Litrik Posté(e) le 10 mai 2010 Partager Posté(e) le 10 mai 2010 Yeaaah ! Je suis le premier à poster ! Tes flageolets lents sont bien avancé et je les aime bien ! J'ai hâte de voir les cradures au sang véritable, ça peut être sympa ! Pour le fluff, désolé d'avoir chamboullé ton programme Mais en tout cas c'est que du bon ! il est vraiment dans la m....e jusqu'au cou notre chti narrateur !^^ (en bonus du cda pour avoir desp oints en plus, tu nous fait la fig du narrateur "en mode arabien" ? allez steupléééé !) Vivement la suite ! PS: Méfiez vous des hommes qui portent des livres... surtout les prètres... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Schattra Posté(e) le 14 mai 2010 Auteur Partager Posté(e) le 14 mai 2010 Épisode 25 (assis sous le zingue) Salut à tous! En ces temps de lancement d'un nouveau Choix des Armes (dont je salue les participants au passage, bonne chance à eux!), notre petite bande d'aventuriers des Terres du Sud semble se diriger tranquillement pas vite vers les tréfonds de la jungl... section. Time to act guys!^^ @ Litrik: C'est qu'il revient sur les lieux de son crime fluffique, l'animal!^^ En tout cas, merci du commentaire, et encore plus de m'avoir forcé à donner un coup de pied dans le récit. Je ne sais pas où je vais, ni combien de temps ça va me prendre, mais me voilà reparti! La dernière fois que j'ai posté ici, c'était pour annoncer que les flagellants étaient presque finis. Et devinez quoi? (ils sont totalement finis cette fois? Ouah, quel éclair de prescience digne d'un prophète eldar à la première gorgée de panaché...) Pour ceux qui en veulent plus (...), la suite est ici. Donc, je me retrouve avec une seule figurine à terminer pour en finir avec cette tranche, mais quelle figurine! C'est en effet rien que Jacques Dufilho en personne qu'un Prêtre-Guerrier de Sigmar avec arme lourde qui attend à présent son tour sur mon bureau. Lambrecht Gerber de son petit nom, garde-chiourme et aide-soignant en free lance de la bande d'agités du bocal présentée ci-dessus. Ça va filer droit, j'vous l'dis! Pour rester objectif, disons que c'était très culotté. De mon point de vue, ça relevait du vraiment très improbable à réaliser, sans parler de nos chances dérisoires de s'en sortir sans trop de casse. Mais on était dans la place, donc je suppose qu'on avait plus vraiment le choix. "Ouvrez grand vos esgourdes," qu'a fait le méprisant, "si on ne réussit pas à distraire cette bande d'abrutis très rapidement, on va se retrouver avec la moitié de Suddenburg dans les rues pour nous faire la peau. Une chance que je connaisse cette porcherie comme ma poche" a-t-il poursuivi en balayant la salle de la main, "et que cette truie de Fredegor soit assez paranoïaque pour y planquer sa réserve de poudre, le brave petit. Voilà donc ce qu'on va faire, et y a pas de raison que ça ne marche pas aussi bien que la dernière fois: Adi, Loïs, Anton et vous deux là (c'est à dire Willi et Heinrich), débrouillez-vous pour commencer une bagarre parmi ces crétins. Du genre monumental. Nous autres, on va aller se servir dans la musette de Fredo, et quand on aura fini, je peux vous assurer que les seuls gars qui sortiront jamais d'ici après qu'on soit parti le feront de manière plutôt dispersée. Tout le monde a compris? Bon alors allons-y." Le méprisant nous a entraîné à sa suite vers une aile de la salle, pendant que les cinq chargés de faire diversion se mettaient en place dans la foule. Juste avant qu'on prenne un petit couloir qui descendait vers le sous-sol, j'ai entendu un grand "Viens m'le dire en face, fils de chienne!", suivi du bruit caractéristique d'un poing qui s'écrase sur un nez. L'instant d'après, c'était le chaos, mais on était déjà loin. On a couru pendant une minute ou deux à travers les corridors du palais, descendant de plus en plus profond (je le savais grâce à la température, de plus en plus fraîche, pas pour me déplaire d'ailleurs) jusqu'à qu'on arrive devant une porte bien massive, avec deux gars bien massifs postés devant. Je ne sais pas si ça faisait partie du "plan", mais le méprisant n'a pas ralenti d'un poil, et quand la première sentinelle a demandé ce qu'on faisait là, il s'est contenté de lui faire exploser la cervelle d'un coup de pistolet. Son copain a pas eu le temps de remettre de sa surprise qu'il avait une lame de rapière en travers du torse, et il n'a pas objecté à ce qu'on lui prenne ses clés pour ouvrir la porte. Nous sommes entrés dans une vaste pièce éclairée par quelques ouvertures donnant sur l'extérieur, toutes barrées par des grilles de fer. Dans un coin s'élevait une petite pyramide de fûts marqués d'une croix rouge, que j'ai identifié comme la réserve de poudre que nous cherchions. L'autre côté de la salle était disposé en une série de petites cellules attenantes, certaines vides, d'autres non. En nous voyant arriver, les prisonniers se sont mis à gueuler comme des putois pour qu'on les libère, mais on avait mieux à faire. Le méprisant et ses gars se sont rués sur les tonneaux de poudre, et ont commencé à les faire rouler vers la sortie, ou du moins l'aurait fait si les fûts n'avaient été pas maintenu au mur par une chaîne d'acier, et pas une petite. Le verrou qui tenait tout en place a épuisé toutes les clés qu'on avait ramassées sur le cadavre du garde, en vain. Alors que je me demandais comment notre fringant petit pistolier si malin allait nous sortir de là, une voix tonitruante est venue couvrir les suppliques et les insultes des prisonniers. "Besoin d'aide, les avortons?" qu'elle a dit. On s'est tous retournés. Et pour finir, le strip (j'ai pas abandonné l'idée de Jacques Dufilho, merci à Nanarland!): Schattra, "cette fois c'est la bonne" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fiasco Boy Posté(e) le 14 mai 2010 Partager Posté(e) le 14 mai 2010 Naaaaaaaaaan t'as pas le droiiiit, j'adore cette figurine! (elle me faisait plutôt penser à Bruce Willis ) Bon ben j'ai pas grand chose à dire qui ne me ferait me répéter... C'est nice toussa! Vivement que notre ami Gerber soit peint! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gregauryc Posté(e) le 15 mai 2010 Partager Posté(e) le 15 mai 2010 Encore une bien belle fournée ! notre petite bande d'aventuriers des Terres du Sud semble se diriger tranquillement pas vite vers les tréfonds de la jungl... section. Time to act guys!^^ Il est vrai que le rythme a bien ralenti ... Pour ma part, j'ai bien avancé en peinture ces 2 derniers jours, et je viens de réparer mon appareil photo, donc une petite MàJ dès demain (après une loooongue séance photos pour mettre à jour TOUS mes sujets XD ) Je vais me pencher aussi un peu sur le fluff que j'ai pas mal délaissé depuis quelques temps. Pour ce qui est de tes figurines, j'aime bien ! Le coup de la fig de canasson au milieu des clodos (c'est pas des clodos ?) rend bien (genre reliquaire du graal ^^) Après je trouve que les habits font encore un peu trop propres, trop uniformes En outre, tes torches me semblent peu lumineuses, ce qui est dommage Le prêtre-guerrier promet du bon aussi Lord T.adaam ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orphée Posté(e) le 16 mai 2010 Partager Posté(e) le 16 mai 2010 J'adore tes flagellants C'est pas vraiment constructif, mais j'ai pas mieux en stock. Pour la taille de tes photos, les dernières sont parfaite pour du 10" (je parles des photos grandes tailles, pas des vignettes, qui elles sont vraiment toutes petites ). Orphée Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Litrik Posté(e) le 16 mai 2010 Partager Posté(e) le 16 mai 2010 (modifié) Là je dit bravo, rien à dire. Tes flagellent sont tous super cools, ils déchirent leurs races, chapeau. Moi par contre je VEUX savoir qui est le type a la fin de ton fluff, t'es vraiment fort pour apporter du suspens a tes histoires ! Par contre là j'étais mort de rire avec ton prêtre de Sigmar, la ressemblance est frappante ! Oo (faites gaffe, Litrik est un orque, lui aussi il est "frappant"...) Vivement la fin de la tranche ! (Ha non pitiée ! On en a assez bouffé des tranche de cake a ton anniversaire hier....) Modifié le 16 mai 2010 par Litrik Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fiasco Boy Posté(e) le 16 mai 2010 Partager Posté(e) le 16 mai 2010 Ben c'est le prêtre le mec trotroforetrotromystérieuxjsuistoutturgescentrienquedypenseromgjépeure ! (ouf!) Bref, suite Schattra, suite! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gregauryc Posté(e) le 31 mai 2010 Partager Posté(e) le 31 mai 2010 Yo ! Je suis actuellement en train d'avancer sur mes harpies, et j'ai justement un de tes pitous à peindre ^^ Un tuto/conseils serait le bienvenu pour peindre l'uniforme jaune et bleu Merci bien Lord T. courage pour la suite ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Schattra Posté(e) le 31 mai 2010 Auteur Partager Posté(e) le 31 mai 2010 (modifié) Episode 25½ (si seulement, si...) ...j'avais eu un peu plus de temps, j'aurais faire un épisode tout beau tout propre, avec toutes les rubriques. Mais comme il ne me reste que 15 minutes avant que la troisième tranche ne prenne fin et que ma fierté personnelle m'interdit de dépasser les délais (je sais je sais, c'est pathétique, mais que voulez-vous, on ne se refait pas) alors que ma dernière figurine de ladite tranche est peinte depuis belle lurette (à l'échelle du CDA, c'est à dire une semaine), je suis navré de vous infliger un épisode brut de décoffrage avec juste des photos du père Lambrecht. Je retoucherai tout ça très vite, promis (t'auras ton tuto Lord T., et bravo pour ton rapport de bataille au passage!^^). Merci à tous ceux qui sont passés ici depuis la dernière fois, et à très bientôt! Est-ce que tu as déjà vu un ogre Ilse? Je veux dire, face à face, à seulement quelques mètres de toi? Comment ça, oui? Il faudra que je touche deux mots à ta mère, cette irresponsable. Si elle savait comme moi ce qu'une de ces brutes peut faire, elle ne te laisserait plus jamais approcher à moins de dix lieues d'une ville où le mot « ogre » a été prononcé plus de deux fois dans la même journée. Non, vraiment, faut pas plaisanter avec ce genre de choses, ça a tout le temps fin ces trucs. Bref, on s'est tous retournés, et on a vu l'ogre qui se trouvait du mauvais côté des barreaux. Si je te dis qu'il était immensément grand et monstrueusement large, et les mots sont faibles, tu n'arriveras sans doute pas à commencer à imaginer la taille du bestiau. Pour faire court, il ne pourrait même pas passer par la porte de la pièce sans emporter la moitié du mur, et il ne pourrait pas se tenir debout ici sans crever le plafond. Voilà pour les présentations. Je reprends. « Besoin d'aide, les avortons? » Il a dit ça avec un accent épais comme les murs du palais de Fredegor et une espèce de sourire malsain, comme s'il avait déjà compris qu'on aurait fatalement besoin de lui si on voulait s'en sortir. Comme j'ai pu m'en rendre compte plus tard, il était loin d'être bête. Je reprends. « Besoin d'aide, les avortons? » Personnellement, je l'aurais laissé moisir dans sa cellule, mais le méprisant a eu l'air ravi. Il s'est avancé vers l'ogre, et lui a demandé s'il était prêt à donner de sa personne si on le libérait. Je dois reconnaître qu'il était vraiment fort en baratin, même si j'ai eu l'impression que la brute derrière les barreaux en disait moins qu'il n'en pensait. Après quelques instants, ils sont arrivés à une entente. La liberté contre l'engagement de nous suivre dans la jungle. Je crois que si j'avais été à la place de l'ogre, je serais resté peinard dans ma prison, mais lui avait plutôt l'air content de son sort lorsque le méprisant, pas fou, a ordonné à un de ses gars d'ouvrir la porte. Évidemment, les autres captifs ont essayé de profiter de l'occasion pour se faire la belle, mais le pistolier ne l'entendait pas de cette oreille, et la première canaille qui fit un pas hors de la geôle répandit sa cervelle sur les murs, un sourire idiot toujours accroché aux lèvres. Pas que ça a découragé ses petits copains, qui ont tenté leur chance sans tenir compte du sort de ce pauvre type. J'en avais vu assez pendant ces quelques heures pour comprendre qu'il ne faisait vraiment pas bon être prisonnier à Suddenburg. Ils se sont agglutinés autour de la porte comme une meute de loups, se battant pour être le premier à sortir, et le deuxième tir du méprisant a eu autant effet sur leur résolution qu'un coup d'épée dans l'eau. Ils étaient bien plus nombreux que notre petite bande, et s'ils arrivaient à s'échapper de la cellule, je ne donnais pas cher de notre peau. Heureusement, nous avions un ogre de notre côté à présent, et quand le méprisant lui a hurlé de faire quelque chose, il s'est simplement retourné vers ses anciens compagnons d'infortune, a pris deux pas d'élan, et s'est rué dans l'ouverture avec une vitesse étonnante pour une créature aussi imposante. Les malheureux sur son chemin n'ont réalisé le péril dans lequel ils se trouvaient qu'un instant avant qu'il ne leur rentre dedans, et avec la pression des rangs arrières, ils n'ont rien pu faire pour éviter les 300 kilos de muscle, de graisse et d'acier qui fonçaient sur eux, à part hurler, évidemment. Je les ai vu voler à l'intérieur de la geôle avec autant de force que si un obus de mortier avait éclaté sur le seuil de la cellule, et les moins chanceux ont percuté les murs de pierre avec assez de force pour se fracasser le crâne. D'ailleurs, quelques uns ont du avoir le crâne fracassé. En tout cas, la pierre était rougie a plus d'un endroit, et certains prisonniers ne bougeaient plus du tout lorsque l'ogre est ressorti de la pièce en tirant l'un d'entre eux par la jambe. Il a claqué la porte, retiré la clé de la serrure, et l'a jeté au méprisant, avant de saisir sa victime par la gorge. Avant que qui que ce soit n'ai pu réagir, notre nouvel ami lui a tordu le cou comme un vulgaire poulet, et lui a arraché le bras pour le... Rien que d'y repenser, ça me rend malade. Dis-toi que tout ce qu'on t'a dit sur les habitudes alimentaires des ogres est vrai, et tu devrais comprendre. Bref, on regardait notre recrue casser la croûte, trop choqués pour esquisser le moindre geste, quand des cris ont retenti dans le couloir menant aux réserves. Un instant plus tard, une douzaine d'hommes armés portant le marteau noir sur champ jaune de Suddenburg ont déboulé dans la salle, et pas pour discuter, crois-moi. Les Photos (tout de même): Schattra, en chantier Edit: Fluff et Strip ajoutés... J'suis réglo mon adjudant! Modifié le 3 juin 2010 par Schattra Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Litrik Posté(e) le 1 juin 2010 Partager Posté(e) le 1 juin 2010 Si tu veux mon avis Schattra, juste les photos de cette figurine constituent un épisode plus que correcte La figurine est bien, mais j'ai l'impression que ton bonhomme c'est barbe bleue ! Oo J'attends cependant la suite du fluff avec impatience ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fiasco Boy Posté(e) le 1 juin 2010 Partager Posté(e) le 1 juin 2010 Booooh, je suis un peu décu par Père Lambrecht! Je trouve sa tête un peu bizarre (au niveau de la bouche) et le reste de la figurine trop peu contrasté... J'aurai vu une couleur un peu plus chatoyante pour le faire ressortir de la masse, quitte à salir le bas de la robe, je l'aurai faite en rouge, (couleur du clergé de Sigmar) ainsi il aurait été d'emblée différenciable de la troupaille. Mais je te pardonne, rien qu'au vu de la qualité du reste, et que gérer un CDA, c'est pas non plus de la tarte! Fiasco <3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Schattra Posté(e) le 22 juin 2010 Auteur Partager Posté(e) le 22 juin 2010 Épisode 26 (pas assez cher mon fisc) Salut à tous! C'est pas la grande forme pour les Terres du Sud en ce moment, et je suis encore plus responsable de cet état de fait honteux que mes comparses, puisque j'ai beaucoup de temps, alors que certains sont très occupés par leur boulot et autres. Au nom de toute l'équipe, j'aimerais donc présenter des excuses devant tous nos supporters pour ce qu'il convient d'appeler un fiasco complet, et... Désolé, je me suis laissé emporté par la vague sud-africaine qui n'en finit pas de déferler sur nos écrans et récepteurs. Alors qu'au fond, on en a pas vraiment quelque chose à faire des Bleus, non? Il y a des choses bien plus importantes dans la vie que le foot, le Choix des Armes par exemple! Et puisque notre thème à nous se rapproche assez de la bérézina actuelle (Le Mohdi avait tout prévu, j'vous l'dit!), il nous incombe de faire mieux que ces guignols, et de revenir des Terres du Sud couverts de gloire (et de sangsues). @ Litrik: Merci, mais je trouve que ça laissait une sensation d'inachevé... qui n'existe plus à présent je l'espère! Et pour le fluff, euh, comment dire...^^ @ Fiasco Boy: Héhé, tu as l'œil! Effectivement, lq bouche est bizarre, pour la simple et bonne raison qu'elle n'était pas percée sur la figurine! Du coup, j'ai du la peindre en trompe l'œil, tâche beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît (c'est du noir après tout...). Le résultat est un peu étrange, je te l'accorde, mais il fallait bien faire avec le matériel! En tout cas, merci de ta fidélité (un jour, je resterai à Strasbourg assez longtemps pour faire un saut au GW local ^^). Comme je suis bien en retard dans cette tranche, je profite de cet épisode pour mettre d'un coup d'un seul tout les figures à peindre pendant ces deux mois cinq semaines: Mon général (qui est un capitaine, logique...): Eol von Nebelheim. Notez l'équipement idéal de la figurine, avec sa large chemise qui ne demande qu'à être maculée de boue, et la barbe en bataille. À croire qu'elle a été sculpté pour ça. Le reste de mes Renégats, toujours convertis le plus possible pour représenter leur background un peu spécial (Lord T. saura-t-il reconnaître ses bitz? ^^). Le Feu d'Enfer et son équipage. La peinture risque d'être marrante pour le second, et moins pour le premier... Enfin, on verra bien. J'ai eu le temps d'avancer le fluff alors que les figs prenaient la poussière... Pour un pavé, c'est un pavé! Pour plus de clarté, j'ai divisé le tout en 4 épisodes, qui s'arrêtent évidemment au pire moment, mais permettent également de faire une pause sans perdre trop le fil. EPISODE 1: Je ne sais pas s'ils étaient venus pour nous, ou bien si le bruit les avait alerté, mais avant qu'on ait eut le temps de s'en rendre compte, ils étaient sur nous, et Gerrart était mort, la gorge transpercé par un coup d'épieu. J'ai eu la chance de me trouver à côté de l'ogre à ce moment précis, car même s'il était désarmé, nos assaillants eurent assez de jugeote pour le laisser vivre sa vie et se concentrer sur des cibles plus à leur portée. Ça m'a laissé le temps de reprendre mes esprits, et pour la dernière fois de la journée, je me suis jeté dans la mêlée avec la ferme intention de faire payer à quelqu'un la mort d'un camarade du 10ème. Le premier à rencontrer ma route était un type maigre comme un coup de trique et la moitié droite du visage défigurée par une cicatrice due à l'apposition du fer rouge. Sa barbe filasse en était nettement coupée en deux à l'endroit où la peau avait été brûlée, une faute de goût intolérable qui aurait justifiée à elle seule la pointe d'acier que je lui ai planté dans le ventre. Il s'est effondré dans un chapelet d'injures, comme s'il venait de se prendre les pieds dans le tapis plutôt qu'une blessure mortelle dans les tripes. J'ai pivoté à temps pour parer un coup de marteau d'armes qui m'aurait sans cela fracasser l'arrière du crâne, casque ou pas casque. Le type était bien plus fort que moi, et j'ai du saisir ma lame avec la main gauche pour éviter qu'il ne parvienne à repousser mon cimeterre. Je me suis retrouvé nez à nez avec le râtelier le plus miteux de toute ma carrière sous les drapeaux. Sans rire, ce type avait plus de trous dans les gencives que de dents, et même celles qui lui restaient ne ressemblaient à rien de plus qu'à des bouts de cailloux noircis au charbon. Malgré ça, il souriait, et comme tu peux t'en douter la proximité avec l'espèce de trou béant qui lui servait de bouche n'a rie fait pour améliorer mon humeur. Un bon coup de genou plus, tard, il était en train de sourire en direction du sol, et il doit y être encore à l'heure qu'il y est. Notre résistance a paniqué nos assaillants, qui ont choisi prudemment de battre en retraite. Bien évidemment, on a tout fait pour les retenir, et trois des fuyards n'eurent pas le temps de réaliser leur erreur qu'ils étaient déjà en train de joncher le pavé. Malheureusement, le dernier d'entre eux, un arabien avec une hache et une rondache de cuir bouilli, a réussi à atteindre la porte malgré le tir de pistolet qui lui avait disloqué l'épaule. Mais alors que l'on voyait déjà disparaître dans le couloir, il s'est soudain retrouvé avec une tête de hallebarde plantée dans le torse, épinglé comme un insecte dans une vitrine. Il a eu juste le temps de constater qu'il n'irait pas plus loin avant que son corps ne devienne flasque, même si l'arme qui l'avait transpercé était si profondément fichée dans le bois qu'il est resté debout. À côté de moi, l'ogre a émis un grognement de satisfaction devant son œuvre, avant de finir sa petite collation. EPISODE 2: Heureusement, il ne lui restait plus que quelques bouchées à engloutir, et il s'est laissé convaincre de nous suivre sans faire d'histoire après ça, le baril de poudre qu'il avait libéré de ses chaînes aussi facilement que si ces dernières étaient en papier mâché sur l'épaule et un sabre colossal, ramassé dans un coin de la pièce et qui ne pouvait que lui appartenir, vu sa taille, passé dans la ceinture. Nous autres humains, qui n'étions plus que sept avec la mort de Gerrart, tentions tant bien que mal de suivre ses grandes en jambées, tandis que le méprisant essayait vainement de se convaincre qu'il était encore maître des opérations en aboyant un ordre à l'ogre toutes les secondes, au plus grand désintérêt de ce dernier. Notre remontée se passa sans encombres, et quand nous pénétrâmes de nouveau dans la grande salle aux colonnes, nous comprîmes pourquoi: nos camarades avaient réussi leur part du plan de manière magistrale, voire un peu trop bien. D'un bout à l'autre du hall, ça se battait, et à la manière de Suddenburg, c'est à dire avec du vrai acier dans les mains plutôt qu'avec ses poings. Seul au milieu de ce déchaînement de violence, Fredegor, que nous avions laissé rouge de colère, était à présent tout à fait violet d'indignation et de rage impuissante, personne ne prêtant attention à ses cris suraigus. Par signe, le méprisant nous a fait comprendre la suite de son plan, aussi génial que ce à quoi il nous avait habitué: placer une charge de poudre sur quelques piliers pour faire s'écrouler l'ensemble du palais et arrêter la poursuite avant même qu'elle ne commence sous quelques tonnes de roche. Quelqu'un lui a demandé comment il allait faire passer le mot de son projet à l'autre groupe avant qu'il ne soit trop tard, et il a osé répondre qu'il s'en rendrait compte bien assez tôt, et avec le sourire en plus. Je lui aurais bien envoyé mon poing dans la figure, mais il était déjà parti avec sa dose de poudre en direction d'une colonne, et j'ai réalisé que j'avais mieux à faire que lui courir après pour lui signifier que la légèreté avec laquelle il traitait la survie des hommes qu'il avait sous son commandement était incompatible avec ma propre vision des rapports entre soldats et officiers, pour le dire comme quelqu'un d'éduqué. Qu'il fasse ça à ses propres gars, d'accord, mais pas à nous, schattra! Donc, j'ai pris Dieter avec moi, et nous nous sommes mis à la recherche d'Heinrich et de Willi, en tentant de rester à l'écart du pugilat. Par chance, nous les avons trouvé assez rapidement, mais la chance s'est arrêtée là. Ils étaient en effet en train de se battre dos à dos contre une demi-douzaine de gardes de Suddenburg, appelons-les comme ça, qui ne leur laissaient absolument aucun répit. Il était plus que certain qu'ils ne tarderaient plus à les submerger sous le poids du nombre, et comme pour conforter cette prédiction, Willi s'est pris un coup de dague dans la cuisse juste à ce moment. Son assaillant a presque eu le bras sectionné pour sa peine, mais alors qu'il reculait en hurlant, une main pressée sur sa blessure, deux autres prirent sa place dans le cercle, prêts pour la curée. Je n'ai pas eu besoin de regarder Dieter pour savoir que l'on devait faire, et je pense que lui non plus n'a pas hésité une seconde. On a chargé ensemble dans la mêlée, comme il se doit. EPISODE 3: Il n'y a pas grand chose comme avantage au combat qui surpasse le bon vieil effet de surprise Ilse, tiens-le toi pour dit. En fait, je crois qu'il n'y a rien de mieux. Tu peux être un vétéran de dizaines de batailles, instruit par les meilleurs maîtres d'armes pendant des années, avec une armure de plates enchantée et une épée qui brûle toute seule, mais si un petit malin arrive à s'approcher assez près pour t'enfoncer sa dague minable dans le cou sans que tu ne t'en aperçoives, et bah tu es mort, point à la ligne. Il y a plus d'un grand guerrier dans les jardins des Morr qui serait d'accord avec moi, et quelques gars de Suddenburg aussi, deux au moins. Le premier s'est retrouvé avec le crâne fendu sur toute sa longueur avant d'avoir compris ce qui se passait, et le second s'est retourné à temps pour que je lui perce un nouvel orifice en plein front avec le bout pointu de ma rondache. Tous les regards se sont tournés vers Dieter et moi, et lorsque Willi et Heinrich nous ont reconnu, ils sont repartis à l'attaque avec une vaillance renouvelée. Malgré tout, nous n'étions que quatre, dont un blessé, contre sept adversaires, et on a pas eu la partie facile, crois-moi. J'ai hérité d'un énorme type qui maniait un espèce de fauchard à la lame faite de bouts de silex aiguisés fichés dans le manche plutôt que d'acier, et laisse moi te dire que l'exotisme ne s'arrêtait pas là. Il avait la peau noire comme de la poix, et il était recouvert de cicatrices qui semblaient avoir été infligé dans un but décoratif plutôt qu'au cours de batailles (à moins qu'il se soit retrouvé face à un Druchii aussi habile à l'épée qu'avec une plume de calligraphie, mais je ne lui ai pas de mandé, tu penses bien). Comme si ça ne suffisait pas, j'ai également attiré l'attention d'un autre garde, indubitablement impérial celui-ci, même si tanné par le soleil et le sel, petit, l'œil mauvais, et un long couteau dans chaque main. Ces deux-là me sont tombés dessus en même temps, et c'est là que j'ai réalisé que j'étais devenu meilleur bretteur depuis mes débuts lors de la guerre contre le Chaos. Au lieu de me faire couper en pièces par cette tempête de lames, je me suis débarrassé de mes adversaires de deux coups d'épée, et... Bon, d'accord, ce n'est pas exactement que ça s'est passé. Je me suis contenté de reculer en esquivant les coups du colosse et en tenant la petite frappe à distance avec ma meilleure allonge, tout en priant pour que personne ne me tombe sur le dos pendant que j'essayais de survivre. Sigmar m'a entendu, dans une certaine mesure, puisque la première chose qui m'est rentré dedans n'a pas été deux pieds d'acier trempé, mais deux tonnes de pierre. Oui, une colonne, grosse maline. Bref, plus moyen de battre en retraite, j'étais bien embêté. Le géant à la peau noire m'a envoyé un sourire de mauvais augure, avant d'armer une attaque de taille monstrueux qui nous aurait sans doute coupé en deux, moi et la colonne, si je ne m'étais projeté sous sa garde pendant que cette dernière était ouverte, en m'appuyant sur le pilier pour me propulser. Mon adversaire ne portait pas d'armure, et mon cimeterre s'est enfoncé comme d'un rien dans ses entrailles, mais à mon grand désappointement, il a plus eu l'air mortellement surpris que mortellement blessé. Son comparse a profité de notre surprise partagée pour me sauter dessus, et j'ai du lâcher mon arme pour agripper les poignets de mon assaillant et l'empêcher de réaliser sur moi ce que je venais de faire à son gros copain. Je gage que j'aurais réagi comme tout un chacun s'il avait réussi sa manœuvre, c'est à dire que je serais mort, mais heureusement pour moi, et pour toi, j'ai réussi à arrêter le premier couteau à un pouce de mon œil droit, et le second à un pouce dans mon épaule gauche. Oui, ça a fait mal, et nous avons basculé au sol. Pour une fois, la force brute était de mon côté, et bien que mon adversaire se tortilla comme une anguille, j'ai réussi à prendre le dessus, et à placer mes pieds là où je le voulais, c'est à dire à plat sur son ventre. À partir de là, je n'avais plus qu'à pousser, et l'asticot a décollé dans les airs, uniquement pour finir fendu en deux par le coup de son comparse, toujours vaillant mais plus très lucide. Quelque chose de chaud, mou et poisseux m'est tombé sur la joue, et je l'ai écarté sans chercher à savoir ce que c'était. J'ai roulé au sol pour éviter les coups du gros type, à présent tout à fait énervé. Je savais que je devais absolument me relever et trouver une arme avant qu'il n'arrive à me coincer, mais c'était impossible dans cette confusion. J'ai donc continué à onduler comme un ver de terre jusqu'à ce que mon adversaire cesse soudainement de me taper dessus. Un rapide coup d'œil par dessus l'épaule m'apprit pourquoi: à une paume au dessus de l'endroit où j'avais laissé mon cimeterre, une pointe de lance avait crevé la peau. J'ai vu ce bout de métal maculé de sang se retourner dans la plaie, et le colosse enfin vaciller, puis s'écrouler comme une pierre, arrachant du même coup son arme des mains d'Heinrich. Il avait une belle entaille au dessus du sourcil, et ça pissait le sang comme il fallait, mais à part ça, il avait l'air intact. Il m'a adressé un rictus qui aurait pu passer pour un sourire, et a repris sa lance pendant que je faisais de même avec mon sabre. EPISODE 4: On a pas eu le temps d'échanger un mot avant que d'autres olibrius nous foncent dessus avec des intentions meurtrières. Le mien était un gars bâti comme un Norse avec une barbe tressée et une orbite vide encadrée par la cicatrice qu'avait laissée la lame qui l'avait énucléé. En voyant que je l'avais vu approché, il s'est arrêté et a fait mine de dégager une des haches de lancer qu'il portait en bandoulière, mais mal lui en a prit. Tu as intérêt d'être aussi rapide et adroit qu'un elfe pour te débarrasser d'un adversaire de cette manière et à cette distance, et malheureusement pour lui, le manche est resté coincé dans la courroie de cuir une fraction de seconde trop longtemps. Avant qu'il ne puisse réaliser son erreur, il avait une lame à travers le cœur. Pendant qu'il basculait sur le côté en me maudissant dans sa langue barbare, j'ai cherché des yeux un nouvel adversaire, mais c'est à ce moment que la première explosion a retenti, envoyant des corps, des éclats de pierre et beaucoup de poussière voler à travers la pièce. Avant que les hommes de Fredegor aient pu réaliser ce qui leur arrivait, une deuxième détonation s'est fait entendre un peu plus loin, et dans un grondement inquiétant, un énorme moellon de roche s'est détaché du plafond et est venu écraser les trois pauvres types qui se trouvaient juste en dessous. J'ai gueulé: « On sort, maintenant! » et me suis élancé vers l'extérieur en espérant avoir été entendu par les autres. Autour de moi, c'était la débandade la plus complète, et j'ai du faire de l'espace plusieurs fois à coup de rondache et de cimeterre pour pouvoir passer. Pendant que je me rapprochais de l'entrée du palais, deux autres explosions sont venues s'ajouter à la confusion, et j'ai pu entendre de façon très nette d'autres morceaux du plafond exploser en percutant le sol, projetant à chaque fois un véritable barrage d'éclats de roche, comme si une batterie de mortier bombardait l'intérieur de la salle. Je m'en suis pris un dans le bras, mais je n'ai rien senti sur le coup, et j'ai continué à courir vers la porte. Quand je ne fut plus qu'à une dizaine de mètre de l'arche qui donnait sur la place, la pression de la foule est devenue si forte que je n'avais même plus la place d'utiliser mon arme. Quelque chose, ou quelqu'un, empêchait la sortie du palais condamné. Je me suis dressé sur la pointe des pieds, et j'ai vu que notre ogre se tenait juste devant le seuil, son imposant sabre à la main. À ses pieds gisaient les formes brisées de ceux qui avaient tenté malgré tout de passer, et le spectacle avait de quoi faire réfléchir. Tu sais que beaucoup de marchands et d'aubergistes embauchent des ogres pour jouer les videurs, pas vrai? Et bien là, c'était le contraire: impossible de sortir. J'ai entendu la voix de Dieter dans mon oreille me demander ce qu'on faisait maintenant, et j'ai été bien incapable de lui répondre. Heureusement pour nous, une colonne s'est finalement effondré quelque part au centre de la pièce, et les Suddenburgers se sont dit qu'ils préféraient avoir à faire avec trois cents kilos de muscle plutôt qu'avec trois cents tonnes de roche, et tous se sont rués vers la sortie en espérant que ce soit le copain à côté qui se prenne le coup de sabre. Que pouvait-on faire à part leur emboîter le pas? J'ai recommencé à courir en espérant que l'ogre me reconnaisse parmi la foule et me laisse passer, mais lorsque l'immense lame est venue arracher, plutôt que sectionner, la tête des deux types qui se trouvaient à ma gauche, j'ai réalisé qu'il ne faisait pas dans la dentelle, et j'ai plongé en avant pour éviter le même sort que mes voisins. Plutôt que de relever, j'ai préféré continuer à quatre pattes, et réussi à me faufiler entre l'énorme jambe de notre nouvelle recrue et le montant de l'arche de la porte. Le soleil m'a littéralement poignardé les yeux après les minutes passées dans la pénombre de l'antre de Fredegor, et j'ai du les fermer pendant quelques instants pour ne pas que mes pupilles s'ajustent à la luminosité. Du coup, je n'ai pas vu la main qui m'a agrippé par l'épaule et m'a traîné sur quelques mètres pendant que je me débattais comme un beau diable, en vain. J'ai senti quelque chose de froid et métallique s'apposer sur mon front, et étendu une voix crier au dessus de ma tête crier: « Qu'est-ce qu'on fait des survivants, Erwin? ». La réponse du méprisant était presque inaudible à cause du tumulte, mais je l'ai entendu comme s'il me l'avait murmuré à l'oreille: « Pourquoi tu demandes Kurt? Tu veux en offrir un ta femme quand tu rentreras au pays? Finis-les ces fils de putes. » Kurt a eu un petit rire très déplaisant, et j'ai entendu le chien de son pistolet basculer en arrière avec un léger déclic. Et le strip de rigueur... Désolé, j'ai pas pu résister! Schattra, "done" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AttaKk Posté(e) le 22 juin 2010 Partager Posté(e) le 22 juin 2010 Que du bon en prévision ... et le strip ... qui peut resister ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gregauryc Posté(e) le 22 juin 2010 Partager Posté(e) le 22 juin 2010 Encore une fois, du très bon boulot !! T'as un vrai talent pour subjuguer ton auditoire, et tes nouvelles sont succulentes ET que dire des strips, toujours aussi bon !!! Lord T. saura-t-il reconnaître ses bitz? ^^ La photo et l'angle n'est pas en ma faveur, mais je dirais une lame de lance elfe noire en guise d'épée J'ai bon ? Bonne continuation et merci Lord T. dont le moral remonte un peu ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fiasco Boy Posté(e) le 23 juin 2010 Partager Posté(e) le 23 juin 2010 Ouh le vilain! Il se moque, il se gauuusse! :'( Ca promet du goude! J'ai pas trop eu le temps de lire le fleufe, mais asap je le fais! (oué, travail oblige!) En tout cas, ca fait plaisir de te revoir dans ces contrées!! J'vais sans doute m'inspirer de tes travaux sur cette machine de guerre dans des temps plus ou moins proches! (enfin, quand j'aurai fini c'que j'ai à finir quoi!) D'ailleurs, tu as vu les pitous vpc only pour la sortie de Battle? Qu'est-ce que t'en dis? Ca le fait, non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maxwime Posté(e) le 23 juin 2010 Partager Posté(e) le 23 juin 2010 Ah bah ca ce réveil ici aussi Comme je suis bien en retard dans cette trancheOuai bah ca va, y en a qui viennent juste de finir leur deuxième tranche j'te rappel Très sympa ces petits déserteurs, des figurines pleines de personnalité. J'aime bien l'artilleur du canon qui se repose sur une branche, il a un coter un peu hautain à se reposer derrière les lignes pendant que ses camarades vont se faire charcuter au corps à corps. Quand à ce qui est du capitaine ... bah j'adore cette figurine. Bref, finit bien ton CDA ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Litrik Posté(e) le 30 juin 2010 Partager Posté(e) le 30 juin 2010 Horreur ! J'ai lu mais ja pas répondu du premier coup a ton sujet ! Alors pour être franc: Je déteste. Autant les figs que le fluff, en passant par le strip. T'y a cru hein ? En fait j'adore ! J'attendais ton retour avec impatience et j'ai adoré ce que tu nous a fait ! Le strip m'a fait hurler de rire ! PS: Sur un autre CDA j'ai fait un fluff qui devrait t'intéresser ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KaruN Posté(e) le 7 juillet 2010 Partager Posté(e) le 7 juillet 2010 (modifié) Haha ! Bravo pour tes récits ! Il est clair que tu as un grand talent d'écriture (en plus de la peinture). C'est très inventif et astucieux. Le ton est vraiment drôle, et avec ses situation cocasses et ces tournures de phrases débiles, on se croirait dans un Pratchett ! J'ai raté une bonne partie des épisodes. En fait j'ai du lire le premier au tout début, et après plus rien. Et là en déjeunant tranquille j'ai lu l'épisode sur l'ogre dans sa geôle, puis le grand en 4 parties, puis celui où ils arrivent dans la geôle (donc complètement dans le désordre). Je me suis laissé prendre et je pense que je vais essayer de tout lire depuis le début. Ca me fait penser aux récits de Mynus et Raoul que je n'ai jamais eu le temps de lire. J'espère que tu va poster tout ça en section récit. Ca le mérite laaargement. Karun, ha oui, et peint aussi. Modifié le 7 juillet 2010 par KaruN Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Schattra Posté(e) le 30 juillet 2010 Auteur Partager Posté(e) le 30 juillet 2010 Épisode 27 (le cerveau dans l'ascète) Dans les profondeurs de la section je plonge une fois encore pour arracher à sa gangue douillette d'oubli ce sujet qui n'en demandait décidément pas tant. Sauf que cette fois, c'est différent, car cette fois, c'est (très probablement) la dernière. Car nous y sommes (et plutôt deux fois qu'une). Huit mois se sont écoulés depuis la naissance de ce très beau Choix des Armes. Huit mois très intenses, très instructifs et très divertissants pour ma part, huit mois qui m'auront permis d'ajouter 1000 points de figs au caractère très affirmés dans ma vitrine (où elles trônent fièrement à présent, avec un regard un poil méprisant sur le reste de ma collection, peinte, contrairement à elles, sans thème défini), mais s'achèvent néanmoins avec des regrets, et un sentiment d'inachevé. Regrets de n'avoir été là qu'en pontillés (et très espacés qui plus est) durant cette dernière tranche, qui restera d'une maigreur famélique par rapport à ses camarades. Je m'étais pourtant juré que ça ne m'arriverait pas, mais j'ai quelque peu délaissé le monde merveilleusement torturé de Warhammer ces dernières semaines, pour des raisons plus ou moins nombreuses, défendables et mauvaises. Le résultat n'en est malheureusement que trop visible sur cette page. Regrets également de n'avoir pas soutenu mes compagnons de galère autant qu'ils le méritaient, et le méritent encore, durant ce même laps de temps. Du fond du coeur, bravo donc à Sargass, Keïnach, Etnadrol, neijih, Clemich, Orphée, burbken1, Namrod, Maxwime, Otto von Kiezel, Gorbad Griff eud'fer et Onitsha, mes vaillants camarades explorateurs des Terres des Sud. Souvenez-vous de ce qui ne sont plus là aujourd'hui, et continuez d'encourager ceux qui le sont toujours, car, plus que jamais, ils en ont besoin! Remerciements tous particuliers à notre génial Maître d'Armes, l'irremplaçable Lord T., qui m'a fait l'honneur d'être mon ennemi juré durant le Choix des Armes, et n'a cessé de se démener pour tirer le meilleur de nous-mêmes des hobbyistes dont il avait la "charge". Quand on connaît la charge de travail que demande la simple participation à un Choix des Armes, on ne peut qu'être admiratif devant le travail effectué, qui plus est avec un emploi du temps professionnel souvent très chargé. Chapeau l'artiste. Remerciements également aux stakhanovistes qui font tourner la section et l'améliorent sans trêve ni répit, et dont nous autres, simples membres, ne voyons que la partie émergée: KaruN 1er, plénipotentiaire éclairé, et ses deux vizirs: Skyvince et Arkaal. Enfin, un grand merci à tous ceux qui sont passés par ici, ne serait-ce que pendant un quart de seconde (le compteur de visionnage est souvent d'une aide précieuse au créateur de post, toujours anxieux de trouver un public). Un merci encore plus grand à ceux qui ont pris le temps de dire ce qu'ils pensaient de mon travail, et des remerciements encore plus appuyés à ceux qui se sont plus ici au point d'y revenir régulièrement, en premier lieu desquels mes potos Litrik et Fiaco Boy! Sentiment d'inachevé, car beaucoup des projets que je voulais mener à bien au cours de ce Choix des Armes resteront dans leurs cartons au fond de ma tête, à commencer par la partie fluff, qui ne sera pas terminée en temps et en heure. Dès le début, j'ai su que j'aurai du mal à tenir les délais, et mon relâchement de ces dernières semaines n'a évidemment rien arrangé. Je laisse donc mon narrateur dévisager le canon pointé sur son front, incertain du sort qui lui sera réservé sur cette place de Suddenburg. J'avais également quelques projets de modélisme qui resteront lettre morte, comme un attelage pour tracter mes machines de guerre à travers la jungle. L'idée me semble bonne, et j'ai assez de rabiots pour lui donner forme, alors qui sait? Au final, je laisse ceux qui sont venus à bout de ces lignes un peu rébarbatives, mais qui me tenaient à cœur, avec les dernières photos des dernières figurines peintes. J'aurais voulu terminer de la manière dont j'ai commencé, mais j'ai déjà plus d'une heure de retard sur le planning, alors... Eol: Les derniers survivants: Les Servants du Feu d'Enfer: And because some things never change... Schattra, "et maintenant cap au Nord" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Litrik Posté(e) le 1 août 2010 Partager Posté(e) le 1 août 2010 Haaaaaaaa mais pourquoi tu t'en va Schattra ! Mon sujet favori de la section CDA Pourquoi ? Sinon tes figs sont en Ouip mais c'est du bon début.... J'aimerai bien les voir finie un jour ! Malgré tout bonne continuation mec ! Ça aura été un plaisir de suivre tes aventures figurinistiques ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fiasco Boy Posté(e) le 4 août 2010 Partager Posté(e) le 4 août 2010 Un feu d'enfer en salami! >< Mais ou va-t'il chercher tout cela? Quel dommage ce départ... Mais je te comprends, le hobby, si passionnant soit-il, prend du temps, et la vrévie (cette chienne légendaire) ne le supporte pas... Mais bon! C'est la fin d'un cda, mais pas la fin d'une carrière!! Si ce sujet se clos aujourd'hui, j'ose espérer que ce n'est que pour permettre à son frère ainé de revenir des limbes de la section SàLT ! C'est que ton Empire, c'est comme les cacahuètes... Ca à l'air de rien au début, mais une fois qu'on y a goûté, impossible de s'arrêter. Donc, j'estime, en tant que fidèle suivant, être en droit de réclamer des doses de Schattra, de temps à autres. (Puis tu le dois aussi à tes pitous, qui sont sans doutes, tes plus grands fans, même s'ils ne le montrent pas...) (en particulier sur le champ de bataille! ) Bref, à bientôt dans le vieux monde, camarade! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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