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[Création - Texte] Bande de Bretonnie


Invité Gardien_des_Secrets

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Invité Gardien_des_Secrets

Bonjour à tous.

Comme la plupart d'entre vous le savent, la bande Bretonnienne est en cours de finalisation, il ne manque que le texte pour la présenter.

Donc je m'en remets à la fine fleur de vos plumes (ou plutôt de vos claviers). Je vous donne les rails à suivre, à vous de lancez le train :

_ Le personnage principal du texte peut être un chevalier de la Quête, un Errant ou une Damoiselle, ou le reçit d'un simple gueux... L'important est que le texte doit être rédigé dans la mesure du possible à la 3me personne (sauf dialogue éventuel).

_ Le déroulement peut être au début de la bande, ou juste à sa création.

_ L’action peut se passer dans Mordheim, ou ses alentours. Pas de combat, juste une mise en bouche, une présentation.

_ Le texte doit faire au moins une page Word.

Vous pouvez prendre exemple sur les textes de présentations des différentes fiches de bande officielles ou du livre de règle Mordheim.

Quand on aura assez de texte, une dizaine j’espère, je mettrais en place un vote.

Le meilleur texte choisi figurera en première page de la fiche de bande (en guise de présentation) et le nom de son auteur figurera sur avec les créateurs « officiels » la bande (Hellspawn et moi-même).

Présentez vos oeuvres ici même. Bon courage à tous

Le Gardien

Modifié par Gardien_des_Secrets
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Un lac apparaît dans la nuit. Une lumière blanche flotte au-dessus de l'eau. Une lumière qui s'amplifie au fur et à mesure que le Chevalier approche. Cette lumière prend forme. Forme d'une femme.

Il s'arrête au bord de l'eau. La femme commence à avancer. Il se rend compte que ses pieds ne touchent pas l'eau.

Elle s'arrête juste devant lui. De ses deux mains, elle lui effleure les tempes. Il se sent alors partir. Il se voit au-dessus d'une ville en ruine. Il comprend alors ce que la Dame veut lui dire. Et il sait ce qu'il doit faire.

Il ouvre les yeux. Il n'oubliera pas cette sensation. Il n'oubliera jamais cette sensation.

Il se retourne pour observer sa femme. Il voit à son regard qu'elle a compris, qu'elle sait ce qu'il va lui dire. Pas besoin de prononcer de mots.

Il descends vers la salle d'armes pour s'équiper. La Damoiselle du Graal est là dans l'ombre, elle l'attend. Elle lui dit juste :« La Dame m'a visitée cette nuit. Tu es particulier, Chevalier de la Quête. Tu n'es pas seul. Rassemble tes plus fidèles hommes, ce sont eux qui te permettront de réussir ce que tu dois faire. »

Il appelle ses fidèles : Tancrède, le Furet et les autres. Il leur dit juste de se préparer pour une longue expédition. Ancun ne pose de questions, on dirait que tous savent.

Le Chevalier a prit ses dispositions pour son domaine. Il rejoint son destrier dans la cour, l'enfourche et regarde une dernière fois sa femme, sans savoir s'il la reverra.

Le départ est donné pour Mordheim, la cité des Damnés.

Signé : Chevalier Garviel

Voilà ma modeste contribution...Pas du grand art, mais j'espère que cela suffira...

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Invité Gardien_des_Secrets

Ma modeste contribution, pour l'exemple.

« Messire, nous sommes arrivé. »

Le comte Cypherien de Montfort abaissa le regard vers la voix.

Gontran l’Aubaine, son écuyer personnel se tenait au côté du cheval de son seigneur. Sa voix criarde avait sorti le chevalier Bretonnien de sa torpeur. Lorsque son maître posa les yeux sur lui, le serviteur abaissa la tête en signe de soumission.

Le Chevalier de la Quête releva le regard et eût un rictus de dégoût devant le spectacle qui se déroulait devant lui : un amas de vieilles masures à moitié en ruine, rongé par la crasse et des débuts d’incendie. Autour des bâtiments s’afférait des mendiants et des prêcheurs, diables pouilleux réclamant tantôt une pièce de cuivre, tantôt la mort ou la rédemption. Au loin, à travers la brume et l’obscurité, on distinguait la cité des Damnés.

L’arrivée du cortège Bretonnien n’était pas passé inaperçu : un groupe de mercenaire équipé d’arbalètes et de lances vint à leur rencontre.

Leur chef s’avança : vêtu d’une belle tunique noire et d’une longue cape, dont l’ouverture faisait apparaître une armure ciselée et frappé de la marque de Sigmar et du symbole du Reikland. L’homme portait à sa ceinture une épée à longue lame et un pistolet ouvragé. L’Imperial prit la parole :

« Bonjour à vous, noble Sire ! Quel bon vent vous amène à Mordheim ? Il n’y a pourtant pas de dragon à pourfendre en ces lieux ! » La fin de sa phrase fût accompagné par des rires roques et gras de ses acolytes.

Le comte de Montfort esquissa un sourire et répondit à son détracteur, d’un ton hautain.

« Par la Dame, je ne sais pas si dragon il y a ou non dans ses lieux, mais c’est pourtant bien une halène putride d’une vile créature que je respire séant ! ».

Cette phrase effaça le sourire de la bouche des mercenaire et l’un d’entre sorti un pistolet de mauvaise facture qu’il pointa en direction du chevalier. Son geste fût arrêté de justesse par la main de son capitaine.

Les gens de Montfort saisirent leurs armes et leurs arcs et formèrent une sorte de phalange autour de leur seigneur. Il ne fallut que quelques secondes pour que les mercenaires copient le geste.

« Pas de bagarres ni de morts ici, c’est la règle messieurs ! » beugla l’Impérial d’une voix forte. Puis il continua en ces mots :

« Les occasions ne manqueront pas, et je vous ferais ravaler ses paroles tôt ou tard, messire chevalier. »

Le mercenaire s’éloigna de quelque pas en arrière et fit volte face. Accompagné d’un homme à forte stature qui portait une lourde lame et du jeune damoiseau qui avait menacé le chevalier avec son pistolet, le capitaine Reiklander marcha droit devant lui et disparût dans un bâtiment à peine délabré.

Le reste de ses hommes ne dispersèrent et bientôt il ne resta dans la rue déserte et sale que les Bretonniens et un vieux chien à 3 pattes qui rongeait un crâne de rat démesurément grand.

Le comte de Montfort poussa un long soupir. Il dit d’une voix haute et claire :

« Vous savez à quoi vous tenir, mes chers serf ! Montez le camp sur le terrain que nous avons vu à l’entrée de ce cloaque… et surveillez bien nos vivres, nous sommes ici pour un bon moment, je le crains. »

Modifié par Gardien_des_Secrets
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Très bon récit, je dois l'admettre.....

Par contre je ne voyais pas les bandes loger à l'extérieur de la ville...

Mais ce n'est que mon point de vue.

Ce serait un peu bizarre qu'il y ai des campements à l'extérieur de la ville et que les bandes ne s'affrontent que dans les ruines.....

Autant les mecs dinent ensembles et se fritent la tronche dans les ruines..... ^_^

Tes gars, il s'agit de la milice ou de quelque chose dans le genre ??? Car sinon pourquoi la bataille n'éclate pas ?? X-/

Un chevalier insulté c'est un chevalier qui charge... Non ???? :o

Sur ce.....

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Invité Gardien_des_Secrets

Bah c'est un réçit comme un autre, pourquoi tout de suite le carnage ensuite les questions ?

Pour le logement, je trouve cela logique que les "bandes" vivent à la proche pérépherie de la ville, dans des villages "renforcés", donc chauqe communauté se plies à des "règles" comme ici ("Pas de bagarres ni de morts ici, c’est la règle messieurs !") .

Plutôt que dans la ville même, avec les dangers que cela comporte. Après c'est un texte un réçit, d'un point de vue perso, mais appuyé sur des faits ou des réçit anthérieurs.

Pour le chevalier qui charge dans le tas ce n'est pas toujours vrais même si cela arrive dans 75% des cas ^_^ !

Bref ce n'est qu'une histoire hein !

Le Gardien

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Moi aussi dans mon esprit ça serait comme Gardien.

Les bandes seraient à l'extérieur de la ville dans des camps retranchés. Les camps sont plutôt libres d'accès et les bandes sont tous en gros mercenaires. Elles vivent ensemble dans les camps pour se protéger des forces contraires mais une fois dans la ville, c'est du chacun pour soit.

@+

-= Inxi =-

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Salut,

Je viens poster ma tentative de récit car ça fait un moment qu'elle me trotte dans la tête. Elle est un peu longue (1 page 1/2 sous Word) et je ne sais pas si elle conviendra à cause de l'aspect "combat" du début. Mais bon, vous êtes seuls juges.

- Vindioux ! jura Guy alors qu'une nouvelle flèche venait se ficher dans son abri de fortune. Où c'est-y qu'y sont passés nos nobles seigneurs, Armand ?

- J'sais point, mais j'crois que j'ai bien envie d'aller les chercher mon gars, lui répondit l'écuyer depuis l'autre côté de la rue.

Guy risqua un coup d'oeil pour vérifier l'état de leur infortunée compagnie. Ils étaient tombés dans une embuscade alors qu'ils venaient à peine d'arriver dans cette maudite cité. Edmond et Luc gisaient sur les pavés, n'ayant même pas eu le temps de saisir leurs vouges ; Léon et Thierry, les archers, étaient coincés derrière un pan de maison d'où ils n'avaient aucune vue sur leurs assaillants. Toute tentative de trouver un meilleur poste de tir était sanctionnée de plusieurs tirs d'arbalète, comme en témoignait le cadavre de Jules, percé de trois carreaux. Le reste de la bande était éparpillée ici ou là, abrités tant bien que mal. Seul Bertrand avait eu un quelconque succès en pourfendant l'un de leurs ennemis qui avait mal jugé de la portée que peut avoir un vouge. Au vu de la richesse des atours de ce damoiseau, il ne pouvait s’agir que de Marienburgers, et si Guy avait envisagé de piller leurs corps, il faudrait d'abord qu'il s'en sorte vivant, ce qui était mal parti : du coin de l'oeil, il vit des guerriers portant de fines armes et armures avancer dans leur direction, tandis que les tireurs les couvraient.

Par la Dame ! Mais qu'était-il venu faire ici ? Tout avait pourtant commencé par une si belle journée...…

Il y a quelques semaines, le Duc Tancrède de Boisvert donnait un somptueux banquet qui réunissait tous les chevaliers de son duché. En sa qualité d'écuyer, il était du devoir de Guy d'accompagner son seigneur Louis de Rotonde. S'il avait su, il se serait coupé un doigt plutôt que de venir mais son père et son grand-père lui avaient toujours répété qu'il n'y a pas plus grand honneur pour des gens de leur condition que de servir un chevalier bretonnien. C'est ainsi que le Duc avait annoncé au beau milieu du banquet que la Dame du Lac lui avait rendu visite en songe et qu'il partait en quête du Graal dans une cité de l'Empire appelée Mordheim. Evidemment, il n'avait pas fallu longtemps pour que le jeune seigneur Louis, ayant ouï dire par des colporteurs que c'était là un lieu où un homme pouvait gagner renommée, richesse et mort glorieuse en pareilles mesures, s'écria qu'il prêtait son bras à son seigneur, entraînant avec lui son meilleur ami, le chevalier d'Aubert. Le Duc accepta leur aide et les chargea de sélectionner des « volontaires » parmi ses serfs qui devraient les accompagner au cours de leur périple, car même s'il est béni par la Dame, le Duc n'est certainement pas fol.

Le matin de leur départ, Damoiselle Aurore était venue leur dire que la Dame l'avait envoyée pour les protéger et leur fournir assistance spirituelle. Elle se joignait donc à leur chevauchée, au grand étonnement et soulagement de tous, voyant là un signe que la Dame bénissait leur affaire, même si Guy soupçonnait que la Dame avait moins à y voir que le charme de son fringuant seigneur. Les jours puis les semaines passèrent, tandis que leur petite troupe parcourait les sombres chemins des forêts de l'Empire. Non sans danger d'ailleurs, puisqu'ils furent attaqués par des brigands, des hommes-bêtes et même des orques en maraude. Les nobles avaient pris l'habitude de rire de telles rencontres, les qualifiant d'échauffement. Guy, lui, supposait que quelques-uns de leurs gueux avaient un autre point de vue, maintenant qu'ils nourrissaient les vers.

Puis ils étaient enfin arrivés à Mordheim. La vue dévastée de la ville, le cloaque que les locaux nomment le Havre de Sigmar, rien ne semblait refroidir l'ardeur des nobles bretonniens, persuadés de trouver d'immenses richesses et le Graal dans ce lieu qui empestait la mort à des lieux à la ronde. Ils s'arrêtèrent à l'auberge la moins miteuse qu'ils purent trouver et c'est là que tout avait commencé. Alors que les chevaliers et la damoiselle attendait qu'Armand et Guy les servent, un Marienburger passablement éméché s'avança vers aux et demanda si la « ribaude » ne souhaitait pas plus galante compagnie en pinçant les parties charnues d’Aurore. Alors que le rouge montait aux joues des écuyers, le chevaliers d'Aubert se leva et jeta son gant à la face du malotru. Celui-ci bascula en arrière violemment car, tout gentilhomme qu'il est, le chevalier avait laissé son gantelet d'acier à l'intérieur. Les compagnons de l'ivrogne, visiblement des vétérans aux mines peu engageantes, encerclèrent immédiatement le chevalier qui se mit en garde, tandis que le Duc empoignait son grand espadon et Louis son étoile du matin.

« Halte ! cria l'aubergiste en pointant une arbalète sur le groupe de combattants. Les seuls autorisés à tuer quelqu'un dans mon établissement sont mes videurs et moi-même ! Si vous voulez vous trucider, vous n'avez qu'à aller jusqu'à Mordheim, vous serez peut-être toujours vivants lorsque vous vous rencontrerez. »

Après s'être jaugés du regard pendant quelques instants, les combattants rengainèrent leurs armes, puis les Marienburgers quittèrent l'auberge en traînant leur compagnon qui, maintenant que Guy y pensait, ressemblait fortement à l'homme étendu aux pieds de Bertrand. Mais bon, cela n'avait plus vraiment d'importance maintenant. Guy n'était plus dans son cher pays, mais au beau milieu de nulle part, trempé jusqu'aux os par une pluie glacée, abandonné par son seigneur et convaincu de sa mort imminente alors qu'il entendait les Marienburgers approcher. Ceux-ci ne prenaient même plus la peine de progresser à couvert tellement ils étaient certains de massacrer les paysans. C'est alors que Guy la sentit. Une vibration. Une vibration sourde et insistante qui prenait de plus en plus d'ampleur. Il échangea un regard avec Armand qui lui fit son plus beau sourire édenté, sachant ce que ça signifiait. Au coin de la rue, trois chevaliers en armure étincelante (des heures de labeur de la part de Guy et d'Armand) firent leur apparition, lancés à pleine vitesse sur leurs magnifiques destriers. Ils avaient attendu que leurs adversaires se découvrent pour lancer l'attaque et maintenant rien ne pouvait les arrêter. Les carreaux d'arbalète rebondissaient sur leur armure ou se fichaient, inoffensifs, dans le caparaçon des chevaux. Devant cette charge irrésistible, les Marienburgers tournèrent les talons et s'enfuirent en courant se remettre à couvert.

« Pour la Dame et le Roy ! »

Le cri du Duc Tancrède sortit Guy de sa stupeur. Il serra sa lance à deux mains et jaillit hors de son couvert imité par ses compagnons en reprenant le cri de son seigneur. Finalement, peut-être qu'il pourrait fouiller un ou deux de ces riches habits avant la fin de la journée.

Voili voilou, c'est mon premier essai, je ne demande pas l'indulgence du jury, donc n'hésitez pas à faire des remarques (pas trop méchantes quand même, hein ^_^ )

Paps - spéciale dédicace au caillou s'il passe par là, l'un des persos lui dira quelque chose...

EDIT : +1 pour les camps en dehors de Mordheim : on en trouve la description dans le livre de règle ; ça va du pseudo-village +/- sécurisé où l'ordre règne et où les affrontements entre bandes sont proscrits aux Bas-Fonds où circulent meurtriers et mutants en toute impunité.

Modifié par Paps
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Salut.....

Encore un très bon récit. :P

Désolé de relancer le débat des camps ici mais quelque chose me chagrine dans vos propos.....

Je veux bien croire à des villages pseudo sécurisé pour des humains (et encore, je fait de gros efforts d'immagination pour voir cohabiter des gens qui se massacre la journé :o ), mais de là à les voir cohabiter avec des orcs, des mutants et autres aberrations de la nature, je ne comprends pas votre point de vue.

Même s'ils logent dans des camps différents, je ne vois pas la milice impériale ignorer ce genre de regroupement d'hérétique et autres monstres..... X-/

Maintenant si vous avez une bonne justification, je suis prêt à revoir mes arguments. :wink:

Et puis je vous entends déjà venir sur vos grands chevaux ^_^ en me disant que chacun peu avoir son point de vu. Je suis 100% d'accord avec vous mais comme cela intervient de maniére importante dans vos récits, ....

Je ne souhaite pas non plus imposer mes idées, loin de là mais de là à ne pas défendre les miennes.....

Sur ce....

Modifié par vallenor
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Yop...

Tout d'abord, merci pour les encouragements, ça fait plaisir ^_^

En ce qui concerne les différents campements qui s'établissent autour de Mordheim, je comprends qu'il soit difficile d'imaginer la franche camaraderie qui existe entre les bandes des différentes races. Pour mémoire, voici un extrait du background de Mordheim :

En raison de la pestilence régnant entre ses murs, de nombreuses colonies de tentes délabrées et autres camps rudimentaires (...) sont apparus tout autour de la cité. Ces camps sont séparés les uns des autres à cause de la rivalité entre les habitants des différentes contrées, et de rudimentaires fortifications ont été élevées pour repousser les attaques des voisins. Certains, tel le Havre de Sigmar, restent relativement sûrs malgré l'anarchie car des gardes sont payés pour y maintenir l'ordre. Ceux-là possèdent même une place du marché pour les armuriers et autres camelots aux marchandises hors de prix. D'autres, comme le Bourg des Coupe-gorge, ne sont que des repaires de meurtriers où les mutants vont librement et où des hommes encapuchonnés apportent des cadavres aux nécromanciens en échange d'or souillé.

Comme tu peux le voir, des "champignonnières" ont poussé autour de Mordheim, regroupant grossièrement les races entre elles. Un accord tacite veut qu'à l'intérieur de ces campements (du moins pour les plus sécurisés d'entre eux), les bandes laissent de côté leurs griefs : ce qui se passe à Mordheim, reste à Mordheim ! Malgré tout, il existe d'autres repaires sans foi ni loi où se retrouvent renégats, mutants, parfois orques et seule la loi du plus fort fait foi. Il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas d'armées à Mordheim mais seulement des bandes disparates de quelques individus, donc si une bande commence à taper sur les autres pendant leur jour de repos, elle risque fort de les voir s'unir contre elle et de disparaître fissa.

Maintenant, concernant l'inaction des milices impériales, il faut se remettre dans le contexte : Mordheim a été détruite en 2000 après Sigmar. 20 ans auparavant, Magritta de Marienburg était élue Impératrice mais le Grand Théogoniste refusa de la couronner, mettant fin au système d'élection : ça devait être chaud au niveau de l'autorité impériale. En 2010, Guerres des Comtes Vampires qui vont durer, durer, durer... comme le lapin duracell. Aux alentours de la destruction de Mordheim, je pense donc que les milices impériales avaient vraiment d'autres chats à fouetter que de s'occuper de rassemblements de fanatiques, mutants, mercenaires, nobles chevaliers... (rayer la mention inutile) ; d'autant que ça n'aurait pas réglé le problème : toujours plus d'aventuriers seraient venus appatés par le gain et même les nobles poussaient leurs suivants à aller leur chercher un peu de pierre magique. Donc autant les laisser s'entretuer comme des grands au sein de Mordheim et tout le monde est content.

Voilà ma vision des choses, appuyée sur le fluff il est vrai, et j'espère t'avoir permis de comprendre pourquoi nous avons parlé des camps comme nous l'avons fait.

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Invité Gardien_des_Secrets

Eh bien ma foi nous avons un joueur qui est habile du clavier (un bon texte et de bons arguments)... et qui connait un peu le fluff, c'est pas mal du tout ça !

Bon trois textes, c'est correct mais pas encore assez. Il en faut encore quelques uns pour lancer le vote. L'on va laisser la semaine pour cela.

Mordheimiens / Mordheimiennes, à vos plumes !

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Salut,personnelement moi j'ai pa le courage d ecrire un texte d intro ( surtout les bretonniens je les connait absolument pas ), mais par contre pour le texte de "Paps" je suis de l'avis de mon precedent camarade,je dit bravo l'artiste, respect franchement :blushing: donc.

Modifié par Le vilain voleur
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