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Tout ce qui a été posté par Inxi-Huinzi
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Ahhaha toujours aussi fort que la page 2 MAis c'est le même quand bas de la page ! Ok donc un double envoie Sinon le coup de ravioli, on y reconnait netement l'influence du dongeon de naheulbeuk ! Avec une petite touche à Feurnard ! Continues c'est énorme ! @+ -= Inxi =-
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C'est génial ! Bon c'est un petit court cte paragraph ! Sinon ca tient debout et j'attends la suite ! @+ -= Inxi =-
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Pas mal La suite ! Viteee ! @+ -= Inxi =-
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Hahahhahaha trop fort ! Cette organisation est terrible ! Je veux la meme ! @+ -= Inxi =-
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Chapitre IV Déjà le jour J ! Se dit-il. Que dois-je faire ? Il ne sentait pas bien. Sa peau devint moite et il se mit à faire les cents pas. Dans ces allées et venues incessantes il se posait qu’une seule question : Devait-il y aller ? Non, c’était trop dangereux et il n’était pas un assassin. Mais oui, il serait libre et bien payé, il n’aurait pas à regarder dans son dos jusqu'à la fin de ses jours. Un combat entre la raison et la peur était en train de se dérouler dans son esprit. Mais aucun des deux ne prenait l’avantage. Mais la raison finit par l’emporter avec un terrible argument : Il a dit qu’il fallait le faire ! Alors il allait le faire… La ville respirait déjà la fête alors qu’il en était à plusieurs lieux. Rien qu’à l’orée de celle-ci, il savait que ce jour était différent, il en souriait d’avance. Les murailles arboraient de nouvelles couleurs et des drapeaux flottaient au gré du vent. Les paysans semblaient mieux habillé et des carrosses faisaient des aller-retour entre cette cité et d’autres villes. L’air était empli d’odeurs de pâtisserie et des mets de viandes en train de cuire. Des messagers s’afféraient ça et là pour porter les derniers colis aux citoyens. Ils courraient aux milieux des cris des gardes qui essayaient de mettre un peu d’ordre dans la cité mais qui ne servaient qu’à l’augmenter. Enriq avait prit un costume dans la réserve de la guilde. Il avait été surpris par la multitude de déguisement et d’accessoires que cette dernière contenait… Des habits de gardes, de nobles, d’émissaires, et même de religieux comme maintenant. En tout cas il se sentait à l’aise et il ne doutait pas qu’elle devait avoir subi des retouches comme en témoignait les encoches dans sa veste où il pouvait ranger une quantité non négligeable d’armes. Mais là il n’avait rien, pas une seule arme et cela ne faisait qu’amplifier son stress, il détestait se promener sans arme ! Mais il repensa à son altercation avec le vrai Enriq et se dit que même avec les armes, il n’avait pas fait grands chose… Il arriva à un premier barrage de gardes. Ceux-ci barraient la route dans sa largeur et d’autres, armés d’arc et d’arbalètes, étaient postés sur les toits et dans les bâtiments. Enriq s’approcha d’eux tête baissée… - Bonjour mon père… Dit l’un des gardes. - Bonjour mon fils… Répondit distraitement ce dernier. - Rien à déclarer ? - Non, mon fils.. Sauf que j’ai une messe urgente à faire. Ajouta-t-il avec un pâle sourire. - Bien mais je dois vous fouillez… - Bien faites donc. Acquiesça Enriq. Le garde entreprit rapidement de vérifier s’il n’avait pas d’armes cachées. Notre ami regarda la fouille comme s’il attendait lui aussi de voir sortir quelque chose de sous sa soutane. Une fois chose faite, il le laissa passer et fouilla les autres arrivant. Enriq entra rapidement dans l’église et profita d’une dispute entre le vrai curé et les enfants de cœur pour gagner l’étage. Il se dit qu’il devait peut être arrêter de prendre les identités des autres… Enfin il aura le temps d’y réfléchir plus tard. Il arriva dans le cellier et glissa sa main en toute confiance sous les premières marches. Il en retira un paquet entourée d’une couverture couleur sable. Il monta à côté de la cloche et déballa son paquet. D’une suite de gestes hésitants l’arbalète fut montée et prête à l’emploi. Il commençait à trembler, les gens se massaient près de l’église ce qui annonçait que la cérémonie allait commencer. Il bloqua à l’aide d’un bâton la cloche et espéra que cela allait passer inaperçu. Il se cala contre un rebord de la fenêtre et attendit… Sa conscience n’eut pas le temps de le rassurer que des applaudissement et des cris lui apprirent que sa cible arrivait. Il déglutit un grand coup et la mit dans le viseur. Elle était encore éloigné mais il se rapprochait. - Je ne suis pas un assassin ! Essaya-t-il de se convaincre. Si tu ne le fais pas, tu risques d’en subir les conséquences, toi et même ton frère… - Et si je le ratais ? Se demanda-t-il. Tu sais très bien que tu n’as jamais raté une cible avec ce genre d’arme… - Je….Je vais partir… Non ! Reste ! Lui ordonna-t-elle Il t’a dit de pas hésiter et de tirer coûte que coûte. - Oui, oui c’est vrai… Bon bah il ne me reste plus qu’une chose à faire alors… Il le remit en joue, ferma les yeux, et appuya sur la gâchette. Les carreaux se libérèrent de l’emprise de l’arbalète. Ils passèrent la fenêtre, perforèrent les mètres les séparant de leur victime, et traversèrent la tunique de l’homme pour rebondir sous l’étonnement de tout les personnes présentes sur son armure. Ensuite tout alla très vite, les cris des spectateurs, les gardes qui se déplacent, sa fuite… Il ne pouvait plus se poser des questions inutiles à présent. Il passa par dessus la fenêtre du clocher et entreprit de fuir par les toits. Il dégringola et se râpa le dos contre les tuiles du bâtiment et rattrapa de justesse au bord de la façade. D’un suprême effort il sauta par dessus le vide et continua sa course sur les toits. Il vit derrière lui la garde en faire de même, il espérait que quelqu’un allait tomber… Allez ce n’est pas le moment de s’arrêter ! Essaie de descendre par la corniche là ! Euh peut être pas finalement ! Ces gardes m’ont l’air inamicaux… Il continua sa course désespérément. Il s’adossa à une cheminée pour reprendre ses esprits quand des flèches manquèrent de lui perforer la jambe. Il fit quelques tours sur lui même et se mit à couver derrière l’autre partie de la cheminée, la respiration haletante. Il regarda, exténué, par où il pourrait fuir. Il aperçu en face, à trois mètres, un balcon. Tant pis, il n’avait plus rien à perdre, mis à part sa vie, rien qu’à cette idée, une goutte de sueur se créa sur son front. Il se redressa, prit de l’élan et sauta. Au niveau du saut, il aurait pu pulvériser les records… Mais l’atterrissage fut moins parfait : il atterrit sur l’épaule. Oh non…. Va pas me dire que tu t’es encore cassé quelque chose …. On verra ca plus tard, lui répondit-il avec une grimace laissant largement sous entendre que la chute avait laissée des conséquences. Il traversa l’étage de la maison tandis qu’il entendait en bas les portes qui s’ouvraient. Il se retrouva sur une terrasse, sur celle-ci un jeune couple était en plein ébats. - Je ne fais que de passer ! Dit-il en continuant sa course. Il sauta par dessus une première haie. Et essaya de voir où il était. Il se trouvait non loin d’une cache de sa guilde, il allait essayer de la rejoindre pour y attendre la nuit. Il jeta un regard derrière la palissade et la chevaucha. Arrivé dans la ruelle, il entendit une patrouille de garde arriver. Il se cacha de justesse derrière une poubelle et pu entendre une bribe de conversion. - Il faut qu’on le trouve ! Pas question que ce dangereux criminel court les rues….. Un dangereux criminel ? Il était vraiment mal alors… Une fois la patrouille partie, il traversa au pas de course la rue et souleva une plaque habilement dissimulé sur le sol. Il se glissa dans la minuscule pièce, terrifié, et se mit à faire le point… @+ -= Inxi =-
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Hahahaha toujours aussi fort bravo ! @+ -= Inxi =-
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J'aime pas bien ce début de phrase Sinon il y a pas à dire c'est beaucoup mieux ! @+ -= Inxi =-
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Hein !? Mais rêve toi ! Envoie la suite dans les plus court instant sinon je fais tuer Kerome dans l'aventure en commun ! Mdr je plaisante c'est toujours aussi bien, que le fond comme la forme! Et comme tu t'en doutes qu'est ce que je veux ? Une suittteeeee ! @+ -= Inxi =-
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Bah j'ai tranché ! Moi non plus je veux pas de mort ! Alors j'espere que ca convient ! @+ -= Inxi, monoligneur pro ! =-
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- Oh on se calme les deux ! Dit Lecriz. Avec le monde qu'on a aux trousses, c'est pas le moment de s'entretuer ! Alors calme toi et range cette épée. Il ne le fit pas tout de suite jetant un regard noir sur l'elfe. - J'attends toujours les escuses ! Dit-elle. - Tu crois pas que tu vas un peu loin là ? Demanda Lecriz. @+ -= Inxi, qui tranche ! =-
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Hahahahah trop fort ! Boulette sur les elfes noirs ! Toujours aussi bien et toujours oas decu ! J'ai vu une majscule manquante à un seul endroit sinon c'est parfait ! Bravo ! @+ -= Inxi =-
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Je veux qu'il passe avec les méchants et qu'ils se vengent de ces *****ards ! En fait tu as tellement bien écrit ton texte qu'on ressent presque de l'amour pour ton perso et ca c'est très dur à faire! Bravo ! @+ -= Inxi =-
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Magnifique ! Digne de ce qu'il l'a précédé ! Epatant meme si on se doutait , grave à certains indice, de la fin ! Mais finalement il y a quand meme ce petit rebondissement ! Bravo ! @+ -= Inxi, dommage que cela soit terminé =-
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Le soldat enfoui et l’amotion sont les deux sols fautes que j'ai pu relever Donc voilà au niveau de la forme ! Pour le fond c'est genial ! Franchement bravo, tu lances une nouvelle intrigue et ca c'est pas donné dans ce stade du texte ! Y a quelque chose qui palpite en moi qui descend cette ***** de page pour voir s'il n'y a pas un autre chapitre ! Mais non Je suis triste, tu sais ce qui te reste à faire ? @+ -= Inxi =-
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J'ai rajouté une phrase à la fin du chapitre 2, il faudra me dire dans un prochain post si cela passe mieux ! @+ -= Inxi =-
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Lol, toujours aussi fort ! J'aodre la vitesse ou tout s'enchaine ! Je suis mort de rire derrière mon écran ! Bravo ! Mais un style personnel trop bien ! Et j'ai trop envie d'une suite ! Allez plzzzzz ! @+ -= Inxi =-
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Bah je sais pas je pensais pas que ca posais problème. En fait il rencontre un homme à l'église. Il y a séparation, il retourne voir son frère, puis ressort. Quand il est en ville il se fait intercepter par le mechant. Ca pose vraiment un problème ? @+ -= Inxi =-
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Mince tu as repondu trop vite, j'ai oublié de faire une modif crucial de word a ici: L'italique ! Ca devrait mieux donner là ! Et j'ai corrigé la dernière phrase @+ -= Inxi =-
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Chapitre III - Allez avance ! Reste pas là ! On à discuter tout les deux… - Où va-t-on ? - Je m’en fout, tant qu’il y a personne… - Bien… Ils traversèrent la rue principale de la ville. Ils durent s’arrêter plusieurs fois à cause des passages incessants de carrosses. Enriq faillit même se faire renverser. - Hey, va pas mourir ! Réserve moi ce plaisir ! Ajouta le vrai Enriq. Notre jeune ami stressait vraiment. Une goutte descendit le long de son dos et il sentit qu’elle fut ensuite arrêtée par la lame de son agresseur. Il respira un grand coup et traversa la rue. Après de nombreuses esquives et en évitant soigneusement de montrer que l’un était l’otage de l’autre, ils purent mettre le pied sur le trottoir. Le souffle de son agresseur ne léchant plus sa nuque, Enriq supposa qu’il avait tourné la tête. Il se retourna et sortit sa dague, d’un coup sec il lui planta dans l’épaule. Le vrai Enriq dut lâcher sa lame et cria de douleur. Notre héros lui balança un coup de pied dans l’estomac et prit la fuite. Allez, plus vite ! Il part à notre poursuite ! Essaie la voie sur ta droite ! Ouf ce n’est pas une impasse… La porte sur ta droite ! - Elle est fermée ! Pas grave ! Défonce là ! - Je n’y arriverai jamais ! C’est ta vie qui est en jeu ! Allez grouille toi ! Il prit de l’élan et, épaule en avant, fractura la porte au moment où l’homme arrivait au coin de la rue. Il rentra dans la maison sous les cris étonnés des gens qui étaient à l’intérieur. Essaye la porte sur ta gauche ! Vite il est entré aussi ! Une chambre ? La fenêtre ! - C’est trop haut ! Bon allez une, deux et trois ! Il sauta et s’écrasa au sol dans un petit crack. Allez c’est pas le moment de se casser quelque chose ! Relève-toi ! Bon il faut qu’il redescende, profitons en pour s’en aller ! Il repartit tout en boitant. Ca lui faisait un mal de chien. Il peinait pour avancer mais il le devait. S’arrêter était synonyme de mort… Ca y est le revoilà ! Oh lala il nous rattrape… Il est pas content ! Je crois que tu lui as fait vraiment mal avec ta dague. Bon on a un peu d’avance mais il faut pas traîner… Rentre dans la taverne. Allez cache toi derrière ce mur, s’il entre il ne te verra pas. L’homme rentra quelques secondes après. Il s’arrêta, la blessure le faisait atrocement souffrir. Il jeta un regard dans la taverne mais ne vit pas le blessé. Il monta rapidement à l’étage. Allez ! C’est le moment ! Fuions ! Il sortir le plus rapidement possible et prit au nord, c’est à dire en face de la rue par laquelle il venait d’arriver. Et se demanda ce qu’il devait faire maintenant. Il devait rentrer à la guilde, c’est sûr mais pour faire quoi après ? Il verrait une fois sur place, le but maintenant était d’aller le plus possible du tueur. Un grand cri retentit loin derrière lui et lui rappela qu’il était loin d’avoir gagné la partie. Il rattrapa un groupe de garde et resta dans son sillage. Il espérait que ça le découragerait. Un des gardes se retourna vers lui. - Tout va comme vous voulez. Non ca va pas ! On a un tueur au trousse ! - Oui, oui ca peut aller. J’ai du me fouler la cheville. - Voulez-vous de l’aide ? - Oui avec plaisir. - Nous pouvons vous accompagner jusqu’au centre ville si vous le voulez - D’accord cela suffira. Il se laissa attraper par les gardes qui le maintinrent par les aisselles. Il jeta un regard dans son dos pour voir que le vrai Enriq n’était plus là. Il allait pouvoir souffler un peu. Hooo ! Ne te repose pas sur tes lauriers ! Il ne t’a pas eu aujourd’hui il t’aura demain ! Il savait qu’elle avait raison mais que pouvait-il faire ? Il savait que ses prouesses martiales n’etaient pas de taille face à celle de son adversaire. S’il l’affrontait directement il allait mourir. Pourtant tu l’as blessé à l’épaule. Tu as peut être une chance… Il se dit que tant qu’il le pouvait, il essayerai d’éviter toute confrontation. Les gardes le tirèrent de ses pensées et lui souhaitèrent bonne chance pour rentrer jusqu’à chez lui. Il en avait besoin de la chance car il devait traverser une nouvelle fois cette grande rue. Déjà que c’est dur en bon état de santé alors toi qui boites… Après quelques minutes, il finit quand même par trouver la brèche et put regagner le trottoir. - Tu croyais que tu allais m’échapper ! Pauvre crétin ! Je suis un tueur ! Ma proie ne s’échappe jamais ! Tu vas me le payer pauvre brigand de pacotille ! Le tueur était au milieu de la rue et la peur fit rater la marche à Enriq qui s’effondra au sol. Il essaya de reculer à quatre pattes mais il s’arrêta, lutter pour quoi ? Cela résoudrait ses problèmes. - Alors on fait moins le malin ? Je vais te tuer ! Et l’or sera à moi ! Il n’était plus qu’à un mètre désormais. Sa respiration était plus celui d’un taureau qui va charger que celle d’un humain. Il avait envie de pleurer et de le supplier. Il ferma les yeux et attendit le contact de sa lame et de son corps. - Attention ! Fut la parole qui l’entendit. Ensuite un cri suivit d’une agitation. Il se risqua à ouvrir les yeux et regarda. Le tueur était à cinq mètre de lui, au sol et dans un sale état. Il avait été percuté de plein fouet et il n’avait eu aucune chance. Il avait du être touché à la tête car une mare de sang s’était vite formée sous celle-ci. Il le regarda sans la moindre once de compassion. Il eut presque envie de le dépouiller si les soldats n’étaient pas arrivés. - Que c’est-il passé ? Demandèrent-ils. - Il a traversé sans regarder et je l’ai percuté de plein fouet… Je n’ai rien pu faire… - C’est pas grave ! Regardez les mecs ! Dit un soldat à l’aspect bourru. Sa bague, c’était un voleur.. Vous nous avez rendu un fier service citoyen ! Ajouta-il en lui serrant la main. - Euh… Merci ! Dit celui-ci confus entre la joie d’avoir rendu service et le choc d’avoir tué un homme. Finalement cet épisode bien qu’après une longue sieste avait complètement épuisé et meurtri Enriq. Il se traîna une fois de plus jusqu’à la guilde. Il prit la porte en face de sa chambre et se mit en quête de se nettoyer. Ceci fait, il s’attaqua à sa cheville… Celle-ci était bien foulée mais pas cassée. Il s’allongea dans son lit et s’assoupit une nouvelle fois. Quand il se réveilla, il passa sa journée à diverses affaires mais le temps passait vite. Quand il reprit contact avec la réalité on était à l’aube de l'assassinat... @+ -= Inxi =-
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HEIN ! ? Ils sont tous mort ? Alors ca c'est une surprise ...... Mais après mur réflexion je vois ou tu veux en venir ! Mais je garde mes idées pour moi Franchement j'ai repéré quelques fautes d'hortographes et c'est pas genant ( notement avec les accords ) Bah que dire sinon bien et .... la suite ! @+ -= Inxi =-
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Un de ces loosers Lamenoire ! Y a que lui qui a les merdes ! Pourvu que ca dure @+ -= Inxi =-
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- Pareil, s'il nous cache je peux attendre mais nous n'avons pas intéret à nous arreter longtemps sinon la milice va nous tomber dessus ! Dit Lecriz. @+ -= Inxi =-
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Lecriz proposa l'idée suivante: - Il nous reste qu'une chose à faire: sauter! La fumée qui s'échappe des fenetre genera les tireurs, donc il y a meme une chance qu'il ne nous voit pas. Maintenant si nous devons sauter, faisons le tous au meme moment. Nous avons l'effet de surprise, ensuite on ne s'arrete plus et on se cache dans le premier batiment qui le permet! Vous êtes ok ? @+ -= Inxi =-
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- Mais le problème, c'est qu'il nous faut un accès à l'extérieur et celui est étroitement sureveillé ! Tu ne connais pas un passage qui permettrair de fuir de cet endroit ? @+ -= Inxi =-
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Une autre volée de carreaux passa en riposte à travers la fenetre. Il ne voyait pas si Svein avait touché sa cible mais l'ayant vu à l'oeuvre, Lecriz n'essaya pas de tirer. Ce n'est pas qu'il ne pouvait pas les avoir mais les arbalétriers devaent avoir braquer leur arbalète droit sur les fenetre. Ils ne pouvaient donc plus sortir par là ! @+ -= Inxi =-