xborgers Posté(e) le 15 avril 2009 Partager Posté(e) le 15 avril 2009 (modifié) j'ai (enfin) finis ravenor 2 que dire.... eh bien deja, il rattrape pas mal le premier. l'intrigue mets quand même pas mal de temps a se construire mais il se passe deja plus de chose et l'implication des actes des personnages se fait (enfin) ressentir. les + - quelques moments d'humour - des mystères qu'on veux connaitre du pourquoi et du comment - de l'action (OUIII !) les - - long a se mettre en place quand même - après avoir lus ce bouquin j'irai même jusqu'à me demander a quoi a bien pus servir le 1 [sPOIL] une incohérence selon moi : un capitaine libre marchand frileux et tatillon sur son vocabulaire (tellement qu'on a envie de lui arracher les yeux et la langues a la place des méchants) et qui devient une bete de guerre (ou pas loin) [/sPOIL] sinon j'ai presque fini Ciaphas Cain Modifié le 15 avril 2009 par xborgers Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 30 juillet 2009 Partager Posté(e) le 30 juillet 2009 (modifié) Allez, tieng, un peu de matos neuf pour ste section : Les Ravenor de Abnett. Ravenor et pas mal de ses grouillots sont issus de la série Eisenhorn mais le style est résolument différent. Ici, pas de résumé d'une vie en trois bouquin, il s'agit d'une seul enquête et de ses ramifications. L'histoire est plus condensée et détaillée, forcement. En bon point, on notera le fait que le poisson est bien noyé. Dans le premier roman, on ne peut pas vraiment deviner oùsque tout ça va mener. Même mieux, pendant la première moitié, on n'a pas la moindre idée du destin de Ravenor qui traque sa némesis et de comment tout ça va finir. Que les ramifications du truc sont assez importantes et qu'on passe d'une enquête secondaire à une autre et que finalement, parfois, des histoires secondaires prennent le pas sur la trame originelle et finalement, le scénario n'est pas complètement discernable à l'avance. En tout cas, pas avec trois bouquins d'avance, à cent pages avant, faut pas déconner on sais ce qui va se passer quand même. Même les sc_ènes d'action sont pas trop mal faites, un peu longuettes parfois, ya bien un personnage caricatural dans le genre "rambo" mais comme il n'y a pas trop de gens impliqués, cette échelle "escarmouche" est plutôt bien décrite (parfois trop, pourrait on dire mais ça passe justement parce que ça reste de l'escarmouche). Toujours dans les bons points, les personnages ne sont pas galvaudés et même si certains manquent de finesse, en général, c'est pas mal travaillé et on est loin des archétypes de Gaunt. Certains ont même des réactions et réflexions intéressantes vis à vis de certains sujets. Même chez les méchants, ya des nuances et variations, que ça soit dans leur comportement ou dans leurs capacités. L'un dans l'autre, le truc s'affine et au fur et à mesure de l'histoire, ça devient carrement bien et sympa à lire. Le premier bouquin est une grosse intrigue et met en place le truc, le second développe l'histoire et la première moitié du troisième tome est même bien faite, je dirais avec à la fois un anti-climax et la trame qui se déroule en arrière plan avant de resauter à la gueule des personnages. Genre ça permet de refaire un point sur les personnages et de récapépéter l'intrigue tout en gardant une trame qui avance et qui explose de suite ce qui donne un bon rythme au bouquin. Encore un bon point : plein de méchants vilains pas beaux qui ne le sont même pas forcement. De la diversité dansl es buts, les actions, les volontés, plusieurs "équipes" de vilains et des divergences au sein d'une même équipe. Ca évite la lassitude. Le dernier truc à noter et sans doute pas le moindre : Abnett peut là déployer sa capacité à l'innovation. Il n'est pas coincé dans une trame basique "pan pan t'es mort" et peut à loisir développer des bouts de flouffe nouveau au lieu de devoir faire des entorses au flouffe existant. Et là dessus, il est doué le garçon. Il a de l'imagination, mais surtout il arrive à monter un truc construit et son développement des différentes cités et sociétés impériales, c'est du tout bon. Yen a pas une qui ressemble à l'autre et pourtant ya toujours cette trame impériale en toile de fond qui les joint. Tout plein de détails, dans les comportements, les civils, les autorités, le culte, les sociétés et leut fonctionnement, les entreprises aussi. Juste pour ça, ça se lit. Bon évidemment, on trouve des défauts, eingh. Déjà, la seconde moitié du dernier tome : trop d'enquêtes secondaires et de détails tuent l'histoire principale qui est finalement torchée en deux-deux par Abnett. Du coup, toute la fin de la série est carrement ratée. On y règle toutes les trames secondaires d'un coup, la trame principale devient flagrante et on sait comment ça va se torcher assez vite avec une scène d'action bordélique à la fin parce qu'Abnett a vu trop gros et n'arrive pas à tout gérer tout en maintenant l'intéret, tout en finissants les dernières inimités personnelles tout en faisant le résumé explicatif du comment du pourquoi tout en finissant l'histoire. Le style est un peu lourd, trop descriptif, autant ça passe dans les descriptions, autant dans les scènes rythmées, ça les rends trop longue. Genre une bête baston entre trois gens prends une demi douzaine de pages si l'auteur se laisse aller... Bon, après, eingh, c'est de la BL donc on s'attend pas non plus à du Nabokov. Au delà de ça, une fois qu'on sais qu'on aura pas de la littérature, ya pas tant à critiquer. Les défauts du Abnett en matière de flouffe sont ici bouffés dans la trame qui lui laisse toute liberté d'exprimer ses idées et du coup, il n'écrit pas de conneries mais fait du nouveau flouffe qui tient pas mal la route. Au final, pour les fluffistes, ça vaut le coup pour les détails sur la société impériale et pour les autres ya une histoire qui se laisse bien lire. C'est tout bénef. Si le Abnett pouvait rester dans ces thèmes vastes qui lui permettent de s'exprimer, ça serait bien. C'est là qu'on se rend compte que le roman n'est pas vraiment un support pour raconter la guéguerre, surtout quand c'est fait par des pas doués. Et qu'on se dit que la BL a raison de développer les gammes "à côté" (inquisition, AM, société impériale, arbites) en plus de ses produits d'appel "pan pan t'es mort". le squat pas mécontent, pas trop en tout cas Modifié le 10 août 2009 par Arkaal Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jalikoud Posté(e) le 22 octobre 2009 Partager Posté(e) le 22 octobre 2009 Du coup, toute la fin de la série est carrément ratée. Ton jugement est un peu sévère , j'ai trouvé la fin très satisfaisante. Bizarrement la plupart des critiques anglophones s'accordent unanimement pour dire que la fin est bâclée, sans doute parce qu'ils espéraient tous un duel au sommet Ravenor/Moltoch. L'auteur a eu l'intelligence de poser une fin subtile mais pas abrupte. Il se ménage une plausible ouverture pour une nouvelle trilogie sans toutefois la rendre indispensable. Quoiqu'il se murmure qu'une trilogie Ravenor VS Eisenhorn ( ou du moins un cycle mettant en scène les deux inquisiteurs) serait à l'étude. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Albrecht de Nuln Posté(e) le 23 octobre 2009 Partager Posté(e) le 23 octobre 2009 (modifié) Quoiqu'il se murmure qu'une trilogie Ravenor VS Eisenhorn ( ou du moins un cycle mettant en scène les deux inquisiteurs) serait à l'étude. Aux dernières nouvelles (quoique ça commence un peu à dater, donc on sait jamais...), le sieur Abnett avait déclaré qu'il planchait sur une trilogie ayant pour héros... une héroïne. A savoir l'intouchable d'Eisenhorn, Alizebeth Bequin. Mais encore un peu de patience avant de voir quelque chose se pointer chez la BI. Sur le roman en lui-même, je suis d'accord et pas d'accord concernant la fin raté. Spoiler : Sur l'arrivée du démon et tout le bazar qui s'ensuit, je suis plutôt de l'avis de la Queue. ça fait gros trop forre limite bâclé en deux-deux. On a une montagne de tentacule qui fait graouh en pétant 2,3 cailloux pour effrayer la galerie mais qui, au final, ne représente pas un danger "si grand" que ça pour les deux compères d'un soir. (d'ailleurs la description de Slyte dans sa forme physique véritable m'a beaucoup rappelé celle de Gargatuloth dans Chevalier Gris). Par contre, j'ai bien plus apprécié la fin entre Ravenor et Molotch. Quelque chose de beaucoup plus fin qu'une bête confrontation à celui qui aura la plus grosse... ou plutôt le plus gros esprit dans leur cas. fin du Spoiler Bref, pour moi une excellente série encore du sieur Abnett. A recommander sans modération(arff) ! Modifié le 23 octobre 2009 par Albrecht de Nuln Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 23 octobre 2009 Partager Posté(e) le 23 octobre 2009 (modifié) Attention, eingh, par "la fin", je ne veux pas dire "les dix dernières pages" mais "la conclusion" qui comprend l'ensemble des conclusions de toutes les intrigues. Une fin qui torchée dans les faits, principalement parce que ça s'écrême d'un coup sur tout le secondaire pour ne laisser la place qu'aux chapitres finaux de la confrontation trotro forre de la morre. Qui finit un peu en eau de boudin parce qu'Abnett n'arrive pas à gérer le truc. Ca ne veut pas dire qu'il n'y a pas de bonnes idées dans le lot, eingh. Que ça ne finisse pas en "duel à OK Corral" bête et méchant est une bonne idée à la base. Je n'ai pas dis/voulu dire que la manière de traiter la confrontation finale gentil/méchant n'est pas bonne comme ça, au contraire. Mais c'est mal traité pour les diverses raisons évoquées au dessus : on le voit venir de loin quand il épure et ensuite le traitement en lui même est fait trop vite, manque de subtilité et est mal géré, trop bordélique. C'est en fait un truc pas rare le type qui bacle ses fins. C'est en général le propre d'un gars trop ambitieux qui a eu trop d'idées et les a trop développées et se retrouve d'un coup avec un bête troisième tome pour tout clore. Et en plus, il traine encore un peu sur la première moitié à trop raconter d'histoires et doit finir en coup de vent. Genre, si je me souviens bien de la chronologie, toute l'histoire de la porte et du voyage dans le temps, c'est sympa mais ça bouffe une place monstre qui fait qu'au final les tites conneries secondaires dont les états d'âmes des grouillots passent à la trappe et sont traités en trois paragraphes. Et la conséquence, c'est qu'une fois ces détails traités, on n'a plus que l'intrigue principale qui ressort grosse comme le tarin au milieu de la goule et qu'on devine vite ce qui va se passer. Et en bonus, la confrontation finale tripartite avec plein de conflits secondaires est bordélique. Déjà parce qu'elle est torchée trop vite mais en plus parcequ'Abnett ne sait pas écrire ces truc là proprement. Il a trop tendance à se perdre dans les méandres de ses propres idées et à rentrer dans des détails inutiles là oùsqu'un truc comme ça mériterait plutôt de trancher dans le vif du sujet. En fait, l'avantage d'Abnett qui est son imagination foisonnante qui est très bien quand il décrit de la ville, du civil, de l'enquête, des personnage le dessert dans ce cas là. Parce qu'il se perd dans ses idées et c'est brouillon, il rajoute des trucs, fait des coupes, on vois la trame du texte vraiment dans ces cas là. C'est d'ailleurs pour ça que ses histoires d'inquisition sont techniquement mieux que ses Ghosts. Pour l'exemple, c'est un peu comme si on vous racontait la seconde guerre mondiale en roman détaillé avec des infos sur les moeurs de l'époque, et des détails sur les personnalités et vies privées des acteurs majeurs. Et qu'arrivé début 44, on vous torche en trois chapitres les deux dernières années pour clore sur un tiers de dernier bouquin qui ne raconterait que l'entrée des rouges dans Berlin en parlant à moitié des combats et à moitié de la couleur des fauteuils dans le hall de l'hotel machin et des couleurs des vareuses du 303° hussard. Même si le dernier chapitre avec le suicide du gros vilain est normalement un retournement de situation interessant, il n'en reste pas moins que la fin est ratée parce que baclée et bordélique. le squat precisionneur precisionniste Modifié le 23 octobre 2009 par la queue en airain Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jalikoud Posté(e) le 23 octobre 2009 Partager Posté(e) le 23 octobre 2009 (modifié) @ La queue : ok, je comprends mieux du coup. Même si c'est pas très habilement géré ( la BL reste de la littérature de gare ^^), ça se laisse lire et c'est bien le principal. Marrant car les qualités et les défauts d'Abnett évoquent un peu ceux de Mathieu Gaborit. Enfin, en moins pire quand même, lui ne sait pas du tout conclure ses récits et les torche honteusement à chaque fois, ce qui fout en l'air le bouquin. Et puis il a aussi commis les romans Rackham, qui doivent bien être dans mon top-five personnels en matière de fange livresque . Modifié le 23 octobre 2009 par Jalikoud Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
teberrion Posté(e) le 25 octobre 2009 Partager Posté(e) le 25 octobre 2009 Idem à ce que je viens de lire. Le troisième volume de RAVENOR est vraiment moyen. Abnett ne sait pas foulé pour la fin, de plus le troisième volume ressemble de très près à celui de Enseinhorn (côté radical, pourchasser par l'inquisition, angharad,... même si RAVENOR ne fait pas vraiment radical) J'ai été très déçu par l'histoire de la porte qui n'a vraiment rien à voir pour moi avec l'univers de 40k. Abnett est vraiment très bon dans la description des villes de 40K mais pour les finals c'est vraiment pas bon. Dommage car les deux premiers volumes étaient vraiment super mais là déçu même si ça se laisse lire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 25 octobre 2009 Partager Posté(e) le 25 octobre 2009 (modifié) J'ai été très déçu par l'histoire de la porte qui n'a vraiment rien à voir pour moi avec l'univers de 40k. Et pourtant ça colle très bien avec le contenu des RoCs par exemple. Les voies du ouarpe sont impénétrables. Ou alors a ses risques et périls.le squat c'est pas parce qu'elle est en trop qu'elle est pas flouffe Modifié le 25 octobre 2009 par la queue en airain Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Valrage Posté(e) le 2 novembre 2009 Partager Posté(e) le 2 novembre 2009 Quoiqu'il se murmure qu'une trilogie Ravenor VS Eisenhorn ( ou du moins un cycle mettant en scène les deux inquisiteurs) serait à l'étude.J'ai eu le même son de cloche, mais je ne me souviens plus de où... Ce n'était pas dans la préface de Ravenor I ? Can't wait... En fait, l'avantage d'Abnett qui est son imagination foisonnante qui est très bien quand il décrit de la ville, du civil, de l'enquête, des personnage le dessert dans ce cas là. Parce qu'il se perd dans ses idées et c'est brouillon, il rajoute des trucs, fait des coupes, on vois la trame du texte vraiment dans ces cas là. C'est d'ailleurs pour ça que ses histoires d'inquisition sont techniquement mieux que ses Ghosts.+1. Même si les fantômes de Tanith est une série excellente, beaucoup plus constante en terme de qualité que l’HH. Mais ce n’est pas le débat ici.Le troisième volume de RAVENOR est vraiment moyen.(...) J'ai été très déçu par l'histoire de la porte qui n'a vraiment rien à voir pour moi avec l'univers de 40k. Ça n'est pas pour me ranger bêtement du côté de "la queue" mais l'essentiel est que ça s'inscrive correctement dans le fluff pré-existant. On est dans l'imaginaire avec w40k rien n'est gravé dans le marbre (enfin peu de choses), c'est un état de fait que D. Abnett est l'un des meilleur à exploiter et à fortiori, enrichir. Cependant je reste sur la position que la trilogie Eisenhorn reste meilleur que celle de Ravenor. C'est tout à fait subjectif mais c'est mon sentiment général. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 2 novembre 2009 Partager Posté(e) le 2 novembre 2009 Juste parce que j'aime bien n'être d'accord avec personne : On est dans l'imaginaire avec w40k rien n'est gravé dans le marbre (enfin peu de choses), c'est un état de fait que D. Abnett est l'un des meilleur à exploiter et à fortiori, enrichir. Et qu'il est aussi un des premier à mascagner allègrement en écrivant des conneries. Les Gaunt en sont un bon exemple, entre autres défauts.Que bon, pour récapépéter : si en général l'Abnett prend souvent des libertés qui jurent régulièrement quand il est dans un cadre peu libre (romans sur la GI par exemple, contre une bête description de société qui peut être tout et n'importe quoi), en pratique, là, ce qu'il écrivait n'était pas aflouffique (à part concernant l'intouchable touché). le squat désagréable professionnel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Valrage Posté(e) le 4 novembre 2009 Partager Posté(e) le 4 novembre 2009 Juste parce que j'aime bien n'être d'accord avec personne :J'en attendais pas moins On est dans l'imaginaire avec w40k rien n'est gravé dans le marbre (enfin peu de choses), c'est un état de fait que D. Abnett est l'un des meilleur à exploiter et à fortiori, enrichir.Et qu'il est aussi un des premier à mascagner allègrement en écrivant des conneries. Les Gaunt en sont un bon exemple, entre autres défauts.Que bon, pour récapépéter : si en général l'Abnett prend souvent des libertés qui jurent régulièrement quand il est dans un cadre peu libre (romans sur la GI par exemple, contre une bête description de société qui peut être tout et n'importe quoi), en pratique, là, ce qu'il écrivait n'était pas aflouffique (à part concernant l'intouchable touché). Il y a plusieurs points distincts qui sont abordés ici mais je ferai une réponse globale pour rester sur le sujet. Que ce soit en traitant de la GI ou de l'Inquisition, Abnett nous présente des sociétés impériales sur des mondes distincts avec des us et coutumes différents. Et de manière générale un environnement qui les a parfois fait évolués d'une manière différentes à ce qu'on aurait pu en attendre du point de vue background. On peut donc s'attendre à ce que fatalement, il y ait plusieurs points qui dérogent au fluff établi. Après tout cet historique englobe l'Imperioum qui lui même et constitué de millions/milliards de mondes. On ne peut pas s'attendre à ce que ce les références de Taran soient exhaustives, bien que très complète & d'excellente qualité... De la même manière, moi qui suis joueur SW, je pourrais m'offusquer du fait que mes Loups ne soient pas codex donc pas fluff. Mais non, simplement parce dès le départ, il a été clairement dit que les SW étaient des bourrins alcooliques qui s'en foutaient (yeah! represent! ). Mais bon, là on tombe dans l'altercation V1, V2 vs Néo-fluff. Bon après, je ne dis pas que sur certains points, on tombe dans des aberrations. Mais c'est la rançon du risque de faire vivre plus encore l'univers pré-existant de wh40k. Voilà pùrkuwa du "D. Abnett, l'un des meilleurs". Il nous offre en tout cas l'un des meilleurs compromis Néofluff/V1/2-iste. Peace Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 4 novembre 2009 Partager Posté(e) le 4 novembre 2009 Yé souis d'accorre, ya les circonstances particulières qui jouent et je veux bien en tenir compte. Mais ya quand même pas mal de problèmes même en lui laissant une marge. Genre : Bon après, je ne dis pas que sur certains points, on tombe dans des aberrations. Yen a. Et trop.De manière amusante, j'ai remarqué que ça tient ptet à des phases. Genre, dans le sourcebook sur les campagnes de récupération du coin de sainte-sabbath-celle-qui-dançait-nue-sous-les-étoiles, on a quasiment toutes les conneries regroupées sur trois pages. Mais à un gros rythme. Je me demande si ça lui prend pas d'écrire n'importe quoi comme des démangeaisons. Ou on a la base de Gaunt : "les pov' tanithes, contrairement aux autres GI, ils ne rentrerons jamais chez eux" qui fait un bon exemple gag. Bon, après, comme tu dis : Mais c'est la rançon du risque de faire vivre plus encore l'univers pré-existant de wh40k. Voilà pùrkuwa du "D. Abnett, l'un des meilleurs".C'est un des meilleurs auteurs de la BL (ce qui est pas plus dur que ça non plus, mais quand même) et il cré et a l'imagination et la capacité pour faire quelque chose.Mais c'est pas une raison pour lui passer un de ses défauts majeur (l'autre étant l'incapacité de décrire proprement des combats) qui est qu'il va souvent trop loin dans le "j'ai une idée kwieul" au point de mascagner le flouffe. Et que je dis que du coup, quand il se contente de causer de ces fameux cas particuliers qui lui donnent toute liberté d'action, il fait mieux que quand il écrit sur le flouffe canon. Plus d'avis dans le thread sur les auteurs de la BL. le squat en paix, oui Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Druss Posté(e) le 12 janvier 2010 Partager Posté(e) le 12 janvier 2010 Personellement je suis resté un peu sur ma fin. J'ai eu du mal a accroché avec le troisieme volet que j'attendais avec impatience.Ce qui m'a surpris c' est qu' un inquisiteur aille se faire prédire l'avenir au début je n'avais pas trop aprécié mais dans le fluff on parle bien du tarot de l'empereur donc j'avais finit par accepter. J 'aurais aimé que l'auteur travaille plus sur les convictions et les choix de Ravenor que son ame se déchire pour debusquer ce renegat et frole avec les limites de l'inquisition était sympa .Etant d'ailleur considéré par ces pairs d'inquisiteur renégat et traqué. J'aurais aimé d'avantage de texte sur ces doutes , ses choix et ses convictions, ses hésitations mais bon ..... C'est une bonne trilogie , pas indispensable on trouve du plaisir à le lire . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LaMarmotte Posté(e) le 14 mars 2010 Partager Posté(e) le 14 mars 2010 (modifié) C'est rigolo, mais je dois bien être le seul à avoir été plutôt déçu par Ravenor. Non par le troisième tome, mais par le premier. C'est bien simple, j'ai eu l'impression de lire un mauvais débrief de campagne Dark Heresy mélangé à un film d'action de série Z. L'intrigue donne l'impression d'être un prétexte au déballage des prouesses de personnages tous plus puissants les uns que les autres. Le résultat, c'est d'interminables descriptions des combats, aussi répétitives que prévisibles. Les pistolets (dont le modèle est bien sûr précisé, parce que c'est kwiel) font voler les gens à 10 mètres de distance, les corps à corps sont des duels d'arts martiaux avec moults acrobaties, et le déroulement est systématiquement le même: le gentil fait une démonstration de ses pouvoirs, le méchant riposte et menace de gagner, quand soudain un geste désespéré ou une aide extérieure sauvent le gentil au tout dernier moment. Le nombre de méchants morts l'arme à la main alors qu'ils étaient sur le point de coller une balle dans la tête d'un protagoniste est effrayant. Et pendant ce temps là, l'intrigue n'avance pas, sans que ces Chucks Norriseries n'apportent la moindre nuance aux personnages. Le résultat? Trois-quatres chapitres auraient suffi à expliquer ce qui a nécessité un tome. Les deux tomes rattrapent fort heureusement le tout, avec quand même une préférence pour le second. La fin est un peu hâtive, mais pas forcément incohérente. Quant à la description de la société impériale par Abnett, je reste sceptique. Beaucoup de bonnes idées, et une ambiance sympathique, mais l'ami Dan semble incapable de mettre en scène l'irrationalité du monde de 40k. Du coup, j'ai quand même du mal à adhérer à la gentille bande d'acolytes rationnelle et morale de Ravenor. En bref, la série est bonne mais inégale, et un cran en dessous d'Eisenhorn à mon sens, qui insistait beaucoup plus sur l'enquête et sur les motivations des personnages que sur les combats bien kikoo. Modifié le 14 mars 2010 par LaMarmotte Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Le-Captain Posté(e) le 16 mars 2010 Partager Posté(e) le 16 mars 2010 d'Eisenhorn à mon sens, qui insistait beaucoup plus sur l'enquête et sur les motivations des personnages que sur les combats bien kikoo. Lequel se fritte, accrochez vous bien, un Titan. Warlord, me semble. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arkaal Posté(e) le 16 mars 2010 Partager Posté(e) le 16 mars 2010 Lequel se fritte, accrochez vous bien, un Titan. Oui mais qui, au contraire de n'importe quel roman BI, où le héros s'en sortirai haut la main, (ya qu'a voir Uriel Ventris) y perds beaucoup d'amis dans l'histoire et s'enfonce encore plus dans le radicalisme en transformant un acolyte vivant en possédé... Et le gars dans le titan ne savait pas s'en servir! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haazehl Posté(e) le 16 mars 2010 Partager Posté(e) le 16 mars 2010 Il était pas possédé le titan aussi ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arkaal Posté(e) le 16 mars 2010 Partager Posté(e) le 16 mars 2010 Non, non, c'est intelligence artificielle de la machine, l'IUC pervertie, qui à défoncer les cerveaux des gens qui ont tenté de la court circuité. Quoi que, on pourrait prendre ça comme une forme de possession démoniaque... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
la queue en airain Posté(e) le 16 mars 2010 Partager Posté(e) le 16 mars 2010 (modifié) Expliquons-nous : Contrairement à la marmotte, j''ai pas trouvé que ce passage longuet était de la perte de temps. Maintenant, on vva lui concéder que les close ridicules, on s'en passerait et que le Abnett a du mal avec le 4Ok pur. De fait en commençant le bouquin avec le premier close, j'ai râlé, on aurait dit un film de Van Damme. Mais au fur et à mesure, je me suis laissé prendre au jeu de la description et à oublier ces closes. Alors, certes, c'est pas du gothique facile à la 4Ok qui fait une partie de la saveur de cet univers, plutôt un scénar de film (Abnett est scénariste, pas auteur CQFD) dns un univers SF ave'c un vernis gothico-4Ok rajouté. Mais la galaxie est grande et rien n'empêche l'existence de mondes moins gothiques, plus pragmatiques. Au contraire, on eh trouvait avant. Et au final, c'est un peu moins 4Ok-classique mais plus riche que la grosse majorité des trucs BL. Tout simplement parceque le Abnett est un des rares a avoir assez de culture/imagination pour développer ces petits détails qui font le charme et l'ambiance d'un flouffe. Donc même s'il a du mal avec le gothique facile, c'est mieux que la moyenne et à prendre comme une exception dans l'univers. C'est justement pour ça que je me réjouissais dans la critique qu'il sorte des classiques BL "pan pan pas fins" où il est bridé parcequ'il doit suivre la ligne directrice triste et qu'il n'y arrive pas et fait du fluff de merde (Gaunt) et qu'on lui colle des "à côtés" plus excentriques où il peut laisser libre cours à son imagination. Bref, même si le roman est pas terrible est suit une trame à con apprise à l'école-pour-pas-doués-qui-doivent-écrire-un-livre, il y a au moins cette ambiance, plus JdR que 4Ok canon ptet : de l'anecdote en fait. Bon aprés cest pas a considérer comme du fluff canon, c'est sur. Mais perso, je le con nais et ça fait longtemps que je n'en cherche plus. En revanche un détaillage d'ambiance exceptionnel même s'il est moins proche du 4Ok, j'aime. Surtout au milieu des sous-merdes habituelles de la BL qui, si elles sont plus 4Ok gothico-facile sont quand meme écrites en dépit du bon sens. Je préfère le moins 4Ok plus cohérent que le plus 4Ok complètement con du Counter, par exemple. le squat mais si je l'aime le counter... Modifié le 16 mars 2010 par la queue en airain Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LaMarmotte Posté(e) le 18 mars 2010 Partager Posté(e) le 18 mars 2010 Lequel se fritte, accrochez vous bien, un Titan. Warlord, me semble. Et le détruit en invoquant un Démon, pas en faisant un double salto arrière en dégainant son Hecuter XXVII avant de coller 3 balles dans la tête dans la tête du pilote qui vole de 20 mètres en arrière. Comment ça je parodie le Abnett? Pour répondre au nain poilu, le Abnett sait en effet faire un monde assez vivant, et ce n'est pas la moindre de ses qualités. Ce qui me gêne, c'est le fait que ses personnages ont systématiquement la mentalité d'un bon gars bien rationnel et gentil du XXIème siècle, ce qui devient carrément lourd dans Gaunt, et tout de même assez marqué dans Ravenor / Eisenhorn (le radicalisme de Eisenhorn est limite forcé). Après, il ne faut pas s'attendre à des miracles, c'est de la BL, donc les chances que l'on trouve un écrivain suffisamment doué pour représenter un personnage humain mais à la culture gothico-fasciste n'est pas évident. Il y avait Ian Watsion, bien sûr, mais ça date... En parlant du Watson, on pourrait avoir une critique de Space Marines? La BL le réedite, tant qu'à faire... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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