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Et voilà presque la fin, profitez ! (enfin si vs aimez ) Chapitre XIV Le voyage de retour fut long et fatiguant. Enriq manquait de vivres et de forces mais sa volonté de fer lui permettait d’avancer, encore et encore. Les paysages se succédaient et le soleil laissait sa place à la lune, inlassablement. Enriq n’arrivait pas à croire ce qu’il lui arrivait. Lui, petit voyou, avait la capacité de commander aux animaux… Pas commander ! En fait, tes années dans les rues ont développé tes liens avec les animaux. A priori la peur est le facteur qui a motivé la prise de conscience de ce don. - Il a toujours été en moi ? Oui, c’est dans tes gènes. Tu ressens ce que les animaux ressentent et tu es capable de modifier leur émotion pour les contraindre à t’obéir. Souviens toi dans ta jeunesse, la souris ! Et plus tard la bestiole, le cheval, l’autre souris … - Mais je ne sais pas comment ça marche ! Tu apprendras… Il te faut juste du temps ! - Pourquoi je t’entends ? Pourquoi uniquement toi ? Cela m’a surpris aussi quand j’ai capté tes pensées… Mais je m’y suis fait et je t’es trouvé attachant mais je n’ai pas d’explication rationnelle à ça. - Donc n’importe quel animal m’obéi ? Non, si l’animal en question a une trop forte volonté ou que le maître exerce une force plus puissante alors tu ne pourras pas et cela risquerait de te tuer… bon je te laisse, j’ai faim et une proie se trémousse à l’horizon. Enriq entendit l’oiseau décoller puis fondre, dans un cri qui lui fit frémir les tympans, sur sa cible. Des petits battements d’ailes puis un bruit de mâchement lui appris que l’oiseau était à nouveau dans les parages. - Tu n’es plus bien loin de la ville à présent, tu devrais y être avant demain matin si les conditions sont bonnes… Enriq reprit confiance et d’un pas décidé, il prit la direction de cette ville et de son frère. Ses vêtements étaient poisseux de sang et de crasses. Enriq décida de trouver un lac tout proche pour s’y baigner et changer d’odeur. Les cours d’eau et les fleuves était menu courant ici, notre ami ne mit pas longtemps à trouver à quelque chose qui ressemblait vaguement a une déformation sur le bord de la rivière. Elle permettait à Enriq de se baigner tout en restant hors de portée du courant. Ses vêtements étaient en train de sécher sur le bord de l’eau et le soleil faisait du mieux qu’il pouvait pour retirer l’eau de ses habits. Une fois secs, il décida de les renfiler et de retourner vers la ville. Ses vêtements étaient tout chaud et tout raide à cause de ce lavage improvisé et ils le génèrent les premières minutes. Il trouva un petit buisson de baies et décida de se revigorer un peu. Maintenant, il faisait nuit. Le peu de lumière permettait encore à Enriq d’avancer. Il ne savait pas d’où provenait ses forces mais il aurait pu avancer encore des heures. Enfin au moins jusqu’à ce qu’il entende des bruits sourds et qu’il aperçoive des volutes de fumée dans le ciel nocturne. Tout en restant à l’abris des feuillages, la curiosité de Enriq le poussa vers l’avant. Notre jeune ami en s’approchant de la clairière vit un spectacle qui le cloua sur place. Il y avait des créatures bizarres qui se battaient entre elles, d’autres qui coupaient des arbres, d’autres encore qui s’occupaient de loups, et même certaines qui se faisaient manger. Ce peuple rudimentaire, où seule leur ombre surmuscler suffisait à faire trembler Enriq, festoyait au milieu de la plaine. Le jeune héros décida de s’en aller avant qu’il ne lui arrive des problèmes. Il se releva, et fit demi-tour toujours les yeux braqué sur le mystérieux spectacle. Soudain, il buta contre une chose molle. Cette chose se mit à crier avec une voix stridente et désagréable, Enriq ne comprit pas un mot. La seule chose qu’il compris était qu’il devait la faire taire s’il ne voulait pas être repéré. Enriq joua de sa taille et de son poids pour faire basculer la créature. Pendant la chute, il la bâillonna d’une main et sortit son poignard de l’autre. Il enfonça la lame jusqu’à la garde dans le corps de l’immonde chose. Un sang épais et vert coula de la nouvelle plaie formée en même temps que la lueur rouge de ses yeux s’éteignaient. Sans le savoir, Enriq venait de tuer l’éclaireur qui allait prévenir qu’une armée humaine allait attaquer les choses vertes par surprise. Après la sorte de combat, Enriq n’avait pas traîné. Il avait couru le plus vite possible. Il espérait juste que le corps passerait pour une rixe qui avait mal tourné. Il s’assit dans le creux d’un arbre et décida d’y passer la nuit. Le lendemain fut douloureux pour Enriq. Pendant la nuit, il n’avait pas arrêté de bouger et il s’était réveillé dans une position jusque là insoupçonnée. Il avait mal au dos mais après quelques étirements qui firent grimacer notre ami, ils devinrent supportables. Enriq devait savoir où il était, il décida donc de grimper au somment d’un arbre alors que ses côtes hurlaient de ne pas le faire. Je vais le faire, moi… Tu es à quelques dizaine de lieux de la maison de l’alchimiste. Va toujours au nord. En effet, après une bonne demi-journée de marche, il arriva à la maison. Il toqua brièvement à la porte en s’étonnant de la magie de l’homme. Elle était exactement comme il avait vu la première fois. La porte s’ouvrit pour laisser paraître Fadrik chancelant mais debout. Enriq se jeta dans les bras de son frère qui failli tomber sous l’assaut brusque. - Rhaaaaa ! Va t’en morveux ! - Heureux de te voir en forme ! Dit Enriq. - Mouais, ça peut aller… - Il s’est remis assez vite … Intervint le vieil homme. Malgré que je lui avais dit de rester coucher. - Le lit est pour les mourants et les peureux ! Se défendit Fadrik. - Ou pour ceux qui ne veulent pas mourir ! Répondit le vieil homme. - Enfin bref ! Coupa Enriq au milieu de ces enfantillages. Le tout c’est qu’il aille mieux maintenant. Merci, nous vous sommes redevable … - Je tacherai de ne pas l’oublier ! Dit dans un clin d’œil le mage. - Viens Fadrik, on s’en va ! Ils sortirent de la maison pour leur nouvelle cachette. A l’intérieur de celle-ci, il n’y avait qu’une poignée d’hommes. Tous rescapés du massacre qu’il y avait eu, à ce moment ils étaient en mission ou alors tout simplement absents. En tout cas, ils étaient en vie et ne juraient plus que par le sang de leur adversaire. Après des retrouvailles chaleureuses, Fadrik raconta ce qu’il s’était passé puis se retourna vers Enriq. - Maintenant, nous sommes dans une impasse… - Non, je pense pas ! Répondit Enriq. - Aurais-tu appris quelque chose susceptible de nous aider ? Demanda son frère ironiquement. - Oui, où est le corps de celui que j’ai abattu ? - Il est resté dans la grotte, il doit être en train de pourrir à l’heure qu’il est… Et puis notre ancienne cachette doit être surveillée désormais. - C’est pas grave, je vais tenter ma chance… C’est notre dernier espoir. @+ -= Inxi =-
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Voilà , l'avant avant dernier chapitre ! Chapitre XIII Le chariot se retourna et Enriq se rattrapa de nouveau aux rails. Il dut éviter à plusieurs reprises les roues des wagons qui faillirent lui couper les doigts. Il se balança dans le vide et remonta à l’abris. Enriq était épuisé et comme la fonderie semblait vide, il décida de s’y reposer malgré la chaleur. Quand notre héros ouvrit les yeux, l’endroit n’avait pas bougé d’un poil. Notre jeune ami se remit debout et transféra les pierres qu’il avait sur lui vers son sac. Il se sentait un peu plus léger, Enriq se demanda combien de temps il avait bien pu se reposer et finit par conclure que cela durait depuis bien assez longtemps. Après un petit coup d’œil du côté d’où il était rentré, il sortit du bâtiment. Enriq se demandait où trouver la fameuse plante, il décida de trouver la bâtisse d’un mage nain pour y trouver peut être l’égleïa. Ce peuple à l’aspect bourru devait avoir de nombreux sorciers et il ne doutait pas un instant qu’il n’y trouverait pas son but. Il s’engagea dans la ville tout en restant dans les coins les plus sombres. Une large maison formait le coin d’une rue mais en cela elle n’avait rien de spéciale. Sa spécialité était d’avoir un petit panonceau avec une fine écriture qu’il ne parvint pas à déchiffrer. Ce bâtiment semblait être important et Enriq décida de le fouiller. L’escalade étant son moyen d’accès favori, le voleur décida de passer par la fenêtre de derrière. La pièce dans laquelle il tomba ne pouvait pas lui être plus utile. Il était dans une réserve d’architecte vu la masse de plans qui s’empilaient de part et d’autre de la pièce. Enriq décida de tous les déballer pour voir si quelque chose pouvait lui être utile. Il devait y avoir le plan de pratiquement toutes les demeures de la ville. Enriq se dit qu’il serait intéressant de revenir plus tard… Pour le moment ce qu’il voulait, c’était le plan de la ville et il finit par le trouver sous une fine couche de poussière. Il ne comprit absolument rien. La seule chose qu’il comprit c’est qu’il devait aller voir dans ce bâtiment où sur la carte les mêmes symboles que sur la porte était inscrit. La nouvelle maison à inspecter se trouvait à deux pâtés au sud. Tout en restant dans l’ombre, Enriq grimpa en haut de ladite maison et se glissa par l’une des fenêtres. La maison n’était constituée que de deux vastes pièces. Dans la première un nain tenait une arme à la main et semblait lui parler. Enriq ne comprit pas tout de suite ce que faisait ce petit personnage mais quand la lame se mit à briller d’une étrange manière, il sut qu’il l’avait envoûté. La lame comportait plein de petits symboles désormais, comme sur le plan et la porte. Tout en restant dans le dos du maître nain, Enriq alla dans la salle d’à côté. A son grand étonnement, il n’y trouva rien. Pas la moindre plante, que des minerais… Enriq eut envie de tout abandonné mais il se souvint quel était enjeu de sa mission et se remit aussitôt au travail. Il redescendit dans la ville et entreprit d’aller regarder une nouvelle fois tous les plans. Une fois chose faite, Enriq n’avait plus qu’une vingtaine de maison à fouiller. Il avait éliminé les autres car cela semblait être plus des habitations que des entrepôt. - Je vais au moins en avoir pour trois jours ! Se découragea Enriq. Plutôt tu auras commencé, plutôt cela sera fini… A la fin de ces trois jours, et après avoir dérober de la nourriture à plusieurs reprises. Enriq avait bien finit de fouiller toutes les maisons. Notre ami était assis en tailleur sur un toit et contemplait la ville à ses pieds. En levant la tête, il ne parvint pas à voir la voûte de la salle même avec la lumière venant des rues. Elles étaient éclairées avec des lampes comme une gigantesque toile d’araignée de feu. Enriq n’avait rien trouvé, rien de rien. Ce peuple ne semblait s’intéresser qu’à leurs maudites pierres. Personne n’avait la moindre once de végétations, pas une fleur, pas un seul arbre. Enriq laissa sa tête reposer sur les tuiles de la maison et se demanda bien ce qu’il allait faire. Quand il recherchait la plante dans le quartier nord de la ville, il était tombé sur une prison. La seule chose palpitante qu’il y apprit c’est que les nains aussi avait des problèmes avec un groupe qui avaient un tatouage dans le bas du dos. Enriq se demanda si cela pouvait être la même confrérie. Cela se tenait, il essayait de créer des armes plus puissantes grâce à cette fameuse roche. Mais pour l’instant, il était plus occupé par l’état de santé de son frère. Un petit bruit le tira de sa rêverie, c’était une petite souris avec une plante dans la bouche. - Hey ! Mais c’est ce que je cherche. Ne bouges pas petite souris. La souris était debout sur ses deux pattes arrières et regardait l’humain s’approcher de plus en plus. Enriq sentait que la souris avait peur et essayait de la calmer. Il sortit un morceau de nourriture et le déposa non loin de la petite créature. - Mange, n’aies pas peur. La souris tourna la tête et vit le petit morceau de pain. Elle se baissa, s’en approcha, le sentit et lâcha la fleur pour attaquer son repas. Enriq ne perdit pas de temps, il attrapa la fleur l’enroula dans un vieux chiffon et retourna vers la porte d’entrée de cette ville souterraine. Il suivait le côté est de la grotte quand une violente secousse vit vibrer toute la caverne. Des roches dégringolaient du plafond et Enriq les évitait sans mal quand soudain tout devint noir. Quand il reprit conscience, il avait furieusement mal à la tête. Il avait l’impression d’être tomber de cinq étages et d’avoir survécu. Vu la taille de la pierre qui l’avait percuté, il se demandait quand même comment il avait résisté… Il toucha l’entaille qui l’avait à la tête et en conclu qu’une fois de retour, il demanderait une de ces fameuses potions qui, dit-on, soigne très rapidement. - Combien de temps suis-je resté ainsi ? Se demanda Enriq. Cela fait une semaine et demi que tu es parti… - Oh non…. Je ne pourrais jamais sauver Fadrik. Il doit être mort maintenant ! Non, se ressaisit-il. Il a dit jusqu’à deux semaines. Enriq courut le plus vite possible, c’est à dire jusqu’à ce que la douleur au crâne l’empêche de continuer. Il retrouva rapidement la sortie et sa commande d’ouverture. Les nains n’étaient plus en train de piocher, ils avaient dut aller voir ce qu’il y avait en ville. Arrivés dehors, Enriq chercha son cheval. Mais il eut beau regarder de partout, la secousse l’avait fait paniquer… Notre héros, une larme à l’œil, s’effondra sur le sol. - Ce coup-ci je ne pourrais jamais y arriver ! Et il se mit à pleurer à chaudes larmes. Rhooo ! Ne pleure pas ! Je vais lui amener moi ! -Va-t’en-toi ! Tu ne mets d’aucune utilité… A ce moment, descendant d’une branche voisine, un faucon se posa juste devant Enriq. Allez ! Donne-moi la plante ! - Mais, mais…. Comment ? Je t’expliquerai plus tard ! Enriq confia la jeune pousse à l’oiseau et qui d’un battement d’ailes parti vers la ville. Enriq essaya de faire le point sur cet événement plus que bizarre. Il n’arriva qu’à des conclusions fantaisistes et déduit que le coup sur la tête l’avait plus amoché que ce qu’il pensait… Enriq s’allongea dans l’herbe et se remit à réfléchir… La dernière pensée qu’il eut avant de dormir fut : Empathie animale… Un léger blizzard fit s’éveiller Enriq. Il s’enroula dans sa couverture et essaya de remettre ses idées en place. Ses cheveux battaient sous le vent et Enriq passait plus de temps à les remettre en place que de prévoir ce qu’il allait bien pouvoir faire. Sur son flanc de montagne, notre héros regardait sa prochaine destination. Il ne la voyait pas, elle était beaucoup trop loin et la lumière de la lune n’arrangeait en rien sa vision. Soudain un petit objet tomba sur sa cape et manqua de se fracasser sur le sol si Enriq, d’un fulgurant réflexe, ne l’avait pas rattrapé. C’était une petite fiole qui contenait un liquide rougeâtre qui ressemblait fortement à du sang. Il enleva le bouchon mais ne sentit aucune odeur suspecte. Il décida de l’avaler. Enriq sentit tout de suite la potion de soins faire son effet. Il sentit un léger picotement sur sa tête et ne put s’empêcher une grimace de douleur. En tout cas, il ne savait pas si cela était normal mais il avait encore envie de dormir. Et plus la potion agissait, plus cela augmentait. Après seulement quelques minutes passées dans le monde réel, Enriq retourna au pays des songes avec ce dernier message en tête : Ton frère est désormais sauvé.. @+ -= Inxi =-
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Et voilà chapitre -3 avant la fin Chapitre XII Enriq attrapa l’arme et les carreaux et descendit voir son frère. Seul un bras dépassait du muret et sa voix commençait à faiblir.. En s’approchant, Enriq vit que certains carreaux avaient traversés la pierre et que l’un d’eux avait percuté Fadrik dans la hanche. Paniqué, Enriq attrapa son frère et le traîna jusqu’au seul alchimiste capable de les aider. En route, Enriq donna quelques feuilles spéciales à Fadrik qui arrêtait normalement tous les poisons mais là, ça ne semblait que le ralentir. La maison de l’alchimiste se tenait proche de la forêt ce qui lui permettait d’aller chercher directement ce qu’il lui fallait. Enriq frappa la porte avec la crosse de l’arbalète et le vieil homme vint leur ouvrir. - J’ai besoin de vos services ! Dit Enriq tout essoufflé. L’alchimiste réfléchit longtemps, les dévisagea et répondit en fermant la porte : - Je ne travaille pas avec les voleurs. Enriq colla l’arbalète là où il entendit la serrure se fermer et fit feu. Le carreau traversa la porte arrachant cette dernière. Enriq reprit son frère sur ses épaules et ouvrit la porte d’un coup de pied bien placé. Il entra dans la maison et rejoint l’alchimiste dans une pièce toute proche. - Se n’était pas une demande ! S’était un ordre ! L’alchimiste passa distraitement les doigts dans sa barbe avant de répondre : - Ce n’est pas si simple. L’herbe que vous lui avez donnée, retarde sa mort d’un jour, maximum deux. Une potion que je viens de mettre au point peut repousser à une semaine, voir deux s’il a de la chance. Le seul antidote se trouve dans les vieilles mines à l’Est d’ici. Cette plante s’appelle l’igléïa. Si vous voulez le sauver, ramenez en moi. C’est à deux jours d’ici. - Je serai de retour avant le délai ! Préparez tout ! Voyant que Enriq regardait son frère, l’alchimiste lui dit également que ce dernier était en sécurité avec lui. Comme preuve de ses dires, l’alchimiste jeta un sort qui répara instantanément la porte. En plus, il avait réussi à deviner que Enriq avait donné des herbes médicinales à Fadrik alors qu’il n’avait rien dit. Enriq vola un cheval à un homme en train de se soulager dans la forêt et prit la direction de ces mines. Son voyage lui prit bien les deux jours, Enriq regretta juste que son cheval n’est pas la même détermination que lui. Il vit les premiers pics se dresser à l’horizon en même temps que la montée de l’astre solaire. L’air s’emplit des senteurs de la forêt et du cri des insectes. Enriq localisa un sentier qui se faufilait entre les arbres et qui s’enfonçait vers le haut de la montagne. La végétation laissait passer assez de lumière pour que la brume qui longeait le sol se désépaississe et finisse par disparaître. Les sabots du cheval rythmaient la balade quand un petit rongeur s’arrêta devant le destrier. Celui-ci commença à s’affoler et Enriq ordonna à l’animal de déguerpir. L’animal regarda Enriq comme s’il l’avait compris et s’en alla dans un fourré. Enriq flatta l’encolure de son cheval et lui dit de se calmer. Le cheval cessa de s’agiter et ils purent reprendre la route. Au bout d’une heure de montée intensive à travers des chemins sinueux., Enriq arriva sur un petit plateau d'herbeux. Dans le creux d’une petite colline, une porte encadrée de trois poutres de bois donnait sur ce qui semblait être un tunnel. Enriq attacha sa monture à l’un des piliers, alluma une torche et s’engagea dans le trou. Alors qu’il n’était que depuis quelques minutes dans ce sombre passage, notre héros sembla entendre des voix et des bruits de métal qu’on entrechoc. Ces mines ne sont-elles pas censées être abandonnées ? - Si, cela fait des décennies qu’elles ne sont plus exploitées. Pas assez de minerai disait-on ! Ensuite de grandes contestations ont eu lieu mais elles n’ont abouti à rien et les mineurs ont du rentrer chez eux. Des légendes parlent d’un peuple mystérieux qui se serait installé dans la mine mais cela reste évidement une légende. Pourtant, il dut reconnaître l’évidence car plus il avançait, plus les bruits étaient nets. Au bout d’un moment, une lumière se dégagea de l’un des embranchements devant lui. Enriq cala sa torche entre deux pierres et s’approcha de la source de lumière qui se révéla être aussi celle des bruits. Dans la caverne, il y avait six protagonistes dont deux qui semblaient se battre contre les quatre autres. Les personnages qui étaient en infériorité numérique ne semblaient pas humains remarqua Enriq : Ils étaient plus petits et plus robuste. Enriq se demandait s’il devait intervenir car même si les deux combattants semblaient mieux équipés dans leur lourde armure, ils étaient moins nombreux. Notre héros n’eut pas le temps de décider que le combat commença. Se fut l’un des plus rapide que Enriq n’eut jamais vu. Les deux nains firent tournoyer leur marteau et cassèrent une tête et deux torses. Le dernier homme, profita de la mort de ses compagnons pour tenter de perforer un de ses deux adversaires. La lame ricocha sur l’armure et le dernier humain mourut écraser par deux marteaux. Les deux nains crachèrent sur les cadavres et sortirent de la caverne. Enriq fit demi-tour furtivement et alla chercher sa torche. Une fois chose faite, il retourna sur le lieu de l’affrontement, la lança sur le sol en contrebas et descendit dans la caverne. Le sable était trempé de sang et les corps étaient déjà attaqué par les vers. Enriq n’eut pas le courage de les fouiller alors il prit le chemin des vainqueurs. Notre ami n’eut aucun mal à les suivre car avec leur lourde armure de plate, ils laissèrent de profondes empreintes dans le sol. Les bruits de métaux reprirent et au lieu de voir un autre combat comme Enriq le pensait, il tomba sur des mineurs. Le plus proche de lui portait un simple habit en cuir et donnait de grand coup dans la roche à l’aide d’une pioche. Il devait travailler depuis longtemps et il semblait pouvoir frapper encore pendant des heures. Enriq n'avait aucune envie de patienter car son frère avait besoin de soins. Soudain un cri résonna dans la mine. Tous les mineurs des alentours se rassemblèrent autour d’une des parois et regardèrent, souriant, une roche diffusant une lumière argentée. Enriq profita de l’occasion pour continuer le long du tunnel. Il arriva à l’autre extrémité alors que les mineurs discutaient dans une langue inconnue. A la fin de ce nouveau tunnel, une nouvelle grotte s’offrit à Enriq mais celle-ci ne contenant pas d’issue apparente. Seule une porte massive permettait d’accéder à la zone suivante, de l’autre côté de la pièce, de grosses pierres constituaient le seul mobilier. Enriq s’approcha de la porte pour y trouver une faille, il eut beau chercher et rechercher, elle semblait indestructible. Elle devait faire dans les cinquante centimètres d’épaisseur dans une roche qui ressemblait à celle de toute à l’heure et était couverte de petits symboles divers. Des cliquetis provinrent du tunnel des mineurs et, quelques secondes après, une troupe de chariots de bouchèrent dans la grotte. Ils passèrent devant Enriq suivant des rails au sol que notre ami n’avait pas vu. Il y avait une dizaine de chariots poussé par un nain dont les muscles brillaient sous l’effort. Une fois devant la porte, elle se leva et le convoi passa en dessous. Enriq, caché derrière ses pierres, avait suivi la scène avec attention et décida d’agir au prochain convoi. Enriq sortit de sa cachette quand la porte se referma dans un bruit sourd. Il souleva les plus grosses pierres et les déposa sur les rails à intervalle régulier. En posant la dernière pierre, la main d’Enriq glissa et il dut se rattraper grâce aux rails. C’est à ce moment qu’il sentit une faible vibration se propageant dans son corps et qui allait en augmentant. Il retourna se cacher derrière les rochers et attendit de voir si son stratagème allait marcher. Un nouveau nain fit irruption dans la grotte avec un nouveau convoi. Soudain le premier wagon vint percuter la première pierre ce qui eut pour effet de stopper le convoi et d’arracher ce qui semblait être un juron au nain. Enriq profita de la diversion et sortit soulever les draps qui recouvraient les chariots. Les premiers contenaient trop de minerais pour que Enriq puisse s’y glisser sans attirer l’attention des nains. Le dernier ne contenait que la moitié de sa capacité, mais il était rempli de ces pierres si brillantes. Il se glissa dedans et mit quelques pierres dans sa poche, elle devait valoir leur pesant d’or. Le convoi se remit en marche et Enriq souleva le drap pour voir où le nain le conduisait. Après la porte et à la surprise d’Enriq, il y avait une ville. Mais cette ville était différente, toute en pierre, carrée et d’une manufacture impressionnante. Enriq qui n’avait jamais vu de villes naines ne pouvait dire si c’était un avant poste, une vraie ville ou un mélange des deux. La file de wagon couina un peu et finit par rentrer dans un bâtiment à la périphérie de la ville. Le bâtiment surplombait la ville de son gros rocher où il avait été construit. Enriq sentit la chaleur avant même que les parois du wagon commencèrent à chauffer. Notre ami sortit un peu plus la tête et son pressentiment se confirma : Il était dans une fonderie. Il n’y avait plus le nain qui poussait et les chariots suivaient un chemin tout tracé. La salle où se dirigeait les chariots était coupé en deux par un trou béant. Seul le chemin de fer traversait le trou et au milieu, les wagons se retournèrent laissant tomber leur chargement dans un large chaudron bouillonnant. Enriq tenta de sortir du wagon mais les pierres qu’il portait le clouèrent à ce dernier. Enriq enleva donc le plus de roches mais il ne fut pas assez rapide. @+ -= Inxi =-
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Bon plusieurs choses ( pas toutes en rapport avec ce que tu viens de dire ) Donc il reste quatre chapitres avant la fin, cela se terminera par le chapitre XV Ensuite j'ai supprimé le passage de la poudre, je le trouvais pas top de toute facon, c'était pour faire un truc à la james bond Enfin c'était de la semi de toute facon j'ai voulu contrer l'effet total mais c'est raté Pour la faute, bah je l'ai pas trouvée Donc j'ai tout changé ! Et pour le heroisme, je retravaillerai surement le passage pour le montrer encore plus couard ! @+ -= Inxi, 4 chapitre et surprise ! =-
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Et bien, et bien ! C'est bien ( hop, qui a dit répétition ? ) Bon là, c'est sur c'est de l'inédit ! Bon au niveau du fluff, il y a évidement pas de fautes ( bien plus callé dessus que moi d'ailleurs ) Au niveau des fautes, lors de ma lecture ( qui est plus pour le plaisir donc j'en cherche pas particulièrement ) j'en ai pas vu de genantes ! Pour le fond, je suis toujours captivé, et tu as toujours mes félicitations ! @+ -= Inxi =-
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Empire vs Homme lézard
Inxi-Huinzi a répondu à un(e) sujet de Inxi-Huinzi dans Rapports de Batailles
Les parchemins m'ont aidé à tenir au début ! Après j'ai perdu, 15 skinks Les teradons Des saurus Et 1 Pv de héros En 2 tour, c'est chiant De mon cote, avec de pretre niveau 1 ..... Ensuite les salamandres ont juste aidé à tuer les cinq chevalier sur le cote, ils en ont tué 3 @+ -= Inxi =- -
Toujours parfait ! J'en deviens jaloux En plus j'ai un avantage sur les posteurs qui sont en vacances ! Moi, je peux lire ton texte et pas eux ! Sinon rien à redire sinon : Son of tapir ( ) @+ -= Inxi =-
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Donc pour les listes d'armées, Pour moi, regardez Ici Le joueur empire ( Aethis Liumen )avait : _ 5 chevalier et musicien _ 6 chevalier dont le général et champion _ 5 chevalier du cercle intérieur _ 2 régiment de 20 hallebardier avec détachement _ 1 regiment de 20 lancier avec détachement _ 3 magiciens _ 1 canon _ 5 pistoliers _ 5 archers éclaireur _ 10 flagellants Je crois que j'ai rien oublié, s'il veut mettre des commantaires il pourra rajouter ensuite Les sorts Homme lézard, les deux pretres skinks tire tout les deux foudres d'uranon ce qui me plaisait moyen vu que je les ai laissé niveau un... L'empire, le premier mage tire dans les cieux comète de Casandora et foudre d'Uranon aussi. le deuxième dans le feu : Epée ardente(boule de feu) et explosion flamboyante le troisième tire dans le feu : Epée de Rhuin et conflagration fatale Les décors Aléatoirement placé donne ( 3 collines considérés comme terrain difficile ) Deux collines à chaque flanc dégageant juste un couloir entre la colline et le bord de la table et une au milieu de la table Les jets de dés Je gagne le premier jet de dés 5 vs 2, donc je choisis qu'il commence à placer ses unités en dernier. Deuxième lancé, j'ai terminé de placer mes unités en dernier, j'ai donc +1 sur ce lancer. On fait tout les deux six, grace au bonus d'avant, je decide qu'il joue en premier. Placement des troupes ( de gauche à droite ) Je place mes troupes d'une facon assez originale pour tester Les salamandres à gauche qui couvre le couloir crée par la colline En face : 5 chevalier avec musicien Derrière la colline, je mets 20 skinks, je les prépare à aller à l'assault de la colline En face: Les chevaliers du cercle intérieur Ensuite viennent de paté de saurus de 16, un gros bloc fasse à la cavalerie En face: Les flagellants et les chevaliers avec le général Après arrivent les chevaucheurs de sang froid En face: Un régiment d'halbardiers Un nouveau groupe de 20 skink encore derrière la colline, toujours pret à aller dessus et les téradons juste à gauche En face: Les deux régiment d'halba qui entourent le canon Vient le stégadon En face: Le regiment de lancier Et pour terminer le dernier groupe de skink, 20 derrière la colline En face: Archers Le héros est a droite de la cavalerie saurus et les deux pretres entourent les téradons Rapport resumé non narré 1 er tour Au début rien de spécial. Il avance, son canon tue deux saurus. Il place ses flagellants face à mes saurus et sa chevalerie du cercle intérieur aussi. lancement de sort, un qui rate, un avec parchemin et un dissipé. Je me suis dit que mes saurus pouvaient résisté donc je les ai avancé à portée de charges. J'ai envoyé mes teradons sur les éclaireurs et mes skinks sur les trois collines. J'ai avancé aussi le stégadon. Magie, je vaut rien et j'ai rien fait La phase de tir les skinks du cote gauche et les salamandres arrivent à faire deux pertes aux chevaliers. Les arquebusiers tirent et arrivent à tuer deux saurus. 2 ème tour Les cavaliers et les flagelants chargent au centre. Et sur le cote gauche idem mais face au salamandre le test de panique ratent et ils chargent pas. Le detachement avec les lanciers avancent et le heros et le dernier groupe de chevaliers bloquent ma cavalerie saurus car je ne peux pas charger sans me faire prendre de flanc. Je decide d'envoyer mon heros a cote des saurus face à la cavalerie. Je releve le defi, le gagne, test ils fuient on les rattrape 11 ps plus loin à cote des pistoliers. Le combat fait rage entre les flagellants et les saurus, deux pertes chacun. Indemoralisable donc je reste bloqué. Mes salamandres et mes skinks tuent les trois derniers chevaliers pendant que mon stégadon meurt d'un coup de boulet dans la tete Mes teradons chargent les archers et en tuent trois mais je perd un pv. Je reussit miraculeusement un pouvoir irresistible et arrivent à tuer trois personnes ds le detachement de franche compagnie. Les skinks arrivent à tuer 4 lanciers. 3 ème tour Les teradons rattrapent les archers et les tuent. Les saurus infligent deux nouvelle pertes, il reste 3 flagelants. Les teradons se mettent de flanc aux lanciers et les skinks du centre et a droite avancent. 8 mourront dans une explosion a droite. Les skinks abattent le regiment de lancier qui est exterminé. Les hallbardiers doivent fuir hors de la carte avec un magicien, ils l'ont raté ( cool ) Les chevaliers avec le général chargent ma cavalerie saurus et me font trois pertes, psychologie ratent et ils me rattrapent! Il se retrouvent entre mes deux pretres skinks. A mon tour les saurus achevent les flagellants et se retourent faire face à la cavalerie qui ont traversé les rangs. J'avance mes salamandres prêt des saurus. Et mon général subit une blessure après avoir voulu charger les arquebusiers en detachement, à decouvert, il se prit un coup de foudre. 4ème tour Les chevaliers se retournent, le pretre skinks dans la visée Les flagelants se battent et ils n'en restent plus que trois. Les skinks remeurent dans des boules de feu et d'explosions, sans mes parchemins je vais plus loin ( meme droit à une rime ) Le canon tue deux saurus et une salamandre, incident de tir pour l'autre, trois skinks mourront. Le general se fait charger par les harbaletriers, le mage ( dans le regiment) utilise le miroir de vonhortsman et inverse les carac ! Il n'a pas de chances et me fait aucune blessure et moi avec les carac du magos, je lui en fait une ! Je fuis ( et tant mieux ) à cause du résultat de combat. Mes teradons meurt dans une explosion. 5ème tour Ralliement du gén&ral et charge des saurus sur les halbar car mon héros ne sert à rien au cors à corps. Les skinks continuent d'attaquer le canon et les dernières bribes de troupes au nord notement les pistoliers qu'ils acheveront. Les chevaliers humains chargent mes salamandres et font charge irresistibles etse retrouvent donc en bas à gauche de la carte sans aucun ennemi. Je fait fuir mes saurus qui sont dans le coin et je fais avancer mes skinks de l'autre coté de la colline. Et mon général tuent le dernier magicien de libre 6ème tour Je tue le dernier arquebusier en haut et le dernier halbardier . Les chevaliers se retournent sans cible ! Les chevaliers se retournent mais pas d'ennemi direct. Au final Il me reste : 43 skink Mon seigneur 9 Saurus 2 prêtre skink et lui, il lui reste : 5 chevaliers et son général Voilà c'est une victoire majeure ! Voilà Qui rajoutera peut etre une partie narée @+ -= Inxi qui espère ne pas vous avoir ennuyé =-
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A mon petit tapir Bon parfait ? Comme d'hab ? Quoi je repete ! C'est pas de ma faute ! Bon rien à redire, on s'est ou on est et j'ai une vague idée de qui ils sont Sinon c'est toujours bien et je n'ai pas la moindre idée de ce qui va se passer ensuite ! @+ -= Inxi =-
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Ce poème n'est pas de moi comme vous allez le voir et il est très dur ! Moi je osutiens la personne qui a ecris ca meme si je ne sais pas qui c'est ! Si j'avais su Ce que t'avais prévu Je ne serais pas venue Te rejoindre en pleine rue J'avais 12 ans et j'étais bête J'ai cru que tu étais différent des autres garçons Que tu m'aimais peut-être En fait, t'étais encore plus con Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous Tu m'as embrassé dans le cou Tu voulais qu'on marche un peu Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde, Dans une petite ruelle toute sombre Je m'en suis rendue compte trop tard Mon rêve allait devenir un cauchemard... Tout à coup, tu n'étais plus le même Tu m'as plaquée contre le mur, fini les "je t'aime" Tu m'as dit que t'avais envie de moi Que je ne pouvais rien contre toi Tu m'as tenue contre le mur et tu m'as serré, Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque Tandis que tu m'arrachais ma jupe... Je ne savais pas quoi faire Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire J'éssayais de m'échapper Mais tu me tenais avec fermeté Je sentais mes jambes fléchir J'ai cru que j'allais mourir Je te suppliais du regard mais c'était sans espoir... Ma jupe tombée par terre Ton jean déjà ouvert J'étais épouvantée Mais toi, tu riais Tu t'es collé contre moi Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir Pour ne plus entendre tes soupirs J'ai ressenti une douleur atroce Tu m'avais pénétrée avec force Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet Quand ça ne t'a plus amusé Tu m'as retournée Et t'as recommencé Par derrière, pour changer J'ai eu encore plus mal Je me sentais si sale Tu m'avais souillée, Ruiné ma vie à jamais Quand t'as senti ton plaisir venir Tu m'as agenouillée devant toi T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir J'avais envie de vomir J'avais envie de mourrir T'as évacué ton sperme dans ma bouche Tu m'as forcé à avaler toute la louche Et puis t'es parti En me laissant là Seule, nue et meurtrie Au plus profond de moi Tu m'as juste fais jurer De ne jamais en parler Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça Même si je ne l'avouais pas Je t'aimais, tu sais Et ma virginité, Je te l'aurai donnée Si t'avais pensé à me le demander Avant de me violer @+ -= Inxi =-
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Mais que dire ? A part des louanges des bien sur ! Parfait ! Toujours dans l'ambiance, les descriptions y sont ainsi que tout le reste ! Reproche sur la présentation : Le petit bout de deuxieme chapitre qui traine Voilà j'ai fait le tour ! J'ai rien à dire mis à part : Y a plus de tapir Et sinon l'action se lance, tout est bien ! @+ -= Inxi =-
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Voilà la fin de fin ! Je pense pas la continuer après ! Peut etre le retour d'Aulnay si j'ai envie de me défouler Chapitre XI : La dissolution Le repas fut long et ennuyeux mais il se révéla important dans la suite de leur mission. En effet, les trois amis finirent par apprendre que l’homme qu’il recherchait se trouvait dans les mines, comme esclave. Il reconnurent son signalement quand leur hôte se vantait de ses derniers exploits. L’homme, tellement ivre, leur dit même précisément où le trouver. Les amis se levèrent silencieusement de tables alors que la tête de l’homme ne faisait plus qu’un avec cette dernière. Ils décidèrent d’aller retrouver Fensis qui devait se languir quelque part. En arrivant sur le palier de la maison, la voix de leur ami les firent sursauter. - Bah, vous en avez mis du temps ! Vous avez appris des choses importantes j’espère ! Après que les deux groupes se soient fait un rapport minutieux, ils décidèrent d’un accord commun de se mettre en route vers ces fameuses mines. Arrivé sur place, Fensis décida de monter la garde pendant que les trois elfes parcouraient le camp à la recherche de l’homme. Ils avaient extorqué un droit de passage au noble et pouvaient donc circuler librement à l’intérieur du camp. Ils mirent dix minutes à trouver leur proie qui cassait paresseusement la roche. Daernion avait senti tout au long du voyage le regard de ses amis sur lui, leur méfiance. Il s’était attendu à une attaque sournoise, ses mains étaient moites et il s’était préparé à tirer les armes à chaque moment, à chacun de leurs gestes. Ils sombraient doucement dans la paranoïa. Daernion allait bientôt saisir l’occasion, ils allaient tuer les deux derniers elfes avec lui puis il s’occuperait de l’arrogant lancier. Son pouls s’accélérait et une fine goutte de sueur perla dans son dos. Il était meilleur combattant que Filanthir, il devait donc tuer cette maudite magicienne et ensuite il s’occuperait du maître des épées. Mais quand il vit la scène sous ses yeux, il décida de faire une pierre deux coups. Les deux elfes le montraient en parlant alors Daernion décida de les empaler avant que se soient eux qui le fassent. Il s’approcha du dos de Filanthir de façon à ce que Aethielle ne le voit pas dégainer. - Vous ne me tuerez pas ! Il traversa de part en part les deux combattants qui étaient loin de s’attendre à ça. Les deux formes s’écroulèrent sans vie au sol. Daernion sourit, une lueur cruelle dans les yeux. - A toi lancier ! Mais à sa surprise, quand il arriva sur place, il était déjà mort. Il savait qui avait bien put faire ça, Deterik ! Daernion fit demi-tour à la vitesse de l’éclair et se précipita vers le campement. En effet, Deterik levait sa lame pour abattre Synthet. Daernion se précipita et para l’attaque. - Toi ? S’étonna l’assassin. Tu n’es pas mort ? - Non mais tu vas bientôt l’être… C’était la folie contre le talent. Des parades rapides et précises. Des chocs puissants, des coups soignés. Les deux combattants luttaient pour leur survie, dévoilant leurs meilleurs coups. Des longues années d’entraînements et de pratiques. Tout en se battant, ils finirent par arriver vers les corps de Aethielle et de Filanthir, Daernion de dos à ses défunts amis. Il percuta un des corps ce qui eut pour effet de le déstabiliser et d’ouvrir une brèche dans ses coups. Deterik le vit et en profita pour lui assener un coup de dague qui lui ouvrit une plaie sur la cuisse. Daernion tenta de se relever mais il n’y arriva pas. - A ce que je vois le poison fait doucement son effet… Daernion ne pouvait rien dire, un mince filet de bave glissait le long de sa joue. Mais il réussit à sourire. Aethielle s’était relevé et avait ramassé l’arme de son ami maître des épées. De ses dernières forces, elle coupa la tête de Deterik en deux, il s’effondra, mort. Elle regarda Daernion mais il était déjà mort. Mais de toute façon se dit-elle, elle n’aurait rien tenté pour le sauver. Aethielle retourna sur ses terres dans un état critique. Personne ne sait maintenant ce qu’elle est devenue. Mais une légende dit qu’elle aurait mis fin à ses jours devant les monstruosités de son peuple. @+ -= Inxi, fin brutale et attendue =-
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Un chapitre bourrin, enfin pas pour le perso. C'est la partie de l'histoire que j'aime le moins à cause de .... enfin vous allez bien voir Chapitre XI Enriq se demanda s’il devait prévenir son frère. Il se résigna finalement à le faire. Avant de partir de la ville pour rejoindre son frère, il envoya une missive au seigneur pour qu’il démantèle ce trafic d’arme. Cela porterait un nouveau coup dur à cette confrérie. Enriq vola un nouveau cheval et sortit au galop de la ville. En route, il eut tout le loisir de réfléchir. Le forgeron lui avait parlé de Castel Motte. Comme son nom l'indique, ce petit bastion avait été construit sur une motte tout près de la rivière où se situait le seul pont de la région. Ce petit château devait servir à récolter un droit de passage mais il devait maintenant servir à alimenter les coffres de la confrérie. Après avoir fait un rapport soigné à son frère, ils décidèrent d’attaquer au beau milieu de la nuit. Fadrik rassembla une trentaine d’hommes et ils partirent en direction de Castel Motte. Le château se profila devant les étoiles alors que la lune était à son zénith. Ils déposèrent leurs chevaux dans un bosquet non loin de la place forte. Sous les cris des grillons, ils s’élancèrent à travers la plaine. Enriq faillit tomber plusieurs fois à cause de cette maudite corde qui servait à relier chaque membre du groupe à un partenaire. Arrivés en haut de la butte, ils se plaquèrent contre la palissade. En haut, on pouvait entendre le lourd pas de deux gardes sur le chemin de ronde. Fadrik fit le signe à trois de ses hommes de se mettre en place. - S’il vous plait ! Cria l’un de ces trois hommes à l’adresse des patrouilleurs. - Que veux-tu, gueux ? Répondit l’un d’eux. - L’hospitalité pour la nuit, soyez charitable.. Les gardes rirent et lui jetèrent de multiples objets à la tête. - Tant pis pour vous… Ajouta le voleur. Fadrik abaissa le bras, la poudre s’étant dissipée à leur arrivée, deux carreaux d’arbalètes fendirent les cieux et transpercèrent les deux armures de cuirs. Les deux arbalétriers tirèrent sur les cordes reliées aux carreaux et les deux gardes chutèrent sur le sol dans un fruit flasque. - C’est le moment ! Chuchota Fadrik. Des légers sifflements indiquaient que les grappins étaient en place. Le petit groupe d’assaut monta silencieusement à l’aide de cordes sur la muraille. Les premiers hommes arrivés en haut s’empressèrent d’éteindre les torches et de faire taire le peu de gardes qui ne dormaient pas dans la cour. Fadrik ne perdit pas de temps et donna rapidement ses ordres. - Dix hommes au dortoir, tuez-les tous. J’en veux cinq autres qui pillent cet endroit ! Dix qui sécurisent ce lieu et qui amènent les chevaux dans l’enceinte. Le reste, avec moi. Ils se dirigèrent vers le donjon où dormait le seigneur du lieu et sa famille. Leur pas résonnèrent sur les pavés mais ils n’en avaient que faire désormais. Ils s’arrêtèrent au bout de la piste, face à une porte. Un des hommes s’empara d’une grosse poutre avec immédiatement après l’aide de ses amis. Ils firent un mouvement de balancier et la poutre traversa la porte dans de grandes projections de bois. Ils la retirèrent et Enriq passa adroitement sa main dans la brèche et déverrouilla la porte. - Toi et toi, vous allez voir au-dessus ! Toi, tu restes devant la porte. Enriq, on va rentrer dans cette pièce. Ils poussèrent la porte de ce qui semblait être un bureau. La seule forme humaine qu’ils distinguèrent se terrait dans un coin sombre, arme à la main. Quand les deux frères entrèrent, la forme se précipita sur eux en criant. Fadrik réussit à sortir son épée et à parer le premier coup. L’aîné frappa de haut en bas et saisit le poignet de l’homme neutralisant ainsi sa lame. Mais son adversaire fit de même. Après s’être toisé du regard et comme s’il le combat s’était joué dans leurs yeux, Fadrik utilisa une vieille parade. Il fit un mouvement de poignet et cassa celui de l’attaquant. Fadrik lui asséna également un coup de pied dans l’estomac ce qui leur permit de prendre un avantage considérable. L’homme rampa dans un coin sombre et supplia qu’on le laisse en vie. Fadrik lui mit l’épée sous la gorge et lui ordonna d’aller s’asseoir. - Je vais poser des questions simples donc j’attends bien évidemment des réponses simples, commença Fadrik. Qui commande cette confrérie ? - Je ne sais pas, personne ne le sait. Ses ordres nous sont transmis à partir d’un messager. - Où le rencontrez-vous ? - La rue commerçante, faites cinquante pas et tournez à droite. Chaque jours nous recevons de nouveaux ordres. - Qui a ordonné et qui commandait l’attaque contre ma guilde ? - C’est lui qui l’a ordonné ! Se défendit l’homme. Mais pour l’attaque, c’était moi et mes lieutenants, soupira-t-il. - On en sait assez ! Chuchota Enriq à l’oreille de son frère. Enriq voyait que l’épée n’allait pas tarder à sortir du fourreau et à son goût, trop de sang avait déjà coulé. Ils se levèrent et attendirent le rapport des hommes qui ne tarda pas à venir. - L’endroit est entre nos mains, dit un homme. - Les chevaux sont chargés de trésor, chef, une partie nous appartenait, ajouta un autre. - Tous leurs hommes sont morts, il y a eu quelques pertes de notre côté. - Combien ? S’inquiéta Fadrik. - Trois… Fadrik soupira mais finit par se résigner : ce n’était pas énorme. - Regroupement dans la cour ! Annonça Fadrik. Fadrik monta sur une estrade improvisée et parla à ses alliés. - Le seul mot qui me vient à la bouche est : merci ! Merci à tous d’avoir vengé mes amis. Je vous donne la moitié du trésor et ce fortin. Les hommes l’acclamèrent. Fadrik et Enriq enfourchèrent leur cheval suivit d’une poignée d’hommes survivant de leur guilde. Ils décidèrent de dormir avant d’aller voir ce messager. Au milieu de la matinée, la rue était bondée. Les étales des marchands s’étalaient tout au long de la rue. Sur ces étales, on pouvait trouver pratiquement tout : arme, outils, nourriture, bêtes, etc.… Chaque stand arborait ses couleurs avec leur vendeur plus ou moins charismatique qui essayait de revendre leurs produits en ce jour de marché. Les gens furetaient de droite à gauche abandonnant leurs sens aux plaisirs des lieux. Enriq et Fadrik avançaient parmi la foule à visage découvert, sans grande crainte que quelqu’un les reconnaisse. Ils finirent par repérer le messager dans la dite ruelle. L’homme était enroulé dans une cape sombre et leur était de dos, Enriq s’approcha de lui. Il lui tapota sur l’épaule et l’homme s’effondra au sol. Enriq, surpris, retourna le corps et son estomac se serra. Le messager avait un carreau d’arbalète planté en pleine tête et vu l’état boursouflé du corps, il devait être empoisonné. Fadrik estima la mort à une heure tout au plus. Enriq se baissa pour fouiller l’homme quand il sentit quelque chose lui frôler la colonne vertébrale. - A couvert ! Hurla Fadrik. Enriq se laissa tomber derrière le corps. - Je vais faire diversion. Fadrik courut dans la ruelle derrière un petit muret. Enriq sortit du couvert offert par le cadavre et se cacha dans le renforcement d’une porte. Il l’ouvrit silencieusement et regarda son frère, courbé sous les carreaux qui volaient avec une puissance surnaturelle. Enriq décida de faire vite car il lui semblait reconnaître l’arbalète qui lui avait servi. Comment l’homme aurait-il pu se la procurer ? Se demanda Enriq. Il mit fin à sa rêverie et monta à l’étage après avoir terrifié une petite fille et sa mère et chercha une fenêtre qui donnait sur l’autre côté de la ruelle. Il la dénicha assez rapidement, glissa dehors tout en restant en équilibre sur le rebord et d’un bond s’accrocha au toit. Après s’être hissé, il se pencha de l’autre côté pour voir où les autres en étaient. L’homme avait bien choisi sa position car Fadrik était pris au piège car si jamais il essayait de fuir, il devrait courir en ligne droite dos au tueur. Après quelques sauts, Enriq se retrouva sur la maison où le tueur campait. Maintenant, le plus dur serait d’entrer et aussi de savoir quoi faire une fois face au tueur… Il trouva une solution au premier problème, quand Enriq s’était penché pour regarder ce qu’il se passait, il lui avait semblé voir un petit hublot juste sous la toiture. Enriq décida de tenter le tout pour le tout, même si sa conscience lui donnait l’ordre de ne pas le faire. Il se lança dans le vide en priant que son épaule tienne le coup. Il se raccrocha au bord du toit et traversa la petite fenêtre. Notre jeune ami roula dans le grenier au milieu de débris de verre et de bois. Il laissa tomber l’attaque surprise… Il décida quand même de l’affronter et il se dirigea vers l’espèce d’échelle au fond de la pièce. Ses pas faisaient grincer le plancher et levaient des petites colonnes de fumée de poussières au-dessus de ses chausses. Il descendit de l’échelle et se prépara à entrer dans la pièce une main tremblante sur la poignée et l’autre, blanche à force d’éteindre le manche, sur son épée. Il hésita de longues secondes, qui lui parurent une éternité, il ne savait toujours pas que faire. Il entra, les yeux clos ce qui était une pure folie vu ce qui pouvait l’attendre et son deuxième problème fut réglé. En effet, à part l’arbalète, rien n’indiquait que quelqu’un avait été ici. Enriq regarda l’arbalète et vit même une dizaine de carreaux qui suintaient de poison. Enriq se demanda pourquoi l’homme était parti en laissant une telle arme aux mains de ses proies. Il ne tarda pas à avoir la réponse sous la forme d’un râle provenant de son frère. @+ -= Inxi =-
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Toujours aussi bien ! Mais les lieux Je sais toujours pas précisement où ils sont ni où ils vont ! Mais quelque part c'est normal ! Niveau horto, j'ai pas vu de fautes ! Donc forme rien à redire. Niveau fond, je voyais DoubleSerre plus gros et à part la confusion des lieux ! Tu peux continuer @+ -= Inxi =-
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Sensationnel ! Par contre doucement sur le rythme car après cela sera dur de rattraper ( a moins que tu es un planning ) Niveau forme, toujours parfait et le fond est tout aussi attirant ! Que des points positifs en somme. Bon bah continues est le meilleur conseil que je puisse te donner @+ -= Inxi =-
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Oh non ! Pas mort le n'humain ! Plus de nouvelles du tapir ! Mauvais signe Sinon c'est toujours bien et, comme on en parlait absolument pas redondant ! Alors bravo et la suite ! @+ -= Inxi =-
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J'ai pas avancé, c'était parce que j'ai pas envie que ca fasse comme Falcrisos, c'est à dire les gens arrivent voient deux chapitres d'écrit et se decourages ! La je vais poster un nouveau chapitre et je parie que je vais perdre des lecteurs ! Chapitre X - J’ai trouvé ton mot ! Dit Fadrik. - Heureusement ! Répondit Enriq. - Que faisons nous devant cette maison ? - Je crois que c’est là que se trouve leur deuxième planque. - Mais je n’ai pas amené assez d’hommes ! S’indigna Fadrik. - J’ai uniquement besoin de toi pour créer une diversion… - Tu crois que tu vas rentrer seul là dedans ? - Oui ! Et je sais même par où rentrer. - Bon si tu le dis… Quand devons nous intervenir maître ? Ironisa Fadrik. - Dans dix minutes. Répondit Enriq en souriant. Enriq, confiant, s’accrocha au mur et se hissa jusqu’à son sommet. Arrivé en haut, il sortit de son sac plusieurs bout de viande qu’il lança au milieu du jardin. En attendant que les chiens arrivent, il se glissa sur le même arbre qui lui avait servi à guetter son tout premier contact. Enriq entendit des bruits de mâchonnements, il écarta les feuilles et vit avec plaisir les chiens en train de dévorer la nourriture. Une fois celle-ci avalée, les chiens retournèrent dans leur niche pour un repos prolongé… Enriq rabattit sa capuche et se laissa tomber de l’arbre. Il chercha du regard des gardes mais n’en vit pas. Il prit la direction de la façade et enfila sa paire de gant. Il attaqua alors l’escalade. Les prises n’étaient pas faciles, mais Enriq avait vu pire, il s’aida des trous creusés dans les pierres et du lierres qui montait. Après une traction, Enriq était arrivé près de la fenêtre qu'il avait repéré il n'y avait pas si longtemps. Il sortit un pied de biche, le glissa dans la légère fente, et mit un anti-sort acheté récemment. Après avoir récité la formule que le magicien lui avait appris, le mur de magie s'éclaira faiblement, clignota et disparu. Notre jeune ami continua sa manœuvre et d'un mouvement sec, fit sauter la serrure de la fenêtre. Il en fut déséquilibré et le pied de biche tomba dans les buissons. - Tu as entendu ? Une voix grave venait d'arriver jusqu'aux oreilles de Enriq. Un garde suivit d'un deuxième arrivèrent juste en dessous de lui. Ils piétinèrent l'herbe à quelques centimètres seulement de son outil. Ils discutèrent tout bas, relevèrent la tête pour regarder autour d'eux, firent un mouvement d'épaules et s'en allèrent. Enriq soupira rassuré, continua de lever la fenêtre et rentra à l'intérieur. Il s'agissait d'une chambre. Un lit de quatre mètres de large régnait au milieu de la pièce, sur son côté droit, une porte donnait sur une autre partie de la maison et sur son côté gauche, plusieurs coffres étaient empilés les uns sur les autres, contenant en majorité des vêtements et de la literie. Enriq passa dans l'autre pièce. Un âtre, donnant autant de lumière que de chaleur, éclairait assez la pièce pour y voir comme en plein jour. Ce devait être une sorte de salle de réception ou de bal, car la pièce était pratiquement dénuée de mobiliers. Il y avait deux grandes tapisseries narrant les exploits de valeureux soldats et trois tables arrangées en demi-cercle. Des voix lui parvinrent sur sa droite, derrière une porte. Après avoir jeté un coup d'œil à travers la serrure, il en conclut qu'il n'y avait personne directement derrière et l'ouvrit. Enriq se trouvait désormais sur une sorte de balcon qui faisait le tour de cette nouvelle pièce, laissant apercevoir le rez-de-chaussée en son centre, et c'était de ce trou que provenaient les voix. - Maître, votre carrosse est prêt, vous pouvez partir quand bon vous semble. Enriq reconnut un des hommes qui avaient assisté à son interrogatoire. Il entendit aussi un nom de ville qui collait parfaitement avec les lettres qu'il avait lues sur le papier. La diversion allait bientôt avoir lieu, alors, il en profiterait pour les filer. Une petite minute après, alors que les deux personnes discutaient des détails du voyage, de multiples objets vinrent briser les vitres de leur étage. - Que se passe-t-il ? Demanda le maître autant en colère qu'effrayé. Un nouveau valet arriva, exténué et répondit à sa question. - Maître, il reprit son souffle. Il semble que se soit une attaque revanche de la guilde des voleurs... - Vite ! Ordonna le chef. Faites atteler le carrosse, je pars sur le champs ! Enriq vit l'homme sortir par une sorte de passage secret actionné par un livre. Après la sortie apparente de tous le monde, Enriq enjamba la balustrade, s'agrippa aux fins piliers de pierre qui la constituait et se laissa tomber sur le sol. Il tira l'un des livres, croyant que c'était le bon, mais il lui resta dans la main. Il tira l'un des livres, croyant que c'était le bon, mais il lui resta dans la main. Il en tira un second, un troisième, un quatrième, cinq... Au bout d'un moment, l'un d'eux finit par lui donner plus de mal. Il l'attrapa par le haut et le tira vers le bas. Le passage s'ouvrit lentement et il s'engouffra à la suite de l'homme. Enriq arriva à la fin du couloir et vit rapidement la pierre qui dépassait du mur. Il appuya sur elle et se retrouva dans un garage. Plusieurs chars et carrosses étaient là, mais un seul était harnaché. Il chercha rapidement une cachette des yeux. Sa première idée fut le coffre. En l'ouvrant il ne vit que de la nourriture d'un côté et de l'autre des vêtements. Il n'avait ni la place, ni le temps de déplacer tout ça. - En avant, cocher ! cria un homme de l'intérieur du carrosse. Ce dernier se mit doucement en branle alors que Enriq n'avait toujours pas trouvé d'endroit où se cacher. Il décida finalement de se glisser sous le chariot. Le voyage dura un peu plus d'une heure, Enriq tenait le coup même si ses bras étaient ankylosés et que de grosses pierres avaient failli lui briser la tête à plusieurs reprises. Le carrosse s'arrêta dans une ruelle si sombre que Enriq avait du mal à savoir où il avait bien pu atterrir. Le cocher vint mettre un marchepied et ouvrit la porte pour laisser passer son maître. L'homme descendit, toqua brièvement à la porte et quand un homme lui ouvrit la porte pour lui demander le mot de passe, il répondit: - L'épée à deux lames est acérée. La large porte en bois s'entretailla et notre homme se glissa à l'intérieur. Enriq décida de faire le tour du bâtiment avant d'entrer pour savoir à quoi s'attendre. Le bâtiment était un vaste entrepôt fait en majeure partie de résineux et d'un mélange de pierres. Au bout d'un moment, des bruits de pas lui parvinrent des égouts. Enriq se baissa et crut apercevoir de petits chariots. Il retourna devant la porte initiale et tenta sa chance. Il toqua exactement comme l'avait fait son prédécesseur et dit le mot de passe. L'homme passa la tête par la fente et dévisagea Enriq. Il ne semblait pas le reconnaître alors Enriq se mit à improviser. - Ose me regarder une nouvelle fois comme ça et je t'arracherai les yeux! Je suis un nouvel assassin à la solde de la confrérie et si tu ne veux pas être la prochaine victime, laisse-moi passer. L'homme, qui aurait pu l'écraser d'un coup de poing, hocha la tête et laissa entrer Enriq. Notre ami était dans un vestibule occupé seulement par un escalier et une chaise. Il empreinta l'escalier fait de briques grisâtres et atterrit dans les égouts mais beaucoup plus entretenus. Il n'y avait pas d'eau usée mais à la place, une large route pavée. Il n'y avait pas non plus de créatures bizarres et la lumière des torches au mur produisait une chaleur réconfortante. Sur sa droite, un convoi de petits chariots arrivait. Le convoi passa devant Enriq et les personnes qui poussaient ces chariots ne semblaient pas se soucier de notre ami. A leur passage, Enriq remarqua que des armes dépassaient des draps qui étaient posés sur les petits véhicules. Il décida alors de remonter cette piste. Elle le mena à une intersection décorée de piliers. Dans un des embranchements, il y avait une porte surveillée par un garde. Enriq attrapa une pierre sur le sol et la lança dans une direction opposée à la sienne. Le garde fronça les sourcils et marcha droit sur notre jeune ami. Ce dernier, effaré, chercha rapidement une cachette toute proche mais à part les piliers, il n'y avait pas la moindre cachette. Il tenta sa chance derrière l'un d'eux. Celui que Enriq choisit, s'élevait jusqu'au plafond. Il était fait dans le bois et le cachait tout juste. Le garde n'était plus qu'à quelques pas de Enriq désormais, il le voyait à son ombre. A présent, il pouvait sentir son souffle rauque et chaud. Enriq bondit à ce moment et le percuta à l'estomac. L'homme se plia sous la douleur et notre jeune héros l'acheva d'un coup derrière la nuque. Après avoir vérifié son pouls, Enriq l'attacha et le cacha comme il le pouvait derrière un autre pilier légèrement plus gros. Il ouvrit la porte que le garde protégeait et d'après les barreaux qui muraient la pièce, il était dans une prison. Dans celle-ci, un homme attendait paisiblement allongé dans un lit de paille. Enriq le reconnut aussitôt, c'était l'homme qui lui avait apporté l'arbalète et sûrement même le forgeron. Enriq commença à parler ce qui ne manqua pas de le faire sursauter. - Vo....vous ? s'étonna l'homme. - Oui... Moi ! répondit en souriant Enriq. - Mais vous n'êtes pas mort ? - Et non ! Etes-vous un forgeron ? - Oui... A mon grand regret. - Je vais vous faire une proposition... Si je vous libère, venez travailler pour nous.. - Je pourrai récupérer ma maison ? Ma famille ? - Oui ! Mais ils ont votre famille ? - Non, je les ai envoyés se cacher lors que j'ai su qu'ils s'intéressaient à moi. - Qui sont-ils, "ils", justement ? - Ils se font appeler: La Confrérie de l'ombre. Cette organisation veut prendre le pouvoir de ce côté-ci du pays. Et comme l'assassinat à échoué, ils ont décidé d'employer la force brute. Depuis peu, il y a un véritable trafic d'armes sous la ville. Ils s'arment pour la guerre. - Nous devons les arrêter ! Le forgeron rigola et dit : - Ha! La fougue de la jeunesse! Vous n'avez aucune chance ! Ils sont partout. Seule la mort ou l'arrestation de leur chef permettrait de mettre fin à leurs activités. Mais personne ne sait qui il est, on sait juste qu'il est haut placé. - Savez-vous combien d'hommes sont déjà armés ? Où sont-ils ? - Oui je le sais. C'est moi qui les ai équipés. Ils ont déjà une cinquantaine de chevaliers avec des armures de plates et destriers mais leur point faible réside dans le fait qu'ils n'ont pas un seul archer. Ils se croient également en sécurité et il n'y a pratiquement personne sur le chemin de ronde. - Bien ! Vous allez aller à cette auberge. Enriq sortit un bout de papier et commença à écrire. Donnez ceci à l’aubergiste, il comprendra. - Me.. Merci… Bafouilla le forgeron. - Maintenant, partez ! @+ -= Inxi, un grand dialogue pour avancer =-
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Je viens de finir de lire le GTC en entier et je me suis pas lassé ! Bravo, il y a quelques fautes de frappes et d'horto, mais bon c'est vraiment pas enorme vu la taille du texte ! Les effets secondaires viennent ils apparaitre ? J'aime bien le clin d'oeil a la star wars à la fin Quelque chose qui m'a surpris, c'est la gentilesse des nains à la sortie des égouts, c'était .... troublant ! Bah voilà sinon félicitations à tous pour les textes tous aussi bon les uns que les autres ! J'espere une suite bientot @+ -= Inxi =-
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C'est bien ! C'est très bien ! En plus le tapir est de retour C'est une facon originale de mené un texte avec un point de vue extérieur ! Franchement, j'aime toujours autant. Ce coup-ci, j'ai pas relevé de fautes genantes, donc tout va pour le mieux, j'ai que des compliments à dire ! Allez la suite ! @+ -= Inxi =-
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Toujours aussi original ! Bravo ! J'ai plusieurs problème sur la forme Sinon sur le fond, c'est parfait ( comme d'habitude ) Alors continues et je veux revoir le tapir @+ -= Inxi =-
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Et bien ! Les mystères recommencent à ce que je lis ! Au début, j'ai relevé deux phrases bizarres qui fait que ca parait assez maladroit mais sinon c'est bon ! Il n'y a donc pas deux héros mais trois avec le tapir ! peut etre qu'à la fin, l'animal finira par ce faire manger ! @+ -= Inxi =-
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Encore et toujours bien ! Les description sont là, la psychologie des persos aussi. Il y a du sérieux comme de l'humour. Le fond comme la forme est maitrisé, donc j'ai pas trop de critiques à faire... Enfin j'en ai à faire mais c'est le début du texte donc ca se trouve ca n'a pas lieu d'etre ! Donc fodra attendre un peu ! @+ -= Inxi =-
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Nous aussi on veut savoir ou ils sont ! Et je veux aussi savoir quelle sera la preuve de son innocence ! allez stp plus vite ! Une suite ! @+ -= Inxi =-
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Ca va quand meme ce chapuitre au niveau de l'action ! Pour les fautes, vu la taille du texte, c'est raisonnable ( mais quand meme a corrgier ) Attention aux phrases bizarres : Et aussi : comment peut il y avoir uen faille au nombril ? Voilà c'est tout et une suite ! @+ -= Inxi =-
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Voilà voilà, c'est lu ! Tu es a moitié pardonné pour le retard grace à la taille du texte. N'empeche faut admettre que pour le résumé, ca aide vachement! C'est mieux pour savoir ou on en est ! Premier truc, c'est que ca aurait pu etre marrant de decrire la torture, on aurati prit encore plus de pitié ! Sinon c'est vraiment parfait et j'attends une suite ! @+ -= Inxi =-