Simber30 Posté(e) le 9 février 2009 Partager Posté(e) le 9 février 2009 La bataille du Col du Chien fou, dite « Bataille de la Honte » Opposants : Nains (4000 pts) Vs Orques et Gobelins (2000 pts) Date : 03 de Ulriczeit 2508 selon le calendrier impérial (03 novembre) Heure : au levée du jour Lieu : Entrée du Col du chien fou Rétablir l’ancien empire. Tel est l’obsession du peuple nain. Depuis trop de siècles, la race de Grugni vit dans l’ombre de sa splendeur passée. Trop de rancunes tenaces viennent encombrer le Damaz Kron, l’imposant livre des rancunes soigneusement tenu par la lignée royale de Karaz-a-Karak. Mais après des siècles de recul et de lamentations, voilà qu’un souffle nouveau anime la vieille noblesse impériale. Les guildes et corporations unissent leurs efforts aux clans guerriers et alimentent le trésor des citadelles afin de lever de nouvelles armées. Les ancêtres vivants font partager leur riche expérience auprès des seigneurs sous les montagnes. Les membres de la guilde des forgerons de runes parcourent les anciennes routes de l’empire, dispensant leur savoir ésotérique. Et la très étrange confrérie des Tueurs envoie les siens aux portes des citadelles. Le Haut Roi de Karaz-a-Karak Thorgrim le Rancunier avait fixé un premier objectif ambitieux en la reconquête d’une citadelle tombée il y a de cela des millénaires entre les mains des orques rebaptisée le Roc de fer. Contrôlant l’une des principales passes des Montagnes du Bord du Monde appelée Col du Chien fou, la citadelle aux fortifications bardées de fer, a vu naître nombre de dangereux seigneurs orques dont le célébrissime Gorbad Griffe de Fer, il y plus de 7 siècles. Une formidable armée composée principalement des clans de la capitale naine avait été montée et placée sous le commandement du Prince Naïn Ier, représentant d’une illustre famille noble qui a donné nombre de rois au peuple nain. Fier de cette immense responsabilité, Naïn Ier fit mettre en rang ses guerriers dans la grande salle des piliers de Karaz-a-Karak pour qu’elle soit passée en revue par le Haut Roi en personne. Après les sacrifices d’usage en l’honneur des ancêtres et des pères fondateurs, la fière armée emprunta un tronçon du Dédale en direction du Sud. Naïn Ier commit alors une erreur qui allait coûter cher à son peuple. Désireux d’une démonstration de force et d’annoncer à tous que les Nains partaient en reconquête, il choisit de refaire surface bien avant l’arrivée au Col du Chien fou, presque comme un geste de défi lancé aux Orques du Roc de Fer. Pourtant, le seigneur des runes Torndol Larson, l’un des plus prestigieux de sa corporation, avait conseillé plus de prudence à l’impétueux Prince en suggérant de continuer encore la route via le Dédale souterrain pour bénéficier de la surprise. Mais Naïn écarta dédaigneusement la proposition d’un revers de la main. L’armée fit donc surface à encore trois journées de marche de la citadelle. La progression dans les cols de montagne s’avéra plus ardue que prévue malgré les capacités du peuple nain à endurer les longues marches. Des chutes de neige précoces y étaient pour beaucoup. A une journée à peine du Col du Chien fou, l’armée de Naïn Ier fut repérée par des sentinelles orques en maraude. La nouvelle fut rapportée au Roc de fer qui dépêcha dans la précipitation une armée disparate composée des guerriers qui n’était pas partie en campagne contre leurs congénères voisins. Des lourdes machines de guerre furent mises à disposition et tractées vers l’entrée du Col avec tout ce qui pouvait tomber sous la main, c'est-à-dire principalement des esclaves gobelins qui périrent par dizaines pour emmener les lourds engins en un temps record. A la tête de cette armée hétéroclite, un non moins improbable chef orque sauvage répondant au nom de Fluorr de la tribu des Dents sales. Il était alors maître de la citadelle depuis quelques mois à peine, ayant profité de l’absence du puissant Seigneur orque Gorbluz. Finalement, après plusieurs manœuvres de contournement, les deux armées se rencontrèrent à l’entrée du Col du Chien fou, loin de la citadelle orque qui était l’objectif initial de Naïn Ier. Sous un ciel gris et neigeux, les lourds guerriers nains dans leurs armures de plates déployaient les étendards runiques alors qu’en face, dans la plaine rocailleuse balayée par un vent glacial, la horde vociférait en guise de défi. Pourtant, elle ne semblait pas de taille pour rivaliser avec les Nains. Toutefois, ce n’est pas sans un mauvais pressentiment que le seigneur des runes Torndol prenait position sur un promontoire rocheux aux côtés de l’artillerie naine. « Arf ! Si je m’en souviens ! Ma première bataille. A l’époque, j’avais mon autre œil… et surtout toute ma force. Que d’têtes de barbus j’ai tranché ce jour-là, qu’de sang d’nabots sur ma hache !!! Même Mork y savait plus où donner de la tête… Bon, en fait, non. Ce s’est pas vraiment passé comme ça. D’ailleurs, je ne sais pas ce que je foutais dans cette troupe. J’suis pas des Dents sales, moi et j’avais pas konfiance dans ce seigneur Fluorr. Moi, un seigneur qui expose son plan par deux grognements et en éventrant un cochon pour l’offrir aux dieux jumeaux, j’fais pas konfiance. L’a même pas tracé un savant plan de bataille sur le sol avec un bâton. On courrait droit à la catastrophe »… 1er Tour : Après un temps de silence qui parut une éternité pour les guerriers qui se faisaient face, la bataille commença par le son sec des cordes des lourdes catapultes orques qui projetaient dans le ciel des rochers à la taille impressionnantes. Dans un même temps, on entendait les cris stridents des gobelins propulsés dans les airs et qui plongeaient en piqué en battant frénétiquement de leurs ailes de toiles improvisées. Si certains tombaient en torche et se plantaient dans le sol au son d’un horrible fracas d’os éclatés, d’autres parvenaient à toucher leurs cibles. Et il faut dire que l’élite naine fut proprement hébétée après le déluge de pierre et de ces projectiles gobelins. Les fiers Brisefers et la garde princière des marteliers furent lourdement touchés et eurent peine à maintenir leur cohésion malgré leur moral d’acier (13 pertes sur les deux régiments). Pendant ce temps, les lignes orques conservaient une certaine cohésion. Les orques noirs soutenus par les orques sauvages au centre, se ruaient dans la plaine rocailleuse et couverte de plaques de neige tout droit en direction de l’escarpement rocheux tenu par l’artillerie naine et les régiments d’arbalétriers. De son côté, l’artillerie naine fit parler la poudre en crachant un déluge de fer et de feu en direction du régiment orque noir. Celui-ci subît des pertes colossales (12 pertes) mais tînt bon, résolu à massacrer les artilleurs le plus vite possible. Toutefois, le canon orgue, merveille de technologie de la Guilde des Engégnieurs, ne fut pas à la hauteur de sa réputation puisqu’il explosa, causant des blessures épouvantables sur les servants, tout cela sous l’œil consterné des régiments nains. 2nd Tour : Appuyée par leur artillerie qui se révélait particulièrement efficace, la petite armée peaux-vertes galvanisée se lançait avec férocité sur les blocs nains. En première ligne, les Gobelins de la Nuit lâchaient leurs congénères psychopathes drogués par les plus toxiques champignons des cavernes sur la première ligne naine constituée d’arbalétriers, de tueurs et de lanciers. Cette tactique simple qui avait pour vocation d’affaiblir et de désorganiser le centre de l’armée naine avant l’arrivée des régiments orques, s’avérait payante. Les pertes naines furent effectivement nombreuses, les boulets tournoyaient et fauchaient les guerriers nains avec une aisance déconcertante. Toutefois, ils parvenaient à tenir le terrain sans reculer, la haine d’en découdre avec leurs ennemis ancestraux prenant le pas sur la peur de la mort. Toutefois, le penchant des orques à la chamaillerie reprit le dessus. Et pas de n’importe quelle manière, puisque c’est ce sont les orques sauvages où se trouvaient le général lui-même qui commencèrent à se distribuer des bourre-pifs, paralysant les primitifs peaux-vertes à l’arrière des lignes orques. L’artillerie orque baissait d’un ton son pilonnage mais elle parvenait néanmoins à tuer un servant de canon, ce qui entraînait la fuite des deux autres. L’artillerie naine semblait touchée par une étrange malédiction envoyée peut-être par un des dieux imprévisibles de l’engeance verte dont une effigie de pierre grossièrement sculptée trônait sur le champ de bataille. Tant est si bien qu’après le canon orgue, le canon à flamme au pied de l’escarpement rocheux était victime lui aussi d’un incident de tir qui le réduisit à néant. Et comme une malédiction orque est, à l’image de son peuple, grossière mais tenace, ce fut le dernier grand canon qui explosa dans une gerbe de flammes. Une rumeur fébrile parcourût alors les lignes naines. Naïn Ier savait qu’il devrait faire sans le soutien de son artillerie. Il leva le poing en guise de signal de marche et les Marteliers avancèrent stoïquement avec lui. Seule consolation pour le Prince nain, la magie ennemie, et son représentant gobelin de la nuit, était réduite au silence grâce à la résistance naturelle des gens de sa race et à la présence de Torndol. De son côté, le seigneur des runes faisaient crépiter les éclairs magiques de son enclume et foudroyaient toute une colonne de gobelins qui faisaient la queue pour se balancer dans les airs. 3ème Tour : Malgré la proximité de ses troupes presque au contact des Nains, les catapultes orques continuaient de pilonner les guerriers de Karaz-à-Karak. Une nouvelle fois, le régiment de Marteliers fut durement touché et pire encore, un éclat de roc blessa Naïn Ier lui-même. Le visage ensanglanté, le Prince se releva en affichant un rictus de souffrance sur son visage buriné. La garde royale serra les rangs autour de son seigneur, jurant plus encore de mourir avec lui s’il n’y avait pas d’autres issues. Sur le flanc droit des Nains, les fanatiques continuaient à faire peser la menace et malgré la débauche d’énergie, ils tenaient encore debout. Toutefois, les lignes naines s’organisaient pour réceptionner les gobelins de la nuit et les orques qui semblaient largement en sous nombre pour faire bonne figure face à l’élite naine. Mais c’est bien au centre que les premiers corps-à-corps eurent lieu. Et ils furent incontestablement à l’avantage des peaux-vertes, ou plutôt des peaux verts sombres, car le régiment orque noir pourtant affaibli parvint à enfoncer le centre nain, il est vrai constitué d’unités légères. L’engeance créée jadis par les Nains du Chaos chargea les arbalétriers nains qu’ils massacrèrent allègrement, tranchants dans le vif et lacérant les armures de cuir. Cédant devant une telle puissance, les arbalétriers prirent leurs (courtes) jambes à leurs cous. Pris par leur élan de massacre, les orques noirs parvinrent sur le promontoire rocheux et prirent d’assaut l’enclume de Torndol. Celui-ci tenta de repousser les créatures mais en vain, car il périt sous le nombre, son corps piétiné par les orques bardés de fer. Le premier impact avait enfoncé le centre nain, alors que les régiments disposés sur les ailes n’avaient pas suffisamment été rapides pour bloquer l’initiative des orques noirs. Toutefois, les orques n’étaient pas assez nombreux pour exploiter la brèche ainsi créée. Lorsque Naïn Ier apprit la mort de Torndol, la colère et la haine montèrent en son for intérieur comme un feu trop longtemps attisé. 4ème Tour : Le dénouement crucial de la bataille approchait. Galvanisé par leur précédente percée, les Orques se lançaient de plus belles dans les rangs nains, imités par leurs chétifs cousins gobelins de la nuit. Ces derniers étaient néanmoins repoussés par les guerriers des clans et les arbalétriers. Rattrapés, ils étaient tout bonnement passés au fil de l’épée. Il en fut de même pour le chamane gobelin qui se tenait en retrait. Mais les Peaux-vertes n’avaient pas dit leur dernier mot. Le grand seigneur Fluorr à la tête de ses orques sauvages, chargea avec une furie sans pareille le régiment vétéran des Longues Barbes. Le combat fut bref et sanglant. Les vétérans nains furent enfoncés et exterminés. Un peu plus sur l’aile droite, Naïn Ier menait la charge des Marteliers contre le régiment d’orques des Dents sales. Les crânes des Peaux-vertes furent fracassés par les marteaux de la garde prétorienne du Prince. La ligne orque se rompit et les survivants s’égayèrent dans la nature sans demander leur reste. La bataille virait à la boucherie. 5ème Tour : Sur le flanc gauche des Nains, le second régiment orque se lançait à l’assaut. Cette fois-ci les Nains du régiment du Dragon tinrent bon. Il est certain que leur détermination légendaire à reconquérir l’Empire de Grugni contribua à alimenter leur férocité. Ils prirent la mesure de leur adversaire qu’ils repoussèrent, poursuivirent et exterminèrent sans autre forme de procès. Au centre, les Orques noirs étaient maître du terrain. Mais diminués après cette héroïque percée, ils avaient peine à se regrouper autour du promontoire rocheux. Sur l’aile droite se jouait la bataille. Bien que lourdement affaiblis, les Nains étaient encore supérieur en nombre à leur adversaire. Il faut dire qu’hormis les orques sauvages, plus aucun Peaux-verte n’était debout. Ce furent les Brisefers qui allaient finalement faire pencher la balance. Un combat acharné s’en suivit. La haine séculaire des tunneliers nains se traduisit par des grands moulinets sanglants balancés à l’encontre des Orques surexcités. Le général Fluorr provoqua en défi par un Tain nain, Fumgi Droagi du célèbre clan des Thorimbar. La lourde hache de pierre du Peau-Verte répondit à la hache finement ciselée du Nain. Mais malgré la frénésie du seigneur, le Tain résista et blessa même grièvement son adversaire en lui plantant sa hache dans sa cuisse. Mais autour, les Brisefers n’avaient pas fait dans le détail. Les Orques sauvages, comprenant qu’ils étaient seuls, s’enfuirent mais furent rattrapés par l’élite naine qui les massacrèrent jusqu’au dernier. 6ème Tour : Les dernières lueurs grisâtres de cette journée hivernale sonnaient le glas de l’armée des Dents sales. Finalement, le seigneur orque n’aura été maître de la citadelle du Roc de Fer que quelques mois. Les quelques survivants Peaux-vertes profitaient du crépuscule pour trouver abri dans les montagnes, laissant les Nains seuls maître du terrain. Epilogue : « Dans la vallée, à l’entrée du Col, Naïn Ier était accablé par le funeste spectacle qui s’étendait sous ses yeux. Certes, il tenait le terrain. Mais à quel prix ! Combien de frères en armes étaient morts, gisants désormais sur la terre rocailleuse ? Amer, sonné, encore couvert du sang noirâtre des ennemis de sa race, il se dirigea presque chancelant vers le promontoire rocheux à la rencontre de la dépouille du vieux Torndol. Les regards qu’il croisait étaient ceux de la tristesse qui succédaient à la haine. Naïn ressentit une soudaine fatigue et un poids incommensurable sur ses épaules. Son plus fidèle héraut du régiment des Marteliers, du nom de Kadrik Guerson, s’avança vers lui alors que la nuit avait définitivement recouvert le champs de bataille. Il lui demanda: « -Oh mon Prince, devons-nous reprendre le chemin vers le Roc de Fer. La nuit sera froide. Il nous faudra dans ce cas dresser un campement pour la nuit sinon… » Sa requête restait en suspend, comme en attente d’une lourde décision. Naïn peinait à trouver ses mots. Finalement, il desserra la mâchoire. « - Non, mon pauvre Guerson, nous n’irons pas plus loin. Nous avons trop de morts à ensevelir et trop de deuil pour aller plus loin. Nous rentrons chez nous. » Le Martelier voulut rajouter quelque chose, mais Naïn le coupa en levant sa main pour obtenir son silence. Plus en contre bas, les guerriers nains se lamentaient et pleuraient leurs frères disparus » Le rapport complet ainsi que les photos sont disponibles :Bataille de la honte Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
el viking Posté(e) le 9 février 2009 Partager Posté(e) le 9 février 2009 ouah!!! ça c'est du rapport de bataille! romancé et tout! la grande classe! Bon, que dire à part ça? le background est extrêment bien narré, le style du rapport efficace... un amalgame ma foi d'excellente facture entre description de l'action et de l'histoire... pour ce qui est des photos et des schéma (visible en suivant le lien), la première photo est démente, avec le raccord du champs de bataille à un arrière plan sublime... Finalement, c'est comme pour une conférence... quand elle est réussie, si l'orateur connait son sujet et l'exprime très clairement, il y a peu de questions à la fin, tant le sujet fut parcouru de long en large... Ici, c'est la même chose... ce rapport est si bien maitrisé, qu'à part se fendre d'une redondance de compliments, on ne sait plus que dire... bref, bon boulot! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simber30 Posté(e) le 9 février 2009 Auteur Partager Posté(e) le 9 février 2009 Merci je n'en suis pas l'auteur c'est le site d'un ami et la narration encore d'un autre, bref juste une bande de copains fan de Battle. Je tenais a le faire partager tellement je le trouvais réussi. Merci pour ces commentaires. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Blackblood Posté(e) le 10 février 2009 Partager Posté(e) le 10 février 2009 Les photos sont bien sympas aussi: l'incrustation des montagnes en fond de plan rend un effet splendide ! Pas à dire: chapeau bas, messieurs ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
granbout Posté(e) le 13 février 2009 Partager Posté(e) le 13 février 2009 Vraiment du beau boulot. tant au niveu de la narration que des photos (avec arrière plan). Félicitations à vous trois appremment; pour ce qui est du site aussi c'est du bon boulot, j'ai personnlement hate qu'il soit fini. En toute franchise je crois que c'est la première fois que je n'ai rien à redire sur un rapport de bataille... En fait si, c'était un peu court Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
konrad le bisounourse Posté(e) le 14 février 2009 Partager Posté(e) le 14 février 2009 (modifié) « - Non, mon pauvre Guerson, nous n’irons pas plus loin. Nous avons trop de morts à ensevelir et trop de deuil pour aller plus loin. Nous rentrons chez nous. » Quoi on a réussi à résonner un nain ! Enfin un seigneur nain qui a copris que la recoquète des anciennes cités est aussi inutile que meurtrière et vas les mener à leur perte. Très bon rapport de bataille romancer et tout et tout. Vivement une suite! Modifié le 14 février 2009 par konrad le bisounourse Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
azuriel Posté(e) le 18 février 2009 Partager Posté(e) le 18 février 2009 Du très très beau boulot, surtout les photos avec incrustation des montagnes qui rehausse le tout. Une petite question : Pourquoi les nains ont ils 4000 pts et les orks 2000? Je suis joueur de 40K et absolument incapable de recompter les armées pour savoir s'il s'agit d'une simple erreur de frappe. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Von_Ernstein Posté(e) le 19 février 2009 Partager Posté(e) le 19 février 2009 J'aime beaucoup le style de Narration, on s'croirait presque dans un bon vieux White Dwarf ..Mais comme Azuriel, une chose m'échappe .. Pourquoi 2000 points d'écart ? Est-ce parcequ'il s'agit d'une grande Campagne Nains VS Orcs ? Ou parceque c'est un scénario ? Ou juste parceque le méchant joueur Nain avait envie de charcuter de l'orc sans le moindre Challenge ? En tout cas, chapeau à tes camarades . Au fait, y'a t'il une revanche prise par les Orcs ? Si oui, merci de nous la faire parvenir ( je deteste voir des orcs battus a plate couture ... ) Allez, sur ce, bonne WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAGHHHH !!! Veuillez excusez .. Bonne Journée a tous * Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
petitsquale Posté(e) le 19 février 2009 Partager Posté(e) le 19 février 2009 Comme quoi le Fluor ce n'est pas bon pour les dents. Très bon récit qui me donne chaud au coeur en tant que nain. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Simber30 Posté(e) le 20 février 2009 Auteur Partager Posté(e) le 20 février 2009 L'écart de 2000 points est prévu par un scénario, le but des orcs dans cette bataille était de tuer le plus de nains possibles. Malgré leur anéantissement en fin de partie, on peut dire que les orcs ont fait le boulot. Cette bataille se situe dans le cadre d'une campagne et il n'y a pas de joueur orc attitré donc peu importe ses pertes, ce qui n'est pas le cas du "vrai" joueur nain. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
smudge Posté(e) le 4 mars 2009 Partager Posté(e) le 4 mars 2009 (modifié) Salut à tous ! Suite à ce poste, j'ai décidé de créer un topic uniquement dédié à notre campagne et site internet.... N'hésitez pas a y laisser vos commentaires.... Petit précision qu'a oublié Simber, le travail des photos sous photophop a été réalisé par un quatrième compagnon.... Modifié le 4 mars 2009 par smudge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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