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Recit HL


Invité Mr Petch

Messages recommandés

A vrai dire, je ne compte pas arrêter de si bon chemin. J'en ai encore pour 4 ou 5 parties, selon mon idée. Je suppose que ce ne sera jamais trop long...
Une bonne nouvelle de plus! Décidemment, cette journée s'est encore pas trop mal déroulée!

Allez, j'attends impatiemment :clap: !

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Olàlà, une semaine de décrochage, et voilà une magnifique épopée qui s'écrit derrière mon dos! :)

Comme je prends le train en route j'ai pas grand chose à rajouter, c'est clair que tu maîtrise les composantes d'un récit, c'est clair que tu maîtrise le français. Bref, je suis très heureux d'avoir un nouveau conteur de ton niveau sur le forum!

En plus, je ne sais pas si tu as remarqué, mais tu as suscité l'intérêt de membres qui ne laisse d'habitude pas de message! Donc félicitation et grand bravo pour ton arrivée.

Si je devais faire un repproche, ce serait de ne pas poster tes textes si vite! :D Laisse nous le temps de te lire! ^_^ Espèce de feurnard bis! :clap:

J'espère te revoir plus souvent dans notre petite rubrique.

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Bon allez je n'ai pas encore donné mon avis donc je le fais:

Je suis tout a fait enthousiasmé par ton récit des skavens, des lézards, une écriture nette et sans bavure, une bataille efficace...

Simplement j'aurai un peu plus détaillé les skavens ,question de gout sans doute

@+ et surtout n'arrete pas ton texte: j'attends la suite!

Modifié par Akenarion
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Bonjour. Voila la suite qui pourrait s'intituler"où l'on commence à comprendre". Elle est plus courte mais surtout explicative. Feurnard va pouvoir comprendre beaucoup de choses! Allez, je ne vous fais pas saliver plus longtemps, votre clavier commence à s'inonder! :clap:

La matriarche téradon survolait la jungle. D’ici, on en voyait l’immensité. Seul un cacatoès sur la branche tordue d’un palmier sifflait une douce mélopée. On entendait vaguement des bruits de pas, de branches brisées, qui provenaient du sol, en contrebas de la grande colline. Mais d’ici, on dominait surtout la grande canopée des arbres tropicaux. Des rochers pointus garnissaient ce vaste sommet qui donne une vue si éblouissante. D’ici, la forêt dormait, les animaux épuisés se reposaient de la chaleur ambiante dans leur petit terrier, la mer était loin et semblait pourtant baigner les côtés sablonneuses du continent. Des taches marécageuses apparaissaient de ci de là, leur bouillonnement formant un étrange bruit de fond. La surface des eaux paraissait vivante et dangereuse, comme si un monstre était prêt à en jaillir à tout instant. En face des deux skinks, Chotec se levait enfin dans un arc-en-ciel de couleurs pastels, du rouge jusqu’au bleu.

Paltepoc se remettait de sa mésaventure en contemplant ce spectacle. Puis, intrigué, il demanda à Tuanahok qui menait le vol de Kai :

« - Que se passe-t-il, ingénieux Tuanahok. Que faisons-nous sur le dos de ce téradon ?

- C’était la seule façon de fuir de la cité.

- Fuir ? Nous aurions du rester pour protéger notre Slann.

- Je crains que la bataille ne fut jouée d’avance, sage Paltepoc.

- Je ne comprends pas ton idée, Tuanahok ! Pourquoi partir ! Et pourquoi ne nous dirigeons nous pas vers Plaqua pour retrouver les autres ?

Tuanahok ne lui répondit pas, il chuchotait à l’oreille du téradon. Puis, lorsqu’il eut enfin fini, il répondit :

- Tu as vu comme moi l’effet du sort de notre Slann sur le chef des rats ?

- Bien sur…mais…

- J’ai attentivement regardé ses moindres faits et gestes. Je n’ai jamais vu une telle résistance aux sortilèges. C’est très étrange.

- Cela ne répond pas à ma question, ingénieux Tuanahok.

- J’y viens. Je pense que la solution vient de cette cité maudite, la cite de Paxtala où se sont installés les rats. J’ai essayé de lire quelques plaquettes sur cette cité, mais tous les écrits la concernant on été détruits par les Slann. Je suis intimement persuadé que nous trouverons la clé de l’énigme. »

Paltepoc réfléchit intérieurement. Il n’osa pas contredire le médecin. Après tout, cela ne coûtait rien d’aller voir. Il se laissa transporter sur les larges ailes de la matriarche qui le menait vers la cité maudite de Paxtala.

Ils atteignirent les premiers gradins de la cité lorsque Chotec se couchait. Paltepoc ouvrit lentement les yeux sur la clairière verte qu’une pluie battante venait juste d’inonder. Kai s’était posé et Tuanahok cherchait déjà l’entrée du temple. Paltepoc ne voyait devant lui qu’un amas grisâtre couvert de mousse. Il s’avança pour l’observer de plus près. Là, entre deux racines, on distinguait une lézarde dans la roche qui barrait ce qui paraissait être un immense œil de lézard sculpté à même la pierre. De ses mains expertes, il déblaya consciencieusement les lichens et les fougères qui avaient élus ici leur domicile.

« - Regarde, ingénieux Tuanahok. Ne serait-ce pas la figure de Sotek ?

- En effet. Nous sommes sur la bonne voie. Il faudrait dénicher une entrée.

Paltepoc continua de tourner autour du roc. Un espace dans la terre était rempli d’eau comme une petite mare. Il était assez grand pour laissez passer le corps étriqué d’un rat. Retenant sa respiration, Paltepoc plongea dans l’eau de pluie. Il vit en contrebas une large ouverture qui ressemblait à l'entrée d’un temple, avec des moulures qui indiquait en écriture skink « Pyramide de Paxtala ».

- Je crois que j’ai trouvé l’entrée !dit le prêtre en ressortant sa tête de l’eau.

- Parfait. La pluie a du la boucher récemment. La terre autour est encore humide.

Ils s’engagèrent tous les deux dans la petite flaque. En quelques secondes, de par leur agilité naturelle en milieu aquatique, ils accédèrent à l’entrée, un vaste porche traditionnel comme il s’en trouvait dans toutes les cités. L’eau remplissait à moitié la pièce qui devait être la demeure du Slann. Un lieu vide et mort, ou le seules décorations encore debout étaient les cornes de stégadons ornant le palanquin désespérément vide. Ils nagèrent jusqu’à l’air libre au-dessus de leur tête. Par miracle, juste devant se trouvait une petite ouverture qui devait donner sur l’extérieur et que le niveau de l’eau n’atteignait pas. Ils s’y engouffrèrent et continuèrent leur périple.

C’était un petit tunnel étroit mais parfait pour le corps longiligne des lézards. Ainsi, en progressant dans le tunnel, ils parvinrent enfin à ce qui avait du être la place principale de la cité que la terre n’avait pas totalement enfouie.

Ils y restèrent longtemps, observant la beauté du lieu. Un silence de mort y régnait, pas un seul signe de vie ne se montrait à l’exception des herbes folles qui recouvraient le sol et des immenses champignons tropicaux d’un rouge sanguin. Paltepoc, en observant autour de lui, commentait ses découvertes :

« - Il y a un piédestal au centre de la place. Comme si un objet se trouvait normalement dessus. Et regarde cette statue. Une statue de Sotek, apparemment.

- En effet.

Le prêtre resta interdit face au visage étrange du dieu. Un visage grimaçant, orné de dents tranchantes. Des cornes noires et des pics le long du dos serpentin se mêlant dans une image démoniaque. Paltepoc sortit de sa stupeur lorsque Tuanahok poussa un sifflement de joie.

- Je crois que j’ai trouvé ce que je cherchais.

Paltepoc accourut vers le médecin qui tenait dans ses mains des plaques de pierres encore intactes.

- Ces plaques sont les chroniques de la cité. Nous allons enfin savoir ce qui s’est passé ici.

Tuanahok s’assit sur les marches d’une maison et commença sa lecture :

« Je passe les détails du récit fondateur. La création de la cité par les Anciens, l’installation progressive des saurus et des skinks…Ca y est, nous arrivons au passage intéressant.

« L’honorable scribe skink Kitlzoatl parle. Année sacrée 10128(cela correspond environ à 5000ans avant l’avènement de Sotek). Aujourd’hui, notre Slann a mené campagne au sud contre des hordes de démons et arraché la victoire. Mais à quel prix ! Il a rejoint la terre des Anciens et ses funérailles vont être rapidement exécutés. Il n’y a pas d’autres Slanns dans la cité et le grand Kuraq saurus Petchx va sans doute prendre le commandement de l’armée. Il a ramené de la campagne un étrange artefact. Une armure argenté qui porte un symbole fort étrange, avec un entrelacs rose vif de cercles et de courbes. Je lui ai demandé de me la montrer pour que je puisse l’étudier en détail, mais, avec le grognement qui caractérise ses créatures frustes, il a refusé. Son air menaçant m’inquiète un peu.

« Il s’est passé une chose effroyable, aujourd’hui. Le grand Chotec est apparu devant nous tous. Dans son éblouissante grandeur, scrutant du ciel nos vies voués au trépas, il a déclamé un discours enflammé dans lequel il accusait notre Kuraq d’avoir pris une armure maudite à l’ennemi, une dangereuse armure qui le mènerait à la ruine. Lorsqu’il s’est calmé, Petchx nous a fait comprendre que ce n’était que des inepties et qu’il fallait lui obéir. L’armure lui donnait une force incroyable et une aura éblouissante. Il prit définitivement le contrôle de la cité.

« Ainsi fut fait. Il fit construire un temple à une divinité inconnue qu’il nommait selon ses deux syllabes :Slaa-nesh. Il nous a demandé d’oublier nos anciens dieux et de se vouer uniquement à celui-là. Nous devons faire tous les jours des offrandes et des sacrifices. Cette situation m’inquiète.

La suite est plus floue, il semblerait que des mutations grotesques se produisirent chez les hommes-lézards. Le texte continue ensuite plus clairement :

« Le scribe skink Kitlzoatl parle, pour la dernière fois, sans doute. Un grand malheur est arrivé à la cité. La colère de Chotec s’est déchaînée sur nous et il a enfouie à jamais la cité de Paxtala dans le sol.. Il a lancé sur nous une malédiction qui ne sera brisée qu’avec la destruction de l’armure corruptrice. Notre cité restera toujours enfouie jusqu’à ce jour. Petchx, avant de mourir sous le courroux du dieu soleil, a planté sur un piédestal son artefact pour le protéger. Puis il est parti se soigner dans le bassin du chagrin. J’écris actuellement sous les décombres, entendant les cris des skinks mourant de faim et peur. C’est effroyable. Près de moi, mon fidèle ami le skink Quoatl agonise. Je ne survivrais pas longtemps. Adieu. »

Les deux skinks restèrent immobiles face au texte qui recelait tant de secrets incongrus. Sans doute comprirent-ils tous deux au même moment d’où venait la puissance du skaven et qu’il fallait l’arrêter sur le champ.

Un cri se fit entendre dans le silence, un cri venant d’en haut, un cri aigu et inquiétant. Paltepoc se retourna aussitôt. Il crut voir une ombre filer dans un couloir à trois mètres du sol. Un vent froid souffla dans la pièce. Tuanahok se leva de même et commença à ranger les tablettes dans sa besace. Les torches qui éclairaient la pièce s’éteignirent une à une sous l’effet de la soudaine bise et les deux skinks furent plongés dans le noir alors que d’autres cris se faisaient entendre peu à peu, et que des taches jaunes apparaissaient de ci de là sur les murs. Un feulement félin se répercuta en écho dans toute l’immensité de la salle. Des messages incompréhensibles sortaient d’une paroi à l’autre, comme si la terre discutait. La salle entière s'emplit d’un vacarme de couinements grandissant. Paltepoc tentait d’appeler dans l’obscurité son ami Tuanahok mais celui-ci ne lui répondait pas, il resta ainsi figé dos à la paroi, scrutant en aveugle les alentours. Il tremblait. Son cœur de reptile battait la chamade: il commençait à avoir peur, de cette peur qui vous glace le sang.

Un cri de nouveau, plus près. Un autre là, à gauche. Et encore ce feulement devant lui. Des pupilles chaudes l’entouraient. Même s’il ne voyait rien, il pouvait sentir l’haleine putride de ses agresseurs. Tout était allé si vite. Ils auraient du réfléchir et comprendre que les rats n’avaient pas abandonnés le navire, qu’il y avait encore des éclaireurs postés dans la cité maudite. Il pensa à Tuanahok, il l’appelait encore sans succès. A tâtons, il cherchait une issue dans la roche à mesure que les voix et les pupilles fendues se rapprochaient. Des grésillements dans le silence. Sa queue préhensile tâtait la roche froide et pâle. Rien. Rien ne pouvait le sauver. Instinctivement, sa main toucha la lame de sa dague. Puis le pommeau, il la sortit lentement de l’étui. Elle émit un léger bruit métallique en s’extirpant du tissu qui vint s’ajouter à la somme des sons toujours grandissants.

« Tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi »

Comme un dangereux tic-tac régulier, un mortel compte à rebours. Car à présent les rats autour de lui battaient la mesure, leur odeur se fit plus intense aux narines sensibles du lézard.

« Tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi »

Il toucha sa lame dans tous les sens , esquissant dans l’air les gestes de base apprit par Klaxtenq. Ce brave Klaxtenq. Etait-il parvenu jusqu’à Plaqua pour sauver la cité ?

« Tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi »

Il avait senti quelque chose qui le frôlait à ses pieds. Un des petits rats qui grouillaient comme les ombres funestes de leurs maîtres.

« Tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi-tsi »

Et Tzahuanoatl, que lui était-il arrivé lors de son combat singulier contre l’assassin ? Et tous les autres ? Oyanotec, Garmok ? Qu’était-il advenu de leur vies ? Cette fois, a menace était plus proche que jamais, le skink se prépara à combattre. Les cris. Les visions. Les odeurs. Tout s’entremêla. Des coups fusèrent. Des rires malfaisants s’échangèrent. Dans le noir, Paltepoc vit presque la figure hideuse des rats. Leurs dents, leur mâchoire sale. Leurs yeux menaçants. Leurs oreilles repliées en arrière. Jusqu’aux haillons qui leur servaient de vêtements.

Tout alla très vite. Il perçu le contact d’une lame froide sur son bras, d’abord. Après avoir contré quelques coups maladroits, la douleur lui arracha un cri. Mais les attaques continuaient de pleuvoir sur lui. Il était à présent acculé au sol. Et soudain, un grognement sauvage, un hurlement bestial, suivi d’un sifflement plus aigu. Des voix connues. Les cris des rats se faisaient plus apeurés. Enfin, une torche dansante apparut dans le lointain. Paltepoc, à quatre pattes, rampa vers elle. Il fut soulagé en entendant la voix apaisante de Tuanahok :

« Ne crains rien, Paltepoc, nous sommes là. »

Les lézards se retrouvèrent tous autour d’un feu de camp improvisé au centre de la salle. Ils étaient une vingtaine. Parmi eux, Oyanotec, Garmok et Tuanahok.

« - Eh bien, sage Paltepoc, déclara ce dernier, on peut dire que tu as été quitte pour une belle frayeur. Ces rats étaient surtout impressionnants parce qu’il faisait nuit. Ils n’étaient qu’une quinzaine. Et notre effet de surprise a été radical.

- Je suis vraiment heureux de vous revoir tous, continua le prêtre. Nous avons beaucoup de choses à nous raconter. Je vous laisse commencer, mystérieux Oyanotec.

Le caméléon regarda en silence le prêtre qui lui souriait. Il parlait peu et n’aimait pas parler. Il communiquait seulement par des expressions brèves. Mais la situation était telle qu’il commença son récit

- Nous étions presque tous morts. Les rats…maudits rats…Le vénéré Zlox-Quex. Il a fuit avec sa garde vers Plaqua. Nous étions seuls. Les quelques survivants d’un désastre. Et là, le puits du temple. Une vision bénie. Il menait à la cité maudite. Nous le prîmes. Les rats…maudits rats…ne virent que du feu. Puis, après des journées de course, nous atterrîmes ici.

Il s’arrêta, faisant vibrer sa langue d’un bruit surnaturel. Tuanahok prit le relais :

- Après que les lumières se fussent éteintes, j’ai couru vers une sortie que j’avais repéré en entrant. Là, j’y trouvai Oyanotec et son groupe. Et je leur demandai de m’aider à te sauver, sage Paltepoc.

- Intéressant. Alors, Garmok, dis-moi, il n’y a pas d’autres survivants ?

- Y z’ont rasés la cité les rats. C’est les rats. Pis on était morts, de toute façon.

- Savez-vous où est Tzahuanoatl ?

- J’l’ai vu mourir par l’assassin. Un combat mémorable. Il était fort. Un de ses skinks l’a vengé avec sa sarbacane.

- Le pauvre.

- On fait quoi, maintenant ?

Tuanahok prit alors la parole :

- Je propose que nous retournions à la cité. Elle est en ruine et les rats l’ont sans doute investis. Mais nous devons récupérer une relique maudite. Paltepoc, raconte leur ce que nous avons découvert.

Il raconta toute l’histoire de la cité maudite et conclut ainsi :

- Le chef skaven, en atteignant par hasard cette cité, a dut trouver l’armure et s’est rendu compte de ses pouvoirs. Nous devons la récupérer, elle est trop dangereuse entre les mains d’un maudit rat. Le savant Tuanahok a raison, nous devons retourner à la cité. Empruntons le souterrain, il nous y mènera. »

Ils se levèrent tous et marchèrent vers le souterrain. Le voyage fut long et, en chemin, Paltepoc pensa aux paroles du Slann. Ils avaient en partie résolu l’énigme des « roches grises et ternes de l’ancien temple maudit ». Par contre, le mystère de « celui qui sera » reste entier. Et cela revenait dans les mots du vénérable Hexi-Totl. Pourquoi parlait-il de « nouveau-né ». L’énigme du « bassin du chagrin » avait été résolu également : selon les plaquettes du scribe Kitlzoatl, il s’agirait du bassin de frai où s’est noyé Petchx pour éviter les foudres de Chotec. Cela éclaircissait les choses. Mais le nouveau-né ? Qui était ce nouveau-né ?

Ils arrivèrent en quelques jours à la sortie du puits. Des bruits de voix montaient du dehors.

Et voila pour aujourd'hui. La suite bientôt, mais comme je m'occupe aussi de Mildidjou et du RC (comment ça, je fais de la pub? ^_^ ), le rythme d'écriture va ralentir. Je ne suis pas Feurnard(du moins pas encore! :) )

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Yess... Une cité maudite et la coruption du chaos!

Franchement, j'adère à fond!

Scénar: 10

écriture: 10 (ou 9 , car tu as mis:

- Je crains que la bataille était jouée d’avance, sage Paltepoc.
et j'aurais plutôt vu: je crains que la bataille ne fut jouée d'avance... ou alors: n'ait été jouée d'avance... ou encore: ne soit jouée d'avance... enfin bon... que veux-tu... à ton niveau, faut pinailler pour encore améliorer...)

le reste: 10

le juri te donne: 10!!!! ^_^

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Tu n'es pas encore Feurnard ? Inepties ! Je ne suis de loin pas à ce niveau. Non, ce récit vivant a tout pour plaire ! Après Gotrek, Aldarion, Bahan et Leeuwenhart (bon, et Imperator, sinon il va se vexer ^_^ ), voilà Mr Petch.

De mieux en mieux, toujours plus complexe. N'empêche, je ne comprends toujours pas le "par celui qui sera". Cette question me taraude depuis un bout de temps : est-ce le chef skaven ? Ou Paltepoc lui-même ?

Donc, le jury (moi et Impe) met 10 ! Plus rien à améliorer, je suis content de pouvoir profiter d'un pareil talent. Preuve qu'il ne faut pas se priver d'écrire : tout le monde en profite et c'est venu au premier qui a de l'imagination ! Bon, également un petit talent, mais ça n'est pas si rare que ça.

Allez, je m'arrête là, sans quoi je vais encore dire des inepties (remarquez l'habile astuce...). Donc, bravo, continues, moi je lis et j'espère que tu feras autant pour le RC ! (surtout avec "..." (vous croyiez que j'allais donner son nom ?!?))

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bon, et Imperator, sinon il va se vexer

Tu aimes Naheulbeuk, ça tombe bien, moi aussi! Écoutes plutôt celle-là: "Je suis pris d'une grande lassitude!"

En gros: je n'ai encore rien écris qui me vale ce rang, et je ne penses donc pas y avoir droit (surtout que je fais pâle figure face à ce récit de saurus!)

Voilà, faut bien le dire!

Sinon, mon vieux Feurnard, tu fais bien de rajouter cette remarque, car je te conseille de ne jamais avoir à subir les foudres de l'empereur!

Sur ce, je vous salue bien bas (et je me fais tuer de suite...)

Allez, à+... (encore du chatspeak!)

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Invité ravil silion

Chapeau bas Mr petch, moi qui est ici depuis peu, j'avoue être ébloui par un si bon récit.

une bonne recette: des rebondissements bien placés auxquels on ne pouvait s'attendre (ex: slannesh), un récit accrocheur, bref, que du bon

l'impatience me guette! gare à toi si je n'ai pas la suite rapidement!

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Tiens salut ravil sillion! Tu as enfin trouvé avatar à ton pied!

Merci encore pour ces compliments(si j'avais su que je viendrais ici pour ça, je serais venu avant...)

N'empêche, je ne comprends toujours pas le "par celui qui sera". Cette question me taraude depuis un bout de temps : est-ce le chef skaven ? Ou Paltepoc lui-même ?

A vrai dire je commence à me demander comment je vais me retrouver sur mes pattes de lézards pour ce truc qui sera... ^_^ J'ai bien une idée mais elle est moyenne. Enfin, vous verrez bien.

En gros: je n'ai encore rien écris qui me vale ce rang, et je ne penses donc pas y avoir droit (surtout que je fais pâle figure face à ce récit de saurus!)

Ne desespère pas, Impe, tous les gars de la rubrique récit t'apprécie. :) Tu fais l'effort de lire tous les textes et de donner un avis constructif à chaque fois. C'est déja ça. Moi par exemple, je suis nul pour trouver ce qui ne va pas dans un récit, comment l'étoffer etc....

et j'aurais plutôt vu: je crains que la bataille ne fut jouée d'avance... ou alors: n'ait été jouée d'avance... ou encore: ne soit jouée d'avance... enfin bon... que veux-tu... à ton niveau, faut pinailler pour encore améliorer...)

Corrigé!

Mr Petch

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Je refélicite mr Petch! si je savais écrire comme ca...

Impérator ne désespere pas tu fais l'effort de lire tous les textes et de commenter a chaque fois et rien que pour ca, ca mérite un grand bravo.

@+, je vais continuez ma guerre de la barbe, faut que je bosse si je veux espérer arriver a un bon niveau comme Mr Petch

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J'ai posté la suite directement après le dernier épisode car ça va ensemble. Et puis j'ai modifié un truc imortant que j'avais oublié dans cette dernière partie. Donc si vous avez le temps, relisez le tout, je pense qu'il vaut mieux ne pas faire de coupure(vous comprendrez pourquoi).

Donc voilou. Et à bientôt.

Tiens, j'ai glissé un jeu de mots foireux dans ma dernière partie...

Mr Petch

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Les deux premiers paragraphes me semblent confus. Quelques erreurs de frappes, des irrégularités dans la ponctuation. Vite corrigé, en somme.

Par contre, la suite a été un vrai délice ! Texte toujours agréable et qui commence à offrir des perspectives réellement captivantes. Les rôles sont inversés et on arrive tout doucement à un dénouement assez grandiose.

Si je puis me permettre, il te faudrait dans la dernière scène induire l'assaut d'une armée HL sur la cité conquise : jamais les Slanns ne la laisseraient aux mains des skavens. En plus, j'aime écrire sous le feu de l'action : ça met de la vie là où les combattants la soutirent !

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Bon, pour la ponctuation, je corrige ça tout de suite...C'était pour faire une effet de vitesse mais j'ai un peu raté.

Juste une question: est-ce que le passage avec les"Tsi-tsi-tsi" rend bien? C'est un test et j'ai hésiter avant de l'introduire, de peur qu'il paraisse trop artificiel.

Quant à la suite, c'est une surprise. Tout ce que je peux dire, c'est que ce ne sont ni des skavens, ni des HL qui occupent la cité au moment où la troupe y arrive...Je vous laisse réfléchir la-dessus.

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Pour les "tsi-tsi-tsi", oui, moi, je trouve que ça donne bien!

Par contre:

Ils auraient du réfléchir que les rats n’avaient pas abandonnés le navire comme ça, qu’il y avait encore des éclaireurs postés dans la cité maudite

"Ils auraient du réfléchir et compendre que les rats n'avaient pas abandonnés le navire (comme ça (ou comme cela)me semble inutile), qu'il y avait, sans doute, encore des éclaireurs postés dans la cité maudite." ça donne un peu mieux, non?

Bon, quoiqu'il en soit, c'est bien le seul passage sur lequel j'ait qulque chose à redire. Tout le reste va monstre bien (pour parler un peu l'argot...)

Encore plus de lézards!

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... des Slaaneshites!! Oups j'aurais du me taire :)

Au fait, ton slann il serait pas infecté par Nurgle parce que franchement il est dégueu ^_^

Bon, blague a part, je trouve ton texte tout a fait génial, dépaysant, et qui repose sur des bases solides en matière de fluff et d'ambiance.

Je ne m'étend pas la-dessus, tout à été dit.

Bonne continuation!

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Hein hein...mais qui les HL vont-ils trouver dans leur cité? Vous le saurez pas aujourd'hui parce que j'avais du boulot, mais je passe quand même histoire de répondre.

Au fait, ton slann il serait pas infecté par Nurgle parce que franchement il est dégueu

C'est peut-être une blague mais tu es celui qui se rapproche le plus de la réalité...(suspens, suspens)

Si je puis me permettre, il te faudrait dans la dernière scène induire l'assaut d'une armée HL sur la cité conquise : jamais les Slanns ne la laisseraient aux mains des skavens.

C'est vrai... :) bon, tant pis, j'avais pas vu les choses comme ça. On va dire que le contingent de Klaxtenq a été retardé par des embouteillages sur la route Tlaxtepok/Plaqua. ^_^ Non, bon, je pense que ça n'enlève pas trop de crédit à l'intrigue...moi qui mégote sur des détails, tu m'as enduis d'erreur, cher Feurnard. Bon, j'ai la nuit pour trouver une réponse.

Mr Petch

Modifié par Mr Petch
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Invité ravil silion

toujours aussi bon ce récit quoiqu'un peu court. ^_^

sinon c'est toutjours aussi captivant, je suis content que notre petit personnage s'en soit sorti (même si c'était juste). continue ton histoire , on adore!

t'aurais pas été à la bourre pour écrire la suite? on a l'impression dans la lecture que t'avais pas trop le temps.

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Voila voila....désolé pour le rétard, j'ai eu un début de semaine chargé. Donc voila la suite tant attendue de LA MALEDICTION DE PAXTALA. Allez, bonne lecture.

Ils arrivèrent en quelques jours à la sortie du puits. Des bruits de voix montaient du dehors. Oyanotec fut le premier à passer sa tête hors du puits. D’un bond agile, poussé par sa queue, il se propulsa jusqu’à la surface et, avec la discrétion qui le caractérisait, se glissa dans les ruines, derrière un rocher fendu en deux du temple inachevé. Il scruta les gestes des créatures devant lui. Il s’agissait d’hommes. Il avait vu peu d’hommes dans sa vie de lézard mais il connaissait les manières de ces êtres éduqués par les Anciens. En silence, il écouta sans trop comprendre la discussion que menait deux des soldats. Car se devaient être des soldats, de par leurs armures métalliques qui brillaient aux rayons du soleil. Ils portaient un casque bombé tout aussi brillant et une sorte de pantalon de toile rouge. A coté d’eux se trouvait leur arme, sorte de longue pique. Comme ils se tenaient dos à lui, le caméléon ne pouvait voir que leur nuque très brune. Finalement, il retourna dans le puits pour prévenir les autres.

« - Des humains. Ce sont des humains.

- Des humains occupent la cité de Tlaxtepok ? demanda Paltepoc, plutôt inquiet. C’est étrange… Que peuvent-ils bien faire ici ?

- Le mieux est encore de leur demander, sage Paltepoc, répondit Tuanahok avec un léger sourire ironique. »

Il fut décidé de sortir un par un et de converser avec eux pour comprendre ce qu’ils faisaient là. Le docte Tuanahok connaissait un peu la langue des humains et il pourrait tenir une discussion avec eux. C’est ainsi qu’il fut le premier à se montrer au-dehors. Les deux soldats se retournèrent brusquement en voyant apparaître l’étrange lézard, sortant du puits comme un diable de sa boîte. L’un d’eux arboraient une élégante moustache noire ainsi qu’une paire de sourcils touffus qui obscurcissaient son visage déjà bronzé. L’autre semblait plus jeune, seul un léger bouc de trois jours garnissaient son visage juvénile. Il fut le premier à se saisir de sa lance et à la pointer vers le lézard et à s’écrier :

« - Encore des rats, Manúel !

- Calme-toi Sanche, je crois que ce n’est pas un rat.

Comme face à un animal sauvage et inconnu, Manúel s’approcha de Tuanahok, le jaugea du regard, approchant sa main droite de l’animal et laissant la gauche sur le manche de son épée qui pendait sur le flanc. Sanche était déjà partit pour prévenir les autres quand le lézard se mit à parler :

- N’ayez pas peur, nous ne vous voulons pas de mal.

Manúel recula légèrement, surpris par l’accent pointu de son vis à vis. Il murmura en lui-même :

- Un homme-lézard ! Madre de Dios ! Incroyable !

d’autres soldats, ameutés par la scène, arrivaient de toutes parts. Tuanahok s’était avancé et Manúel l’observait toujours avec autant de curiosité. C’est alors que, sous les cris de l’assemblée, tantôt épouvantée, tantôt surprise, sortit Paltepoc.

- Et ils sont plusieurs, en plus ! s’amusa Manúel qui souriait à présent comme un enfant.

Le soldat se tourna vers ses collègues, qui se tenaient, inquiets, à l’écart, et dit :

- Rendez-vous compte, mes amis ! Notre seigneur sera content ! Nous avons vu leurs temples perdus dans l’immensité de ce pays, nous avons vu leur jungle touffue et inextricable, nous avons combattu leurs ennemis, l’engeance à tête de rats, et à présent, deux d’entre eux viennent nous voir ! Et ils parlent notre langue, en plus !

Tout les autres soldats ne semblaient pas partager l’avis de Manúel, certains envisageaient déjà une mort directe et rapide, tandis que d’autres, apeurés par d’éventuels pouvoirs mystiques, préféraient se retirer le plus loin possible des créatures. C’est alors que, se frayant un passage dans la foule, arriva celui qui devait être le général en chef. Tuanahok s’inclina devant lui, connaissant les coutumes des royaumes humains. Le chef dispersa ses soldats et se tint, droit comme un I devant les deux lézards. Il avait des cheveux grisonnants, usés par l’âge et les guerres. Son casque était orné d’une plume rouge sang et sa tunique orangé portait un sceau royal sur le côté et des médailles brillantes. Les rides qui couvraient un visage buriné par le temps n’enlevaient rien à son port athlétique et majestueux de commandant. D’une voix grave mais limpide, il demanda :

- Eh bien. Qui êtes-vous ? Mes soldats me disent que vous parlez notre langue.

Ce fut bien sur Tuanahok qui prit la parole :

- Nous sommes des hommes-lézards, de ces créatures pour vous inconnues qui peuplent cette immense jungle qui vous entourent. Nous nous sommes enfuis à la suite de l’invasion de rats sur notre cité-temple. Et maintenant que nous y revenons, nous vous trouvons là, plantés au milieu des ruines encore fumantes qui témoignent du massacre.

Le général réfléchit un instant puis ordonna à ses hommes d’emmener les deux lézards dans sa tente. Ils traversèrent l’ancienne cité en ruine où les humains avaient installé leur campement fait de tentes de toile rouge et jaune. Ils entrèrent dans une tente très décorée et ornée d’armes et d’armures et bronze.

Le général fit installer Tuanahok et Paltepoc sur le sol puis, se versant dans un verre un liquide coloré, il commença :

- Vous êtes bel et bien des hommes-lézards. Je n’en avais jamais rencontré. Mon aïeul, Pedro del Castillo était déjà venu ici, il y a quelques centaines d’années, et les légendes qui circulaient sur lui nous indiquaient la sagesse de votre race. Je sais que vous venez ici en amis, je ne suis pas de ceux qui vous tueraient sans réfléchir, non ; ici, vous êtes en de bonnes mains. Je me présente : Alfonso del Castillo, grand conquistador Estalien parti en quête d’aventures en Lustrie. Ou plus précisément envoyé chez vous par le roi pour annexer de nouvelles terres !

Il avait prononcé ces dernières paroles avec une évidente ironie qui montrait son dégoût pour ce roi aux velléités expansionnistes. Profitant de ce que del Castillo buvait, Tuanahok continua :

- Je suis heureux que vous soyez pacifique et différents de la plupart des hommes. Ainsi, nous aimerions vous poser quelques questions : tout d’abord, que faites-vous ici, à Tlaxtepok ?

- Notre expédition nous a mené à la rencontre de votre cité. Lorsque nous sommes arrivés, elle était occupée par des hordes de skavens puants et gémissant, dont la plupart étaient blessés plus ou moins gravement. Nous n’eûmes aucun mal à les chasser, ils paraissaient tous épuisés et démoralisés. Alors nous avons établi le camp ici pour passer la nuit.

- Vous dites que vous avez massacrés les rats, mais avez-vous tué leur chef.

- Leur chef ? Je l’ignore. Tout ce que je peux vous dire, c’est que nous avons empilé les cadavres près de vos bassins et que nous avons brûlé le tout.

- Même les cadavres d’hommes-lézards ?

- J’ai personnellement pris soin que les cadavres de vos soldats soient installés dans un temple encore debout, à l’ouest de la cité.

- Très bien. Et n’avez-vous pas vu une armure sombre, presque noire, parmi les débris que vos hommes auraient pu prendre ?

Del Castillo parut plus soucieux, il frotta machinalement sa barbe :

- Non, je ne crois pas. Les cadavres n’ont pas été touchés.

- D’accord… »

Entra alors un homme habillé en officier qui tenait dans sa main droite son casque, laissant apparaître un crâne dégarni. Il expliqua à del Castillo :

« - Les hommes veulent voir les lézards ! Ils posent de plus en plus de questions.

- Dites leur d’attendre, j’en aurais bientôt fini !

- Bien mon général ! »

Et l’homme disparu sous les tentures. Tuanahok demanda :

- Qui était-ce ?

- Mon second, le sergent Elquéra. Celui qui me sera mon remplaçant après mon départ de votre contrée, car à présent, je vais vous laisser voir vos amis morts au combat. De mon côté, je repartirai pour l’Estalie l’esprit tranquille. Au moins aurais-je aidé votre peuple.

- Oui, et nous vous en remercions. La reconstruction sera longue et difficile mais elle est nécessaire. »

Le général fit un bref salut de la main, Tuanahok lui répondit en faisant claquer sa langue dans sa bouche. Ils furent amenés à l’extérieur, dans le temple de Chotec où se trouvaient les cadavres. Paltepoc fouillait fébrilement alors que son ami réfléchissait en lui-même.

« - Regarde, Tuanahok. J e crois qu’il s’agit de notre grand tupac Tzahuanoatl. Voué pour le combat, il sera mort au combat. Je suis heureux que cela se termine ainsi : nous allons pouvoir réintégrer notre cité grâce à cet aimable général. Comme quoi tous les humains ne sont pas vils et fourbes. Mais à quoi penses-tu, savant Tuanahok ?

- La disparition de l’armure m’inquiète.

- Elle doit se trouver dans le tas de rats morts. Ne t’en fais pas, nous la retrouverons facilement.

- Non, ce n’est pas ça. Tu as remarqué la collection d’objets rares dans la tente du général humain : ce sont toutes des reliques venant de différents pays. Je les ai observé mais l’armure de Paxtala ne s’y trouvait pas. En revanche, je suis persuadé que si elle s’était encore trouvé sur le corps du chef skaven, del Castillo l’aurait trouvé et gardé pour lui.

- Tu crois qu’il nous ment ? Il avait pourtant l’air sincère.

- Cela m’intrigue. »

Tuanahok resta assis sur les pierres du temple à réfléchir, face à l’imposante statue de Chotec. Paltepoc partit prévenir les autres lézards restés dans le puits que la voie était libre.

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Comment s'y préparer ? Incroyable retournement aux penchants qui ne manquent pas de me satisfaire. Par contre, ce second me parait tout indiqué pour avoir dérobé l'armure... à voir.

Au départ, comme les autres, je supposais des Slanneshi, mais ils auraient tué sans réfléchir.

Ah oui, autre précision : c'est toujours aussi bien écrit.

Bon, patati, patata... c'est bien écrit, tout ça... très beau style... blablabla... mais tu le savais déjà !?`

- Bon, c'est pas tout ça : autant se mettre au travail. Ces textes romancés ne vont pas se lire tout seul !

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Invité ravil silion

"le général était sur son bateau, fier et heureux, il avait récupéré une partie du butin dont une sombre armure pour sa collection, et mourrai d'envie de l'essayer"

j'imagine que c'est pas le genre de fin que t'as prévu ?

je trouve que ta suite est tout à fait correcte avec les retournements surprenants que tu as l'habitude de nous servir. Je vois bien une petite guerre contre des hommes ou des skavs (s'il en reste), il faudra que les HL aillent chercher leurs potes...

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Je viens de lire tous tes textes d'un coup. OOui,oui, d'un coup, tout simplement parce que c'est trop génial pour me donner envie d'arrêter de lire!

Moi, je ne vois que du tout bon: Longueur, style, réalisme(enfin, par rapport à WH bien sur), rythme excellent...Que dire d'autres, sinon que je suis hyper jaloux!

Mais je dois l'accepter: J'ai trouvé mon maitre!!!

P.S: :(

P.P.S: :D:lol:

et encore ^_^:D:(

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j'imagine que c'est pas le genre de fin que t'as prévu ?

Tiens, et si je decidais que les humains recupéraient l'armure et devenaient maîtres du vieux monde? Non,c'est vrai, ce n'est pas dans mes idées. J'aime trop mes petits HL pour les faire perdre.

Je vois bien une petite guerre contre des hommes ou des skavs

J'aime bien quand vous essayer de deviner la suite. Ca me permet de savoir ce qui va vous surprendre....

Mais je dois l'accepter: J'ai trouvé mon maitre!!!

Et pourtant, Nethkhar, je suis fan de tes textes courts et poétiques! On a juste un style différent, c'est tout. En tout cas merci, ça fait toujours plaisir.

Mr Petch

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Bon, pour deviner la suite, moi, je me dis "game over".

Ce que j'aime bien, chez toi, c'est que tu me rappelles mon rythme de postage ! Toujours l'idée de l'histoire en tête !

Ah, j'oubliais, pour créditer ce post d'un minimum d'intérêt : j'aime bientôt autant ton texte que celui des Annales !

[Message pour Aldarion on]

C'est pas pour autant que je t'oublie ! :lol::(:D

[Message pour Aldarion off]

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