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Rapport de quête : La quête de l'artefact maudit


Thamien

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Il y a quelques temps à la suite d'une partie, j'avais rédigé un compte rendu façon romancé.

J'ai vu que dans les forums de WBattle et W40K, il y avait une rubrique spécialement pour ce genre de chose.

Donc je viens vous faire partager cette mini-quête joué sans maître de jeu par 4 joueurs : Un nain, un chevalier bretonnien, un elfe et un sorcier. Tous niveau 1.

Ceci est la 1ère version : (The official report)

Oyez oyez gentes dames et damoiseux,

Approchez et venez écouter les fabuleuses histoires que je vais vous conter...

Celles de preux héros cherchant l'aventure ces derniers jours pendant ces temps sombres qui nous guettent.

Le premier récit n'est pas l'un des moindre péril, il s'agit de la quête de l'artefact maudit.

Objet maléfique, fruit du chaos, les seigneurs nains ordonnèrent de le détruire.

Mais aucune forge, aucune flamme n'en vint à bout, seules les flammes de la montagne du destin pouvaient en causer la destruction.

Alors un groupe fut formé, l'artefact leur fut donner, un artefact pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.

Le courageux chevalier au coeur pure, le fier nain fort robuste, le patient elfe à la rapidité étonnante et l'impassible sage enchanteur aux pouvoirs fabuleux partirent alors dans l'antre de la montagne du Destin.

Le dédale qui les attendaient là-bas était pernicieux, sombre et étroit, les couloirs s'enchainaient sans fracas dans une atmosphère macabre. Les vaillants guerriers ressentaient la pression environnante de plus en plus intense à mesure qu'ils progressaient...

Ils arrivèrent enfin dans une salle un peu plus grande où des hommes-rats surgirent de l'ombre dans de terrifiants hurlements. Le combat fit rage, on entendait raisonner dans tous le donjon les cris, les coups de haches et d'épées se croisant et le bruit des os craquant sous la violence des coups.

A la fin, nos héros étaient debout, entourés de cadavres éventrés baignant dans une marre de sang.

Mais la tâche avait laissé des marques dans la chaire, trop importante pour que le mage puisse se charger de les guérir, il fallait pourtant continuer...

La salle suivante ressemblait à la précédente, mais le mal qui les attendait était bien plus dangereux.

Près d'une dizaine homme bêtes les chargèrent, alors adossés, ils luttèrent hardiment quelques hommes bêtes tombèrent, mais le nombre était bien trop conséquent.

Acculés sur leur dernières forces, blessés de toute part par les forces démoniaques, ils crièrent une dernière fois ensemble dans un assaut final où ils mirent toutes leur dernières forces pour anéantir encore quelques monstres, avant de succomber un par un à toutes leurs meurtrissures, laissant s'échapper l'artefact de leurs mains.

Leurs vies furent pleurées au village, le camp nain aux alentours se fortifia, car une menace s'annonçait bien plus grande maintenant : l'ennemi était en possession de l'artefact maudit...

Merci braves gens pour votre attention, sachez que ce n'est que la première des histoires que je compte vous faire partager...

Car il en est de notre devoir que nos héros ne soient jamais oubliés.

Bazil, le barde.

Et à présent la version traduite du vieux français, avec authenticité des faits :

Oyez oyez gentes dames et damoiseux,

Hey bande de bouzeux et connasses,

Approchez et venez écouter les fabuleuses histoires que je vais vous conter...

J'ai besoin de fric, alors ramenez votre cul et tendez l'oreille !

Celles de preux héros cherchant l'aventure ces derniers jours pendant ces temps sombres qui nous guettent.

Celles de quatre glandeurs trouvés décuvant dans une taverne du coin en ces jours de crise actuelle.

Le premier récit n'est pas l'un des moindre péril, il s'agit de la quête de l'artefact maudit.

Mon premier fait divers concerne un porte-bonheur un peu douteux (niveau odeur).

Objet maléfique, fruit du chaos, les seigneurs nains ordonnèrent de le détruire.

Mais aucune forge, aucune flamme n'en vint à bout, seules les flammes de la montagne du destin pouvaient en causer la destruction.

Alors un groupe fut formé, l'artefact leur fut donner, un artefact pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.

Les seigneurs nains ayant marre que cette bande d'ivrognes puisent dans leur stock de bière trouvèrent là une bonne excuse pour éloigner un bon moment ses soulards indésirables.

Le courageux chevalier au coeur pure, le fier nain fort robuste, le patient elfe à la rapidité étonnante et l'impassible sage enchanteur aux pouvoirs fabuleux partirent alors dans l'antre de la montagne du Destin.

Le grand benêt dans son armure rouillée et son bouclier en carton, le nain salace complètement ivre, l'elfe boiteux visant comme une truffe et l'enchanteur typique pauvre gars sans personnalité avec autant de pouvoir qu'un hareng. C'te bande de bras cassés partirent bon gré mal gré en route manquant plusieurs fois de se paumer.

Le dédale qui les attendaient là-bas était pernicieux, sombre et étroit, les couloirs s'enchainaient sans fracas dans une atmosphère macabre. Les vaillants guerriers ressentaient la pression environnante de plus en plus intense à mesure qu'ils progressaient...

Arrivés là-bas, c'était juste un long couloir poussiéreux, dont on pouvait entendre : que le vacarme de l'autre naze en armure, quelques pets fuyant de l'elfe et les bouteilles vides tombant au sol que le nain semait.

Ils arrivèrent enfin dans une salle un peu plus grande où des hommes-rats surgirent de l'ombre dans de terrifiants hurlements. Le combat fit rage, on entendait raisonner dans tous le donjon les cris, les coups de haches et d'épées se croisant et le bruit des os craquant sous la violence des coups.

Ils arrivèrent dans une salle où d'pauvres vieux skavens hibernaient depuis des années. Sur les cinq rats, l'un cassa sa pipe sous le coup du choc au réveil, deux autres étaient déjà morts depuis longtemps et sur les deux derniers, aucun n'avait encore une arme en état. Alors ils mordirent les mollets de nos quatre simplets.

L'autre à la cuirasse tomba sous le choc et écrasa de son poids le pauvre Skaven pas tout a fait réveillé.

L'elfe lança une flèche sur le dernier skaven, mais à la main, car plus facile selon lui. Sans succès.

Le nain sans doute plus endormi encore que le skaven, sortit sa hache mais il s'emmêla dans sa barbe et la fit tomber sur le pied du sorcier qui s'était caché accroupi dans un coin.

A la fin, nos héros étaient debout, entourés de cadavres éventrés baignant dans une marre de sang.

Mais la tâche avait laissé des marques dans la chaire, trop importante pour que le mage puisse se charger de les guérir, il fallait pourtant continuer...

Le dernier skaven prit la fuite et nos pauvres bourriques larmoyantes se relevaient tant bien que mal. Ayant peur de retrouver l'autre skaven à la sortie, ils préférèrent continuer au fond de l'antre.

La salle suivante ressemblait à la précédente, mais le mal qui les attendait était bien plus dangereux.

Près d'une dizaine homme bêtes les chargèrent, alors adossés, ils luttèrent hardiment quelques hommes bêtes tombèrent, mais le nombre était bien trop conséquent.

Dans la salle suivante, c'était une partie de poker entre hommes bêtes qui fut interrompue. Enfin quand je dis hommes-bêtes, avec l'équipe de ballot, hein, on n'aurait pas vraiment su distinguer lesquels étaient les véritables hommes-intelligents...

Acculés sur leur dernières forces, blessés de toute part par les forces démoniaques, ils crièrent une dernière fois ensemble dans un assaut final où ils mirent toutes leur dernières forces pour anéantir encore quelques monstres, avant de succomber un par un à toutes leurs meurtrissures, laissant s'échapper l'artefact de leurs mains.

Laissant tomber bêtement la lanterne, dans le noir et ne trouvant pas la sortie, de nouveau les pleurs ont commencé à se faire entendre. On entendait même distinctement des petits cris aigus de nos héros ainsi que des mots jetés comme des appels : "Maman", "non pitié je suis encore puceau", "pas par la petite porte, non !"

Leurs vies furent pleurées au village, le camp nain aux alentours se fortifia, car une menace s'annonçait bien plus grande maintenant : l'ennemi était en possession de l'artefact maudit...

Ce fut la grande fête au village, les seigneurs nains furent applaudis par leur plan et récompensés, ainsi ils purent même construire une nouvelle brasserie : "Aux souvenirs des grosses buses".

Merci braves gens pour votre attention, sachez que ce n'est que la première des histoires que je compte vous faire partager...

C'est l'heure de filer vos pièces, allez bande de radins, crachez.

Car il en est de notre devoir que nos héros ne soient jamais oubliés.

Car on sait que c'est le malheur des autres qui paie le mieux.

Bazil, le barde.

Et je vous merde !

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Je suis tombé dessus par hasard !!

Tout simplement E-NOR-MEUX !!! :D

La version traduite est :huh:

Une suite ????

Sur ce....

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