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Entre l'homme et le heros


Tekniv

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Entre l'homme et le héros

Partie 1

-Kyle, nom d'un Hellhound, où sont les renforts, hurlait le lieutenant Heigler a travers le micro de la radio, on est sous le feu ennemi, on peut pas tenir plus longtemps!

-Désolé, on peut rien vous envoyer, un barrage sur Beta 4, répondit son interlocuteur, je peut rien pour vous.

-Et merde, cria Heigler en raccrochant brutalement le tele-vox.

Autours de lui, les tirs fusaient et accroupis sous un muret, cinquante hommes attendaient, haletant, dans la nuit.

-Rien pour nous, les gars, je suis désolé, on va devoir se démerder tout seuls.

Le fracas d'un obus a une vingtaine de mètres du peloton emplit l'air d'un silence puis de l'enfer, le souffle brulant de l'explosion fit vaciller le lieutenant et ses hommes,

voler des soldats agonisants, et des membres d'hommes qui étaient (Heigler l'espérait) déjà morts.

Des cris suivirent, des cris qui enlevèrent a Heigler tout soupçon sur la survie des hommes touchés.

Le lieutenant hurlait des ordres mais lui-même n'entendait rien, sa voix était couverte par le bruit de la guerre.

-A trois, on y va, compris?

Compris ou pas, Heigler allait courir, il espérait juste que ses hommes le suivraient.

-UN !

Tous ses hommes étaient transis de peur.

-DEUX !

Cette peur se transforma en détermination

-TROIS !

Heigler enjamba le muret, épée énegétique brandie et pistolet bolter crachant, il courait depuis une fraction de secondes quand un cri de guerre se fit entendre, Il tourna la tête et vit cinquante hommes, courants, hurlants de toutes leurs tripes vers une mort certaine, en tirant de leurs fusils lasers ou dégoupillant des grenades.

Le lieutenant sentit le courage affluer en lui, la confiance qu'il avait en ses hommes fut renouvelée et sa fureur décuplée.

Les hommes et les Orks arrivèrent au contact.

Contact de l'acier froid contre sang chaud, contact entre la vie et la mort...

Heigler ressentit en lui l'ardeur du combat, qui lui sortait du ventre par la gorge en un cri sauvage.

Il décapita un ork de son arme et fit exploser la tête d'un autre d'un bolt entre les yeux. Ses hommes plantaient des baïonnettes dans les ventres de peaux vertes hurlants et les finissaient à coup de talons ou de fusil lasers.

Un homme alluma son lance-flammes non loin du lieutenant, lâchant une vague de flammes liquides de cinq mètres de long, grillant quelques orks surpris.

L'air se remplit d'une odeur de porc grillé, et de cris orks et humains, mêlés par la guerre et le sang.

L'homme au lance-flammes explosa en un feu d'artifice qui embrasa l'espace pendant une seconde, envoyant voler tout ce qui était à proximité dans les airs.

Le lieutenant Heigler fit un bond de cinq mètres dans les airs et atterrit sur le bitume, sentant son nez se briser.

Il se releva, tant bien que mal, la main droite plaquée contre son nez ensanglanté, il avait perdu son pistolet bolter.

Il éventra un ork qui s'approchait de son épée et se baissa pour eviter un tir.

Où était son pistolet?

Heigler shoota dans un cadavre pour le dégager et retourna trois orks grillés pour trouver un pistolet laser, mieux que rien.

Il se servit de cette arme pour tirer dans l'œil d'un ork arrivé en hurlant sur lui, brandissant son kikoup', qui fit un saut en arrière en esquissant un râle, couvert par le fracas ambiant.

Le lieutenant fit un rapide comte-rendu de la situation: la moitié des ses hommes étaient morts et il y avait toujours autant d'orks.

Il aperçut le cadavre de son opérateur-vox, le visage en sang, la moitié du bras en moins, il rampa jusqu'à lui, se saisit du télé-vox et le régla sur la fréquence QG:

-Ici Heigler, Zone Beta 6, besoin de renforts!

-Heigler, le barrage Beta 4 à cédé, on vous envoie des gars tout de suite!

-Bien joué !

Heigler raccrocha le télé-vox et tira sur les orks en hurlant, se battant comme un démon, tuant des peaux vertes avec une rage plus terrifiante encore que celle des possédés, abattant des orks puis se jetant la où il pourrait faire plus de dégâts, décapitant, tirant, bousculant sans relâche, sans fatigue.

Mais Heigler n'était pas un possédé ou un démon et un ork lui déchira le bras gauche de sa hache, le projetant a terre.

La vision du lieutenant était limitée par le sang et les larmes qui s'accumulaient, mais il vit l'ork rire en élevant son arme, puis la tête du peau verte exploser, perforée d'un obus a la base du cou.

Il vit l'ork basculer en arrière et s'effondrer d'un bruit sourd tandis qu'un marcheur avançait au rythme des chuintements en tirant des rafales de son autocanon tout en progressant parmi les cadavres.

Il tourna la tête au prix d'un effort et vit des chimères et un leman russ arriver, chenilles hurlantes.

-Les ... Renforts, haleta-t-il Bien... joué...

Il vit des hommes en descendre, puis s'abandonna au néant qui le guettait au fond de lui.

Heigler sentit qu'on le soulevait, puis qu'on le transportait dans un blindé et ce fut le noir.

Modifié par Tekniv
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Mouais...

Déjà : fautes. Fautes, fautes, fautes et encore fautes. Y'a pire, c'est certain, mais tu as un niveau correct, donc on est en droit d'exiger de toi que tu passes de une faute par ligne à une faute toutes les cinq lignes.

Ensuite, sur l'écriture, c'est pas mauvais, mais c'est d'un banal... Je me suis ennuyé tout du long. Rien ressenti, on ne rentre pas dans le personnage réellement. J'avais vaguement une impression de tranchées de 14/18, sans le côté horrible de la chose.

Comprenons-nous bien : tu as un certain niveau (ce qu'on pourrait appeler le niveau "Codex"), mais tu pourrais aller bien plus loin. J'espère que la suite le montrera.

Remarques de style :

Fracas d'un obus.

Corps démembrés.

Cris inhumains.

Je te le déconseille, comme effet de style. Du moins dans un premier temps. Là, c'est vraiment la solution de facilité pour ne pas avoir à décrire. Bah oui, décrire c'est lourd et laborieux, mais ce ne sera pas du délayage, seulement de l'intensification. Il faut te forcer à pousser la situation jusqu'au bout. Dans l'ensemble du texte, le traitement est beaucoup trop cinématographique (le fameux niveau "Codex"), et on n'entre pas ! Souligne, insiste, appuie, qu'on sente la détresse, le courage, la force, l'impact du combat !
La vision du lieutenant etait limitée par le sang et les larmes qui s'accumulaient, mais il vit l'ork rire en élevant son arme, puis la tête de l'ork exploser, perforée d'un obus a la base du cou.
En revanche (pour montrer que je ne suis pas un méchant :wink: ), j'ai bien aimé cette image. En peu de mots, tu montres exactement la bonne image. Mise à part la répétition de "l'ork", la phrase est bien menée et très claire, bravo !

(Cela dit, on reste dans l'esprit "cinéma", attention)

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Bonjour,

Mon humble avis en quelques lignes:

Texte court mais dans l'ensemble plutôt agréable. C'est aéré, facile à lire.

Par contre:

Texte vraiment court, on a à peine le temps de situer l'action que c'est déjà fini. J'ai eu l'impression d'avoir ouvert un bouquin de 1500 pages et d'avoir lu seulement deux paragraphes en plein milieu.

Ca pourrait être la photographie d'un affrontement violent (pléonasme :wink:) quelconque entre impériaux et orks , mais il semblerait que ce soit le début d'une histoire plus longue. On ne retire rien de ce texte au niveau du fond, si ce n'est qu'un lieutenant s'est battu, s'en est pris plein la tête, et est évacué au dernier moment.

La fin ne laisse pas présager une suite. Un point que je trouve important dans un texte, c'est de donner envie de lire la suite. Tu aurais pu essayer de donner envie au lecteur de s'intéresser à ce que va devenir le lieutenant, mais c'est tellement court qu'on apprend rien sur lui (c'est un lieutenant, il s'appelle Heigler, point). Je ne critique pas le manque d'informations (je fais la même chose dans mes textes) mais le manque d'attrait de l'intrigue.

Ca c'est le deuxième point qui m'a fait tilté. L'originalité. J'ai eu l'impression d'ouvrir le codex GI en lisant ton texte. La bataille est assez bien décrite, mais l'affrontement entre GI et orks (Seigneur pourquoi toujours les orks dans TOUT les récits ?) ambiance "Saving private ryan", c'est du déjà vu, encore, encore et encore. Ca ne dérangera pas beaucoup de monde, mais pour quelqu'un qui lit beaucoup de textes sur les forum, je te jure que ce genre d'affrontements on en bouffe six par jours. Ce qui est désagréable, surtout si l'intrigue se limite à une bataille. Ce qui, je l'éspère, ne sera pas le cas de ton texte.

à coté de ça, pas mal de fautes (tu as probablement mal, ou carrémment pas, relu ton texte). Rien de terrible mais c'est assez voyant pour que la lecture en soit troublé.

J'attend la suite, bonne continuation.

Amicalement,

Cyrius

EDIT: damned, Celt m'a devancé

EDIT Celt : Eh ouais, je suis omniscient X-/

Modifié par Celt
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Les autres ont déjà tout dit, mais je vais quand même rajouter un petit point fluffique qui me tient à coeur :

Un lieutenant équipé d'un pistolet bolter et d'une arme énergétique, c'est un peu comme le père noël : on peut y croire mais finalement, ça a peu de chance d'exister. Un pistolet bolter est déjà une arme chère, réservée à une petit élite comme les commissaires et les officiers. Pour ça, il n'est pas inconcevable que le lieutenant Heigler en ait une.

Par contre, une lame énergétique, c'est très cher, et surtout très rare : seuls des nobles très riches, gouverneurs planétaires et officiers très gradés ou influents seront susceptible d'en posséder une. Un simple lieutenant, même s'il l'avait trouvé sur le champ de bataille, se la ferait vite confisquée. Après, pourquoi pas, mais cela mériterait une petite explication je pense !

Après voilà, je pense qu'il y a du potentiel, mais qu'il mériterait un peu de persévérance :wub:

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Un lieutenant équipé d'un pistolet bolter et d'une arme énergétique, c'est un peu comme le père noël : on peut y croire mais finalement, ça a peu de chance d'exister.

Et alors tu crois plus au père noël? Non, mais en fait c'est possible, au niveau codex du moins, après, hein, on peut chipoter le fluff, effectivement...

Alors sinon, pour les fautes je suis désolé mais (attention un peu de mauvaise foi <_< ) mon clavier bugge et tape 3 lettre sur 4, ce qui m'oblige a relire chaque ligne après tape et quand je suis lancé j'y pense plus trop, ce qui fait que , a 1 h du mat', dans le froid, crevé, ben, je relis pas tout.

faut aussi savoir que je n'écris pas sur le même pc que celui ou je poste, j'ai pas le net sur le premier, j'ai eu 5 minutes pour poster et bon, pas plus pour corriger, désolé...

Seigneur pourquoi toujours les orks dans TOUT les récits ?

:lol: beeeeeeen, ch'ais pas c'est L'ennemi par exellence, de base, par défaut, LE mechant...

après en fait c'est parce que mes textes concernent tous la même guerre sur la même planète ( et m*rde, j'ai détruit le suspens...)

je vous jure que je ferais attention la prochaine fois!

et oui, effectivement, il y a une suite...( c'est pour ça que c'est "partie un")

Edit:

Et voila la deuxième partie!

Entre l'homme et le héros

Partie 2

Le lieutenant Heigler avait été rapatrié en quatrième vitesse du bourbier d'où il été revenu avec un bras en moins vers l'hôpital Ste-Lucy, à quelques dizaines de kilomètres de là à bord d'une chimère.

Il faisait partie du flot ininterrompu de soldats qui défilaient sous les yeux des infirmiers et médecins de l'Officio medicae, on avait néanmoins réussi à lui trouver une place entre deux brancards.

De temps à autres, il ouvrait les yeux et baragouinait des mots sans suites, comme s'il se trouvait encore dans la bataille. Les infirmiers l'avaient anesthésiés assez vite, et avaient désinfecté ses plaies pour éviter que son état empire, puis l'avaient laissé dormir.

Le lieutenant voyait des ombres qui bougeaient dans son sommeil, puis les ombres disparaissaient, mais réapparaissaient toujours, elles ne s'arrêtaient jamais de réapparaitre, jamais.

Ses yeux s'ouvrent, un homme, penché au dessus de lui un dossier à la main, il regarde le lieutenant, qui n'entend pas de sons, rien d'autre que l'image. L'homme s'adresse a un infirmier et l'infirmier hoche la tête.

Heigler replonge...

Encore des ombres, sans répit, toujours, elles reviennent, mais elles ne disent rien, Heigler n'entend plus, des ombres silencieuses hantent ses rêves faits de batailles, de morts et de souffrances.

Alors qu'il mène ses soldats a l'assaut, des ombres survolent le champ de bataille...

De nouveau, il ouvre les yeux, cette fois, des gens en blouse blanche ternies se tiennent autours de lui, l'un d'eux lui enfonce une seringue dans l'épaule, il ne la sent presque pas.

Une fois de plus, il retombe dans ses rêves étranges, peuplés d'ombres qui bougent, autour de lui, il se voit, tuant des orks, sans relâche, étrangement, chaque fois qu'il tue un ork, une ombre disparait, comme aspirée par le néant...

Il sent du mouvement autour de lui, instinctivement, il se réveille.

Un médecin du Médicae fait claquer ses doigts près de ses oreilles, mais il n'entend pas le claquement . L'homme secoue la tête et prend un bloc-notes, écrit quelque chose dessus, le retourne et le montre au lieutenant.

"Vous m'entendez?"

Hochement négatif.

Le médecin reprend son bloc et recommence a écrire.

Alors Heigler se rend comte que son bras manquant est froid, il tourne la tête et voit un bras en métal brillant qui débute a hauteur de son épaule.

"Que pensez-vous de votre nouveau bras?"

Hochement positif.

Un dialogue sourd-muet s'engage alors entre le bloc de feuilles et l'homme allongé.

"Vous allez faire au moins un mois de rééducation, vous comprenez que ça va être douloureux?"

hochement positif.

"Souhaitez-vous réentendre?"

Hochement positif.

"La semaine prochaine, on vous refile des oreilles neuves, ça vous va?"

hochement positif.

"bien, dormez, vous avez besoin de sommeil!"

Sur ce, l'homme pose son bloc et s'en va.

Heigler pense qu'il a raison, il vaut mieux dormir.

Il fait toujours les mêmes rêves, mais maintenant, il voit un hangar rempli de gens, des soldats, sur des brancards, pour chaque soldat, il voit une ombre qui flotte un peu au dessus, parfois, l'ombre disparait et des infirmiers arrivent et emportent son corps. Il voit les ombres se débattre avant de disparaitre, il en vient même a penser qu'elles souffrent, qu'elles luttent, avant de retourner au néant.

Quelque jours plus tard, Heigler se redresse et pose ses pieds sur le sol. Cela fait deux semaines qu'il est allongé sur un lit, mais il ne le sait pas, pour lui, le temps est devenu abstrait, il ne voit plus que des rêves et des ombres.

Heigler se rend comte que le hangar qu'il voit en rêve est le centre médical ou il se trouve, il parvient, lorsqu'il se met debout, à voir des ombres, même sans rêver.

Après la pose de ses implants auditifs, Heigler ne dors plus, il ne parvient plus à trouver le sommeil, l'hôpital est trop bruyant après trois semaines dans le silence total et les cris des soldats agonisants sont bientôt son seul environnement; il n'est plus a l'hôpital, il est juste entouré de cris.

Un mois après sa venue au centre medicae, Heigler sait faire de petits mouvement avec son bras, et bouger les doigts. Il commence a apprivoiser ce nouveau membre, froid mais faisant partie de lui.

Dans son sommeil, il entend désormais les ombres crier et gémir quand elles se tordent, il les voit et a pitié d'elles. Il voudrait les aider mais ne peut pas, il est bloqué, incapable de sortir du rêve.

Au matin, un homme est penché au dessus de lui, un officier impérial, à voir ses galons, mais Heigler ne parvient pas à identifier son grade.

"-Theodore Heigler, né sur Valan prima, brillante recrue, promu sergent, puis lieutenant, et enfin, reçoit la médaille pourpre lors de la bataille de la ruche Halian."

Heigler acquiesce, c'est bien lui.

"Vous savez quoi, Théodore, demande l'officier, on l'a gagnée, cette bataille, et c'est en partie grâce a vous!"

Heigler s'en fiche d'avoir aidé a gagner la bataille, sauf si cela lui permet de dormir tranquillement, sans hurlements...

"Ce que le général Hank voudrait vous faire comprendre, dit alors un homme resté dans l'ombre, derrière l'officier, c'est que vous allez rejoindre son escouade."

Ce faisant, l'homme s'approche et s'expose a la vue de Heigler, il est grand, maigre et vêtu simplement d'une robe de bure.

Un aigle impérial barre son crane couturé de cicatrices.

"Mais je manque à tous mes devoirs, s'exclame l'homme en lui tendant la main, je suis le psyker numéro 178, je pense que vous savez des choses intéressantes, lieutenant Heigler!"

Modifié par Tekniv
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  • 2 semaines après...

Je crois que je vais uppper parce que apparemment, y'a plus personne qui lit, et je ne pense pas qu'il n'y ait rien a dire, si c'est pas comme ça qu'on fait dites le moi!

(j'ai pas fait ça pour avoir 5 coms au lieu de 4, mais pour que vous sachiez que j'ai mis la seconde partie...)

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Comme tu as placé ta suite ne edit, personne ne n'en est rendu compte, et donc personne n'a répondu.

Bon, moi je la trouve un peu fade. Toujours en train de tourner autours des rêves, mais c'est tout. Que du nébuleux, rien à se mettre sous la dent.

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Je suis resté en-dehors tout du long.

Tu décris factuellement sans rien expliquer, tu vas beaucoup trop vite (ou du moins les ellipses sont maladroites), j'ai vraiment du mal à m'attacher au personnage.

Tu abuses et surabuses du format "sujet-verbe-complément", ce qui devient très irritant au bout de deux paragraphes. Ah, et on a l'impression que tu viens de découvrir le mot "ombre" et qu'il te faut absolument le caser dans toutes tes phrases... Bof.

En résumé, tu peux mieux faire, et j'espère que tu vas mieux faire. Courage !

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