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Rick Priestley aurait quitté GW


Yoda™

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Je suis loin d'être naïf en terme d'économie mes chers amis mais j'ai le droit de penser que le monde du jeu de rôle était basé d'abord sur l'aspect passion plutôt que l'aspect monétaire.

Ce que je voulais dire c'est que vu les chiffres publiés par GW ces dernières années, il n'est pas étonnant que les anglo-saxons aient misés plus sur des jeunes sortis des écoles de commerce plutôt que sur des anciens qui, apparemment et d'après les dire de tout le monde, ont du mal à évoluer avec le(s) jeu(x).

Y'a un moment la concurrence pousse et les changements plus ou moins forcés par la "crise" sont durs à encaisser pour certains.

Vous avez mal interprétés mes mots :wink:

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Je rajoute aussi mon avis qui ne sert à rien vu que comme tout le monde je n'ai aucune source.

Mais au bout de 25 ans, il en a peut être fait le tour non? :wink: L'ennuie, le fait de faire du réchauffer...

Mais bon à défaut de source on ne sera surement jamais!

PS: il a pas Facebook?^^

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Ce que je voulais dire c'est que vu les chiffres publiés par GW ces dernières années, il n'est pas étonnant que les anglo-saxons aient misés plus sur des jeunes sortis des écoles de commerce plutôt que sur des anciens qui, apparemment et d'après les dire de tout le monde, ont du mal à évoluer avec le(s) jeu(x).

Sauf que justement Rick Priestley a toujours une longueur d'avance sur les jeux proposés par Games Workshop. Regardez ses dernières créations comme par exemple les règles Mighty/Planetary Empires : il a misé sur les règles simples et efficaces (allez jetez un coup d'oeil aux systèmes Warmaster aussi) alors que WFB et W40k en sont encore très loin.

C'est une mauvaise nouvelle pour GW mais une bonne nouvelle pour Priestley qui va certainement pouvoir se lâcher un peu. :clap:

Quant à sa supposée arrogance, faudrait pas se faire un avis sur des boutades lancées dans un magazine. Il a toujours été très disponible pour les joueurs de Warmaster Ancients sur la liste de diffusion dédiée. Il travaille en étroite collaboration avec la communauté des joueurs pour pondre de nouvelles listes.

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Quant à sa supposée arrogance, faudrait pas se faire un avis sur des boutades lancées dans un magazine.

Ca a toujours été une mise en scène de Rick, présenté comme l'ermite terrible mais sage qui vit reclu dans le studio, et dont on va solliciter les avis/participation à grand renfort de biscuits, de thé et d'autres présents. On pourrait presque comparer à des gimmick au catch (des roles prédéfinis).

Tout comme Chambers a été le grand malmouleux incapable de gagner une partie car il ratait toujours les jets clefs.

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Ca a toujours été une mise en scène de Rick, présenté comme l'ermite terrible mais sage qui vit reclu dans le studio, et dont on va solliciter les avis/participation à grand renfort de biscuits, de thé et d'autres présents.

Tout comme Paul Sawyer qu'ils 'amadouaient' à coup de bière, hamburgers, thé et biscuits. C'étaient juste des clins d'oeils humoristiques.

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Tout comme Chambers a été le grand malmouleux incapable de gagner une partie car il ratait toujours les jets clefs.

Idem GavT

Sauf que justement Rick Priestley a toujours une longueur d'avance sur les jeux proposés par Games Workshop. Regardez ses dernières créations comme par exemple les règles Mighty/Planetary Empires : il a misé sur les règles simples et efficaces (allez jetez un coup d'oeil aux systèmes Warmaster aussi) alors que WFB et W40k en sont encore très loin.

L'exemple n'est pas bon... Il n'est que co-auteur sur ce projet et je pense que c'est plus JJ qui a rédigé le livret en s'inspirant d'idées et d'ancien travaux de RickP.

Après qu'il est une longueur d'avance il ne faut pas exagérer les choses... c'est plutôt un conservateur même s'il arrive parfois à dépoussiérer de bonne chose (le système warmaster par exemple).

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Sauf que justement Rick Priestley a toujours une longueur d'avance sur les jeux proposés par Games Workshop. Regardez ses dernières créations comme par exemple les règles Mighty/Planetary Empires : il a misé sur les règles simples et efficaces (allez jetez un coup d'oeil aux systèmes Warmaster aussi) alors que WFB et W40k en sont encore très loin.

L'exemple n'est pas bon... Il n'est que co-auteur sur ce projet et je pense que c'est plus JJ qui a rédigé le livret en s'inspirant d'idées et d'ancien travaux de RickP.

Ouais tu coupes les cheveux en quatre là. JJ, qui a aussi pondu un jeu comme Epic 40k lui-même ayant jeté les bases de Battlefleet Gothic, était à mon avis sur la même longueur d'onde. J'imagine que l'un des travaux de RP qui a pu engendré les règles de Mighty/Planetary Empires est un système de campagne pour Warmaster baptisé... Mighty Empires qui était à base d'hexagones et qui permettait à chaque joueurs de n'avoir qu'une partie à jouer à chaque tour. Le système était horriblement simple à lire et terriblement efficace à jouer. Dans le livre des règles Warmaster, RP propose également un système de campagne du même type.

Tout cela pour dire que RP est un adepte des règles légères et élégantes. J'adore vraiment ce qu'il fait.

Après qu'il est une longueur d'avance il ne faut pas exagérer les choses... c'est plutôt un conservateur même s'il arrive parfois à dépoussiérer de bonne chose (le système warmaster par exemple).

J'ai bien dit "une longueur d'avance sur GW", hein. Et je le maintiens : il a compris, bien avant la grosse usine à jeu, qu'était venu le temps du jeu simple (pas simpliste) et fun au détriment de l'usine à gaz.

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  • 2 mois après...
Invité Chéqué-Varan

Je discutais du sujet récement avec quelqu'un qui m'expliquait que c'est dommage que dans ce genre de cas on ait jamais d'explication des intéressés. Sauf que là on en a eu une, enfin ceux qui ont suivi l'affaire parcequ'apparement l'info n'a pas circulé jusqu'ici. Donc voilà:

It May not be quite up there with the Kennedy assissination as a ' you will never forget where you were when you heard...' moment, but a shockwave rippled through wargaming in November when Rick Priestley left Games Workshop after nearly three decades with the company. The man behind all of GW's top three selling systems - Warhammer, 40K and LOtR Strategy Battle Game - says he felt that "Games Workshop and me drifted apart" after he was given a job with Forge World (GW's resin model division) on a new product that introduces fantasy to their range. "This was not a comfortable fit, having previously worked at executive level," says Rick, "but I fully expected to continue working at Forge World - and had got stuck into and just completed the first book - so it did come as a little bit of a disappointment not to get to continue. I had what I thought was a very good idea that would make for an entertaining back-story and model range, revisiting some classic GW themes and giving them a new twist. We had also just taken on two very promising young sculptors so I do regret not being given the change to finish at least one book".

Rick reflects somewhat ruefully on the changes he has seen at Games Workshop over the years. "GW used to be about creating new ideas and games with no limit to the horizon," he says. "We once had all kinds of little projects and off-shoot companies dabbling in whatever took our fancy. It was just a question of applying imagination to what it was you wanted to do: music (Warhammer Records), comics, fiction publishing, board games, card games, role-playing games and so on. We even had a go at live action role-play with paint guns and costumes based on our Dark Future game and films were talked about. It was a very open agenda. Then, over time, GW became increasingly Warhammer and 40K - which was nice in a way, because those were my creations - although we still continued to produce other games such as Blood Bowl, Epic, Mordheim for some years".Rick suggests his passion and enthusiasm became crampt, saying: "working in what became a successful but - from a designers point of view - predictable company was not satisfactory." The gang based skirmish games Necromunda and Gorkamorka show "what 40K can do - expanding and adding detail to the universe", Rick adds, and "at the other end of the scale thhere's Battlefleet Gothic and Space Hulk taking players into the depths of space but the potential for developing the Warhammer and especially the Warhammer 40K, mythos has never been fully exploited - not even close!".

Quote taken from Minature Wargames issue no 333 Jan 2011 pages 10 & 12. Original article Andrew Hubback

The article goes on to say about Rick's background and his future game systems/plans.

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Source ? euh...

Quote taken from Minature Wargames issue no 333 Jan 2011 pages 10 & 12. Original article Andrew Hubback

Nan ? ^_^

Sinon effectivement c'est intéressant d'avoir un point de vue interne et malgré tout à peu près objectif de Games Workshop.

Sur ce, NETHKHAR, qui est de plus en plus intéressé par "Dark Future"

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Rick reflects somewhat ruefully on the changes he has seen at Games Workshop over the years. "GW used to be about creating new ideas and games with no limit to the horizon," he says. "We once had all kinds of little projects and off-shoot companies dabbling in whatever took our fancy. It was just a question of applying imagination to what it was you wanted to do: music (Warhammer Records), comics, fiction publishing, board games, card games, role-playing games and so on. [...] Rick suggests his passion and enthusiasm became crampt, saying: "working in what became a successful but - from a designers point of view - predictable company was not satisfactory."
Citations qui prouvent quand même (à mes yeux en tout cas) qu'il y a une différence bien marquée entre "faire de l'argent" (qui n'empêche pas d'être passionné) et "être une machine à cash" (ou tout est géré par des diplômés d'écoles de commerce qui savent à peine ce qu'ils vendent).

Parce que la faudrait pas se mentir, il semble bien décrire une dérive de GeuWeu vers une quête acharnée du profit qui s'est faite -à un moment- au détriment de la créativité.

Rip'

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Invité bibouch2
Rick reflects somewhat ruefully on the changes he has seen at Games Workshop over the years. "GW used to be about creating new ideas and games with no limit to the horizon," he says. "We once had all kinds of little projects and off-shoot companies dabbling in whatever took our fancy. It was just a question of applying imagination to what it was you wanted to do: music (Warhammer Records), comics, fiction publishing, board games, card games, role-playing games and so on. [...] Rick suggests his passion and enthusiasm became crampt, saying: "working in what became a successful but - from a designers point of view - predictable company was not satisfactory."
Citations qui prouvent quand même (à mes yeux en tout cas) qu'il y a une différence bien marquée entre "faire de l'argent" (qui n'empêche pas d'être passionné) et "être une machine à cash" (ou tout est géré par des diplômés d'écoles de commerce qui savent à peine ce qu'ils vendent).

Parce que la faudrait pas se mentir, il semble bien décrire une dérive de GeuWeu vers une quête acharnée du profit qui s'est faite -à un moment- au détriment de la créativité.

Ou bien il a ouvert les yeux, ça arrive à tout âge.

Tu verras, ça viendra ^_^

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Rick reflects somewhat ruefully on the changes he has seen at Games Workshop over the years. "GW used to be about creating new ideas and games with no limit to the horizon," he says. "We once had all kinds of little projects and off-shoot companies dabbling in whatever took our fancy. It was just a question of applying imagination to what it was you wanted to do: music (Warhammer Records), comics, fiction publishing, board games, card games, role-playing games and so on. [...] Rick suggests his passion and enthusiasm became crampt, saying: "working in what became a successful but - from a designers point of view - predictable company was not satisfactory."
Citations qui prouvent quand même (à mes yeux en tout cas) qu'il y a une différence bien marquée entre "faire de l'argent" (qui n'empêche pas d'être passionné) et "être une machine à cash" (ou tout est géré par des diplômés d'écoles de commerce qui savent à peine ce qu'ils vendent).

Parce que la faudrait pas se mentir, il semble bien décrire une dérive de GeuWeu vers une quête acharnée du profit qui s'est faite -à un moment- au détriment de la créativité.

Ou bien il a ouvert les yeux, ça arrive à tout âge.

Tu verras, ça viendra :whistling:

La même chose se produit (s'est produit) avec d'autres jeux (Confrontation, Magic,...) et ce n'est pas près de se terminer.

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Citations qui prouvent quand même (à mes yeux en tout cas) qu'il y a une différence bien marquée entre "faire de l'argent" (qui n'empêche pas d'être passionné) et "être une machine à cash" (ou tout est géré par des diplômés d'écoles de commerce qui savent à peine ce qu'ils vendent).

Parce que la faudrait pas se mentir, il semble bien décrire une dérive de GeuWeu vers une quête acharnée du profit qui s'est faite -à un moment- au détriment de la créativité.

Ce n'est pas vraiment comme ça que je le comprends. Plutôt, Rick Priestley est nostalgique d'une époque où Games Workshop était beaucoup plus diversifié. Qu'ils aient choisi de se concentrer sur leurs produits phares n'implique pas qu'on ait à faire à une machine à fric sans états d'âme et certainement pas que la créativité n'y a plus sa place. Elle est juste canalisée vers un secteur particulier, mais ça laisse encore beaucoup de possibilités.

Que M. Priestley se soit lassé de Warhammer et 40.000 après trente ans de bons et loyaux services, je le comprends aisément. Je l'imagine également très bien comme le type même du créatif qui a besoin d'être continuellement dans le changement et la nouveauté. Et sans parler du fait que, comme il le laisse entendre, la position à Warhammer Forge qu'il occupait avant son départ n'était pas exactement une promotion.

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  • 2 semaines après...
Pour avoir une idée tu as toujours Google Trad plutôt que de faire bosser les gens...

Je trouve le ton de ta réaction déplacé : il n'exige rien mais demande de manière polie quelque chose. On est en droit de refuser mais ça ne coûte rien de poser la question.

Voici une traduction bénévole :

It May not be quite up there with the Kennedy assissination as a ' you will never forget where you were when you heard...' moment, but a shockwave rippled through wargaming in November when Rick Priestley left Games Workshop after nearly three decades with the company. The man behind all of GW's top three selling systems - Warhammer, 40K and LOtR Strategy Battle Game - says he felt that "Games Workshop and me drifted apart" after he was given a job with Forge World (GW's resin model division) on a new product that introduces fantasy to their range. "This was not a comfortable fit, having previously worked at executive level," says Rick, "but I fully expected to continue working at Forge World - and had got stuck into and just completed the first book - so it did come as a little bit of a disappointment not to get to continue. I had what I thought was a very good idea that would make for an entertaining back-story and model range, revisiting some classic GW themes and giving them a new twist. We had also just taken on two very promising young sculptors so I do regret not being given the change to finish at least one book".

Rick reflects somewhat ruefully on the changes he has seen at Games Workshop over the years. "GW used to be about creating new ideas and games with no limit to the horizon," he says. "We once had all kinds of little projects and off-shoot companies dabbling in whatever took our fancy. It was just a question of applying imagination to what it was you wanted to do: music (Warhammer Records), comics, fiction publishing, board games, card games, role-playing games and so on. We even had a go at live action role-play with paint guns and costumes based on our Dark Future game and films were talked about. It was a very open agenda. Then, over time, GW became increasingly Warhammer and 40K - which was nice in a way, because those were my creations - although we still continued to produce other games such as Blood Bowl, Epic, Mordheim for some years".Rick suggests his passion and enthusiasm became crampt, saying: "working in what became a successful but - from a designers point of view - predictable company was not satisfactory." The gang based skirmish games Necromunda and Gorkamorka show "what 40K can do - expanding and adding detail to the universe", Rick adds, and "at the other end of the scale thhere's Battlefleet Gothic and Space Hulk taking players into the depths of space but the potential for developing the Warhammer and especially the Warhammer 40K, mythos has never been fully exploited - not even close!".

Quote taken from Minature Wargames issue no 333 Jan 2011 pages 10 & 12. Original article Andrew Hubback

The article goes on to say about Rick's background and his future game systems/plans.

Dans le genre "je me rappellerai toujours où j'étais quand je l'ai appris", ça n'est probablement pas du niveau de l'assassinat de Kennedy, mais une onde de choc a traversé le monde du hobby quand Rick Pristley a quitté Games Workshop en novembre après presque trente ans dans la boîte. Le cerveau derrière les trois systèmes les plus vendeurs de GW – Warhammer, 40K et SdA – déclare avoir eu l'impression que "Games Workshop et moi nous étions distancés" après qu'il s'est vu offrir un poste à Forge World (le département de GW chargé des figurines en résine) pour travailler sur un nouveau produit qui introduit Fantasy (ndt : WHFB) dans leur gamme. "Ce n'était pas une situation idéale, sachant que j'avais travaillé auparavant au niveau exécutif", dit Rick, "mais j'étais convaincu que je continuerais à travailler pour Forge World – et je venais de terminer le premier livre, dans lequel je m'étais beaucoup investi – et c'est pourquoi je suis un peu déçu de ne pas pouvoir poursuivre. J'avais selon moi d'excellentes idées pour faire une histoire passionnante et une gamme de figurines intéressante, en remettant au goût du jour certains grands classiques de GW mais avec un petit quelque chose en plus. Nous venions également d'engager deux jeunes sculpteurs très prometteurs et je regrette de ne pas avoir eu l'opportunité de terminer au moins un livre."

Rick se souviens avec regret des changements dont il a été témoin au sein de Games Workshop au cours des ans. "Ce qui comptait chez GW était de créer de nouvelles idées, de nouveaux jeux, avec un horizon sans limite", dit-il. "Il fut un temps où nous avions tous nos petits projets et entreprises secondaires s'intéressant à ce qui nous faisait envie sur le moment. Il s'agissait simplement d'appliquer l'imagination à ce que vous vouliez faire, que ce soit la musique (Warhammer Records), les bandes dessinées, publier de la fiction, des jeux de société, des jeux de cartes, des jeux de rôle, etc. Nous nous sommes même aventurés dans le jeux de rôle grandeur nature avec des pistolets à peinture et des costumes basés sur notre jeu Dark Future ; des films ont également été évoqués. C'était un programme très ouvert. Puis, avec le temps GW s'est limité de plus en plus à Warhammer et 40K – ce qui d'une certaine manière était gratifiant, parce qu'il s'agissait de mes créations – bien que nous continuâmes à produire d'autres jeux tels que Blood Bowl, Epic ou Mordheim pendant quelques années." Rick semble indiquer qu'il finit par se sentir à l'étroit quant à sa passion et son enthousiasme. Il dit : "travailler pour une compagnie certe prospère, mais prévisible d'un point de vue créatif n'était pas satisfaisant." Les jeux d'escarmouches à l'échelle d'un gang que sont Necromunda et Gorkamorka montrent "ce dont 40K est capable : élargir et enrichir l'univers", ajoute Rick, et "à l'autre extrémité de l'échelle on trouve Battlefleet Gothic et Space Hulk qui emmènent les joueurs dans les profondeurs de l'espace, mais on est loin d'avoir pleinement exploité le potentiel de développement des univers de Warhammer et surtout Warhamer 40K !"

Citations provenant d'un article d'Andrew Hubback in Miniature Wargames n° 333 de janvier 2011 p. 10 & 12.

L'article s'attache ensuite à en dire plus au sujet de Rick et des ses projets.

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On se recentre sur la vie trépidante de Rick, SVP.

Et non sur les problèmes de traductions. Merci de ne pas tirer de conclusion hâtive...

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