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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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Et ben ! C'est une maladie les textes courts ? Bon je n'en tiendrai pas rigeur en attedant, prépare moi une énorme suite ! Donc prend ton temps peut etre mais conséquente la suite !! Donc mon commantaire va etre rapide ! Forme est bien, je n'ai remarqué aucune faute d'ortho mais je finirai par en trouver une ! Tu verras... Le fond est pas mal, la seule chose vraiment importante, c'est son annexion au groupe ! Alors suite ! @+ -= Inxi =-
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Bon ! Je reviens de loin et ça fait plaisir de retomber sur des vieux textes toujours aussi bien écrit ! bon forme et fond sont toujours aussi bien ! On regrete peu être que ce passage soit trop court ! Mais dans l'ensemble, c'est la seule vraie remarque que j'ai à faire ! Donc ca merite une suite ! @+ -= Inxi =-
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Chapitre XVI La femme se réfugia dans un coin, ce combat la dépassait de loin. Elle confia son épée à Enriq et prenait soin de toujours se trouver à l’opposé de la créature. - Je crois que je ne peux pas faire grand chose, je te la laisse. - Ton attention est touchante, dit-il en forçant un sourire. La créature n’avait pas encore bougé, Enriq ne voyait pas qu’elles pouvaient être les faiblesses de celle-ci. Il allait devoir improviser pendant l’inévitable combat. Le monstre mesurait le double du voleur, aussi bien en longueur qu’en largeur. Elle le regardait de ses yeux rouges et noirs, faisant pendre ses gourdins sur ses flancs. Sans prévenir, elle lança l’un d’eux droit sur Enriq. Celui-ci faillit le décapiter, mais le voleur se baissa à temps. Le gourdin déplaça une partie du mur tant il avait été lancé avec violence. La créature alla chercher son gourdin, comme si Enriq n’existait pas. Notre voleur, saisissant l’occasion, lacéra le dos du monstre à grand coup d’épée. Celui ne se retourna même pas, il restait insensible aux coups portés par l’audacieux aventurier. Elle ramassa l’arme tandis que Enriq enfonçait toujours plus son épée dans les entrailles du monstre. Notre ami fit vite demi-tour alors que la créature se retournait vers lui. Elle courut de toute sa masse et porta deux coups : un au niveau de la tête et l’autre au niveau des jambes. D’un saut, le voleur se retrouva à l’horizontal entre les deux gourdins. Il retomba au sol et passa de justesse sous la créature avant qu’elle ne porte un nouveau coup. - Tu es comme un petit insecte, pénible à tuer mais terriblement inutile, dit-il de sa voix caverneuse. Enriq ne répondit pas préférant garder ses forces pour se concentrer. La créature agissait à l’inverse de l’aventurier : aucune subtilité, de toute manière, elle n’en avait pas besoin. L’assemblage de corps se dirigea en courant vers notre ami, il fit mine de plonger à droite et au dernier moment sauta à gauche. Il mit au passage un violent coup d’épée en tentant de sectionner un genou, rien n’y fit, la créature resta debout. De l’autre bout de la pièce, le voleur décocha de son arbalète. Il mit un carreau magique et visa le monstre. Le projectile traversa de part en part la masse difforme et pour la première fois, il lui arracha un cri de douleur. - Tu me fais perdre mon temps ! Le Maître est pressé ! Le voleur eut soudain une idée qui devait les aider à détruire les créatures. Il se dirigea vers la jeune femme qui regardait le combat en espérant pouvoir faire quelque chose à un moment. - Le cristal ! Dit-il essoufflé. - Quoi ? - Le cristal, c’est la solution, finit-il par expliquer, accroche-le au bout d’un des carreaux. - Je ne comprend pas ! - Tu verras ! On n'a pas de temps à perdre. Elle s’exécuta alors que le monstre leur revenait dessus. Le monstre longeait le mur, au niveau de la sortie, quand Enriq fit feu une nouvelle fois. Ce coup-ci, l’abomination s’arrêta nette. Elle ouvrit la bouche d’incompréhension et toucha d’une de ses mains, qui avait lâché le gourdin, le trou par lequel était entré le missile. Une vive lumière émergea du trou réduisant la main en poussière. Le ventre du monstre émit une éclatante lumière blanche. Tout se calma. La créature, se demandant toujours ce qui se passait, fut frappé par un éclair d’une étonnante violente qui les éblouirent tous. La créature hurla à la mort avant d’exploser à la manière d’une étoile, projetant membres et morceaux de décors dans toute la pièce. A la place de la défunte créature restait le joyau, brillant d’une étrange lueur. La lumière décrut rapidement avant qu’il redevienne comme avant. La femme le reprit rapidement et ils prirent la sortie nouvellement dégagée. Aucun des deux ne fut jamais aussi content de revoir le jour. Malgré tout, ils étaient toujours en danger et ce n’était pas le moment de baisser sa garde. Enriq n’avait pas oublié les spectres qui rodaient dans les environs. Les deux compagnons mirent moins d’une heure pour retrouver la trace des Amazones. Le voleur, s’étant approché discrètement, surpris les guerrières. Se furent-elle qui commencèrent à parler. - Bienheureux que tu es réussi ta mission, voleur ! Dit Zelis. - Heureux que tu t’en sois sorti, mage ! Répondit-il avec un clin d’œil. Il ajouta pour les deux autres : Je vois que les prêtresses s’en sont également sorties, Que la justice guide votre bras. - Et que votre âme porte les coups, répondirent-elle rituellement. - Zelis, il faudrait que nous levions le camp dès que vos sœurs seront revenues ! Son visage fit signe d’un abattement total. Elle réussit à redresser la tête et avec une larme, elle dit : - Nous sommes les seules survivantes… - Que…Quoi ? Failli s’étrangler Enriq. Un silence s’abattit alors sur le groupe. Et c’est toujours en silence qu’une prêtresse soigna le nez du voleur et qu’ils repartirent. - Comment cela c’est produit ? Dit Enriq en brisant le silence. - Après que nous nous soyons quitté, nous sommes tombées sur un énorme loup, il a attaqué par derrière et a arraché la vie à l’une de nos sœurs. Le loup voyant qu’il n’avait aucune chance a fait demi-tour. Nous n’avons même pas pu la venger ! Elle avait dit ces paroles en serrant les poings d’une telle force qu’ils blanchirent. Ensuite, nous avons essayé d’attirer loin de toi tous les monstres des environs mais ils étaient trop nombreux et ils ne refoulèrent dans le château. Deux sœurs de plus ont péris. Ensuite, à force de détour dans ce labyrinthe, nous sommes arrivées dans une sorte de cour. - Nous aussi sommes passés par-là, elle continua son histoire ne levant la tête comme unique réponse. - Ici, nous nous sommes fait attaquer de toute part, des zombies arrivaient toujours plus nombreux nous bouchant l’accès aux souterrains. Malgré le courage que nous fîmes part, nous perdîmes le courage, je fus séparé du reste du groupe pour retrouver plus loin mes deux sœurs ici présentes. - Qu’est-il advenu des autres ? - Mortes ou disparues, ce qui revient au même… A ce moment, un cri les forcèrent à se retourner. Loin au-dessus de la cime des arbres, ils apercevaient des colonnes de fumées. - Je crois que vos sœurs ont réussi à ne pas partir seule. - En effet ! Dit-elle esquissant pour la première fois un sourire. Il eut un bruit de brindilles écrasées et les deux amis se mirent en garde prêt à accueillir l’individu. - Cint’hia ! Dit l’Amazone. Malgré son apparence encrassée, son visage découvert et une blessure au ventre, Enriq reconnut bien celle qui leur avait servi de guide. Le voleur fronça les sourcils en essayant de se rappeler où il avait bien pu voir ce visage. Soudain, l’évidence lui sauta aux yeux : C’était celle qui l’avait nourrie lors de son bref séjour chez les Amazones. - Heureux de tous vous revoir ! Falthis ? Iaria ? Comment vous êtes vous échappez ? Je vous croyais mortes ! - Nous avons beaucoup de ressources ! Dit l’une d’elle dans un clin d’œil. La chef remarqua que Enriq avait reconnu qui elle était. Elle rougit légèrement et lui dit : - Chacun ses secrets. - Mais… - Pas de mais ! Falthis, peux-tu guérir ma hanche, s’il te plait ? - Racontes-nous ce qui c’est passé ! Demanda Zelis. - Bien, en fait, après que nous nous soyons fait séparer, deux filles et moi sommes parties dans ce qui semblait être une salle de bain. Nous y avons des corps qui flottaient et nous décidâmes d’y mettre fin. Nous ne savions pas comment faire mais nous nous sommes mis d’accord pour mettre le feu à la bâtisse. Nous sommes alors retournées dans les chambres car quand nous étions, nous y avons vu beaucoup de combustibles. Nous réussîmes tant bien que mal à atteindre l’une des chambres, dans celle-ci se trouvait plusieurs cercueils. Alors que je mettais le feu aux rideaux, l’une des dernières survivantes, je ne puis pas dire qui elle était, ouvrit l’un des cercueils. Une masse sombre apparut en même temps que les flammes. Je n’ai pas eu le temps de les mettre en garde contre le vampire. Elles n’avaient aucune chance et elles m’ont demandé de fuir pendant qu’il en était encore temps… Et c’est ce que j’ai fait… Je les ai abandonnée… Elle ne continua pas, des larmes ruisselant sur ses joues. C’est à ce moment que le petit faucon réapparut. Enriq tendit son bras et le petit animal se posa dessus. Le voleur caressa la tête du faucon et lui demanda des nouvelles. Rien de neuf, j’ai entendu son histoire, tout ce qu’elle a dit est vrai. - Que penses-tu des deux prêtresses ? Je ne sais pas, elle ne m’inspire pas confiance. Je sens quelque chose de bizarre avec elle. - Moi aussi, quelque chose ne va pas. Il leur demanda directement. Et vous, mesdemoiselles, que s’est-il passé ? - Rien d’aussi palpitant que ce qui vous est arrivé ! Nous sommes sortis par les catacombes, nous sommes les deux seules qui avons réussi à atteindre les escaliers pour les souterrains. - Et vous n’avez rien rencontré d’anormal ? - Non, rien du tout ! Dit l’autre sœur avec trop d’empressement. La conversation s’acheva là, chacun repartant dans une de ses occupations. Enriq se mit à parler avec la jeune femme dont il ne connaissait même pas le prénom. Zelis parla avec Cint’hia et les deux prêtresses se mirent à côté, elles sortirent toutes les deux de leur sac une gourde. Tu sens ? - Oui, je vais prévenir les deux autres. @+ -= Inxi =-
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Quelle est cette présentation ? Je ne sais pas si c'est un terme adapté, on dirait plutot ca pour un pretre Mais ? Mais ? Houla en fait, je viens de remarquer que c'est aussi a chaque debut de paragraphes ce bug de presentation En fait, tu as poster deux fois la même chose mais l'un est pas fini enfin je sais pas trop ce qui c'est passé ! Sinon, une bataille en perspective Héhé, impatient de voir comment tu vas gérer tout ça ! Il faudrait developper la personnalité de ton personnage un peu, pour pas qu'on oublie ses valeurs @+ -= Inxi =-
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1) Je corrigerais quand je reverai globlalement tout le texte, merci Imp pour tes remarques. 2) Je post un gros chapitre, ca derangera pas mon lecteur Chapitre XV Le cortège que Enriq suivait des yeux s’arrêta brutalement, le chef en tête n’avançait plus et il avait ordonné l’arrêt. Il leva lentement la tête vers la fenêtre où était notre voleur. Le jeune héros ne pouvait voir son visage, seul deux petits éclats indiscernables marquaient les yeux de la créature. Il abaissa sa main et les deux loups qui l’encadraient alors coururent dans la maison. - Pensez-vous pouvoir divertir les morts vivants le temps que je la délivre ? Demanda Enriq aux Amazones. - Oui, nous le pouvons, nous nous rejoignons à la frontière de cette forêt. D’après ce que j’ai vu, nous avons pas dû nous en éloigner beaucoup. Zelis intervint dans la conversation, Enriq se demanda si cette dernière n’était pas la seconde du chef. Il faudrait penser à savoir qui elle est, par la même occasion il faudrait savoir son prénom. - D’après ce que j’ai vu, nous ne sommes pas seuls, si je ne me trompe pas, ce qui nous a sauvés tout à l’heure sont des élémentaux de terre. Ce sont des puissantes créatures mais je ne peux pas dire qui les a envoyés et si ce geste était désintéressé ou pas… - Je prendrai garde, on se rejoint là-bas… Dit le voleur après avoir vérifié tout son équipement. La première chose qu’il allait devoir faire, c’était de se débarrasser des loups. Enriq pouvaient entendre leur martèlement dans ce qui devait être un escalier. Malgré à ce que s’attendait Enriq, seul un loup se tenait face à lui. Le voleur en déduit rapidement que soit l’autre loup était avec les Amazones, soit il le prenait à revers. Le voleur fuit de l’endroit où il était pour se réfugier dans une petite chambre sombre. Le loup mit rapidement la porte en charpie à l’aide de ses monstrueuses pattes. Il rentra et fixa Enriq de ses yeux orangés, la gueule dégoulinant de sang fraîchement bu. Le loup grondait légèrement, signe qu’il se préparait à bondir sur sa proie. Le voleur essaya de contrôler la créature mais il n’y parvint pas, il y avait comme une barrière invisible qui l’empêchait de sonder son esprit. Soit la créature était trop attaché à son maître, soit cette dernière ne réfléchissait pas par elle-même : une vraie machine à tuer. La créature sentit qu’on s’introduisait en elle et elle bondit sur notre ami. Celui-ci, alors qu’il était encore dans ses pensées, l’évita d’un réflexe miraculeux. Le loup s’écrasa dans un bruit sec dans les meubles juste derrière le voleur. Le monstre sembla sonné et Enriq en profita pour sortir de ce cul-de-sac. Sur sa gauche, il y avait l’escalier par lequel était venu le loup. De l’autre, un long couloir qui s’enfonçait dans la maison. Le voleur opta pour le passage de gauche, vers l’escalier, il allait essayer un piège bien qu’il avait peu de temps devant lui. Comme par magie une petite cordelette, bien plus solide qu’en apparence, apparut entre ses mains. Rapidement, Enriq la tendit dans le haut des escaliers et la noua à deux minces piliers. Le voleur descendit encore quelques marches alors que le loup ressortait de la pièce, bavant toujours plus de colère. Il bougea rapidement la tête pour savoir de quel côté était parti le chanceux humain. Le voyant dans l’escalier, il n’hésita pas une seconde et s’engagea à sa poursuite. Le voleur se campa sur ses pieds et attendit ferme la créature en priant pour qu’elle ne passe pas au-dessus du fil. Malgré toutes ces craintes, la créature tomba dans son piège, lui sectionnant les deux pattes avant à cause de sa vitesse. Elle roula en boule dans l’escalier avant de finir empalé sur l’épée du voleur. Sous le poids du loup et la violence de la créature, Enriq se retrouva coincée sous cette dernière. Le sang trempa la tunique de notre ami et après un effort surhumain, il réussit à se dégager maudissant les Dieux qui l’avaient mis dans cette situation. Notre voleur dégagea sa lame par la même occasion. Il la glissa directement dans son fourreau sans prendre la peine de la nettoyer, quelqu’un ouvrait la porte à une dizaine de mètres de lui. Le voleur désamorça rapidement le piège, le récupéra et prit vite l’autre couloir. Le nouveau corridor était flaqué de portes de part et autre. Enriq en ouvrit plusieurs, des chambres pour la plupart.. La dernière pièce était la plus morbide : Il faisait sombre, les fenêtres avaient été cloîtrées, des rideaux épais empêchaient les derniers rayons de soleil, qui auraient réussi à passer le barrage de bois, d’arriver. Contrairement aux autres chambres, celle-ci était ronde, le centre de gravité de la pièce était entouré de larges cercueils noirs. Le voleur en fit le tour prudemment, il posa la main sur le haut de la première boite et sentit une présence. Même si la boite était froide, il y avait quelqu’un dedans… Son instinct poussait fortement Enriq à faire demi-tour. Je confirme tes pressentiments, je sens aussi quelque chose dans ces boites. - Où es-tu ? Je crois que j’aurai besoin d’aide. Je ne peux pas rentrer, tout est fermé et c’est bien trop dangereux… Je vais rester dehors, je pourrais te rendre compte de ce que font les Amazones. - Bien, je vais me débrouiller tout seul alors… Bonne chance ! Enriq referma la porte et regagna le couloir. Une torche dans un couloir perpendiculaire fit naître trois silhouettes devant lui. Il se colla derrière une large statue représentant un homme en armure lourde. Le voleur rabattit sa capuche et calla sa tête sur ses genoux. Dans cette position, il ne devrait pas être détecté : Il ne dégageait aucunes odeurs et si c’étaient des morts vivants qui arrivaient alors ils ne devraient pas le repérer. Les choses passèrent devant lui sans le remarquer. Enriq se demandait ce qui pouvait bien traîner les pieds comme ça et en se penchant, il aperçut trois nouveaux zombis. Les lieux avaient vite été réinfectés, les choses allaient se corser. Si notre ami voulait sauver cette fille, il allait déjà devoir par sortir de sa cachette. Ce n’était pas chose aisée car il y avait un passage de zombies environ toute les minutes. Enriq balayait la poussière au sol, pour s’occuper en réfléchissant, quand il aperçut des petites entailles dans le bois. Le voleur se demanda alors si toutes les bâtisses possédaient forcement des passages secrets. Maintenant, il fallait qu’il trouve le mécanisme d’ouverture en espérant qu’il ne nécessitait pas une clé. Celui se révéla être le fourreau de la statue qu’il suffisait d’abaisser. Le mur grinça derrière lui et un mince couloir fit son apparition. Il était peu poussiéreux et bien éclairé preuve de sa courante utilisation. Le couloir s’achevait quelques mètres plus loin dans un escalier métallique. Enriq le descendit doucement, tout ses sens en alerte : Il ne savait pas sur quoi il allait tomber. Finalement, se dit le voleur, les passages secrets ça a du bon ! Enriq était dans les geôles. Il devait y avoir une vingtaine de cellules, mais elles étaient toutes vides. Elles étaient toutes conformément identiques et simples : il y avait un lit fait de paille, une potence et une corde. Enriq eut alors un aperçut de la personnalité du maître des lieux. Les prisonniers avaient deux choix, le premier était de croupir en prison en attendant que le maître vienne les chercher ou bien se tuer eux-mêmes pour ensuite être victime des expériences du nécromancien. En fait, quelque soit leurs décisions, le résultat était le même. La cellule du fond était une des seules à être ouverte et c’était la seule qui était éclairée, quelqu’un allait l’habiter. Enriq était prêt à parier que c’était celle qu’il recherchait qui allait loger dedans. Le voleur entra dans une cellule voisine et se dissimula sous la paille qui recouvrait le sol. Il se cacha dans le coin de la cellule mais de telle façon à voir ce qui se passait à l’extérieur. Il n’eut pas long à attendre : Les premiers bruits arrivèrent à ses oreilles. - Mais lâchez-moi bon sang ! La voix féminine était posée malgré la volonté qu’elle avait de s’enfuir. Enriq vit que ce qui la contrôlait, l’empêchait également de montrer ses émotions. - Mettez la dans la cellule, le Maître ne va tarder à l’interroger… Dit une voix sourde provenant d’une énorme créature. La grosse créature, qui devait être un lieutenant du nécromancien, était un assemblage de plusieurs êtres vivants : des humains, des loups aussi bien que des ours. Par sa magie noire, le sorcier maudit avait assemblé ce tas de chaire et l’avait amené à la vie. La créature maniait, malgré son apparence, avec dextérité deux grands gourdins. Elle prenait plaisir à envoyer valser les zombies d’un bout à l’autre de la pièce dans un grand rire sonore et grave. Les zombies ne brochaient pas et se relevaient toujours. Une voix glaciale prit la parole : - Je vois que notre invitée a prit son aise dans sa cellule ! Vous verrez, vous ne manquerez de rien. Bon ce n’est pas que ce monologue m’ennuie mais je vais te libérer au moins un moment de l’emprise qu’a le joyau sur toi. Il fit quelques passes dans les airs juste devant lui. L’air devint sombre et des petites étincelles achevèrent le sort. - Bien, venons en fait, je n’ai pas que ça à faire que de perdre mon temps avec toi. J’ai besoin de ce joyau et à part libérer de l’emprise qu’il a sur toi, je ne peux rien faire d’autre. Tu dois me le donner toi-même, je n’ai pas envie de finir comme mes squelettes tout à l’heure. - Et si je refuse de vous le donner ? Demanda l’impudente aventurière. Enriq ne voyait toujours pas le visage du nécromancien mais l’effroi se lisait dans les paroles de la jeune femme, cela en disait long sur ce qu’elle voyait. Le nécromancien rit d’un rire froid et démoniaque avant d’ajouter : - Dans ces cas vous subirez jusqu’à votre mort l’influence de ce cristal. L’homme sombre sembla toucher une corde sensible, il avait toute son attention. Il remit une couche. Si vous vous montrez coopérante, je serai me montrer généreux, je peux vous offrir l’immortalité. Réfléchissez y, je suis patient…jusqu’à un certains point. L’homme disparut du côté opposé où était arrivé Enriq en laissant ses directives à l’immense créature. Celle-ci resta vers les cellules quelques minutes puis ouvrit une grande trappe. Une odeur d’égout et de décomposition envahirent la pièce. Le gros mort vivant était parti laissant la jeune femme et le voleur seuls avec deux zombis. Enriq n’allaient pas avoir beaucoup de mal à achever ces créatures. Il enleva discrètement ce qui avait été sa cachette et sortit par la même occasion sa lame encore poisseuse. Il se leva et se glissa derrière les deux morts. Il décapita la première créature et planta son poignard dans la nuque de la deuxième. Les deux créatures tombèrent, une nouvelle fois morte. La femme n’entendit même pas les deux créatures choirent au sol. Elle avait la tête posée entre ces genoux et elle semblait réfléchir. Enriq hésita à la sortir de ses rêveries. Il chercha un moyen de la sortir de là. Le voleur avait la vue maquée quand il l’avait déposée dans la cellule ce qui fait que Enriq ne savait pas comment l’enlever de cette prison étrange. Il n’y avait pas de barreaux et donc pas de serrure. C’est la que Enriq vit les nombreuses gargouilles qui se trouvaient dans le prolongement des murs des cellules. Leurs yeux brillaient d’une étrange luminosité. Le voleur y mit la main et en ressortit une gemme de couleur étoilée qui, pensait-il, devait lui permettre de passer à travers le champ de force. Et c’est ce qu’il lui permit de faire. Il traversa le mur invisible comme s’il n’y avait rien. Il se trouva à seulement un mètre de celle qu’il avait tant cherchée. Elle ne l’avait pas encore remarqué, toujours perdue dans ses pensées. Il toussota pour la ramener à elle. Elle leva vers lui des yeux d’étonnements et d’incompréhensions. - Que fais-tu ici ? Bredouilla-t-elle. Je connais ton visage, nous nous sommes déjà rencontré, non ? - Il se peut, ma mémoire n’est plus ce qu’elle était ! Mentit-il. Maintenant, il faut partir. Une sorte de désespoir affaissa ses épaules. Elle remit sa tête sur ses genoux et finit par dire : - Ah quoi bon sortir ? Le nécromancien nous retrouva. Et quand bien même nous lui échapperions, il dissipera son sort et le cristal reprendra le contrôle. - Au moins, il ne l’aura pas, s’il tombe sous son pouvoir, personne ne sait ce qu’il pourrait en faire. Il faut que nous quittions ce lieu au plus tôt. - Tu as probablement raison… Elle se leva lentement, comme si son corps faisait plusieurs centaines de kilos. Enriq décida de suivre le chemin du magicien corrompu. Le nouveau corridor donnait directement sur une porte. En l’ouvrant, les deux compagnons virent un superbe bureau. Une large fenêtre éclairait une grande table où plusieurs papiers étaient éparpillés. La pièce était entourée d’immenses étagères où se croisait tomes, grimoires et potions. Encore au-dessus des étagères, il y avait des trophées mais comble de l’horreur, ce n’étaient pas que des animaux… Cette salle donnait accès à deux nouvelles portes, ils en empruntèrent une au hasard. C’était une salle assez ouverte où trônait en son centre un large bassin. Les eaux étaient chaudes et elles dispensaient dans la salle des larges volutes de fumée. Il y avait dans l’air d’étranges saveurs exotiques. Plusieurs bassins étaient reliés au premier par de petites gouttières. Enriq s’approcha de ceux-ci et regretta très vite son geste. Dans lesdits bassins étaient en train de croupir des corps à différents états de putréfaction. Enriq déduit que ces corps alimentaient le bassin principal et il se demanda quelles surprises allaient encore montrer ces lieux. Ils passèrent une nouvelle porte qui donnait dans une vaste salle à manger. Le nécromancien y était et il se retourna dès leur arrivé dans la salle. - Bien, je sais dorénavant ce qui a causé la, ô combien, douloureuse perte d’un de mes loups… Enriq n’avait qu’entre aperçu le visage du sorcier mais cela avait suffit pour créer en lui le plus grand effroi de toute sa vie. Il détourna les yeux rapidement et entraîna la jeune femme avec lui. - On va se faire avoir si on reste ici, fuyons ! - Je te l’avais dit, ça ne sert à rien de fuir… - Je prends le risque ! Dit-il avec un mouvement d’épaule. Aide moi à mettre la table contre la porte, je ne sais pas si ça va le retenir bien longtemps mais ça vaut le coup d’essayer. Après avoir poussé ledit meuble en travers du passage, ils décidèrent à l’unanimité d’essayer la dernière porte, dans le bureau. Cette dernière donnait directement dans une cour intérieure. Des corps morts-vivants traînaient éparpillés, preuve d’une lutte sans merci. Malgré les masses sanguinolentes de corps, Enriq n’était pas rassuré, il pouvait reconnaître des membres aussi bien appartenant à des morts qu’à des vivants. Les Amazones étaient passées par ici et si elles étaient encore en vie, elles avaient du nettoyer le passage. Derrière cette place jonchée de cadavres descendait un petit escalier en colimaçon. Le voleur fit par de son appréhension pour ce passage qui lui semblait être pire que ses propres idées. Sans un mot, la femme ramassa une épée et descendit la première dans le souterrain. Ils n’avaient descendu que quelques marches quand une voix résonna autour d’eux : - Vous pensez pouvoir m’échapper ? Vous êtes dans mon domaine et vous allez rejoindre nos rangs.. - Pressons le pas, nous ne devons pas être loin de la sortie, il ne pourra rien nous faire ! Dit Enriq pour se rassurer autant qu’elle. Au bout du tunnel, ils pouvaient apercevoir la forêt. Il n’y avait qu’une seule petite salle entre eux et la liberté. Arrivé dans cette dernière, Enriq put sentir la même odeur d’égout que dans la prison. Sans donner d’explications, le jeune héros attrapa la main de la nordique et se précipita vers la sortie pendant que le lieu était vide. Au moment de franchir les derniers mètres, le voleur s’écrasa contre un obstacle. Il avait terriblement mal au nez et aux genoux. A la place de la sortie était apparu un grand mur de brique rouge sang. Enriq, toujours chancelant à cause du choc, vit apparaître un autre mur par là où ils étaient rentrés. Il restait qu’une seule issue, mais elle venait juste de servir d’entrée à l’abomination. Elle entra dans la salle, fit quelques choses qui ressembla à un sourire et rigola. - On vous avait dit que vous ne pouviez pas nous échapper.. @+ -= Inxi, seulement s'il vient =-
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Intéressant ! Bon, c'est très bien raconté. L'histoire même si elle est naré est prenante ! Tu as meme reussi à la rendre très vivante ! Pas de fautes, j'en ai pas vu, et les descriptions sont maitrisés. Donc c'est bien et à continuer. Donc pour le fond en lui même, le combat est bien raconté, meme si la mort du vampire est quand meme triste ( l'ancien J'aime bien les méchants ) Bon, bah rien à dire sinon qu'une nouvelle page se tourne et ca continue ! Suite ! @+ -= Inxi =- P.S : un petit édit pour répondre à Roujio
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Ouais ! Et bah c'est bien J'ai pas vu de fautes donc un bel effort de ce côté là ! C'est à perseverer, ca rend la lecture plus agréable ( mais il y avait pas beaucoup de fautes avant de toute facon ) Le fond est pas mal, un nouvel hypothétique allié vient de faire son apparition, on va voir combien de temps cela va durer. Ils sont quand meme assez different et j'aimerai bien voir comment ca va finir. Le combat est pas trop mal raconté mais on arrive pas à imaginer combien il y a e créatures, il faudrait le préciser ! Suite ! @+ -= Inxi =-
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Et bien ! Je dois dire que ce passage est innatendu ! Enfin tant mieux ! J'aime bien les surprises ! Notement avec l'histoire de la rivalité, c'est bien joué ! Pas de fautes, pas de phrases bizarres : Donc j'attends une suite et j'attends de savoir qu'est ce qui va arriver à cette nouvelle compagnie ! Car on est bien rentré dans l'histoire la ! @+ -= Inxi =-
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Une faute ! J'ai trouvé une faute ! Enfin, il y a que celle là aussi que j'ai réussi a voir ! Sinon le fond est parfait, deux paragraphes finaux dignes de ce qu'ils les précéde ! Magique même Une belle histoire qui s'achève là ! J'espere en lire d'autre de ce genre bientot ! @+ -= Inxi =-
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Chapitre XIV Enriq commença alors par étudier la dangereuse porte. Elle était dans du bois massif ce qui contrastait avec la pierre qui formait la caverne. La porte était barrée de deux barres métalliques et entre ces deux, il y avait un loquet. Le voleur tira d’une de ses poches une petite pointe de fer qu’il introduit délicatement dans le trou de la serrure. Il fit quelques tâtonnements prudents pour essayer de voir quel était le mécanisme et de voir sa possibilité de manœuvre. Notre ami allait devoir faire attention car le dispositif ne semblait pas avoir été entretenu et le moindre faux pas déclencherait indubitablement le piège. Enriq commença alors à respirer doucement, à laisser sa main se laisser guider par son instinct. - L’une de vous aurait-elle une mince broche ? Ou quelque chose comme ça ? - Oui, répondit celle qu’il avait entendue comme étant Beladia. Enriq, toujours concentré sur chacun de ses gestes, prit la broche dans sa main. Il l’inséra doucement à la suite de sa pointe et commença alors le désamorçage. La pointe en fer toucha la première partie de la serrure qui se souleva lentement, le voleur fit glisser la broche de façon à qu’elle empêche le petit cran de redescendre. Plus Enriq avançait dans sa manœuvre, plus il sentait un crépitement parcourir ses doigts. Il espérait qu’il allait réussir car il avait enlevé ses gants de protection. D’après ce que notre homme avait senti la première fois, il y avait quatre crans pour la clé et un dernier qui devait être levé par magie sûrement. Le voleur s’activa et leva le dernier verrou. Enriq se releva et laisse la broche dans la serrure pour pas qu’il ait à recommencer son travail. - Zelis ? Tu pourrais venir m’aider ? - Qu’y a-t-il ? Demanda-t-elle. - Pourrais-tu faire léviter la broche par courant magique ? - Bien sûr ! Je ne suis pas un mage de foire ! Cette attitude hautaine commençait à exaspérer Enriq. Quand finiront elle par voir qu’il n’était pas comme les autres et qu’il ne les voyait pas uniquement en femme de foyer ? - Quand je te le dirai, fais-le… A son grand étonnement, elle ne dit rien. Enriq reprit son petit pic et se prépara à attaquer le dernier cran, le plus dur. Une fois la pointe sur la partie la plus basse du verrou, il demanda à l’Amazone de déclencher son sort. La jeune femme incanta et Enriq vit la petite broche en argent s’élever lentement. Enriq cala avec l’aide du petit pic cette dernière sous le cran et ce dernier se souleva magiquement. Le jeune voleur recula prudemment tandis que la porte cliquetait bizarrement. Malgré les appréhensions du voleur, il ne se passa rien. La porte donnait sur une volée d’escalier en pierre qu’il fixèrent tous sans un bruit. Le jeune aventurier fut le premier à rompre l’inanité du groupe. Enriq dégaina et emprunta le corridor de pierre. - On le suit, ordonna immédiatement la chef dont Enriq n’avait toujours pas vu le visage. Le groupe se remit donc en marche. La blessée avait été remise d’aplomb et seule persistait une cicatrice au reflet argentée. Une petite porte en bois achevait le sinistre couloir. Le voleur cala son corps contre cette dernière et quand il fut sûr qu’il n’y avait personne, il la poussa silencieusement. La porte donnait sur une large salle qui s’avéra être un cellier. La salle était immense, deux escaliers l’entouraient et ils montaient sur un étage qui leur était caché. Des armures et des tableaux anciens décoraient chaques marches. Un tapis rouge à motif noir allait d’une énorme porte vers une large salle en chêne. Seul le silence et les ombres qui hantaient les lieux dérangeaient le tableau. Le groupe avança dans l’immense pièce et ils décidèrent de commencer par le premier étage, celui leur semblèrent être le meilleur. Les cinq premières minutes leur firent penser qu’ils étaient seuls et que le manoir était vide. Dans une pièce qui semblait être une chambre, quelqu’un leur tournait le dos. Enriq lui attrapa l’épaule et le força à se retourner. - Où sommes-nous ? Demanda notre ami. Et qui es … Il ne put continuer sa phrase. La créature qui s’était retournée n’était plus vivante depuis bien longtemps. Les yeux n’étaient plus à leur place et les orbites vides étaient déjà attaquées par les vers. Une large entaille suintait à hauteur de son estomac. Malgré ça, la créature vivait. La bouche légèrement ouverte, il produisait un son monotone. Une voix parvint à sortir de ce corps en décomposition. - Que faites-vous ici ? Dit-il, chaque syllabe étant prolongée longuement. - Où sommes-nous ? Demanda Enriq encore sous l’effroi. - Le maître vous punira ! Ajouta le zombi de sa voix sourde. La grande guerrière Amazone jugea alors que la créature existait depuis bien trop longtemps et elle le décapita prestement. - Pourquoi as-tu fais ça ? Demanda le voleur énervé. Il aurait pu parler ! - Cette créature est fourbe, ces paroles ne sont que mensonges. Son existence est une provocation directe à nos Dieux. - Vos Dieux ? Ils n’existent pas ! Où sont les Dieux quand les problèmes sont là ? Les deux personnages avaient dégainés leur lames. Sous l’insulte, la femme casquée avait pointé sa lame sous la gorge de Enriq qui en avait fait de même. - Je ne te permets pas d’insulter nos Dieux… - Et moi de me menacer. - Allons, allons ! Dit Zelis entremetteuse, si j’ai compris ce que cette créature disait, le maître de cet établissement va revenir d’ici peu. Piqués à vif par un argument de poids, les deux protagonistes abaissèrent leur lame d’un accord commun. - Je suis désolé, commença l’Amazone, je ne .. - Allons, allons, c’est moi le fautif, je n’aurai pas du parler des Dieux comme ça.. Oublions ça et repartons sur de bonnes bases ! Proposa Enriq. La femme saisit sa main tendue et lui adressa son plus sympathique sourire. Vos hôtes arrivent… - Tu es encore là toi ? Tu pensais peut-être m’oublier ? - Non mais dans toute cette agitation, je t’avais oublié ! Pardonne-moi ! C’est bon, ne t’en fais pas, j’ai l’habitude. - Qui sont-ils ? Demanda le jeune voleur. Des morts vivants, une véritable armée. Si j’ai un conseil à vous donner, gardez pour vous l’effet de surprise le plus longtemps possible. En plus, vous en aurez besoin pour ta mission ! répondit le volatile. - Ma mission ? Qu’on à faire des morts avec ma mission ? Ils retiennent captive la femme que nous recherchons. Enriq se précipita instantanément aux carreaux de la bâtisse. En effet, entouré de créatures de la nuit, elle se tenait allongée dans une solide cage de fer. Autour de cette cage se tenait des loups mutants et une véritable armée de squelettes et de zombis. Il y avait même deux énormes chauves souris perchées sur cette dernière. Il y avait une sorte de respect entre les créatures et la femme, ils ne lui avaient pas pris le cristal. Cela bousculait un peu les plans de Enriq mais il était bien décidé, il allait la libérer. @+ -= Inxi =-
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Wha ! Pas mal du tout ! Alors pas de fautes de trouvées, descriptions parfaites et phrases bien tournées ! Que faire de mieux ? ( C'est à mon goût aussi ) Le fond est pas mal, on a une bonn présentation du personnage, et tu construis bien ton texte ce qui fait qu'on sait presque ce qui va se passer Je sais meme qui va gagner Mais je dirai rien On voit la fameuse rose et on commence à faire les liens Suite, tout simplement @+ -= Inxi =-
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Oui Mais pas uniquement les textes court qui viennent d'être commencé Je parle de texte assez conséquent qui n'ont plus trop de lecteurs ! Je demande pas de lire le GTC mais quand même poster sur un long texte, pas forcement tous parce que je sais que c'est trèèèèèèèèèès long à faire @+ -= Inxi =-
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Snif, j'ai un peu de peine pour le monstre ! Bon, le fond est impecable et irreprochable ! Je me repete, je sais mais au moins tu sauras au courant ! Le fond est bizarre ! Tu ne veux pas les faire pote Ce qui me laisse penser que tu as déjà écrit ton texte depuis longtemps et que tu ne veux pas tenir compte de nos remarques Bref c'est ton texte et quelque soit la voie que tu vas choisir, je la suis avec plaisir ! @+ -= Inxi, une suite ! =-
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Alalala, incorrigible Qu'est ce que c'est que ces chiffres ? Accord Et une apostrophe, une Il manque une paire de virgule Tu parles des bois, pas de la forêt; il faut donc remplacer le "la" par un "les" Bon ca fait quand meme pas mal de remarques sur la forme ! Il va falloir faire un peu plus attention Pour la forme, je dois dire que je change pas d'opinion : C'est bon ! Je suis en plein suspense et j'attends bien évidement d'en savoir plus sur ces cavaliers Alors il te reste plus qu'à faire une suite digne de ce qu'il y a avant !!! @+ -= Inxi, pense aux autres aussi =-
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Bon c'est pas mal ! Pas de fautes donc c'est très bien ! De bons efforts rigoureux ! Le fond est pas mal, meme si j'espere que tout les heros sont pas mort Enfin je pense pas, tu t'en debarasserai pas comme ca ! Nouveau livre, nouvelle intro, nouveau but ! Bien, et ben moi je veux savoir la suite ! Sinon desespere pas qu'il y est pas beacuoup de lecteur ! On est tous dans ce cas ! Mais ca n'enpeche pas de lire le texte des autres, hein ? Fais pas comme les autres ! @+ -= Inxi =-
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Bon bah pas grand chose de negatif à dire :'( La forme toujours aussi parfaite et ca m'impressionne toujours autant ! A mon avis, c'est pas prêt de changer Le fond est excellent aussi, meme si je trouve que l'inamicalité de Oya envers Quotzotl est un peu tiré à l'extreme et traine un peu Je suis meme pas sur que tu comptes les faire pote à la fin Enfin je verai bien en lisant la suite ! Sinon, je suis pressé de savoir s'il y a eu des survivants et de savoir si le monstre est dans le coin @+ -= Inxi =-
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Bon c'est la seule faute que j'ai reussi à localisée Donc c'est bien ! De bons efforts ! C'est à peseverer. Sinon, sur la forme, ca va : bonne phrase, et bon échange action/description. Pour ce qui est du fond proprement dit, ca va également ! Je suis bien prit dans l'histoire, je trouve que ca traine un peu mais c'est parce que c'est le début ( et que tout le monde n'écrit pas comme moi ! ) Bon sur ce, bons efforts et une suite ! @+ -= Inxi qui attend aussi des efforts sur les textes des autres =-
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Chapitre XIII - Mes sœurs, vous aviez peut-être raison, il se peut que se soit l’homme que nous recherchions… - Et si vous me disiez un peu plus sur l’homme que vous recherchiez, demanda Enriq, je suis quand même le principal intéressé, non ? Les guerrières se concertèrent rapidement. - Nous cherchons un voleur, celui-ci a réussi à échapper à la surveillance de nos sœurs Amazones. Nos informateurs nous ont dit que celui-ci était parti à la recherche d’une femme. - Je pense que vous avez trouvé votre homme, combattantes ! Maintenant, la question est de savoir ce que vous me voulez ! Et que venez vous faire ici ? - En bien, ne t’inquiète pas ! Dit-elle en regardant Enriq comme si elle avait du mal à croire que cet homme était le voleur. Nous sommes venues pour t’escorter, notre mission s’achèvera quand nous aurons trouvé la fille, cette femme pourrait faire un bon allié ! Enriq ne l’entendait pas de cette oreille mais il se dit qu’une escorte serait la bienvenue, du moins pour l’instant. - Je suppose que je n’ai pas vraiment le choix ! Je ne vais pas vous battre maintenant, plaisanta Enriq, vous risqueriez de vous vexer. Mettons-nous en route ! Ajouta-t-il. Le voleur essaya de prendre les choses en mains. Elles s’imposaient à lui alors il devait les avoir sous son contrôle même s’il doutait qu’aucun homme ne l’ait jamais. Notre ami se demanda quand il pourrait lâcher ces guerrières car il ne comptait pas les laisser repartir avec la fille. S’il avait fait tout ce chemin ce n’était pas pour récupérer que le joyau. Les guerrières ne parlèrent que très peu, elles accrochèrent très vite le rythme, avec moins de peine que Enriq même, elles connaissaient ce terrain. Alors que notre ami était perdu dans ses pensées, celle qui semblait diriger le groupe se mit à marcher à côté du voleur. - Je n'arrête pas de me demander comment tu as pu survivre dans la jungle alors que tu n’es qu’un homme ? Enriq ne put s’empêcher de hausser les sourcils à cette remarque. Ces femmes avaient une rage éternelle envers l’autre sexe. Il se demandait si un jour elles sauraient qu’il ne fallait pas généraliser et que certains hommes avaient un cœur. - Et moi de me demander comment des femmes aussi vulnérables que vous ont bien pu survivre toutes ces années… L’Amazone répondit à cette remarque par un grand sourire, peut-être réussirait il à la faire changer d’opinion. Elle allait se remettre à parler quand Enriq fit stopper la compagnie. Les femmes ne voulaient pas obéir mais quand elle comprirent qu’il y avait du danger dans l’air, elles s’accroupirent et dégainèrent. Le voleur rampa au milieu de hautes herbes et essaya de voir d’où venaient les hurlements qu’il avait entendu. Il avança prudemment encore sur quelques mètres et recula instinctivement. Ils étaient arrivés à la frontière du territoire hanté. Deux loups géants avançaient paresseusement le long de l’orée. Enriq comprit bien vite son erreur quand la première rafale de vent apporta directement son odeur aux loups. Les deux bêtes se tournèrent en même temps vers le voleur laissant apparaître de longues dents aiguisées. Un léger filet de bave dégoulina du coin de leur gueule. Ils foncèrent droit sur Enriq. Notre ami se retourna et hurla le plus fort possible aux Amazones de reculer le plus loin possible. Elles disparurent immédiatement. Le voleur quant à lui, se déplaça le plus rapidement possible dans les hautes herbes en évitant cette fois ci une imprudence. Les loups étaient à une centaine de mètres de là, ils reniflaient le sol à la recherche de leur proie. Ils relevèrent le museau et regardèrent la forêt. Une silhouette noire se détachait du marron des troncs. Les monstres se dirigèrent rapidement vers celui qui semblait être leur maître. Enriq souffla un bon coup, il avait eu chaud ce coup ci, il espérait que cette chance allait durer un peu. En parlant de ça, à priori tu n’es pas le seul à être passé par là.. - Qu’est ce que tu veux dire ? Enriq regarda à l’endroit où venait de se poser l’oiseau. L’herbe avait été piétinée mais pas enfoncée ce qui signifiait que quelqu’un de pas trop lourd était passé par ici, comme une femme. Les Amazones n’avaient pas réapparues et le voleur en profita discrètement pour rentrer à son tour dans la sombre forêt. Cette jungle contrastait avec celle qui bordait la cité homme lézard, celle ci était bien plus ténébreuse. Les branches et les feuilles des arbres formaient un large plafond au-dessus de notre ami. Seul quelques rayons lumineux parvenaient que trop rarement à éclairer un temps soit peut cet endroit maudit. Tout semblait avoir changé, tout était agressif et sombre. Enriq se mit sur ses gardes et essaya de suivre le chemin le plus probable. Il eut très vite l’impression d’être observé et suivi. Notre ami courut donc, passa un virage et se jeta dans des fougères. Par chance, aucune bête n’était à l’intérieur. Même s’il était mal installé, il vit parfaitement ses poursuivants. Enriq les laissa passer et émergea de son trou. - Vous manquez encore d’entraînement … Les femmes s’arrêtèrent. Celle qui dirigeait le groupe était visiblement énervée mais Enriq soutint son regard. - Vous avez essayé de nous abandonner ! - Abandonner est un terme fort, non ? Vous êtes assez grande pour vous débrouiller toute seule, non ? Et puis, vous n’aviez qu’à me suivre, je ne vous l’ai pas interdit… Si sa mâchoire aurait été assez souple, elle se serait trouvée sur le sol. De petits rires égaillèrent la troupe. La chef marmonna des choses incompréhensibles et se remit en marche. Enriq se jura de ne plus la chercher, il avait poussé très loin et il n’aurait pas été surpris de se voir transpercé par une épée… Ils ne firent pas quelques mètres que toute la troupe se retrouva encerclée par des créatures fantomatiques. - Ne bougez pas, ces créatures vous tuent d’un simple touché ! Dit Enriq sans savoir d’où il tirait ça. - Ce ne sont que des fantômes, dit une femme en frappant d’un coup d’épée l’un d’eux. Enriq ne put l’empêcher de continuer son geste. Le fantôme ne bougea point et elle passa au travers. Ses yeux se révulsèrent et elle s’écroula, morte. Notre ami pria pour que l’âme de la défunte trouve rapidement le repos. Le voleur avait une fiole d’eau bénite sur lui et il se demanda si elle n’avait pas été cassée lors de ses multiples affrontements. Par chance Enriq, comme les fantômes ne bougeaient pas, put la sortir et asperger deux d’entre eux. Les cris que poussèrent les morts les força tous à se coller les mains sur les oreilles et à s’écrouler au sol. Une fumée épaisse entoura les corps des deux morts vivants atteints. Quand celle ci se dissipa, il ne restait rien des deux créatures d’outre tombe. Les autres créatures voyant que les vivants qu’ils devaient garder n’étaient pas si inoffensifs que ça avancèrent sur leurs cibles en marmonnant de leur voix sourde et monotone. Les guerriers, malgré leur incapacité à se défendre, formèrent une position circulaire, prêt à payer chèrement de leur vie. Par chance, alors que les créatures n’étaient qu’à deux mètres d’eux, ils sentirent tous une présence dans leur dos. Enriq ne comprit pas ce qui arrivait, quelqu’un ou quelque chose lui saisit le corps et l’entraîna vers le bas alors qu’il n’y avait pas de trous dans le sol. Le voleur ne pouvait pas bouger et n’arrivait pas à respirer, il sentait aussi de la terre contre son visage. Il réussit à reprendre son souffle quelques secondes après. Il faisait noir, ils devaient être dans une caverne. Celle qui s’appelait Zelis invoqua une boule lumineuse qui permit à chacun de voir que le reste de ses compagnons étaient encore entiers. - De la magie ? Se surprit à dire le voleur. Il n’avait jamais franchement aimé cet art, trop lâche à son goût. La femme ne lui répondit que par un grand sourire. Les compagnons se resserrèrent, ils n’étaient pas seuls. La magicienne lança une boule contre l’une des parois, la boule éclata dans une gerbe d’étincelles multicolores. La lumière produit par cette dernière fut assez longue pour qu’ils puissent tous voir des formes se fondrent littéralement dans la roche. - Je ne sais pas ce que c’était, mais ça nous a sauvé la vie… - Nous sommes quand même prisonnier sous terre, dit une femme. La simplicité de l’argument coupa net Enriq. C’était une évidence mais elle avait suffit à briser son argumentation. Le voleur commençait à être habitué au lieu sombre et il mit donc moins de temps à s’y habituer. Il vit que sur un des côtés de la caverne, il y avait une entrée de tunnel. Notre ami en fit donc part aux Amazones et ils décidèrent à l’unanimité de l’emprunté. Enriq fermait la marche et il essayait mentalement de guider son ami ailé. Le tunnel déboucha dans une autre caverne. Celle-ci était fermée à son extrémité par une porte de fer. Une des femmes essaya de l’ouvrir et se fut là une nouvelle erreur… La porte se chargea de petite étincelle blanche et un fulgurant éclair frappa cette dernière en plein dans la poitrine. Elle traversa la moitié de la caverne avant de s’arrêter, fumante et inerte. Deux sœurs se précipitèrent pour voir si le pire n’était pas arrivé. Enriq fit mine de le rejoindre mais il fut arrêter par la chef Amazone. - Elles ont des formations de prêtres, elles s’en sortiront, ajouta-t-elle. Enriq allait pouvoir désamorcer le piège. @+ -= Inxi =-
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Voilà la seule faute que j'ai pu noter, alors dans l'ensemble c'est plutot pas mal ! La suite est a continuer dans cette voie Le fond est pas mal, c'est une bonne introudction. Les descriptions sont pas mal et nous immerge bien dans le monde sylvestre. Pour l'instant, on nage dans le flou pour savoir ce qu'il va se passer mais tu vas bientot nous annoncer la suite je suis sur ! Allez une suite dans les plus brefs délai ! @+ -= Inxi =-
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Une petite faute de frappe ! T'a de la chance, c'est la seule que j'ai réussi à voir Bon, à priori, je dis bien à priori, il n'y a plus de fautes, donc c'est plus que bien C'est vrai que sur le fond il y a beaucoup de perso mais si tu les fais mourir Ils peuvent rester ! Sinon, c'est pas mal, meme si tu devrais quand meme plus t'atarder sur ton personnage principal ! Bon c'est la fin de mes fausses remarques @+ -= Inxi =-
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On a encore ici deux exemples qui me font penser au seigneur des anneaux : 1) Le chef des créatures 2) Le poignard Sinon, l'action se précise et on se trouve enfin face à face ! Les vrais choses peuvent enfin commencer. Par contre j'espere que Lamenoire va vite s'en remettre ! Tu va bien lui trouver un truc Sinon pas vu de fautes, toujours aussi impressionnant ! Tu me diras un jour comment tu fais, ca merite le respect @+ -= Inxi, Répondez pour être lu =-
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Accord, accord et re accord ! C'est les seules fautes que j'ai trouvé ! Elles étaient pas bien du à degoter ! Regardes comme c'est de l'inattention avec ce que j'ai encadré en dessous Tu vas vite remarquer ce qu'il va pas ! Sinon pour le fond, c'est bien ! Ca fesait longtemps que je ne l'avais pas lu donc j'étais assez déboussolé au debut ! Sinon on raccroche doucement le rythme et je suis assez pressé de savoir la suite à vrai dire @+ -= Inxi, Répondez pour être lu =-
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Et bien ! Une bonne suite dans l'ensemble ! Je sais pas si tu as tenu compte de mes indications pour les descriptions mais je trouve ca plus lisible ces derniers temps ! Pas de fautes localisées donc : Pour le fond, tu nous racontes une belle cérémonie très bien décrite. Je me demande si les autres vampires vont avoir un autre role dans la suite de l'histoire Enfin je verai bien ! @+ -= Inxi, Répondez pour être lu =-
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Bon, bon bon ! Déjà, première remarque c'est que la première partie de ton texte m'a échappé ! Il a du passer dans un grand flux et je l'ai raté ! Donc, voilà ma contribution avec un peu de retard Bon, les deux suites vont déjà bie nensemble et aurait pu être postée à la suite ! Dans l'ensemble et meme en particulier tout va bien ! C'est très bien ! On remplace un ami par un nouveau, et pas n'importe lequel ! Sinon, pas de fautes ! J'aime pas d'ailleurs parce que ca me fait moins à dire Donc persevere ! Bon, bah j'ai l'impression de devenir un caméléon avec tous ca ! Tu mets tous en place pour nous plonger dans cet univers alors bravo! @+ -= Inxi =-
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Bon bah c'est pas mal ! La longueur est pas trop mal, c'est ni court ni long ! Donc u peu plus ne serait pas de refus Mais bon si tu as pas trop de temps, ca se comprend aussi ! On est pas des esclavagistes non plus ! ( quoique ! ) Sinon le fond avance pas bien vite mais c'est pas grave, ca fait plus à raconter ensuite ! Sinon on remarque que ca ressemble beaucoup au SDA avec l'épée Bon j'ai pas grand chose à dire sinon que je veux une suite ! Allez ! @+ -= Inxi =-