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La conscience du monolithe


Zarathoustra

Messages recommandés

Invité Feurnard

Egalement lu, mais à quelle heure ! Ca en vaut la peine, je n'en doute pas ; néanmoins, tu comprendras que normalement, moi, en ce moment, je devrais dormir. Pour excuse, je dirais que je m'occupais plus de l'auberge à Gotrek et du RC que de tous les autres textes (exepté Lexoram).

Maintenant, une critique de derrière les fagots... ben une tonne de points positifs avec des descriptions (surtout celle du roi-sorcier, on s'y croirait) somptueuses, une trame qui se file un peu mieux que ce que j'en percevais au départ mais encore des personnages trop superficiels. La richesse de ton vocabulaire est sans doute ton point le plus fort et la longueur du récit comme sa mise en forme est un plaisir pour les yeux.

J'ai également aimé ce que j'appellerais une transition : lorsque nous quittons un Pierrot qui tombe dans les nimbes pour rejoindre un elfe noir courant dans les plaines ; loin d'être brutal, c'est agréable et aisé pour le lecteur. Voilà qui méritait d'être souligné. Je tiendrais par contre à savoir si le fait qu'un personnage d'un ordre important se permette de révéler ses ambitions au jeune homme dont, finalement, il ne connait rien, est fait exprès.

Bon, je crois qu'il est inutile d'en rajouter. Il me faut quitter ton français (merveilleux) pour mon allemand (pitoyable). Un dernier regret que je ne peux éviter : l'obligation que tu as de faire parler Malékith. C'est plus fort que moi, j'aime pas toucher à ce genre de personnage. Et même ta splendide mise en scène me reste difficile à avaler tant on offre de points de vue différents à son sujet...

Feurnard, quand on trouve le temps...

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Bon, je commence enfin à continuer la lecture de ton texte, mais...

ça commence mal! J'attends énormément de ton travail (au vu de ce que tu nous as déjà fait) et je tombe sur:

D’une part, l’accepter aurait été un signe de faiblesse de sa part mais il soupçonnait également la province voisine d’en être à l’origine. Pour être plus exact, il devinait que son confrère cherchait là à lui faire payer ses démarches entreprenantes auprès de son épouse. Et c’était habilement mené car, s’il était nettement meilleur orateur et diplomate que lui, il n’avait pour l’instant trouvé aucune parade pour le contrer, car après tout, cette manœuvre souterraine avait officiellement comme but l’intérêt général de tous. Seulement, cette route allait détourner nombres de caravanes de sa province car elle leur ouvrait une voie directe vers les portes de la Capitale.

Ce "d'une part" abandonné, m'a déconcerté. Il n'est pas repris plus loin (ou alors, trop loin), bref, c'est pas très sérieux.

Ensuite, la transition entre la rencontre Pierrot/Berdenmentul me semble assez étrange. Trop brutal à mon goût. Bon, allez... Je me remet à lire (plus tard, pour le moment, je suis appelé ailleurs.)

En espérant trouver mieux par après, Imperator, empereur du néant.

ps: et oui, pas beaucoup lu, mais on est tous dans ce cas... (ou presque, et puis, avec le nombre de textes à lire (à croire que l'on poste sans réfléchir, vu la vitesse) c'est dur dur... Maintenant, je sélectionne!)

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Invité Lexoram

Je trouve que ton récit est sublime et qu'il est très bien écrit, tu as une bonne imagination, et les descritions sont super(c'est vrai en plus)l'intrigue est elle aussi bien construite,sache que j'attends la suite avec impatience!

ps: je trouve que tu as raison quand tu dit que les lecteurs et les commentateurs se font rares!

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  • 2 semaines après...
Invité Gotrek Gotrekson Poing de Fer

La léthargie de la rubrique ne m'aura pas empêché de te lire!

J'adore, tout comme les trois noms d'Alarielle et La Voix du Maître Tao Lin.

Ton style est très fluide, ton vocabulaire est riche (capitaliste, va! T'en laisse même pas pour les arrivants!), les personnages sont bien menés, et, plus fort encore, ton scénar est, au premier abord, extrêmement captivant.

Pour tout ça, tu m'épate. :evilgrin: (ça faisait longtemps que je n'avais pas mis de "clap" dans mes critiques, moi! :evilgrin: )

Deux regrets pourtant:

-Le nombre de personnages centraux. Certes, en faire plusieurs intensifie l'échelle de ton texte, jusqu'à lui donner un rayon planétaire, mais ça tue l'action. A voir pour la suite si tu vas les réunir...

-Les situations et paragraphes, trop courts, rendent parfois le récit dur à suivre. Et la vitesse de l'histoire s'en trouve ralentie... :lol: Par contre, ça augmente le suspens. Ca, je ne peux pas le démentir.

Bon, voilà tout. Affaire passionnante et qui conforte toute l'estime littéraire que j'ai pour toi. :evilgrin:

GGPF "L'astre solaire avait donc disparu. Mais, soudain, parmi les ténèbres, s'éleva une lumière nouvelle, une puissance divine, un archange. Et GGPF le reconnut: c'était Zarathoustra."

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  • 3 semaines après...

Sa tête tournait toujours, le voile bleu sur ses jeux était toujours présent. Peu à peu, Pierrot émergeait de son malaise. Des voix avec des morceaux de phrases traversait son esprit : « Hérétiques… Menaces terribles… Signes de Sigmar…Atout majeur à jouer… » Tout ces mots passaient à une vitesse phénoménale dans son esprit, ne laissant de traces que lorsqu’il sentait un lien étroit avec son évanouissement. Des flammes semblaient vaciller autour de lui, des images déformées se tordaient dans ses yeux, mais la réalité commençait à reprendre form, les sons devenaient plus distincts. Les sigmarites étaient en cercle autour de lui, formant des petits groupes qui l’ignoraient complètement, plongés dans des discussions passionnées. Sans trop savoir pourquoi, il avait peur, comme si partout autour de lui se cachait une grande menace. Il avait envie de s’enfuir mais il était bien trop faible pour se lever.

-Que faisons-nous ? Elle doit arriver d’un moment à l’autre !

- Pour l’instant, nous n’avons rien découvert, seul Berdenmutel est convaincu qu’il sait quelque chose… D’ailleurs, où est-il passé ?

- Je suis là ! Je vous regarde vous animer et je constate, comme à votre habitude, que personne ne s’intéresse vraiment à notre ami. Vous recherchez juste à prendre son secret pour votre quête de pouvoir. Mais, ici bas, nous n’arriverons jamais à inspirer autre chose que la crainte et le fanatisme si nous n’avons pas plus de compassion !

- Tu es décidément un hérétique toi aussi ! , fit l’homme à la redingote. Son ton était pince sans rire. Pourquoi devrions-nous mettre en péril tout notre plan pour une simple intuition ? Je sais que tu es très secret sur tes dons de prophétie et autres jeux de devinettes, mais ne crois pas que cela te place au dessus de nous ou que tu échappes à toutes nos règles !

- Ne t’inquiète pas pour moi. Je suis certain qu’il a trouvé le signe. J’ai ressenti immédiatement en lui une grande capacité de réception. Mais, imbéciles que vous êtes, vous n’êtes pas prêt à l’écouter, d’ailleurs vous n’écoutez jamais rien sauf votre propre folie !

- Attention, tu vas un peu trop loin. Nous savons que ta foi est grande, nous savons tout ce que tu as déjà accompli, tu as même ma confiance, mais c’est à toi de ne pas outrepasser certaines limites !

- Tu as raison, Obermeyer. Mais vous êtes devant ce qui peut bouleverser l’équilibre de toutes les nations et vous putez sur des questions stériles de dogme ou de choses encore plus puériles !

Un bruit dans le couloir arrêta net la discussion.

- Elle arrive !

- C’est malin ! Nous n’avons rien pu décider. Tout ceci n’aura servi à rien. Mettez le dans la pièce de derrière, rajouta Obermeyer en désignant le jeune parterre.

Trois hommes se penchèrent sur Pierrot et l’emportèrent. Il était redevenu lucide et avait suivi avec intérêt toute la dernière discussion. Derrière lui, un grand silence régnait maintenant, à l’exception d’un léger bruit de pas caressant la pierre des escaliers. Il préféra simuler l’inconscience,, trop heureux de s’éloigner de cette assemblée, mais il mourrait envie de voir la personne attendue. La porte s’était refermée derrière lui avant qu’il n’ait pu se décider à agir entre simuler l’inconscience ou se redresser au risque d’attirer des foudres sur lui. Une chose était sûre, il s’agissait d’une femme.

**

*

Dorénavant vous m’appellerez Grug’Martenden, celui qui voit, les Dieux guident nos pas !,clama le sorcier au milieu de son armée. Les maraudeurs formaient maintenant plusieurs vagues humains autour de lui. Des chevaliers s’étaient joints à eux, convertis par la ferveur du sorcier. Ce dernier aimait maintenant haranguer ses troupes, il sentait dans ces moments toute sa puissance montée dans son corps. Sa volonté était leur seule boussole, et plus que ses pouvoirs, il découvrait toute la force du Verbe.

Pourtant, tout n’était pas net dans son esprit. Au contraire, un grand doute y faisait jour, lorsqu’au milieu de la nuit un grand voile rouge s’emparait de lui. Cette couleur le laissait perplexe, elle n’appartenait pas à son Dieu, sa signification le perturbait car tous les changements qu’il ressentait le menaient vers une piste qui le menait dans un océan de perplexité et d’incohérence. En aucun cas Khorne n’aurait pu parler à un adepte de la magie, lui le lâche qui se cache derrière les bois pendant les combats, qui ne maniait pour ainsi dire jamais l’épée.

Encore et toujours, il se demandait s’il n’était pas simplement fou et que c’était cette folie qu’il dispensait autour de lui avec tant de conviction. Pour être honnête, il ne se sentait pas différent d’avant, ses pouvoirs n’étaient pas plus puissants qu’avant, son bras soulevait son épée avec la même force. Rien n’avait foncièrement changé. Seul ce voile rouge et une violente impulsion à détruire ce qui s’opposait à lui l’habitaient depuis peu.

Pourtant, un autre signe le rongeait maintenant. Il ne supportait plus de voir le ciel limpide d’hiver, ni le l’eau clair de la fonte des neiges, ni l’uniforme outremer de ses ennemies. En fait il exécrait cette couleur bleue. Le Bleu et le Rouge donnent la couleur de mon Dieu, se rassurait-il, voila le signe que je cherchais. Pourtant rien n’expliquait sa répulsion de l’un ni son attirance de l’autre. Les implications étaient telles qu’il préférait s’arrêter à cette seule justification valable à ses yeux.

Pour l’heure, il menait ses hommes au Sud. Bientôt ils seraient au coeur de l’Empire et, bientôt, il en était persuadé, il saurait le pourquoi de cette direction. Il regarda au dessus de sa tête l’azur immaculé, un tremblement violent s’empara de lui. Ses hommes le regardaient lutter contre cette pulsion en lui, avec le respect de ceux qui ne souhaitaient pas vivre ce calvaire, de ceux qui préfère obéir plutôt que payer sa dîme à des Dieux si capricieux.

**

*

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Ainsi parlait...

Bon, pour être honnête, et ce dit avec une pincée de honte, je ne lit que peu les textes (nombreux) que l'on trouve sur cette partie assez intime du forum. Généralement, au bout de 4 5 lignes, je décroche, avant tout par manque de temps, et parceque je suis très difficile en ce qui concerne mes lectures. J'en attends tout de suite rythme, et clarté de "l'image".

Donc, J'ai lu Khaela (texte très court, dont le rythme me plait), et pi, toi maintenant. Donc, bravo d'avoir su capter mon attention, et j'attends la suite avec impatience.

Juste, pour finir, lancer un texte aussi ambitieux sur ce type de média... Courage :innocent:

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  • 1 mois après...
Juste, pour finir, lancer un texte aussi ambitieux sur ce type de média... Courage :crying:

J'avais fais pire avec les 3 noms d'Allarielle (que j'ai retiré du forum par faute de lecteurs et autres objectifs derrière). Mais au risque d'être prétentieux, j'écrit ce texte un peu comme une distraction sans trop y réfléchir de trop. Les idées viennent d'elles-même et la trame s'impose à moi pour l'instant de manière cohérente sans me forcer.

Cela dit, c'est vrai qu'il faudrait que je m'y remette prochainement, moi. Je m'étais fixé comme objectif d'une page par mois, et là je baisse ma moyenne.

Bon je tache d'y remédier , mais faut que fignole mon texte du concours.

Zarathoustra

"La dilettante a ses limites"

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J'avais fais pire avec les 3 noms d'Allarielle (que j'ai retiré du forum par faute de lecteurs et autres objectifs derrière)

:P:crying::P:P

Par contre quand tu vas poster de nouveau : Mets un résumé parce que j'ai peur d'avoir oublié des trucs ! Et fodrait peut être pas que je relise tout depuis le début, non ?

@+

-= Inxi, taquin =-

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« Dorénavant vous m’appellerez Grug’Martenden, celui qui voit, les Dieux guident nos pas ! », clama le sorcier au milieu de son armée. Les maraudeurs formaient maintenant plusieurs vagues humains autour de lui. Des chevaliers s’étaient joints à eux, convertis par la ferveur du sorcier. Ce dernier aimait maintenant haranguer ses troupes, il sentait dans ces moments toute sa puissance montée dans son corps. Sa volonté était leur seule boussole, et plus que ses pouvoirs, il découvrait toute la force du Verbe.

Pourtant, tout n’était pas net dans son esprit. Au contraire, un grand doute y faisait jour, lorsqu’au milieu de la nuit un grand voile rouge s’emparait de lui. Cette couleur le laissait perplexe, elle n’appartenait pas à son Dieu, sa signification le perturbait car tous les changements qu’il ressentait le menaient vers une piste qui le menait dans un océan de perplexité et d’incohérence. En aucun cas Khorne n’aurait pu parler à un adepte de la magie, lui le lâche qui se cache derrière les bois pendant les combats, qui ne maniait pour ainsi dire jamais l’épée.

Encore et toujours, il se demandait s’il n’était pas simplement fou et que c’était cette folie qu’il dispensait autour de lui avec tant de conviction. Pour être honnête, il ne se sentait pas différent d’avant, ses pouvoirs n’étaient pas plus puissants qu’avant, son bras soulevait son épée avec la même force. Rien n’avait foncièrement changé. Seul ce voile rouge et une violente impulsion à détruire ce qui s’opposait à lui l’habitaient depuis peu.

Pourtant, un autre signe le rongeait maintenant. Il ne supportait plus de voir le ciel limpide d’hiver, ni le l’eau clair de la fonte des neiges, ni l’uniforme outremer de ses ennemies. En fait il exécrait cette couleur bleue. Le Bleu et le Rouge donnent la couleur de mon Dieu, se rassurait-il, voila le signe que je cherchais. Pourtant rien n’expliquait sa répulsion de l’un ni son attirance de l’autre. Les implications étaient telles qu’il préférait s’arrêter à cette seule justification valable à ses yeux.

Pour l’heure, il menait ses hommes au Sud. Bientôt ils seraient au coeur de l’Empire et, bientôt, il en était persuadé, il saurait le pourquoi de cette direction. Il regarda au dessus de sa tête l’azur immaculé, un tremblement violent s’empara de lui. Ses hommes le regardaient lutter contre cette pulsion en lui, avec le respect de ceux qui ne souhaitaient pas vivre ce calvaire, de ceux qui préfèrent obéir plutôt que payer sa dîme à des Dieux si capricieux.

**

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Modifié par Zarathoustra
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Berenis, l’Azur, et Drekkner, le Drucchi, sans le savoir, faisait route vers une même destinée. Chacun dans leur navire se dirigeait sur l’Empire au gré des vagues et du vent. L’un devait avertir les humains de la menace probable et coordonner les forces des elfes avec celles des humains pour lui faire face. L’autre devait chercher et comprendre le réveil des Monolithes Noirs de Naggaroth pour donner la clé de leur puissance à son Roi, le maigre avantage qu’il disposait sur son ennemi résidait dans le recoupement des témoignages des espions elfes noirs avec les phénomènes d’Ulthuan. Sans le savoir, ils cherchaient la même chose. Dans les deux cas, la seule certitude qu’avait leur peuple était de reconnaître que ces monolithes répondaient à quelque chose qui devait rayonner hors de leurs propres pays. En débarquant sur le plus grands royaumes humains, ils comptaient bien obtenir des informations plus précises, des indices susceptibles d’éclairer les mages de leur nation.

L’Empire était tout désigné pour une telle mission car son territoire était suffisamment vaste pour espérer réussir leur mission. Chacun comptait se présenter à la cours de l’Empereur. Drekkner avait construit un plan pour condamner tout émissaire d’Ulthuan. Rien de bien compliquer, il disposait d’un laisser passer de Malekith lui-même qu’il n’avait qu’à glisser dans les affaires de son adversaire. C’set lui qui arriva le premier à la cour de Karl Franz.

- Que me vaut la visite d’un elfe ?

- Mon seigneur, nous avons des nouvelles extrêmement importantes à vous communiquer. Pour l’instant, nous ne sommes pas en mesure de vous dire si elles sont bonnes ou mauvaises. Mais peut-être qu’en les recoupant avec certains événements qui se passent ici et que nous ignorons pourrons-nous ensemble le déterminer ?

- Tiens donc. Voilà que les elfes ignorent ce qui se passe ici ? , ironisa l’Empereur. Vos mages n’ont pas ressentir la menace qui se prépare au nord ?

Berkkener fut un instant troublé, non pas par le ton employé, mais par la teneur des paroles car, effectivement, il ignorait tout, un haut-elfe en aurait certainement eu connaissance. Très rapidement, son esprit cherchait quelle piste empruntée pour qu’elle lui permette à la fois d’obtenir le plus d’informations et de conserver la confiance de l’Empereur en cas de confrontation avec l’autre émissaire. Il décida d’y aller au culot, il n’y avait pas mille menaces qui venaient du nord.

- Si vous parler de la menace du Chaos, c’est justement le pourquoi de ma présence. Seulement nous ignorons si elle est liée à des phénomènes que nous avons constatés sur notre île.

- A vrai dire, elle ne me semblait pas si extraordinaire, mais ce sont vos propos et votre venu qui me font maintenant craindre le pire. Pour l’instant, nous avons juste une horde, a priori menée par un sorcier. Le seul fait inhabituel vient plutôt de la facilité qu’il possède à rassembler des troupes venant d’horizons très variées. C’est un peu comme si tous les Dieux sombres s’étaient mis d’accord pour l’aider. Cela peut devenir inquiétant à moyen terme, mais pour l’instant son armée reste maîtrisable. D’ailleurs, je m’apprêtais à l’anéantir en envoyant à mon tour quelque chose de plus organisé que les quelques bastions défensifs qu’ils avaient rencontrés jusqu’à présent. Mais si vous venez me dire que quelque chose d’extraordinaire se passe qui inquiète aussi vos hautes instances…

Il y avait toujours derrière ce ton noble et sérieux un voile d’ironie sur ces propos. L’elfe éprouvait un certain respect devant ce détachement hiératique et la naturelle autorité qu’il dégageait.

- Vous vous moquez, mais ce que j’ai à vous dire pourra vous fixer sur votre destin. Mais avant, j’aimerais être certain de posséder tous les éléments pour mon exposé.

- Je me doutais bien que vous ne vous dévoileriez pas comme ça. Vous croyez que nous vous attendons systématiquement pour sauver le monde ? Je ne veux pas vous froisser. Seulement, j’aimerais que votre peuple nous regarde différemment, vous n’avez pas à faire à des enfants, nous vous l’avons déjà prouvé plusieurs fois par le passé. Vous pouvez vous confier, si nous pensons que nous savons quelque chose qui puisse vous aider nous vous le dirons.

- C’est-à-dire que l’interprétation de ce que j’ai à dire peut varier du tout au tout. J’ai besoin de savoir si, sur votre territoire, des phénomènes inhabituels se sont produits. Des phénomènes qui auraient pu modifier le comportement de vos sujets ?

- Non, pas à ma connaissance. Pouvez-vous être plus précis ?

L’elfe hésitait. Il sentait qu’il n’aurait pas ce qu’il recherchait et que l’empereur était de bonne fois. Maintenant, il cherchait un moyen de poursuivre sa mission.

- Avez-vous des alignements de monolithes ?

- Vous êtes terriblement vexant. J’ai l’impression d’avoir en face un médecin qui refuse de faire son diagnostique ! Bien sûr que nous en avons ! Où voulez-vous en venir ?

- Vous avez raison. Je vais vous donner les faits. Au nord d’Ulthuan, nous disposons de gigantesques monolithes. Ces derniers ont toujours possédé une puissance contenue en eux, quand je parle de puissance, c’est à défaut de savoir précisément ce dont il s’agit. Nos sages ont toujours considéré ces pierres comme étant sacrées, comme si elles appartenaient à des vestiges passés et oubliés. Ceux-ci ont depuis quelques mois changé d’aspect, libérant un pouvoir inconnu. Comme je vous l’ai déjà dit nous ne savons pas encore si ceci est de bonnes ou de mauvaises augures. Nous espérions que vous auriez pu nous aider à le déterminer.

- Comme je vous l’ai laissé entendre, je n’ai pas la connaissance de tels évènements, mais notre territoire est vaste, peut-être dites-vous la vérité sur ce qui se passe aussi su mon sol. Je ne puis pas vous aider. Mais je ne manquerais pas de vous tenir informer le cas échéant.

- Merci, mon seigneur. Permettez-moi cependant une nouvelle requête…

- Je vous écoute.

- Voilà, je souhaiterais enquêter avec votre permission et bien sûr avec qui vous souhaitez pour m’accompagner. Voyez-vous, ce que vous m’avez indiqué sur le Chaos n’est pas pour me rassurer. Je souhaiterais que nos peuples puissent, si une véritable menace se précisait, agir contre au plus vite et coordonner leur action. En restant ici à vos côtés et aux premières loges, je ne pense vous déranger mais au contraire vous aider.

- Bien sûr que j’accepte. Mais quand votre peuple acceptera une démarche réciproque, je pense que beaucoup de choses auront changé sur la terre. Vous êtes un allié incontournable mais apprenez à ne pas nous sous-estimer ! Allez, qu’on dépêche une dizaine d’hommes pour l’accompagner dans sa mission. Et j’espère que nous nous trompons tous sur ce que nous envisageons ! Puisse Sigmar veiller sur nous tous !

Pendant ce temps, Berenis débarquait. Il était accompagné d’une dizaine de compatriotes pour présenter ses hommages à l’empereur.

**

*

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C’set

J'ai trouvé une faute ! J'ai trouvé une faute ! Incroyable :lol::clap: B)

Bon sinon je le redit mais tu gagnerai à mettre un résumé avant le début d'un texte car je suis largué à chaque fois et je suis obligé de chercher au tréfond de ma mémoire ! :wub:

Sinon impec' et continues !

@+

-= Inxi qui attends la rencontre ! =-

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Si tu regardes bien, il y en a une belle au début du second texte... Du coup je la laisse (et y ne a même sans doute d'autes, j'ai fait uniquement confiance à Word..)

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la naturelle autorité

J'inverserais l'épitète et le nom. M'enfin, je dis ça, c'est plutôt pour éviter le monolignique. :wub:

C'est un très bon texte! :lol: Désolé, j'ai plus le temps pour une critique sérieuse...Les révisions m'appellent... :clap:

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Invité Mr Petch

Je suis désolé, Zara, je n'ai pas été si emballé... :lol:

Je l'ai relu en enteir et je trouve que, autant la multiplicité des points de vue rend "l'intro" intéressante, autant ça obtrue le reste du récit. Ce qui m'a manqué, c'est l'impossibilité de m'identifier dans un des persos. Le problème est que ton système ne te permet pas de passer du temps sur chaque personnage, et ainsi je trouve que la lecture est rendue difficile.

Bon, c'est mon point de vue, et je le partage. Maintenant, pour le reste, l'histoire est intéressante, le thème original et on sent quelque chose de "grand" derrière.

Donc continue !

Mr Petch

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Je crois que tu as raison. Tout ceci est trop éclaté, mais cela vient du processus d'écriture qui est très étalé et livré au fur et àmesure. Si je devais le refaire , je structurerais davantage en regroupant plus les parties des interessées. Bref, il faudrait que le récit soit beaucoup plus avancé et que je ne le livre qu'après l'avoir réorganisé.

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Tout ceci est trop éclaté, mais cela vient du processus d'écriture qui est très étalé et livré au fur et àmesure. Si je devais le refaire , je structurerais davantage en regroupant plus les parties des interessées.

Rien compris mais c'est pas grave :-x

Bref, il faudrait que le récit soit beaucoup plus avancé et que je ne le livre qu'après l'avoir réorganisé.

Bah tu sais ce qu'il reste à faire ? Envoies la suite pour voir !

@+

-= Inxi =-

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Invité Wilhelm von Morr

Un texte génial !

Côté fautes d'orthographe, il y en a évidemment quelques unes mais je n'ais pas le courage de les relever, et puis elles ne sont pas majeures, et ne choquent pas.

pour ton nombre de lecteurs, il est possible que cela vienne du titre. J'avoue qu'au départ, il ne m'enballait pas, mais n'ayant rien d'autre à lire, je me suis penché sur le texte, pour être soufflé dès les premières lignes. C'est superbe, et ça change des histoires de grands guerriers et de batailles (je ne doute pas que cela viendra, mais je me demande comment tu les traitera...)

:-x

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  • 2 semaines après...

Lorsque Berenis mit ses pieds sur ce continent, sa tête se mit à bouillonner, un mal de crâne le vrilla au sol. Ses camarades, paniqués, demandèrent de l’aide autour d’eux. Quelques instants après, il sombrait dans l’inconscience, un voile bleu devant les yeux. Derrière l’incroyable douleur qui le submergeait, aucune pensée ne pouvait sortir, seule une étrange sensation de sécurité. Lorsqu’il reprit connaissance, il savait qu’une partie de son destin s’écrirait ici, qu’une partie de lui avait besoin de quelque chose qui se trouvait ici. Une forme de sérénité l’habitait sans qu’il eût pu en savoir la raison : l’épuisement ? Cette couleur bleue comme la marque de son peuple ? Ou le soulagement d’en avoir terminé avec la douleur ? Ce paradoxe l’obnubilait car il n’arrivait pas à définir la nature de ce mal, ni s’il était un signe si positif que ce qu’il ressentait maintenant. Il sortit de la tente et aspira l’air autour de lui à plein poumon, puis rejoignit ses camarades.

La délégation elfique ne tarda pour prendre la route de la capitale. Drekkner eut juste le temps d’en prendre connaissance avant de partir. Pour son malheur, il ne put obtenir d’entretien pour essayer de fermer un piège contre les nouveaux arrivants. Sa priorité était d’ailleurs tout autre, il s’agissait en premier lieu de se sauver avant qu’il ne se retrouve compromis. Difficile de se présenter à eux sans éveiller de soupçons, il souhaitait conserver le plus possible un visage anonyme à leurs yeux.

Pendant les jours qui suivirent son départ, il s’arrangea pour obliger ses compagnons à rester à quelques heures de la capitale. Il profita de la nuit pour se rendre au palais en secret, le jour de leur arrivée auprès de l’Empereur. Un espion de Naggaroth a tout loisir de se déplacer le plus invisiblement du monde dans n’importe quel endroit. Une fois dans les murs, il se grima de manière à se faire passer pour un valet de l’un des nouveaux arrivants, ceux-ci étaient encore arrivés trop récemment pour être clairement identifiés par les serviteurs du château, pour ces derniers, ils étaient tous des elfes, difficile pour eux de les reconnaître tous autrement que par leur vêtement ou leur voix.

Une fois ses futurs victimes localisées, il passa le reste de la nuit à se dissimuler le plus prêt possible de leur suite. Il dût attendre la fin de matinée pour agir. Il comprit à la tenue de ses faux frères qu’ils avaient obtenu l’entretien auprès de l’Empereur. Ne resterait dans leur pièces que les éventuels serviteurs. C’est là qu’il devait réussir son plan. Il se mit en guet un instant. Une personne sortit peu de temps après, il ne devait donc rester que trois quatre elfes. Il s’approcha de leur porte, se faufila furtivement dans la pièce. Il s’agissait d’un petit salon privé. Rien de très luxueux, même si les humains devaient avoir une toute autre opinion. Une discussion avait lieu dans une pièces d’à côté, sans doute autour d’un jeu de cartes. Il en profita pour jeter un œil dans les autres. Plusieurs d’entre elles étaient des chambres. Il en choisit une au hasard.

Seules quelques affaires avaient été sorties des sacs. Le lit à baldaquin remplissait l’essentiel de l’espace. Une magnifique épée reposait dans son fourreau le long d’une chaise. Il ne put s’empêcher de s’en saisir et la sortir pour la contempler. C’était un très bel ouvrage, la personne qui logeait ici devait avoir de hautes fonctions, elle ferait donc l’affaire. Il lui fallait maintenant trouver un endroit pour dissimuler le document compromettant. Cela devait être suffisamment bien dissimulé pour que l’elfe ne le découvre pas mais encore évident pour quiconque le cherche délibérément. Il avait beau fouillé, rien ne lui apparaissait adapter.

Soudain, des pas résonnèrent dans sa direction. Il se glissa derrière un rideau, une dague à la main. Le nouvel arrivant s’assit sur le lit, prit des bottes et se mit à les cirer. La situation agaça au plus au point le drucchi. Plus il tardait, plus les chances de se faire capturer augmenteraient. En outre, ses excuses auprès de son escorte finiraient par ne plus être crédibles. Lentement, il se mit à respirer pour faire le vide dans sa tête, tandis qu’il serrait le manche de son arme, puis il mit sa main gantée sur le rebord du rideau pour saisir le moment le plus propice pour bondir sur sa victime qui était de dos. Il lui faudrait la neutraliser sans bruit.

Lorsque le serviteur posa la botte cirée pour en changer, il plongea immédiatement sa main sur la bouche de sa victime tout en lui fracturant de l’autre les cervicales d’une torsion sèche de la nuque. La surprise fut telle qu’il n’y eut aucun bruit, le corps s’affala sur le lit comme pour dormir. Dans sa précipitation, il avait laissé sa dague tomber sur le lit, celle ci glissa par terre avec la chute du corps. Longtemps, le son resonna dans sa tête, son esprit paralysé par la panique.

Il s’arrêta pour saisir le moindre son suspect autour de lui, mais rien ne l’alarma à nouveau. Son regard parcourut à nouveau la pièce, il ne voyait toujours pas de cachette. Toutefois, il comprit qu’à côté, la partie de cartes tirait sur sa fin. Il se résigna à glisser le document dans les bottes de sa victime : si ce n’était pas des humains qui le découvraient, et bien, au moins, il aurait réussi à détruire une belle ambiance parmi la délégation asur. Il sourit intérieurement. Juste avant de quitter la pièce, il saisit de la splendide épée pour dissimuler le motif de son méfait. Lorsqu’il sortit, les couloirs étaient toujours déserts. Seulement il avait encore moins de temps qu’il n’avait escompté pour quitter le château.

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Pendant ce temps là, la nouvelle arrivée des elfes suscitait la surprise de l’Empereur. Il crut d’abord que les mauvaises nouvelles s’accéléraient, mais lorsqu’il comprit qu’ils étaient venus pour lui faire la même requête de le drucchi, il fut quelque peu désappointé et un sentiment de méfiance l’envahit. Berenis sentit rapidement ce trouble.

- Comprenez bien, votre Majesté, que notre mission poursuit un même objectif que votre nation. Potentiellement, la menace que nous craignons pourrait tout balayer sur son passage.

- Je comprends tout à fait ce que vous me dites. Mais avant de me confier à vous j’aimerais contrôler certaines choses. Gardes, qu’on se saisisse d’eux, mais avec tact et égards !

L’ordre fut si soudain que les elfes n’eurent pas le temps de réagir. D’ailleurs leur tenu d’apparat les avait vu se présenter à l’empereur complètement désarmé. Seul cinq d’entre eux, les valets et écuyers, étaient restés dans les appartements qu’on leur avait donnés.

- Comprenez moi bien, je n’ai pour l’instant rien de précis contre vous, mais un événement curieux que vous ignorez, c’est passé, il s’agit de m’assurer certaines choses. Qu’on me fasse rechercher immédiatement Dreknis, l’émissaire que j’ai reçu la semaine dernière !

L’Empereur, s’il devait faire confiance aux nouveaux arrivés, devait les remettre aux mains d’un homme de confiance, à la fois diplomate et observateur. Il pensa immédiatement au Comte. Il connaissait sa situation difficile auprès de ses voisins, à vrai dire il n’était pas étranger à tout cela, mais, de ce fait, il possédait là d’un puissant atout pour le pousser à le servir au mieux. En outre, il lui avait déjà confié de telle mission au cours desquelles il n’avait jamais eu à se plaindre de sa perspicacité.

C’est alors que la nouvelle de l’assassinat se répandit dans le château.

**

*

Vous noterez que j'aurais fait des efforts surhumains: 3 textes dans le même mois, c'est du trois jamais vu! Pas sûr que vous ayez votre livraison en juillet, du coup! :) J'ai pas trop relu, il est tard, j'espère ne pas avoir fait trop de fautes! :wink:

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Invité Feurnard

Alors, pour rattraper mon retard, j'ai mis les bouchées doubles ! Victorieux de ce texte, je peux enfin t'en rendre le compte.

Alors, en passant sur les habituelles félicitations pour un texte bien écrit, maîtrisé dans la mesure du possible et franchement complexe dans son histoire :

Je note que tu ne te gênes vraiment pas pour utiliser Karl Franz ou Malékith. Ce qui veut dire qu'effectivement, il va y avoir quelque chose de grandiose. Fais attention à ne pas couler le Vieux Monde ! Dans le cas contraire, évite également la petite escarmouche de fin... on ne fait pas appel aux grands pour rien.

On commence enfin à distinguer les personnages. Du moins, Pierrot, Berenis et Drekkner. Reste que le rôle de Pierrot devient superficiel et qu'à force de passer de l'un à l'autre, tu vas étouffer les deux récits tour à tour.

Ce que j'aime le moins, c'est l'infiltration de Drekkner au palais. Vu sous cet angle, je dirais qu'il peut sans peine assassiner Karl Franz (ce qui n'est pas une grosse perte). Une impression donc de ce que j'appelle la "solution de facilité" qui enlève à la profondeur de la trame. Une action plus méticuleuse et recherchée aurait rendu l'acte encore plus admirable et concret.

Voilà, c'est déjà suffisant comme critique. Encore à noter les broutilles, pécadilles futiles, du genre "à faire" au lieu de "affaire" (Vous n'avez pas affaire à des enfants...) et un passé composé en "er" ( :wink: , si si j'y tiens !). Mais dans des passages aussi longs, c'est pardonné.

Maintenant que je suis à jour, continues ! Je lirais avec intérêt...

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Ce que j'aime le moins, c'est l'infiltration de Drekkner au palais. Vu sous cet angle, je dirais qu'il peut sans peine assassiner Karl Franz (ce qui n'est pas une grosse perte). Une impression donc de ce que j'appelle la "solution de facilité" qui enlève à la profondeur de la trame. Une action plus méticuleuse et recherchée aurait rendu l'acte encore plus admirable et concret.

Bien vu et tout à fait d'accord avec toi, c'est de la pure parresse assumée! :) %ais , vois-tu, pour une fois que je me donnais la peine de traiter l'action un tant soit peu... Au départ, j'avais traité tout le paragraphe de Drekkner en deux lignes. Puis, je me suis dis: "là tu pousses un peu..." ^_^ Donc, dans un suprême effort, j'ai traité son séjour dans le palais de manière dévéloppée! Au lieu de me critiquer sur ce que je n'ai pas fait, tu aurais pu me remercier de mon effort! :D L'un des plus gros morceau de bravoure en scène d'action de ma carrière!

Quant à Pierrot; il va revenir. C'est vrai que c'est difficile à traiter tout de front. En fait; il faudrait que je réorganise certainement ce récit de manière plus linéaire. Traiter avec des chapitres distincts chaque intrigue au lieu de les traiter en flash. Mais comme j'écrit pour une fois sans filet au fur et à mesure, ce ne sera pas possible. Ou alors ailleurs. :wink:

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Invité Romaric

Bon bah moi personnelement j'adore que dire de plus, c'est super bien écrit !!! Je suis carément admiratif :) !!! Surtout continue et même si tu penses que ça n'intéresse pas tout le monde c'est que ce sont des ignards et ils ne savent pas ce qu'ils loupent franchement c'est fantastique formidable merveilleux, que dire de plus j'en ai le soufle coupé !!! Surtout continue j'attends la suite avec une impatience sans bornes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :D:):):D:P:clap::clap::clap::D:D:D:D

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