Prune29 Posté(e) le 27 juin 2010 Partager Posté(e) le 27 juin 2010 salut, toujours très bien raconté, très agréable à lire. Il me suffit d’abdiquer pour te céder mes fonctions de maître des assassins. Puis tu te présente aux élections, et a ce moment la ,l’homme qui a mis une dérouillé a un space marine au risque de faire lyncher par tout un chapitre, et moi avec, prend le contrôle des Dragons rouges, puis abdique en ma faveur. j'ai pas tout compris à ça mais sinon ça va bon courage pour la suite prun' Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 27 juin 2010 Partager Posté(e) le 27 juin 2010 Le même sistème politique des orks c'est a dire selui qui tape le plus fot ^^ La suite ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 27 juin 2010 Partager Posté(e) le 27 juin 2010 Toujours aussi bien, mais j'ai quand même deux choses qui m'étonnent: 1) Le Chaos est un sujet incroyablement secret et vaste. A la limite, je peux comprendre que Ralik l'enseigne à Liera et Ymbo, mais pas qu'ils puissent l'appréhender en 3 jours, en étudiant les xénos en plus, qui plus est. 2) Les intouchables sont très rares et donnent envie de vomir à tous ceux qui s'en approchent, comment ça se fait qu'il y en est 2 en même temps, et pourquoi ils ont pû avoir une vie normale. Allez, la suite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 28 juin 2010 Auteur Partager Posté(e) le 28 juin 2010 (modifié) 1) Le Chaos est un sujet incroyablement secret et vaste. A la limite, je peux comprendre que Ralik l'enseigne à Liera et Ymbo, mais pas qu'ils puissent l'appréhender en 3 jours, en étudiant les xénos en plus, qui plus est. Je ne pensai pas que Ralik leur racontait tout,seulement les ficelles du métier(il les fanatise,quoi).C'est sur que je le vois mal leur expliquer d'emblée l'existence des dieux noirs et des démons du chaos.Il leur apprend jusye ce qui'il faut pour qu'ils survivent en cas de problème. 2) Les intouchables sont très rares et donnent envie de vomir à tous ceux qui s'en approchent, comment ça se fait qu'il y en est 2 en même temps, et pourquoi ils ont pû avoir une vie normale. Pour faire court,on va dire que j'ai écrit mon texte une première fois,mais qu'en me relisant,je me suis rendu compte que j'avais mis beaucoup trop de détail,ce qui rendait le texte très lourd,j'ai donc épuré,ce qui peut rendre certaine partie du texte un peu étrange.Voici la réponse a ta question,qui a fait partit du texte effacé: Les convoyeurs ne mènent pas une vie normale.Ce sont généralement des hommes ayant contrarié le gang de la citée ruche ou ils vivaient,et qui ont,en plus un sens pratique de l'utilisation des armes.Ce sont généralement des gens riches(très)mais exclu de la société,parce que,sur Syphyris,guerrier,marchand et conducteur de véhicule rime avec meurtrier,escroc et fous du volant. De plus,leurs durée de vie est réduite(relis le passage de la baston contre les orks pour en etre bien sur). Yimbo est une célébrité dans le monde des convoyeurs parce qu'il est probablement le seul maitre convoyeur qui ait réussi a imposer son autorité sur son convoi.Ceci est dut au fait que,bizarement,les gens qui se trouvent a coté de lui pour protester lorsqu'il donne des ordres ont du mal a se concentrer et a articuler des réponses claires. Liera,elle,est une guerrièrre.Pour résumer,sur Syphyris,l'ordre social se divise en deux classes:les victimes et les bourreaux.Les bourreaux ont un ordre social bien donné: Au départ,il y a le mercenaire.C'est le péon de base qui dispose d'un fusil laser et qui sait correctement s'en servir.C'est généralement le chef de famille,qui dirige le proxéténisme familiale et autres activités commerciales.Il utilise principalement son arme pour se défendre des voisins,voleurs et pillards malintentionnés,mais aussi des raids orks et mutants. Pendant les combats contre ceux ci,il peut arriver que les membres du gang local remarquent un mercenaire très doué au combat.Ils l'attrappent alors et l'engagent dans le gang.Il devient un assassin et recoit une formation miltaire approprié,apprend a se battre... Dès lors,sa se divise:si l'assassin est très très très doué et qu'il a de la chance,il est enrolé par les anges silvers. S'il est juste très doué,il devient un guerrier(ou une guerrièrre,dans le cas de Liera) Sinon,il fait carrièrre dans les gangs. Liera est une guerrièrre teès réputés parcequ'elle a un don qui fait que ses adversaires se déconcentrent dès qu'ils l'affontent,ce qui fait que leur tete roule vite au sol. Lassé de ses perpétuels mission d'assassinat,elle s'est engagé chez les convoyeurs,et ,bien sur,fierté oblige,elle a choisi le meilleur convoi Bref.Avant d'attaquer la suite,j'aimerais avoir votre avis général sur mon oeuvre Que dois je améliorer,Qu'est ce qui est bien? Est ce que je poste mes articles trop vite? Merci d'avance pour vos réponses Modifié le 28 juin 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 28 juin 2010 Partager Posté(e) le 28 juin 2010 (modifié) Ce qui est bien c'est l'histoire ( si j'ai bien suivie c'est un monde pourie par le chaos ) Tu poste pas tes poste tos vite au contrère c'est mieux de poster vite Ausinon ce qui m'enuie c'est que suivan les paragraphe ont arrive pas a se racroché a l'histoire donc moi je suis largué ausinon j'ai pas compris tes 3 dernier poste (pas le gros paragraphe ) La suite ! Modifié le 28 juin 2010 par Monphiston Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prune29 Posté(e) le 28 juin 2010 Partager Posté(e) le 28 juin 2010 Pour ce qu'il faut améliorer, bah, rien ! c'est très bien, ton style est agréable à lire, bref très sympa. par contre le rythme de parution, même s'il me convient personnellement très bien peut peut-être gêner les personnes ne se connectant pas tous les jours. peut être un post par semaine serait plus lent sans être cependant à une année lumière du post précédent. bon courage pour la suite prun' Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 1 juillet 2010 Auteur Partager Posté(e) le 1 juillet 2010 (modifié) Hop,voila la suite. Suite a ton conseil,prune 29,je vais écarter le temps entre 2post bonne lecture! Cinq jour plus tard… Le voyage jusqu’au lieu de rassemblement des Dragons rouges s’était déroulé dans une atmosphère sinistre. Les deux Syphyrisiens étaient inquiet a l’idée de se participer à une assemblée d’assassin reconnue, en conséquence de quoi ils n’étaient désormais plus capables de soutenir même la conversation la plus banale. Ralik et Nalog, étaient eux aussi anxieux car ils avaient appris que les Dragons avaient décidé de se rassembler tout près d’une banlieue mutante. Ils craignaient que le chaos n’en profite pour tenter de soulever cette zone a risque, et ainsi décapiter la caste dirigeante du gang. « Nous y voilà » La voie claire de Liera résonna dans les ténèbres, déchirant la lourde atmosphère d’angoisse qui pesait sur le groupe Une large bâtisse décrépite se dressait devant eux. Elle s’étendait sur plusieurs hectares, surplombant de sa sinistre masse les bidonvilles crasseux des environs. A première vue, c’était juste une des innombrables ruines des maisons nobles ravagé il y avait de cela des décennies. Mais lorsqu’on l’observait de plus près, on comprenait que ce n’était pas le cas. Ces murs crasseux étaient striés de trous causés par des tirs de plasmas. De chacun de ces orifices béant jaillissait, une arme de mort prête à détruire quiconque oserait s’approcher de la sombre forteresse. Sur les toits du bâtiment, passaient, furtifs, des silhouettes silencieuses et mortelles, presque invisible dans la nuit. Ses portes, moisies et gonflées par l’humidité a premières vues, étaient renforcées par de grandes barres de métal d’adamantium pur. Tout autour du bâtiment s’étendait, dans les ombres avoisinantes, des barricades constitués de moellons et de fil barbelé rouillé se dressaient, froides et angoissantes. Syphyris III étant placé sous l’ordre du couvre feu, la ville était plongé dans des ténèbres perpétuelles dès que la nuit tombait, l’obscurité donnait au bâtiment une aura de mystère peu engageante. La forteresse des Dragons Rouges était une ode a ses principes même : discrétions et violence dans les ténèbres. Nalog marmonna quelques mots au vide alentour. Il voyait la cachette de chacun de ces sinistres adorateurs de la mort, mais il était probablement bien le seul. Il haussa la voie pour donner le mot de passe. Il entendit indistinctement une vingtaine de fusils lasers s’abaisser, puis, un homme aux muscles proéminent émergea d’un trou et s’approcha de lui. Nalog jura dans sa barbe. Ses satanés masques a oxygènes empêchaient a quiconque de deviner les expressions des Syphyrisiens. Cela devait faire des semaines qu’il n’avait rien vu d’autre que des masques sinistres ou des visages rendus pales par l’absences totale de soleil. Les visages des gens commençaient à lui manquer. Sérieusement. « Enchanté de faire votre connaissance, Haut Dragon. Si vous voulez bien me suivre, je vais vous conduire jusqu'à vos paires. »De près, le colosse était encore plus impressionnant que Yimbo. Et, même s’il ne pouvait voir son visage, il était sûrement mille fois plus stupide. Dans un soupir collectif mais inaudible, Nalog, l’inquisiteur et les deux intouchables emboîtèrent le pas du colosse Une femme courait dans la nuit. Ses muscles lui faisaient souffrir le martyr. L’enfant qu’elle serrait dans ses bras dormait encore. Elle s’enfonçait dans les allés noires, sans souci des cadavres et des ruines. Elle s’arrêta finalement près d’une cavité et se rallongeât. Elle était loin des soldats maintenant. Elle pouvait dormir tranquillement. Yimbo n’en menait pas large. Son instinct de survie lui avait toujours soufflé de se tenir éloigné des gangs pour des raisons non commerciales. Et la, il se trouvait dans l’assemblée des plus grands meurtriers et chef d’état des dix mondes aux alentours avec pour objectif non-avoué de prendre le contrôle de celle ci. Par la force, bien sur. Toute personne non renseigné aurait put se tromper sur la nature de cette assemblée :Une réunion d’une centaine de personnes discutant de la guerre en cour dans un vieux bâtiment crasseux, on en voyait partout dans Syphyris. Quelqu'un de renseigné, lui, remarquait immédiatement une nuée de détail inquiétant. Les serviteurs proposaient non pas de l’eau purifiée comme c’était la coutume, mais du vin d’assez bonne qualité, denrée qui avait disparu de la surface de la planète il y avait de cela vingt cinq ans. On pouvait aussi remarquer les armes que les gardes du bâtiment maniaient. Aucune autre réunion n’aurait put employer des gardes armés de canon laser, de bolter lourd et d’autres armes plus exotiques. La richesse des invités présents se remarquait par un dernier point, le plus inquiétant d’ailleurs : quiconque les observait assez longtemps remarquait vite que, tous les membres invités arborait ostensiblement moult grenades a plasma, au prix pourtant ahurissant. Et tous, hommes ou femme, semblaient taillés pour tous, sauf pour inspirer la confiance. Muscles proéminents ou silhouette agile et gracile faite pour éviter les coups, la profession de la plupart d’entre eux se devinaient facilement. Un sifflement la réveilla. Il venait de la caverne. Elle se levait pour s’enfuir a nouveau, mais un morceau de métal s’enfonça dans sa gorge avant qu’elle n’ait parcouru un mètre. Une forme obscure émergea de la grotte. Elle était gigantesque et marchait lentement vers la femme morte. Elle se baissa, retira le couteau de sa gorge et l’essuya. Une seconde forme émergea de la grotte, bien plus petite. Bien trop petite. Une troisième forme suivit. Puis une quatrième. Puis le flot commença à s’écouler de manière ininterrompue. Des autres ruelles émergèrent des dizaines de formes. Grandes, petite, gigantesques ou normal. Mais toutes silencieuses. Et armées A coté de lui, Nalog s’efforçait au maximum de répondre aux questions des curieux de l’assemblé qui ne l’avaient jamais vu. Liera observait le décor aussi discrètement que possible en cherchant une issue de secours valable en cas de problème. Le décor en question avait quelques chose de déprimant : un sol au dallage arraché par une génération de pillard, des meubles et du mobilier déchiqueté et pourrie éparpillé partout dans un espèce de grand hall d’accueil noirci par la fumée grisâtre et dégageant une affreuse odeur de cadavre que même les masques a gaz et l’odorat quasiment détruit des Syphyrisiens ne parvenaient pas a combler. Le froid et l’odeur acre du fleuve acidifié Tiranos situé a proximité s’infiltrait par toutes les fenêtres brisées du bâtiment. En fait, non, il n’était pas déprimant. Il suait juste par toutes ses pores ce que l’humanité avait de pire. Sans s’en soucier outre mesure, les Hauts Dragons palabraient avec insistance de mille et un sujet. Il se retrouva engagé sur une conversation concernant l’arrivé tardive de la saison troublée. N’ayant absolument pas la moindre idée de ce que c’était(après tout, c’était Ralik qui avait passé des jours a éplucher tous les dossiers concernant cette fichue planète, pas lui)il se contenta d’approuver les dire s’un homme trapu portant autour du coup d’un collier en dent d’ork a chaque fois qu’il parlait. Il fut sauvé de la douloureuse perspective d’affronter la curiosité des convives par l’arrivée d’un important groupe de Haut Dragon.Déclenchant moult cri de joie, accolade, et autre effusion de bonheur. « Je maudis Ralik et ses plans foireux » Marmonna t’il Les silhouettes se déversaient par centaines dans les ruelles dévastées de la ville dans un silence de plomb. Elles pénétraient dans toutes les ruines, creusaient, fouillaient, déterraient. Hommes, femme, enfan,tous ceux qu’elles trouvaient mourraient invariablement. Il semblait qu’elles s’abattaient sur la ville tel une marée de mort et de destruction,inexorable .Des groupes de pillards tentèrent de résister mais ils furent emportés par la puissance de la déferlante noire. Alors que les gardes du corps de chacun des chefs du gang- Yimbo, Ralik et Liera y compris- s’éparpillaient dans la maison pour veiller à ce qu’aucun trouble-fête n’intervienne, une femme monta sur une table et haussa la voie. Elle était étonnement frêle, mais elle se déplaçait avec une grâce et une agilité de guerrière confirmée. Plusieurs centaines de masques à oxygènes se tournèrent vers elle. « Maintenant que nous sommes tous rassemblés, il s’agit d’aborder le sujet qui nous intéresse : L’élection du nouveau chef des dragons rouges. » L’une des silhouettes s’arrêta. Son regard était rivé sur un vieux bâtiment moisi se dressant au loin. Enveloppé de robe, elle était étonnement grande, mais ce qui frappait le plus sur son compte, c’était son étonnante minceur. Elle en devenait presque squelettique et, surtout elle ne portait pas de masque Un grand sourire se fendit sur son visage osseux tandis que ces bras striés de veines nettement visible se serraient autour d’une lame aux couleurs indescriptibles . « Ceux qui, parmi vous, désirent se porter candidat a la direction des dragons rouges se placent à ma gauche. Ceux qui ne le désirent pas se placent à ma droite » Il y eut quelques murmures, puis la foule se divisa. Nalog rejoignit la trentaine de membres qui s’étaient portés volontaires. Les autres étaient pour la plupart des anciens qui connaissaient les meilleurs guerriers du gang et savaient qu’ils n’en faisaient pas partis. « Je me porte aussi volontaire » reprit la femme Sans rire ? « En tant que présidente de la séance, je déclare les épreuves de sélections ouvertes. L’empereur soit avec vous tous » Elle dégaina une lame de combat, et il comprit immédiatement que c’était au minimum une guerrière confirmée « Choisissez vos adversaires » La femme se mit à chercher des yeux une première vicitme. Ces yeux s’arrêtèrent sur Nalog et elle ricana en pointa son doigt sur lui « On va voir comment tu te débrouille, Nalog » Nalog ? Nalog ? Comment connaissait t’elle son nom ? Ralik s’infilta dans son esprit et lui chuchota quelques mots Apparemment, c’est une psyker. Soit prudent. « C’est un combat à mort ? » « Bien sur. Une dernière volonté ? » « Je la formulerais le jour ou je mourrais » Elle ne répondit pas. Les couples de duellistes s’écartèrent dans les différents coins de la pièce pour ne pas se gêner les uns les autres « L’heure est venue pour les dragons de mourir » Il ôta sa cape, puis s’empara de la lame prévue pour ce combat. C’était une lame de duel plus longue et bien plus légère qu’une lame de combat. Comme ils combattraient torse nu, les coups seraient vraisemblablement mortels. Il se retourna. La femme avait enlevé-elle aussi sa tunique, prête au combat Il se plaça en position de garde, pieds perpendiculaires, en position de septime, son bras protégeant son abdomen tandis que son arme, protégeait son entrejambe. Les femmes aguerries dans les arts du combat appliquaient trop souvent des techniques, des actions offensives visant les points faibles de l’adversaire. Même quand c’était sadique Elle placa sa lame en quarte, protégeant ainsi son abdomen et son cœur. Il risqua un pas en avant. Elle avança et lanca une fente foudroyante. Il écarta la lame et riposta une demi-seconde plus tard, faisant mine de frapper vers le cœur avant d’abaisser sa lame vers les poumons au moment ou il se fendait. Son coup tomba dans le vide Elle est plus grande que moi ! Au moment ou elle reculait et se remettait en garde, il frappa légèrement sa lame, la décalant de quelques centimètres Profitant de l’ouverture, il se fendit à nouveau, en ajustant cette fois ci la distance. Elle fit un pas sur le coté Son coup tomba de nouveau dans le vide Elle frappa la lame avec force, manquant de le désarmer. Il se décalât, parant un nouveau coup dirigé vers sa tête. Elle frappa du pied sur le sol. Par réflexe, il recula. Profitant de sa retraite, elle poussa son avantage « Tuez-les tous ! » Il recula encore, accélérant le mouvement, et il comprit que la femme s’était laissé entraîné par la fougue du combat. Il freina alors qu’elle était à porté de fente, se baissa, lame tendue, bras plié. Elle s’empala la cuisse sur la lame, néanmoins, celle ci se brisa sous le choc, une bonne partit restant coincé dans la jambe. Elle hoqueta de surprise, trébucha et s’affala. Il s’apprêtait à l’achever lorsqu’un cri retentit au loin. Tous les combats cessèrent. Un gigantesque grondement retentit. On aurait dit que dix milles voix avaient repris le cri. La maison en trembla jusque dans ces fondations. « POUR LE CHAOS ! » S’ensuivit un gigantesque hurlement mêlé au son confus d’un piétinement. Ce bruit se rapprochait à une vitesse folle de la porte nord. Il était tellement puissant qu’il occulta presque entièrement le bruit des tirs de fusil laser. Un garde émergea d’un escalier « Hauts Dragons, Nous sommes attaqués ! » « J’ai entendu. C’est l’Envoûteur ? » La femme qu’il venait d’affronter s’était relevée, toute douleur oubliée,une autorité nouvelle présente dans sa voie. Autour d'elle,les Dragons dégainaient leurs armes et érigeaient des barricades autour des portes principales.Le hurlement originel avait été remplacé par des centaines de grondements de métal,le cri rageur des corps a corps et les détonations sèches des fusils laser taillant la masse des assaillants.Apparament,ceux ci étaient arrivés au contact des dragons situés a l'extérieur « Non » « Comment en êtes vous sure ? » « Les soldats de l’Envoûteur sont plus discrets. Et moins nombreux" « Combien ? » Elle s’exprimait maintenant avec l’assurance d’un général « Au moins six mille, guerrière suprême. Ils attaquent de tous les cotés du bâtiment » « De combien de soldat disposons-nous? » « Un millier au maximum. » Elle se retourna vers les Hauts Dragons « Il faut organiser la résistance, Hauts Dragons, et vite. Séparez-vous en cinq groupes. Chaque groupe dirigera un étage. » La discipline était le maître mot chez les dragons. En cinq secondes, les cinq groupes étaient prêts et savaient tous quel étage prendre. Les deux cents Hauts Dragons s’ébranlèrent à travers des dizaines d’escaliers escarpés. En espérant que sa vous plait Modifié le 12 novembre 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prune29 Posté(e) le 1 juillet 2010 Partager Posté(e) le 1 juillet 2010 toujours aussi sympa il manque juste quelques mots ici : La voie claire de Liera résonna dans les ténèbres, déchirant la lourde atmosphère d’angoisse qui pesait sur ?Une large bâtisse décrépite se dressait devant eux. Elle s’étendait sur plusieurs hectares, surplombant de sa sinistre quelques fautes mais rien de très gênant (voix avec un X, tu la fait souvent celle là ) bon courage pour la suite prun' Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 1 juillet 2010 Partager Posté(e) le 1 juillet 2010 Toujours aussi bien. Juste: quand tu écrit "moult" dans un univers futuriste, cela fait bizarre, et ça l'est encore plus quand tu écris "moult grenades". Mais c'est sans doute volontaire et l'univers de 40K permet ce genre de chose. LA SUITE, LA SUITE Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 1 juillet 2010 Partager Posté(e) le 1 juillet 2010 Et bien enfin on les retrouves les adorateurs du chaos , ausinon le texte toujours aussi sympa La suite ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 4 juillet 2010 Auteur Partager Posté(e) le 4 juillet 2010 (modifié) Bonjour. Bon,la,voici la suite,long passage ou j'ai laissé parler mes pulsions (bourinisme quand tu nous tiens...) Juste,monphiston,que signifie: Ausinon juste pour savoir Bonne lecture. La forteresse du gang fourmillait de meurtrier, prédateurs ancestraux des hommes, assassin éternel appelés guerriers. Lieu symbolisant la mort et la souffrance, les proies de ces monstres se révoltaient aujourd’hui et venaient brûler ce symbole. Nalog avait l’impression d’être dans le mauvais camp. Ces gangsters étaient des criminels qui ne méritaient pas le nom d’homme. La plupart d’entre eux avaient dut commettre des crimes qui feraient pâlir d’horreur un space marine. Mais sa vie contait plus que sa morale Lorsque les lieutenants dragons montèrent, ils se trouvèrent emportés par l’agitation et l’excitation de la guerre : Des soldats équipés d’armes monstrueuses couraient dans toutes les directions en hurlant des imprécations a leurs assaillants. Le raclement des épées de combat que l’on dégainait atténuait les hurlements de haine des guerriers présents en contrebas. Malgré son mépris pour ces assassins professionnels n’ayant pas le moindre idéal autre que l’individualisme, il devait admettre qu’ils se battaient avec une efficacité qui forçait le respect. De tout les cotés résonnaient les bruits abominables de tirs qui décimaient les assaillants. Ils passèrent devant une compagnie de neufs dragons rouges qui manipulaient des autocanons. Ils furent bousculés par un groupe de soldat manipulant des lances plasmas lourds et des canons lasers. Un bruit retentit en contrebas, puis un cri retentit « Ils ont percé les portes ! » Suivit d’un autre, crié avec force par une voie suintant de haine « Mort aux affameurs !! » Les affameurs ?? Ralik s’infiltra dans ses pensés immédiatement. Le nom affectueux que donnent les Syphyrisiens aux hommes politiques. Criant de vérité, dans leurs cas. T’est ou ? Bouge pas,j’arrive. Des cris de douleurs et de rages résonnèrent au rez-de-chaussé. Il s’était retrouvé à devoir diriger un pan de couloir long d’une cinquantaine de mètre au premier étage, et il avait sous ses ordres une dizaine de dragons. Il était en train d’armer un fusil laser lorsque des dizaines de tirs rougeâtres traversèrent les cloisons d’une partie du bâtiment à vingt mètres de lui, faisant s’effondrer cinq dragons. Un tir de roquette perfora le mur et quelque chose se glissa par le trou ainsi creusé. Il faisait la taille d’un homme, mais c’était à peu près tout. A la place de son bras droit se tenait un tentacule long d’au moins deux mètres. Il ne portait pas de masque a oxygène, ni d’ailleurs le moindre habit quel qu’il soit. Son corps était constellé de croûtes noirâtres. Tous avaient cessé de tirer pour observer la créature. Son bras gauche tenait une sorte de lame rouillée tandis que son tentacule enserrait un pistolet laser. Le monstre sauta sur un dragon stupéfait et lui enfonça sa lame dans la gorge. Nalog fut le premier à réagir à la monstrueuse apparition. « MUTANT !!! » La créature se retourna et cracha quelques mots chargés de haine en direction des hommes qui l’observait. Nalog ouvrit le feu tandis que les dragons retournaient a leurs activités de mitraillage. Le tir ricocha sur sa peau tandis que le mutant chargeait en hurlant. Un léger sifflement métallique retentit et le monstre s’effondra. Yimbo se tenait derrière lui, un couteau a la main « ça barde en bas les mecs, y a même des orgryns… Un deuxième mutant se glissa par le trou mais il retourna vite, décapité par un coup de lame énergétique. Liera s’était matérialisé, sa nouvelle lame offerte par Ralik projetant des éclairs dans la nuit …et des psykers »dit t’il au moment ou Ralik apparaissait a son tour, couvert de sang. Un cri retentit dans rangs du chaos « Gardes du chaos… » Des gardes du chaos ?? « Mort au faux empereur ! » Oh non ! « A COUVERT !!!» beugla Nalog « FEU !QUE BRULE LA GALAXIE !» Les gardes du chaos étaient connus dans tout le secteur par les forces impériales. Ces gardes impériaux renégats s’étaient révoltés pendant la croisade de l’œil de la mort. Depuis lors, cachés dans cette zone trouble de la galaxie, ils lançaient des raids dévastateurs sur toutes les planètes de l’impérium a proximité. Ils étaient réputés pour l’incroyable puissance de feu que même le plus réduit de leurs régiments d’infanterie pouvait délivrer. Non sans raison Une demi-seconde plus tard, l’enfer s’abattit sur le repaire des dragons. Une pluie de laser s’abattit sur l’ensemble du bâtiment, balayant la nuit de ses traits rougeâtres tandis que des tirs d’armes surpuissantes ébranlèrent le bâtiment lui-même. Ralik vit un tir de bolter lourd éclater le torse d’un mercenaire dont le sang gicla partout dans la pièce. Un tir de plasma perfora le mur situé a sa droite. Il y vit une porte de sortie et n’hésita pas. Il contacta par la pensée les membres encore en vie du gang des dragons et les prévint de ses intentions, puis il rampa vers le trou. Il prit une grande inspiration… Puis il se releva. Deux tirs de fusils laser passèrent à quelques millimètres de son épaule droite. Il sauta au travers du trou, suivit de près par Nalog, qui lui tomba quasiment dessus. Après eux, dix sept personne tentèrent de passer, sept périssant dans leurs tentatives. Ils rampèrent à nouveau, certains tirs traversant encore la double épaisseur des murs. Dès qu’ils se furent redressés et que le stress fut évacué, Ralik entreprit de faire le compte des pertes. Iil restait une soixantaine de survivant, dont une vingtaine de haut dragon. La guerrière suprême avait disparu « Bien. » Déclara Ralik « Maintenant, il s’agit de se tirer de ce merdier. Toutes ces vieilles maisons ont un accès caché qui donne sur la ville souterraine, même si c’est interdit. Il s’agit de le trouver et d’évacuer tout le monde » Un cri de douleur retentit à l’étage du dessous « Enfin, tous ceux encore en vie. »Compléta t’il. Le QG des dragons rouges était écrasé sous une tempête de tir, assaillit de toute part par des hordes de mutants sanguinaires. Il tremblait sous sur ces fondations, des incendies embrasaient des pans entiers de la ruine. Mais les dragons rouges étaient des brutes rompus dans l’art du combat, et Ralik n’avait pas dit son dernier mot. Il contacta mentalement les soldats encore en vie, il organisa la résistance extrêmement rapidement, désignant des chefs d’escouades qui recevaient ses ordres et les transmettaient au membre des escouades. Plusieurs escouades ouvrirent des trous dans le plancher du premier étage pour y lâcher des grenades qui clairsemaient les rangs des mutants situés en contrebas. Chaque escalier était le théâtre de combat sanglant ou les dragons rouges ne triomphaient que par l’emploi des lances flammes. Les étages supérieurs, eux, écrasaient les « gardes du chaos » de toute la puissance de leurs armes lourdes. Pendant ce temps, au rez-de-chaussée, un groupe de combattant se taillait un chemin un chemin dans les couloirs remplit de mutant. On voyait tout d’abord apparaître Nalog, son armure de karskin encaissant les rares chocs qu’il subissait, son poignard énergétique voletant d’une gorge a l’autre, lui-même faisant preuve d’une agilité ahurissante, parant presque tous les coups avec une grâce parfaite. Il semblait être un engin de mort implacable qui ne connaissait personne a sa mesure.Puis venait la garde des dragons rouges, Tous étant de fier combattant a la force peu commune et parfaitement organisée, frappant avec une agilité d’expert. Enfin, venait Ralik, Liera et Yimbo, qui tenaient lieu d’arrière garde :Ralik frappait et tirait avec une précision impressionnante, mais ce n’était rien comparé à Yimbo et Liera.Le couple semblait ne former qu’une seule et même ame situé dans deux corps séparés : Ils se complétaient, Liera frappant et s’écartant juste a temps pour que Yimbo puisse tirer sans risquer de la blesser. Ils arrivèrent vite aux caves et aux cavernes de la maisonnée, ou c’était réfugié des Ratlings qui se livraient à un pillage systématique des doubles cloisons remplies de drogue et d’armes cachées par une génération entière de dragon rouges. Ceux ci furent vite écrasé et leurs sangs se mêla à celui déjà sec des sangs purs. Le groupe resta serré, renversant les tonneaux, poussant les cadavres, abattant les cloisons. Après un quart d’heure de stress intense, renforcé par l’annonce des dernières nouvelles de la bataille, un cri de joie retentit. « Il est la, il est-la ! Le passage ! » Tous se dirigèrent vers le cri. Un dragon avait découvert le passage : une espèce de tunnel d’où se dégageait une atroce odeur de mort et de décomposition « J’averti les dragons et les mercenaires de se préparer a descendre. Moi, Yimbo, Nalog, Liera et ces deux la restent pour les guider vers la sortie » dit t’il en désignant deux dragons portant des lames énergétiques. Les autres partent. On se retrouve au QG de la ville basse. » Personne ne contesta, aussi tous partirent extrêmement vite Ralik ferma les yeux J’ai trouvé la sortie, elle est au sous-sol Nalog se sentit obligé de commenter « S’ils doivent franchir tout le rez-de-chaussée maintenant qu’il est remplit de mutant, va y avoir de l’action ! » Il n’avait pas tort. Cent cinquante guerriers ayant passé leurs vies à se battre chargèrent en hurlant dans tous les escaliers, assoiffé de vengeance et de sang, toutes idées d’armes lourdes abandonnés, épées tronçonneuse et lame énergétiques au poing. Le rez-de-chaussée devint vite un enfer ou se battaient des créatures dont personnes n’aurait pu deviner qui, des dragons ou des mutants étaient les moins humains. La haine de ces derniers pour les hommes, qui avaient traqué leurs familles, tué leurs proches et les avait réduit en esclavage était telle qu’ils se battaient dans des situations ou tous se seraient enfuis. Les gardes du chaos continuaient de tirer sur le bâtiment, et celui ci était maintenant tellement fragilisé que des pans entiers de plafond s’effondraient,projetant des nuages de poussière dans l’air empesté de sueur et de sang. Le groupe de l’inquisiteur n’était pas en reste, les mutants tombaient comme des mouches autour de la sortie. Ralik fit siffler sa lame et l’enfonça dans le ventre de l’orgryn Celui sembla à peine s’en rendre compte et envoya un coup de massue en direction de la tête de l’inquisiteur. Celui ci déploya ses pouvoirs psychiques et décolla du sol en retirant sa lame du monstre. En arrivant au niveau de la tête du mutant, il fit décrire à sa lame un cercle qui termina sa trajectoire entre ses deux yeux. Le monstre retomba, suivit de près par l’inquisiteur. Ralik se releva et sursauta. La guerrière suprême se tenait devant lui. « Vous avez survécu ??!! »s’exclama t’il, stupéfait Elle ne répondit pas, se contentant de lever son bras droit. A l’intérieur duquel se trouvait une grenade. En un éclair, il comprit comment le chaos avait su ou se déroulerait la réunion des dragons. Il comprit qui avait déclenché l’explosion de l’ogive nucléaire.Qui avait déclenché cette guerre. Il revit l’expression de la guerrière lorsque Nalog lui avait perforé la jambe. Elle avait semblé y prendre du plaisir La grenade partit dans sa direction « Pour slaanesh et le chaos !! » Il plongea dans les énergies du warp et propulsa son esprit jusqu'à la grenade. Celle ci repartit dans l’autre sens. La sorcière écarquilla les yeux lorsqu’elle vit la grenade foncer vers elle. Une seconde avant que la grenade n’explose, une bulle rougeâtre se matérialisa devant elle. Le souffle de l'explosion s’écrasa sur ce bouclier psychique improvisé. Bulle de force. C’est une psyker d’élite Sa tombe bien, moi aussi. Il lança ses pouvoirs dans l’espace-temps et l’altéra de telle manière qu’il ralentit. Il s’élança à la vitesse d’une balle vers la sorcière Il cria « Pour l’empereur ! » Mais il s’entendit pas. Le son, il l’avait dépassé. Elle réagit une demi-seconde(dans sa fraction du temps)avant que sa lame ne lui tranche la tête. Elle plongea a son tour dans le temps et para le choc avant de le ramène dans le temps normal, puis de reculer a une vitesse ahurissante. Elle eut un geste de la main et un mur de flamme se matérialisa entre eux. Il plongea dans les flammes en matérialisant sa propre bulle de force qui repoussa les flammes, puis il la chargea. Elle para sa première attaque, mais pas la seconde, qui lui trancha main gauche. Elle hurla Mais ce hurlement n’était pas un hurlement de douleur. C’était un hurlement d’extase. Il ne vit pas passer l’attaque suivante tant elle fut rapide. La lame énergétique s’enfonça dans son ventre. Il hoqueta de douleur. Elle propulsa une onde de choc psychique qui l’envoya valser au loin, derrière le mur de flamme. La douleur lui striait l’abdomen, il sentait son sang s’écouler par flot de la plaie béante. Il tenta d’oublier sa blessure et de se concentrer. Il mobilisa à nouveau ses pouvoirs alors qu’elle traversait le mur de flamme et se jetai sur lui. Il sentit ses entrailles se ressouder et sa plaie se refermer. Il lui restai encore de l’énergie venue du warp dans son ventre. Il la transféra dans sa main. Il se redressa et décocha un coup de poing chargé d’énergie dans le ventre de la guerrière. Elle tenta d’invoquer un bouclier pour arrêter le choc. Le bouclier vola en éclat. Mais au moment ou elle invoquait son bouclier, un cri psychique retentit dans le warp. Elle décolla, le torse broyé, et s’écrasa sur le sol. Il se détendit et souffla Une demi-seconde plus tard, elle était à nouveau debout et elle le fixait en ricanant. Il comprit. Sa tentative désespérée d’arrêter le choc avait attiré l’attention d’un démon du chaos. Elle était morte. C’était lui qui était aux manettes maintenant. Le démon hurla en se jetant sur lui, son unique bras valide portant maladroitement l’épée énergétique. Alors qu’il n’était qu’à trois mètres, une forme le percuta et l’envoya rouler au sol. Sans se démonter, le démon se releva et chercha des yeux celui qui l’avait heurté. C’était Yimbo Le démon se jeta sur lui et lui attrapa le bras, puis il poussa un hurlement de douleur. Yimbo était interloqué, mais il ne se démonta pas. Il tira sur la possédée avec son fusil laser. Le tir le frappa sans qu’il parut s’en rendre compte. Ralik se ressaisit et cria à Yimbo « Touchez-le ! » Yimbo obéit sans réfléchir et agrippa le bras du démon. Celui ci hurla et tenta de se dégager Je commence à comprendre pourquoi on appelle les hommes immunisés au chaos des intouchables. Le démon cria encore une seconde, puis il se tut et le corps sans vie de la sorcière tomba au sol. L’onde de choc causé par la mort du démon le frappa de plein fouet.Il tenta de résister à l’attaque psychique et l’envoyé des puissances de la ruine, comprenant qu’il n’arriverait pas a s’emparer de son esprit, il lui chuchota des mots teintés de haine Ta lutte est inutile, Mortel. Rien ne peut arrêter la chute de la lignée Ralik s’effondra sur le sol tandis que les mots du démon résonnaient en boucle dans tête Il mit plusieurs minutes a se débarrasser de sa fatigue. Il vit passer devant lui, les silhouettes floues des dragons survivants et de mutants les poursuivants. Lorsqu’il récupéra ses esprits, Nalog et Yimbo le soutenaient, et l’entraînait vers les couloirs de la ville souterraine. Il réussit à articuler quelques mots « Les dragons rouges ? Qu’est t’il arrivé ? » « Une trentaine d’entre eux ont survécu »répondit Nalog « Que fait-on maintenant ? »chuchota Yimbo,hors d'haleine Il rassembla ses forces et déclara : « On s’en tient au plan initial : On prend le contrôle du gang des dragons rouges. » La silhouette squelettique observait en souriant la forteresse s’effondrer et brûler. Ce sourire défiait les lois de la raison et menaçait quiconque le regardait de sombrer dans une folie sans fin : On aurait dit que ces dents étaient aussi striées de veine que ces veines. Elles étaient taillés en pointes, atteignaient des proportions inquiétantes et semblaient aussi solide que des dents de prince tyrranide . Cet affreux sourire s’effaça au moment ou un orgryn se jetait à ses pieds. Il reporta son attention sur le gigantesque mutant « Qui y a t’il ? » « Nous n’avons pas retrouvé le cadavre de Ralik, et la guerrière suprême est introuvable » « Embêtant. Mais, puisqu’il semble que ce fouineur d’inquisiteur soit inattaquable,nous allons l’utiliser. Le plan initial n’en sera que légèrement modifié, il va même aller plus vite que prévu. Macros n’aura pas l’occasion de se plaindre. Va dire à Nicrarios que j’aimerais le voir. Au fait, comment se porte notre échec en puissance ? » L’orgryn l’observa quelques secondes. « Qui ça, seigneur Azhadram ? » « Ce n’est pas à toi que je parlais !Hors de ma vue ou je t’empale ! » En espérant que sa vous plait shasel Modifié le 12 novembre 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 4 juillet 2010 Partager Posté(e) le 4 juillet 2010 1) Il y a beaucoup de lances-plasma quand on parle d'une arme aussi rare. 2) Tu as systématiquement remplacé "ça" par "sa". C'est une faute qui me tape beaucoup sur les nerfs. Et elle est facile à éviter. Quand tu veux écrire "ça" ou "sa", pour savoir quel mot tu veux utiliser, essaye de mettre "cela" à la place. Si "cela" marche, écris "ça", sinon écrit "sa". 3) Tu as oublié de mettre des pensées en italique, eet on s'y perd donc un peu. 4) Beaucoup de fautes d'ortographes. Sur l'histoire, à part l'abondace des lances-plasma, je n'ai pas trouvé de défauts. La suite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prune29 Posté(e) le 5 juillet 2010 Partager Posté(e) le 5 juillet 2010 très sympa ce passage :'( enfin de l'action, mais s'il y en a beucoup (vil bourrin ) bon courage pour la suite prun' Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 6 juillet 2010 Partager Posté(e) le 6 juillet 2010 J'ai fait une faute de frape , je voulai dire ou sinon Pour le text j'aurait pas pensée que la guerrière suprême soit une adoratrice de slannesh La suite :'( Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 7 juillet 2010 Auteur Partager Posté(e) le 7 juillet 2010 (modifié) 1) Il y a beaucoup de lances-plasma quand on parle d'une arme aussi rare. Tu m'apprend des trucs,là. Merci quand meme,j'ai changé le récit pour qu'on en voit moins C'est probablement le dernier passage qui paraitra avant un moment,les vacances arrivent avec leurs lots de voyages à la mer... Le mois suivant fut l’un des plus éprouvant que le groupe de l'inquisiteur ait jamais enduré. Pendant deux jours, ils marchèrent dans les sombres tunnels de la ville souterraine de Syphyris III. Une nuit éternelle y régnait depuis des siècles, cachant aux yeux des hommes cent milles pièges mortels. De nombreux membres de l’expédition disparurent mystérieusement. Par chance, ils ne croisèrent quasiment personne pendant leurs voyage :Même si les neufs dixièmes de la population de Syphyris III vivait sous le sol, le réseau de tunnel et d’égout que formait la ville souterraine était tellement énorme que les hommes n’en occupaient qu’une infime partie. L’odeur de pourriture était omniprésente dans cette zone de ténèbres, et elle était tellement forte qu’elle empêchait tout le monde de dormir. Lorsqu’ils arrivèrent enfin au quartier général de la ville basse, les véritables ennuis commencèrent à faire surface. Etonnamment, Ralik n’eut aucun mal à se faire élire maître des dragons rouges : Nalog ayant réussi à blesser la guerrière suprême, il était maintenant considéré comme le meilleur guerrier de la planète. Une petite mascarade camouflée sous la forme d’une dispute permit à Ralik de devenir guerrier suprême, première étape qui le mena droit à la direction des dragons. Ce fut l’unique chose qu’il lui fut facile d’accomplir Il apparut très vite que l’attaque des mutants n’était pas un évènement isolé : Plusieurs quartiers de la ville étaient maintenant aux mains des mutants et les autres cités ruches avaient subi des attaques similaires. Un vent de rébellion flottait dans l’air. Les mutants réclamaient la libération leurs compatriotes réduits en esclavage. Les évènements de Syphyris II avaient donné des idées aux populations des autres citées ruches, qui s’agitaient, lassés de l’insécurité et de la misère perpétuelle dans lequel ils vivaient. Les gangs de l’Envoûteur et de l’Homme Noir lancèrent un vaste blocus économique sur toutes la citée ruche. Les conséquences ne s’en faisaient pas encore sentir, mais la famine ne tarderait pas à venir, avec son lot de mécontentement et d’émeutes de la faim. D’autres problèmes, interne aux dragons rouges, apparurent très vite :La guerrière suprême avait pendant des années étée un rouage important de la politique des dragons. Le fait qu’elle ait adhéré au chaos signifiait qu’une bonne partie du gang devait désormais être noyauté. D’autre part, le gang avait perdu la plupart de ces officiers les plus hauts placés. Les différents réseaux du gang étaient relativement indépendants, mais le désordre risquait vite de s’installer sans une rapide reprise en main. Tout n’était néanmoins pas désespéré. Le gang des Dragons rouges disposait de plusieurs millions d’agents éparpillés dans tous Syphiris III, aussi la contre attaque rassembla des effectifs impressionnants. Plusieurs quartiers occupés par les mutants et les contestataires furent bombardés, assaillis de tout les cotés, nettoyés de toute forme de vie puis rasée. Sous la direction de Ralik, le gang déploya des milliers d’informateurs pour repérer les cultes chaotiques. En moins d’une semaine, une cinquantaine de cultistes furent repérés et abattus. Il mena aussi des purges drastiques à l’intérieur du gang, fusillant des centaines d’officiers au comportement louche. Nalog commenta ses actions d’un : « Ralik à raté sa carrière. C’est dictateur qu’il aurait dut faire, pas inquisiteur. Il est très doué pour tuer des civils et ces propres hommes. Par contre, pour abattre ces ennemis… » Nalog, lui, reprit la formation du couple de Convoyeur, entraînant Yimbo et Liera à utiliser leurs pouvoirs d’intouchables. Il lui parla des Cuxelus et de leurs capacités de chasseuses de psyker hors normes. Il prévoyait de faire d’eux un couple dont les capacités hors du commun leurs permettraient de traquer même les plus puissants psykers. A plusieurs reprises, Nalog testa Yimbo et Liera en terrain réel contre des psykers chaotiques repérés par les informateurs du gang. Pas un seul ne survécut au duo infernal. Comme pour répondre à cette violente riposte des gangs, une maladie se déclara dans les pics de la ville haute, qui se répandit vite dans toutes la citée ruche. En moins de deux semaines, « l’ombre de la mort » comme on l’appelait, contamina plusieurs millions de personnes dans la cité ruche. L’épidémie traversa même les déserts arides des grandes plaines centrales pour atteindre Syphyris II. Et nul ne doutait qu’elle atteindrait bientôt Syphyris I. Cela ne fit pas flancher Ralik, qui poursuivit son œuvre de purge systématique de la citée ruche. Plusieurs centaines d’hérétiques périrent ,des cultes entiers furent démantelés. Les mutants, après l’échec de leurs attaques, se lancèrent dans une guérilla incessante. Les FDP, sentant les forces des gangs s’amenuiser, lancèrent des raids aériens contre les cités ruches, tuant plusieurs milliers de civils. La paix précaire qui c'était installé sur Syphyris était désormais morte et entérée. Modifié le 7 juillet 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 7 juillet 2010 Partager Posté(e) le 7 juillet 2010 Un peu trop court et un peu trop sommaire. Mais au moins ça fait avancer l'action, même si j'aimerais avoir un peu plus de détails. On se revoit après les vacances Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 10 juillet 2010 Partager Posté(e) le 10 juillet 2010 Sa métonne que une seule attaque des mutant puise faire tout sa La suite ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 14 juillet 2010 Partager Posté(e) le 14 juillet 2010 Sa métonne que une seule attaque des mutant puise faire tout sa Ca m'étonne que une (qu'une) seule attaque des mutants puisse faire tout ça. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celt Posté(e) le 14 juillet 2010 Partager Posté(e) le 14 juillet 2010 Tout doux, Haldu. Des remarques perso de ce genre, ça se ferait plutôt par MP (d'ailleurs, mon propre message aussi, j'en suis bien conscient). Parce que si on part comme ça, de mon point de vue, ce sont les trois quarts de la section qu'il faut passer au lance-plasma... Mes excuses profondes à Shasel pour poster dans son topic sans commenter, je manque malheureusement de temps. Sincèrement désolé. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prune29 Posté(e) le 17 juillet 2010 Partager Posté(e) le 17 juillet 2010 toujours aussi sympa même si comme l'a dit haldu c'est un peu court et sommaire bon courage pour la suite prun' Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 30 juillet 2010 Auteur Partager Posté(e) le 30 juillet 2010 (modifié) Je profite d'une interruption dans mes vacances pour poster ce bref passage. Sa métonne que une seule attaque des mutant puise faire tout sa Comme je l'ai dit ici: Il apparut très vite que l’attaque des mutants n’était pas un évènement isolé Cela veut dire qu'il n'y a pas eut une,mais plusieurs attaques mutantes. toujours aussi sympa même si comme l'a dit haldu c'est un peu court et sommaire J'ai deux excuses: 1)panne d'imagination.Sa m'arrive de temps en temps 2)Mon récit promet d'etre un peu long,et les évènements qui se déroulent sur Syphyris ne sont pas le centre de mon récit,j'ai donc préféré éviter d'y consacrer des centaines de pages. Mes excuses profondes à Shasel pour poster dans son topic sans commenter, je manque malheureusement de temps. Sincèrement désolé C'est pardonné Après tout,je ne vise pas a faire un chef d'oeuvre de mon histoire,juste a voir si je me débrouille en écriture.Néamnoins,si tu as quelques conseils a me donner... Voici la suite Au cœur de Syphyris III se dressaient les ruines de ce qu’avaient étés autrefois les pics d’habitations de la citée. C’était aujourd’hui des amas de pierre fumante dont les recoins étaient infestés de mutants ayant échappés aux meutes d’esclavagistes qui les traquaient depuis des années. Ces vestiges de l’époque impériale avaient probablement connu plus de combats que n’importe quel autre quartier de toutes la citée ruche. Chaque jour, des hommes s’étant montrés un peu trop téméraires disparaissaient mystérieusement dans ces lieux nimbés de mystère. C’était probablement là que s’organisait la résistance aux gangs, que les mutants rongeaient lentement les racines du pouvoir des dragons rouges, déchiraient le voile de terreur que les dragons faisaient régner sur la citée. Mais quel mutant aurait put se douter que c’était sous leurs pieds que leurs plus mortels adversaires se cachaient, attendant leur heure? A des centaines de mètres sous ce sol grouillant de mutants et d’hérétiques, le Grand repaire des Dragons bruissaient de million de bruit étrange. Dans six cent étages puant la sueur, le bruit des machines a écrire, des conversations et du café qui s’écoulait lentement des machines se mêlait aux hurlements de douleur des malheureux locataires des salles de tortures sans que cela ne trouble personne. Les couloirs étaient noirs de suie et de charbon. Les bureaux puaient la cigarette et la drogue. Les toilettes étaient depuis longtemps bouchés, quand elles n’avaient pas servi de lieu d’entraînement aux mercenaires du gang, auquel cas elles n’étaient rien de plus qu’un amas de débris noirci par les jets des lances flammes. C’était intolérable. En tout cas, c’est ce qu’avait dit Ralik en entrant dans le repaire. Il avait immédiatement décrété qu’il fallait organiser un vaste nettoyage de printemps. Après leur avoir expliqué en quoi cela consistait, il avait mis le personnel du repaire au travail avant de s’enfermer dans son bureau. Par chance pour Yimbo et Liera, ils étaient en mission lorsque l’ordre était tombé. Nalog, lui, c’était retrouvé a transporter des seaux entiers d’excréments tel un vulgaire domestique. Lui, Nalog, l’assassin le plus réputé de tout le secteur Tirinus ! La haine qu’il éprouvait pour cet inquisiteur fanatique n’avait jamais été aussi forte. Cela lui mettait néanmoins du baume au cœur de voir comment les dragons nettoyaient le repaire. Lorsque Ralik verrait sa, il en ferait une crise cardiaque. Pour une raison obscure, l’architecte qui avait fabriqué ce bâtiment souterrain avait mis, en haut de chaque escalier, de grands tuyaux reliés directement aux réserves d’eaux usagées de la ville. Tout ce que les dragons c’étaient contentés de faire, c’était d’ouvrir les vannes, puis de jeter dans les torrents qui tenaient lieu d’escaliers tout les déchets indésirables. Ceux ci coulaient jusqu’au rez-de-chaussée avant d’être évacué dans la ville souterraine. Il avait l’impression d’être dans un parc d’attraction aquatique. Certain s’y étaient même trompé et avaient sauté dans les escaliers. Ils étaient arrivés au rez-de-chaussée couvert de bleu et de déchet, à moitié noyée, leurs réputations ruinés. Nalog était en train de vider le contenu d’un baril de pétrole dans l’escalier lorsqu’un messager aux muscles surdimensionnés lui aggrippa l’épaule en beuglant. « Eh machin ! Le grand Maniaque veut te voir ! » Le grand Maniaque était le surnom affectueux du nouveau chef des dragons rouges, même si ce n’était pas le seul : Manteau jaune, Nerveux du portefeuille…Les dragons rouges n’avaient que peu appréciés les exécutions massives d’officier qui avaient suivi son arrivé aux commandes. Nalog acheva de vider son baril, le reposa la ou il l’avait trouvé(un placard à balai décrépi) puis il se dirigea vers l’ascenseur le plus proche, les escaliers étant momentanément inutilisables. Nalog profita du retard momentané de l’ascenseur pour se perdre dans ces pensées. Il n’en émergea qu’une dizaine de minutes plus tard, alors qu’il s’apprêtait à toquer à la porte du bureau de l’inquisiteur. « Entrez ! » Alors qu’il ouvrait la porte, Nalog matérialisa dans son esprit l’image la plus obscène de son répertoire. Constatant que Ralik n’avait aucune réaction, il en conclu que ce dernier n’était pas à l’affût de ces pensées. Il se détendit momentanément et analysa la pièce. C’était probablement le seul bureau en bon état de tout le bâtiment. Le sol était tapissé d’une moquette rouge parfaitement entretenue, dont la couleur contrastait fortement avec les murs peints en noirs. La présence de nombreuses étagères remplis de documents jaunis donnait à quiconque entrait une sensation d’étouffement accentué par l’absence totale de lumière extérieure( ce qui était logique sachant que cet étage était enterré six cent mètres sous le sol). Ralik avait abandonné son perpétuel manteau jaune et s’agitait furieusement, en proie à une excitation débordante. Nalog avait à peine fait un pas dans la pièce qu’il commençait déjà à parler. « La compilation des rapports de mes informateurs est terminée. » « Ah ? Et que nous apprennent t’ils ? » « Apparemment, l’ensemble des cultes sont dirigés par trois « prophètes ». » « Comment s’appellent t’ils ? » « Azhadram, Nicrarios et Roth. Chacun d’entre eux dirige l’ensemble des sectes dédiées à un dieu noir. Azhdram s’occupe des cultistes de tzeentch, Nicrarios des adorateurs de Nurgle et Roth de ceux de shlannesh . » « Et depuis combien de temps cette organisation fonctionne ? » « Quelques mois, d’après les rapports » « C’est impossible, Ralik, et tu le sais. Il y a un million de cultiste sur la planète. Il faudrait des décennies pour recruter autant d’adorateur. » « Je sais, Nalog, je sais. Mais apparemment, les cultes se sont tous crées d’eux même. » « Hein ? Qu’est ce que tu veux dire ? » « C’est à dire que, depuis quelques mois, tous les charlatans qui créent leurs sectes, lorsqu’ils inventent leurs mensonges, fabriquent d’instinct et sans explication possible, la réplique exacte des cultes de shlanessh, tzeenctch ou nurgle. Ensuite, lorsque les gens écoutent ces mensonges, plutôt que d’y être indifférent, les gens les écoutent et les croient. » « Tous ? » « Non, pas tous bien sur, mais la plupart. » « Il y a une explication ? » « Aucune. Mais j’ai appris quelque chose de bien plus important. » « Ah ? Et qu’est ce donc ? Je sens venir le coup tordu. « Les Anges Silvers savaient que leur planète d’origine était corrompue par le chaos dès le début. » Gagné Si, officiellement, Ralik était la pour démasquer un assassin et faire son travail d’inquisiteur, la réalité était tout autre. Après l’échec de la croisade noir de Larnem III, les Anges Silvers étaient devenus la plaque tournante de la défense militaire du secteur Tirinus. Ils avaient acquis une puissance politique hors du commun pour un chapitre space marine. Puissance qui avait rendu l’inquisition locale jalouse. Elle avait sauté sur cette affaire de sabotage pour envoyer aux spaces marines l’inquisiteur le plus véreux de leur profession. Celui ci avait pour consigne de résoudre cette affaire, naturellement, mais sa véritable mission était de trouver un petit scandale à jeter dans les pattes des Anges Silvers pour ruiner sa réputation. Devinez qui était cet inquisiteur véreux ? Ralik, lui, continuait sur sa lancé. « Lorsque les spaces marines ont appris que des cultes hérétiques se développaient sur ce monde, ils se sont préparés à nettoyer la planète de la corruption qui l’infestait. Mais, lorsqu’ils ont appris les noms des trois têtes pensantes de la révolution, ils ont suspendu toute l’opération. J’en ignore la raison, mais c’est une infraction capitale au code inquisitorial !On les tient ! » Quel degré de cynisme faut t’il donc posséder pour etre un bon inquisiteur ? « C’est tout ? Ils ont abandonné l’affaire sans raison, et laissé les cultes se développer sur leur monde mère, tout sa à cause du nom de trois malheureux hérétiques ? » Ralik grimaça « Non, pas vraiment. Le maître des Anges Silvers a placé la planète sous le protectorat de la troisième compagnie dans son entier, dirigé par Haldus en personne. » Détail que tu vas bien sur oublier de préciser,car sinon les Anges Silvers auraient une chance de s'en sortir au cour de leur procet. « Il a traqué ses trois hérétiques a travers toute la planète. Apparemment, il a réussi à éliminer l’un d’entre eux avant d’être assassiné par Sanghor Frek. » « C’était lequel ? » « Azhadram. Les informations sur son compte son imprécise : certain disent qu’il est toujours vivant et qu’il a participé à l’assassinat d’Haldus et à la destruction de la troisième compagnie tandis que d’autres assurent qu’il a sept bolt fiché dans le corps. « J’ai une question. » « Oui ? » « Ou se cachaient la troisième compagnie lorsqu’ils opéraient sur ce monde ?Il est difficile pour des géants de deux mètres cinquante de haut de passer inaperçu au cœur d’une citée ruche, surtout s’ils sont en armure énergétique. « A en croire mes informateurs, c’est l’Envoûteur qui leur a fourni les cachettes nécessaires à leurs missions. J’ai des doutes sur la question, mais si c’est vrai alors le chapitre a commis une autre infraction au code inquisitorial en pactisant avec un renégat et un malfrat reconnu, et ce sera probablement la dernière. En attendant, si l’Envoûteur a fourni des cachettes aux spaces marines, il sait pourquoi Roth, Nicrarios et Azhadram sont si important pour les Anges Silvers. J’ai appris qu’il est en ce moment dans Syphyris III pour passer une importante commande à l’Homme noir. Ta mission est la suivante :tu dois le capturer le plus vite possible et exécuter l’Homme noir» « Yimbo et Liera seraient plus efficace pour cette mission, Ralik. N’oublie pas que L’Envoûteur est un psyker extrêmement puissant. Nous ferions mieux d’attendre qu’ils soient de retour de… » « Si nous attendons, l’Envoûteur aura disparu. Je sais ou il se cache en ce moment, mais il se déplacera. Nous avons deux heures pour l’attraper, pas plus. Voici ces coordonnés. Oh et, Nalog ?» « Oui ? » « Méfie-toi lorsque tu seras la bas. J’ai l’intuition que les hérétiques connaissent eux aussi la localisation de l’Envoûteur. Il est possible qu’ils tentent quelque chose. Bonne chance » « Merci. » « Dit donc Nalog ? » « Quoi encore ? » « Tu ne trouve pas que le repaire des dragons est un peu humide en ce moment ? » Nalog chassa de son esprit la vision des escaliers changés en toboggan aquatique géant et se força à répondre : « Pas du tout, pourquoi ? » En espérant que sa vous plait. shasel Modifié le 30 juillet 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Monphiston Posté(e) le 31 juillet 2010 Partager Posté(e) le 31 juillet 2010 Nerveux du portefeuille ^^ Toujours aussi bien le texte et avec un trai d'humour Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 21 août 2010 Auteur Partager Posté(e) le 21 août 2010 (modifié) Me voilà rentré. Sans plus attendre,voici la suite. Pour ceux qui auraient loupés un épisode pendant les vacances,j'ai profité d'un moment de calme pour poster un autre extrait début aout,que je vous conseille de llire si vous voulez comprendre quelque chose à la suite des évènements. Allons y: Depuis les profondeurs de la terre jusqu'aux plus hauts sommet de la cité ruche, le réseau d'aération de la ville était omniprésent . Sa fonction était simple,mais vitale: Transporter l’air de l’extérieur jusqu’aux plus profondes grottes, aux plus obscurs tunnels.Chaque secondes,de gigantesques ventilateurs propulsaient vers les bas fonds de la ville des hectolitres d'oxygènes à travers des tuyaux d'aciers de plusieurs diaines de mètres de diamètres Mais ce réseau étrange et nimbé de mystère n'était pas seulement l'essence de la vie souterraine:c'était surtout l'essence de l'opposition aux gangs,tout en étant la source de leurs pouvoirs. Il était le refuge des milliers d'etres qui n’avaient pas intérêts a être retrouvés, le dépôt secret de marchandise dont la vente elle-même était interdit par les gangs, le repaire de centaines d’ennemis réprouvés par tous. Ce réseau était l’objet d’une guerre silencieuse et meurtrière. La, Mutants, spadassins des FDP, humains renégats, pillards et agents de tout les bandes et de tous les gangs s’affrontaient pour la possession des centaines de kilomètres de conduits d’aération. Ils se battaient là car ils savaient que c’était en ces lieux que le pouvoir de la ville souterraine se dirigeait vraiment. Celui qui gagnait de l’influence sur la planète était celui qui dirigeait le marché noir et le marché noir passait dans ces zones de non droits. Mais personne ne connaissait totalement ces conduits, pas plus que quelqu'un ne pouvait se vanter de connaître toutes les cavernes d’une ville de sept milliard d’habitant dont six vivaient dans ces lieux obscurs.Il existait des conduits verticaux que personne n'avait jamais exploré,soit parce qu'ils étaient trop petits,soit parce que leur escalade étaient réputés impossible. Nalog sauta jusqu'à la prise suivante. Cela faisait près de deux heures qu’il escaladait cette saleté de conduit d’aération. Escalade est le bon mot. Si je me plante dans une prise, je suis partit pour une chute de deux kilomètres de haut. Il grommela. Ces doigts étaient huileux, sa combinaison lui collait a la peau et, malgré les assurances de Ralik, il pensait sérieusement qu’il montait vers la mort. A vous dégoûter d’avoir choisi le métier d’assassin Choisi est un bien grand mot. Il replongea alors dans ses pensés, repensant a la succession d’événement qui l’avait mené a devenir le suppôt d’un inquisiteur véreux et fanatique. Ses gestes étaient précis et assurés, dirigés par des réflexes tellement aiguisés qu’ils ne requéraient pas tant d’attention de sa part et il s’élevait assez vite dans le conduit. Il fut tiré de ses réflexions par l’apparition, sur le coté droit du conduit, d’une trappe frappé du sceau de l’impérium Enfin ! Il s’agrippa a la trappe et entreprit d’en faire sauter la serrure avec son épée énergétique. Il se glissa dans un étroit conduit dont la grille de ventilation gisait au sol. Il avait les bras endoloris par sa longue escalade et il avait du mal a tenir son épée sans la faire tomber. Il remercia mentalement les architectes de ce monde d’avoir pris pour habitude de fabriquer des conduits d’aération suffisamment gros pour faire passer un homme. Il rampa dans le conduit en croisant les différentes raisons pour lequel ces conduits étaient gros(généralement, c’était des stocks de drogues et de munition, mais il y avait aussi un ou deux squelettes cachés dans des coins) Il entendit des bruits de voix provenant d’en dessous. Il s’immobilisa et tendit l’oreille, mais les voix étaient trop indistinctes pour qu’il puisse les entendre. Il rampa sur quelques mètres et arriva à une bouche d’aération. Il entendit cette fois ci distinctement les voies de deux personne. Il fut surpris de les entendre s’exprimer-en Haut gothique. Il ne connaissait pas cette langue, mais il en reconnaissait l’étrange prononciation. Et comment je sais si c’est eux ou juste des hauts officiers ? Bah, y a qu’a attendre que je les vois, je serai fixé Il resta allongé une bonne heure, a écouter l’incompréhensible conversation des deux hommes qui étaient malheureusement caché à sa vue. Ses rapides coups d’œil l’informèrent vite qu’une vingtaine de guerrier se trouvait dans la salle, même s’il soupçonnait qu’il devait y en avoir des centaines dans tous les couloirs alentour. Au bout de cette longue attente, une porte s’ouvrit dans un étrange grincement. Un groupe de soldat rentra dans la pièce. Ils portaient la marque caractéristique du gang de l’Homme noir. Il jeta un regard vers eux et son cœur fit un bond. Parmi eux, se tenait, un fusil laser a la main, Sanghor Frek. Sangh…Mais ,c’est impossible ! Et pourtant…Il l’aurait reconnu entre mille. Comme la dernière fois qu’il l’avait croisé, il était torse nu et arborait ostensiblement une profonde déchirure qui partait de l’épaule gauche et descendait jusqu’au bas ventre,. Sa jambe droite était dorénavant un membre bionique de première qualité Les nouveaux venus s’éparpillèrent dans la salle alors qu’un groupe de guerrier de l’Envouteur quittait la pièce en silence. La relève de la garde, probablement La discussion, qui s’était interrompu à l’arrivé des soldats, repartit de plus belle. Pendant plusieurs minute, la scène repartit dans l’ambiance qu’elle avait été avant : Un ennui profond de la part des guerriers, une discussion passionnés pour les deux personnes qui étaient probablement l’Homme noir et l’Envoûteur. Puis tout se déclencha. Un grondement retentit dans le couloir. L’assassin du chaos bondit vers un guerrier situé a quelques mètres de lui et lui ficha sa main dans la trachée avant de l’assommer. Il fit apparaître comme par magie une grenade dans son autre main, qu’il dégoupilla alors et envoya vers un groupe de soldats stupéfaits. Le souffle de l’explosion projeta un des guerriers déchiquetés droit vers le mur. L’assassin dégaina deux couteaux énergétiques et se jeta en hurlant vers la direction des deux voix au moment ou des cris de surprise et de douleur éclataient dans les couloirs. Nalog réagit immédiatement. Il saisit le fusil de sniper qu’il avait pris pour l’occasion, l’arma et tira dans la grille. Il plongea à travers le trou ainsi creusé et se réceptionna dans une agile roulade avant de se relever, en joue, son arme rechargé. Alors que les soldats l’observaient ,de plus en plus stupéfait, il ouvrit à nouveau le feu. Le tir arracha le torse d’un soldat en propulsant du sang dans toutes les directions. Un vrombissement atroce retentit. Un colosse aux bras surdéveloppés se jeta sur lui, e regard brillant de haine, une monstrueuse épée tronçonneuse dans les mains. Nalog abandonna son fusil, dégaina une épée énergétique et se jeta sur lui en hurlant a son tour en évitant un tir de fusil laser. Le colosse porta un coup d’une force incroyable droit vers sa tête. Nalog plongea entre ses jambes et en profita pour lui enfoncer sa lame énergétique dans son entrejambe. La brute poussa un hurlement de douleur tandis qu’un flot de sang poisseux se répandait sur l’assassin impériale. Il glissa sur le coté avant que sa victime ne l’écrase sous son poids, puis il se releva et chargea trois soldats qui portaient eux aussi des lames tranchantes comme des rasoirs. Chaque guerrier, même le plus talentueux, a toujours un défaut, une mauvaise habitude, qui fait qu’il ne peut pas être totalement invincible. Chez Nalog, ce défaut était qu’il perdait vite son sang froid pendant les combats. Le reste de la bataille se fondit en une suite indistincte de combat sanguinaire contre les gardes. Ses adversaires n’avaient aucune chance, mais ils se battaient avec la rage sanguinaire caractéristique des habitants des cités ruches ayant vécu toute leur vie dans la misère. Leurs hurlements de haine, l’odeur du sang et de la sueur, le crissement du métal heurtant le métal, tout cela lui fit perdre la raison. Il oublia toute idée de mission ni d’assassinat. Le passé et le présent se mêlait désormais. Il revoyait chacun de ses combats effectués ses cinquantes dernières années. Le premier, contre l’ork qui avait tué ses parents, puis contre le big boss qui dirigeait cette horde, puis tous les autres, vision de sang ressassé en boucle. Il n’était plus un homme, il n’était plus un animal. Il était une boule de haine à l’état pur. Les hurlements et les tirs résonnaient désormais de tout les cotés. Lorsqu’il en eut fini avec le dernier des gardes, il se retourna, a la recherche d’une nouvelle victime. Des cadavres s’étendaient partout ou l’assassin du chaos était passé. Les seuls être vivant dans la pièce étaient désormais l’assassin et deux hommes qui se battaient avec une dextérité impressionnante. Le gros musclé, c’est forcément l’Homme noir. Quand à celui qui lance des éclairs par les yeux forcément l’Envoûteur. Il tordit sa bouche en un rictus, puis il hurla en se jetant vers les belligérants. L’homme noir se retourna vers lui, évita habilement un coup de poignard lancé par l’assassin, puis il chargea Nalog. L’attaque fut tellement rapide que Nalog n’eut même pas le temps de réagir. La lame s’enfonça dans sa jambe avec une telle force qu’il manqua d’en trébucher Le choc de la douleur dispersa sa rage et il se reprit. Il saisit le poignet son adversaire et le lui brisa avant qu’il n’ait le temps de réagir, puis il recula, emportant avec lui la lame fiché dans sa jambe. S’il l’avait enlevé, il se serait vidé de son sang en quelques minute. L’Homme noir l’observait avec un regard qui en disait long sur ces intentions. Il se jeta vers Nalog a toute vitesse, puis il plongea au sol et fit une balayette. Nalog avait prévu cette attaque et effectué un saut groupé, lui arrachant une grimace intérieure de douleur lorsque la lame s’enfonça plus haut dans sa jambe. Il ratterrit et profita du fait que l’Homme noir était à terre pour attaquer. Ce dernier glissa sur le sol en évitant le coup et tenta de se relever. Nalog le rattrapa et lui enfonça sa lame dans le dos. Le duelliste hoqueta et s’effondra sur la table de réunion renversé pendant la bataille. Nalog levait sa lame pour l’achever lorsqu’une une violente explosion retentit derrière lui. Il eut l’impression qu’un étrange liquide coulait dans son dos. Il n’eut pas le temps de voir ce qui avait produit cette explosion. Il mourut la seconde d’après La première fois que l’Envoûteur avait posé les pieds sur Syphyris III, c’était pour y rencontrer sa futur belle-mère. Depuis ce jour, cette citée ruche était devenue pour lui synonyme de catastrophe et de malheur, ce qu’avaient confirmé ces visites suivantes : Embuscades, réunions de familles, attentat…Chacune de ces visites avait laissé chez lui un souvenir cuisant et inoubliable. Mais la, Syphyris III avait explosé tout les records : Il avait posé les pieds dans la ville il y avait de cela cinq heures dans le but de relancer le commerce de la drogue. Mision anodine s’il en était. Dès qu’il était arrivé au lieu de réunion, les vrais hostilités avaient commencé : La diplomatie. Après s’être menacé sur tous les tons, avoir menti, dénoncé, marchandé, protesté, râlé, bluffé pendant près de trois heures, ils avaient été attaqué par un assassin a moitié a poil tandis qu’un espèce de fous sanguinaire avait entrepris de découper les membres de sa garde personnelle en morceau avant de faire de même avec l’Homme noir. Puis, le mur extérieur avait explosé. Un géant faisant au moins trois mètre haut avait émergé de la poussière. Il portait une armure énergétique quasi indestructible couverte de rouille, dégageant une affreuse odeur de pourriture et suivit par un nuage de mouche. Il ne portait pas de masque, aussi pouvait t’on voir son visage constellé de verrues et de poches remplies de pus. Il portait dans sa main une sorte de lame qui brillait d’une lueur verdatre et maléfique. Le guerrier surhumain s’avança vers le fou sanguinaire occupé a étriper l’Homme noir . Il ouvrit la bouche alors qu’il n’était qu’a trois mètres de lui et un flot de vomi se déversa de sa gueule béante, allant s’écraser sur le dos du fou. Il y eut une seconde de flottement, puis le corps du malheureux se mit à fondre sous l’effet corrosif du vomi. L’Envoûteur para à nouveau un coup lancé par l’assassin, puis il s’en débarrassa temporairement en faisant voltiger sa lame et en l’envoyant rouler au sol d'une impulsion mentale. L’Envoûteur se retourna vers le monstre et se prépara à l’attaque. Le sorcier fit jaillir des éclairs d’énergies purs de sa main droite. L’un d’entre eux fit exploser le sol a trois mètre de lui, les autres s’écrasèrent contre sa bulle de force dans un sifflement apocalyptique. L’assassin se releva et récupéra son arme, mais n’attaqua pas. Avec tous les éclairs qui sifflaient autour du chef de gang, il risquait plus de mourir carbonisé par les éclairs du sorcier que de blesser l’Envoûteur. Pendant ce temps, les éclairs impies continuaient de jaillir des doigts du space marine et de s’écraser sur la protection du psyker. Celle ci commençait à faiblir, minés par les chocs répétés du sortilège chaotique. D’un seul coup, le sorcier s’arrêta de tirer et chargea l’Envoûteur. Celui ci fit immédiatement disparaître sa bulle de force et employa l’énergie tirée du Warp pour augmenter sa vitesse. Alors que le traître n’était qu’à quelques mètres de lui, il parti comme une flèche a une vitesse surnaturelle, contournant l’assassin et le sorcier. Ce dernier se jeta sur sa trajectoire et jeta de son arme maléfique dans ses jambes. Par chance, il avait prévu son geste, aussi sauta t’il au-dessus du bâton et sentit un choc violent à l’arrière de son crane. Son saut, amplifié par l’énergie du warp, lui fit traverser le plafond et il atterrit à l’étage supérieur. Il se releva en s’efforçant d’ignorer la douleur persistante qui lui sciait le tête. Il avait à peine franchit deux mètres que le plancher explosa a nouveau, dévoilant le sorcier qui lâcha un flot de vomi fumant droit vers lui. L’Envouteur l’évita à la toute dernière seconde et sortit de la pièce en défonçant la porte. Ouverte. Stupéfait par l’absence de résistance, il manqua de trébucher alors que le mur d’explosait sous la charge du marine. L’Envouteur était déjà au bout du couloir. Le sorcier fonça vers lui, toute idée de sort oubliée. Lorsqu’il rentra dans la nouvelle pièce, il n’y avait personne. Sans se démonter, il lança son esprit dans toutes les directions pour le repérer. Personne. Il poussa un cri de rage. « LACHE ! REVIENS ET MEURT AVEC HONNEUR ! » L’assassin se glissa derrière lui et dit avec assurance. « Nous n’avions que peu d’espoir de l’assassiner, n’est ce pas ? » Le marine du chaos se retourna, observa avec amusement Sanghor. « Tu as raison. L’Envoûteur est trempé dans un acier trop solide pour que nous ayons le moindre espoir de l’abattre. Néanmoins, il est comme tout les hommes et il peut être manipulé. Et, tant qu’on parle de manipulation, un détail me frappe. Lorsque nous t’avons retrouvé dans le désert a moitié mort, nous n’avons pas retrouvé l’Essence du Warp sur ton corps. Ou l’a tu caché ? » Sanghor l’observa un long moment avant de dire, un écho de crainte dans la voie : « Yimbo me les à volé avant… » Il n’acheva pas sa phrase :Le sorcier le saisit au coup et l’arracha au sol. « Ces cristaux ont un prix incommensurable, assassin. Il m’a fallut des années pour en rassembler une quantité suffisante, et toi tu te les fait voler. Tu viens de me faire perdre un temps fou alors que, justement, les évènements s’accélèrent. Si les cristaux ne sont pas près à la fin de la saison troublée, Macros débarquera sur la planète sans même que le plan ne puisse être appliqué. Je vais alors payer à ta place tes erreurs. Une petite punition s’impose, mon cher. » Sans relâcher son étreinte, le marine commença a murmurer des mots aux consonances répugnantes. Tout autour de lui, l’air se mit a vibrer sous l’influence des ondes corrompue qui émanait du cerveau du sorcier. Ce souffle maudit venu tout droit du Warp se répandit vite dans toute la pièce, tachant les murs et le sol de flaques verdâtres tandis que des centaines de mouches s’agglutinaient autour du corp du sorcier. L’assassin se débattit et saisit son poignard avant de l’envoyer dans la gorge du marine. Celui ci ne cilla même pas.. L’assassin hurla de douleur lorsque sa peau devint grisâtre et se boursoufla. Le sorcier le lâcha et retira le couteau de sa gorge. L’assassin ouvrit le bouche pour demander pitié au moment ou une corne suintant un poison mortel remplaçait sa langue. Les nuées de mouches qui entouraient son tortionnaire s’infiltrèrent dans sa gorge bourdonnant Ses mains s’élargirent et son corps commença à doubler de volume. Son ventre se dilata tandis que des verrues se mettaient à pousser sur tout son corps. Le sorcier de Nurgle recommença à psalmodier. Sa blessure verdit, puis la croûte éclata, laissant apparaître un nouveau bras se terminant par une pince de crabe. Ses jambes explosèrent et furent remplacées par une vingtaine de pattes frêle mais tranchantes comme des rasoirs. Son ventre se déchira, laissant apparaître une paire de cornes striées de veine faites d’entrailles. Le monstre gonfla jusqu'à atteindre deux fois la taille du sorcier. Sa peau se mit a suinter un liquide verdâtre dégageant une affreuse odeur. Celui ci s’arrêta de chanter. « Maintenant, tu vas m’aider à réparer tes erreurs. » L’Enfant du chaos ronronna affectueusement et commença a se frotter contre le sorcier avec un amour débordant et dangereux, compte tenu de ces nombreuses cornes. Le sorcier ne s’en inquiétât pas et commença à la caresser. « Mais oui, gentil, c’est ça. Allez viens, on va trouver quelque chose a te mettre sous la dent. » Il se dirigeât vers la sortie, suivit de l’affectueuse créature. « Après quoi tu auras du travail. » Il y eut un moment de silence, puis Nicrarios ferma les yeux et se concentra lentement avant de propulser sa conscience vers l’extérieur. Roth ?J’ai une bonne nouvelle pour toi. L’Homme noir est mort. Merci Nicrarios . Sa me fait gagner un temps fou.Je vais pouvoir passer directement à la troisième phase. Syphyris II sera entre nos mains dans quelques heures. Et toi, comment se passe ta mission ? Echec total. Je vais devoir improviser pour récupérer l'Essence. Tu pourrais passer une nouvelle comande à Azhadram. Impossible.Il m'a envoyé uniquement ses exédents.Il faudrait des mois pour qu'il en récupère une telle quantité.Macros sera là avant. Sincèrement désolé. Si tu as besoin d’aide, fait moi signe.Au fait... Oui? Sait tu à qui nous devons la visite surprise de ce fouineur d'inquisiteur? Apparament,Azhadram à mal caché ses traces,l'inquisiteur à retrouvé des gouttes de sang de Sanghor sur les lieux de l'attentats. Aie Tu l'as dit Sur ce,bonne journée à tous Modifié le 21 août 2010 par shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 21 août 2010 Partager Posté(e) le 21 août 2010 Le passage était brouillé par le nombre de belligérants. J'ai eus du mal à m'y retrouver. Que l'Empereur est l'âme de Nalog... Non, je rigole, que le Chaos la dévore. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
shasel Posté(e) le 30 août 2010 Auteur Partager Posté(e) le 30 août 2010 Bonjour à tous. Avant la fin des vacances,je poste sa. Désolé d'avance pour la qualité probablement moindre du texte,mais j'ai ma petite soeur qui campe devant l'ordi depuis une demi heure,et c'est pas facile de se concentrer dans ce genre de cas. Le bureau du technaugure était plongé dans une aura de ténèbres et de silence peu rassurant à peine atténué par les cliquettements rapides des dizaines de machines d’aciers qui luisaient sur leurs étagères d’argents. Plongé dans cette aura inquiétante, les murs de ciments bleutés était quasiment impossible à discerner. Assis sur une chaise décrépite, un homme au visage mangé par un assemblage métallique observait en silence des cristaux aux reflets blancs. Des imprimantes antédiluviennes vomissaient des kilomètres d’analyse sur du papier jauni partout dans la salle. Son regard dur et observateur transportaient une lueur de tristesse toute neuve sur son visage froid et mécanisé. Liera supposait que c’était à cause de sa fille. Le technaugure Vardian était un vieil ami de Yimbo très connus ans les milieux des anciens membres de l’Adeptus Mechanicus pour son comportement peu orthodoxe. Sa fille adoptive de quatorze ans avait attrapé la maladie qui décimait les milieux populaires de la citée ruche depuis quelques semaines. L’épreuve avait dut être terrible, car c’était la première fois qu’il daignait se taire plus d’une minute de son plein gré sans que sa vie soit en danger. « Sa ressemble à de l’ivrine, sa à la couleur et la texture de l’ivrine, mais ce n’est pas de l’ivrine. » Sa voix était sèche, tranchante et il semblait apparemment peu ouvert sur le marchandage. Yimbo fronça les sourcils. « Qu’est ce que c’est alors ? » « Aucune idée. Je peux uniquement vous dire ce que mon analyseur interne affirme : C’est une matière synthétique crée-il y a une vingtaine d’année, issue d’une réaction chimique que je ne connais pas. Ces propriétés matérielles sont nulles, mais elle émet autour d’elle une sorte d’aura psychique très importante qui brouille tous mes capteurs radio. Il faut admettre néanmoins que ce n’est pas de la bonne qualité. » « Les cristaux ? » « Non, mes capteurs. » « Vous etes preneurs ? » « Non. C’est probablement le fruit d’un bijou de la technologie, mais mes clients n’achèterons jamais ce genre de chose, et je n’achète que si je sais que je peut revendre.» Sa , c’est vrai. Songea Liera, fatigué. Vardrian avait fait partit de ces technaugures qui avaient protestés contre la décision de ses supérieurs d’armer la population de Syphyris. Excommunié, il c’était recyclé dans le trafic d’armes exotiques. Les acheteurs de ce genre d’étrangeté étaient rares, aussi la méfiance était t’elle de mise. « Vous etes surs que ce n’est pas de l’ivrine ? »Supplia Yimbo. « Oui. Pour vendre cette chose, il faudrait quitter Syphyris et rallier Trantor IV. Les technauprêtres des Anges Silvers sont friands de ce genre de curiosité » « Ah. » Il y eut un instant de silence, puis Yimbo reprit d’un ton amer « Et sinon, toi sa va ? Comment se passe ton commerce ?Tu as réussi à vendre cet éclateur sonique que tu nous as montré l’année dernière? » « Non. Celui là je le garde pour calmer mes voisins lorsqu’ils se montrent trop bruyant. Trois cents décibels dans les oreilles à deux heures du matin, sa leur à fait passer le goût des fêtes tardives et bruyantes. » Liera grommela intérieurement. Qu’est ce qui lui avait pris d’accepter d’accompagner Yimbo pour cette vente stupide ? C’était partit pour une heure de discutions intense et inutile Elle se leva en maugréant, prétexta une abstention pour cause de besoin urinaire et s’éclipsa dans l’arrière boutique en faisant attention à ne pas marcher sur les caisses. Alors qu’elle s’approchait des toilettes, un bruit de respiration rauque lui vint aux oreilles. Elle se retourna et, curieuse, souleva le rideau de soie qui cachait l’origine de l’étrange respiration. Ce qu’elle y vit la fit vaciller. Une jeune fille de quinze ans se tenait allongé sur un lit de paille, un respirateur automatique calé sur son torse, origine de l’étrange respiration. Son corps avait une teinte verdâtre et émettait une odeur de rose qui contrastait avec l’aspect horrible que son corps était en train de prendre. Des dizaines de grosses mouches grises s’acharnaient sur des plaies qui s’étaient ouvertes d’elles-mêmes partout sur son crane. De petite tache noirâtre indiquait que Vardan avait déjà cautérisé pas mal de ces plaies, et que celles ci venait justes de s’ouvrir. Ses cheveux blonds commençaient déjà à devenir blanc tant la lutte contre la maladie, exigeait d’énergie de sa part. Liera aurait voulu reculer, rabattre le rideau qui cachait cet ignoble spectacle, mais son instinct maternel l’en empêchait et elle n’était déjà plus qu’a un mètre de la morte en sursis. Des larmes de tristesses coulant de ces yeux, elle s’assit sur une petite chaise en bois au bord du lit déjà couvert de sang et de mouches tuées par Vardan. Elle posa une main tremblante sur le front verdâtre et brûlant de l’enfant agonisante qu’elle ne retira pas. Les mouches, affolés par cette intrusion dans leur terrain de ponte, s’enfuirent en bourdonnant. Sa main resta ainsi posé pendant plusieurs seconde, jusqu'à ce qu’un bip sonore ne retentisse dans la pièce. Avant qu’elle n’ait le temps de réagir, une voix métallique et immatérielle retentit d’un petit appareil mécanique branché sur le cerveau de la jeune fille +++Niveau cardiaque retourné au rythme standard. Moyenne : 90 pulsations par minutes+++ Il y eut quelques secondes de silence, puis la voie intervint de nouveau. +++Nombres de moisissure virale en chute de 75% dans le système lymphatique. Système immunitaire opérationnel à 35%. Injection d’anticorps anti-nurglique possible avec un risque de complication neuronale inférieure à 25%. +++ Liera était stupéfaite. Le nom donnés à ces anticorps lui rappelait horriblement quelque chose. Antinurglique ?Nurgle ? Cette maladie est une maladie venue du Warp et cette machine le sait ? Pris d’un soudain instinct, l’intouchable raffermit sa prise sur le front de la jeune fille. Si cette maladie était venue du Warp, alors son contact avec elle devait pouvoir détruire le virus démoniaque. +++ Chute des ondes psychiques du sujet de 14%.Appendice vermiculaire en phase de dégonflement. Attention, les moisissures virales incluses dans le système digestif et dans le système urinaire risques d’être expulsés de manières très violentes+++ La fille de Vadran s’agita sous l’effet de spasme. Pressentant ce qui allait ce passer, Liera ôta sa main et se retourna tandis que le bruit d’une série de vomissement retentissait. Elle vit alors que les mouches qui s’acharnaient sur l’adolescente depuis des heures gisaient mortes sur le sol nues. Dès que la jeune fille eut fini de vomir, Liera repassa la main sur le front de l’enfant, qui gémit en marmonnant quelques mots. +++ Chute des ondes psychiques de 27%.. Moisissures virales en phase de recul de 74% dans l’ensemble de l’organisme. Niveau de santé du sujet en nette amélioration. +++ La voie de Yimbo retentit alors au fond du couloir,impatiente. « Eh Liera, tu t’est noyé dans les toilettes ou quoi ? Va falloir y aller ou Ralik va nous faire une crise… » Le rideau de soie se souleva dans un chuintement sourd. La tête de Yimbo se glissa souplement de l’autre coté de la frontière rouge. Son visage se fendit en une expression de stupéfaction tandis qu’il observait la scène de Liera penché sur une adolescente malade, les pieds plongés dans une laque de vomi gris et rouge. « …De nerf. » Il y eut une seconde de silence, puis une deuxième. La stupeur de Yimbo commençait à disparaître de son regard lorsque la voie indifférente de la machine intervint à nouveau. +++Niveau des ondes psychiques émises par le sujet retourné à la normale. Aucune trace de moisissure virale. Les chances de rechutes avoisinent les 0%+++ La jeune fille remua en gémissant. « Mais au nom de l’Empereur-Dieu, Liera, qu’est ce que tu… » La convalescente entrouvrit difficilement les yeux et tourna doucement la tête vers l’intouchable avant de planter son regard dans le sien. Liera éprouva alors un sentiment étrange en regardant ces yeux bleus encadrés par une rangée de sourcil battant. Elle mit plusieurs seconde à comprendre ce qui la gênait tant. Ce regard était presque celui d’un Convoyeur. Il brillait dans ces yeux couleur de l’océan une générosité qui n’était pas naturelle aux habitants des cités ruche. Au fond de ces yeux, il n’y avait pas l’habituel reflet sombre qui indiquait que cet être était égoïste et mauvais, dur et âpre au grain comme ne pouvait l’être que les habitants des villes. …Fabrique ? » La plupart des convoyeurs étaient des gens révulsés par ce comportement égocentrique qui caractérisait les habitants des cités ruches. Des marginaux mal à l’aise dans cet univers mauvais ou il n’y avait aucune place ni pour la contemplation, ni pour la paix. C’était la lueur de ces marginaux qui brillait dans ce regard. La dernière fois que Liera avait croisé la jeune fille, elle n’avait pas sentit en elle ce désintérêt de soit même. Elle avait juste vu une fille des rues rebelle, mais tout aussi concentré sur soit même. Son instinct lui chuchota alors la réponse à cette énigme. C’est toi qui l’a purgé de son égoïsme en maintenant le contact. a méchanceté des citadins de Syphyris n’est pas naturelle. Elle vient du warp et altère leur comportement Liera poussa alors un cri déchirant avant de sombrer dans l’inconscience. Bonne journée à tous.Shasel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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