Aller au contenu
Warhammer Forum
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt

la lignée maudite


shasel

Messages recommandés

Bonjour a tous.

Première fois que je poste dans cette section.

C'est un essai,donc j'espère que sa vous plaira.

Bonne lecture!

Isolé au milieu d’un océan de ténèbres, la forteresse se dressait, silencieuse et mortel. Ces gigantesques murs entouraient de leurs plaques d’acier dix sinistres tours aux lueurs bleutés.

De larges couloirs en verre s’élançaient dans le vide, reliant chacune des montagnes d’acier a ses sœurs de métal. De grands tubes luisant sous la lumière bleuâtre du plasma qu’ils transportaient striaient chacune d’entre elles telles des veines d’adamantium. Celles ci descendaient ensuite lentement jusqu’aux forges situé a leurs pieds qui,en retour, vomissaient des nuages de fumés rougeâtres tourbillonnant autour des mastodontes d’acier avant de s’élancer vers les profondeurs étoilées.

Dans l’un des couloirs de verre suspendu au milieu du vide, une silhouette obscure contemplait le spectacle en souriant silencieusement.

Il voyait les rapides Thunderhawcks effectuer leur bal aérien, glissant entre les couloirs et les tours pour débarquer leurs cargaisons de machines de morts sur le sol froid avant de repartir vers les fournaises impériales.

Il voyait bien des choses. Mais rien de tout cela n’attirait vraiment son regard.

Son regard restait fixé sur l’œil de la mort.

Cette tache noire défigurait le ciel, effaçait la lueur de toutes les étoiles qui osaient passer dans son emprise.

La silhouette déclama à haute voie une prière qui perdit lentement en intensité avant de se terminer dans un murmure. Sur le même ton, quelques mots sortirent, presque inaudibles

« Nous sommes prêts. Prêts à vous tuer. Prêt a nous venger et a venger l’affront qui nous a été fait. »

Alors, contre toute attente, une voie s’éleva et lui répondit. Il bondit dans la direction d’ou émanait la voix.

« Permettez-moi d’en douter. »

IL s’avança, tournant lentement la tête en tout sens a la recherche de l’origine de ses étranges paroles.

Il entendit un léger bruit derrière lui.

Il fit volte face tout en dégainant une flamboyante épée.

Celle ci éclipsa les ténèbres de sa lueur argentée, sa puissance énergétique à peine contenue perforant la nuit de ses gigantesques arcs électriques.

Cette lueur dévoila son visage buriné couvert de cicatrice et son gigantesque corps recouvert d’une armure aux teintes irisé.

Elle révéla aussi la position de son interlocuteur.

L’être l’observait en souriant, sa silhouette squelettique adossée contre l’un des murs de verre. Il tenait dans sa main droite un étrange objet carré et dans la gauche une épée aux teintes bleutées qui débordait-elle aussi d’énergie

« Qui êtes vous ? »

« Azhadram, pour vous servir » dit il en effectuant une légère référence

Ce nom le frappa de plein fouet.

« Azhadram…mais, vous etes…

« Mort. Oui, j’ai entendu parler de cette rumeur. Malheureusement pour vous, elle est fausse. Macros ne m’aurait jamais pardonné si j’étais mort avant l’heure » dit il en éclatant de rire

Au nom de Macros, le guerrier au visage buriné se ressaisi. Il fit passer sa lame énergétique dans sa main droite et dégaina un pistolet bolter.

Trois bolts fondirent sur Azhadram. L’un d’entre eux passa largement au-dessus de sa tête, les deux autres s’arrêtèrent à quelques centimètres de son torse, bloqués par une force invisible

« Passons. Il se trouve, que si je suis ici, c’est pour accomplir une action bien précise qui est… »

Azhadram sourit en voyant les bolts stoppé à quelques centimètres de son ventre

« …De vous tuer. »

Il pressa la chose carré qu’il tenait dans main.

A Six cent mètres de la, au cœur d’une des dix tours d’adamantium pur, une bombe a fusion accroché a un générateur a plasma s’enclencha.

L’explosion se répandit dans chacun des tubes a plasma, embrasant des hectolitres de liquide brûlant…

Avant d’atteindre le générateur central de la tour.

L’onde de choc pulvérisa celle ci, propulsant dans un grondement apocalyptique des morceaux de métaux surchauffés dans toutes les directions.

Des centaines de couloirs suspendus s’effondrèrent dans un cliquetis de métal brisé, les débris plongeant vers les forges.

Le space marine resta stupéfait devant ce spectacle apocalyptique, toute idée de combat oublié.

Le rire narquois d’Azhadram le tira de sa transe. Une lueur de haine dansa dans les yeux du marine qui s’élança vers lui en hurlant des imprécations au meurtrier.

Il fur sur lui en une seconde, sa lame brandit au-dessus de sa tête pour frapper le monstre qui souriait toujours, moqueur au milieu des débris de l’explosion cataclysmique.

La lame ne s’abattit jamais sur l’insolent.

Un bolt surchauffé vint s’abattre sur l’arrière de son crane, qui explosa dans une gerbe de sang. Son hurlement se perdit dans les vrombissements insupportables de la tour foudroyé qui s’effondrait dans un nuage de poussière.

Un homme jaillit de l’ombre derrière le corps foudroyé. Il tenait un bolter fumant dans ses mains

« Joli tir. »Déclara, appréciateur, Azhadram.

« Merci. »

Un grand sourire éclaira le visage de l’homme adossé contre le mur tandis qu’il regardait la tour volant en éclat et les flammes qui commençaient à gagner le reste de la forteresse.

« Quel réjouissant spectacle. Je resterai bien pour l’admirer, mais nous n’en avons pas le temps. Dépêchons nous.»

Il commença à sortir, et l’homme au bolter fumant lui emboîta le pas.

A ce moment la, une boule de plasma embrasé perfora le couloir de part en part, projetant des éclats de verre dans toutes les directions.

Un minuscule morceau de verre vola vers l’homme au bolter et traça sur la peau de son avant bras une infime égratignure qu’il ne sentit même pas.

Une goutte de sang en perla et s’écrasa sur le sol.

Infime grain de poussière menaçant une mécanique implacable fabriqué il y avait de cela des millénaires.

Voila.Je posterais la suite plus tard dans la semaine.

Merci d'avance pour vos commentaires

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bienvenue en section Science-Fiction Shasel :wink:

« Qui etes vous ? »
Déjà, il faut écrire "Qui êtes vous?". Ensuite, il aurait fallut préciser qui pose la question, le Space Marine je crois, pour savoir qui a quelle réplique dans le dialogue. D'autant plus qu'il n'y avait aucun signe dans la phrase précédente disant que s'était le SM le premier à prendre la parole.

Et évite un nombre si conséquent de retour à la ligne. Si pour l'instant cela n'a pas été vraiment gênant, ceci peut amener des fautes telle que:

L’explosion se répandit dans chacun des tubes a plasma, embrasant des hectolitres de liquide brûlant…

Avant d’atteindre le générateur central de la tour.

Quand on finit une phrase par trois points, on met la suite (quand il y en a une) sur la même ligne, pas dans un autre paragraphe ou sous-paragraphe.

Si pour l'instant l'histoire ne nous donne pas beaucoup d'information, pas même le nom du Space Marine, j'imagine qu'elle viendront plus tard.

A part ça, ça une très belle introduction très bien racontée. Allez, donne nous la suite :)

Haldu, encourageur autoproclamé de nouveaux talents d'écrivains

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

très sympa ce petit récit, hâte de voir la suite

Ensuite, il aurait fallut préciser qui pose la question, le Space Marine je crois, pour savoir qui a quelle réplique dans le dialogue. D'autant plus qu'il n'y avait aucun signe dans la phrase précédente disant que s'était le SM le premier à prendre la parole.

C'est le Space Marine qui est dans le récit en position d'incertitude, pas Azhadram, donc il semble logique que ce soit lui qui pose la question. De plus Azhadram se met en position de le contredire, et vu qu'on voit qu'il sait qu'il va le tuer, il semble logique qu'il conaisse le nom de sa victime.

fin bon, c'est pas très grave :)

prun'

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Re bonjour

Tiens, bizarre, je m'attendais a une moins bonne appréciation.

Bon,allez ,la suite

Quelques mois plus tard,bien plus loin...

Yimbo en avait marre. Ce satané masque a oxygène lui collait à peau et il avait mal a l’épaule à force de tenir son fusil laser. Et dire qu’il lui restait encore une heure a attendre au milieu de gens qui dormait tranquillement ! Il soupira, puis se retourna vers la fenêtre. Les pics de la cité ruche se dressaient devant lui ,gigantesques et saisissants. Même en tordant le coup, ses pointes n’était pas visible. La lumière que ces colonnes titanesques émettaient par toutes ces fenêtres balayait l’ombre de la nuit et donnaient l’impression que la journée n’était pas encore finie. De ses innombrables cheminés sortait une fumée opaque qui, le jour, rendait celui ci presque invisible. Ses mégas-forges accrochés a ses flancs fourmillaient d’une agitation à peine contenue, leurs gueules voraces engloutissant des milliers de tonnes de métaux pour ensuite les recracher sous forme d’ustensiles de mort dans des explosions d’essence brûlé. Il semblait que la cité était un gigantesque brasier rutilant , dont les innombrables crépitements alourdissaient l’atmosphère d’une affreuse chaleur qui parvenait jusqu’aux bidonville de la ville basse avant de s’engouffrer dans les profonds tunnels qui menaient à la cité souterraine.

Il mit un moment a émerger de sa contemplation de la formidable citée ruche. Il se tenait adossé à une fenêtre brisée dont le verre avait fondu, les fesses posées sur un planché rendu trop sec par les désagréables émissions de Syphyris I. Plongé dans une pénombre aux reflets rouges, entouré d’hommes qui dormaient tranquillement au milieu de centaines de caisses d’armement, il attendait la fin de son tour de garde en pestant contre tout ce satané équipement de survie, décidément trop lourd pour lui. Il baissa les yeux et constata qu’une forme s’approchait du refuge. Il réarma son fusil laser et se prépara à tirer. La silhouette s’arrêta à quelque mètre de lui et leva les bras en l’air, puis il effectua un geste étrange avec sa main droite.

Le mot de passe.

Il réveilla Liera pour qu’elle prenne sa place, puis il descendit ouvrir au visiteur. Un homme maigre entra dans l’antichambre. Il était torse nu et arborait ostensiblement une profonde déchirure qui partait de l’épaule gauche et descendait jusqu’au bas ventre. Son masque a oxygène était orné d’un point levé écrasant une colombe, symbole du gang de l’Envoûteur

« Bonjour Yimbo »

« T’est qui ? »

« Un agent de l’Envoûteur, sa se voit, non ? »

« Qu’est ce qu’il me veut ? »

« Une cargaison d’armes légères et de drogue a transporter vers Syphyris III »

« La routine, quoi. Au tarif habituel, évidemment ? »

« Exact. Mais on va aussi te charger d’une mission un peu plus spéciale. »

« Quel genre ? »

« Deux hommes ont demandé à faire le voyage entre Syphyris I et Syphyris III.Tu est chargés de les transporter jusque la bas »

« Transport d’hommes ? C’est d’accord, avec un petit bonus évidemment. Mais en quoi est-ce une commande spéciale »

« Tu devras aussi transporter quelques soldats de l’Envoûteur, dont moi. Sans le préciser aux deux autres passagers »

« Des assassins ? »

Le regard du gangster se fit éloquent. Il n’accepterait aucune question sur le sujet.

Mais Yimbo savait qu’il avait raison. L’homme se déplaçait dans la pièce avec une agilité qui trahissait son habileté : Il ne se mettait jamais devant les fenêtres, tenait inconsciemment une garde de combat au couteau parfaite, réagissait au moindre bruit venu de l’extérieur immédiatement. Liera elle-même n’avait aucune chance contre cet homme

« C’est d’accord. »

« Je t’attends demain a la sortie nord ouest du premier quartier, Convoyeur »

La planète Syphyris était placée depuis plusieurs décennies sous le signe de la violence. Il y avait de cela vingt cinq ans, une waghhh ork d’une taille impressionnante c’était écrasé sur la planète. L’attaque fut tellement puissante que même les régiments de la garde impériale dépêché par l’impérium n’enrayèrent pas l’invasion. La planète était alors le centre industriel et économique du sous secteur, la seule cité ruche des alentours dans une zone constituée d’agro monde et de monde minier. Les stratèges impériaux comprirent qu’ils ne devaient la laisser tomber en aucun cas, aussi mirent t’ils en application un système d’extrême urgence exptionnel : Les forces impériales armèrent massivement la population du monde ruche, dérivant pendant plusieurs semaines la fabrication de près de quatre mondes forge dont les usines d’armement fonctionnèrent vingt quatre heures sur vingt quatre.

Les orks étaient nombreux, puissant et entraînés. Néanmoins, confrontés à la population de trois cités ruches armée et prêtes au combat, ils furent submergés, écrasé dans le sang. Les survivants s’éparpillèrent dans les déserts de la planète.

Cette victoire, a première vue éclatante de l’imperium, prit un détour imprévu par les hautes autorités de l’Adeptus Terra : les nobles qui régnaient sur la planète avaient toujours sciemment tenu la population de la planète dans une misère noire. Profitant de l’occasion offerte par cette armée indestructible que formait la masse populaire, un jeune noble ambitieux fomenta une révolution en manipulant la foule. Le phénomène échappa vite a tout contrôle, et, après un mois de guerre civile, l’intégralité des forces de l’impérium et des maisons nobles furent détruites. Les quelques survivants de l’ancien régime (des gardes impériaux et des membres des FDP pour la plupart)s’enfuirent à leurs tours dans les rares zones n’étant pas occupés par les orks. Ceux ci furent désormais désignés comme les FDP.

Pendant ce temps, la révolution, privée de guide et de véritable chef, s’écroula, laissant place a une période de chaos absolu qui dura plusieurs mois durant lesquels la population locale fut décimé. L’ordre finit par être rétabli par les gangs : certains d’entre eux prirent une telle importance qu’ils s’emparèrent des cités ruches et achevèrent de détruire les fondations du Régime impérial.

Après trois ans de guerre sans merci entre ces gangs, un statu quo finit par s’établir entre les trois plus puissant d’entres eux, qui s’entendirent pour mettre fin aux rivalités des gangs et pour augmenter leurs pouvoirs communs.

Un an plus tard, de faux vaisseaux marchands débarquèrent sur un agro monde tout proche de Syphyris et débarquèrent un groupe de soldat issu des trois gangs qui entreprirent de mettre en place un efficace réseau de corruption sur cette planète.

La corruption du sous secteur avait commençé

C’était une question de vie ou de mort pour Syphyris .D’une part, même si la riposte de l’imperium était longue à venir car le chapitre des anges silvers, qui recrutait ses guerriers sur la planète, opposait toute sa puissance politique a ces représailles, pour éviter la honte d’une intervention armée sur leur monde, mais ils ne pourraient pas l’empêcher éternellement.En étendant son réseau de corruption les trois gangs paralysèrent l’administration impériale et bloquèrent la riposte impériale avant même qu’elle ait commencé. D’autre part, Syphyris était un monde désespérément vide : son atmosphère empoisonné empêchait toute les cultures tandis l’absence d’eau pure rendait impossible l’élevage .Pour nourrir sa population, les gangs durent mettrent en place le plus vaste réseau de marché noir de tout les temps

Aujourd’hui, Syphyris agissait comme une sangsue, pompant à l’aide de ses tentacules de corruption les richesses des mondes voisins, attirant armes, eau, nourriture et crédits vers ses gueules voraces qu’étaient les cités ruches pour les engloutir.

Les gigantesques déserts qui séparaient les différentes cités ruches étaient les lieux les plus dangereux de Syphyris. La couche d’ozone y avait totalement disparu depuis bien longtemps, détruite par la pollution qu’émettaient les méga usines planétaires, aussi les rayons UV formaient une barrière mortelle a tout type de colonisation humaine, et ce malgré la présence de nombreuses réserves d’eau.

Les orks grouillaient dans cette zone, innombrables et assoiffé de carnages.

Les seules personnes assez courageuses pour oser traverser ces zones étaient les convoyeurs.

Ces commerçants assuraient la liaison économique entre les différentes cités ruches, aux prix de combats sanglants s’il le fallait, et de beaucoup de sueur dans tous les cas.

Voila.

En espérant que sa vous plait

Bonne journée

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

toujours sympa,

un peu plus décevant au niveau du style j'ai trouvé, comparé à la bonne introduction que tu nous avait servi...

on ne vois pas encore le rapport avec l'intro mais ça devrait venir :)

quelques petites fautes mais rien de bien gênant

bon courage pour la suite

prun'

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quelques fautes d'orthographe ou d'écriture qui auraient été évitées après une relecture supplémentaire (deux "qui" dans la même phrase sans raison dans le début de l'introduction par exemple). Egalement des problèmes d'accords d'adjectifs et de conjugaisons, mais heureusement cela reste des cas isolés. A corriger cependant :D

Cela dit le style est agréable et l'histoire du monde assez bien ficelée, le comportement du chapitrez SM logique (une planète turbulente donne de meilleures futures recrues).

Cependant quelques remarques sur le fond :

-Dans le passage d'introduction, l'assassin est caché dans l'ombre, avec une épée qui crépite d'énergie bleue... Bizarre quand même qu'il ne se soit pas fait repérer plus tôt.

-Pour l'histoire de la rebellion du monde, j'y vois deux gros problèmes : de 1, l'Adeptus Mechanicus n'aurait jamais accepté de confier du matériel militaire en grandes quantités à des personnes non formées (comme le bas-peuple d'une cité-ruche). N'oublions pas que même les armes sont sacrées, dans l'Imperium.

De 2, un monde sous juridiction Space Marine contient sans doute une chapelle de recrutement, ou au moins un port d'attâche du chapitre (avec une garnison de quelques frères-sergents et plusieurs dizaines de scouts, d'après "Anges de la Mort", Gavin Thorpe).

S'il n'y a pas de centre de recrutement permanent, il y a au moins une forteresse-prison de l'Adeptus Arbites (les juges-policiers de l'Imperium) pour faire appliquer la loi impériale (indépendamment du pouvoir des gouverneurs ou de la noblesse). Ces garnisons incorruptibles ont-elles été annéanties (dans ce cas les représailles vont pas tarder), se sont-elles repliées (avec les FDP) ou ont-elles été évacuées ?

Sinon, une telle situation, aux yeux des hautes instances de l'Imperium, est un véritable chaos, et donc susceptible d'être la source ou l'origine d'une infestation démoniaque (ça l'est d'ailleurs). Rejeter l'administration impériale est une trahison envers l'Empereur, et il est probable qu'un inquisiteur de l'Ordo Hereticus soit dépêché sur place, pour enquêter sur les causes de la révolte (causes qui ne seront jamais imputées aux orks ou à l'aristocratie locale évidemment) et sur les agissements des Silver Angels...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci pour vos commentaires!

a Shas'o Benoît:

-Dans le passage d'introduction, l'assassin est caché dans l'ombre, avec une épée qui crépite d'énergie bleue... Bizarre quand même qu'il ne se soit pas fait repérer plus tôt.

C'est le space marine qui possède une épée énergétique,pas l'assassin

l'Adeptus Mechanicus n'aurait jamais accepté de confier du matériel militaire en grandes quantités à des personnes non formées (comme le bas-peuple d'une cité-ruche). N'oublions pas que même les armes sont sacrées, dans l'Imperium.

La réponse a ta question est situé a la page quarante de l'histoire.Il va falloir prendre ton mal en patience... -_-

De 2, un monde sous juridiction Space Marine contient sans doute une chapelle de recrutement, ou au moins un port d'attâche du chapitre (avec une garnison de quelques frères-sergents et plusieurs dizaines de scouts, d'après "Anges de la Mort", Gavin Thorpe).

Ou est le problème?Cinq space marine et une dizaine de scout ne pourront jamais arreter une révolution a eux tous seul,si tant est que sa leur pose un problème qu'il y en ait une,ce qui,en l'occurence,n'est pas le cas.

Concernant l'Arbites:

certains d’entre eux prirent une telle importance qu’ils s’emparèrent des cités ruches et achevèrent de détruire les fondations du Régime impérial.

Les arbites font partis des fondations du régime impérial.On peut supposer qu'ils sont soit mort,soit en fuite,a moins qu'il n'aient quittés l'Arbites a temps pour rejoindre les gangs.

Sinon, une telle situation, aux yeux des hautes instances de l'Imperium, est un véritable chaos, et donc susceptible d'être la source ou l'origine d'une infestation démoniaque (ça l'est d'ailleurs). Rejeter l'administration impériale est une trahison envers l'Empereur, et il est probable qu'un inquisiteur de l'Ordo Hereticus soit dépêché sur place, pour enquêter sur les causes de la révolte (causes qui ne seront jamais imputées aux orks ou à l'aristocratie locale évidemment) et sur les agissements des Silver Angels...

Il y a toujours une frontière entre la théorie et la réalité,mais,pour comprendre les raisons de la non réaction de l'impérium,il faudra attendre la page...Quarante et quelque,je crois. :D

Bon,allez la suite

Les rayons de l’aube, filtrés a travers l’épais nuages des gazs toxiques qui entouraient la citée ruche d’un halo de pollution, donnaient a la sinistre ville aux cents pics des reflets sanglants.

Réchauffé par cette brûlante apparition, l’implacable machine aux rouages de chair humaine s’éveillait lentement. Dans dix millions de couloirs métalliques, le pas de milliers d’hommes faisait s’agiter des centaines d’ascenseurs s’élevant jusqu’aux plus hauts de tours fumante. Tournant autour des mastodontes d’aciers tel un nuage de mouche tourne autour d’un cadavre frais, milles vaisseaux de contrebande rapportaient au maître de ces lieux le fruit de leurs sombres actions, fondant vers le palais doré de L’Envoûteur de toute la puissance de leurs gigantesques réacteurs.

Plus bas, au pied d’un pic d’habitation monumental, quinze camions de guerre se préparaient au départ.

Long de plus de quinze mètres chacun, ils se distinguaient des autres camions par les innombrables meurtrières présentes sur leur flanc, par leurs plaques d’adamantium volée qui leurs tenaient lieu de pare choc, par les sentinelles présentent sur le toit de chacun d’entre eux, qui, silencieuses et mortels, finissaient d’assembler des autocanons en prévision du dur voyage qui les attendaient.

Les conducteurs de ces véhicules parés pour la guerre étaient des colosses promenant avec eux de lourds fusils laser. Les gardes étaient des hommes recouverts des sinistres combinaisons anti UV qui dégageaient autour d’eux une aura de danger dissuasive.

Au cœur de cette sombre assemblé de meurtrier, Yimbo imposait un respect teinté de crainte a tous. C’était un véritable colosse. Il faisait au moins deux mètres de hauts et était extrêmement musclé. Ses cheveux blonds, coupés courts, tranchaient avec sa peau noire. Ses yeux verts aux nuances insondables lui donnaient un regard calculateur qui mettait les gens mal a l’aise. Sentiment renforcé par sa voie glaciale en toute circonstance et, surtout, par son collier en dent d’ork, signe évident d’un danger permanent de sa pare. Comme la plupart des Syphyrisiens, il disait rarement ce qu’il ressentait, mais plutôt ce qu’il pensait, et cette franchise lui avait déjà attiré de nombreuses inimités.

Le convoi s’ébranla. Quinze camions traversaient lentement les couloirs obscurs de Syphyris I en crachotant des nuages de fumés noirâtres, ralentit par la masse des piétons. Lorsque les coups de klaxons ne suffisaient pas, un des convoyeurs ouvrait le feu, soit dans la foule, soit en l’air, selon son caractère. S’ensuivait une courte période pendant laquelle la moyenne du convoi augmentait sensiblement. A plusieurs reprises, ils croisèrent des patrouilles de soldats de l’Envoûteur. Ceux ci les saluèrent avec respect avant de s’écarter : La meilleure manière de mourir dans Syphyris I était, de l’avis général, d’éviter les ennuies.

Il leurs fallut cinq heures pour arriver à la porte Nord Ouest. L’assassin les attendait, entourés de quinze armoires a glace portant à leurs ceintures des épées aiguisées comme des rasoirs.

Sans échanger un seul commentaire, les assassins se répartirent dans les différents camions tandis qu’une meute d’esclaves mutants entreprenait de charger la cargaison sous l’œil d’un Convoyeur. Les Envoûtés (c’était le nom donné au sbire de l’Envoûteur ) entreprirent d’enfiler les combinaisons anti UV.

Yimbo fronça les sourcils en constatant qu’ils n’enfilaient pas celles réservés aux Voyageurs, mais celle des Convoyeurs.

« Eh la, qu’est ce que vous faites ? »

Le maître assassin qu’il avait rencontré hier se glissa vers lui

« Vous nous avez peut être mal compris, Convoyeur Yimbo. Je ne désire pas que vos deux autres passagers nous reconnaissent. Vous avez peut être une meilleure idée que celle la ? »

Yimbo serra les dents. En tant que maître convoyeur, il n’avait pas l’habitude qu’on le fasse passer pour un idiot.

Le maître assassin s’agita, légèrement mal a l’aise.

Liera s’approcha d’eux, lame à la main.

« Qu’est ce qui se passe ? »

Yimbo se retourna et la fixa.

Liera était une jeune femme d’environ vingt cinq ans. Musclé, grande, les cicatrices présentes parcourut sur son corps témoignait d’une vie extrêmement animée. Elle était la guerrière attitrée de Yimbo depuis environ cinq an, et une solide amitié s’était noué entre eux.

« Rien Liera, rien. »

Liera l’observa quelques secondes, puis elle haussa les épaules et repartit s’occuper des esclaves et de leurs cargaisons.

L’assassin reprit sèchement.

« Les deux personnes que vous êtes censée transporter vont bientôt arriver. Faites votre boulot et faites-moi grâce de vos commentaires. »

Il partit enfiler sa combinaison sous le regard chargé d’animosité de Yimbo

Quinze minutes plus tard, les deux voyageurs arrivèrent. Le premier était assez grand, sans toutefois dépasser Liera. Il portait un long manteau jaune qu’il enfila par-dessus sa combinaison sous les regards ébahit et légèrement amusé des Convoyeurs. La moquerie resta coincé dans leurs gorges lorsqu’ils virent que, sous ce manteau se cachait une mitrailleuse, arme rarissime et incroyablement chère. Il s’appelait Ralik. Yimbo nota que, comme beaucoup de personnes, il était mal a l’aise en sa présence.

L’autre était, lui beaucoup plus inquiétant. Il se dégageait de lui une aura de meurtre qui était sous entendu dans tout ses gestes, toutes ses paroles : La manière dont sa main passait régulièrement et involontairement près de la garde de sa lame de combat, sa voix sèche et cassante, ses muscles saillants... Il affirma s’appeler Nalog, ce qui laissa Yimbo perplexe, car ce mot n’avait l’habituelle consonance sèche des noms donnés dans les cités ruche. Un ancien FDP, peut être ?

Voila.

En espérant que sa vous a plut

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas grand chose à redire, c'est du transitionnel. Juste, ça m'intrigue de savoir pourquoi les noms donnés dans les cités-ruches doivent avoir une consonance sèche.On attend la suite.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les déserts Syphyrisiens n’avaient rien de désert conventionnel.

C’était, en réalité, des prairies de verdures régulièrement arrosées de pluies torrentielles, exposé à l’agréable lueur d’un soleil rutilant. Chacune des nombreuses collines de ce désert abritait des forets d’arbres exotiques grouillant de vie.

Ce désert était, en réalité, un désert humain.

Les agréables prairies verdoyantes cachaient sous leurs hautes herbes des champs de ronces inextricables ou vivait une faune carnivore et destructrice.

Les pluies régulières qui s’abattaient sur ces secteurs déserts crachaient une eau polluée par des millénaires d’activité industrielle humaine.

Le soleil rutilant promettait moult cancer de la peau et autres graves maladie a quiconque osait s’exposer a ces rayons.

Les profondes forêts exotiques grouillaient en effet de formes de vie, mais l’une d’entre elle, doté d’une peau verte et irrésistiblement attirée par les combats, avaient transformé ces zones en lieu de mort.

C’était ce spectacle verdoyant que contemplait Nalog, morose, a l’arrière d’un camion tout en nettoyant sa lame, atteinte pour l’entretien hebdomadaire. Il avait fallut deux jour au Convoi pour quitter les pourtours dévastés par la pollution de Syphyris I, et trois autres pour arriver en vue des déserts. Cela faisait maintenant une semaine qu’ils se déplaçaient au milieu de ceux ci, roulant à toute heure du jour et de la nuit, car le mouvement était l’unique règle a respecter si l’on voulait échapper aux attaques des prédateurs. Les convoyeurs se montraient pour la plupart assez communicatifs,quoi qu’assez stressé, et des amitiés commençaient déjà a ce lier.Yimbo et Ralik, par exemple, s’entendaient comme larron en foire Il restait encore deux jour de voyage, et, déjà, on commençait a apercevoir de larges zone vierge de toute végétation, signe évident indiquant la proximité d’une citée ruche-et des pics de pollution qui allaient avec. Ce fut au cœur de l’une de ces zones que la radio se mit à grésiller

« Des véhicules s’approchent du convoi »

C’était trop beau pour durer songea Nalog en se relevant.

Autour de lui, les Convoyeurs s’agitaient, chargeant leurs armes et montant vers les autocanons situés sur le toit.

Il décrocha son fusil a plasma de son harnai, l’arma et emprunta à son tour l’échelle qui menait au toit.

Un fusil a plasma. Cette arme lui avait coûté une petite fortune et était la source de bien des jalousies depuis qu’il avait mit les pieds dans le convoi

Il ouvrit la trappe du toit et sentit le vent violent causé par la vitesse du véhicule le frapper dans le dos. Il se glissa hors de l’ouverture et examina les environs.

Sur le toit de chacun des véhicules, les Convoyeurs montaient leurs armes lourdes, et scrutaient l’horizon. Sur le toit du véhicule de Yimbo, Liera-il aurait reconnu sa silhouette entre mille- échangeait des ordres avec les autres camions par le biais d’un radio émetteur.

A coté d’elle, il entrevit Ralik qui armait sa mitrailleuse

Les camions formèrent un large cercle pour éviter toute tentative d’encerclement, puis s’arrêtèrent

Nalog chercha du regard l’hypothétique menace Ils ne formaient pour l’instant qu’un nuage de poussière au loin, mais il estima qu’ils roulaient bien plus vite qu’eux.

Un convoyeur émergea d’une trappe d’un véhicule sur sa gauche, une paire de jumelle a la main, puis il se retourna vers celui qui tenait une radio portative et lui parla. Celui ci transmit le message au reste du convoi.

« Des orks ! Fondus d’la vitesse »

Eh M****

Les fondus d’la vitesse étaient les seuls orks assez bien équipés pour pouvoir s’attaquer efficacement aux Convois humains.

Puis la voie de Yimbo retentit dans la radio portative avec une force impressionnante.

« Les véhicules qui transportent les marchandises, au centre du cercle ! Préparez-vous au combat ! Conducteurs, resserrez le cercle ! Il ne faut pas que les truks orks rentrent dans notre formation, ou nous sommes tous mort ! Que ceux qui font les marioles sur les toits redescendent ! Seuls les servants des armes lourdes restent la haut !Exécution ! »

Mais qu’est ce qu’il raconte ? La meilleure des manières de mourir pour les orks serait que justement, ils pénètrent dans le cercle des véhicules. Ils seraient pris entre les feux croisés de tous les Convoyeurs et seraient massa…

Il comprit alors. Les radios employés par les Syphyrisiens étaient de la bouse technologique. Même les orks pouvaient intercepter leurs communications.

Yimbo avait laissé entendre que se serait un massacre s’ils pénétraient dans le cercle. Les orks le croiraient sur parole et rentrerait dans le cercle sans réfléchir, c’était dans leurs natures.

Au loin, une quinzaine de Truks ork jaillirent de la ligne de l'horizon. Leurs lourdes carcasses de métal aux formes archaïques s’élançaient à une vitesse ahurissante vers le cercle des guerriers humains.

Autour de ses monstres de métal grouillaient des nués de buggy dont les traînes de fumés noirâtres cachaient l’horizon. Le vrombissement de ces innombrables moteurs était insupportable, même a cette distance.

Nalog était resté sur le toit car il portait une arme bien plus destructrice que ces malheureux autocanons. Il orienta son fusil a plasma vers le truk le plus proche.

Au même moment, les cinq véhicules humains qui pouvaient tirer sur les orks sans menacer leurs confrères ouvrirent le feu.

Une formidable explosion retentit lorsque dix tirs d’autocanons heurtèrent la horde mécanique des orks. Trois des truks explosèrent et furent catapultés dans les airs sous la violence de l’onde de choc.

En réponse a cette attaque, la horde monstrueuse ouvrit le feu a son tour, larguant sur les véhicules de tête une pluie sans fin de bastos. Un tir plus chanceux que les autres pénétra dans le moteur d’un des camions, qui fut vaporisé en une seconde. Des débris volèrent dans toutes les directions avant de retomber lourdement. Une plaque de blindage grosse comme un homme adulte cisailla l’autocanon du camion ou se trouvait Nalog.

La meute de blindé ork fut sur le convoi en un instant. Un truk situé à l’avant de la horde heurta à toute vitesse l’un des camions humains. Pendant une seconde, il sembla que le mastodonte d’acier allait résister au choc. Il se renversa sans toutefois laisser passer, comme animé d’une volonté d’acier, déterminé à ne pas laisser passer l’engeance xénos.

Nalog, profitant de l’occasion, tira.

Son tir de plasma surchauffé frappa le truk sur le coté droit et le vaporisa. L’onde de choc souleva le camion des convoyeurs et envoya ces cinquante tonnes d’acier valser au loin.

Les blindés xénos s’infiltrèrent dans la brèche ainsi ouverte dans un hurlement de rage guerrière et d’enthousiasme.

Ils pénétrèrent au cœur du cercle humain en tirant dans tous les sens. Les truks vomissaient des meutes d’orks sanguinaires dont la peau verte ruisselait de bave causée par la rage. Leurs bras musclés soulevaient de gigantesque kikoup luisant sous les rayons mortels du soleil tandis que leurs automatiks crachaient des salves de tirs au bruit apocalyptique.

Les Convoyeurs ne tardèrent pas a riposter. Leurs armes lourdes couvrirent le centre du cercle ou se tenaient les véhicules xénos d'épaves fumantes pendant que les traits rouges des fusils lasers clairsemaient les rangs des guerriers peaux vertes. Les monstres se battaient néanmoins avec courageet nullement effrayé par les pertes monstrueuses qu'ils encaissaient,ils vontinaient envers et contre tous a délivrer des salves de rokettes destructrices

Leur acharnement était tel qu’ils réussirent a détruire deux autres véhicules.

Et les munitions commençaient à manquer

La radio grésilla à nouveau et la voie de Yimbo retentit.

« On n’a plus le choix les gars, a l’attaque ! Pour l’Empereur ! »

Même si Syphyris était désormais indépendante de l’impérium, l’Empereur-Dieu y était toujours vénéré.

« POUR L’EMPEREUR ! »

Des dizaines de trappes s’ouvrirent des camions humains, larguant des masses de guerrier résolu a se battre jusqu'à la mort contre leur ennemi héréditaire. Ils chargèrent en hurlant, lame à la main. A la tête de la charge, Liera hurlait des insultes aux xénos sanguinaires.

Les orks, éparpillés par le massacre, ripostèrent en faisant s’abattre une pluie de feu sur les groupes de guerrier humain avant de dégainer leurs kikoup et de charger à leur tour.

Nalog cessa de tirer et sauta du toit du camion au moment ou les belligérants se heurtaient dans un grand fracas, le tintement de lame brisé, des détonations des automatiks et des pistolets lasers ayant remplacés celle des autocanons et des gros flings.

Il se réceptionna parfaitement et plongea vers le combat le plus proche.. Ils chargèrent en hurlant, lame à la main. A la tête de la charge, Liera hurlait des insultes aux xénos sanguinaires.

Les orks, éparpillés par le massacre, ripostèrent en faisant s’abattre une pluie de feu sur les groupes de guerrier humain avant de dégainer leurs kikoup et de charger à leur tour.

Nalog cessa de tirer et sauta du toit du camion au moment ou les belligérants se heurtaient dans un grand fracas, le tintement de lame brisé des détonations des automatiks et des pistolets lasers ayant remplacés celle des autocanons et des gros flings.

Il se réceptionna parfaitement et plongea vers le combat le plus proche.

Cinq Convoyeurs affrontaient péniblement trois orks déchaînés.

Il rangea son fusil a plasma et dégaina sa lame énergétique.

Elle se mit instantanément a luire d’une énergie à peine contenue, de petits arcs électriques jaillissant dans toute sa surface.

Il franchit la courte distance qui le séparait des orks en un éclair et porta un coup sur le plus proche d’entre eux qui lui fendit l’abdomen. Un flot de sang rouge surchauffé jaillit de la blessure et l’aveugla momentanément.

Il recula en se frottant les yeux, incapable de voir quoi que ce soit. Il entendit un bruit étouffé, suivit d’un cri d’agonie déchirant.

Dès qu’il rouvrit les yeux, il ressaisit sa lame tombée au sol et attaqua un ork d’une taille monstrueuse qui avait rejoint la mêlée.

Le Nob déchaîné para l’attaque d’un revers de son kikoup en émettant un rire dédaigneux.

Qui s’étouffa dans sa gorge lorsque son arme fut coupé en deux par la lame énergétique et s’enfonça dans son estomac.

En une seconde, Nalog retira sa lame et porta un nouveau coup qui cisailla de bras du xénos.

Celui si s’effondra sur lui en hurlant de douleur.

D’une pirouette, Nalog évita la masse imposante de la peau verte s’abattant au sol, puis il se plongea à nouveau dans le massacre.

Les orks n’avaient aucune chance de vaincre, mais ils se battirent avec toute la rage qui caractérisait-leur races. Chaque ork se combattait avec la dextérité d’un space marine, encaissant des coups qui auraient pu tuer n’importe quel homme instantanément. Les Convoyeurs, eux, étaient nombreux, sur de leurs victoires et entraînés depuis des années a affronter les orks dans ces déserts hostiles.

Nalog perdit le compte du temps, emporté par la spirale des combats. Son excitation était telle que tout devint flou, les lames, les orks morts, les camarades agonisants, les blessures.

Une terrible douleur lui vrillait la jambe droite.

Ses oreilles étaient saturées de bruit d’explosion, de cri de terreur, d’ordres, d’injure, de tintement de métal et de l’affreux sifflement de la chair déchiré.

Puis, l’atmosphère de sang commença à disparaître, les sons devinrent plus rare.

Enfin, ce fut le silence.

Nalog sentit une violente fatigue s’emparer de lui. Ses jambes devinrent flageolantes et il s’effondra au sol, le souffle court.

Il remarqua alors la profondeur du silence qui s’était emparé du Convoi. Aucun cri de désespoir devant la mort d’un être proche, aucun cri de victoire.

Il regarda autour de lui et constata que tous les convoyeurs fixaient leur attention vers un homme.

Ralik

Devant lui, une dizaine de cadavre d’ork étaient étendue sur le sol.

Pas la moindre trace de blessure expliquant leur mort.

Il entendit un des guerriers survivants, couvert de sang, chuchoter a un colosse situé a coté de lui.

« Psyker. C’est bien lui »

Nalog entendit les paroles.

Il savait que c’était une catastrophe.

Mais il s’en fichait.

Car il avait reconnu cette voix.

Il était sur que, si l’on enlevait à cet homme son armure anti UV, on verrait une profonde déchirure lui traversant tout le torse.

L’Assassin. Il s’était enfin révélé. Ralik l’avait pourtant avertit que celui ci était peut être caché parmi les convoyeurs

Toute fatigue disparue, il se releva en un éclair et bondit sur l’hérétique. Sa lame énergétique fendit l’air.

L’Assassin para instinctivement. Une onde de choc électrostatique se répandit dans le bras de Nalog lorsque les deux lames énergétiques se heurtèrent. La riposte fusa à la vitesse de l’éclair.

Elle tomba dans le vide. Nalog s’était jeté au sol dès que son attaque avait échoué. Il effectua une roulade.

L’Hérétique tenta de battre en retraite, mais il ne fut pas assez rapide. La roulade lui heurta les genoux et il trébucha.

Nalog fut debout en une seconde. Il effectua un demi-tour parfait et fit siffler sa lame.

Celle ci découpa la jambe droite de l’assassin.

Il s’apprêtait à l’achever lorsqu’une voie retentit dans tête.

« Derrière toi ! »

Sans réfléchir, il se retourna et vit le Convoyeur avec qui parlait l’Assassin se jeter sur lui sans le moindre bruit.

Il para le premier coup sans difficulté, et décapita en un tour de lame le Convoyeur.

« Hérétiques ! »

Nalog opina alors que cinq hommes fonçaient sur lui.

Un tir rouge traversa l’un d’entre eux de part en par et il s’effondra. Une suite de claquement sec retentit tandis que Yimbo, qui avait entraperçut la scène, vidait son chargeur laser sur les quatre assassins restant.

Ceux ci hésitèrent, stupéfait par cette trahison. Pas Nalog, qui profita de cette aide impromptu pour charger les quatre assassins encore en vie.

Avant qu’ils n’aient le temps de se ressaisir, deux d’entres eux étaient déjà morts.

Nalog se retourna et se fendit, sa lame pointée vers le cœur d’un autre adversaire.

Celui ci s’effondra avant même que sa lame ne l’ait effleuré.

Il se retourna, a la recherche du dernier assassin.

Il gisait sur le sol, désarticulé, une blessure suintant au milieu de son front.

« Pas mal.»

Celui ci sursauta.

Liera se tenait devant lui, un ton faussement admiratif présent dans sa voie.

« On peut savoir ce qu’ils vous voulaient ? » dit t’elle en désignant les cadavres gisant sur le sol de la pointe de sa lame ensanglanté.

Il resta silencieux quelques secondes, en songeant que c’était décidément une très bonne guerrière, puis il répondit en désignant Ralik, penché sur le corps agonisant de l’Assassin

« C’est lui qui vous répondra »

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Très bien celui-ci :):):)

grosse surprise en découvrant la trahison de Yimbo, qui avait l'air d'aider plutôt les assassins au départ :)

Mais qu’est ce qu’il raconte ? La meilleure des manières de mourir pour les orks serait que justement, ils pénètrent dans le cercle des véhicules. Ils seraient pris entre les feux croisés de tous les Convoyeurs et seraient massa…

Il comprit alors. Les radios employés par les Syphyrisiens étaient de la bouse technologique. Même les orks pouvaient intercepter leurs communications.

précise que c'est Nalog qui pense ça. (m'a fallu 5minutes pour comprendre :P )

dégaina sa lame énergétique-la vrai,pas celle qu’il.

AMHA il manque quelque chose là :)

bon courage pour la suite

prun'

Modifié par Prune29
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonne journée a tous!

Voici le lien entre l'introduction et la suite de l'histoire

bonne lecture.

L’Assassin avait commis une grave erreur pendant son voyage dans le Convoi.

Il avait pensé qu’il pouvait faire confiance aux convoyeurs. C’était une erreur. Chaque nuit, il avait veillé à dormir dans un véhicule différent de celui de Nalog et Ralik pour éviter tout coup de poignard éventuel. Il ne s’était méfié que d’eux. Pas des autres. Une nuit, alors qu’il dormait tranquillement, Yimbo c’était glissé vers lui et lui avait fait les poches en espérant y trouver quelques objets de valeur.

Il avait trouvé bien plus que cela. Il avait trouvé de la poussière d’ivrine, un métal aussi rare que précieux.

Il y en avait suffisamment dans les poches de l’assassin pour assurer sa richesse jusqu'à la fin de son existence. Il avait été sur le point de les lui voler, mais quinze assassins l’entouraient et lui feraient la peau au moindre éternuement, aussi avait t’il reposé le fruit de ses découvertes a contrecœur en se jurant qu’a la première occasion, il s’en emparerait, et au diable leur stupide contrat !Bien entendu, il s’en était ouvert à Liera, qui s’était immédiatement proposé de l’aider.

Maintenant, il se tenait a coté de Ralik, et tout en beuglant des ordres pour qu’on enterre les cadavres, il le surveillait avec attention. S’il faisait le moindre geste pour récupérer l’ivrine, il lui vidait son chargeur dans le corps. Une amitié naissante d’une semaine ne voulait pas dire qu’il allait laisser ce bouffon en manteau jaune s’enrichir à ses dépends !

L’assassin était condamné.

Il se vidait lentement de son sang dans l’indifférence générale, ahanant des gémissements rauques dans sa lutte contre l’affreuse douleur qui le terrassait.

Seul, Ralik l’observait. Dès qu’il fut suffisamment près pour que le mourant le remarque, celui ci se mit à hurler, toute douleur oubliée, puis il déversa un flot ininterrompu d’insulte a l’attention de Ralik.

Au milieu de sa tirade, il s’étouffa et cracha du sang avant de reprendre son flot d’injure. Il fallait agir vite, sinon l’hérétique allait lui filer entre les doigts.

Ralik plongea son esprit dans celui du mort en sursis et écrasa toute tentative de résistance.

« Qui t’a envoyé assassiner Haldus ? »

L’hérétique cessa de l’insulter et tout son corps se raidit.

Puis il murmura de manière saccadée, horrifié par les paroles qui sortaient de sa propre bouche.

« Azhadram. »

« C’est lui qui dirige les cultes chaotiques de ce monde ? »

« Non. »

« Qui est ce ? »

« Macros. Arrêtez, s’il vous plait. Pitié. Non. Non ! »

Sa voix se fit suppliante, implorante alors que Ralik commençait à lui briser mentalement les doigts de la main droite.

Ralik continua de poser des questions, imperturbable.

« Combien sont ils ? »

L’Assassin hoqueta de douleur lorsqu’un nouveau flot de sang s’échappa de son moignon de jambe.

« COMBIEN Y A T’IL DE CULTISTE SUR CE MONDE ? »

L’hérétique gémit sous le coup de la nouvelle attaque mentale, puis il se mit à ricaner

« Trop.Beaucoup trop. Ce monde est condamné, suppôt du faux empereur. Et toi aussi, tu est condamné. »

Il hurla lorsque Ralik lui fractura le bras droit

« COMBIEN ? »

Ralik acheva alors de briser ses barrières mentales et il s’élança, avide, dans son esprit.

Puis il recula, stupéfait.

« Un million ?Un million d’hérétique ?C’est impossible… »

L’Assassin plongea alors dans le coma

Il sentit une main se poser sur son épaule.

« Eh oh, t’est toujours la ? »

Ralik rouvrit les yeux et tourna péniblement la tête vers son interlocuteur.

C’était Yimbo. Il tenait dans sa main un fusil laser fumant, était couvert de sang, mais semblait a peine fatigué et un peu nerveux

Il ressentit un violent haut le cœur a sa vue. Les intouchables l’avaient toujours mit mal a l’aise.

Il se dégagea violemment.

Lorsque le Convoyeur reprit la parole, sa voie était dure et emplit d’une menace qu’il ne comprit pas

« J’ai quelque question a te poser et, compte tenu du fait que je vous ai sauvé la vie, à toi et a ton chien de garde, vous pourriez peut être envisager d’y répondre."

Ralik hésita. La tentation d’inviter cet intouchable dans son groupe était forte, mais il lui faudrait du temps pour l’entraîner. Or, du temps, c’était la principale chose qui lui manquait.

D’un autre coté…

« Allez-y »

« Tu parles avec un accent qui ne vient de nul part sur Syphyris. Pourquoi ? Qui êtes vous ? Qu’est ce que t'a bien put faire pour t'attirer la haine de l’Envoûteur ? »

« Eh ? Qu’est ce que l’Envouteur a voir avec cette histoire ? »

« Cet assassin était payé par l’Envoûteur pour te tuer ! »

« D’abord, il s’appelait Sanghor Frek, et ce n’est pas le style de l’Envoûteur de se payer les services de types de ce genre. »

Ralik supposa que, en ce moment, Yimbo devait froncer les sourcils sous son masque. Et il le comprenait

L’Envoûteur était un psyker qui avait par miracle échappé aux vaisseaux noirs de l’inquisition.

Il avait passé quinze ans de sa vie a jouer au pirate dans les profondeurs de l’espace du sous secteur avant d’échouer sur Syphyris juste après la révolution. Une fois sur la planète, il avait repris en main un gang minable de Syphyris I et l’avait utilisé pour prendre le contrôle de la citée ruche.

Aujourd’hui, il régnait sur tout le système de corruption des mondes proches de Syphyris et était donc probablement l’homme le plus riche du sous secteur.

Et sans aucun doute le moins scrupuleux.

« Sur ce point, j’ai un doute. »

« C’est que vous ne connaissez pas Sanghor Frek. Ecoutez-moi bien, Yimbo. Votre vie ne vaut désormais plus un clou »

« Pardon ? »

Les Convoyeurs avaient commencé à dégager les cadavres. Liera tentait de consoler ceux qui avaient subi la perte d’être cher tout en tentant de cacher son indifférence devant la mort de ceux ci, dont leurs morts ne signifiait pour elle d’autre qu’une prime plus importante au moment du partage. Elle foudroya du regard Yimbo, qui était en temps normal chargé de ce genre de tache ingrate.

Mais il avait autre chose a faire en ce moment, aussi ignora t’il l’appel à l’aide silencieux de la guerrière.

Ralik, lui, commença à parler

« On va reprendre du début, d’accord ? Pour les Syphyrisiens, l’imperium est le nom donné au gouvernement qui dirigeait cette planète avant l’attaque des orks et la révolution. C’est une confusion idiote, mais compréhensible. En réalité, l’imperium est un gigantesque empire galactique qui règne en maître absolu sur l’humanité. Il est le bouclier invincible qui protège le genre humain des xénos. Il règne d’un bout a l’autre de la galaxie sur près d’un million de monde. Ses armées sont innombrables et terrifiantes, la garde impériale et les spaces marines en étant les deux plus efficace. Néanmoins, le nombre de nos ennemis extérieur n’est rien comparé a ceux venus de l’intérieur. Traîtres, assassin, pirates… l’humanité est agitée depuis bien longtemps d’une soif de s’autodétruire qui force le respect. »

« Quel est le rapport avec moi ? »

Ralik soupira, fatigué par l’impatience du convoyeur

« Le rapport est que,toi et Liera,vous venez de vous opposer aux actes de l’un des ennemis de l’imperium, et pas des moindres : Sanghor Frek. Sur un monde impérial, vous auriez été récompensé et protégé des éventuelles représailles. Mais Syphyris a fait sécession, aussi vos chances d’échapper aux représailles de ces collègue chaotiques sont elles quasi nulles. »

Yimbo resta silencieux, abasourdis. Ralik, voyant qu’il ne disait rien reprit :

« Sanghor a mené des centaines d’attentats et fait plus d’un million de mort dans tout le secteur. Le dernier en date a eu lieu sur une planète que vous connaissez bien : Trantor IV »

Yimbo se ressaisissait lentement car il réussit a murmurer :

« La planète des… »

« Anges silvers. Il a quasiment anéantit la troisième compagnie, a tué de ses propres mains le capitaine de celle ci et dévasté leur forteresse avant de se réfugier sur Syphyris. »

« Que venez vous faire dans cette histoire ? »

« Inquisiteur. »

« Quoi ? »

« Inquisiteur. Mon métier est de chasser les ennemis infiltrés de l’imperium, quel qu’ils soient. J’ai localisé Sanghor et découvert que c’était lui le responsable de l'attentat grâce à une infime blessure qu’il a subi sur les lieux du crime, après quoi je l’ai poursuivi jusqu’ici avec mon équipe Sanghor. »

« Et ? »

« C’était une erreur. Ce monde est devenu le refuge de tous les ennemis de l’impérium aux alentours.J’ai subi quatorze tentatives d’assassinat avant de retrouver sa trace. Lors de la rencontre finale, j’ai perdu tous les membres de mon équipe, excepté Nalog avant de découvrir que Sanghor n’était qu’un exécutant. »

« Qui étaient les… »

« Sa n’a aucune espèce d’importance. Nous allons bientôt repartir. Tant que vous restez dans les déserts, vous êtes en sécu… »

Son regard s’arrêta sur les cadavres des orks entassé que les Convoyeurs faisaient brûler

« Disons, a l’abri des hommes. Mais dès que nous arriverons a Syphyris III, mes ennemis remarqueront l’absence de Sanghor, chercheront a savoir ce qui c’est passé, ils vous retrouveront et, lorsqu’ils auront découvert la vérité, vous mourrez. Votre unique chance de survivre, a vous et a Liera c’est de m’accompagner. »

« Et pour quelle raison ? »

« La seule chance que vous avez de survivre, c’est de fuir la planète ou de tuer les commanditaires de Sanghor. Or, ces deux actions figurent dans mes plans. »

« Et pourquoi vous montrez vous aussi généreux ?Quel avantage en tirez vous ?Pourquoi… »

« Comme je vous l’ai dit, j’ai perdu mon équipe, et je me dois de commencer a la reformer rapidement si je tiens a survivre sur ce monde. Or, j’y tiens.”

Il y eut un instant de silence, puis Ralik reprit sur un ton sardonique

« Ce n’est pas comme si vous aviez le choix, mais je vous laisse y réfléchir. Je compte sur vous pour avertir Liera »

Puis il partit vers le camion le plus proche pour embarquer.

Yimbo semblait troublé lorsqu’il se baissât pour ramasser l’ivrine

En espérant que sa vous a plut

Ps:désolé pour le nom de la planète des anges silvers,j'ai rien trouvé de mieux...

Pps:L'ivrine n'est absolument pas fluff,mais je ne connais pas le nom des matériaux ultra précieux du quarantéunième millénaire,alors j'ai improvisé

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

« Qui t’a envoyé assassiner Haldus ? »
Mais qu'est-ce que je t'ai fait? :) (Bien que j'apprécie d'être représenté sous la forme d'un capitaine Space Marine :) )

Pour le nom de la planète des Angels Silver, moi ça ne me choque pas.

Sinon, sur l'histoire, j'ai bien aimé, on apprend 2/3 choses et ça jette en place les bases de la suite

La suite :)

Modifié par haldu
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Très sympa cette histoire,la texte est bien écrit et sa ce lit facilement,de plus je trouve que les personnages sont intéressant ont s'y attache vite!

J'aime particulièrement la scène de torture par l'inquisiteur :)

La suite!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour a tous

Bon,je suis pressé,donc le passage que je vais vous livrer sera cour:juste après,je dois mener les troupes du bien supreme au combat contre des fanatiques sanguinaires ayant échangé leur intelligence contre leur poids en choucroute spaces marines(te sens pas visé Haldu ^^)

Bonne lecture et souhaitez moi bonne chance :P

Le bilan de la bataille était lourd : près de quarante convoyeurs étaient morts, plusieurs véhicules avaient été détruit, d’autres étaient irréparable ou avaient perdu leurs conducteurs. Yimbo fit charger toute la marchandise que l’on pouvait sauver dans les camions, puis ils partirent, abandonnant les cadavres de leurs confrères et le corps agonisant de Sanghor sur le sol, personne n’ayant pris la peine de l’achever.

Liera émergea d’un sommeil douloureux lorsque des cris et des exclamations commencèrent à retentirent dans les nombreuses radios du bord.

Elle s’étira en grommelant avant de chercher la cause de cette soudaine agitation. Le combat contre les orks, sa décision de quitter le convoi pour suivre l’inquisiteur et le reste du voyage sous le stress causé par le manque quasi permanent d’eau l’avait épuisé au un point inimaginable. La preuve, c’était qu’elle était pressé de rallier Syphyris III.

Elle mit quelques secondes supplémentaires a retrouver une vision nette de ce qui l’entourait.

Rien d’anormal a première vue.

Un convoyeur pointa du doigt le ciel en marmonnant quelques mots a un collègue.

Elle vit enfin ce qui se passait.

Au loin, de gigantesques colonnes de fumée s’élevaient dans le ciel noirci avant de se perdre dans la brume permanente des gazs toxiques

Un sourd pressentiment lui enserra la poitrine. Elle était né dans les profondeurs de Syphyris III,et elle connaissait l’unique raison qui expliquerait ces colonnes de fumée.

Elle ne se trompait pas.

En arrivant en vue de Syphyris III,tous les convoyeurs poussèrent des cris de stupéfaction.

La citée ruche avait été bombardé.

Ce n’était pas la première fois que les FDP se rappelaient au bon souvenir des Syphyrisiens, mais la, ils y étaient allés très fort.

L’air était chargé des senteurs de poussières soulevées du sol par la récente attaque. Elle ne cachait néanmoins pas entièrement l’ampleur du désastre.

Plusieurs pans du bidonville géant qu’était la banlieue de Syphyris III avaient étés vaporisés et n’étaient plus que des trous béant vomissant des flots de fumées noirâtres. De nombreuses explosions retentissaient un peu partout dans la ville basse, signe qui montrait que les mutants et les pillards profitaient de la stupéfaction générale pour s’offrir une virée sanglante dans les quartiers humains de la ville.

Liera aurait dut être horrifié, mais elle avait l’habitude.

Car c’était Syphyris III qui se tenait devant elle.

C’était elle qui avait encaissé le gros de l’invasion ork, il y avait de cela vingt cinq an, et les cicatrices en était encore visible.

La plupart des tours d’habitation avaient été détruites ou rendue inhabitables par les bombardement orks. La population vivant dans celles ci, forcé de fuir ces montagnes de ciment et d’acier, c’était réfugié dans les bidonvilles, qui s’étendaient aujourd’hui sur une centaine de kilomètre autour de la citée ruche. Ces bidonvilles étaient, tous le savaient, une zone de mort et d’horreurs inimaginables, un repaire de mutant sanguinaire et la cible de tout les « Recruteurs », ces esclavagistes chargés de trouver de nouveaux travailleurs pour les méga usines Syphyrisiennes.

C’était du cœur de cet enfer qu’était né le gang des dragons rouges.

Il régnait d’une poigne de fer sur Syphyris III, avait la mainmise sur toutes les plus grandes compagnies de mercenaires et d’assassin, dirigeait les réseaux de pirateries a travers tout le sous secteur. On pouvait facilement comprendre comment ce gang était devenu l’un des plus puissante force de la planète.

En espèrant que sa vous plait

ps:pour le passage d'avant,vous avez bien compris que j'expliquai,au début,la raison pour laquelle Yimbo a trahit Sanghor Frek?

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut,

ps:pour le passage d'avant,vous avez bien compris que j'expliquai,au début,la raison pour laquelle Yimbo a trahit Sanghor Frek?

oui c'est bon, c'était très clair

sinon très sympa, vivement la suite

bon courage pour ta bataille contre les abrutis ne sachant pas que les armures bleues c'est moche les spaces marines

prun'

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonour a tous.

Voici la suite.

Pour m'excuser pour hier,j'en poste plus aujourd'hui

Bonne lecture

Le convoi attendit patiemment que la situation se calme en contrebas, puis Yimbo contacta par émission radio les Dragons Rouges. La discussion fut houleuse, et lorsqu’il se retourna, Yimbo avait sa voix des mauvais jours.

« Alors ? »Demanda Liera, prudente.

« Ce ne sont pas les FDP qui ont fait sa. » dit il en désignant le bidonville dévasté.

Tous se turent et l’écoutèrent attentivement

« Alors, qui sont les salauds qui … ? » Murmura t’elle d’une voie inquiète.

« L’Envoûteur »

Il y eut un silence pesant qui dura plusieurs minutes pendant lesquels personne ne bougea ni ne respira.

Liera ouvrit la bouche pour poser une question, mais elle fut doublée par la voie pressante de Ralik

« Nous n’avons pas le temps de poser des questions, ni d’attendre les escorteurs des Dragons. Si le gang de l’Envoûteur a bombardé Syphyris III, c’est que la guerre des gangs a recommencé. Il faut décamper d’ici, e nous mettre a l’abri des bombardiers de l’Envouteur,et vite. »

Tous se tournèrent vers lui. Il se tenait devant la porte arrière du véhicule, Nalog sur les talons, tous les deux habillés et armés de pieds en cap.

Après quelques secondes d’hésitation, Yimbo claqua dans ses mains et se mit à beugler d’une voie aiguë.

« Il a raison les gars ! Au boulot, tous, on se posera des questions lorsqu’on sera en sécurité ! »

« Alors, on ne pourra plus se poser des questions avant des semaines »pensa Liera, sinistre, en regardant la citée ruche fumante tandis que Yimbo hurlait des ordres dans une radio pour avertir le reste du convoi.

Le convoi s’ébranla lentement pour s’enfoncer dans les ruelles sombres de la citée ruche.

Pendant ce temps, Liera écoutait, silencieuse, le discours que lui chuchotait Ralik

« C’était prévisible. Les ennemis de l’imperium ont besoin de planète pour soutenir leurs actions sanguinaires. Cette planète est vulnérable a leurs attaques, et la seule force qui s’oppose à la possession de ce monde, ce sont les gangs. En les montant les uns contre les autres, ils se donnent toutes les chances de faire tomber ce monde entre leur main sans coup férir, au nez et à la barbe des anges silvers. Je pensai en avoir fini avec ce monde, mais apparemment il y a encore du boulot »

Yimbo et Liera annoncèrent leurs intentions au reste du convoi trois heures plus tard, une fois retrouvées l’agréable planque des convoyeurs. Peu s’en étonnèrent : Plusieurs d’entre eux envisageaient déjà d’abandonner le métier. Non seulement il risquait de devenir dangereux de se déplacer d’une citée a l’autre en pleine période de guerre, mais en plus la guerre promettait à tous une forte chute du chiffre d’affaire. Pour fêter leur départ, ils envisagèrent d’aller boire un coup dans les hauts quartiers de la ville. La fête dura toute la nuit, mais le groupe nouvellement formé de l’inquisiteur s’était éclipsé depuis longtemps :les hauts quartiers grouillaient d’exilés de l’impérium, anciennement riche et influent, qui faisaient tous potentiellement parti des commanditaires de son assassinat. C’était dommage pour Yimbo, qui aurait bien aimé profiter de sa présence dans la ville haute pour écouler sa cargaison d’ivrine, mais ils n’avaient pas le choix.

Ils se cachèrent dans un vieil entrepôt désaffecté de la ville basse, ou l’entraînement des deux nouvelles recrues commença.

Nalog s’avéra être un guerrier autrement plus doué que Liera, mais celle ci l’étonna vite par ces capacités d’apprentissages peu communes.

Ralik, lui,se lança dans de longues explication sur la nature du chaos et des xénos, de manière fort peu objective par ailleurs. En trois jours, les deux nouveaux interrogateurs savaient tout ce qu’il y avait a savoir sur le sujet.

Yimbo s’intéressa à la raison pour lequel L’Inquisiteur les avait sélectionnés. Pour toute réponse, celui fit jaillir du bout de ces doigts une pluie d’éclair qui pulvérisèrent une table et une caisse de vivre pourrie en quelques secondes.

Puis il se retourna vers eux et leur lança une pluie d’éclair qui se fondirent sur eux avant qu’ils n’aient pus esquisser un geste.

Sauf que ceux ci s’arrêtèrent a un bon mètre d’eux, disparaissant dans le néant, comme stoppé par une barrière invisible et indestructible.

Ralik ricana et fit disparaître les arcs d’énergies électriques d’un tour de bras.

« Si vous aviez été deux humains normaux, il ne resterait de vous qu’un tas de cendre microscopique a l’heure actuelle » Il marqua une pause tandis que les deux intouchables se remettaient de leur frayeur

« La galaxie est remplie de mystère et de danger, et vous, vous avez l’avantage d’être immunisé contre le pire de tous les dangers qu’elle renferme : les pouvoirs des psykers, ceux que, sur ce monde, vous nommez les élus de l’empereur. »

Après ces évènements, Ralik s’absenta brièvement pour chercher des informations sur les évènements Syphyrisiens. Il revint avec un air triomphant et de nombreuses informations, dont une qui intéressa beaucoup.

« Je sais comment les cultistes se sont débrouillés pour que les gangs s’entredéchirent. »

Le silence se fit dans l’obscure pièce qui tenait lieu d’abri a la bande de l’inquisiteur

« Asseyez-vous, sa va me prendre un moment de tout vous raconter, autant le faire agréablement. Tous.Oui, même toi, Liera, tu finiras ton entraînement plus tard. Bien.

Comme vous le savez tous, les gangs de l’Envoûteur, des Dragons Rouges et de l’Homme noir sont officiellement en paix entre elle. Ils entretiennent des relations certes un peu tendus entre eux, mais passons. L’une des raisons principales pour laquelle ces gangs sont dans cette situation, c’est qu’ils disposent tous d’une partie non négligeable du pouvoir sans lequel les autres gangs ne peuvent survivre : Les Dragons dirigent toutes les compagnies de mercenaires et d’assassin, leur rôle est évident dans un monde a quatre vingt pour cent infesté par les orks.

L’Envoûteur règne sur l’économie extérieure de la planète, il a la mainmise tout les réseaux de pirateries et de marché noir sur les quinze mondes les plus proches. Il contrôle le robinet d’alimentation de la planète. C’est lui qui fait les famines et les périodes d’opulence, on peut donc deviner l’origine de son pouvoir. »

« Et le gang de l’Homme noir ? »demanda Liera, curieuse

Ce gang cultivait le secret, ce qui, vu son affreuse réputation, était compréhensible.

« Il dirige les réseaux d’esclavages de toute la planète, ce qui en fait le maître absolu de l’économie Syphyrisienne. »

« Merci pour ce magistral cour d’économie » le coupa Nalog, « Mais… »

« Toutes les personnes intelligentes présentes dans cet assemblé auront compris que les gangs n’attendent qu’une occasion pour planter un coup de couteau dans le dos de leurs voisins. Depuis des années, une guerre secrète se déroule pour tenter de s’emparer des réseaux adverses sans se faire remarquer ni se faire prendre les siens. »

« Et lorsqu’ils se font remarquer ? » s’interrogea Yimbo

« Le gang d’en face se charge de leur rappeler la raison pour laquelle ils sont l’une des premières puissances de se monde. Selon la nature de ce gang, ce peut être un embargo économique, une famine organisé ou une série d’assassinat. »

« Ah. »

« Et c’est la que sa se gâte. Il y a de cela quelques temps, l’Homme noir s’est emparé d’une guilde de mercenaires de la taille d’un régiment de la garde impériale localisé dans sa citée ruche avec force soudoyement et disparition d’officier de manière somme toute étrange. Lorsque les dragons rouges s’en sont rendu compte, ils ont mis au point une expédition punitive assez sommaire : l’un de leur satellite de combat larguerait un missile au dessus de Syphyris II, ce qui attirerait l’attention des systèmes de défenses planétaires. Profitant de ce moment d’inattention, des saboteurs mettraient ceux ci hors service, ce qui rendrait la citée ruche vulnérable a toutes les attaques des orks jusqu'à ce que l’Homme noir vienne pleurnicher à leur pied pour qu’ils protègent sa citée ruche. »

« C’est un peu tordu, cette histoire »Commenta Yimbo, perplexe

« C’est que vous n’y connaissez rien. Les Dragons rouges sont des amateurs comparés aux Hauts Seigneurs de Terra en ce qui concerne les magouilles politiques. La preuve, c’est que leur plan a foiré. »

« Qu’est ce qui s’est passé ? » Demanda Liera, avide.

Le visage camouflé par le masque a oxygène noirâtre de Ralik s’orienta vers la guerrière. Il l’observa quelques secondes, puis il répondit, la voie lasse.

« Les Dragons ne sont pas des technaugures. Ils se contentent de piocher leurs missiles dans les stocks d’armes que daignent leur vendre les membres du gang de l’Envoûteur sans chercher à savoir quels sont leurs spécialités.. Ils se sont contentés de charger un missile pris au hasard et de tirer. Sauf que ce n’était pas un missile ! »

« C’était quoi ? »

« Une ogive nucléaire »

« Qu’est ce que c’est ? »

« Une arme de destruction massive. On n’en fabrique plus depuis des millénaires. En fait, on pense que les hommes on cessé d’en fabriquer à la fin de l’age de pierre. C’est de la rigolade comparée à ce que l’on fabrique aujourd’hui dans cette catégorie d’arme, mais elle a tout de même une chance raisonnable de tuer quelques milliers de personnes. Et, bien sur, il y a eu un problème. »

« Lequel ? »

« Quelqu’un a déclenché l’explosion de l’ogive alors que celle ci survolait les pourtours de Syphyris II. L’explosion a fait disjoncter tous les systèmes électriques de la citée ruche. »

Les quelques pans de couleur visibles de Liera et de Yimbo blanchirent subitement

« Sa veut dire que… »

« Les mutants et les esclaves emprisonnés dans les mégas forges de Syphyris II se sont échappés et ont mis la ville a feu et a sang. Et devinez qui a été accusé ? »

« Les Dragons rouges ? »

« Exact. Les restes du gang de l’Homme noir et le gang de l’Envoûteur se sont allié pour faire la peau »

Nalog haussa alors la voie.

« t'as dit quelqu'un. Je pense que t'a une idée sur la nature de ce quelqu’un. Je me trompe ? »

« Non. Les Dragons n’avaient aucun intérêt à se battre contre les deux autres gangs. Ceux ci peuvent décréter le blocus économique total de la ville et ils disposent de suffisamment de soldat pour les empêcher de s’emparer de leurs cité ruche jusqu'à ce qu’ils manquent de toutes les ressources nécessaires à entretenir leurs armées. Seul les groupes chaotiques opposés à l’impérium trouvent leur compte dans cette affaire : ils affaiblissent les gangs, vont à tous les coups recruter plusieurs millions de mutants et d’anciens esclaves et insuffler un vent de rébellion partout sur la planète »

« Qu’avez vous l’intention de faire ? » Demanda brusquement Yimbo,une note venimeuse dans la voie

« Faire au sujet de quoi ? » Demanda Ralik surpris par la note acide présente dans le ton de Yimbo

« Au sujet du CHAOS ! » hurla Yimbo, hors de lui.

Tous sursautèrent. Liera l’avait souvent entendu hurler, mais c’était lorsqu’il travaillait, qu’il devait se faire entendre, qu’il hurlait. Jamais, en dehors de ses heures actives, elle ne l’avait entendu perdre son calme.

« Vous osez dire que vous luttez contre le chaos, mais tout ce que vous faites, depuis que je vous ai rencontrer, c’est voguer d’une citée ruche a l’autre en cherchant des membres pour remplacer l’équipe que vous avez perdu en essayant de tuer un hérétique ! Comment pouvez vous espérer en abattre un million, Hein ? Comment ? Vous prétendez que vous avez un plan pour contrer ces malades, mais la vérité c’est que… »

Il n’acheva pas sa phrase. Une caisse de munition se souleva du néant et le heurta en pleine poitrine, l’arrachant au sol pour le propulser plusieurs mètres plus loin, assommé.

« J’apprécie peu que l’on me coupe au milieu de mes explications. Néanmoins, je vais répondre à sa question, puisqu’il me l’a pausé si gentiment. Officiellement, je suis, sur ce monde, le représentant d’une secte d’assassin opérant sur Arctoron et affilié aux Dragons rouges et je peux donc, si le grand maître des dragons rouges meurt, me présenter aux élections visant à son remplacement. »

« Vous n’avez tout de même pas l’intention d’essayer d’assassiner le grand maître des Dragons ? »S’inquiéta Liera en se penchant sur Yimbo.

« Je tiens encore à ma vie, ne t’inquiète pas. Leur grand maître est malencontreusement mort il y a de cela quelques jours d’un tir de roquette mal placé. Le gang de l’Envoûteur a décidément un sens de l’humour très limité… Bref, l’élection du Grand maître des Dragons ne requiert pas, vous le savez probablement, de grands appuis politiques »

« J’avoue »commenta Nalog « Leur système politique est plus proche de celui des orks qu’autre chose. »

« Exact. La plupart des hauts officiers des dragons rouges sont aussi habiles que des spaces marines au combat, même s’ils n’ont ni leur force, ni leur endurance surhumaine. Est-ce que tu me suis, mon cher assassin professionnel ? »

Nalog se mit à rire.

« Ne serai tu pas en train de me demander un service, sale hypocrite ? »

« Allons, réfléchi. Il me suffit d’abdiquer pour te céder mes fonctions de maître des assassins. Puis tu te présente aux élections, et a ce moment la ,l’homme qui a mis une dérouillé a un space marine au risque de faire lyncher par tout un chapitre, et moi avec, prend le contrôle des Dragons rouges, puis abdique en ma faveur. »

« Et te voilà en mesure de mener une attaque frontale contre les cultes chaotiques qui infestent ce monde ! » Compléta Nalog, fier de son raisonnement

« Exactement ! Bon, réveillez cet imbécile et rapportez lui ce qu’il a loupé pendant son sommeil. Ah et, a l’avenir, dite lui d’éviter de s’énerver parce que je ne lui raconte pas mes plans, sa m’évitera d’entretenir des relations tendus avec lui par la suite. »

Voila.En espèrant que sa vous plait.

Bonne journée

shasel,qui fourbit ses armes pour le jour ou les marines et les boites de conserves nécron reviendront lui chercher des noises :P

Modifié par shasel
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.