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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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Bon je reste débutant ! Chapitre IX Le tunnel était sombre et la torche suffisait à peine à l’éclairer vers l’avant. Enriq avait peur de chuter à chaque moment mais pour l’instant tout allait bien. Ses poursuivants n’étaient pas rentrés dans le tunnel, signe qu’il n’y avait qu’une seule clé. Notre jeune ami se demanda quand même combien de mètres il restait car il était obligé d’avancer de profil désormais. Au bout d’un moment la caverne s’éclaira un peu plus : Enriq, par inattention, avait enflammé les toiles d’araignées au plafond. Il dut continuer son chemin à quatre pattes. Il commençait à faire chaud mais la sortie commençait à pointer le bout de son nez. La dernière paroi était percée de deux trous qui laissait entrer assez d’air pour pouvoir respirer. Enriq tâtonna les murs à la recherche d’un nouveau levier qu'il le trouva rapidement et put ainsi gagner la sortie. Il avança quelques mètres et se retourna pour voir où il avait bien pu atterrir. Il se trouvait à une cinquantaine de mètres de là où il avait chuté. La grotte n’était peut être pas aussi grande que ce que je pensais, se dit Enriq. Il laissa son regard se promener avant de reprendre la route pour aller alerter qui de droit : son frère. Il avança jusqu’au premier fourré quand il entendit des voix derrière lui. Un homme d’apparence assez trapu beuglait des ordres à une dizaine de soldats. - Mettez-vous en position tout autour du périmètre ! Il ne doit pas s’échapper ! Tu as eu chaud ! Lui souffla sa conscience. - S’il venait à s’échapper… Il n’y a pas moi qui en subirais les conséquences ! Est-ce que c’est clair ? Le message était visiblement passé et les hommes étaient désormais sur le pied de guerre. Le chef de la bande fit signe à un de ses subordonnés d’aller chercher quelque chose. Enriq n’avait pas entendu ce que c’était mais vu le geste qui avait accompagné la phrase et la direction qu’il avait pointée : la forêt, notre jeune héros avait immédiatement pensé aux chiens. Enriq se mit donc à courir, vite, très vite ! Il avait un long chemin à parcourir… Il faisait nuit à présent, Enriq avançait depuis trois bonnes heures quand derrière lui, il entendit les premiers aboiements… ou hurlements. Se pouvait-il qu’ils aient lâché des loups ? Il n’eut pas l’occasion d’approfondir cette question car il eut l’impression que quelque chose approchait. Enriq devait brouiller les pistes, alors il décida de retourner vers le cours d’eau qu’il avait suivit à l’aller. Je ne m’en suis pas éloigné beaucoup pourtant, se dit-il ! Malgré ça le pouls d’Enriq commençait à s’accélérer. Ce coup-ci, le hurlement était beaucoup plus proche, une dizaine de mètres au maximum. Enriq commençait à faire ses prières quand il chuta dans une grande gerbe d’eau. Il s’arrêta de bouger, une forme sombre était prêt du bord de la rive. Notre ami s’arrêta de respirer, lentement. Il fixa la sombre créature, elle sentait l’air à la recherche de l’odeur qu’elle traquait depuis qu’on l’avait lâchée. Enriq n’avait que la tête qui dépassait de l’eau et il attendait que la créature s’en aille. Ce n’était pas un chien, ni un loup d’ailleurs, c’était autre chose… C’était plus gros, plus massif. Enriq ne voyait pas bien dans le noir mais il était heureux que cette dernière ne l’ait pas encore repéré. Ses deux yeux luisants fouillaient l’obscurité à la recherche de sa proie. Elle renifla une dernière fois autour d’elle puis s’en alla. Enriq décida de ne pas prendre de risque et de rentrer par la rivière. Le chemin de retour prit un peu plus de temps qu’à l’aller, pour deux raisons. La première, c’est que c’était la nuit et qu’il ne voyait rien. La seconde était qu’il devait patauger dans l’eau froide malgré le risque le tomber malade. Enriq retourna au lieu de rendez-vous convenu avec son frère, il attrapa de nouveaux vêtements dans un vieux coffre en bois et décida de se reposer une fois de plus de ses émotions. Tu crois que c’est judicieux ? Ils connaissent cet endroit… - Pas grave… Je veux juste dormir… Le lendemain, il fut réveillé par des bruits de pas. Enriq ne perdit pas de temps et se glissa derrière la porte, arme au point. Il n’avait pas envie de tuer mais s’ils l’avaient retrouvé, Enriq n’aurait pas le choix. Il sortit et abaissa son arme quand la première jambe passa la porte. L’homme avait senti le coup et Enriq se retrouva désarmé et au sol. - Attention ! Tu pourrais te faire mal ! Dit Fadrik. - Oh, c’est toi ! Tu m’as fait peur ! - Je vois ça ! Et qui y a t il de s’y grave pour que tu sois aussi peureux ? - J’ai découvert où les tueurs étaient cachés, tout du moins ceux qui vous ont attaqué… - Bien ! Excellent ! Tu vas venir nous montrer où c’était exactement. Dit Fadrik avec une étrange lueur dans les yeux. - En fait ! Demanda Enriq. Combien de temps suis-je parti ? - Tu es absent depuis quatre jour ! Enriq resta songeur et ajouta : - C’est prêt de la cascade, tu sais celle où nous avions parfois l’habitude de jouer quand nous étions petits. Prend cette clé et à cinquante mètres au nord de la cascade, cherche le trou et insère cette dernière ! Après le départ de son frère, Enriq décida de finir paisiblement sa nuit. Il fut de nouveau réveillé par son frère, mais ce coup-ci, il ne l’avait pas entendu arriver. - Enriq ! Hurla pratiquement son frère de la salle d’à côté. Es-tu sûr de ce que tu m’as dit hier ? La clé est rentrée, mais une fois dans la place, il n’y avait plus personne. Nous avons tout fouillé, la vingtaine de salle ne contenaient plus rien ! - Ils ont du partir après que je les ai découverts… Cela veut-il dire que la piste s’arrête là ? Demanda Enriq. - Il restait quelques objets… Fadrik les déposa sur le lit. Mais sinon rien de rien ! Même pas un garde à torturer ! Les deux frères sourirent à cette tentative de blagues. - Tu sais, continua Fadrik, tu pourrais partir ! Avec l’argent que tu as ramené, tu pourrais recommencer une vie ailleurs. - Non, j’en fais une affaire personnelle ! Il est temps, comme toi tu l’as fait avant moi, que j’affronte la vie et que j’arrête de me cacher ! - Bien dit mon frère ! Ajouta Fadrik avec une grande claque dans le dos de Enriq. Bon, il faut que j’y retourne ! Ajouta l’aîné en sortant de la pièce. Fadrik laissa alors son frère seul. Enriq sortit les papiers qu’il avait sur lui. Ils étaient trempés et donc illisible, ils ne pourraient rien leur apprendre. Enriq ne voyait que quelques mots entrecoupés de blancs. L’un d’eux lui sembla être le nom d’une ville. Mais Enriq n’était sûr de rien. Il regarda une autre feuille qui, collée entre les autres, avait un peu moins souffert. Le seul paragraphe intéressant qu’il put lire fut celui-ci : Rapport du 5 : Le gamin a sacrément morflé, il est maintenant dans une sorte de comas depuis plus d’un jour. Lors de l’interrogatoire, nous avons appris comment il nous avait découvert. Sa source a été exécutée dans les plus brefs délais. Maintenant, moi et mes hommes, nous nous reposons. L’or, comme vous nous l’aviez promis, était au rendez-vous. J’espère que cet assassinat manqué ne change pas nos plans… permettez-moi quand même de douter de notre prisonnier, je ne pense pas que se soit Enriq, je pense qu’il lui a prit son identité. Nous l’avons eu trop facilement… Votre départ est donc prévu pour dans trois jours, je continuerais donc de notre autre planque… Voilà pour cette date. Enriq en avait appris un peu plus mais pas suffisamment pour être relancés jusqu’à une autre piste. Il commença à regarder les objets que son frère avait ramenés. Rien de bien intéressant, ni de très utile. Il y avait une sorte de petit coffre, un vieux poignard, un casque, un carnet et une plume, des restes de nourriture de plusieurs jours vu l’odeur et une pierre à aiguisée. Pourtant Enriq avait la sensation de passer à côté de quelque chose. Il fixa les objets et plongea dans sa mémoire. - Mais oui ! S’exclama-t-il. La maison ! C’est là que j’ai vu cette pierre ! J’ai une nouvelle piste alors en avant ! Dit-il fou de joie. @+ -= Inxi =-
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Bon je part demain pour trois semaines ! Donc je vous laisse soin de mon perso quasi inexistant ! @+ -= Inxi =-
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On a quand même bien avancé ! J'ai fait la bouff avec Aenario ! Bon faut que je rentre dans l'histoire moi ! Que j'arrete de l'efleurer ! @+ -= Inxi =-
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et il dit : ???????? Je veux savoir ! Bon je suis mal placé pour faire la morale mais j'ai zieuter une petite faute Rhoooo, ca me rappelle une soit disante faute Bon sinon le seul reproche que je peux faire, c'est l'apect maman que la reine prend au début ! C'est trop déroutant pour ce qu'il se passe ensuite! Par contre un bon point positif, c'est que ton perso tue mais on a l'impression qu'il est victime du sort ! Et ca c'est bien car à nos yeux, il reste gentil ! @+ -= Inxi, toujours la suite =-
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Un manque d'attention humain ou c'est de l'irronie ? Parce que sans y toucher, après lecture de son post, j'avais mis la bonne reponse ( Parce que tu as même quoter comme preuve c'est irrefutable ) Bon sinon j'admet n'avoir pas relu pour trouver les fautes J'ai relu une seule fois pour regarder si mon texte était cohérent. Les repetitions meme quand j'y pense, y en traine encore... Et pour les fautes, bon bah c'est tout moi ! Y en aura toujours ! Merdi de vos reponses quand meme ca fait plaisir ! @+ -= Inxi =-
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J'aime toujours autant ! Ton style reste fluide ! Mais tu gagnerais à mettre un résume a chaque fois car on passe d'une de tes histoires à une autre et on sait plus ou on en est ! Je crois pas avoir vu de fautes ( c'est pas pour ca qu'il y en a pas ! ) et donc c'est du tout bon ! @+ -= Inxi, la suite =-
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Voilà la suite ! Chapitre VIII Enriq ouvrit les yeux, rien ne tenait en place : ni les murs, ni le sol. Il peina pour se redresser. Quand il réussit à rester dos au mur, il laissa ses yeux se réhabituer à leur environnement. Notre ami était dans une sorte de cage en bois, creusée de petits trous laissant ainsi quelques miettes d’air arrivé jusqu’à lui. Cette cage ne devait pas servir à ça car le bois était déjà pourri à certains endroits. Il colla un œil contre l’un des trous pour essayer de voir ce qu’il y avait à l’extérieur. Enriq ne put rester longtemps l’œil sur le trou, la lumière lui faisait trop mal aux yeux. Après de nombreux essais, il réussit à voir la pièce dans laquelle il se trouvait. C’était une pièce creusée dans la roche, comme toutes les pièces de cet endroit, enfin ça lui apprit au moins qu’il n’avait pas bougé de son lieu d’origine. Il devait y avoir deux gardes et un qui passait de temps en temps. Il y avait une table où des dés et des cartes étaient posées. Et pour terminer, il y avait un râtelier où des armes étaient entreposées. Enriq avait furieusement mal à l’estomac à cause du choc provoqué par le projectile magique, il ne put voir les dégâts extérieurs mais il sentait les dégâts intérieurs. Devant lui, la porte de sa prison s’ouvrit rapidement. La lumière inonda la cage et malgré sa tentative de s’y habituer, Enriq dut fermer les yeux. Un garde le saisit par les pieds et le traîna hors de son abris. Il plissa les yeux, et vit qu’il y avait ce coup-ci quatre gardes pour l’escorter. Il avait peur de lui, c’est sûr. Heureusement qu’ils ne savent pas que je ne suis pas Enriq… Notre jeune ami se laissa soulever et traîner jusqu’à une pièce qui se trouvait à l’est de celle où il était retenu prisonnier. Ce complexe doit être énorme se dit-il, il n’avait toujours pas vu les salles d’hier. - Où m’emmenez-vous ? Tenta de savoir Enriq. - Tu le seras bien assez tôt… Répondit le garde en laissant apercevoir ses dents gâteuses. Enriq se doutait qu’il n’allait pas apprécier ce qu’il allait voir, il se dit que l’expérience allait être… pénible. Il perdit vite la notion des lieux à force de grands détours et de virages. Ils finirent par se retrouver devant un escalier en colimaçon qui donnait sur une nouvelle salle. Dans celle-ci se tenait une dizaine d’hommes, ils étaient assis derrière une table et étaient visiblement furieux que Enriq les ai dérangé au milieu de l’après midi. Ils l’assirent sur une chaise et commencèrent un interrogatoire musclé. La première question fut assez facile. - Comment tu nous as découvert ? - J’ai reconnu la servante qui nous a balance… - Bien, comment es-tu rentré ? - Par la cascade, la clé était sous le paillasson. Il regretta vite cette réponse… Un coup de poing lui atterrit en plein dans le menton faisant gicler du sang sur sa veste. - Par…où….es….tu….rentré ? - Par l’entrée… Je viens de vous le dire. - Qu’es-tu venir faire ici ? - Bah je cherchais un appartement pas cher dans le coin…. Une fois de plus une pluie de coup de poing comme de pied lui tomba dessus. Ce coup ci, Enriq souffrait vraiment, les hommes avaient réveillé son mal à l’épaule. - Je ne vais pas répéter ma question… - Pour…savoir…ce que….vous…voulez faire. Réussit-il à articuler, il décida d’arrêter de se moquer car son corps n’était pas indestructible. - Pour qui travailles-tu ? - Je suis à mon compte…. Ce coup ci, ils le frappèrent dans l’estomac et Enriq sombra dans état proche du coma. Il se réveilla longtemps après, enfin il le supposait. Enriq ne savait pas combien de temps il était resté ainsi. Il n’arrivait pas à bouger et avant de se rendormir, il n’entendit qu’une phrase de ses gardiens : - Ouais ! Cette exécution va être terrible… Quand Enriq émergea de nouveau, ses membres arrivaient à assurer leurs fonctions. Un coup d’œil par le trou lui apprit qu’il était seul dans la pièce. Sûrement que ses agresseurs devaient dormir, ils devaient le penser trop faible pour tenter la moindre chose. En tout cas la seule chose sûre, c’est que lui, il n’allait pas rester là en attendant sa mort prochaine. Il trouva une meilleure position et envoya un grand coup de pied dans les planches de sa cage. Enriq ne les avait pas fait bouger, mais il sentit qu’en persévérant, elles finiraient par lâcher. En effet, après moult coups, une planche vola en éclat. Il regarda s’il pouvait passer mais dut en casser une autre. Une fois la taille du trou atteinte, notre jeune démolisseur se glissa hors de cette cagette. La première chose qu’il alla faire, c’est de récupérer tout son matériel sur le râtelier. Une fois équipé, il prit la direction opposé à celle où il était parti la veille. Une première patrouille de gardes passa devant lui mais elle ne sembla pas à la recherche de quelqu’un… Enriq sortit de sa cachette dès que celle-ci disparut derrière le premier virage. Accroupi, il avançait de cachette en cachette. Notre jeune évadé ne savait pas où aller, il y allait en tout cas à l’instinct. Il se reposa deux secondes sur un mur en cherchant le meilleur moyen de s’évader. Par où sortir ? Tu n’arriveras pas à partir par là où tu es arrivé… Il faut que tu trouves par où est arrivée la servante ! - Tu as vu comme moi la taille de cet endroit ! C’est gigantesque. On va réfléchir deux secondes… La servante est forcement entrée près de la cascade donc la porte se trouve tout près d’où tu es rentré car c’est le seul endroit où on a vu de l’eau. Ensuite, elle n’est peut être pas rentré sous la cascade mais peut être sur l’un de ses côtés. - Bon, retrouvons alors la grotte où il y a l’eau… Après trente minutes de recherche, Enriq n’avait toujours pas reconnu une seule des salles qu’il avait bien pu voir. Il avait même la furieuse impression de tourner en rond. Il devait faire vite car ses adversaires allaient bientôt s’apercevoir de sa fuite, si ce n’était déjà pas fait… Il essaya de tourner à droite et se retrouva juste à côté de la salle à manger. Enriq se sentait un peu plus rassurer car il savait un peu près où aller. Le seul problème c’est que dans cette salle, une bonne partie des soldats dormaient. Un seul bruit, même minuscule et il aurait une armée à ses trousses. Il avança et traversa la salle sur la pointe des pieds. Enriq, comme par hasard, avait envie d’éternuer. - Pourquoi faut-il que se soit à ce moment ? Murmura-t-il. Essaie de te retenir, ce n’est vraiment pas le moment. Il ne put retenir son envie et éternua. La moitié des gardes se réveillèrent et le reste le fut par le vacarme. Les gardes le reconnurent vite et Enriq décida alors de fuir vers le bureau de la veille. Les gardes étaient patauds ce qui lui donna une longueur d’avance non négligeable. Il ouvrit le bureau et heureusement pour lui personne ne se trouvait dedans. En quelques secondes, Enriq avait réussi à caler tous les gros objets de la pièce contre la porte. Mais déjà les gardes essaient de l’enfoncer. - Allez réfléchi ! Essaya de se stimuler Enriq. Qui y a t il dans cette pièce ? Des murs, du mobilier, des feuilles, de quoi écrire… Notre jeune héros tourna plusieurs fois sur lui même avant de finir par voir le petit trou qui devait être caché par l’un des meubles qu’il avait bougés. Il s’en approcha et vu qu’il fallait une petite clé pour activer ce que la serrure protégeait. Enriq espérait que la clé était dans cette salle car les martèlements sur la porte lui apprit qu’ils allaient avoir de la visite. Il commença à fouiller la pièce. Il attrapa un premier coffre, l’ouvrit et le renversa par terre : rien. Il passa à des vêtements qu’il secoua dans tous les sens mais toujours rien. Enriq se rappela soudain le tiroir ensorcelé. Il s’approcha du bureau et glissa sous celui-ci. Derrière le tiroir se trouvait un petit mécanisme, il ressemblait à une petite boite avec deux trous à ses extrémités. Enriq dégaina une large épée qu’il glissa sous l’espèce de boite s’en servant de levier. Il l’abaissa violemment projetant des petits bouts de l’ancien piège au alentour. Une clé tomba au sol, il l’inséra dans le mur. Il se retourna et put voir la bibliothèque bouger. Enriq rentra dans le couloir et abaissa le levier : la porte se referma. Il attrapa une torche, l’alluma et prit la fuite. @+ -= Inxi =-
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Après avoir recu le tissu, Ticris essaya de remettre de l'ordre dans ses idées et de faire le point. Les autres occupant de l'auberge s'éparpillait de partout et semblait avoir comprit ce qui allait se passer. Lui à part que leur adversaire pouvait être un mort vivant, il ne voyait pas ce qu'il y avait d'autre. Le temps qu'il face le point et qu'il aille se degourdir et les jambes et les bras, la majorité des personnes étaient rentré. Il décida de donner un coup de main à Aedraüg pour la nourriture @+ -= Inxi, Dsl mais j'arrive pas à rentrer dans l'histoire =- C'est quand qu'on rencontre Largen dans l'histoire ?
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Ticris se dévoua pour monter à l'étage. Il dégaina sa longue lame éfilée et privint les autres occupant de l'auberge. Il commenca à monter les escaliers mais voyant que l'espace se rétrecissait, il tira une épée un peu moins longue. Le couloir donnait sur une demi-douzaine de chambre. Il se positionna derrière la première porte, écouta et entra arme au poing. Il utilisa cette tactique pour le reste des chambres. Mais ces recherches furent vaines... De toute facon le tireur n'aurait pas fuit dans l'auberge où sa victime s'est prit le carreaux... Il redescendit alors au rez de chaussée. @+ -= Inxi =-
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Je vous avaits dit que Enriq savait pas tiré ! Bon ok je sort ====> [] Sinon je vais monter à l'étage ! @+ -= Inxi =-
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Donc voilà le nouveau chapitre.. J'ai quelques remarques que je ferais après Chapitre VII Elle n’était pas flagrante, mais il la vit. C’était une empreinte, une empreinte de terre. En n’y regardant mieux, Enriq vit qu’il y en avait d’autres. Les hommes venaient donc de la forêt… Pourtant il avait rarement vu d’autres personnes que les voleurs de sa guilde s’y déplacer. Pourtant la preuve était nette, certains des tueurs se cachaient dans la forêt. Il hésita sur quel groupe il allait s’appuyer… Il avait le choix entre son frère et le seigneur… Notre ami opta pour son frère, la planque permettrait à sa guilde d’avoir une nouvelle cachette. Mais avant tout, il devait la trouver… Bon réfléchissons se dit-il, les traces étaient encore fraîches donc ils arrivaient obligatoirement par un de ces bords de la forêt constata-t-il en faisant un signe de tête vers l’entrée de la forêt la plus proche de la ville. Ensuite, les traces étaient assez humides donc ils étaient passés prêt d’une source d’eau… Enriq se remémora ses longues balades dans cet espace de verdure et se souvint d’une rivière qui traversait cette forêt. Il n’avait plus qu’à remonter la rivière jusqu’à trouver un ou des éventuels indices.. Il trouva rapidement la rivière qui se déversait en partie dans la ville. Il s’y rafraîchit quelques instants et prit la route. Au bout d’une dizaine de minutes, Enriq regrettait déjà de s’être aventurer dans cette galère : Ses chaussures étaient déjà humides et il ne doutait pas qu’il finirait trempé rapidement. Il essaya de se concentrer sur chaque éléments du décor mais à part de l’eau et des arbres, il n’y avait pas de traces de ses agresseurs. Il était approximativement midi quand il s’arrêta pour manger un peu… Il s’assit à l’ombre d’un boulot et se servit de fougères comme coussin. Il enleva ses chaussures et laissa tremper ses pieds dans la rivière, dans un soupir d’extase, il se laissa tomber en arrière. Il se reposa ainsi quelques minutes, il avait légèrement mal au dos et il retira le bout de bois consumé par les flammes d’en dessous de lui. Ho ! Un bout de bois consumé par le feu ! Ils sont passés par ici ! Il faut tout te dire ! Allez mange un coup et bouge toi ! Après avoir mâché un bout de viande, il reprit la route. Pour l’instant, il n’avait eu que de la chance se dit-il, alors comment allait-il faire face à une vraie situation. Un petit poisson nageait paisiblement au fond du cours d’eau, Enriq enviait son insouciance… Il aurait aimé avoir une vie paisible comme tous les gens normaux… Mais le sort en avait décidé autrement alors il subissait. Pourtant il savait qu’à part une bonne histoire à raconter, s’il survivait, il n’y aurait rien d’autre ! Il ne voulait pas de relation avec le seigneur : c’était uniquement par nécessité qu’il avait fait ça… Il n’allait même pas se servir des hommes mis à sa disposition. En faite le seigneur ne lui servait qu’à pouvoir se déplacer librement dans la ville. Notre jeune ami finit par se demander ce qu’il allait faire après. Y aura-t-il un après ? C’est à moi de le décider ! Et à personne d’autre ! Un bruissement de feuille lui parvint sur sa gauche, il sauta dans un fourré à sa droite. Qui peut cela-t-il bien être ? Se demanda-t-il. La réponse ne tarda pas à arriver… - Non ce n’est pas possible… Souffla-t-il. Mais c’est l’une des servantes… Elle n’a pas été tuée dans le massacre ? - Je crois que l’on tient notre taupe… Bien, suivons la ! Alors une longue filature commença. Enriq se mit derrière elle de façon à ce que si jamais elle se retourne, il puisse se mettre à couvert rapidement. Mais elle ne se souciait guère de faire attention, elle avançait à grands pas et chantonnant. Elle était habillée d’une grande robe pourpre et avançait droit devant elle vers un but précis. Tout en avançant, Enriq essayait de se trouver des repaires, bien que s’étant écarté du court d’eau, il en entendait encore le léger coulis. Mais le bruit de l’eau devait plus fort et plus distinct, un bruit de chute. Ils arrivaient donc vers une chute d’eau. Sa proie disparut derrière un arbre, Enriq se mit à couvert et avança prudemment : le terrain était à découvert. La femme se déplaçait d’un pas nonchalant vers la cascade. Je crois qu’elle va se baigner… - Encore une piste qui tombe à l’eau ! Allez, on s’en va ! Se découragea Enriq. Attends ! Elle est passé où ? - Oh… Je ne suis pas d’humeur à ça ! Non mais elle est plus là ! - Comment ça ? Elle n’a pas pu disparaître… Il y a sûrement un passage derrière la cascade… Essaie d’aller voir ! Le héros en herbe se dirigea vers la cascade. Il prit appuie sur les premiers rochers et s’engagea sous la cascade. L’eau lui martelait les épaules et il penchait dangereusement en arrière. Ca ne doit pas être là, se dit-il, quel intérêt y a t il à se faire mouiller à chaque fois ! ? L’eau finit par avoir raison de lui et il se trouva projeter dans la rivière. Il retint sa respiration et se laissa porter par la cascade… Il prenait une allure folle et il fut aspirer dans le fond du lit de la rivière. Il se retrouva ballotter par les flots et lâcha plusieurs fois de l’air. Ses poumons commençaient à le brûler quand il se sentit poussé vers le haut. Il creva la surface de l’eau dans un grand bruit de respiration. Il était dans une sorte de grotte alimentée en lumière par quelques torches. Il y avait également des tonneaux qui contenaient des vivres et de l’eau potable. Une porte était encastrée dans la paroi d’un mur et la poignée était en train de tourner. Un homme d’une trentaine d’année rentra dans la grotte. Il était visiblement ivre, il s’approcha d’un tonneau et le perfora d’un coup de hache. Après quelques regards attentifs autour de lui, il plongea une coupe et but une longue goulée de ce qui semblait être du vin. Il ne semblait visiblement pas décider à partir... Enriq décida de le mettre hors d’état de nuire… Il sortit de l’eau et se glissa entre les tonneaux, l’homme était de dos. Il aurait pu facilement le tuer silencieusement mais il décida de l’assommer avec une sorte de masse qui traînait. Au moins il passerait pour ivre et Enriq ne serait pas ainsi inquiété. Il s’avança alors vers la porte par laquelle était arrivé l’homme, il l’ouvrit silencieusement et regarda ce qui se passait. Sur sa gauche, il y avait une grande salle où une cinquantaine d’hommes festoyaient. Sur sa droite, un escalier en spiral montait dans la roche. Il prit l’escalier, et monta en haut le plus rapidement possible. A la fin de ce couloir, il y avait une unique porte. Elle était faite dans un bois qui lui semblait être le pur qui n’avait jamais vu, il ne doutait pas qu’elle venait des lointains bois… Là où, disait-on, des elfes vivaient en harmonie avec la nature. Il s’accroupit et regarda l’unique trou de la porte : la serrure. Il sortit d’une de ses poches trempées, les instruments nécessaires au crochetage. Il inséra les instruments dans cette petite cavité et commença son affaire. Après cinq minutes, la porte n’avait toujours pas cédée. Il s’appuya sur la poignée pour se reposer quand celle-ci s’ouvrit… Quel piètre voleur fais tu ! Tu n’as même pas penser à regarder si elle était ouverte ! Il se glissa dans la pièce et referma la porte derrière lui. La nouvelle pièce dans laquelle il se trouvait était richement décorée. Les meubles étaient polis et les tapisseries impeccables. Un bureau siégeait au milieu et était recouvert de plusieurs paquets de feuille. A sa gauche, une cheminée creusé à même la roche donnait à la pièce une chaleur agréable. Après avoir rapidement regardé toute la pièce, il essaya de se concentrer sur des pièges éventuels. Ils doivent se croire trop en sécurité pour penser à leur sécurité ! Regarde comment tu es entré… Enriq se détendit et commença la fouille de la pièce. Il regarda les feuilles et sourit… Il tenait assez de preuves pour faire tomber cette maudite confrérie. Par contre, la première feuille lui apprit qu’elle était bien plus grande que ce qu’il pouvait penser. Il essaya d’ouvrir un tiroir… Celui-ci semblait bloquer, alors il tira de toutes ses forces. L’air crépita et chatoya, il vit des petites boules se former et elle vinrent percuter en plein dans l’estomac. Il valsa à travers la pièce et roula dans la poussière. Ses derniers souvenirs furent la porte qui s’ouvre et une phrase : - Tiens… Nous avons de la compagnie… Voilà c'est sur ces points là que je vais réagir. En fait mon texte ce base sur l'histoire d'un petit voleur qui a force de vol se retrouve embarqué dans une histoire invrésenblable. Mais les chapitres ou il subissait ( comme il l'a rappellé), j'ai essayé d'y mettre fin par un événement assez important pour tout homme ( le contrat avec l'empereur) et ainsi marqué une certaine évolution psychologique du perso, mais en meme temps j'essaie de garder l'aspect "je subit"... Dans le texte j'essaie aussi de garder un aspect confus ( genre une particularité du baroque: disproportionnalité temporelle et spatiale) c'est pour ca que je fais rarement des descriptions : pour avoir ce sentiment de plus savoir ou on en est! Le problème c'est que j'ai trop bien réussi et que ca a destabilise au dela de ce que j'esperais ( j'ai donc fait les corrections necessaires) C'est pour ca que mes chapitres ne sont et ne seront jamais bien à vos yeux. Bon le dernier point à eclaircir c'est que je change ici de style: Plus petit héros qui passe en enqueteur. Je n'ai pas l'habitude de ce style... Mon perso se devait de changer mais a priori ca a été brusque @+ -= Inxi =- P.S : Vous voulez que cela se termine vite ou pas ? ( je change le dernier passage ), je peux le finir en 3 chapitres max je pense mais si cela vous plait je prends la forme rallongée
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Ticris sortit sa lame, qui avait bien pu commettre un tel massacre ? Il reconnaissait la marque des elfes noirs. Les corps étaient éparpillés et massacrés, certains semblaient même vidés de leur sang. Mais leur agresseur semblait déjà parti... Il y avait une ville non loin d'ici, Ticris allait essayer d'y tenter sa chance. L'auberge qui se présenta sous ses yeux lui sembla acceuillante, il y poussa donc la porte et s'assit à une table en attendant que quelqu'un viennent prendre sa commande.. @+ -= Inxi =-
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Tu as une idée pour la suite ? Que l'on ne dévie pas trop si tu as des idées ... @+ -= Inxi =-
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Nom: Ticris Origine: Saphery Sexe: Masculin Age: 205 ans Origine sociale:Famille noble hau elfe Métiers/Carrières: Maitre des épees Compétences martiales: Manie très bien toute les épées Langue(s) parlée(s): Elfique,Druchii, et Impérial ghotique. Compétences diverses: Équitation, Natation. Pouvoirs: Il ne sait que peu sur lui meme, ca se devoile en temps et en heure Histoire connue: Un noble drushi qui part à la recherche de gloire @+ -= Inxi =-
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Houlà t'es en forme ! Ca fait 4 textes ! Tu peux nous en faire encore un ! Bon bah rien à redire: l'intrigue avance et je suis toujours Voilà, juste : plus long ! @+ -= Inxi =-
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J'ai essayé de tenir compte de vos remarques donc j'espere que ce chapitre passera mieux. Il a été renforcé en "clarté" (enfin j'espere) Voilà..... @+ -= Inxi, alors ? =-
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Toujours aussi bien ! Tu nous as fait un texte 50% description et 50% actions ( enfin dialogue ) Attention aux petites fautes qui ponctuent le texte Une histoire d'amour va-t-elle naitre ? Que va t il faire ? Je veux le savoir vite !!! On va atteindre les cinq textes par mois là ! Allez au boulot ! @+ -= Inxi =-
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Donc je vous laisse découvrir ce chapitre fondamental ! Il me faut le plus de critique positive ou negative! Car le style du récit va changer ! Donc voilà dite moi si je dois arreter Chapitre VI Enriq restait debout, interdit. Il regardait le corps de l’homme qu’il venait de tuer. Il venait de tuer, lui ! Il n’en croyait pas ses yeux, il regarda ses mains : recouverte de sang, le sang de l’homme qui était au sol. Il dut admettre la réalité, les images qu’il avait en tête n’étaient pas un rêve. L’homme grattait la paroi où devait se trouver la sortie. Il avait rampé sur les derniers mètres, comme le montrait le sable éparpillé. Enriq n’avait pas hésité, il ne ressentait que de la haine. Il lui avait planté la dague dans le dos une première fois, puis deux, il n’avait pas arrêté, des centaines de coups pour étancher sa soif de sang. Maintenant le corps n’était plus qu’un amas de chair. Tremblant et déboussolé, il retira sa dague du dos de la victime et l’essuya sur un vieux chiffon. Enriq laissa le corps derrière lui, pas de pitié pour les tueurs, Dieu seul sait ce qu’il avait fait à son frère. Maintenant, une larme s’était formée, elle glissa lentement le long de sa joue. Enriq se retourna et rentra une nouvelle fois dans la chambre. Son frère n’avait que peu bougé, il s’abaissa à ses côtés pour le regarder plus en détail. Notre héros pouvait sentir son léger râle sur sa face. Enriq le déshabilla et l’occulta. Il avait de légères plaies sur le corps mais aucune mortelles. Il n’avait pas dû subir l’interrogatoire, un peu de repos est tout devrait rentrer dans l’ordre. Enriq l’allongea dans le lit, le recouvra d’une couverture et verrouilla la porte. Il prit une chaise et se posa à côté de la porte. Notre jeune ami n’arrivait pas à détacher ses pensées de son acte, de son meurtre. Il avait tué, lui, il avait ôté la vie. Ce fil si fragile, il l’avait coupé ! Cet homme était un être humain, il pensait, aimait et voulait vivre. Et lui, il n’était qu’un homme, et il avait mis fin à sa vie. Il se mit à penser, à penser sur la vie… N’importe qui pouvait mettre un terme à la vie d’une autre personne d’un simple geste. Un geste, un malheureux geste et tout en était fini… Et lui, il l’avait décidé, juste parce que cet homme avait mal agi pour lui. Enriq lui avait enfoncé plusieurs fois un bout de métal d’une longueur approchant les trente centimètres entre les omoplates. L’homme avait craché la fin de sa vie en même temps que son sang. Ce liquide vital se répandant à la manière d’un serpent sortant de sa cage. Il ferma les yeux et plongea dans ses cauchemars. Des flammes… La chaleur… Des cris… Une créature… Gigantesque et énorme… Un nom… Le sien. - Où es-tu ? Entendit Enriq qui venait d’émerger. - Fadrik ! ? Comment vas-tu ? Demanda-t-il en prenant la main de son frère. - Ca peut aller… Je n’ai rien pu faire… Ils étaient trop nombreux. Ils sont arrivés alors qu’on était en train de manger. Ils ont abattu la moitié de la guilde en quelques minutes. Nous avons fui jusqu’au passage dérobé dans le fond de la caverne. Mais des hommes devaient rester pour permettre la fuite… Nous sommes restés, tout les deux. Maintenant une grande partie de mes hommes sont encore en vie, et prêt à se venger. Si je savais pourquoi ils ont fait ça ! Il était à la limite de pleurer, Enriq détestait voir son frère dans cet état. - C’est… c’est de ma faute ! Je devais travailler pour eux, mais j’ai raté ma mission et vous en avez payé les conséquences. Je suis désolé…Sincèrement… - C’est donc de là que venait l’or… En tout cas, nous réglerons nos comptes plus tard ! Pour l’instant, je dois venger mes hommes. Une lueur, celle du meurtre, venait de s’allumer dans ses yeux. - Je crois que tu veux t’attaquer à trop forte affaire… D’autres personnes bien plus puissantes sont sur la brèche et ils n’arrivent à rien faire. - Comment ça ? Demanda Fadrik. - Tu comprendras plus tard… Répondit simplement Enriq. - Maintenant, il faut te reposer ! Je reviendrais te chercher et on rassemblera le reste de la guilde… En attendant j’ai quelqu’un à voir ! L’homme se déplaçait sans hésitation dans le château. Ses bottines recouvertes de boues frappant la dalle sur son passage. Il savait exactement où se rendre. Les gardes le laissèrent passer à chaque endroit où il se rendait. Il toqua brièvement à une porte un peu plus épaisse que les autres. - Entrez ! Entendit-il. Ah c’est vous ! Ajouta l’homme après que le visiteur soit entré. - Oui, Seigneur. Le plan a un peu prêt marché, l’assassinat a échoué. Il remarqua également l’homme dans l’ombre, assit sur le lit du seigneur. Lieutenant, ajouta l’homme avec un signe de tête. La pièce était somptueusement décorée de meubles comme de tapisseries. - Bonjour… Répondit simplement le garde. - Et sinon vos blessures, seigneur ? - Ca va, j’ai l’épaule encore engourdi mais ça peut aller. Tu aurais pu me faire mal Enriq ! - Je sais, mais vous m’avez dit de ne pas hésiter et de faire feu, alors je l’ai fait ! - Oui, oui ! Tant mieux, c’est ce que tu avais de mieux à faire ! La vieille de ce faux assassinat, nous l’avions décidé ainsi. Tu as bien fait de venir me voir… - Par contre, la guilde a été attaquée, en représailles, il y a de nombreux morts. - Bien, nous aurons les voleurs de notre côté, Enriq, tu dois mettre par tous les moyens cette confrérie hors d’état de nuire ! - Vous plaisantez ? Des hommes sont morts ! C’étaient mes amis ! Ils ont été tués… Ils n’ont pas eu la moindre chance. Et pour votre mission, je ne sais même pas par où commencer ! Enriq était au comble de la révolte et pour ponctué le tout il envoya un magistral coup de poing dans la porte. Ce coup de poing lui arracha une larme de douleur… - Tu dois le faire, tu n’as pas le choix de toute façon ! Je ne pense pas que tu veuilles passer ton temps à te retourner… - Oui, bon je dois rejoindre mon frère maintenant… Enriq était au bout et il préférait partir avant que cela dégénère, de toute façon, il était allé voir le seigneur uniquement pour assurer son libre passage en ville, notre ami n’en attendait pas plus. - Bien ! Lieutenant, vous raccompagnez notre jeune ami ? Notre jeune héros sortit du château songeur, comment allait-il faire pour pouvoir mettre à nu cette confrérie ? Il n’en avait pas la moindre idée ! Il faisait un bien piètre enquêteur… Il n’avait pas fouillé le reste du corps de l’homme… En tout cas, il n’y arriverait pas seul et il avait besoin du talent à l’épée de son frère et de ses hommes. Il regagna l’ex cachette qui, à sa grande surprise contenait une véritable armée. Après s’être fait menacer plusieurs fois, il réussit à atteindre son frère. - Fadrik ! C’est moi ! Je suis revenu ! Qui sont ces hommes ? Il y en a qui ne sont pas de la guilde… Dit-il étonné. - Pas question qu’ils s’en sortent ainsi ! Ces hommes sont mes contacts, des tueurs et des assassins des comtés avoisinants. Nos adversaires ne vont pas comprendre ce qu’ils leur arrivent… - Attends ! J’ai quelque chose à te dire ! Je travaille pour le seigneur, je suis avec lui… - Comment ça ? Tu fais bourdes sur bourdes ! Enfin qu’est ce que cela change ? - Laisse moi les débusquer et ensuite tu interviens ? J’aurais sûrement besoin de toi et certains de tes hommes. - Bien, n’hésite pas ! Nous avons soif de sang et de vengeance ! En attendant nous changeons d’endroit, je te recontact le moment venu… En fait, on se rejoint ici et je te conduirai au bon endroit.. - Où est le corps ? Demanda Enriq. - Celui qui a été mangé par les bêtes ? - Non, c’est moi qui l’ai tué… - Et bien… Tu l’as salement amoché… - J’ai besoin de le fouiller… - Il est dans la salle à côté. Notre jeune héros laissa les hommes ruminer leur prochaine vengeance et se dirigea dans la salle à côté. L’homme était de face et Enriq le trouvait un peu plus présentable, il lui fouilla les poches et mis main basse sur quelques objets. Une lettre à demi effacé par le sang, des objets de la vie courante, et des instruments moins conventionnels, comme des instruments de tortures… La lettre ne lui apprit que quelques informations, par contre un instrument de torture lui en apprit bien plus. Une légère croix avait été gravée sur le manche, le forgeron habitait en plein centre ville, il n’eut pas de mal à trouver sa forge. Elle semblait fermée, il décida donc de passer par la fenêtre. Après quelques pirouettes, et une chute, il atteint la fenêtre. Il regarda le sol et décida que la prochaine fois, à la prochaine blessure, il cesserait les bêtises pour de bon. - J’espère juste qu’il y aura une prochaine fois. Soupira-t-il. Il sortit une sorte de pied de biche et rapidement il ouvrit la fenêtre. Il se glissa à l’intérieur. D’un geste rapide, il alluma une torche qui baigna la pièce dans une pâle lumière. Les affaires étaient toutes retournées et il ne doutait pas qu’il y avait eu récemment un affrontement. Soit l’homme avait été enlevé, soit il était mort. La première solution lui semblait plus judicieuse, il se demanda même si l’homme qui lui avait apporté l’arme n’était pas ce forgeron. En tout cas il n’y avait plus personne et la piste semblait s’arrêter là. Enriq allait faire demi-tour quand il vit la chose…. @+ -= Inxi =-
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Oh d'ou j'ai pas répondu ? Pff allez je refais mon commantire ! Toujours aussi bien et sensass ! On est toujours dans le suspense ! Il commence à avoir les effets du poison donnant un peu plus de piquant à l'histoire ! Bah sinon j'essaie de trouver une critique pour t'aider à t'amliorer mais parfait! @+ -= Inxi =-
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Bah j'avais pas le choix ! En fait ces deux lignes m'ont pouvoir me faire mettre deux idées fondamentales dans mon histoire donc je suis obligé de les laisser. Bah lui, il trainait ! Je voulais pas le faire tuer au départ et je me suis dit qu'il y avait moyen que je me mare en le racontant. aie je fais sauter les derniers mystères dans le prochain cahpitre! Je crois que je vais m'arretez là ! J'ai essayé de corriger, ca devrait mieux passer Pourtant j'ai essayé de rajouter de la psycho ! Mais à priori ce n'est pas assez J'ai fait quelques changements Merci pour les réponses et @+ -= Inxi =-
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Bon voilà c'est l'avant dernier chapitre que j'écris avant de partir en vacances ( je pars le 17 ) C'est un gros chapitre, enfin je vous laisse juger et apprecier... Chapitre V Pendant qu’il s’occupait de sa blessure, Enriq se demandait ce qu’il allait bien pouvoir faire… Il était à un bon mètre sous le sol, recherché par une sorte de groupe assassin et par les autorités locales, et il avait mal à pratiquement toutes les parties de son corps où il y avait des nerfs. Notre ami bailla de fatigue et s’étira. Tu ne vas pas dormir maintenant ! Il faut que tu retournes à la base ! Il faut prévenir ton frère que vous courrez un grave danger ! Mais même si sa conscience le poussait fortement, il ne voulait pas bouger. Il avait peur, il avait mal à l’épaule et avait une furieuse envie de dormir. Il n’arrivait pas à surmonter sa peur, et quand il avait peur, Enriq n’arrivait à rien. C’est cette même peur qui faisait qu’il avait toujours été considéré comme un faible, la même qui faisait qu’il lisait du dégoût à chaque fois qu’il croisait les yeux de son frère, la même qui faisait qu’il avait des doutes dans les moments les plus critiques. Il n’arrivait jamais à surmonter ce pincement au cœur qui le paralysait. Notre héros devait bouger, pas pour son ego, mais pour son frère. Voilà la seule chose qui arrivait bien à le faire sortir de cette léthargie. Il leva la plaque qui servait d’entrée. Le soleil était déjà levé, preuve qu’il avait prit pas mal de temps pour réfléchir, voir trop. Enriq se leva sans crainte, l’astre du jour lui offrant la meilleur couverture possible : Si quelqu’un regardait dans cette direction, il serait immédiatement ébloui. Il sortit donc sans crainte, et s’accroupit dos au mur pour regarder la scène. On voyait nettement que la cité avait changée depuis la veille. Les patrouilles de gardes étaient bien trop nerveuses et fréquentes pour que ce ne soit qu’une simple ronde habituelle. Il n’allait pas être facile de sortir de cette ville mais il devait y arriver. Enriq se mit à suivre une bande de piéton, le plus discrètement possible, espérant que ses vêtements en lambeaux n’attiraient pas l’attention. Mais le destin en avait décidé autrement. - Citoyen ! Arrêtez-vous ! Cria ce qui semblait être un garde. Enriq feint de ne pas l’avoir entendu, et accéléra l’allure. Il baissa la tête quand une main s’abattit sur son épaule. - Alors, où va-t-on comme ça ! ? Demanda ce dernier. Enriq rouvrit les yeux et vit un grand sourire amical sur le visage du soldat qui l’avait aidé la veille. - Oh, bonjour ! Je ne vous avez pas reconnu ! Avoua Enriq. J’ai remarqué un peu d’agitation dans la ville ce matin, est-ce normal ? - Lieutenant ! Que faites-vous ? Ce pourrait être l’assassin ! Dit ce qui semblait être le chef des gardes. - Non capitaine, je ne pense pas, répliqua le lieutenant. Il est blessé à la cheville, et il n’aurait pas pu crapahuter comme l’a fait le dangereux criminel. - Etes-vous prêt à vous en porter garant ? Demanda le capitaine. - Oui, ajouta ce dernier sans la moindre hésitation. - Que s’est-il passé hier ? Demanda innocemment Enriq. - Comment tu n’es pas au courant ! Toute la ville le sait ! L’escorte se mit en marche, il pourrait au moins sortir de la ville en toute sécurité. Enriq lui répondit du tact au tact. - Hier, j’ai passé toute la journée à me reposer… Ma cheville me faisait atrocement souffrir. Ajouta-t-il avec un clin d’œil. - Hé ben, on a essayé d’assassiner notre seigneur… - Rien que ça ? Dit Enriq en prenant une mine horrifié… - Je suppose que si votre capitaine a autant d’appréhension à mon égard, c’est que vous n’avez pas mis la main dessus… - Exact… Mais on raconte qu’il ne serait pas humain, il a volé de toit en toit… Il a même fait une chute de plusieurs mètres et s’est relevé sans le moindre mal. - Lieutenant, arrêtez ces divagations ! Vous n’allez pas croire ce que raconte ces paysans ! - Et qu’en est-il pour votre seigneur ? - Il en a réchappé ! Ce que je vais te dire, va restez entre nous ! Nous avons une taupe chez l’ennemi ! Il a pu en réchappez grâce à une armure spéciale forgez pour cet assassinat! Par contre, les carreaux ont laissé des traces et il a plusieurs bleus. - Bien ! Dit le capitaine. Nos chemins se séparent ici ! Au revoir ! Enriq lâcha son escorte pour plonger dans la forêt. Celle-ci était bizarre, ce n’était pas la forêt qu’il avait l’habitude de traverser. Elle était calme, silencieuse, pas un piaillement d’oiseaux, pas un bruissement d’écureuil… La terre avait été retourné à de multiples endroits, de nombreux personnes en armures, vu la profondeur des pas, étaient passés par ici. L’air était empli d’une odeur forte, celle de la mort. Il sortit sa clé et la glissa dans la serrure. Contrairement à son habitude, elle ne s’ouvra pas. Enriq s’approcha du pan du mur et vit que celui-ci était mal refermé. En s’aidant du mur et de ses dernières forces, il se glissa dans la fente et verrouilla une bonne fois derrière lui. Les torches au mur étaient éteintes, et Enriq avançait prudemment les mains en avant. Il buta contre un objet au sol et s’écroula dans un liquide visqueux. Enriq cracha, c’était vraiment écœurant, on dirait du sang… Il tâtonna le sol pour voir à quoi était du sa chute, il toucha la forme au sol et, avec effroi, vit que c’était un corps humain et que le liquide était bien du sang ! Il se redressa, terrifié, et dégaina son arme. Fait attention les tueurs peuvent être encore dans le coin. Il espérait que cela n’était du qu’à une rixe mais il savait en réalité ce qu’il s’était passé… La lumière revenait progressivement grâce à des trous naturels dans le plafond de la grotte. Alors Enriq vit d’autres cadavres : Des voleurs, des esclaves, des servantes et même des enfants. L’odeur était insupportable, et autant que pour cette dernière que pour son estomac, il se mit un chiffon sur la tête. - Tant de morts par ma faute… Soupira-t-il. Comment savaient-ils pour la planque ? Ils ont tué tout le monde… - Tout le monde ! S’exclama-t-il. Fadrik ! A ce moment, il courut. Il courut aussi vite qu’il ne l’avait jamais fait. Arrivé vers la chambre de son frère, il entendit une voix. La porte de la chambre de son frère était ouverte et elle provenait de celle-ci. - Ah lalala ! Tu en auras mis du temps avant de craquer… Enriq se mit dans l’ouverture, et le spectacle qu’il vit le cloua sur place. Un homme se tenait debout, devant le corps de ce qui semblait être un ex-lieutenant de son frère et comme le laissait deviner la dernière mimique de son visage, il était mort dans d’atroces souffrances. Sur une autre chaise, à quelques pas de là, se tenait son frère. Il était couvert de sang de la tête au pied et de multiples hématomes avaient marqué son corps. Ses vêtements étaient en lambeaux et il se tenait avachi, yeux clos… Quelque chose de bizarre était en train de se passer en Enriq, quelque chose qu’il n’avait jamais connu : La colère… Mais il sentait que s’était plus que ça, c’était de la haine, une noire et terrible haine. Il déglutit, releva la tête et envoya un magistral coup de poing dans la porte. L’homme sursauta et retourna. Il sourit avant de commencer à parler. - Tiens, tiens donc ! Mais qui voilà ? C’est le traître ! Nous t’avions dit que personne ne nous trahissait ! Tu en payes désormais les conséquences ! Mais…. Il n’eut pas le temps de finir, attaquant avec la surprise, Enriq l’attrapa par le col et le souleva. Il le lança au milieu des tables qui explosèrent dans des milliers de fragments. La haine est un sentiment redoutable mais mon adversaire était mu par la peur et il était plus dangereux, se dit notre ami. L’homme se releva au milieu des débris de la table et essaya d’envoyer un coup de poing sur Enriq. Ce dernier se baissa, fit un pas sur le côté et tapa d’un coup sec dans les poumons de l’homme lui coupant sa respiration. Celui-ci, titubant, fit encore quelques mètres avant de faire de nouveau face à son adversaire. Il dégaina sa lame, et sourit de nouveau. Enriq avait pitié de lui, il était chancelant et il s’essuyait régulièrement le visage pour en enlever le sang. Il chargea de nouveau Enriq. Celui-ci sortit également sa dague, et d’une botte, désarma son adversaire. Enriq mit également son pied sur la route de l’homme qui s’effondra dans la poussière . L’homme avait percuté à l'épaule notre héros ce qui ne manqua pas de lui arracher une grimace de douleur. Pendant que l'un des assassins se remettait debout, Enriq se mit de dos pour ramasser l’arme. L’homme, voyant une possibilité de fuir, courut vers la sortie. Le soleil tapait sur l’entrée de la cachette. De l’extérieur, seul un petit martèlement indiquait que quelqu’un essayait de sortir. Soudain ce petit bruit s’arrêta et une flaque rouge se créa sous la porte.. @+ -= Inxi =-
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Enorme et decu que ca se finisse ! G ! Sinon tu as deja le merites de l'avoir finit mais aussi de nous avoir bien fait rire ! Bravo ! Et on pourra peut etre esperer un jour le retour de j'allaite @+ -= Inxi =-
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Whaaaaa Pas mal ! Par contre là, on peut attendre une suite ! Tu peux le lancer dans l'aventure ! Bon par contre pas très serieux le nom que tu lui donne à la bourgade ! ( non, en fait cela passe très bien ! ) Un problème vient du récit de la bataille, qui fait rapport de bataille. Quand tu nous dis : la panique, etc on imagine plus une table de warhammer avec des dés que un champs de bataille où une lutte sanglante vient de s'achever. Et un problème dans le dialogue, quand il dit : La paix les gosses . Je dois dire que ce passage m'a dérouté! Il parle à des chevaliers, je ne pense pas que qlq parlerai comme ca! Meme un seigneur ! @+ -= Inxi, encore et toujours une suite =-
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Moi je suis toujours dans le coin mais j'attends un bon moment pour rentrer ! @+ -= Inxi =-
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Et bien c'est trop bien ! Ce n'est ni abusé, ni simplet ! C'est tout juste, bravo ! le scénario est excellent, tout va pour le mieux ! Donc continues et t'inquiete pas pour les retours, on est en vacances ! @+ -= Inxi =-