haazehl Posté(e) le 16 octobre 2008 Partager Posté(e) le 16 octobre 2008 Salut ! Certes, Chevaliers gris était sympa, pour la nouveauté, le coté "mourir plutôt que faillir" et la bourrinitude (les totors qui éjectent des pseudos sang-froids... Miam !), et j'ai aussi aimé les quelques passages de combat navals et la démonstration de la facilité de manipulation dans l'imperium (en gros, t'as ne fausse rosette et tu pointes vers quelqu'un en disant c'est un méchant, et les autres vont l'écharper sans poser de question...), mais les deux opus suivants... Dark Adeptus part sur une base intéressante, un monde-forge qui disparait dans le warp et revient, mais le coup du "on n'a pas un pec de ressources même si on profite de la distortion temporelle, et on fait 1000 titans d'un coup comme ça", et l'esprit-machine (ou plutôt l'IA) du supra-titan qui devient démon que quand il dit OK, je suis un démon... En gros il passe en un instant de tas de processeurs à amalgame d'énergie warp. Et on peut me dire comment au Moyen-Age technologique des gens ont inventé le canon à démons ?(A moins qu'il n'ai été ajouté à la machine dans le Ouarp, mais là je sais plus..) Quand à Hammer of the daemons, c'est ridicule au lus haut point : on sait dès le début que de toutes façons Counter n'osera pas corrompre son héros pour respecter le flouffe CG, alors que ça aurait été le gros truc intéressant à faire, il uariat "juste" fallu trouver une explication plausible pour la non-révélation de l'info. Le côté Khorne c'est plus que de la folie berzerk est assez bien rendu avec toutes les sociétés martiales du monde-démon qui se tirent dans les pattes sans forcément avoir la bave aux lèvres, mais pètent un câble quand elles sont en pleine baston, mais les dirigeants sont assez grossièrement traités, et pas très crédibles. Et l'eldar qui préfère presque passer au chaos que de porter un dernier coup à un ennemi séculaire... bof bof bof. Mais malgré ça ça reste lisible, sans en attendre des merveilles en qualité d'écriture (c'est quand même assez monotone hors-scène de baston, pour lesquelles l'auteur a un talent assez net), et pour une fois on n'a pas l'impression que les marines partent par cageots entiers (ce qui est un des gros points noirs de tous les Soul Drinkers, comme pour le dyptique BA). Et y a pas trop d'aberrations fluffiques non-plus, enfin aucune qui ma horrifié au point que je m'en souvienne encore. Et c'est ça qui est bizarre : pour ses bouquins persos, j'ai pas grand-chose contre Counter, mais dans le cadre de l'Hérésie il est bien palot alors que la "qualité" d'écriture est la même (il a de l'amélioration comme la Queue l'a pointé, mais pas des masses et chaque truc qu'il apprend il le rabâche jusqu'à la nausée) Serait-ce parce que là il est en concurrence directe avec des auteurs un poil meilleurs, quand on fait moins attention à la différence pour des livres non-liés ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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