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Inxi-Huinzi

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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi

  1. :'( Tout l'après-midi, je crois que les deux se disent mais masculin sonne mieux Et voilà pour la forme ! J'ai trouvé une petite broutille dans le texte et je la remarque ( Comme d'hab quoi ! ) Toutes les phrases sont bien structurées à première vue donc rigueur à poursuivre ! Pour le fond, tu nous fais plus un petit récapitulatif qu'une grande avancée. Tu nous parle de ce qu'ils vont faire et développe assez rapidement un de tes persos ( Garde lui quand meme une petite dose de mystère ! ) Tu sais quoi à chaque fois que je lis un de tes textes, j'envie de continuer un des miens ! Alors j'y retourne @+ -= Inxi =-
  2. Inxi-Huinzi

    la revanche des HL

    Je viens de remarquer un truc avec cette phrase! Il faudrait, dans un récit, qu'il n'y est jamais de car ! S'il y en a un, ca veut dire que le passage est mal construit, cela devrait venir intuitivement ! Bon sinon ! Je hais ce passage ! Qu'est ce que c'est uqe ca ? D'OU QUI MEURT LA TAPIR ! ? Tu crois que tu vas t'en tiré comme ça Je suis sur que tu l'as fait rien que pour m'embeter ! :'( Bon plus sérieusement, il est bien ce passage ! On a une bonne action, les histoires commencent a se recouper. Les descriptions sont bonnes et l'atmosphère est ... Humide Bon après ces maigres encouragements ! Je veux une suite ! Et aussi, du calme ! Ca fait beaucoup après une longue absence ! ( Mais je m'en plaint pas ) @+ -= Inxi =-
  3. Inxi-Huinzi

    Jeunesse, vie et déclin

    Ponctuation Accord Sinon le fond est très bon ! Mais je me suis fait distencer par les chapitres ! Vas y doucement quand meme ! Bon, je n'ai pas fait gaffe précisement mais je pense pas avoir vu de gros problème : de cohérence ou de choses qui choc ! Bon, je veux voir comment ca va continuer pour faire part des autres remarques que j'ai ! Alors bien sur une suite @+ -= Inxi =-
  4. Inxi-Huinzi

    Dernier regard

    Ca fait pas mal de répétition :'( Bon sinon le fond est impecable ! Tu prend tout ton temps et c'est assez agreable de se laisser porter par le rythme des descriptions ! Elles sont très réalistes Je demande qu'une suite pour savoir ce qu'il se passe ! @+ -= Inxi =-
  5. Majuscule Je sais que ca donne un effet particulier mais j'aurai quand meme mis : "Il y a un elfe" Ca se lit plus facilement. Bon ca c'est les seules broutilles que j'ai bien put trouver ! Tu vois que c'est pas vraiment important Sinon, le fond est magnifique ! Je sais pas comment tu fais mais tes descriptions sont vraiment realistes et richement "vocabularisée" C'est vraiment bien ! Je le dis et redis ton texte est proche de la perfection ! Le seul problème est qu'il faut s'habituer dans ton monde ( tu remarques bien évidement que c'est un faux problème ! ) @+ -= Inxi, fidèle et une suite =-
  6. Inxi-Huinzi

    la revanche des HL

    Majuscule Il manque une lettre Accord ! Voilà pour la forme qui est, sinon, parfaite ! Mais bon, on en attend bien sur pas moins de toi ! Il faut dire que ce texte commençait vraiment à me manquer ! Pour le fond, j'ai pas de remarques particulières. J'ai pas vu de passages incohérents ni de gros problème ! Par contre j'aime pas voir souffrir la tapir Je suppose qu'elle va arriver avec le lézard et l'humain de toute facon Bref, tout ca pour dire que j'attends une suite dans des délais bien plus rapide ! Et oui, je suis toujours dedans ! Bravo :'( @+ -= Inxi, enfin ! =-
  7. Inxi-Huinzi

    Le Vol du Crépuscule

    Ca manque de psycho et de dialogues entre les deux, j'arrange ca au prochain coup Chapitre IX Les deux statues grognèrent et pointèrent leur hallebarde droit sur Enriq. Ces statues lézards vivaient ! S’exclama pour lui-même notre ami. Notre voleur tenait à sa vie et il fuit à tout de vitesse dans le couloir qu’il avait emprunté. Les deux colosses réagirent un peu après et ils se lancèrent à sa poursuite. Notre ami dégaina et fit feu en courant, comme il avait appris à le faire. Le carreau percuta le monstre au niveau du cœur mais se fut insuffisant pour transpercer l’armure, le lézard ne chuta qu’au sol en entraînant son camarade. Enriq aperçut rapidement la lumière du jour, il sortit dehors en courant et percuta un corps. C’était un humain, comme lui. Leurs yeux se croisèrent et Enriq put lire de la peur dans les siens. Après, l’homme s’effondra au sol sous une pluie de projectile. Ainsi, alors que le combat battait son plein, je le vis ressortir. Il sortait d’une de nos sous pyramide… Pour échapper à un groupe de nos chasseurs skinks, il escalada la première marche du temple et se mit à couvert. Xitli reporta son attention sur le combat, c’était trop facile. Neuf ennemis sur dix étaient d’une race différente que ces maudits elfes noirs, ils devaient être des esclaves sacrifiés à la gloire de leur sombre Dieux. En tout cas, l’autre homme monta encore sur la pyramide et se dirigea de l’autre côté. C’est là que je vis qu’il avait réveillé deux gardiens, l’un se posa devant la porte tandis que l’autre se lança à sa poursuite. Enriq ne regardait que peu le combat qui se passait sur son côté, il rampait pour essayer de ne pas se faire voir et il n’entendait que les cris déchirants des combattants et des mourants. Le soleil couchant le gênait et en levant la tête, notre voleur put voir plusieurs formes sombres en haut de la pyramide principale. Enriq se demanda à quoi servait qu’il se cache si on le voyait quand même, il se leva et se mit à courir au moment où un grognement lui indiquait que le gros lézard le suivait. - Aide-moi s’il te plait ! Où faut-il que j’aille ? Attends, je vais regarder… Si tu continues et que tu passe sur le troisième versant du temple, à une demi-douzaine de marches au-dessus se situe une sorte de trou, tu pourrais essayer de le faire tomber dedans, il n’a pas l’air très intelligent. - D’accord, je vais essayer. Il tourna au coin du temple et sauta en l’air pour s’accrocher à la marche supérieure. Encore d’un mouvement, il s’agrippa à la marche suivante et d’un autre saut à la cinquième. Il lui en restait une dernière, ses bras commençaient à sentir ces efforts répétés mais il put quand même se hisser à côté du trou. En regardant en contrebas, il put apercevoir la créature suivre le même chemin que lui pour continuer sur plusieurs mètres tout droit. La créature s’arrêta et regarda autour d’elle pour apercevoir sa cible un peu plus haut. Finalement, Enriq se dit que son plan avait une chance de marcher… Le jeune humain étudia alors les lieux en attendant que son adversaire arrive. Le trou ressemblait à un puit, tout autour de ce dernier, Enriq retrouva la fameuse écriture archaïque. Il y avait aussi des traces sombres qui, quand le voleur se pencha pour regarder de plus près, se révélèrent être du sang. En fait, en conclut l’enquêteur en herbe, c’était un autel de sacrifice… Maintenant, notre ami n’avait plus le temps de réfléchir, l’homme lézard était à quelques mètres. Enriq se mit se l’autre côté du puit de façon à pouvoir surveiller l’avancée du gardien. Les deux combattants se trouvaient à côté du puit sacrificiel, là où tant d’ennemis des Anciens avaient été jetés en pâture au Grand Serpent. Le gardien tenta un coup de hallebarde que l’homme évita en reculant un peu. Ils continuèrent leur ronde. Mon congénère attaqua de nouveau et provoqua la même esquive de la part de l’homme qui au bord du gouffre, resta quelques secondes en équilibre au bord du précipice. Le gardien en profita et se précipita sur l’homme qui cherchait encore son équilibre. Il le retrouva au dernier moment et l’arme ne faucha que du vide. Il s’était remis chacun d’un côté du précipice. Enriq ne savait pas comment se tirer d’affaire, l’homme lézard, si notre ami s’approchait trop près, pouvait l’atteindre de sa longue hallebarde. Soudain lui vint une idée, elle était osée et s’il faisait un seul mauvais mouvement, il allait mourir. Tant pis, il allait essayer, le tout pour le tout. Le voleur se rapprocha du gouffre et s’accroupit. Comme il s’y attendait, le gros lézard essaya de l’atteindre de son arme qui ne vint buter que sur le sol. C’est à ce moment que Enriq fit appel à un équilibre hors du commun. Après qu’il eut évité la hallebarde d’un saut, il retomba dessus. Il courut tout du long et se rapprocha de la créature, en équilibre au-dessus du gouffre. Il sauta par-dessus le gardien et lui projeta les pieds derrière la tête. Le coup ne le tua pas mais il provoqua sa chute dans le puit. On voit que crapahuter sur les toits t’auras finalement apporté quelque chose ! - Oui, je suis bien content ! Bon, ce n'est pas tout mais il serait temps de fuir de cet endroit. A ce moment, une dizaine de petites créatures surgirent autour de lui et le menacèrent de leur sarbacane. Elles crièrent de leur petite voix aiguë des choses incompréhensibles. Les petits lézards le forcèrent à se rapprocher du gouffre, il était désormais à quelques centimètres du précipice. Les créatures semblaient menaçantes et Enriq était sur les nerfs. Soudain l’une d’elle bondit droit sur le héros qui, par réflexe, tenta de contrer une attaque qui n’en était pas une et tomba dans le gouffre. La chute fut longue et silencieuse, Enriq ne toucha pas les murs ce qui lui permit de ne pas se faire mal pendant qu’il tombait. Par contre, se fut plus douloureux quand il toucha le sol. Par chance, l’autel n’était pas si profond et le corps du lézard amorti une grande partie de la chute. Notre ami eut le temps de changer de côté pour que, lorsqu’il toucha le lézard, se fut l’épaule qui n’avait rien qui absorba le choc. Il avait fait une petite chute de trois quatre mètres et était coincé dans ce maudit trou. Douloureusement, il se remit debout et rassembla ces maigres affaires éparpillées aux quatre coins de la petite grotte. Il fit rapidement le tour de cette dernière et vit qu’il y avait deux sorties. Ces dernières avaient été creusées dans la terre comme par un énorme vers géant. Enriq regarda le trou par lequel il était arrivé, il vit ne voyait que les premières étoiles qui commençaient doucement à s’éclairer. L’homme, d’une agilité surprenant pour quelqu’un de sa race, se débarrassa du gardien. Un détachement de skinks encercla alors l’homme. Celui-ci finit par être aculé près du précipice et par chuter dans le puit. Dommage, pensa le prêtre skink, j’aurai bien aimé le disséquer. C’était l’heure maintenant, les survivants de la bataille devaient être sacrifiés, ils allaient rejoindre l’acrobate. Je descendis alors de la pyramide centrale et la lune se leva, elle était d’une couleur orange sanguine. Le principe du sacrifice était le suivant : Les prisonniers allaient être massés autour du trou, les premiers allaient être tués pour attirer la bête et les autres allaient être jetés vivants dans la fosse. A la fin, ils seraient tous dévorés. Enriq, ayant aucune envie d’aller dans ces tunnels obscurs essaya de voir s’il ne pouvait pas remonter. Le trou était trop haut et les parois trop lisses pour espérer revenir. Il tenta quand même plusieurs sauts mais il restait toujours hors d’atteinte. Soudain, une masse sombre tomba non loin de lui. Le jeune voleur s’en approcha et une deuxième forme chuta juste à ses côtés. Enriq se baissa et toucha les silhouettes. C’était celle d’hommes morts, leur gorge avait été coupée et le sol en devenait rouge et pâteux. Il en tomba une vingtaine comme ça et notre ami se servit de leur corps pour atteindre des hauteurs. - Je sais ce que tu vas dire ! De toute façon, ils sont morts ! Et puis si tu crois que ça me fait plaisir … Mais je n'ai absolument rien dit. En tout cas, il faut que tu trouve un moyen de sortir... A force d’efforts intenses, notre personnage réussit à atteindre un bloc rocheux qui se situait à plus de trois mètres du sol. Il eut un cri juste derrière lui, puis un autre et encore un autre. Les hommes jetés n’étaient plus égorgés mais encore vivants. Ils s’écroulaient tous à cause de la chute puis ils commençaient à se regrouper en petits groupes et à discuter entre eux. Ils paniquaient, ça se voyait, pensa Enriq, certains montraient les sorties comme s’ils envisageaient de fuir par là. Soudain la grotte trembla, elle trembla pratiquement imperceptiblement. Notre ami l’avait senti car, de son éperon rocheux, il était directement appuyé contre la paroi. Personne d’autre dans la salle ne sembla le sentir mais quand un petit sifflement se fit entendre, tout le monde se retourna alors vers la sortie de gauche. Il eut quelques petits serpents qui en sortirent et qui allèrent directement de l’autre côté attaquant tout homme sur leur passage. Enriq ne voulait pas se découvrir mais il eut quelques remords, ils venaient de perdre cinq des leurs. Le pire était à venir : les parois vibrèrent et un sifflement plus fort se fit entendre. @+ -= Inxi =-
  8. Inxi-Huinzi

    Jeunesse, vie et déclin

    Bon pour l'instant c'est bon début ! Ca commence bien ! Bon le seul reproche, c'est quand tu introduit les "jeux" il faudrait que ce soit un peu introduit avant ( Beurk le jeu de mot ) Je veux dire, nous y préparer, parce que là c'est reste très cru ! Sinon j'ai vu qu'une faute. Bon, juste une d'accord Sinon j'ai rien vu d'autre côté forme, donc efforts et relecture à poursuivre ! Voilà j'ai rien d'autre à dire sinon que je veux une suite qui change comme celle la ! D'ailleurs j'ai l'impression que les grands debats philosophique sont terminés @+ -= Inxi =-
  9. Je mettrai quand meme folle furieuse La tu accorde la moitié, c'est soit tout, soit rien Accord ? Issue Voilà, mes quelques remarques sur la forme ! Tu remarquera que sur un texte de cette longueur, c'est bien ! Donc à continuer ! Hein ? Pas de suite ! Allez, un petit effort ! Pour nous .... Allez, le fond maintenant ! Bon bah parfait ! Une histoire simple mais qui en dit long. On a au départ une histoire humouristique en prenant les événements comme ils viennent. On glisse ensuite sur un texte qui parle plus de l'amitié puis de l'amour. On redevient alors doucement plus serieux jusqu'à le paroxisme, la fin du texte... C'est beau, touchant, magnifique ! Bravo tout simplement ! Tu finis ici une magnifique oeuvre ! @+ -= Inxi =-
  10. Inxi-Huinzi

    Dernier regard

    ??? La, il faut que j'aille revoir mes connaissances scientifiques Sinon, c'est toujours aussi beau ! Toujours aussi maitrisé ! Toujours aussi bien ! Et toujours aussi court Non serieusement à part ce que j'ai relevé au dessus, j'ai rien vu à changer, c'est bien ! Pas de fautes d'hortographes ni de problème de styles ! Donc une bonne rigueur de ce coté ! Bah, je suppose que tu lance ton texte ( quelle persipacité ! ) et donc c'est pour l'instant assez bien parti ! Je veux donc une suite ! @+ -= Inxi, jete un coup d'oeil aux autres textes =-
  11. Autant pour moi T'aurai pas du le dire ! Enfin c'est pas grave ! Parce que moi si avec word je faisais aussi peu de fautes bah je serai content ! Bref ! Cool ! Ca va surement me servir comme mot ca ! Je verifie et je le case dans mon prochain chapitre rien que pour toi C'est dommage que peu de gens lisent ton texte ! C'est assez deboussolant de changer d'univers mais ton recit est vraiment excellent ! Et puis je suis egoiste, au moins, j'ai ce texte pour moi tout seule ( Et Imp bien sur ) @+ -= Inxi =-
  12. Inxi-Huinzi

    Les Exilés

    Bon bon bon ! Commencons par le début ! Les remarques sur la forme : Les gobelins font n'importe quoi en perdant le bras ces temps ci Bon, ca doit etre la seule faute que j'ai reperée Dans ce texte, j'aime bien l'effet que tu as donné, celui de donner plein d'arguments pour montrer qu'ils peuvent tenir et dans la phrase d'après, introduit par un "mais", un argument qui casse tous ce que tu viens de dire. J'ai rien remarqué d'embetant sur le fond, c'est pas mal ! L'ambiance de "fin de la partie" est bien retranscrite On imagine bien les hommes, paniqués mais menés par un homme à la poigne de fer ! C'est franchement Une suite ! @+ -= Inxi =-
  13. La je pense que la "," est inutile, ca fait bizarre Sinon pour le fond, ton texte glisse doucement vers le serieux et le dramatique. On garde quand meme un cote comique avec le corset qui lache en plein milieu de la conversation. Bon, la forme, tu as du trouver toute les fautes en tout cas, je n'en ai plus vue de genante ! Donc, pour le futur dernier chapitre, j'exige une telle rigeur ( ca se trouve il y en a plein et je les ai pas vu ! ) Sinon, c'est pas mal, j'aime toujours autant ! Et cette fin hypothetique me rend tout triste ! J'espere que tu reattaquera un texte après ! Tu vas nous refaire un texte après @+ -= Inxi =-
  14. Inxi-Huinzi

    Dernier regard

    Je suis dans le positif ! Comme les autres ! Tu as une bonne maitrise de l'écriture et je crois pas avoir vu de grosses fautes, de problèmes de temps ou de phrases construite de facon irregulière ! Le fond est lui aussi impecable ! On plonge bien dans cette ambiance de pré-mort et on en redemande avec plaisir ! Je demanderais bien évidemment une suite qui serai, une éventuelle reincarnation ou un développement de la vie de l'elfe, je suppose ! Bravo, et la suite ! @+ -= Inxi qui aimerait que tu jetes un regard sur les textes de la section =-
  15. Majuscule Frontières Voilà, c'est tout ce que j'ai bien put trouver ! Bon en gros, niveau forme c'est impecable ! Ca m'étonerai que tu travailles sous word vu la deuxieme erreur qui est passée donc tu maitrise bien ! C'est à poursuivre ! Bravo ! Pour le fond, on continue la visite guidée de ton monde est c'est vraiment sympa ! J'aime bien les hommes ours, je les trouve original ! On reparle pas du dragon dans ce chapitre, l'oublie pas quand meme ! Sinon, il faudrait que tu fasse une carte un de ces jours ! Juste pour qu'on puisse se resituer ! Allez la suite ! @+ -= Inxi =-
  16. Inxi-Huinzi

    Tan Ath

    Et bien, et bien ! C'est vraiment pas mal ! Là, je me suis replongé totalement dans l'abiance ! Tu m'a remis dedans C'est très bien ! Des remarques sur la forme, j'en ai pas ! J'ai pas vu de fautes ni de tournures de phrases bizarres Bon, j'attends une suite ! Meme si j'avais oublié le Ludwig @+ -= Inxi =-
  17. Sourire Là, ca contraste trop. En fait, on a un style impecable, très soutenu et on tombe avec un language plus familier. En fait, là ou ca ne va pas, c'est que c'est un paradoxe ! C'est soit toujours ou soit jamais ! Pour le poème en lui même, j'ai rien a dire c'est magnifique ! Il y a une très belle maitrise d'un effet de style dont je me souviens plus le nom ! ( En fait, c'est avec la repetition du mot froid/froide ) Moi, j'adore ! Bravo ! @+ -= Inxi =- P.S: Tu aurais pu le poster dans le post exprès ou plein de poemes sont repertoriés !
  18. Inxi-Huinzi

    Le Vol du Crépuscule

    Chapitre VIII Enriq, courbé sur lui-même, avança de l’autre côté de la ville. Toujours prudent, il s’arrêta derrière un amas de caisse et regarda à travers les minces planchettes. Il y avait une vingtaine de gardes autour d’Elle, elle tenait le joyau dans ses mains et fermait les yeux. Les soldats criaient de poser le minerai au sol mais elle ne semblait pas vouloir écouter. Deux soldats rompirent le cercle pour récupérer le joyau qui était, d’après leurs supérieurs, d’une importance capitale… Le premier tendit la main vers le diamant tandis que le deuxième avait dégainé et la menaçait de son épée. Quand le premier garde mit la main sur l’objet, elle rouvrit les yeux. Elle attrapa le poignet de l’homme et le propulsa sur son coéquipier. L’homme, tant bien que mal, lâcha son épée de peur de blesser son ami. Les deux hommes furent pratiquement jetés derrière leurs camarades. Les autres soldats reculèrent et la moitié de ces hommes la mirent en joue. Ils tremblaient, ils avaient visiblement peur, tous transpiraient. Si notre voleur ne faisait rien, il allait l’abattre. Sur sa droite, il y avait une sorte de large potence. Enriq se demandait si d’un de ses carreaux, il n’arriverait pas à le faire chuter sur les gardes. Enfin cela supposait que le carreau détruise la poutre et que cette dernière tombe du bon côté ! Notre ami décida de tenter sa chance. Il chargea son arbalète et mis en joue la potence. Il visa et fit feu. Il eut d’abord un petit sifflement, un bruit sourd et un craquement. La poutre chancela et allait tomber du mauvais côté quand elle se stabilisa et se précipita sur les soldats qui l’évitèrent au dernier moment. La fille, voyant une opportunité de fuir, courut vers la porte de sortie alors que tous les soldats étaient encore sous le choc. Tu peux me dire merci ! J’ai faillit mourir écraser par cette poutre ! Cette chance avait étonné Enriq et il se disait que c’était louche, maintenant, il savait ce qui c’était passé. Au moins, elle s’en était sortie et elle ne l’avait même pas remercié. Elle ne sait même pas que c’est toi qui as fait écrouler cette potence ! Enriq soupira et se dit que son ami avait raison, il devait la rattraper désormais. Il partait sans prévenir ses amis mais c’était la seule chance de la revoir et par la même occasion récupérer le joyau. Il devança les gardes qui se demandaient encore quoi faire et passa sous l’arche de la porte. La fille du chef disparut sur un sentier qui s’enfonçait directement dans la foret. Il n’eut aucun mal à suivre la piste de cette dernière : les empreintes humides étaient encore bien présentes dans le sol. Notre protagoniste les suivait quand au détour d’un virage, elles disparurent. Enriq eut beau chercher et regarder de nouveau, il n’y avait plus rien… Deux choix s’offraient alors au voleur. Le premier choix était de faire demi-tour, cette voie était celle de la sécurité, il rentrerait ainsi au port et pourrait retourner chez lui. Mais Enriq savait que c’était la deuxième solution qu’il allait prendre. Il allait se lancer à sa poursuite et pour éviter des protestations de son faucon, il prit comme motif que le Roi-Pirate le renverrait chercher le joyau de toute manière… - Comment savoir où elle est partie ? Suis ton instinct… Il alla au sud, même si c’était pour retourner là où il avait déjà été. Il marcha pendant trois jours, trois jours pendant lesquels il eut à affronter des moustiques, des bêtes suceuses de sang et le pire, son désespoir. Trois jours de marche et il n’avait pas vu une seule empreinte de pas. Au moins, il était encore en vie mais il se demanda pour combien de temps. Parfois, la foret laissait place à de grandes clairières, dans celle-ci se trouvait la plupart du temps de grands obélisques. Il y avait des sortes de hiéroglyphes gravés dans ces derniers, ils semblaient très anciens et semblaient avoir été taillé avec des instruments assez archaïques pensa Enriq en observant les entailles laissées dans la roche. C’est à la fin du troisième jour et dans une de ces clairières qu’il bivouaqua. Il fit une cabane en bois très sommaire et creusa un trou assez profond pour qu’il puisse s’y tapir et ainsi rabattre sa cape par-dessus lui pour passer inaperçu. Le réveil était toujours difficile mais les courbatures partaient généralement quelques heures après. Enriq fronça les sourcils et se concentra pour voir s’il avait bien entendu des bruits sourds. Le vent changea de direction et les bruits furent nets, ils provenaient de l’est. C’est là que notre ami décida d’aller mais avant de partir, il avala une des maigres provisions qui lui restait et mit ses armes à portée de mains. Il retourna dans cette humide foret et essaya d’aller dans la direction où les bruits avaient été entendu. Enriq commençait à connaître ce type de foret par cœur, enfin plutôt jungle. Il savait désormais où traverser quand la boue était épaisse, il savait où se nichaient les créatures qui le harcelaient et qu’est ce qui pouvait assurer sa survie dans ce monde hostile. Notre jeune voleur se demanda s’il n’avait pas rêvé, cela faisait plusieurs heures qu’il marchait et il n’y avait pas la moindre trace de ce qui avait pu causer ce boucan. Si le vent est assez fort, les bruits peuvent se faire entendre jusqu’à des journées de marche à la ronde ! Essaya de le rassurer son ami. Se fut au crépuscule que notre ami vit qu’il ne s’était pas trompé. Il sentait une odeur : l’odeur caractéristique de la mort. Il était toujours dans la foret mais il sut qu’il n’était pas loin de ce qui allait lui apporter toutes ses réponses. En effet, quelques minutes après, la foret relaissa place à une grande plaine. Au milieu de celle-ci trônaient cinq gigantesques pyramides, de grandes pyramides de pierres qui semblaient toucher les astres. Enriq se demandait comment il n’avait pas pu le voir de loin, il eut sa réponse quand il eut des petits picotements sur la nuque. Une grande magie était à l’œuvre ici et il ne doutait pas que ces grands bâtiments appartenaient à des gens d’une extrême puissance. Il entendit des petits craquements dans son dos et se retourna vivement, arbalète pointée. Journal d’un skink nommé Xitli J’avais été mobilisé dès les premières heures de l’attaque elfe noir. Cette dernière avait été annoncée par les grands sages de la cité, il y avait déjà plusieurs lunes de cela. L’armée avait été réunie aux portes de la ville pour contrer la menace sombre. Ce n’était que l’avant garde d’une grande armée, elle devait affaiblir l’armée des anciens pour ainsi facilité le travail du gros de l’armée. Mais quelque chose changea et sauva nos plans. Alors que toutes nos troupes attendaient les envahisseurs à la porte nord, je vis une silhouette sombre à la porte sud. Je signala cette forme aux commandants qui firent immédiatement rediriger l’armée de ce côté : l’envahisseur les attaquait dans le dos. En effet, sortant du couvert des arbres et à une centaine de pas du premier elfe, surgit un demi-millier de créatures. Les skinks furent les premiers sur les lieux et ces vigoureux lézards réussirent à éliminer la première vague d’ennemi. Quelque chose me parut bizarre, le premier ennemi qui avait surgi avait disparut et ne semblait pas décider à se battre… Enriq ne savait pas dans quel pétrin il s’était encore fourré. En se retournant, il vit trois hommes, trois hommes aussi sombre que la nuit et aussi cruels que les ténèbres qui brillaient dans leurs yeux. Immédiatement son instinct lui dit de faire feu, il tua le premier homme d’un carreau dans le torse. Les deux autres dégénèrent et foncèrent sur notre ami qui prit ses jambes à son cou. Le jeune fuyard fonça droit sur les pyramides, en se retournant, il vit qu’il avait une véritable armée au trousse. Enriq vit une petite porte au bas de la première pyramide, il courut dessus. Alors que les premiers ennemis étaient en train de le rattraper, ils furent faucher et tombèrent au sol comme tuer par un ennemi invisible. L’armée ténébreuse abandonna alors la poursuite du tueur et alla en criant sur le côté est du monument de pierre. - Tu es toujours là ? Oui ! Pour l’instant, reste dedans ! Dehors il y a une grande bataille et tu seras à mon avis tué par un des deux camps. - Bon, je vais voir s’il y a une sortie, reste là et dis moi comment cela avance… Enriq suivit donc le premier couloir. Il était plat au départ et montait ensuite rapidement dans le centre de la pyramide. La majorité des salles avait été, à priori, scellées. Sauf ce qui semblait être la pièce centrale du monument de pierre. Les murs de cette dernière étaient recouverts de plaquette d’or, sur celles-ci, il y avait les mêmes écritures que sur l’obélisque précédemment rencontré. Enriq se dit qu’avec juste la moitié de ces plaquettes, il serait véritablement riche. Il passa ses mains sur ces écritures comme pour essayer de les comprendre mais bien évidemment, il ne savait toujours pas les déchiffrer. En levant la tête, il vit que la voûte était décorée d’une somptueuse fresque. Cette dernière racontait l’histoire d’un peuple qui ressemblait beaucoup à des lézards mais qui marcherait sur deux pattes. Ils se battaient contre les hommes du chaos que Enriq avait déjà rencontré. Les hommes qui avaient peint cette voûte était vraiment très doués se dit notre personnage. Il y avait un grand serpent de dessiné ainsi que de gros crapauds qui étaient portés par deux gros lézards en armure. Ils ressemblaient beaucoup aux deux statues qui était dans le coin droit de la pièce. Notre voleur se rapprocha de ces deux statues et les fixa. Elles aussi étaient très réalistes. Les têtes des créatures étaient recouvertes de grand crâne d’un quelconque saurien, elles tenaient à deux mains de grandes hallebardes et leur torse était protégé d’une espèce d’armure d’or. Enriq se rapprocha d’elles, ces dernières semblaient si vraies qu’il s’attendait à tout moment à les voir s’animer. Et c’est ce qui se produit … @+ -= Inxi =-
  19. Mouais, comme tu te rattrape sur ce coup la ! Non, ca va, ca passe bien ! Tu aurais surement pas pu faire mieux ! Meme si c'est étonnant qu'il soit pas mort par la chute de pierres ! Le fond est irréprochable, je crois pas avoir lu de fautes ! Donc les efforts sont bien entendu à poursuivre ! En remarques constructives, je dirai qu'on retrouve un peu cette impression que nos amis sont toujours autant après tous les combats, alors que personne est éternel à ce que je sache ! Mais c'est vraiment pour aller chercher la petite bete que je dis ca ! @+ -= Inxi =-
  20. Inxi-Huinzi

    Tan Ath

    Il y a interet ! Tu n'es pas payé pour ça ! ( Ah bon ! T'es pas payé ! Tu t'es fait avoir ) Bon plus sérieusement, c'est court ! Je m'explique, ca parait grand comme ca, mais sur le principe ce n'est que trois textes. Donc on passe d'un texte à l'autre en perdant de l'engoument sur ce qu'on vient de lire car on doit le lacher alors que l'on venait tout juste de s'en empreigner. Ensuite, de manière plus précise, ces trois parties développe ton résumé, tu nous remet dans l'histoire et en condition pour la suite ! Bon rentrons dans le vif du sujet, sur le fond proprement dit ! La, ca va, il n'y a pas de problème ! Continue, c'est impec, on lit l'histoire comme si c'était naturel ! Allez, la suite ! @+ -= Inxi =-
  21. Inxi-Huinzi

    Oraphïn l'intrépide

    Un mot pour qualifier cette fin : Violente ! Deja pour la présentation, il faudrait faire les trois chapitres finaux sous forme d'un prologue. Mettre les trois en un quoi Ensuite, il me faut plus d'info, je veux savoir ce qui s'est passé pendant ces chapitres, on apprend pratiquement rien ! Et enfin je veux une fin autre ! Parce que tu te debarasse trop facilement de ce que tu as fait avant ! Tu crée tout un monde pour le détruire juste après ! Bon c'est tout ce que j'ai à dire, pour l'instant ! @+ -= Inxi =-
  22. Inxi-Huinzi

    Le Vol du Crépuscule

    Bon j'ai un aveu a faire ! En fait le seul motif que j'utilisais pas beacoup l'oiseau c'est en fait de la fénéantise Je m'explique, comme il parle en italique, je suis toujours obligé de faire des [ I ] et ca m'a gonflé ! Mais maintenant je me suis resaisi ! Chapitre VII La première chose que se dit Enriq en se réveillant fut qu’il n’avait pas envie d’y aller. Il se mit la tête dans les mains et resta ainsi de longues minutes. Il se décida à enfiler son pantalon en essayant de se rappeler s’il avait refait des rêves bizarres. A priori, il avait enfin pu se reposer… Ne va pas arriver en retard. - Mais tu dors jamais ou quoi ? Très peu en fait. - Tu ne sais pas où j’ai laissé ma deuxième botte ? Je ne suis pas ton pigeon … ! Sous la table là-bas… Enriq supposa que c’était l’humour de son ami et ria de bon cœur. Il mit son autre botte et sortit de sa chambre. Il vit tout de suite que quelque chose n’allait pas. Cela le rassura quelque peu car il pensait que les facultés qu’il avait développées s’était atténuées depuis qu’il ne vivait plus dans la rue. En fait, la salle lui semblait tendue, comme si les clients étaient stressés. Notre ami fit comme s’il n’avait rien remarqué et sortit rapidement par la porte principale. - Reste au-dessus de la porte ! Et dis-moi si je suis suivi… Dit-il à son ami. Oui, deux hommes. Ils portent les armoiries de ton patron … Enriq se rendit vite compte que le Roi-Pirate n’avait confiance en personne. Enfin, notre ami comprenait aussi sa paranoïa… La ville était encore plongée dans l’obscurité, le soleil ne venant qu’à peine de réapparaître. Il mit les mains dans les poches et avança vers les quais en sifflotant comme si de rien n’était. Enriq soupira quand il vit quel bateau il devait prendre… C’était celui de son ami, de son amiral, c’était donc lui l’homme qui osait défier le Roi-Pirate. Cette nouvelle réjouit notre homme mais lui fit aussi peur car si jamais il poussait à bout le Roi-Pirate, Dieu seul sait ce qui arriverait. Il monta à bord et se retourna pour voir les deux hommes disparaître dans une ruelle sombre. - Content de te revoir gamin ! Entendit le voleur derrière lui. Cette voix bourrue ne pouvait appartenir qu’à l’amiral. - Bonjour ! Répondit Enriq en réponse. - Nous voilà reparti pour une nouvelle aventure ! - Oui ! Répondit notre ami évasivement. Il était concentré sur les autres occupants du navire : C’était les même que lors de leur dernière traversée. Ces hommes étaient vraiment courageux pour revenir après ce qu’il avait vécu… ou alors ils étaient fous. Enriq s’était fait, à priori, attendre car dès qu’il fut à bord, le bateau partit vers le sud. Si les calculs de Jurgen, l’amiral, étaient justes ils devraient arriver en pleine nuit. Sinon, ils allaient devoir ralentir ou accélérer l’allure. Par chance, le vent leur était favorable et ils purent arriver à l’heure. D’où ils étaient, la ville semblait entourée d’un halo jaunâtre provenant des feux qui entouraient et étaient disposés dans la cité. Ils accostèrent sur une plage toute proche et mirent un canot à la mer pour déposer notre voleur. Enriq sortit de la cabine où il venait de se changer. Les habits qu’il venait de mettre étaient plus moulant et serraient plus ses armes contre lui mais ça évitait tout tintement… Cela le démangeait un peu mais il s’y sentait incroyablement à l’aise. Notre voleur attrapa les rames et fit le plus discrètement possible, l’amiral l’ayant prévenu qu’il y avait des patrouilles tout autour de la ville. La barque s’arrêta dans un bruit sourd sur la grève, notre homme faillit chuter car il pensait en être plus loin. Il laissa la barque ici n’ayant pas assez de force pour la tirer et rabattu par dessus une sorte de bâche qu’on lui avait laissée. Enriq passa son arbalète en bandoulière et prit un sentier qui avait l’air de mener sur la falaise au-dessus de la plage. Il devait se trouver à au moins deux kilomètres de la ville sinon plus. Notre ami se demandait où aller quand il serait en ville, bizarrement, son cœur se mit à battre plus fort. Notre voleur savait qui il risquait de revoir mais il ne savait pas comment il réagirait… Des bruits de pas se firent entendre ce qui coupa net les pensées de Enriq. Il grimpa rapidement à un arbre tout proche et attendit de voir ce qu’il se passait. - Pourquoi y a-t-il fallu que cela tombe sur nous ? - Je ne sais pas ! Mais si elle n’avait pas disparu.. Bah ça serait pas arrivé ! - Tu étais là quand ça s’est produit, non ? - Oui ! C’était un incroyable ! Elle a touché le diamant et une grande lumière a envahit la pièce ! Après elle a essayé de partir et nous on a bien essayé de l’empêcher de s’en aller mais elle s’est défendu et nous a envoyé voler à travers la pièce ! Et maintenant on est à sa recherche ! - Ca m’étonnerait qu’on la retrouve dans le coin ! Elle a du filer depuis longtemps ! Tant mieux, au moins cette maudite babiole ne sera plus parmi nous ! Tu as vu l’état du bateau où on l’a retrouvé ! ? Eh ben, c’était pas joli à voir … Le reste de la conversation se perdit dans les bruits de la foret et Enriq ne pouvait plus l’entendre. Il en avait quand même assez appris pour savoir que le joyau n’était plus dans cette ville et que s’emparer des plans allait être assez facile si tous les gardes de la ville étaient à la recherche de la fille. Notre ami sentit son cœur se déchirer. Et si c’était elle ? Cela aurait un sens ! Elle devait être la fille du chef d’où son accès au joyau … Le voleur décida de mener sa petite enquête sur place. Il descendit de son perchoir et sortit du chemin principal pour marcher dans la forêt, parallèlement au sentier qu’il venait de quitter. Sa marche en était ralenti mais au moins il ne risquait pas de tomber nez à nez avec une autre patrouille. La ville fit son apparition derrière une grosse fougère. Elle non plus n’avait guère changé depuis le temps. Elle semblait juste être plus étendue, mais Enriq n’en était pas sûr, il n’avait pas fait attention la première fois. Par contre, il était sûr qu’il y avait plus de bateaux que la première fois, ils se voyaient bien, même dans la nuit. Les équipages déchargeaient et chargeaient sans cesse, notre ami se demanda même si ce n’était pas des marchandises illégales. Les marchands devaient en profiter car les pirates n’attaquaient plus avec la même vigueur qu’autrefois. Enriq soupira et descendit vers un coin peu surveillé de la palissade. Son volatile le prévint quand le garde fut passé et il lança une corde qui vint s’accrocher aux pointes des bouts de bois qui constituaient la muraille. Le voleur tira plusieurs fois sur la corde pour voir si elle tenait bien et commença son ascension. Une fois arrivé sur le chemin de garde, il décrocha et rangea la corde. Voyant qu’un soldat arrivait il sauta de l’autre côté de la muraille pour arriver dans une meule de foin. Il se dégagea de cette dernière et rentra en ville. Tout comme la première fois, il allait essayer de passer par le trou dans la hutte pour rentrer sans se faire voir. Il monta sur une première caisse qui lui permit d’atteindre un premier toit. Il prit un peu de hauteur et bondit sur le suivant. Il rampa pour ne pas attirer l’attention, Enriq faillit crier quand il vit que le trou avait été fermé par des barreaux métalliques. Il allait devoir passer par la porte principale… Il continua de ramper jusqu’au-dessus de la porte. Il pencha discrètement la tête pour voir qu’un seul garde était en faction devant la porte. Enriq fit une grimace : ce qui constituait les tuiles étaient en train de glisser… Il s’accrocha sur une sorte de gouttière devant lui et bascula par dessus emporté par une sorte de paille. Il fit quelque chose qui ressembla à un salto et vint percuter le garde en plein dans la poitrine. L’homme ne comprit pas ce qui lui arriva et fut projeté, inconscient, dans la bâtisse. Tu aurais voulu le faire que tu n’y serais pas arrivé ! Après ce qu’il venait de faire, notre acrobate rentra fièrement dans la maison. Il attacha le garde et cacha le corps derrière de vieux tapis entreposés dans une salle sur le côté. Il rentra dans la pièce où se trouvait le trône et celle-ci était aussi vide que la première fois. Notre héros prit la première porte a gauche et arriva dans une sorte de bureau. En fouillant un peu, il trouva ce qu’il cherchait : les plans des itinéraires des bateaux. Sa mission accomplie, il sortit de la maison. A l’autre bout de la ville on entendit soudain de grands cris… - Va porter ces plans au navire, je vais voir ce qu’il se passe ! Je ne vais pas te laisser seul longtemps, je reviens ! Le volatile décolla et Enriq se dirigea vers la source des bruits. @+ -= Inxi =-
  23. Il manque un mot ! C'est tout ce que j'ai relevé pour la forme ! Donc c'est parfait, blablabli et blablabla ! C'est trop classique ce que je dit ! Pour resumé : Très bien Le fond est pas mal ! Par contre, je comprend plus grand chose à la fin ! Il va falloir que je relise ! Un coup ils se battent, un coup c'est la paix ! Bon c'est la seule remarque que j'avais à faire de vraiment interessante ! Suittttttttteeeee @+ -= Inxi, dans le suspense =-
  24. Inxi-Huinzi

    Esclave

    Je trouve ca plus cool quand même C'est moins cruel qu'avant mais bien plus deprimant ! La grande inspiration elfe noir du moment à ce que je vois ! Pour la forme, j'ai rien vu ! Mais rien de chez rien ! Puis je vais pas aller relire pour en chercher une toute facon ! Allez ca en merite bien une nouvelle ! @+ -= Inxi =-
  25. Inxi-Huinzi

    Les Exilés

    On sait ce que tu veux dire mais je pense que tu pourrais le reformuler. Deja enlever le deuxieme point qui est pour moi, inutile Je sais pas, j'ai un doute, mais faudrait voir avec le pluriel ! ( Ou un petit coup de nains ) Pour le fond, c'est tout triste ! Tout le monde meurt ! On va plus avoir un seul héros du départ :-s Enfin on va voir comment ca continue ! @+ -= Inxi =-
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