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Pugh

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  1. Pugh

    Vaincre ou mourir

    Je me permet une nécromancie mais pour une bonne raison. J'ai été pas mal pris ce qui explique que la suite a mis très (trop?) longtemps à tarder. Toujours en est-il que voici la suite, j'espère qu'elle vous plaira. Sur ceux bonne année à tous. L’ennemie semblait prendre un malin plaisir à les harceler. L’infanterie adverse utilisait les cratères d’obus et les carcasses de jegger pour évoluait à couvert et lâchait soudain des tirs en direction de la tranchée. Moloy ne comprenait pas trop pourquoi ils agissaient ainsi. Il avait eu la malchance de subir bien plus d’assaut qu’il n’en aurait voulu et rarement il n’avait vu les fantassins si peu pressés de venir jusqu’à eux. Toujours en était-il qu’il était désormais coincé dans une fusillade en bon ordre où le premier qui alignait sa cible était celui qui avait la vie sauve. Le 3éme jegger avait été détruit peu après les deux autres par une roquette qui avait touchée son réservoir de carburant faisant exploser le blindé dans une gerbe de flamme. Un nouveau tir souleva la terre juste à côté de Moloy qui faisait tout son possible pour distinguer une cible malgré la fumée qui s’était rependu sur toute la zone, puis il distingua une ombre un peu plus a sa droite, il ajusta sa mire et tira. Là où le seul bruit qu’il aurait dut distinguer aurait dut être un couinement étouffer il entendit clairement le bruit d’un tintement contre le métal. Il sourcilla machinalement, il était sur que les carcasses adverses étaient plus à sa gauche, puis il réalisa soudain ce qu’il se passait. Des bruits de chenilles se faisaient entendre accompagnés d’hommes hurlant dans leur langue triviale. Il n’y avait aucun doute, l’adversaire avait reçu des renforts et d’après ce que l’on pouvait entendre ils arrivaient en masse. Moloy chargea rapidement son Pouf prés a accueillir tout engin qui oserait s’approcher trop prés de lui ce qui ne tarda pas à arriver. Quatre jegger s’élancèrent à toute vitesse vers la tranchée tout en libérant un véritable barrage de bolt. La réaction ne fit se fit pas attendre et une nouvelle salve d’arme antichar fut tiré emportant deux jegger dans la tombe et déclenchant un incendie dans le troisième. L’infanterie ennemie avait mis le temps gagné par les blindés à profit et s’approcher dangereusement de la tranchée. Moloy se désintéressa alors des blindés pour se remettre à tirer sur la vague d’infanterie forte d’aux moins deux cents hommes au bas mot. Ceux-ci semblaient enfin s’être motivés pour lancer l’assaut ce qui n’avait pourtant rien de rassurant. Les soldats de l’Ernor couraient de l’avant en ne cherchant plus un quelconque couvert et abandonnant leur blessé derrière eux, ils n’avaient désormais plus qu’un seul objectif, réduire la tranchée au silence pour de bon. Le déluge de tirs lâchée par la tranchée aurait stoppé la charge de n’importe qu’elle animal sauvage aussi gros puisse t’il être mais pourtant la progression ennemie continuait inexorablement laissant derrière elle des cadavres couleur rouille comme une machine perdant des composants au fur et à mesure de son avancée. Puis les premières grenades éclatèrent prés du parapet indiquant que l’ennemie se rapprochait encore envers et contre tous. Moloy avait déjà fixé sa baïonnette et embrocha un premier ennemi se présentant sur le parapet puis un second qui le suivait, il lâcha ensuite un tir qui en fit basculer un troisième dans le no man’s land. Soudain son champ de vision s’obscurcit avant de se remplir de boue, il avait été projeté au fond de la tranchée face contre terre. Il se redressa péniblement et se retrouva nez à nez avec un soldat de l’Ernor qui levait une hache dans sa direction. Il fit un pas de côté esquivant au dernier moment et se jeta sur l’adversaire. Ils roulèrent tous deux au sol se donnant des coups de poings et de pieds, chacun essayant de prendre le dessus sur l’autre. Dans la lutte Moloy arracha le masque à gaz de son adversaire et sentit soudain la bile lui montait dans la gorge lorsqu’il découvrit ce qu’il avait en face de lui. Le visage était bouffi et couvert de nombreuses cloques, à d’autres endroits la peau se détaché en lambeau comme si il pelait suite à un mauvais coup de soleil. La bouche n’était plus qu’une fente débordante de salive et garni de croc jauni. Les yeux quant à eux étaient noirs et injectés de sang et l’on pouvait voir que la paupière avait été arrachée. Moloy choqué par cette vision d’horreur baisse furtivement sa garde mais cela suffit pour qu’il se prenne soudain un violent coup dans le nez qui le déstabilisa une milliseconde. Il n’en fallut pas plus à l’adversaire pour prendre le dessus et se placer au dessus de Moloy avant de le rouer de coups dans les côtes. Moloy sentait la douleur montait et ne pouvait rien faire pour la soulager, pour le moment il luttait pour sa vie, il utilisa son bras gauche pour essayer de contrer les coups tandis le droit chercher désespérément un objet à saisir pour se défendre. Puis sa main se referma sur quelque chose de rond et de lourd, il ne prit pas le temps de savoir ce que s’étaient et s’en servit pour expédier un coup dans le thorax de son adversaire. Celui-ci laissa échapper un cri avant de se mettre à tituber en arrière, ses mains cherchant à retirer se qui s’était planté dans son tronc. Moloy se releva rapidement à son tour avant de voir que ce qu’il avait utilisait pour frapper était un casque de l’Ernor, surement celui de son adversaire, et que les pointes qui surplombaient le casque s’était profondément enfoncées dans son plexus solaire. Moloy ne perdit pas trop de temps à s’éterniser sur le coup de chance qu’il avait put avoir, il se saisit de son fusil et abattit d’un tir le soldat blessé. Il se précipita ensuite sur un ennemi qui venait de sauté dans la tranché et l’embrocha avant de faucher un nouvel intrus d’un tir en pleine tête. L’ennemie ne cessait d’affluer et partout où son regard se posait il pouvait voir des soldats luttant pour leur propre vie. Il n’eu pas vraiment le temps de s’y appesantir, un nouvel individu se jetait déjà sur lui et il se retrouva au prise avec lui luttant tous deux à la baïonnette. Soudain des tirs de gros calibres transpercèrent de part en part le dernier jegger et fauchèrent les fantassins ennemis qui se trouvaient encore dans le no man’s land. Le commandement de secteur avait dépêché des réserves qui s’étaient mise en route dés qu’elles avaient été informées de l’attaque. Six Drozer dépassèrent la tranchée et dispersèrent les fantassins de l’Ernor comme du gibier. Les infortunés hommes de l’Ernor qui avait atteint la tranchée tentèrent de prendre la fuite, pour suivre leurs camarades et de ne pas se retrouver isolés, mais ils furent tous rapidement abattus. Le Drozer était le principal blindé de la Ligue, basé sur le châssis originel du Leman Russ il avait été adapté pour ce théâtre d’opération. Ainsi à la place de l’arme de coque et des armes latérales le blindé s’était vu équipé de plaques de blindages supplémentaires. Monté sur la tourelle on trouvé un autocanon couplé à un lance flamme-lourd. A en croire le quartier général il s’agissait du meilleur véhicule pour la guerre du tranché. L’autocanon permettait au Drozer d’apporter un soutien non négligeable à longue portée et de chasser les jeggers. Quant au lance flamme il le rendait particulièrement efficace dans le nettoyage de tranché. Le Drozer avait remplacé le Leman Russ dés la deuxième année de guerre, son prédécesseur n’étant pas adapté au conflit. Tandis que les carcasses de jegger brulaient encore, les sous officiers de l’unité récurent l’ordre de se rassembler au poste d’observation. Moloy, Triur ainsi que le caporal Xorez se rendirent rapidement à la convocation accompagné du lieutenant Kiol, l’officier en charge du groupement de Drozer. Sopel était déjà là adossé à une paroi, du sang lui coulait d’une vilaine coupure à la joue gauche et au menton. -« Bon maintenant que tout le monde est là nous pouvons commencer je suppose. Avant tout laisser moi vous remercier lieutenant Kiol, sans vous on risquait d’y passer. » Commença Sobel. -« Ce fut un plaisir Lieutenant Sopel. Vous pouvez être sur qu’on sera toujours là pour sauver vos petites fesses. » Kiol esquissa un sourire. -« Bon trêve de civilité, que se passe t’il mon lieutenant ? Pourquoi nous avoir convoqués ? » intervint Triur. -« J’y arrive sergent, à peine l’affrontement terminé les liaisons ont été rétablies et j’ai put joindre le commandement de secteur. Nous avons perdus 27 hommes selon le dernier décompte, le commandement considère que c’est suffisant pour être relevé. Demain matin la 769éme unité arriva et prendra notre place, nous serons alors ramenés vers l’arrière pour une durée indéterminé. Jusque là tenez les hommes prêts pas questions de se relâcher. Quant à vos blindés lieutenant Krior ils ont reçus l’orde de rester en appuis jusqu’à notre relève. -Pas de problème, si vous permettez je vais relayer l’ordre aux tankistes. -Faites, je vous en pris. Quant au autre briefing terminé, rejoignez la troupe. -Oui mon lieutenant » hurlèrent les hommes avant de saluer et de sortir.
  2. Normalement il n'y a pas le moindre problème pour toi Amareux, après tout le règlement de la section CDA n'impose aucune longueur particulière sur ce point. Et si ça peut te rassurer: Au vu de la déclaration de skyvince, je pense qu'une page est plus en adéquation avec ce qu'il attendait. Après je ne parle pas pour lui mais c'est comme cela que j'ai compris la phrase.
  3. Je profite du sujet pour poster ma candidature avec mes chers petits FDP. -Tout d'abord l'historique: La 251éme compagnie d'infanterie de Doliant fut fondé, d'après les archives, en 653M36 en réponse aux troubles proches de la planète. La compagnie comptait à son fondation prés de 450 hommes âgés de 18 ans et tous fils de l'aristocratie planétaire. C'est ainsi qu'à sa fondation la compagnie passait plus un regroupement de bleu hautain que pour une véritable formation de combat. Mais lors des émeutes ouvrières de 657, la compagnie montra tout son savoir et sa compétence en écrasant presque à elle seule la rébellion populaire du magus Grosa. A partir de ce jour la réputation de la compagnie fut assuré et leur compétence reconnue de tous. Les générations passèrent et le régiment remplissait ses effectif en utilisant toujours le même critère, des jeunes hommes de 18 ans venant de l'aristocratie. Toujours d'après les archives, la compagnie fut nommé comme garde personnel du chancelier planétaire en 871M37. Le chancelier employa alors ses hommes comme émissaire reflétant la capacité martiale de Doliant. C'est ainsi que le 251éme fut engagé dans de nombreux conflits proches du système de Valorum en tant qu'effectif de soutien auxiliaire à la machine de guerre impérial. Elle fut donc l’une des rares unités de FDP à être utilisé pour des missions extérieurs. En tant qu’unité combattante et garde personnel, le 251éme bénéficiait d’un arsenal de pointe et d’un entrainement extrêmement rigoureux. C’est ainsi que la compagnie disposait d’arme à plasma et fut l’une des premières unités de FDP dans tout l’impérium à être équipé de fusil laser Mk IV lorsque ceux-ci entrèrent en service dans la garde. La compagnie changea de dotation et d’aspect en 547M39 après leur déploiement sur le monde volcanique de Gredaz. La compagnie fut déployé afin d’aider les forces locales à réprimer une révolte mais l'atmosphère était saturé de souffre et ils durent emprunter des respirateurs aux locaux afin de pouvoir affronter le monde extérieur. A partir de ce jour là et toujours dans l’optique de rechercher l'excellence, le colonel Yurt, dirigeant la compagnie à l’époque décida donc d’inclure le masque respirateur comme équipement standard dans la compagnie. La compagnie continua à se perfectionner en profitant de la présence temporaire de régiments de la garde afin d’en apprendre toujours plus à leurs contacts. Malgré cette apparente complicité, des rixes éclatèrent cours de toutes ses années. En effet, les gardes avaient plutôt tendance à mépriser les FDP, les considérant comme des planqués. L’absence rédhibitoire de camouflage sur les uniformes du 251éme fut également un sujet de discorde récurrent. Pour de nombreux régiments de la garde, le camouflage était un moyen des plus efficace pour assurer sa survie. Mais par respect des traditions, les hommes du 251éme refusaient catégoriquement de toucher à leurs uniformes ce qui provoqua de nombreuses mauvaises blagues. Le 251éme continua à servir fidèlement le gouverneur jusqu’en 940M41. Le régiment fut brutalement demis de son poste et subit la disgrâce ultime en étant transféré de la capitale Darias Port à Tunvra, une ville de province. Les archives planétaire ne précisent pas la raison d’un tel renvoi mais certaines rumeurs prétendent qu’un lourd contentieux à éclater entre le colonel Srepoy, commandant de la compagnie, et le chancelier Dentos lui même. Toutefois la nature de ce contentieux reste inconnu même si d’après ce que laissait entendre certains hommes celui-ci auraient éclater du fait de la politique extérieur du gouverneur. Le colonel Srepoy aurait été pour un renforcement des troupes et pour durcir le ton contre Ishtar qui se militarisait de plus en plus. Le colonel, voyant Doliant de plus en plus menacé par l’armée de Martell, était pour une opération préventive mais le gouverneur n’aurait pas été de cette avis. Dentos était quant à lui connu pour être plutôt passif et effacé, et un affrontement contre Ishtar n’était certainement pas un moyen de préserver sa relative tranquillité. Malgré cette apparente humiliation, le 251éme garda la tête haute et continua à maintenir le même niveau d’exigence quant à sa propre qualité. Au cours de l’année 942M41, la planète toute entière fut parcourue par des émeutes menées par une franche de la population, ces émeutes virèrent rapidement à une insurrection civile et le chancelier fut contraint de déployer la troupe afin de maintenir un semblant de calme. Les transmissions militaires confirment l’usage de gaz de combat afin de repousser et de calmer la foule. Les échanges radiaux indiquent également que la troupe a ouvert le feu sur les émeutiers. Des échanges de tirs ont ainsi été signalés dans toute les villes. Les rapports confirment bien qu’au moins une partie de la foule était armé et bien décidée à écraser toutes résistance. Cette fois-ci selon le bureau des renseignements, on signalerait les concentrations d’émeutiers les plus importantes dans les basses spires des ruches mais il n’y a aucune possibilité de confirmer, l’adeptus arbites ayant été obligé d'évacuer les lieux des le second jour des violences. Le primipile Xerud, commandant en chef des forces de Tunvra, a émis une demande de renfort mécanisé pour déploiement immédiat. La même requête à été formulé par la quasi totalité des primipiles, tentative d’un classement par ordre de priorité. Le 5éme jour des violences, le chancelier Dentos décréta la loi martial et l’état d’urgence. Tous pouvoir fut accordés au primipiles afin de rétablir et de maintenir l’ordre sur la planète. Le 7éme jour, la situation se stabilisa simultanément sur toutes la planète, démontrant une coordination entre les émeutiers bien plus importante que toutes les hypothèses émises par le bureau de renseignement. Tunvra ne fut pas épargner par ses évènements et le munitorum local dénombra que prés de 30% des habitants de la ville étaient descendu dans la rue. Tunvra était peuplé par prés de 10 millions d’habitants et ne comportait qu’une garnison forte de 37 500 hommes, les troupes furent alors rapidement débordé devant se battre à 1 contre 80 mais après 1 semaine d’affrontement de rue la situation s’était plus au moins stabilisait sans être pour autant encore sous contrôle. Quelques affrontement sporadiques continuèrent à se produire dans la ville les jours suivant. Le 251éme quant à lui avait eu pour mission de tenir l'armurerie afin d’empecher les émeutiers de s’emparer de l’arsenal militaire ce qui aurait provoqué un véritable bain de sang. La compagnie dut repousser pas moins de 9 000 manifestants qui mirent les barricades à rude épreuves. Finalement le 251éme fut relevé le 15éme jour remplacé par le 4éme corps mécanisé. La compagnie fut alors placés en réserve immédiate afin d’être déployé d’urgence et ceux pour empêcher tout nouveau rassemblement suspect. La situation resta ainsi en suspend durant prés de 6 mois, les périodes de calme étant souvent ponctué par des affrontements toujours aussi violents mais rapide. Mais soudain faisant preuve d’une coordination toujours aussi exemplaire, les émeutiers repartirent au combat. Certains primipiles firent référence à se nouveau regain de violence soudain par une simple phrase:"L’enfer se déchaina de nouveau sur nous". A Tunvra, le même phénomène se produisit et le 251éme fut déployé à 9h00 pour protéger cette fois-ci la cathédrale d’un éventuel saccages voir même pire. La compagnie se déploya et se fortifia en vitesse sur le parvis du bâtiment. A 11h00, une véritable horde se rua à l’assaut des positions des FDP. Encore une fois, les soldats employèrent des gaz de combat, des explosifs et eurent même recourt à des mines. Dans leur esprit tout était clair, il n’affrontait plus des paisibles serviteurs de l’impérium mais des véritables individus ayant perdu toutes raison. L’affrontement ne fit que gagner en puissance et la compagnie finit par avoir recours au lance-flamme, au lance plasma ainsi qu’au charge de démolition afin de disperser les attroupements. Mais rien n’y fit et à 13h00, les émeutiers se lancèrent dans une nouvelle vague pour submerger les défenseurs qui finirent par se retrancher dans la cathédrale elle même. Finalement à 15h00 des renforts arrivèrent et balayèrent les assaillants les plus proches, les autres prirent la fuite. Des éléments du 4éme corps mécanisé accompagné par un de l'infanterie avaient réussi à se frayer un chemin et à les rejoindre. Avec l’appui des véhicules la situation devint beaucoup plus calme et les unités présentes purent enfin être relevées à 19h00. Lorsque le 251éme quitta les lieux il avait perdu prés de 40% de ses hommes dont le lieutenant Grero, fils d’un des plus puissants chefs de guilde de tout le système. La compagnie eu à peine le temps de souffler au campement principale au abords de la ville que le ciel se strilla de milliers de points enflammés se dirigeant vers la surface. Quelque chose disait au homme qu’ils n’étaient pas prés de pouvoir de dormir. -Pour les photos à venir vendredi prochain. -Pour la liste d'armée: Ici -Et enfin pour l'avatar:Ici Ps; Je précise immédiatement un fait. Étant étudiant je n'ai accès à internet que le week-end. Je peux bien sur avancer la peinture en semaine mais ne n'aurais accès au forum que le week-end. Je préférais prévenir dés maintenant pour qu'il n'y ai pas d'ambiguïté au cas où cela devait représenter un problème.
  4. La petite histoire qui va bien: Filbrus Trazel est née en 912M41. Fils de Cranm Trazel, dirigeant de la guide Trazel, l’une des plus puissantes après la guide Grero, et de Biolia Voxter, cousine éloigné du chancelier Dentos. Filbrius fut élevé dans la pure tradition des familles aristocratiques de Doliant. C’est ainsi qu’il commença une dure éducation dés le plus jeune age il dut également apprendre les rudiments de la guerre à partir de ses 15 ans. Destiné à reprendre la guilde familiale il délaissa cette tache à son petit frère, d’un an son cadet, et préféra vouer sa vie au service de Doliant. C’est ainsi qu’à ses 18ans il intégra l’adeptus arbites où il est était bien décidé à faire carrière. Profitant de se qu’il avait déjà appris dans sa jeunesse, l'arbitre Trazel se montra des plus compétents et efficace et fit ainsi rapidement carrière se retrouvant lieutenant et donc chef d’unité à 21 ans. Malheureusement ses rêves de continuer à percer furent briser en 935. En effet un jour son unité fut déployé dans les bas fonds de Darias Port et ils furent malheureusement pris violemment à partis par un gang local. Une lutte s’entama mais de plus en plus de personnes se joignirent à leurs agresseurs et un de ses hommes fut brutalement fauché par une munition solide. Face à la menace il ordonna alors l’utilisation de tous leurs arsenal. Une fusillade éclata au cours de laquelle 7 opposants furent abattus, mais en situation de plus en plus précaire il ordonna de se replier sur leur repressor à quelques dizaines de mètres en arrière. A peine arriver à celui-ci des tirs d’arme plus lourd fusèrent au dessus de leurs tête et plusieurs d’entre eux touchèrent le repressor qui explosa dans une gerbe de flamme. Une clameur monta en face et les agresseurs se précipitèrent en avant pour achever les arbitres survivants. La bande fut soudain fauché dans son élan par une pluie de munition solide qui les força à s’enfuir. Les renforts demandaient quelques temps plus tôt étaient enfin arrivé. Filbrus n’avait pas assisté à tous ça, il avait perdu connaissance après l’explosion de son repressor et le reste lui fut raconté à son réveil. Réveil on ne peut plus douloureux, il appris qu’il avait perdu 4 de ses hommes dans l’attaque. Il se réveilla également sans son bras gauche et on l’informa que sa cage thoracique avait été aussi durement touché. Affecté par un tel désastre et se sentant responsable de cet échec, Filbrus quitta l’arbites pour ne plus jamais y revenir. Sa famille étant riche celle-ci lui paya facilement un nouveau bras bionique et fit également remplacer sa cage thoracique d’origine par un dispositif en titane. L’année suivante et s’étant complètement remis de ses blessures, il décida d’intégrer les forces de défense planétaire afin de continuer à servir Doliant. De par sa haute naissance et ses capacités martiale il fut affecté à la 251éme compagnie d’infanterie et conserva son ancien grade de lieutenant. Le colonel Srepoy dirigeant la compagnie l'accueilla chaleureusement et après avoir jaugé pendant quelques semaines l’individu lui confia la 6éme escouade. Filbrus se releva un excellent militaire et meneur d’homme et gagna le respect de toute la compagnie. Il s’illustra lors de la défense de l’armurerie de Tunvra en coordonnant brillamment la défense sur le cote Est du dispositif mis en place. Maintenant le profil: Vous pouvez remplacer un sergent d’escouade de vétérans par le lieutenant Filbrus pour un cout supplémentaire de 50 points. Lieutenant Filbrius: CC CT F E PV I A Cd Svg 4 4 3 4 1 4 2 10 5+ Equipement: gilet pare balle, pistolet radian laser, épée énergétique, Grenade à fragmentation et antichar, fusil laser. Régle: Torse de fer, Agent de l’ordre, Éduqué. Torse de fer: Depuis le remplacement de sa cage thoracique, Filbrus est devenus beaucoup plus résistant ce qui lui confère un point d’endurance en plus (Inclus dans le profil) Agent de l’ordre: Filbrus a été formé dans sa jeunesse pour maintenir l’ordre et la discipline et il continue à agir comme telle au sein de son unité réussissant à maintenir le calme même dans les situations les plus désespérés. L’escouade de Filbrus compte comme étant obstinées. Éduqué: Filbrus a reçu une éducation des plus poussé dans sa jeunesse, il a donc appris de nombreuses choses sur les différents ennemis de l’imperium. Il confère à son escouade la règle ennemie jurée contre tous les types d’adversaires.
  5. Tout considération de prix mise à part je pense que tu devrais faire passer le commandement de Derek à 10. Un cd 10 tout simplement parce que je trouve un tel chiffre normal. Après tout ton avatar est censé être un homme cruel et endurci tout aussi exigeant avec ses hommes. Ils sont alors censé au moins le craindre un minimum et lui doit être une icône d'autorité commandant par la peur et la discipline. C'est selon moi une raison suffisante qui justifierait un tel ce commandement. Après encore une fois ce n'est que mon avis. Tu connais mieux ton personnage que moi, à toi de voir ce qui le reflète le mieux. Il faut également dire que dans le codex GI, le prix pour n'importe qu'elle personnage est assez élevé ce qui rend malheureusement difficile la création d'un avatar bon marché car si l'on prend des comparatifs dans ce codex on chiffre en point très vite. Concernant également tes règles spéciale, j'aurais bien vu une règle un peu du même genre qu'exécution sommaire. Une fois encore je trouve que Derek incarne un commandant froid et assez sadique (l'organisation de nombreux massacres n'est qu'en même pas gage d'un grand équilibre psychologique) ce qui ferait qu'il arriverait à remotiver ses hommes en usant de son caractère. Une règle du type: Retournez vous battre. Tant que le colonel Sebastian Derek est en vie celui-ci peut abbatre un homme dans chaque unité en fuite passant à au plus 6 pas(par exemple) de lui. L'escouade ayant subit cette perte aura alors la possibilité de tenter de se rallier en ignorant les restrictions habituelles. Il est vrai que cette règle contraste un peu avec du nerf mais d'un autre côté il ne s'agit pas d'un ordre et il peut éventuellement être utilisé hors de ton tour, wait and see your opinion. ps: Juste un petit détail, les armures carapaces pour l'escouade de commandement de compagnie et les conseillers coutent 20 points.
  6. Précisément page 90 du codex. "Le commandant de compagnie porte un champ réfracteur" et on trouve la description de l'objet page 71. ps: Pour une idée du cout Creed (à 90points) possède une partie des même caractéristiques que ton avatar (même CC,CT,E,A,PV,Svg) et coute 90points. Son équipement et ses règles sont bien sur différente et il possède un Cd de 10 pour une force de 3. Mais malgré cela je pense que ça peut te donner une petite idée de la gamme du cout en point. En espérant t'avoir aidé.
  7. Sauf que personne (sauf peut être certains dans les très hautes sphères) n'est au courant de l'existence de cette arme dans le système et certainement pas le pauvre gouverneur planétaire de Doliant. D'ailleurs l'arme n'est même pas sur Doliant (enfin c'est ainsi que je l'ai compris) et il n'y a donc aucune raison qu'ils soient plus entrainés pour défendre quelque chose qu'ils ne peuvent pas protéger. Il ne faut pas non plus oublier qu'on parle de simple FDP et non pas de garde impériaux. La plupart de temps les FDP sont moins bien équipés, moins bien entrainés et certains ne voient jamais un combat de leurs vie. Si jamais l'imperium à des structures vitales à défendre alors il déploie des régiments de la garde sur place voir même fonde un chapitre dans le système. A vrai dire c'est plutôt le contraire. Lors des formations les gouverneurs planétaires ponctionnent souvent dans l'effectif de ses troupes de défense, il est très rare (déjà qu'un garde atteigne l'age de la retraite) qu'une fois atteint un certain (car la garde libère très tard) l'indivu soit encore apte physiquement ou mentalement à resigner pour intégrer les FDP.
  8. A vrai dire je pensais plus au combat face au cultiste cité juste avant le dit assaut planétaire. Je me suis dis que les cultistes étaient peut-être sortis de l'ombre il y a quelques temps déjà et que les soldats ont alors eu le temps de s'endurcir. Sinon normalement FDP= Forces de Defence Planetaire
  9. Content de voir un tel engouement pour ce CDA (Il faut dire qu'il le mérite) mais une petite question me taraude, rien de bien important mais disons qu'il m'arrive d'être tatillon et pensant à poser ma candidature j'aimerai éclairer un point. Il est dit que les FDP de Doliant repoussent les assauts des cultistes lors de l'assaut des forces de Martell. La question est alors la suivante, depuis combien de temps les combats durent-ils? Ce que je veux savoir précisément c'est si les combats durent depuis assez longtemps pour avoir vu émerger des unités déjà expérimentées dans le domaine du combat ou si les forces de défense sont plutôt des bleus inexpérimentées.
  10. Merci à tous pour vos réponse et le site qui est fort intéressant pour tous ce qui porte à Epic.
  11. Bonjour à tous. Je pratique Epic (armageddon) depuis quelques mois déjà mais je dois avouer que du fait du manque d'adversaire et même du peu de personnes connaissant le jeu, j'ai un peu de mal à avancer préférant continuer mes travaux sur 40 000. C'est alors que je me suis dit qu'éventuellement un CDA epic pourrait changer la donne en faisant connaitre un peu plus ce jeu délaissé par GW lui même tout en permettant à chacun de se motiver pour avancer dans son armée ou même de commencer. Toutefois je me demande si ce projet est réalisable, tout d'abord serons-nous assez de personnes intéressés pour présenter une candidature valide? Enfin quelles exigences émettre que ce soit sur le modélisme, la limite de point ou le déroulement des tranches,etc. Je fais donc appel à vous pour qu'ensemble si vous êtes intéressés nous tentions de monter une candidature solide pour ce projet. Merci d'avance.
  12. Pour les gros plans c'est exactement ce que t'as dit Rhum, va consulter les liens dans le premier post et tu auras tous les gros plan que tu souhaite. Et ensuite, ça ne sert à rien de démarrer au quart de tour par ce que franchement je ne vois pas en quoi il te cherche c'était juste une remarque mais bon je ne vais pas m'étendre la dessus. Enfin j'adore la peinture du réservoir de l'Artemia, il doit pleuvoir souvent pour qu'il soit si rouillé. ps:Par ce que je suis quand même gentil, voila le lien que tu aurais put trouver tout seul: http://forum.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=140009
  13. Pugh

    Vaincre ou mourir

    La vue de symboles impies ou évoquer certains noms propres au chaos peuvent provoquer des hauts le cœur, des vomissements, des évanouissements voir même causer la folie pour les citoyens lambda. En effet la nature même du chaos repousse et choque profondément, dans plusieurs moment dans "les fantômes de Gaunt", les soldats impériaux exposés au même phénomène réagissent à l'identique. Toujours en est-il que pour les descriptions plus approfondies celle-ci arriveront en temps voulu, le but étant de laisser un peu de place à l'imagination et ne pas en donner une image trop précise dés le début.
  14. Pugh

    Vaincre ou mourir

    Tout d'abord merci pour les remarques et les encouragements. Côté orthographe, il est fort possible qu'un certains nombres de fautes m'est échappé. Ayant un partiel lundi je n'est pas put consacrer suffisamment de temps à la relecture et je m'en excuse. J'essayerais d'éditer pour les supprimer dés que je pourrais. Pour le côté répugnant de la guerre je préfère ne pas tomber dans l'excès qui à rester sobre. Bien entendu les situations qui seront particulièrement sanglantes,etc seront décrites comme telles, il ne s'agit pas de censurer à tout va non plus. Pour le cris de guerre c'est une bonne idée, à voir si je peux le caser dans le récit sans que cela tombe comme un cheveu dans la soupe.
  15. Pugh

    Vaincre ou mourir

    Le lieutenant Sopel, un grand homme brun élancé d'une trentaine d'années, arriva rapidement accompagné du sergent Triur ainsi que de deux autres soldats que Moloy connaissait mal. -«Que se passe t’il caporal?» demanda sèchement le sergent . Moloy se contenta de donner les macrojumelles à Sopel et le laissa s’approcher pour mieux observer. -«Coordonnées 512/69/3 mon lieutenant, fit remarquer Moloy. Sopel resta un instant à fixer le lieu désigné avant de reprendre. -Exact caporal, sergent prévenez les hommes et faite parvenir un message au commandement de secteur, nous avons de la visite. -Une idée de l’ampleur du convoi de touriste? voulu savoir Triur. -J’ai distinguais au moins 2 jegger et une cinquantaine d’hommes.» fit savoir Moloy. Le jegger était le surnom donné par les soldats de la Ligue au char de l’Ernor. Le châssis principale reprenait une grande partie de celui de la chimère, le blindé possédait également 3 roues motrices disposées de chaque côté afin de lui apporter une excellente mobilité. Le véhicule était surplombé d’une tourelle équipée d’une paire de bolters lourds ce qui en faisait un parfait chasseur d’infanterie. Pour contrer la menace blindée ennemie chaque unité de l’alliance était dotée de deux lances roquettes et chaque soldat possédait son propre lance grenade auxiliaire de soutien plus communément appelé «Pouf». Il s’agissait d’un tube mécanique placé juste en dessous du canon du fusil laser, on insérait à l'intérieur une grenade antichar puis l’on appuyait sur le bouton placé sur le coté du tube. Le lance grenade propulsait alors la grenade antichar vers la cible en émettant un bruit particulier d'où son surnom. «-Bien inutile de s’éterniser ici, tout le monde à sa place et au plus vite, le choc risque d'être rude. -Oui mon lieutenant!» répondirent en cœur tous les hommes présents dans la pièce puis ils sortirent un par un. Moloy étant l’actuelle responsable du poste d’observation, il dut s’occuper de sécuriser celui-ci. En effet le poste se trouvant en avant de la tranchée principale il ne fallait pas que l’ennemi puisse s’emparer de ce lieu et s’en servir alors comme point d’appui pour progresser dans le boyau principale. Il activa tout d’abord la fermeture des volets automatiques afin que personne ne puissent tenter de se faufiler par les fentes d’observations, il ramassa ensuite son fusil laser qu’il avait posé dans un coin puis sortit et verrouilla la porte blindée derrière lui. Les 97 hommes de l’unité couraient dans tous les sens mais aucun d’entre eux n’était un bleu et personne ne paniqué. Cette affairement était seulement dut au fait que les hommes lorsqu’ils étaient de repos avaient tendance à s’éloigner un peu de leurs postes assignés et ils leur faillaient maintenant le rejoindre en toute hâte. Moloy pris sa place sur le pas de tir et scruta l’horizon, il était désormais impossible de connaitre la position exacte de l’adversaire mais leur trajectoire n’avait laissé aucun doute, la position 164 allait devoir se défendre. Le premier signe de la présence ennemie fut un bruit sourd de moteur. Les chars adverses manœuvrés tout prés d’eux et le sol en tremblait légèrement faisant s’effondrer quelques mottes de terre. A peine ce son fut-il audible que les lances roquettes de l’unité se mirent en position. Chaque lance roquette était manœuvré par deux servants, un tireur et un porteur. Le fonctionnement de l’arme n’était pas des plus compliqué, le porteur prenait la roquette puis dévissé la partie supérieur de la roquette exposant ainsi la tête explosif à l’air libre. Cette étape permettait en réalité d’armer la roquette, en effet dés que la partie explosive rencontrera un obstacle alors celle-ci explosera. Le porteur doit ensuite insérer la roquette à l’avant de l'arme, le tireur alors n’a plus qu’à viser et appuyer sur la gâchette pour déclencher le tir. L’attente parut durer une éternité et pourtant seul cinq minutes s'écoulèrent avant d’avoir un visuel sur l’ennemie. Un jegger surgit soudain d’un cratère à une centaine de mètres de la tranchée suivit par deux de ses homologues. L’oreille de Moloy se mit soudain à siffler lorsque les lances roquettes firent feu simultanément. La première roquette passa un peu à gauche du char de tête mais la deuxième le frappa de plein fouet creusant un large trou au milieu de la tourelle. Les deux autres jegger ripostèrent rapidement et firent pleuvoir les bolts sur la tranchées, on entendit alors un cri étouffé qui ne dura pas plus d’une seconde, «encore une autre victime de la guerre» songea brièvement Moloy. Le char de tête cependant n’ouvrit pas le feu et l’on pouvait décemment pensé que son mécanisme de tir avait été détruit, il continuait malgré cela de s’approcher toujours suivi de ses deux compères. L’ordre résonna alors, relayé par les hommes de troupes, les fréquences ayant dut encore une fois lâcher au moment crucial. Puis se fut à Moloy de relayer ce même ordre à son voisin -«Chargez les Poufs» hurla t'il pour ce faire entendre. Les hommes s'exécutèrent tous et préparent les grenades antichars mais celles-ci n’avaient qu’une portée effective de cinquante mètres. Il allait malheureusement falloir attendre et baisser la tête devant les bolts en espérant ne pas être touché par un ricochet. Puis le nouvel ordre fatidique lui parvint et il tira sa grenade sans hésiter. La première salve fit mouche, le jegger de tête déjà endommagé explosa dans une gerbe de débris. Le second char juste derrière fut touché à plusieurs reprise et sa carcasse s’arrêta d'avancer constellée de nombreuses traces d’impacts. Le troisième blindé par contre ne perdit qu’une roue ce qui ne l'empêchât pas d’avancer à vitesse réduite mais ce n’était plus la seul menace désormais. Les silhouettes ennemis sortaient à leurs tours de leurs cachettes et se ruèrent à l’assaut. Les soldats de l’Ernor portait un uniforme couleur rouille, leur tête tête était protégé par un casque métallique rond surplombait d’une dizaine de petites piques. Leur visage était recouvert d’un masque à gaz en cuir ce qui empêché de voir leurs traits, ce qui était tant mieux de l’avis des soldats de la Ligue. La plupart d’entre eux possédait un fusil laser ou une arme à lourd projectile solide. Sur leur casque était gravé une tête de mort rongeant un os alors que leur uniforme était décoré de symboles impies peint en couleurs criardes. Au premières heures de la guerre, les soldats de la Ligue avaient été surpris par une telle vision et nombre d'entre eux avaient été pris de vomissement à la simple vue de l’ennemie. Maintenant la vue d’un soldat de l’Ernor ne provoquait que dégout, comme tous le reste les hommes s’étaient acclimatés à l'aspect repoussant de l’ennemie. Moloy leva son fusil en calant la crosse au creux de son épaule puis pris le temps d’ajuster sa mire comme l'expérience le lui avait appris. Sa première rafale fit mouche et une silhouette ennemie s'effondra, plusieurs laser de ripostes passèrent au dessus de lui puis il entendit un homme à proximité hurler. Moloy détourna rapidement le regard et vit un corps dont la tête avait éclaté touché par un bolt, il avait déjà vu cela se produire et il ne connaissait même pas personnellement la mort ce qui expliquait qu’il ne fut que peu affecté par cette scène. Son regard se reporta sur le no man’s land, le dernier blindé s’était arrêté à vingt mètres de la tranché et ouvrait allègrement le feu afin de couvrir la progression des fantassins qui devait être encore une bonne quarantaine. La bataille ne faisait que commencer et comme à chaque fois seul deux possibilités se présentaient à eux: vaincre ou mourir.
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