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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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Vu que le sujet est sous entendu, je pense qu'il faudrait accorder. Il manque une lettre Ca me rappelle une autre histoire cette porte qu'on ne doit pas ouvrir. Bon sinon le fond est pas mal, mes remarques sur la forme sont terminées avec ce qu'il y a au-dessus Bon c'est pas mal, ce que tu nous as fait ! Les liens commencent a se tisser et tout se raccroche ! C'est bien. La description de la pièce est bien trouvée aussi, beaucoup de détail ! J'avais l'impresion d'y etre ! Alors suite ! Vite ! @+ -= Inxi =-
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Bon, je fais juste remonter ce vieux post pour rappeller à tout le monde que les problèmes qu'il y avait avant sont toujours là ( 1 ans jour pour jour presque ) et que ce n'est pas toujours aux meme de faire le boulot. Je remercie d'ailleurs les quelques personnes qui s'investissent un peu... @+ -= Inxi, tout est dans le quotage =-
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Bon ! La longueur du texte va ! Ni trop court, ni trop long. On s'introduit pile poil dans le texte sans que cela nous paraisse long Pas de fautes d'ortho, pas de frases à retoucher donc au niveau de la synthaxe, rien à redire ( comme d'hab ) Fond est pas mal du tout aussi, on voit apparaitre un nouveau personnage qui aura peut etre un role à jouer par la suite. Pour l'instant, tu maitrises et je trouve rien à redire ! Pourvu que ca dur et que ca continue comme ca ! @+ -= Inxi =-
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Accord ! Idem More one :'( A verifier Faute de frappe Bon une petite relecture serait peut être mieux la prochaine fois On va dire que c'est la pression qu'on te met Sinon pour le fond, c'est bien. Je vois pas encore ce qui marqué la fin de la jeunesse mais ca va pas tarder. Il y aussi une bonne histoire a exploiter avec la mechante mais je pense que c'est déjà dans tes plans. Bref, je n'ai qu'un mot à dire, une suite ! une suite ! @+ -= Inxi =-
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Pas mal ! J'ai remarqué qu'une faute de forme à cet endroit : Il y a un petit espace à supprimer. Bon sinon c'est tous ce qu'il y avait à dire Pour le fond, je trouve Miranda un peu trop sèche. Elle ne parait plus amicale, elle fait presque peur. Je ne sais pas où tu veux en venir, si c'est fait exprès ou pas ! Mais c'est en lisant que je saurai Bah pour le fond, c'est tous ce qui m'a marqué, mis à part que la relation avec le capitaine s'affine ! Bon bah ca merite une suite dans les plus brefs délai ! @+ -= Inxi =-
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Je réxplique plus mieux En fait, il parle de gachis de nourriture... Mais le gachis de nourriture pour un orc, c'est quand le corps est inutilisable alors que là, le corps est encore entier. Il peut donc le manger si l'envie lui chante. Mais d'un autre point vue, celui qui a tué le gob ne l'a pas mangé et a donc gaché la nourriture. Donc ca, c'est le deuxieme point de vue car l'orc lui l'aurait mangé ! Voili voilou ! Tous ca pour un gob @+ -= Inxi =-
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J'aime bien moi aussi ! On voit que tu fais un petit retour en force en prennant en compte les evenements communo et extracommunotaire ! Grave ou moins grave En tout cas, je me suis bine maré ! Et c'est ce qui compte ! Passage préféré : @+ -= Inxi =-
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Hein ! :'( S'il te plait et au nom de ton texte fais en plsu ou alors fais les derniers magnifiques ! Alors tu as le choix mais en tou cas, j'espere que ca sera reussi ! Depuis le debut je suis prit dedans et c'est mon petit coup de coeur Enfin bon ca clora une grande oeuvre ! Tu as d'autres textes en court si je ne me trompe pas en plus ! @+ -= Inxi =-
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Et voilà, sur ce, c'est terminé La fin de 47 pages word Epilogue Il dormit encore une paire de jours avant qu’ils fussent tous en état de partir. En remerciement de leur aide malgré les mors qu’avait entraîné Enriq, les hommes lézards les accompagneraient jusqu’à ce que le quatuor puisse repartir sain et sauf là où il le désirait. Cette escorte leur permit de rejoindre la colonie nordique de Skeggi sans rencontrer le moindre obstacle. Le voleur se dit qu’il serait allé bien plus vite s’il avait eu de tels guides avant… Il avait du faire ses adieux à son ami, maintenant, sans personne avec qui discuter, il se sentait seul. Enriq espérait que ça ne durerait pas longtemps, il éperonna sa monture et vint se placer à côté de Falisensis. Ils étaient à quelques kilomètres de la cité et le voleur allait essayer de savoir si les sentiments qui l’animaient, étaient réciproques ou pas. Ils dépassèrent la frontière forestière et virent que leurs protecteurs n’avançaient plus et qu’ils commençaient déjà se fondre dans l’épaisse végétation. Les quatre amis se retrouvèrent seuls en quelques minutes et déjà les massives portes de bois, qui se découpaient dans la palissade, s’ouvrirent. Une délégation vint à leur rencontre, c’était un groupe de barbares musclés qui entouraient un homme encore caché. - Falisensis ! S’écria un homme qui perça le cercle pour aller à sa rencontre. L’homme était de forte carrure, il était aussi épais que les gardes qui l’entouraient. Les deux êtres se précipitèrent à la rencontre l’un de l’autre. Quand le père serra sa fille contre lui, il crut qu’il allait lui broyer les os. - On a cru que tu étais morte… Laisses-moi te regarder, tu es magnifique ! Encore plus belle qu’avant j’ai l’impression ! Une larme s’était formée au coin de ses yeux, il se retourna vers les trois autres personnes présentes qu’il découvrit avec surprise. - Les voleurs et les voleuses d’hommes ne sont pas les bienvenus mais je ferai une exception pour les amis de ma fille … Allons rentrons ! Ils passèrent tous une soirée mémorable s’adaptant très vite aux coutumes nordiques. La profusion de nourriture faillit les faire exploser. Cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu autant de nourriture sous leurs yeux, ils s’en régalèrent. Après moult chansons, histoires et danses, ils allèrent tous se coucher : demain, il fallait repartir. Le réveil fut plutôt dur, tous étaient heureux de goûter au plaisir tant manquant d’un bon lit. Enriq avait mal aux dos et en se levant, il vit qu’il avait aussi de nombreuses courbatures à chacun de ses muscles. Enfin bon, se dit-il, pour l’excellente nuit qu’il avait passé.. Deux bateaux les attendaient, un pour Enriq qui allait le ramener chez lui et l’autre qui devait ramener les Amazones non loin de leur île. Le quatuor était réuni sur le quai et s’apprêtait à faire leur adieu. Enriq commença par dire au revoir à Zelis et Cint’hia puis termina par Falisensis qu’il emmena à part… - Il faut que je te dise quelque chose qui amènera à ce que tu prennes une décision.. - Vas-y, je t’écoute. Le voleur savait qu’elle connaissait ses sentiments à son égard mais elle feignait l’ignorance. - Voilà, ben en fait, depuis que je t’ai volé ce baiser dans la tente il y a si longtemps, je crois que je ressens des choses pour toi. Je sais que tu n’as pas beaucoup de temps pour y penser et que ça te paraît peut-être rapide mais il fallait que je te le dise. Il eut un grand silence puis elle lui répondit : - Je ne sais pas quoi te dire… - Dis-moi si je suis condamner à attendre ou pas ! Si j’ai une chance ou pas ! - Je suis désolée mais je crois qu’il va falloir m’oublier … J’espère que l’on restera ami au moins ? Dit-elle en s’éloignant. Enriq n’en revenait pas, elle avait refusé ! Pourquoi ? Qu’avait-il fait ? Qu’est ce qu’il n’allait pas ? Il avait l’impression que tout allait bien pourtant, ils s’entendaient bien. Notre ami savait que le courant passait bien alors où était le problème ? Pourquoi ce refus ? Mais ce n’était pas le seul problème, en fait, le vrai problème est que cette nouvelle ne le chagrinait pas. Une main se posa sur son épaule : C’était Cint’hia. - Elle ne s’est pas ce qu’elle rate… L’évidence sauta alors aux yeux du héros. Il avait passé son temps à courir après une ombre et une illusion alors qu’au fond de lui, il n’en voulait pas. En fait, il poursuivait quelqu’un alors que ce qu’il voulait réellement se trouvait sous ses yeux. Il prit la main de Cint’hia comme s’il la découvrait sous un nouveau jour et l’embrassa tendrement. Elle l’enlaça et lui rendit son étreinte. Finalement Enriq ne serait pas seul… Ils vécurent heureux et eurent beaucoup de petit voleur. C’est ainsi que se terminent les aventures du Vol du Crépuscule. @+ -= Inxi =-
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Bon bah je vais pas m'atarder mes commantaires se répetent ! Donc positif : Une bonne écriture, une bonne histoire poingnante ! On s'identife assez rapidement... Le négatif : Je vois absolument pas la direction ou tu veux aller et quand on a du temps pour écrire, on a du temps pour commenter ( message sérieux ) @+ -= Inxi =-
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Et voilà ! C'est le dernier chapitre ! Je serai meme pas si vous avez cru a ce que je marquais dans l'avant dernier ! Bref, il y aura un épilogue pour expliquer et dire ce qui se passe dans la toute fin ! Chapitre XX Il venait de faire que quelques mètre dans le vide, qu’il eut l’impression de tout voir au ralenti. Le sombre guerrier s’était lui aussi jeté dans le vide mettant sa propre vie en jeu pour prendre son bien. Enriq sourit, tout serait terminé dans quelques secondes… L’air avait rabattu sa capuche et les cheveux se dressaient vers le haut comme s’ils essayaient de s’accrocher désespérément. L’autel central se rapprochait assez vite et le voleur espérait qu’il mourrait sur le coup, qu’il ne souffrirait pas. Il regarda son adversaire juste au-dessus de lui, ses yeux brillaient d’une intense folie. Enriq était si près de l’autel qu’il pouvait commencer à voir les détails qui l’ornaient. Il ferma les yeux et attendit le choc ultime. Il ne le sentit jamais … Il faisait toujours sombre, il pensait même encore, ce n’était pas si terrible que ça alors l’au-delà, se dit-il. Il entendit quelques secondes après un bruit mat. Il entendait ? Mais entendre est un sens de vivant ! S’étonna-t-il. Le voleur ouvrit les yeux et vit qu’il était en suspension à un bon mètre de l’autel. Il regarda le corps du chaotique qui avait causé le bruit : il était tordu en deux au niveau de la nuque. Le voleur sonda ensuite les ténèbres pour savoir pourquoi il était comme ça. Il l’aperçut alors, cette petite silhouette sombre, bâton tendu, et qui usait de magie pour le maintenir en lévitation. - Qui êtes-vous ? Demanda en criant Enriq à son sauveur. Il devait sûrement être le même lézard, car c’était un lézard : sa fine queue le confirmait. C’était même sûrement lui qui les avait sauvés sur la Côte Vampire. Avant d’entendre une éventuelle réponse, trois têtes réapparurent dans le trou en haut de la pyramide. - Enriq ? Le voleur n’arriva pas à reconnaître la voix, elles étaient bien trop haute pour ça. Enriq remercia un Dieu, s’il existait, de leur avoir sauvé la vie à toutes les trois. Le lézard aurait fait sursauter le voleur si son corps avait pu tressaillir. Volant, Enriq n’avait aucuns appuis. Une voix grave et puissante se fit entendre partout dans la pyramide. - Que la destinée s’accomplisse …! - Hein ? Mais de quoi parle-t-il ? Le lézard dissipa le sort de lévitation et Enriq tomba sur la pierre de l’autel dans de grands jurons. Il allait insulter le lézard quand il sentit une force l’envahir et il ne put prononcer un seul mot de plus. Il s’effondra, yeux pointés vers le ciel, le joyau sur sa poitrine éparpillant une puissante lumière blanche dans les recoins les plus cachés de la pyramide. La lumière se concentra en un épais rayon et se propagea en une immense colonne à travers le plafond. Les trois femmes durent se jeter en arrière pour éviter de devenir aveugle et d’être happée par le rayon. - … que les cités détruites soient reconstruites et que les vivants maintenant morts soient ressuscités ! Enriq, à peine conscient de ce qui se passait, vit alors ce qui se cachait dans les niches de pierre : Des corps momifiés. Il devait y en avoir des centaines, voire des milliers tout autour de lui. Certains corps, touchés par la lumière, se régénérèrent tandis que les autres retournèrent à la poussière. Les lézards revinrent à la vie par centaine. Le voleur sentit les pierres sous lui se soulever et se rassembler, d’énormes blocs rocheux traversaient les airs pour revenir reformer des colonnes ou des pans de mur entiers. La pyramide se régénérait… Le rayon rétrécit en un mince filet puis se concentra à nouveau dans le joyau et un silence refit place. On pouvait entendre les croassements des lézards qui étaient revenus à la vie après un si long repos. Aussi vite que ce calme était apparu, un « bang » assourdissant fit trembler la pyramide de haut en bas. Le joyau avait explosé et un gigantesque anneau de lumière s’étalait dans toutes les directions. Comme il s’était produit auparavant, la cité toute entière se rebâtissait… Les troupes du chaos fut réduite en une fine pellicule de poussière grisâtre et furent balayées du lieu. Il n’en restait plus aucune trace. Enriq avait essayé de retenir ses forces, il avait essayé de retenir cette énergie qui sortait de son corps… Mais rien ne put l’empêcher, cette force prenait toute son énergie. Le voleur pendait lamentablement sur la dalle, entre la vie et la mort. Il toussa faisant naître un filet le sang le long de sa joue. Il sombra dans l’inconscience. Quand il se réveilla deux jours après. Il ressentait une violente douleur dans tous ces muscles, un terrible mal lui martelait la tête. Il s’évanouit terrassé par la douleur. La fois suivante, il se réveilla et vit plusieurs personnes. - Il reprend conscience ! Dit Zelis. - Vaudrait mieux ! Ca fait plus d’une semaine qu’il dort… Dit Cint’hia en souriant. - Incroyable et impossible ! Dit un lézard que Enriq, en écarquillant le plus possible ses yeux, reconnu comme étant Xitli. Il y avait deux autres skinks également. Ils arboraient des couleurs écarlates et l’un d’eux semblait étrangement familier à Enriq. Soudain, son esprit se reporta sur son animal : Il n’avait plus de contacts avec lui depuis longtemps. Il tenta un contact mental mais personne ne lui répondit, Enriq s’affaissa :Il devait être mort à cause de lui. Devinant ses pensées, le mage de gauche, celui qui avait une tête de jaguar, lui répondit. - Je ne suis pas mort, tu m’as libéré ! - Mais…Beu… Bafouilla Enriq, Comment est-ce possible ? Finit-il par réussir à dire. - C’est un très longue histoire, dit le dernier skink qui se présenta comme étant le lézard au golem, vous devez déjà avoir d’autres questions, nous reviendrons plus tard… Les hommes lézards partirent, laissant seul les quatre humains. Enriq regarda ses compagnes miraculées. Cint’hia avait un bras cassé et il était maintenant dans une attèle et Zelis était couverte de bleus. Le choc avait dû être violent se dit Enriq pour qu’elle garde ces marques aussi longtemps. Au final, seule Falisensis était indemne mais elle, elle avait souffert de douleurs inguérissables. Ils parlèrent tous longuement, tous faisant rapport de ce qui c’était passé : la chute, le joyau, leur séjour ici. Il se passa une heure avant que son faucon qui avait changé en lézard ne revienne et demanda à lui parler seul. Notre ami était fatigué et il commençait déjà à lâcher quelques bâillements mais il se concentra pour écouter ce qu’il allait dire. - Ca me fait bizarre de te parler réellement … Commença-t-il. Tu as sûrement pleins de questions à me poser mais je vais commencer à répondre par celle qui te brûle la gorge. En fait, pour échapper à notre destruction, nous avons du nous cacher. Mais nous ne devions pas nous cacher physiquement mais nos esprits devaient s’en aller. La cité était envahie et nous avions perdu, les défenses tombaient les unes après les autres. Nous conservions un très vieil artefact… Le joyau du crépuscule, il était mal conçu et nous devions le détruire : il attirait le mal et imposait une ancienne volonté. Aucun être ne vivant ne peut résister à son charme, nous avons donc, avec des sacrifices importants, transportés le plus d’esprit à l’intérieur de celui-ci. Ce que nous avons fait. Mon rôle avait été de superviser tout ça et ensuite de garder le joyau en sécurité pour le futur retour. En fait, la créature dans la quelle j’ai du me cacher c’est révélé être cet oiseau inconnu de notre environnement. Ensuite, quand il y a eu la libération, certains esprits se sont sacrifiés pour vaincre l’ennemi de nouveau à leur porte. Deux choses expliquent encore que nous ne sommes pas autant qu’au départ : Certains corps n’ont pu être réanimés et tu as refusé qu’on te prenne toute ton énergie, cela t’as également sauvé la vie. - Si je comprends bien et que je remonte au départ, tu savais pour le bateau ? - Oui, acquiesça le lézard. - Pourquoi ne m’avoir rien dit dès le départ ? - Parce que je devais être sûr, je ne pouvais pas prendre n’importe qui… - Mais tout n’a pas pu se dérouler comme tu l’imaginais ! Le lézard fit une grimace qui devait ressembler à un sourire. - Mais c’est de la chance ! Tout aurait pu déraper ! Ce n’est qu’une suite de coïncidences chanceuses ! - On va dire ça comme ça, dit-il en fermant une de ses paupières, il se fait tard et j’ai des choses à faire. A bientôt. Enriq fit un signe d’au revoir et se rendormit. Il allait pouvoir rentrer chez lui enfin il l’espérait. @+ -= Inxi =-
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Allez hop, c'est parti ! Meme si mon commantaire va paraitre bien dérisoire après celui de notre cher Imp ... Je pense que tu voulais dire quartier pauvre, non ? Elles sont bien issues des bas quartier ? C'est un avis personnel, mais lumignon rentre pas dans le contexte ! Ca fait trop bizarre les sonorités et le mot dans ce contexte ... Bref, c'est tout ce que j'ai à dire pour la forme, le reste, pas de fautes d'orthographes ! Alors continues ! Sinon pour le fond, on voit et sent le lien qui s'est tissé entre les personnages. Ca nous permet de mieux nous identifier à lui ! Donc ca sera à continuer sur toute la suite du texte ! Comme dirait un de tes persos : Suite ! @+ -= Inxi =-
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Et bien c'est pas mal ! Les efforts sur la longeur payent ! J'en ai plus à lire Mais tu dois avouer que ca va mieux, ca te motive et en plus ca te met les idées en place sur le long terme ! Enfin ca se trouve tu sais comment ca va finir ! Justement, en parlant de fin, elle est bien mais la fin est-elle loin ? J'espere que oui ! Mais j'aimerai savoir a quoi m'attendre ( comme ca je sais quand il y aura les derniers instants ! Les plus palpitants ! Pas de fautes, forme parfaite ! Que dire : continues ? Bah alors c'est parti : suite !!! Et vite ! @+ -= Inxi =-
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Et bien, et bien C'est pas mal du tout. J'ai deux trois trucs à dire quand meme. D'abord fais attention avec le langague orc, il ne faut pas que ca devienne impossible à lire... Mais pour l'instant ca passe bien ! Ensuite, il n'y a pas de fautes sur la forme mais juste ça C'est lui qui pense ça donc ca va pas... Quelque part, c'est lui qui le mangera vu que le corps est entier donc il a pas gaché la nourriture. En fait, la comprehension de cette phrase repose uniquement sur quel point de vue on adopte. Sinon la relation dominant-dominé orc est bien mené et elle va peut etre ammené a une situation dans la suite de ton histoire. Ca te laisse une possibilité de developpement! Bon bah suite, je crois que j'ai tout dit ! @+ -= Inxi =-
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Et bien moi j'aime bien ! On retrouve bien le sadisme elfe noir Tu as bien géré ton coup et on dirait meme des supplices vécus @+ -= Inxi =-
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Est-ce la fin ? Bonne lecture ... Chapitre XIX - Zelis, Cint’hia, passez de l’autre côté, on ne sait pas ce qui les suit. - C’est bon, tu n’as pas à t’en faire pour nous ! Nous savons nous défendre ! - Je ne préfère pas prendre de risques, s’il vous plait faites le pour moi… L’action se déroule sur le toit, tu ferais mieux de te dépêcher. - A priori, on se rejoindra directement sur le toit, aucun de nous ne bouge tant que nous ne sommes pas complets, d’accord ? Demanda Enriq d’un ton ferme. - Oui, à condition que tu tiennes toi aussi tes propres exigences… - Pas de problème, a tout de suite… Enriq s’en regarder le visage des deux femmes, ni attendre leur réaction monta les marches du premier escalier. Deux cadavres supplémentaires jonchaient les escaliers. Qui avait pu faire ça ? Il n’y avait que des cadavres chaotiques ou pirates… Il ne prit pas le temps de les examiner mais il s’arrêta néanmoins pour prendre une torche. Celle-ci était accrochée sur un pan de mur et faisait briller de mille étoiles le sang qui dégoulinait d’un des cadavres. Une fois dans sa main, le voleur se sentit légèrement plus en sécurité, les ombres disparaissaient à son approche. Cette situation faisait sourire Enriq, elle était paradoxale : lui, voleur, avait peur de l’ombre qui était avant une cachette pleine de sécurité. Il arriva au niveau du premier étage. Autour du trou central, d’où l’on voyait le théâtre du bas, se nichait sur les murs d’anciennes étagères où dormait désormais que de la poussière. Mis à part ça, l’étage était vide et dévasté. Le voleur le remarqua aussi sur les deux niveaux suivants qui semblaient tous identiques. En se rapprochant de la corniche, Enriq vit bien qu’il avait changé d’étages et qu’il se rapprochait du haut de la pyramide. A présent, notre ami comprit quelles créatures ils suivaient. Trois cadavres de lézard mort vivants jonchaient le sol. Il y avait eut une bataille rangée ici d’après les marques. Enriq commençait à avoir peur, qui pouvait être assez puissant pour tuer trois lézards morts vivants ? Les hommes lézards n’étaient pas les seuls à avoir souffert dans cette bataille : une dizaine de corps de pirates décoraient le sol de leur sang tandis que une demi-douzaine d’adorateurs du chaos étaient littéralement encastrés dans les murs, leur os faisant des angles impossibles. Enriq commençait à avoir mal dans les jambes, cinq minutes qu’il grimpait sans relâche mais heureusement pour lui, l’arrivée était proche. Quand il arriva en haut, il vit ses deux compagnes en face de lui, accroupie et guettant son arrivée. D’un signe de tête, le trio se regroupa dos au mur qui rejoignait les deux escaliers. Le ciel au-dessus d’eux était caché, comme les escaliers, par une petite maison de pierre. Par la porte, ils virent la longue plate-forme qui formait le point culminant de la pyramide. Il faisait toujours aussi nuit, en s’avançant ils constatèrent que les camps n’avaient pas bougé et qu’ils faisaient des sortes flaques de lumières. Ils étaient vraiment hauts, la seule lumière qu’ils avaient venait de la voûte céleste. Le voleur n’avait jamais pris le temps de les regarder, il le regrettait. Ces infinités de points lumineux étaient vraiment magnifiques à regarder. Il espérait que ce n’était pas la dernière fois qu’il les verrait. La plate-forme mesurait une vingtaine de mètre de large comme de longueur. Au milieu, le trou qui permettait de voir tout en bas ne mesurait quant à lui que quelques mètres. Dos au trou, Falisensis tenait fermement contre elle le bijou. Face à elle, un groupe de sombres personnages. Des hommes mais aussi deux bêtes, toute recouverte de piques. Au milieu des sombres guerriers, deux hommes étaient auréolés de sombres auras qui faillirent mettre à genou Enriq tant son crâne lui faisait mal. Entre elle et eux, ils y avaient deux mort-vivants. Ils semblaient encore plus anciens et encore plus dangereux que ceux qu’il avait déjà vu ! L’un des deux hommes tendit une main gantelée et deux rayons noirs vinrent toucher les deux lézards ressuscités. Ils s’effondrèrent, les os dessoudés. La jeune femme n’avait plus aucune défense. Notre voleur ne vit plus que des pirates, tous les chaotiques avaient été tués. A mon avis, pensa Enriq, ils avaient ordre de tuer les survivants des adorateurs sombres puis de ramener la pierre saine et sauve à Port-des-pillards. Il ne fut donc pas étonné, contrairement aux Amazones, quand il eut une sorte de mêlé. C’était du dix contre un, le magicien, surpris, tomba dès les premiers coups, plusieurs couteaux plantés dans le dos. Après que deux hommes eurent jeté son cadavre dans le vide, ils se jetèrent tous sur le chef survivant. Ce dernier ne fit qu’une bouchée de la horde qui osait l’attaquer. Les attaques étaient inefficaces contre son armure alors que ses coups entraînaient dans l’au-delà plusieurs guerriers à chaque fois. En à peine deux minutes, il ne restait plus que deux personnes au milieu de la plate-forme. Le trio se concerta rapidement et ils décidèrent d’agir. C’est le représentant du chaos, les troupes qui sont en bas sont toutes à lui. - Toi ! Dit Enriq en montrant du doigt le guerrier. Les deux femmes s’arrêtèrent, leur effet de surprise supprimé. - Tu viens de gâcher toutes nos chances ! S’emporta Zelis. - Tes sorts sont inefficaces ! Regardes, il a les mêmes runes que les guerriers de la porte. Et toi Cint’hia, il t’aurait massacré, il a défait toute une horde de pirates en une poignée de secondes, se défendit Enriq. - Il a raison, si nous voulons le défaire, il va falloir ruser. Enriq ne bougea pas tandis que les femmes partaient à droite et à gauche. - Toi, dit-il en montrant également Enriq du doigt, tu vas mourir pour m’avoir dérangé. - Qui es-tu ? Tenta le voleur. - Tu apprendras mon nom dans les tourments de la mort… - A moins que je prenne le joyau avant toi… - Elle ne le donnera à personne ! Cette catin persiste à le garder ! Tout pourrait s’arrêter si elle voulait bien le donner, dit-il avec un coup d’œil pour l’intéressé. - Pour toi peut-être, rejeton du chaos, je vais te renvoyer dans le plan de tes maîtres ! Le menaça Enriq de sa voix la plus persuasive… Bien qu’il se donnait le plus d’assurance possible, Enriq était terrifié. Les traits du visage n’étaient pratiquement pas visible et sa couleur de peau donnait l’impression de changer constamment de couleur. De sa main droite, il portait une lourde hache, de la gauche, il traînait encore un corps fraîchement tué. L’armure sombre brillait d’une lueur noire encore plus flagrante, le joyau semblait attiré son appétit. Le voleur crut apercevoir un sourire sur le visage du guerrier. - Tu es bien prétentieux, jeune humain ! Comment crois-tu pouvoir me vaincre ? - Pourquoi te vaincre ? Alors qu’il y aurait d’autres moyens… La conversation avait attiré l’attention du monstrueux personnage. Les deux femmes décidèrent d’attaquer. Pendant que Zelis incantait, Cint’hia se lança à l’attaque. D’un puissant mouvement, elle fit décrire un grand arc de cercle à son épée, elle visait le haut du torse. De son côté, cinq rayons multicolores sortirent des doigts de la magicienne et fusèrent vers le sombre guerrier. D’un fulgurant réflexe, l’homme se retourna et contra l’épée de Cint’hia. Bien que surprise, elle sortit une petite dague et tenta de poignarder l’homme alors que les missiles magiques rebondirent sur l’arme aussi efficace que des gouttes d’eau. L’homme saisit la chef guerrière par le bras et lui serra si fort que Enriq entendit les os se rompre. Cint’hia s’évanouit sous la douleur, la femme devenue molle entre ses mains, il l’envoya valser en dehors de la plate-forme, dans le vide. L’homme se retourna ensuite vers Zelis en psalmodiant. Une nappe noire se dirigea vers elle, gagnant toujours plus de vitesse, elle devint une lance. Zelis eut tout juste le temps de lancer un sort de bouclier. Le sort nouvellement invoqué explosa sous l’impact envoyant, comme sa compatriote, Zelis hors de la plate-forme. Enriq avait assisté avec horreur à la mort de ces deux dernières amies. Il n’avait pas bougé, ne sachant quoi faire. Maintenant, le surhomme se dirigeait vers lui pour le tuer. Falisensis, elle, sanglotait à quelques centimètres du trou central. Tout était perdu et le voleur le savait. Il se surprit à sa négativité mais le désespoir qui l’envahissait était naturel, pas de magie était à l’œuvre. Il regarda encore le ciel alors que la hache se trouvait à dix mètres de lui. Jamais il n’aura pu dire ce qu’il ressentait à son amie, elle le saurait peut-être dans l’au-delà. Huit mètres. Le temps lui était compté et le guerrier s’était mis à marcher. Il était le plus fort et il se languissait de la peur que Enriq dégageait. Comment était la mort ? Cinq mètres. Comment c’était de l’autre côté ? La fin d'une vie s’achevait, tout le monde finissant par vous oublier. Toute une vie bâtie et achevée par un seul et unique geste. Deux mètres, la hache se lève. Il n’avait même pas envie de tenter quelque chose. Il luttait avec la mort alors qu’il savait le résultat. Enriq se surpris à lever ses yeux embrumés de larmes vers son bourreau. Un mètre, la hache s’abaisse violemment. Quitte à mourir, quitte à servir à quelque chose. Enriq se releva en criant et esquiva la hache d’un bond. La hache, propulsée avec une force hors du commun, s’enfonça dans la roche. Le voleur courrait désormais vers la femme apeurée tandis que le guerrier faisait demi-tour décidé à le tuer à mains nues. Enriq caressa la joue de la belle nordique et lui murmura ses mots : - Tout va bien se passer… Laisse-le aller. Le joyau lui glissa dans les mains et il sentit une sorte d’onde envahir son corps. Maintenant, le guerrier s’était arrêté et il prononça des paroles que Enriq n’entendit plus. Il était dans un autre univers, celui de la mort résignée. Il parla à Falisensis et lui dit de partir mais il n’entendait pas non plus sa propre voix. Le guerrier se remit en mouvement, courant de plus belle. La femme, elle aussi courait à en perdre haleine, elle allait de l’autre côté. Enriq étendit les bras et se laissa tomber en arrière, dans le vaste précipice qui était sous lui. Il se permit un sourire vers le chaotique qui tendait des mains désespérées vers lui. @+ -= Inxi =-
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Et bien, et bien ! Que dire sinon bonne année et bonne rentrée ! Et bien deux trois choses qui vont étonnement ressemblé aux dernières remarques ! :'( La forme : identiques ! C'est beau, bien raconté et sans fautes d'orthographes en plus, que dire : continues ! Le fond est pas mal aussi ! Les personnages sont bien acontés mais si tu veux te servir de l'un d'eux, il faudra quand meme nous rappeller qui est quoi, pour pas qu'on est de doute. Bon bah voilà suite ! Et l'épopée bien sur ! @+ -= Inxi =-
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Han ! Tu fais pas de fautes ! Mais quand tu en fait .... :'( :'( Bon la seule remarque, c'est quand meme la seule que j'ai réussi à trouver en deux paragraphes ! J'en connais certains ( dont moi ) où c'est plus facile à trouver ! Enfin, on fait avec :'( Le fond est pas mal, on va savoir si le capitaine va quand meme garder le trio. On ressent bien les emotions, c'est bien rendu ! Tu cherches encore tes marques mais tu y arrives très bien je trouve Donc je veux bien sur une suite ! Alors go ! Je veux une suite ! S'il te plaitttttttttt :'( ! @+ -= Inxi, qui arrive seulement après le deuxième, désolé =-
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Houla ! Honte sur moi ! J'ai pas oublié de posté sur l'avant dernier chapitre ! Lapidez-moi, je le mérite ! Dans l'ensemble : C'est magnifique. La forme est parfaite, pas de fautes pas de phrases aux formes bizarres. Tu passes sur les trois formes de discours aisement pour donner le meilleur effet dans ton dialogue ! Donc continues comme ca ! Le fond est pas mal meme si je pensais qu'elle allait quand meme reussir a s'echapper ! Mais bon, tu en avais décidé autrement ! Le long monologue de l'elfe passe bien et l'effet est encore plus rendu avec les silences ! Bon, j'attends de voir ce que tu nous reserve pour la suite ! @+ -= Inxi =-
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On se rapproche dela fin ! Tenez bon ! Ensuite j'attaque un autre texte qui n'a rien a voir Chapitre XVIII - Si vous voulez vivre, aidez-nous ! Dit Enriq. Une petite voix lui répondit : - Des n’humain ! Pourquoi qu’on vous croira ? - Parce que ce qui vous attend est bien pire que ce vous rencontrerez dans l’au-delà. L’argument fit mouche et la petite chose se mit à discuter avec les autres gobelins. Malgré les protestations qui fusaient entre eux, ils semblèrent se mettre d’accord. - Si nous on vous aide, vous nous aiderez aussi ! Dit un gobelin qui s’était approché des barreaux. Enriq eut de la pitié. La créature avait beau avoir les yeux brillant de méchanceté et de perversité, elle n’avait pas mérité ce que ces adorateurs comptaient faire d’elle. Le corps recouvert de haillons sanglants et en lambeaux, le visage terreux et les mains tremblants de terreur. Son visage était couvert de terre et sa peau verte tournait au marron. - On fera ce qu’on pourra ! Dit-il à la minuscule créature. - D’acodak ! Bon qu’est qu’on peut bien faire pour votre service ? - Pourquoi sont-ils là ? - Ben, d’après ce que Kikri, il a entendu, ben il recherche un joyau ! Pour qu’ils devienne très puissant ! Comme le grand Mirzul y a très longtemps ! - Bien, vous croyez que vous pourrez filer discrètement ? Demanda Enriq. - Oui ! On peut le faire ! Enriq doutait de ce que venait de dire le gobelin. Il espérait même qu’ils allaient faire tout le contraire. De cette façon, ils allaient attirer l’attention des chaotiques pendant qu’eux trois se glisseraient dans le temple proprement dit. Le voleur déverrouilla la serrure et demanda à ses deux amies de s’éloigner et de le couvrir. Il passa à Cint’hia son arbalète. Enriq la regarda brièvement et la donna. Notre ami avait récupéré cette dernière lors de sa confrontation avec un assassin chargé de l’éliminer lui et son frère. L’arbalète n’était pas bien grande, c’était en fait une échelle réduite de celles utilisées par les arbalétriers. En fait, elle était beaucoup plus avantageuse, plus légère, plus compacte elle tenait aisément derrière son dos et aussi plus rapidement rechargeable. Elle lui avait de moult fois sauvée la vie et celle de Fadrik, son frère. Notre jeune ami se demanda alors qu’est ce qui pouvait bien advenir de celui-ci. Cela faisait très longtemps que Enriq ne l’avait pas vu, il se demandait si celui-ci s’inquiéterait de sa disparition ou non. En tout cas, le voleur savait qu’il allait bien. Il ne savait pas comment mais il allait bien. De petits cris le tirèrent de sa rêverie. - Casses-toi ! Tu me marches dessus ! Comme il l’avait espéré, les gobelins partaient dans une bagarre générale. A grand coup de « baston », de poings, de branches et dents, les gobelins s’affrontaient au milieu du camp. Des clameurs montèrent des tentes et de solides humains en émergèrent et se jetèrent dans la mêlée à grands renforts d’immenses haches. La scène aurait fait sourire Enriq si ce n’était pas lui qui avait envoyé ces créatures à la mort. Le voleur secoua la tête pour chasser ses pensées de là : Ce n’était que des gobelins. - Allons-y ! Profitons-en ! Les compagnons se glissèrent dans les ombres des tentes et contournèrent le camp. Une fois le périmètre passé, ils devaient encore faire attention aux patrouilles incessantes et se cacher derrière les ruines. Zelis d’une à deux reprises lancer un sort de silence, elles n’avaient pas l’habitude de se déplacer sans émettre le moindre son. Après dix minutes assez laborieuses, ils se cachèrent derrière les colonnes qui décoraient l’entrée du temple. Deux guerriers en armures lourdes encadraient la seule porte visible. N’ayant pas le temps de vérifier s’il existait une autre entrée, ils cherchèrent un moyen d’entrer. Le chef gobelin, enfin celui qui avait mené les négociations, fit irruption de l’autre côté du temple et menaça les gardes : - Et les deux pas beau ! V’nez vous battre ! Un seul garde bougea, conscient que quelque chose se tramait, l’autre homme en armure noire ne bougea pas. Il sortit une longue épée effilée et se campa en plein milieu du passage. Le trio se remit à chuchoter tout bas : - Zelis, tu peux lui lancer un sort ? Demanda le voleur. - Oui mais il risque d’être aussi dangereux que la piqûre d’un moustique sur un carnosaure… - On se passera des métaphores pour l’instant, dit Enriq avec un clin d’œil. - Tous ça à cause des runes de son armure, non ? Tenta Cint’hia. - Oui, elles le protègent. - Nous n’avons pas d’autres choix que de l’affronter alors ? - Oui mais nous avons ça ! Dit la chef en exposant bravement l’arbalète. Enriq trouvait ça un peu lâche mais il se passa de commentaires. Il allait l’éliminer sans prendre de risques et seul le résultat final comptait. La magicienne et la guerrière vinrent respectivement et le plus discrètement se placer sur la gauche et la droite du chaotique. Le voleur, comme il l’avait fait de nombreuses fois pendant son entraînement, visa soigneusement le coup et plus précisément la pomme d’Adam. C’était la partie la plus exposée et elle entraînerait rapidement la mort de l’homme. Comme il était prévu, le carreau alla se planter à l’endroit et les deux femmes émergèrent pour déplacer le corps avant qu’il s’effondre au sol. Enriq avait presque prit goût à son rôle d’assassin. Les trois aventuriers cachèrent soigneusement le corps en priant pour que l’épais sang qui dégoulinait de la plaie ne ferait pas une grosse flaque. Avant de s’aventurer dans le temple, le jeune héros fit l’inventaire de ce qui lui restait. A sa ceinture pendait encore une demi-douzaine de petits couteaux, des appareils pour crocheter, une poignée de carreaux modifiés et une dizaine de carreaux normaux. Il pendait encore d’autres petits instruments et poudres dont il ne s’était pas encore servi. Il vérifia l’étanchéité de ces sacoches, accrocha son arbalète dans son dos puis rentra dans le temple à la suite des deux Amazones. Le temple ne marquait pas son originalité par sa structure en elle-même, que de la pierre… A l’intérieur dudit temple, une allée centrale conduisait au beau milieu d’une salle. Cette allée était flanquée de part et autre de gigantesques statues mesurant une dizaine de mètres de hauteurs. Certaines, bras en l’air, semblaient soutenir la voûte. D’autres furent immortalisées dans des postions diverses : hallebardes en mains, lances pointées pour une charge, etc. Enriq crut discerner des ombres dans les hauteurs, il se demanda s’il avait rêvé quand, sondant l’obscurité, il vit une corniche percée de plusieurs trous. Le voleur se demanda bien quels monstres pouvaient bien se tapir là-dedans. Le voleur ne laissa pas son imagination vagabonder trop longtemps sinon il risquait de sursauter à chaque fois qu’il entendait un bruit suspect. Les deux femmes et Enriq s’arrêtèrent sous l’arche d’une porte. La pyramide était construite autour d’une salle centrale. Elle était faite de plusieurs niveaux, des balcons dépassaient desdits niveaux et laissait deviner que cette salle servait de salle de conférence. Au milieu de l’immense pièce trônait un autel de pierre à moitié détruit et autour des colonnes étaient tombées symboles d’une gloire passée désormais éteinte. Deux cadavres deux chaotiques étaient étalés le long de ces monuments de pierre. L’un était littéralement coupé en deux tandis que l’autre n’avait aucunes marques de violence physique. Ils décidèrent de suivre discrètement la troupe qui les devançait. Enriq en profita pour réfléchir sur ce qu’il se passait. Il était conscient que la fin allait se décider ici. Falisensis, car tel est le nom que notre ami réussit à lui faire dire la nuit d’avant son départ, se trouvait dans la pyramide où le joyau voulait l’emmener. Derrière elle, il y avait une troupe de sombres adorateurs et pour conclure le tout, il y avait un je ne sais quoi qui attaquait ces derniers dans leur dos. Et maintenant, voilà que c’était eux qui suivaient ces mystérieuses créatures. Dans la salle principale, deux choix s’offraient : un à gauche et un à droite. Quand ils eurent regardé de plus près ces deux choix, ils virent que la pyramide était construite de manière symétrique. Ils empruntèrent le couloir de gauche, celui où ils n’avaient qu’à suivre les cadavres. - Combien d’hommes ont déjà été tués ? Demanda Zelis dégoûtée. - J’espère beaucoup ! Répondit Cint’hia du tact au tact. Ils n’ont que ce qu’ils méritent. - Regardez ! Dit Enriq en montrant un homme au sol. Ce n’est pas un chaotique… C’est un pirate et ses armoiries sont la marque du Roi-Pirate lui-même. Finalement, les loups ne se mangent pas entre eux… @+ -= Inxi =-
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J'aurai mi plus finir, je trouve que ca va mieux La forme est impecable, pas de fautes. Juste une phrase que j'ai noté au dessus, rien de bien important en soi ! Alors a continuer... Le fond est pas mal, on ne sait pas encore quel role va jouer cette femme et ces deux enfants, tu nous laisses dans le suspense On retrouve un petit campitaine donc ca commence à se rattacher ! Donc suite ! Vite ! @+ -= Inxi =-
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Que du bois mort ? Intéressant ! Bon une remarque que j'ai à dire concerne la description de l'orc. Il y a un seul bémol, c'est quand tu dis qu'elle est éclaboussé de sang ou un truc comme ca. En fait juste après tu dis que tout les villageois sont encore debout. Donc ca va pas très bien On sait après qu'il y a eu des morts mais sur le coup ca m'a marqué ! Sinon les descriptions sont très belle ! Félicitations ! Il y a également pas de fautes d'ortho, et c'est bien joué. Donc à perseverer. J'espere qu'on entendra encore parler du chevalier, tu vas pas le laisser partir comme ca... Sinon, j'attends une suite aussi bien écrit que celle la : prenante et parfaite ! Suiteeeeeeeee @+ -= Inxi =-
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Tiens, c'est bizarre, j'aurai juré l'avoir posté cette suite ! Pour le problème de l'arbalète, je vais essayer de regler ca dans un futur chapitre, c'est vrai que j'y ai pas trop pensé ! Dans mon esprit, elle est bien plus petite Pour les "notre ami" etc, en fait c'est un problème ancien qui a déclenché celui là ! Dans La confrérie de l'ombre ( les premières parties des aventures du voleur) j'avais tendance à mettre beaucoup de "il" et il y a fallu que je trouve des synonymes ! C'est pour ca qu'il y en a beaucoup J'evite les "il" Bon la suite proprement dite Chapitre XVII - Zelis, Cint’hia, j’ai une mauvaise nouvelle… Commença Enriq. - Que se passe-t-il ? Il leur dit rapidement ce qu’il se passait et pour ne pas alerter leurs adversaires, il retourna discuter avec la nordique. Le signal de l’attaque allait être donné bientôt. Zelis allait lancer sa boule de feu et juste après les deux guerriers devaient les décapiter. Enriq faisait l’insouciant, parlant fort pour ne pas les alerter. Le voleur vit le mage commencer à articuler doucement, les yeux fermés, elle commençait son sort. L’air s’embrasa et la boule de feu s’écrasa sur la première créature. La seconde n’était plus là, elle avait sûrement prévu l’attaque. Le premier lycanthrope brûlait sous leurs yeux, la chef du groupe n’hésita pas et elle mit fin à ses jours. L’autre loup-garou leur tournait autour. Il eut un cri humain aigu puis un hurlement. La métamorphose avait eu lieu, ils se regroupèrent et se mirent dos à dos. Tous sondèrent l’obscure forêt à la recherche de la cible mouvante. La chair fraîche l’appâtait et ils étaient sûr que le loup humain ne lâcherait pas sa prise tant qu’ils ne seraient pas mort. - Comment as-tu su pour les loup-garou ? Demanda Cint’hia fixant toujours les arbres. - Leurs gourdes, elles contenaient du sang. Mon ami volant l’a senti et je l’ai senti aussi juste après. - J’espère que nous allons vite nous en débarrasser, nous n’avons pas beaucoup de temps à perdre. Comme si la bête mutante les avait entendus, elle bondit d’une branche sur la droite de Enriq. Tous durent se jetèrent à terre pour éviter la créature. Celle-ci, n’ayant pas prévu l’écart des cibles, roula au sol et percuta un gros rocher. Du sang commença à se répandre au sol. - Est-elle morte ? Demanda Zelis. - Non, dit Enriq. Elle a prit un sacré coup. - On va devoir la tuer ? Demanda la nordique. Personne ne répondit mais tout le monde pensait la même chose. Ils rengainèrent leur épée et partirent laissant le lycanthrope en vie. Ils bivouaquèrent quand ils jugèrent qu’ils s’étaient assez éloignés de la forêt maudite. Ils discutèrent longtemps du meilleur moyen de rentrer avant de s’endormir, bercés par le crépitement des flammes. Le matin fut assez frais, Enriq fut réveillé au premier coup de vent. La première chose qu’il remarqua, bien avant ses courbatures, fut la disparition de sa protégée. - Oh ! Réveillez-vous ! Malgré les protestations et les grognements des deux Amazones, elles se levèrent. Sans que Enriq ne parle, elles virent ce qu’il n’y allait pas. - Où est-elle ? - Si je le savais, vous croyez que je serai encore là ? Je pense que le nécromancien a du lever le sort. Elle doit encore être sous l’influence du cristal. - Sais-tu où elle a bien pu aller ? - Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse. Il se massa les tempes en essayant de se souvenir de la discussion qu’ils avaient eus tout les deux le soir précédent. Qu’avait-elle dit ? Essaya de se souvenir le voleur. Il avait parlé de ce qu’ils savaient sur le cristal mais pas la moindre indication sur ce que le joyau voulait qu’elle fasse. - Je crois savoir où elle se rend ! Elle doit sûrement aller dans la cité où il a été crée. - Bien nous allons avec toi dans ce cas ! Enriq accepta mais il espérait bien qu’il allait les détourner de leur but premier et donc de garder pour lui la jeune femme. Le trio se mit donc en route en espérant retrouver la femme avant qu’elle ne retombe entre de mauvaises mains. La guerrière, la sorcière et le voleur prirent alors la direction du fameux temple. Le trajet leur parut long, très long. A travers l’obscure forêt, ils perdirent rapidement la notion du temps et ils ne purent dire combien de temps ils mirent. Ils surent qu’ils étaient arrivés à destination quand les compagnons virent des petits points brillants tout autour d’une énorme pyramide. En s’approchant, ils virent que ces points lumineux n’étaient autre que des feux de camps. - Le temple n’est-il pas censé être abandonné depuis longtemps ? Demanda une des deux Amazones. - Oui, je me demande qui peuvent bien être ces créatures. - Je vais essayer de le découvrir, proposa Cint’hia. - Non, dit Enriq, je suis le plus discret d’entre nous et le plus habitué à ce genre de choses, je vais le faire. - Bien, je suppose que tu as raison ! Dit Zelis. Enriq allait commencer à se diriger vers les lueurs quand il ne put faire un pas de plus. Il sentait comme une intrusion en lui. Il revoyait les mêmes images que quand il avait rencontré le chaos. Notre ami ne pouvait pas échapper à l’emprise. Les Dieux sombres lui remontèrent de terribles images, des guerres, des pillages, des mutilations mais aussi de nombreuses choses inconnues. Quand tous cela cessa, le voleur resta immobile encore quelques secondes puis fit demi-tour pour prévenir que les créatures qui étaient là n’étaient que des serviteurs des Dieux sombres. - Ce qui est là, c’est le mal… Dit Enriq en les faisant sursauter. - Tu es déjà revenu ? - Je n’ai pas du aller bien loin pour savoir qui ils étaient. - En es-tu sûr ? Tu as pu te tromper, je suis sûr que tu ne les as même pas vus physiquement. - Non mais fais moi confiance, je sais que je ne me trompe pas. - Bien, alors qu’est ce qu’on fait ? - Je ne sais pas, la première chose qui pourrait nous aider serait de savoir pourquoi ils sont aussi là. - Et comment comptes tu t’y prendre ? Ces adorateurs ne parleront jamais, s’ils parlent ils savent que ce qui les attendent et bien pire que la mort. - Ils ont sûrement des prisonniers ou des esclaves… C’est eux que je vais faire parler ! Dit Enriq. - Tu ? S’étonna Zelis, tu t’attends à y aller seul ? Enriq regarda les deux femmes en comprenant doucement ce qu’elles insinuaient. Le voleur se demanda pourquoi les femmes parlaient toujours de façon indirecte… - J’accepte que vous veniez ! Dit-il solennellement, sa phrase fit rire Cint’hia. - Nous ne te laissons pas le choix, voleur, nous venions que tu l’aurais voulu ou pas. - Bon, plus nous perdons de temps, moins on a de chance de la retrouver ! Alors en route ! - Oui chef ! Dit Zelis. Le voleur demanda un peu d’aide à son oiseau et ami. - Tu peux nous aider de là haut ? Ca devrait être dans mes cordes… Je pense que ce que vous cherchez se situe dans un des camps ouests. Il y a de grandes cages d’aciers. Par contre les créatures sont … Je vous laisse découvrir ! - En avant, mon ami dit de nous diriger à l’ouest. Après avoir regardé avec appréhension l’oiseau, les deux femmes se mirent en route contrainte malgré elles de suivre les indications d’un volatile. La végétation étant épaisse, ils passèrent facilement à travers la forêt en évitant les sentinelles. Enriq dut en neutraliser une cachée dans un arbre. Seul une forte odeur d’alcool avait permis qu’ils la détectent. Le voleur le fit tomber au sol, le guerrier fut assommé puis attaché par les guerrières. Leur route ne fut plus entravée jusqu’aux fameuses cages de fer. - Il y a quelqu’un ? Chuchota Enriq vers l’intérieur de la prison. Des mouvements lui parvinrent de la cage et des petites voix criardes commencèrent à parler. - Il manquait plus que ça ! Des gobelins ! Dit Zelis en détachant son regard des tentes pour la première fois. Enriq plissa des yeux pour essayer d’y voir quelque chose mais ils étaient trop nombreux, trop entassés. Le voleur avait vu des gobelins qu’une seule fois, il avait même du le tuer pour éviter qu’il prévienne ses congénères. De toute manière, il allait essayer de quérir des informations. @+ -= Inxi =-
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Et bien, et bien ! un nouveau texte à ce que je vois ! Un peu de temps Donc tu vas pouvoir venir poster dans la section Bon je sais pas comment l'expliquer, mais c'est pas comme tes autres textes, ca change tu as ecris de facon a ce que ca soit du neuf ! Je peux pas dire d'ou ca vient mais c'est present ! Pas de faute sur la forme, belles descriptions ! J'ai rien à te repprocher de ce cote la ! A la hauteur de ta reputation ! Sur le fond, on aura peut etre d'autre explication sur ce qui passe dans l'autre histoire donc j'attends la suite ! @+ -= Inxi =-
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Pas mal du tout ! Toute mes felicitations pour ce passage ! J'ai rien à redire, ce perso est très bien introduit ( je releverai pas le jeu de mot sur son nom ) Ses troupes et sa fifine son aussi bien présente et on retrouve vite l'esprit orc Pas de faute ce coup ci ! C'est bien joué ! Efforts à poursuivre ! Donc une suite ne serait pas de refus ! @+ -= Inxi =-