Neryme le frappa durement au visage puis disposa le corps de façon à ce qu’on le croie ivre. Le voleur rentra donc dans la nouvelle pièce richement décorée de lustres en cristal et de soie fines et se dirigea vers les quartiers privés du château. La fille du Duc était la femme qu’il allait essayer de retrouver. Neryme se demanda d’ailleurs si ce dernier avait appris leur liaison. Ca pourrait expliquer cette rage qu’avait le bourgeois envers lui. Neryme suivit le tapis rouge jusqu’à ce que le couloir fasse un coude. A gauche, il y avait un nouvel escalier qui menait au salon et salle à manger et de l’autre côté, une volée de porte plus finement décorée les unes que les autres. Celle de son ex-conquête était la porte qui était gravée d’une rose entrelacée de deux soleils. La fille du Duc lui avait révélé comment ouvrir la porte sans la clé. Neryme ouvrit donc les pétales de la rose. La porte se déverrouilla et notre ami la poussa et entra dans la chambre aux milles splendeurs. Un lit multicolore se présentait immédiatement. Il était encadré de deux tapisseries : l’une représentait un dragon rouge volant dans un ciel mauve et l’autre représentait un repas mélangeant humains et créatures célestes. A gauche des tapisseries, il y avait une commode en bois de chêne et une table surmontée d’un large miroir. A droite, il y avait une autre porte d’où s’élevait une douce musique. Neryme suivit les notes qui voletaient dans l’air. Son ex-conquête était en train de jouer d’un instrument à cordes que Neryme n’arriva pas à reconnaître. Le voleur profita un instant de ce plaisir auditif puis lui toucha l’épaule. Elle sursauta avec un petit cri. Elle le regarda ensuite avec de grands yeux, lui envoya une grande claque, l’embrassa et dit : « Comment oses tu ? » @+ -= Inxi =-
  15. Inxi-Huinzi

    La Quête

    Et bien c'est pas mal !! On a une très bonne description et présentation des colonies dans un premier temps ! Tu decris bien la situation economique, les terres avoisinnantes ainsi que le climat dans lequel vivent ces cités ! Ensuite, tu t'étends plus sur la demographie pour recentrer la discussion sur le personnage central et finir par une pointe d'humour sur le sens caché de cette lettre ! Il veut partir et le cache plutot bien Allez, suite ! @+ -= Inxi =-
  16. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Relis ta phrase, tu vas voir par toi meme le souci qu'il y a Il faudrait ":" a la fin ! Bon c'est tout ce que j'ai pu voir donc a priori, c'est pas trop mal ! Sur le fond, les deux associés se trouvent dans une belle galère ! Meme si on ne voit pas comment un homme changerait les cours des choses puisque tu decris les orcs comme etant plus nombreux !!! Voila @+ -= Inxi =-
  17. Hop la ! Trois 'tites fautes de trouvées Bon sur le fond rien à dire ! Enfin la suite et ca fait du bien aux n'oeils Bon, mon principal conseil concerne l'organisation ! Je te conseillerai de dissocier le flashback, enfin l'histoire qu'il compte, du reste du texte pour pas que ca embrouille ( enfin moi c'est ce qui c'est passé ! ) Meme si le papa est mort, il le fallait a priori pour la trame et je suis donc impatient de lire la suite pour savoir ce qu'ils vont faire ! @+ -= Inxi =-
  18. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Accord verbe Accord verbe Accord verbe Je te conseille vraiment que lorsqu'il y a un verbe dans ta phrase, de te demander qui parle et donc quelque lettre ponctue la fin de ton mot Sinon dans le fond c'est pas mal ! J'ai pas grand chose à dire. La relation maitre valet se developpe peu à peu et les sentiments du gamin sont bien exploités ! Tu as un style très leger quand tu racontes une histoire qui la rend assez spécial ! Ca donne un charme, c'est plus "enfantin" j'envie de dire ( malgré ce que tu nous racontes ! ) Enfin pour moi, c'est du tout positif ! @+ -= Inxi =-
  19. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Au feminin, non ? Salop !! Ta pas le droi de faire ca Meme si tu m'avais prevenu, je peux te dire que la surprise est totale Maintenant, le doute est partout ! Bon sinon, dans le fond, le moment clé de ce passage est le reve qui va compliquer la vie de Kirla ainsi que, lorsque les autres vont l'apprendre, leur relation entre eux ! Enfin, je syus pressé de voir comment ca va bien pouvoir finir En tout cas, très joli passage @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    La Quête

    J'aurai mis Bretonnien Bon sinon, dans la forme, c'est bon. Tu peux estimer heureux de ton niveau de langue J'ai pas vu de fautes Donc continues avec cette meme rigueur ! Sur le fond, je dois dire que c'est original et les exodes et colonisations nous sont rarement comptées ! Donc la les descriptions l'accompagnant sont assez reussi je dois l'admettre ! C'est du grand travail ! L'adoublement est assez bien réussi aussi malgré qu'il constitue à lui seul la majorité des dialogues du passage que tu as écris Suite ! @+ -= Inxi =-
  21. Chapitre XI Neryme resta tranquillement sans bouger. Pratiquement invisible dans son coin obscur, il vit nettement le nouveau tueur regarder dans sa cellule. L’homme ne parut pas le voir et disparut dans la prison avant que la garde n’arrive. Neryme sortit alors de sa cachette et regarda le corps sans vie dans la pièce voisine. Par chance, l’homme avait eu le temps de révéler à notre ami des informations plus qu’intéressantes. Maintenant, Neryme devait quitter la prison avant que le chef de cette caserne ne décide de le faire exécuter, vu qu’il était le dernier des trois prisonniers. Malheureusement, il ne vit pas de solution. Neryme se rassura en se disant que le tueur n’était pas à ses trousses mais sûrement à celle des deux hommes à cape verte. L’organisation avait du préférer les tuer avant qu’ils n’aient le temps de raconter tout ce qu’ils savaient. Notre ami décida de rester éveillé pour profiter de derniers moments de sa vie. Alors qu’il était en train de penser à Dinelgera, Neryme entendit des cris ainsi que des hurlements. Des hurlements de loups... Notre ami se précipita à sa meurtrière pour regarder une meute de loups s’attaquer aux quelques soldats formant la garde de nuit. Un rapide mouvement de fourrure grise lui passa devant le faisant, par peur, reculer. Notre ami vit un loup prendre à parti un garde particulièrement audacieux sur la muraille nord. Le loup bondit sur sa proie qui tenta d’esquiver. La bête se retrouva sur son dos et, paniquant, le geôlier se jeta dans le vide. Un court moment après, un trousseau de clés manqua de crever un œil au voleur. En effet, les clés avaient été lancées par l’ouverture alors que Neryme regardait le spectacle. Le voleur regarda un moment ce cadeau du ciel, interdit, puis il les attrapa et fila ouvrir la cellule. Une fois la lourde porte ouverte, notre ami s’engagea immédiatement à gauche vers la sortie mais il se stoppa et recula de deux pas lorsqu’il vit le massif loup sur son trajet. Comme lorsque le chef de la meute l’avait quitté, celui--ci tenait dans sa gueule l’amulette. Le loup la posa sur le sol et recula un peu pour faire comprendre à Neryme de la passer autour de son cou. Une fois que le jeune voleur l’eut fait, le loup lui parla. -Cette amulette confère le don de contrôler les loups mais aussi de comprendre le langage des plus anciens, comme moi. Cet artefact est le plus important à notre race et je le récupérerai à la fin de notre discussion. Neryme ne broncha pas et écouta le loup parler en silence. -Si moi et mes amis sommes venus ici, c’est pour payer notre dette. Tu nous as libéré du joug de l’ermite alors nous te libérons de cette prison. Pour venir jusqu’ici, nous avons du creuser. Le trou pour sortir de l’enceinte intérieur se trouve devant la porte et celui pour sortir de la ville se trouve derrière une auberge. Je ne sais pas lire donc je ne sais pas quel était son nom. Le loup se retourna, reprit l’amulette et s’enfuit au détour d’un virage laissant Neryme seul avec ses questions et notamment la suivante : qui était ce loup ? Le voleur partit alors à la recherche de la salle de garde. Il la trouva juste à côté de la porte principale, d’où l’on pouvait voir un trou profond la décorant. Il n’y avait plus personne dans cette salle. On pouvait apercevoir un tonneau où quelques dés se chevauchaient ainsi que des chaises renversées et des armoires ouvertes sur des panoplies d’armes et armures. Une fois que Neryme eut rassemblé son équipement au grand complet, il laissa les corps aux corbeaux et s’engagea dans le trou pour s’enfoncer dans la nuit ténébreuse. L’autre côté du mur contrastait étonnamment avec ce qu’il venait de voir. D’un côté la mort, le sang et les cris et de l’autre le calme, de douces lumières et un petit vent paisible qui balayait la ville endormie. Neryme décida d’aller au port pour trouver un navire capable de l’emmener loin de là. Il avait quelques heures à peine pour trouver un navire partant à l’aube. Il devait partir avant que les gens, qui l’avaient mis dans ce trou, ne décident de le faire rechercher. Les docks se situaient à l’autre bout de la ville. Neryme prit de petits chemins et s’arrêta auprès de ses anciens contacts. Il apprit que trois bateaux partaient le lendemain matin. Deux capitaines se trouvaient dans des soirées mondaines et le dernier, quant à lui, était dans une taverne toute proche où il surveillait son équipage à la veille du départ. Il opta pour le dernier capitaine et mis une demi douzaine de minutes à rejoindre le lieu précédemment évoqué. On ne pouvait voir qu’une façade de la taverne car celle-ci était incrustée dans un bâtiment beaucoup plus grand qui servait de lieux de rencontre aux négociants et marchands en tout genre. La taverne était construite en pierre, ce qui était loin d’être rare dans la région. Il y avait une porte à gauche et une fenêtre à droite encadrée par deux battants de bois. Neryme entendait déjà des rires sonores à travers la porte. Après un coup d’œil de chaque côté de la rue, il traversa la chaussée et entra dans le bâtiment de La plaine froide. Neryme fut frappé par l’ambiance joyeuse qui animait la taverne. Des hommes barbus regardaient, en riant plus fort les uns que les autres, une danseuse se déhancher sur une table. Deux groupes de marins se racontaient les dernières rumeurs et un groupe d’aventurier racontait quelques histoires, ou légendes, à deux bambins. La taverne était disposée en cercle et décorée de multiples tableaux. Il y avait une énorme tapisserie montrant une scène de combat d’un héros d’autrefois. Neryme trouva facilement le capitaine qui était en train de discuter avec l’aubergiste. Il ressemblait à un homme sévère et sa petite moustache confirmait aussi cette impression. Notre ami attendit que le tavernier aille ranger quelques verres pour engager la conversation. -Excusez-moi … Le capitaine se retourna pour voir qui lui adressait la parole. -Oui ? Répondit celui-ci. -J’ai appris que vous partiez demain matin et j’aurai aimé savoir s’il serait possible que je fasse parti de l’équipage. -Oui, bien entendu. Nous avons un compartiment pour les voyageurs. Il en coûtera une pièce d’or par semaine tout compris. Neryme trouva le tarif acceptable et essaya de se saisir de sa bourse. Il regarda à sa ceinture et remarqua qu’il l’avait oubliée. -Est-ce que cela serait possible que je vous paye plus tard ? Demanda Neryme. Parce que je crains d’avoir oublié ma bourse dans un endroit … inaccessible. -Vous avez jusqu’à demain matin dernier délai … les bons comptes font les bons amis. Le voleur maudit sa négligence et se demanda où il allait pouvoir trouver de quoi se refaire une bourse. Un grand sourire vint illuminer sa face : il était temps d’aller dire bonjour à un de ses vieux amis. @+ -= Inxi =-
  22. Inxi-Huinzi

    La route de la soie

    Accord du verbe "et il l'occit" et l'autre faute est la répétition des "et" Incoherence Tu venais de dire quelques lignes au dessus qu'il était tué Pas de "s" Voila sinon ca commence pas mal sauf que j'ai une impression de lenteur pendant le combat mais ca vient peut etre de moi !! Sinon, donc ca part bien ! Les descritpions irréprochables ( manque peut etre une touche de psychologie ) et l'ambiance très bien posée ! Suite ! @+ -= Inxi =-
  23. Inxi-Huinzi

    Les sept compagnons

    Au singulier Je pense que ca serait : "a leur niveau" Bon sinon c'est pas mal !! On redresse doucement la barre après l'action et ca permet de voir les consequences de cette guerre et des revelations ! Bon sinon, j'ai pas grand chose à dire sinon que c'est dans la continuité : on prend beaucoup de plaisir a lire et on est pressé de savoir ce qui va se passer ! Bon je parle un peu pour rien dire donc j'attends la suite @+ -= Inxi =-
  24. Inxi-Huinzi

    La jeunesse de Grimgor

    Bon j'ai vu que cette faute d'orthographe !!! Je pensais que j'allais en trouver d'autre mais a priori, tu as été assez attentif ! Bon sur le fond, c'est vraiment bien ! J'ai particulieremet la fin C'est assez excitant de se dire que ca va bientot chauffer Bon, je me tais et te laisses envoyer la suite !! @+ -= Inxi, creuvé =-
  25. Il manque un "s" Et re ! Et encore !!! N'oublie pas qu'a la deuxieme personne du singulier, le verbe prend un "s" Repetition. Sinon dans le fond, c'est pas mal ! Il faudrait enlever l'italique et tout les retours a la ligne inutiles ! L'histoire avance un petit coup mais on n'est pas encore veritablement lancé ! Il manque des infos sur cette voix !! Alors suite !! @+ -= Inxi =-
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