Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 janvier 2004 Auteur Partager Posté(e) le 4 janvier 2004 (modifié) Bon personne réagit donc je vais continuer.... Chapitre XII: Une surprise de taille Tout allait pour le mieux, l’armée adverse reculait et était prise entre le marteau et l’enclume. Mais tout avait décidé de ne pas marcher comme je le voulais, ma pire crainte arriva. Précédent la nuit et la mort, il survola la bataille avant de brûler comme moi juste avant, une bonne partie de notre armée. Encore un passage comme celui-ci et c’était terminer de nous. Les elfes entonnèrent un chant de guerre. La suite se passa très vite ,le temps jouant contre nous, je me devais d’intervenir. Un sort s’imposa à moi : celui de l’anneau. Ce sort particulièrement efficace fait tourner à grande vitesse, un anneau recouvert de piques, ce sort est peu efficace contre une cible a fort potentiel magique mais je devais prendre le risque. « Cantum deliarem » incantais-je L’anneau se matérialisa et se mis a tourner de plus en plus vite. Je lançais par dessus une sphère d’anti-magie. Ces sorts me coûtèrent toutes mes dernières forces, a tel point que je du m’asseoir , j’espère que ca va tenir dis-je .Le combat était redevenu égal depuis que le dragon avait remis à même force les deux armées ; jusqu’à ce qu’il se libère du moins.. Mais dans la série rien ne va plus, cela n’était pas terminé. Une masse de ces ignobles elfes sortirent de la forêt. J’étais désemparé, je devinais incrédule le sort qu’ils avaient réservé à mes amis. Je me relevais tant bien que mal, je serrais les poings, retint une larme et hurlais de colère. Ce cri communiqua ma soif de vengeance au reste des troupes et je me remis sans émotion à les massacrer froidement, j’étais rentré en transe , j’étais devenue un berserker . Je n’entendit même pas la cavalerie et Jolcar charger, une douleur aiguë me transperça l’épaule en même temps que la lance.. Ce violent choc me ramena à la réalité, je remarquais qu’entraîner par ma folie meurtrière , je m’étais écarté de la ligne de front et que j’étais seul…ma fin approchait à grand pas. Derrière moi je pus voir des cavaliers mis à bat et exécuter, des soldats transpercés par des carreaux, la panique s’afficher sur leur visage. Un son rauque parcouru le champs de bataille auquel je ne porta aucune attention , le deuxième parvint à mes oreilles et me força à découvrir d’où il venait. Le troisième m’apprit qu’il venait du sous bois. Un rayon vert confirma cette déduction, je cru que ce rayon essayait de dissiper mon sort mais quand je vis que l’anneau tourna et plus vite et rapetissais allant condamner son occupant à une mort certaine. Une seule personne pouvait l’avoir lancé. L’espoir remplaça la haine, et me redonna les forces nécéssaires pour rejoindre Jolcar et Draznar. @+ -=Inxi=- Modifié le 4 janvier 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 7 janvier 2004 Auteur Partager Posté(e) le 7 janvier 2004 Bon bah voila la fin de ma premier grande partie, vu que y a pas eu beaucoup de commantaires alors la j'en attends des tas!!!! Reveillez vous didjou! Chapitre XIII : Le sort en a décide ainsi Mais la bataille n'était pas terminée, les ennemis bien qu'abandonnés de leur chef continuait de nous repousser. Jolcar me précéda et provoqua en duel, le porteur de la grande bannière. Cet être était plus massif que ses compatriotes, plus résistant qu'un sanglier, plus sombre que les profondeurs de l'abysse , il était surtout le plus dangereux et la clé de la victoire dépendait de lui. Il se tenait inexpressif , prêt à se battre contre quiconque le défierait. Cette personne qui allait le défier ne fut qu'autre que Jolcar, son expérience et son talent dans l'art du combat équivalaient à la rapidité et la brutalité de son rival. Ils commencèrent par se juger mutuellement, tournant dans le cercle crée par les assaillants qui avaient stoppés leur lutte. L'espace les séparant se réduit, leur mouvement se ralenti, les yeux se croisèrent…. L'instant d'après il avait dégainer leur épée , les claquements de fers et les étincelles rythmant ce combat. Les deux combattants rivalisaient de talents , personne n'aurait pu dire qui allait prendre le dessus. Feinte, parade, toutes les techniques étaient bonnes pour prendre le dessus. Chaque croisement d'épée était vital, chaques centimètres perdus offrait un avantage psychologique ,chacun luttant pour sa survie. La moindre erreur pouvait être fatale, comme celle que venait de faire le champion elfe noir , repoussé par un brusque coup d'épée il se trouva dos à Jolcar. Jolcar en profita il leva son épée pour l'achever et dans un geste souple il transperça le dos de l'elfe… Enfin ça c'est ce qui aurait du se passer, l'elfe se retourna rapidement et de sa lame recourbé il empala Jolcar, son épée tout comme la mienne était magique elle entoura le corps de Jolcar du lumière bleuté ,je savais ce qu'il venait de faire, il venait de dresser un bouclier d'anti-magie sur son corps, je ne pus le ressusciter.. Pourquoi avoir la liberté pour tant de sacrifice, pourquoi avoir des triomphes sans pertes? Les larmes montèrent aux yeux de Falcrisos, la perte de son ami, de son frère d'arme fit naître en lui une profonde douleur. Un cri de victoire s'éleva des elfes contrastant avec le cri funeste que chantaient les humains. Falcrisos était agenouillé ,décidant de venger l'honneur de son frère d'armes il se releva dans bien que mal , mais une main puissante l'attrapa à l'épaule et le retint dans son élan. Tandis qu'Itsi restait au près de moi, c'est Tran qui allait s'en occuper… Le combat était plus équilibrer au niveau de la taille et en brutalité, les coups étaient moins rapide mais plus puissant, un coup au sol et c'est la terre elle même qui tremblait. Tran d'un coup magistral tenta de pulvérisé son adversaire, il para le coup de son épée et poignarda Tran, qui s'écroula surpris. La perte de mon meilleur ami, que dis-je mon frère était insoutenable, je faillis perdre connaissance sur le coup, mais une idée plus fourbe pris naissance dans mon esprit.. Comme un minautore est rarement mort quand il le faut, et comme ce n'était pas la lame qui l'avait transpercé, discrètement je lançai un soin sur Tran qui guérit aussitôt, il attrapa son marteau et l'envoya percuter la mâchoire de son tueur le propulsant quelques mètres dans les airs, et quand il retomba il lui percuta le torse lui brisant les cotes et en éclatant ses poumons, il atterrit au milieu d'un groupe de ces misérables elfes. La dernière chose que je vus avant de m'évanouir fut le hurlement de triomphe que poussa mes alliés avant de lancer l'assaut ultime repoussant nos ennemis dans leurs sombres terres. La suite me fut raconter après mon réveille par Tran, les elfes avaient bien été repoussés et le maximum avait été exécuté . Draznar arrivant à la fin de ses services vu s'offrir le duché et une élogieuse cérémonie fut offerte a Jolcar le héros de cette bataille . Après mon rétablissement, je tentais un sort de rétablissement pour me remettre d'aplombs mais horriblement, je constata que j'avais perdu tous mes pouvoirs, un pincement au cœur et une profonde mélancolie s'empara de moi. Je remarquai en m'habillant que je portais l'amulette d' Itsi, une larme me vint à l'œil , la nostalgie du magicien s'empara de moi. " Plus jamais de sorts….. " soupira-t-il Falcrisos quitta la chambre d'un pas léger, il ne remarqua pas que l'amulette qu'il portait autour du cou se mit à scintiller. L'aventure ne s'arrêtera pas la, mais ceci est une autre histoire…… Bon bah voila c terminé Donc je ne pense pas qu'il y est rien à dire alors motivation et commantaire please Il me faut aussi ,si vous vouler que je fasse une autre partie, que voulez d'autres :perso ,peuple ,morts ?, est ce que vous vous posez des questions ? Qui est la personne que Falcrisos a vu ? Que voulais le gnoll ? voila koi moi je dis! a vous de repondre @+ -=Inxi=- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 8 janvier 2004 Partager Posté(e) le 8 janvier 2004 Comme s'est demandé gentiment, je vais le faire... dès que j'ai le temps! C'est fou , maintenant on poste et on donne des ordres au bout d'une semaine! y a 6 mois au passage, on sautait au plafond de joie quand on avait deux retours en 15 jours! Faut pas l'oublier les amis! En fait je crois que la rubrique est victime de son succès: plein de textes, mais ils sont très vite enterrés par les nouveaux avant que les membres est pu donner des retours. Mais c'est mieux ainsi qu'avant, c'est juste que le tythme devient très hard à suivre! ZARA qui est un peu juste en temps depuis un bon mois et qui s'en excuse! "Réponse sous 48h , ça te va?" Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ravil silion Posté(e) le 8 janvier 2004 Partager Posté(e) le 8 janvier 2004 ouah!!! je viens de lire Tout le post d'une seule traite, et je dois dire que je ne fut pas déçu! Ton histoire ne manque pas d'originalité (j'aime bien le minotaure) c'est pas mal du tout, surtout le fait qu'elle soit découpée en plusieurs chapitres, on s'y retrouve. C'est un texte qu'il faut lire au moins une fois (je dirais deux parce que la fin est difficille à démeler). une suite ? pourquoi pas si elle est aussi bien écrite. (tu as réussi à placer "le retour du roi" et "les deux tours", ça m'a fait sourire) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 8 janvier 2004 Auteur Partager Posté(e) le 8 janvier 2004 (modifié) "Réponse sous 48h , ça te va?" *ok ca me va tu vois y a peut etre peu de monde sur cette section mais on a des idees (tu as réussi à placer "le retour du roi" et "les deux tours", ça m'a fait sourire) * Pour placer la Communauté de l'anneau va falloir que je cherche C'est un texte qu'il faut lire au moins une fois (je dirais deux parce que la fin est difficille à démeler) *Ok, c'est noté . En fait j'ai mis la précense de chapitre pour que justement on puisse le lire en plusieurs fois Comme ca si vous voulez le recontinuer plus tard no souci ! Merci pr les commantaires et @+ -=Inxi=- P.S: Au moins une larme a l'oeil quand il meurt ? Modifié le 8 janvier 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 11 janvier 2004 Partager Posté(e) le 11 janvier 2004 La deuxième moitié utilise judicieusement un ton beaucoup plus sobre, qui est plus adapté à tes intentions finales. La scène de bataille se déroule bien, tout ça meparaît bien maitrisé. Mais (là c'est très personnel), je trouve très dur de rendre passionnant ce type de scène avec des mots (pour moi, même Tolkien n'y arrive pas, donc pas de soucis! ), je dirais que tu t'en sorts bien. Pour m'interesser, généralement, il faut pmacer le vainqueur et le vaincu sur le même niveau affectif, on doit apprécier et arriver à faire que le lecteur s'interesse au deux camps pour qu'il y ait un certain suspense. Ou alors être peut-être un peu plus lyrique... Toujours est-il que pour ma part, j'évite de me lancer dans l'écriture de ce type de scène. La fin est bien sûr surprenante: vu le début, on ne s'attendait pas à voir périr tes héros. Je pense que tu restes un peu froid. Mais faire naître une grosse émption en quelque ligne est difficil (j'avoue aussi avoir lu dans des circonstances où je n'aurais pas été très réceptif, ça joue aussi). Li'déal je pense, serait que tu emploie un ton entre les deux, un peu moi sobre que la fin mais moins détaché qu'au début. Sur l'ensemble de ce récit, je te loge dans les conteurs de la rubrique à suivre! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 28 janvier 2004 Auteur Partager Posté(e) le 28 janvier 2004 Bon bah voila c'est reparti pour un tour , je n'ai pas ecrit la suite donc vous avez le temps de relire, ou meme lire Chapitre I : Retour aux sources Un léger zéphire réveilla Falcrisos. Ses yeux s’ouvrirent et se mirent à parcourir la pièce elle était ornée de tapisseries en tout genre racontant diverses épopées de héros qui n’étaient plus que des légendes. Il se redressa pour se retrouver assis sur son lit. La douleur lancinante le ramena à la réalité, il avait reçu celle-ci lors de la bataille de Cartaltir. Depuis ce jour, rêve et cauchemar se succédaient… Il réussit à se mettre debout, non sans effort, et enfila les quelques vêtements qui étaient déposés sur sa commode. Il prit appuie sur la fenêtre et risqua un coup d’œil par celle-ci. Le paysage qu’il avait toujours vu depuis son enfance s’étala sous ses yeux. Au loin et a perte de vue, les larges plaines traversées par les marchands, en dessous de lui sa ville natale, Ebeeir. Les rues ne formaient qu’un tout, où toute les classes sociales cohabitaient, marchand, armurerie, forge et dinanderie se succédaient. Tran, son compagnon minautore, et Itsi, l’homme lézard, devaient être déjà levé depuis un bout de temps. Il se mit en quête de les retrouver, pendant qu’il accomplissait le périple qu’était de descendre ces marches, les détails du départ la contrée du gnoll vint le hanter. Quels étaient tout les mystères qui gravitaient autour de lui? Qui était la personne qu’il avait perçue dans sa vision sur le champs de bataille ? Que voulais le gnoll ? Pourquoi son ventre criait il famine ? Trop de question sans réponse, se dit il, mais il savait comment remédier à l’un d’eux…. Il trouva tout naturellement Itsi dans la bibliothèque, Itsi avait passée celle ci au peigne fin, il était d’ailleurs tombé sur de très vieux grimoires, lui et Falcrisos s’étaient empressé de les déchiffrer, ajoutant ainsi de nouveau sort à leur répertoire. Tran quant à lui était en train de s’entraîner avec le meilleur maître d’arme de la cité, ils s’échangeaient parfois leurs passes d’armes aussi bien oralement que physiquement. Falcrisos quant à lui, depuis son retour, c’est à dire depuis 6 mois, passait son temps à rééduquer son épaule. Après une brève conférence avec ses amis, ils se mirent en route en direction de la cuisine , arrivé la bas, ils s’installèrent autour d’une petite table et se mirent a converser : « Où en sommes nous ? »demanda Falcrisos « Nous sommes prêts, mais Lersat, votre régent, vous le dira mieux que nous » répondit Itsi L’homme âgé d’une soixantaine d’années était celui qui s’occupait du château en l’absence de Falcrisos. Il se dirigea vers la table, boitillant légèrement mais d’un pas plein d’expérience. Après un soupir de soulagement, il dit : « Tout a été préparé pour votre départ, comme vous l’avez demandé, Seigneur » « Merci beaucoup, y a t il des problèmes dont tu aimerais me parler ? » demanda Falcrisos « Non, Seigneur, que des détails, rien de bien important » dit il « Alors il est temps de se mettre en route compagnons » Les trois amis sortirent du château en direction des enceintes. Un jeune garçon percuta Falcrisos, après quelques excuses les deux groupes reprirent leur route. Falcrisos sentit immédiatement le vide qu’il y avait à la place de sa bourse « Itsi paralyse-le ! » hurla t il Aussitôt dit, aussitôt fait, le jeune voyou fut dans l’incapacité de faire le moindre pas, Falcrisos s’approcha de la pseudo statue et récupéra son bien. Il lança un sort de dissipation, et le jeune garçon retrouva sa liberté. « Pitié, je vous en supplie, ne me faite pas de mal, laissé moi un peu d’or sinon il va me battre ! Pitié, Seigneur » implora t il avant que Falcrisos ne put en placer une. « Normalement le vol est puni par la prison ou l’ergastule, mais tu as été a priori poussé à le faire…. GARDE ! » appela t il Deux gardes quittèrent leur poste pour venir « Escorter ce jeune homme vers l’individu qui lui a fait ce diktat » ordonna Falcrisos Le voyage jusqu’à la porte ne fut pas en outre mesure un problème @+ -=Inxi=- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 1 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 1 février 2004 (modifié) Vu la pluie de commantaire sous laquelle mon post plie, je continue. En esperant que le SOS de Zara portera ses fruits Chapitre II : Juste une étape Après avoir seulement parcouru quelques lieux, ils croisèrent la patrouille qui rentrait au château pour le rapport. Neryma était à leur tête, elle était la fille du régent, les cheveux bruns jusqu’aux épaules, des lèvres minces accompagnés de yeux noisettes et d’une voix douce et caressante. Elle s’adressa à Falcrisos : « Bonjour, Falcrisos », elle était une des seules personnes a ne pas l’appeler seigneur car ils avaient grandi ensemble « Bonjour, que fais-tu ici ? »répondit-il en rougissant légèrement « Je viens avec toi, père me laisse partir avec toi » dit-elle « Mais…. euh……c’est à dire » hésita t il. Il savait que cela ne servait à rien de discuter avec elle. « Bien, allons-y alors. »Soupira t il, mais il savait que sa présence risquait de la déstabiliser. La troupe de cavaliers se reprirent la route. Plusieurs jours plus tard, ils gagnèrent le château de Draznar. Le château n’avait guère changé depuis 6 mois, des chantiers de rénovations fleurissaient ça et là, les ouvriers s’affairant autour d’eux. Ils éperonnèrent leur chevaux et dépassèrent la forêt qui portait encore les marques de la bataille qu’il y avait eu : arbres écorchés, buissons lacérés. Ils traversèrent la cour et laissèrent les écuyers s'occuper de leur destriers. Draznar les interpella immédiatement : « Falcrisos, Tran, Itsi, mes amis, que me vaut l’honneur de votre visite ?…Mais qui est cette magnifique jeune femme ? » demanda t il Draznar, ancien maître de la garde de l’empereur avait obtenu la responsabilité de ce château après la mort de son ancien propriétaire, tombé en duel face au chef de leur agresseurs . « Nous traversons cette région » dit il brusquement , enfin trop à son goût. « Mmmm, dit il plissant les yeux, je vais vous montrer vos quartiers, ajouta t il après un clin d’œil a Falcrisos. Le château s’étalait sur plusieurs étages. Le rez-de-chaussée comportait les cuisines, la salle a manger , la salle de réception. Le deuxième comportait quant à lui la salle d’entraînement , la salle de garde et leur dortoir. Le troisième était composés uniquement des appartements et le dernier était un grand grenier composés de vieilleries et d’anciens artefacts. Après avoir pris chacun leur quartier, ils rejoignirent Draznar dans la salle à manger où un grand banquet les attendait. Chacun se remplit l’estomac à en craquer, même si cela ne faisait pas longtemps qu’ils avaient quitté Ebeeir ils étaient épuisés de ne manger que de simples sandwichs. Une fois le repas bien entamé, la discussion commença : « Draznar peux-tu nous fournir en vivre ? »dit Falcrisos « Bien sur pour combien de temps ? »répondit-il « Je ne sais pour combien de temps nous en avons mais pour une semaine au pire des cas »renchérit il « Où allez-vous ? »demanda t il « Nous nous dirigeons vers les terres des gnolls, nous avons a y faire » répondit il « Bien , bien vous restez longtemps parmi nous ? » demanda t il « Non, nous repartons demain »dit il « Si peu ? J’aurai espéré que vous nous feriez profiter de votre compagnie beaucoup plus longtemps » ajouta t il, en dévisageant Neryma. Le regard qu’il avait adressé à Neryma acheva de convaincre Falcrisos « Oui , oui sûr et certains, bon il est tard et demain un long chemin nous attends !» dit il Falcrisos ,immédiatement suivi de ses amis se dirigèrent vers leur chambre respectives . Falcrisos ne put s’endormir attentif au moindre pas, au moindre courant d’air anormal, au moindre changement de souffle , elle allait le rendre dingue. Mais lentement ses yeux se refermèrent , la tête se redressa dans un ultime effort et elle retomba en proie a de nombreux rêves . Le premier ne fut qu’un entremêlas de couleurs, le second il ne s’en souvint plus (mais est ce seulement le deuxième ?) , le troisième fut la représentation de cette femme qu’il avait vu auparavant , il n’arrivait pas a la distinguer clairement seules ses ombres parvenaient à ses yeux. Des gestes, toujours les même se répétaient , ils les connaissaient par cœur mais il ne pouvait les reproduire pour voir leur effet vu qu’il n’avait plus de pouvoir. Puis dans la suite de son rêve, elle se retourne vers lui, ses yeux, seuls choses perceptibles dans cette pièce ,inondent celle-ci d’une lumière blanche ,intense et brûlante. Et comme à son habitude , il se réveille, le souffle haleté et transpirant. Il se leva , et pour lui même , il dit à haute voix : « Je trouverais la signification de ce rêve ! » Cette phrase se perdit dans les oreilles de ses compagnons endormis, tous ? Non, un venait de se réveiller. .......... @+ -=Inxi=- Modifié le 4 février 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 3 février 2004 Partager Posté(e) le 3 février 2004 (modifié) Je suis un peu perdu dans les perso car j'ai lu l'histoire y a un bout de temps, c'est vrai que l'idée du résumé peut parfois être intéressante. Concernant les développements, je trouve que tu as bien progressé et que tu évites les facilités qui émaillaient un peu le tout début. Par contre c'est difficile de te faire des commentaires originaux car pour l'instant, l'histoire ne fait que recommencer (ce qui explique aussi sans doute les retours peu nombreux), le décor commence juste à se dresser. Mais le traitement du rêve est, je trouve, réussi car c'est lui qui donne le piquant à tout l'ensemble. Zarathoustra "Ca va? pas trop attendu pour cette fois? " PS: pour toi mais aussi pour les autres auteurs un peu refroidi, dites vous qu'il est normal qu'un texte qui avance ait de moins en moins de retours car, tout simplement, on finit par se répéter. Eventuellement, regarde l'évolution du nombre de fois que ton texte est lu, des fois, ça rassure un peu devant le silence. Modifié le 3 février 2004 par Zarathoustra Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 4 février 2004 Je suis un peu perdu dans les perso car j'ai lu l'histoire y a un bout de temps, c'est vrai que l'idée du résumé peut parfois être intéressante. Mince, je me suis foiré ! Dans les premiers chapitres j'essaie de reparler de ce qui s'est passé mais il faudrait que je le fasse plus complet ? Eventuellement, regarde l'évolution du nombre de fois que ton texte est lu, des fois, ça rassure un peu devant le silence En esperant que ce qui click ne soit pas découragé en voyant la taille du texte @+ -=Inxi va essayer de poster la suite lundi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 8 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 8 février 2004 C'est plus une pluie , c'est une grèle de commantaire qu'il me tombe dessus........... Bon bah voila! Chapitre III :Prouesses martiales Neryma enfila sa redingote et admira la vue qui s’offrait à elle. La ville était plus petite que sa ville natale mais elle entreprit tout de même de faire la visite. Par précaution elle attrapa sa cotte de maille qui tinta légèrement quand elle l’enfila, elle attrapa également son arc et une paire de dagues. Après avoir mis en bandoulière son arc et des flèches, elle jugea digne de sortir. Elle sortit du palais et traversa la place, sur celle ci plusieurs groupes de bourgeois se racontaient les potins du jour. Des bourgeoises se tournèrent vers elle, et se mirent à glousser. Votre éreintage ne m’atteint pas se dit elle comme pour se rassurer. Elle se demanda si elle n’aurait pas mieux fait de choisir une autre vie, plus clame, plus…. plus féminine. NON, se ressaisit elle pour rien au monde elle ne reviendrait pas en arrière. Tandis qu’elle avançait en réfléchissant, elle ne vit pas les deux formes sombres autour d’elle, L’une dans l’ombre de l’encadrement d’une porte, l’autre sur les toits avançant furtivement. Quand Neryma regarda autour d’elle, quelque chose lui sembla louche, elle se retourna vivement, mais rien. Elle reprit son chemin, et quand elle leva les yeux elle retint un cri de surprise. Un homme vêtu d’une cape noire lui bloquait la route. Elle se mit sur ses gardes d’autres ne devait pas être loin. Pour confirmer ses dires un deuxième acolyte vint se placer près du premier. Il commença un discours dilatoire auquel elle ne fit guère attention. Elle observait la scène, et tout les indices, surtout l’ombre qui était projetée par la lune et qui lui indiquait que quelqu’un se préparait à lui tomber dessus. L’ombre se déplaça et grandi. Elle saisit son arc d’une main et attrapa une de ses flèches, elle esquiva et l’homme s’écrasa au sol, d’une flèche derrière la nuque, elle expédia le premier agresseur. La lumière de la lune éclairait la scène et les lames des deux derniers agresseurs. Elle tira une de ses dagues, et d’un mouvement de poignet elle transperça la gorge de l’homme qui approchait, il s’effondra dans un gargouillis inhumain. Elle tira une deuxième dague, et visa le cou du dernier homme, elle la lança. L’homme dévia la dague de sa lame et se mit à rire. Elle fit feu avec son arc mais il dévia également, il rit de plus belle. Elle sortit de nouvelles dagues et se mit en position, elle lui fit signe de venir. En hurlant il se précipita sur elle, il assena un coup d’épée qu’elle para de ses deux dagues, il lui donna un coup de pied dans les côtes l’envoyant rouler dans la poussière. Il se précipita sur son adversaire, elle roula sur le côté et lança une dague, elle se planta dans sa jambe, tout comme son ennemi juste avant il s’écroula au sol. Les deux belligérants se redressèrent, Neryma banda une nouvelle fois son arc, elle tira une nouvelle salve, il tenta de dévier la flèche, mais celle ci pénétra ses défenses et vint se planter au milieu de son torse. La force de la flèche le propulsa au milieu de vieux tonneaux. Elle reprit son souffle, et fouilla les trois hommes, elle mit main basse sur leur bourse et sur une paire de bracelets. Neryma reprit le chemin du retour. Falcrisos inquiet vint à sa rencontre « Ou était tu ? »demanda t il « Je…je visitais » répondit-elle « Qui t’as attaqué ? » dit il En effet un léger filet de sang perlait d’un de ses fourreaux. « Trois brigands » répondit-elle « Et j’ai trouvé ce ci » ajouta t elle en exposant fièrement les bracelets qu’elle avait trouvé. « Félicitations Neryma, tu as trouvé une paire de rares gants de célérité ! » lui annonça t il « Mettons-nous en route maintenant »dit-elle Ils reprirent leur destrier et traversèrent le pont de Restilos, celui ci était également en cours de réparation. De l’autre côté de ce pont, les quatre amis pouvaient voir que la terre était fraîchement retournée ce qui laissait présagé ce qu’il y avait dessous, d’autres fosses communes s’étalait plus loin. Ils détournèrent le regard et les quatre compagnons avancèrent vers les montagnes @+ -=Inxi=- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 10 février 2004 Partager Posté(e) le 10 février 2004 Bon, ça ne se bouscule pas au portillon pour te faire des retours... En tout cas, félicitations pour ton investissement (pour l'instant peu récompensé ) pour la rubrique. Pour ton texte, je trouve qu'on attend toujours que les choses commencent vraiment. La jeune femme y est bien développée mais elle prend des chemins classiques dans les récits d'aventure, tu me diras , difficiles de faire dans l'original pour caser une femme aventurière. Bref, sur le fond , je reste sur ma faim. On dirait que tu as peur de lancer vraiment l'histoire! Sur la forme, mise à part quelques fautes, tu es tout à fait dans ce qu'il faut faire. C'est plaisant, y a des détails mais pas trop. On entre dans le vif du sujet rapidement (trop?), mais tout ceci laisse peu de temps au personnage d'exister en dehors de l'action. Il mériterait d'affiner certaines choses, son passé, sa personnalité, ses émotions, lorsque tu le fais, c'est de manière fugace et un peu superficielle. On reste très distant d'elle car tu n'ouvre pas vraiment son ame, ça viendra peut être mais ne l'oublie pas en route! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gotrek Gotrekson Poing de Fer Posté(e) le 12 février 2004 Partager Posté(e) le 12 février 2004 (modifié) Bien, pour commencer je vais m'excuser de l'énorme retard que j'ai concernant ton texte. Personnellement, si je n'avais pas lu le message de Zara, tu aurais encore pu attendre longtemps ... Pourquoi je n'ai pas réagis plus tôt? C'est en fait à cause de deux choses: ->Le nombre de retours dans la première page, qui est assez abondant; ->Le nombre de messages de ton récit: 37 environs, qu'on peut confondre avec des retours à première vue, alors qu'il s'agit principalement de ton histoire. C'est pour ça que je n'ai presque jamais ouvert ton post. Bien, après ces excuses sans grand intérêt, je vais passer à ton texte: Tout d'abord, les +, mais c'est personnel : +Un texte agréable à lire, tant par sa disposition aérée que par sa fluidité. +Une intrigue, un scénario originaux et bien menés. +Des personnages attachants, originaux et bien cadrés. +Une évolution dans la narration et dans la maîtrise générale de ton histoire. +Une bataille très bien retranscrite, et c'est pourtant dur à gérer. +Une ambiance JdR finalement agréable, même si j'étais sceptique au début. Passons maintenant aux -, mais là encore c'est personnel, et pour moi tout ce qui est moins n'est pas quelque-chose qu'on se traînera toute sa vie mais quelque chose qu'on peut corriger: -La ponctuation part parfois en vrille, il manque des points et il y a parfois des virgules avec des points d'interrogations. Là, on peut se poser une question: te relis-tu? Ce n'est pas vital pour mener une histoire, mais c'est souvent un grand bonus pour éviter ce genre d'erreurs, et améliorer au passage certains points qui pourraient te sembler peu clair . -Un vocabulaire qui ne vas pas sans s'améliorer, certes: mais il y a parfois certaines répétitions de mots ou de verbes que tu pourrais éviter en cherchant plus tes mots (ou en prenant un dico des synonymes ) -Maintenant que tu as dépassé un certain stade de maîtrise, il faudrait penser à développer un peu plus tes chapitres, comme imposer un décors ou appuyer les émotions à tes personnages. Ben, je crois que c'est tout. Ah, non: je voudrais te féliciter pour ton stoïcisme face au peu de réaction envers ton texte (qui en mériterait bien plus, en fait), et pour ton engagement dans la rubrique! GGPF, "Ouais, toi aussi tu es un nain-compris..." Modifié le 12 février 2004 par Gotrek Gotrekson Poing de Fer Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Flytox Posté(e) le 12 février 2004 Partager Posté(e) le 12 février 2004 Récit agréable, mais j'ai un gros regret :tu de donnes la peine d'inventer des personnages, tu leur donne une personnalité forte, puis tu les laisses presque à l'abandon. L'étrange relation mage/minotaure est releguée au second plan, et on a une nouvelle fois affaire à une association irrésistible, on ne craint pas vraiment pour lé héros. Ce n'est pas un défaut en soi, hein, c'est juste une remarque en passant. j'aime bien l'humour léger qui parsème le récit. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 12 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 12 février 2004 Voila j'ai essayé d'utiliser vos remarques dans ce chapitre mais les dernieres ne sont pas utilisées j'essaierai de le faire dans le prochain chapitre.... Chapitre IV : Quand l’amour fait des siennes Encore et toujours des cailloux se dit Tran, une heure seulement qu’ils étaient dans ces montagnes, et à part un léger changement d’altitude Tran ne voyait pas grand chose. Des cailloux, des montées, des cailloux, des montées caillouteuses. Tran fermait la colonne de cavaliers, et s’amusait à quelques passes d’armes. Un virage se présentait et Tran souhaitait voir de nouveaux paysage. Après ce virage, il y avait……..une MONTEE avec des cailloux bien sûr. Mais sur la droite du chemin, un arbre essayait de survivre tant bien que mal en envoyant des racines ici et là. « Merci », dit Tran en regardant le ciel. Ils continuèrent à avancer et tous profitaient de l’ombre que dispensait cet arbre. Qu’est ce qu’on peut s’ennuyer pensa t il. Le bruit du vent sur la roche, des éclats de voix et le bruit des sabots étaient les seuls bruits qu’ils percevaient. Des voix ! Ayant l’ouie la plus fine, il arrêta le groupe. Enfin Tran allait pouvoir faire de l’exercice, l’action se passait dans ce qu’ils pensaient être une reculée, ils laissèrent leur chevaux et mirent pied à terre. Discrètement ils se séparèrent en deux groupes et regardaient la scène, cachés derrière deux massifs blocs de pierre qui avaient quand même du mal à cacher Tran. Quatre paires de yeux émergèrent des blocs. Deux groupes de faisaient face, d’un côté de stupide gobelin de la nuit et de l’autre des hommes rats. La conversation fut portée à eux par le vent. « Vous nous avez attaqués » siffla un homme rat « Nou défendyon no tunelles » répondit le gob « Vous étiez sur notre territoire « répliqua t il « Cela ne sert à rien de vous disputez » intervint un shaman Tran vit Itsi gesticuler lentement, et parler pour l’astre solaire. Une onde partit de sa main et se dirigea vers un homme rat, au contact celui ci s’immola instantanément « Bande de sale orc, dit le chef des hommes rats en décapitant l’orc envoyer pour parlementer. Les deux camps de chargèrent, les orcs les skavens et les skavens, et même des orcs des orcs , question de rivalité. Les amis décidèrent de s’éclipser avant que le combat ne se déporte sur eux. Ils firent demi-tour en profitant de la confusion générale. A peine arriver à quelques mètres de leur chevaux, des bâillements les firent retourner d’un seul tenant, ils purent voir les deux blocs qu’ils avaient pris pour des rochers se mirent en mouvement. Ils se dirigèrent d’abord vers la zone de combat mais ils aperçurent quelques choses de bien plus appétissant que de vulgaires rats avec peu de viandes sur les os. D’un accord commun les deux trolls de pierre se dirigèrent vers les aventuriers. Itsi lança des projectiles magiques sur les trolls qui ne lui fit guère d’effets, le troll se mit a rire de cette pitoyable attaque , a moins que ce soit d’une situation postérieure …. Neryma décocha une flèche qui s’enfonça dans le ventre de l’épaisse créature , la plaie de referma aussi vite. Tran asséna un coup de marteau à l’une des créatures, il la fit vaciller légèrement. La créature riposta en lui assénant un coup au niveau de l’estomac, Tran recula de quelques pas. La créature le chargea bien décidée a lui ôter la vie . Neryma cocha deux nouvelles flèches, visa le cou de la créature et le transperça . Itsi enflamma les flèches empêchant ainsi toute cicatrisation . Elle s’effondra au sol dans un nuage de poussière. L’autre créature profita de la diversion pour balayer Neryma, elle roula au sol, et y resta immobile. Falcrisos plongea à ses côtés, la créature souleva une grosse pierre qu’il s’apprêta à leur lancer dessus. Il le lança. Falcrisos vit le rocher voler sur eux. Il ne pouvait rien faire, il vit Tran et Itsi achever la derrière créature, le rocher se rapprochait également. Falcrisos se résigna à son sort, une main sur l’amulette qu’il tendit vers le ciel , l’autre sur la main de Neryma toujours au sol.. Le rocher était maintenant au-dessus d’eux, mais il était décidé à ne pas bouger. Leur première rencontre était encore plus ancienne que celle de Tran, lors d’une sortie en ville il l'a vu pour la première fois, ils étaient plus jeune alors, mais son sang ne fit qu’un tour il sut qu’elle était celle qui lui fallait. Elle ne le remarquait pas mais lui était harcelé jour et nuit par sa représentation. Depuis sa vie avait changée , un jour sans la voir n’était que douleur, un moment sans penser à elle et un profond malaise lui nouait le ventre. Il apprit bien vite qu’elle était la fille de l’homme qui s’occuperait de tout si son père venait à disparaître, mais bon ce jour devait arriver dans longtemps, enfin du moins le pensait il. Depuis ce jour il lui voue une admiration secrète en attendant le moindre signe de sa part. L’ombre était au-dessus d’eux, mais le rocher ne bougeait plus. Une aura entourait la main de Falcrisos, ses yeux brillaient d’un étrange éclat jaune. Il posa à côté le rocher et lança un de ses sorts de soin. Falcrisos se regarda, regarda l’énergie nouvelle qui lui parcourait le corps, Neryma toussota et se releva, Falcrisos expira et s’effondra. Ses compagnons le montèrent sur son cheval et ils quittèrent la zone de combat. « Comment est ce possible ? »demanda Tran « De nombreux artefacts sont dissimulés à travers notre monde, cela va des plus communs comme les bracelets de célérité mais aussi au plus rare comme cette ancienne amulette de pouvoir. Cette amulette était ensevelie dans une ancienne tombe, exactement sous le ziggourat d’un ancien slann. De minutieuses fouilles de skinks ont mit à jour une salle particulièrement spéciale autant par ce qui la protégeait que par son contenu. La salle était protégé par des gardes des temples , où du moins ce qui en restait. Une amulette posée sur un piedestral avait maintenue en vie ,enfin avait maintenue en service les deux guerriers qui s’acquittèrent encore de leur tâche première. Ces deux guerriers même morts nous opposèrent une résistance farouche et même des pertes, mais nous arrivâmes finalement à rentrer dans cette pièce. De nombreuses plaques que nous ne sûmes pas encore déchiffrer décoraient la pièce et bien sûr en son centre était posée cette amulette que tout le monde pensait légende. Cette amulette a le pouvoir de restituer une partie de l’essence magique de celui qui la porte mais ce n’est, comme tu la vue, pas sans conséquence. » Tout en discutant ils purent distinguer les premières fumées indiquant qu’ils se rapprochaient de leur but. @+ -=Inxi=- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 13 février 2004 Partager Posté(e) le 13 février 2004 Ben voilà, j'ai réussi, j'ai lut Falcrisos! (et je vais continuer!) Bon, j'aime bien, malgré que j'aie un certain mal à te suivre et qu'il me faille parfois reprendre un peu en arrière pour comprendre (mais ce doit être dut uniquement à la fatigue). Le scénario est sympa avec une armée d'humain et des elfes noirs, un dragon et un château assiégé, ainsi qu'un mage faisant des murs de feu d'une taille imposante! Allez, continue! J'ai commencé, je veux la suite! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 15 février 2004 Partager Posté(e) le 15 février 2004 Ta façon de débuter ton récit est intéressante. La bataille plus classiqus. Ce qui manque pour l'instant, c'est une inruigue. Cela fait plusieurs petites histoires que tu développes sans qu'on comprenne où tu veux en venir. Les choses arrivent et se passent sans qu'on sache pourquoi, ni si elles ont un lien avec le passé ou l'avenir. D'un autre côte, cela te permet de développer un peu plus ton perso. L'idéal est d'arriver à faire les deux en même temps. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 15 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 15 février 2004 (modifié) Bon desole zara ca va pas beaucoup avance ce chapitre Mais je te jure qu'au prochain chapitre les derniers elements seront mis en place . Merci pour les retours du au SOS de zara Chapitre V : Découvertes Les campements gnolls ressemblent beaucoup aux campements nomades qui parsèment les terres de l’empereur : on pouvait voir des huttes desquelles s’échappait une épaisse fumée, on pouvait voir aussi régner une activité intense généralement centrée sur la chasse. Les gnolls, ces créatures mi-homme mi-chien se tiennent donc sur deux pattes, une épaisse fourrure recouvre leur dos, des yeux jaunes ponctuent leur visage et de la bave coule en abondance de leurs babines. Les gnolls se nourrissent principalement de viande, leur intelligence ne leur permettant pas de maîtriser, par exemple, la technique de l’agriculture. Peu de gardes jonchaient les abords du camp mais les compagnons étaient repérés depuis bien longtemps…. « J’ai une de ces migraines. »Dit Falcrisos en descendant de son cheval. Il tituba sur quelques mètres, se raccrocha à la selle le temps que ses sens reprennent le dessus. Quand il jugea bon que c’était bon, il prit appuie sur ses deux pieds comme pour tester la solidité du sol. Il pivota sur lui-même pour voir qu’il se trouvait au beau milieu d’un campement gnoll. Les amis restèrent ainsi, interdits, attendant le moindre geste, la moindre réaction de ces créatures. Un gnoll immense, enfin beaucoup plus grand que ses congénères, s’approcha d’eux, et dans un langage qui ressemblait fort a des aboiements, il leur dit : « Nous savons pourquoi vous être venu ici ! » Après un premier mouvement de recul, plus par précaution que par crainte, Falcrisos, étonné, fronça les sourcils et dit: « Ah bon ?» Il se demandait fort que pouvait savoir cet homme chien. «Et quelle est cette raison ? » Demanda-t-il. Il espérait ainsi quérir de précieuses informations. « Vous ne le trouverez pas ! Il s’est en fuit ! Vous ne l’aurez jamais ! » Falcrisos commença à s’interroger sur la santé mentale de son interlocuteur. « Garde ! Elfes sont de retour ! ! ! » « Holala, hoalala ! Vous nous avez bien regardé ?» Dit-il. Les yeux de la créature s’ouvrir en grand, et il cligna plusieurs fois des paupières. « C’est vrai que vous ne ressemblez guère a nos persécuteurs… Qui vous être ? » Demanda-t-il. « Nous avons sauvé un de vos compagnons, vous a-t-il prévenu à notre sujet ? » Lui demanda-t-il, Falcrisos se demanda si cette conversation allait menée quelque part, déjà qu'il n'arrivait pas à faire la différence entre hommes et elfes.. « Ah! ouiii, dit-il, vous être le sauveur, ceci vous appartient alors ? » Lui dit-il en exposant son anneau. « Oui, c’est le mien. » Répondit Falcrisos. Il essaya de le reprendre mais la patte griffue se referma. « Quelles preuves nous avoir que vous être cet homme, Groarg, nous a dit que vous être très malin ! Nous vouloir la preuve. » Lui dit-il. Les compagnons se regardèrent, inquiet, de la proposition qui ne tarderait à venir. « Je vous propose un combat….. » Falcrisos se dit qu’en un tour de magie, il mettrait la créature hors d’état de nuire. « …. Sans magie !…… » Il allait devoir face à une petite créature, cela n’était pas grave. « …Voici votre adversaire ! » Un autre gnoll fit son apparition, il était de taille égale avec son chef, Falcrisos se demanda s’il était raisonnable de prendre par à se combat. « Vas-y Tran ! » Lança courageusement Falcrisos. « Non, vous être malin, vous battre »dit-il. « Bon bah allons-y alors ! » Falcrisos se demanda comment il allait sortir de ce pétrin, il n’était pas de taille à affronter cette créature, la lutte n’étant pas son sport favori, ses genoux se mirent à trembler et il eut du mal à reprendre son calme. Il regarda la créature pour lui montrer qui était le maître, et surtout pour ne pas paraître ridicule devant Neryma, elle le regarda, souriante. Ses genoux se remirent à trembler et il s'empourpra, son attention fut reorienté par les gnolls qui vinrent lui nouer les mains. « Je peux lancer des sorts juste par formule » dit il. Itsi se demanda quelle idée avait en tête Falcrisos. Juste avant d’être bâillonner, il dit : « Attendez le duel doit être équitable ! Nous devons être dans les mêmes conditions ! » Les gardes procédèrent de même sur le gnoll. Le combat commença. Les deux combattants se tournèrent autour, attendant un mouvement de l’autre. Le gnoll impatient se précipita sur Falcrisos. Il esquiva. Le gnoll fit demi-tour, et lança des coups de pieds dans sa direction mais Falcrisos resta toujours hors de portée de ces coups maladroits. Il chargea une nouvelle fois sa cible mais Falcrisos de contenta de le laisser s’exténuer. D’ailleurs le gnoll s’était arrêté, il regardait Falcrisos, de grosses gouttes perlant de son front, il vacilla, et s’effondra, n’arrivant plus à respirer. « Bien joué! » s’esclaffa Tran et en lui assénant une grosse claque dans le dos. « Vous avoir montrer nous vous être cet homme. » Dit le chef gnoll. « Je vais donc vous dire quelle sera vous être votre quête, et je vais apprendre plus sur vous, et sur vos rêves….. » @+ -=Inxi=- Modifié le 15 février 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Feurnard Posté(e) le 15 février 2004 Partager Posté(e) le 15 février 2004 D'acccoooorddd.... pas à dire, ce ne sont pas des lumières, ces trolls ! Peut-être le combat était-il un peu trop rapide. Egalement le sentiment de Falcrisos qui se détache totalement de la situation, comme si elle était la routine de tous les jours. Sinon, que dire ? Bon... ben... j'attends la suite ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 15 février 2004 Partager Posté(e) le 15 février 2004 Ben on s'amuse bien chez les gnolls... En effet, Falcrisos semble vraiment trop détaché. Mais à part ça, c'est tout bon, tu peux continuer! Imperator, empereur qui sait ce qui lui reste à faire... (même s'il ne le fera jamais aussi bien que ça...) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 15 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 15 février 2004 (modifié) ces trolls ***Une question Feurnard: Pourquoi tu te bloques sur les trolls ? Se ne sont pas des trolls mais des gnolls enfin bref c'est pas la l'interet de l'histoire Bon normallement je post pas sans mettre un chapitre mais c'est juste pour dire que j'ai essayé de rajouter un peu plus de sentiments. Que j'ai retouché légérement le début( c'est a dire le premier chapitre de l'histoire) Et que Imperator se lamente toujours alors qu'il ne faut pas car comme je l'ai di ds le texte de Mr.Petch[marque deposée ], ca ne vaut pas le coup! tu vaut aussi bien que nous, voir mieux! @+ -=Inxi=- Modifié le 16 février 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Maugan Ra Posté(e) le 15 février 2004 Partager Posté(e) le 15 février 2004 je vien de lire ton histoire d'une seule traite et elle est vraiment sympa. Le fai de mélanger toute ces races est tré original et tré interessan a lire. C vrai ke pendan un bou de tem ta pa eu de retour mai je ne men fai pa tro pour toi parcek'avec une histoire kom sa ne va pa durer ( et je ne voi pa pourkoi c'est arrivé d'ailleur ). Voila, vivemen la suite et merci pour tout sa. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Mr Petch Posté(e) le 16 février 2004 Partager Posté(e) le 16 février 2004 je l'ai di ds le texte de Mr.Petch Tu me cites sans mettre le copyright ! Et mes droits d'auteur ? Je me suis enfin décidé à lire cette histoire ! Donc bravo pour plusieurs choses: - ily a des skinks - ton courage face au peu de réponse que tu avais, ce qui ne t'a pas empêché de continuer - il y a des skinks - ta nette amélioration au fil dur écit, les derneirs chapitres sont vraiment intéressants et bien écrits, l'histoire me parait plus construite. En tout cas, j'accroche plus à cette seconde partie. - il y a des skinks! Maintenant les reproches: - j'ai repéré quelques tournures de phrases étranegs, et des faute d'usage inconvenants (je ne les ai plus en tête, mais si tu veux, je peux te les dire) - on a parfois du mal à suivre la trame, notamment à la fin de la première partie, où il y a un changement de personne, j'ai eu du mal à saisir qui parlait. Et la plupart du temps, j'ai du mal à suivre l'itinéraire des personnages (bien que la seconde partie soit plus claire à ce niveau là) Bon, une dernière pour la route: -il y a des skinks ! En tout cas continue, j'attends la suite Mr Petch Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 17 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 17 février 2004 (modifié) Donc ce chapitre est plus court que les derniers mais j'ai tenu compte des critiques! Ce chapitre, je pense, est la plaque tournante de la 2eme grande partie de mon récit Bonne lecture! Chapitre VI : Origines « Que…..quoi…qui dites vous ? » Balbutia Falcrisos. « Ta mère ! » Lui confirma le gnoll. Falcrisos était abasourdi par la réponse, il s’assit au sol sous le choc de la révélation. Sa mère, il ne l’avait jamais connu, il ne se souvenait que des traînées de parfum hantant les murs de sa chambre. Sa mère ! Ses compagnons le félicitaient mais Falcrisos se souvint également qu’elle l’avait abandonné, les larmes lui montèrent aux yeux. Falcrisos détourna le regard, il passa une main sur son visage et dit : « Satanée poussière ! » Personne ne le crut mais tout le monde comprit le sous-entendu. « Il y a également quelque chose que vous devez savoir : Groarg être un de nos meilleurs éclaireurs et il avoir disparu, cela fait de nombreux mois que certains de nos membres disparaître ! » « Et en quoi cela nous concerne-t-il ? »Dit Itsi en devançant Falcrisos. « En rien mais sachez que nous pouvoir dire autre chose à vous, et vous aurez intérêt à aller là-bas ! » « On vous écoute. »Lui répondit-il. « Dans la cité avoir nombreux esclaves, des nôtres et des vôtres, s’ils étaient libérés la confusion gagnerait les rues de la cité de Garkon-Gar ! » Les compagnons se redirent à ce nom, qui ne connaissaient pas la cité maudite ? Dans cette cité des choses plus affreuses que dans la bouche de l’enfer pouvait arriver. Cette cité était réputée pour être la capitale de l’homme qui les avait attaqué. A ce souvenir l’épaule de Falcrisos se raidit au souvenir de la douleur. « Il y a aussi des salles aux trésors ! Et également comme nous le soupçonnons le membre de votre famille… » ajouta-t-il. Falcrisos se mit à réfléchir, sa mère dans cette cité maudite ! Elle ne l’avait peut être pas abandonnée tout compte fait ! La lumière revint dans son cœur et dans son âme. « Des combats, clama Tran, je suis partant ! » « Des artefacts, dit Neryma, je viens aussi ! » « Des reliques de mon peuple, marmonna Itsi, je vous accompagne ! » « Ma mère, dit doucement Falcrisos, alors qu’attendons-nous ? » La compagnie se remit en marche, rêvant de leur récompenses futures, mais leur mines s’assombrit quand leur regard se porta sur l’horizon : Une terre sèche, sombre et dangereuse mais d’ici là il devrait passer par un élément de relief adoré par un membre du groupe : la montagne. Neryma se rapprocha de Falcrisos, elle dit : « Tu es sûr qu’on peut lui faire confiance à ton minautore ? » De nombreuses personnes lui avaient déjà posé la question, et ceci avait été sa plus grande crainte : Que Tran soit tenté par le Mal et qu’il bascule dans ses origines. Falcrisos regarda son ami, il le protégerait quoi qu’il arrive. Sûrement à cause de l’absence de ses parents à sa naissance, Falcrisos reportait ce qu’il lui avait manqué : de l’amour et de la protection. « Oui, tu le peux. De nombreuses fois il aurait pu me faire du mal mais il ne la pas fait. » Répondit-il pour la rassurer, même si ses arguments étaient faux. Il espérait sincèrement que son ami le leur prouverait en temps venu. Leur regard se porta de nouveau devant eux, ils étaient au pied de la montagne mais leur imagination les poussait à voir au-delà. Et cette pensée provoqua un vent de frisson parmi la troupe de cavaliers. Il s’engagèrent sur les sentiers étroits et tortueux de cette montagne, des dizaines de gnolls les accompagnant. @+ -=Inxi=- Modifié le 17 février 2004 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 18 février 2004 Partager Posté(e) le 18 février 2004 En effet, une quête se profile. ça commence vraiment bien: une possible trahison, des trésors, les retrouvailles avec la mère et de la baston! Emmène-nous donc sur ces terres désolées! Imperator, empereur qui te suit! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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