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Warhammer Forum

Oraphïn l'intrépide


Oraphïn

Messages recommandés

J'ai modifié le chapitre 1. J'ai corrigé les fautes d'orthographes et quelques répétitions. Seulement il en reste encore (des répétitions) Je ne peux toutes les modifier car il faudrait que je retape tout. Sinon, si vous voyez une phote dans le chapitre 1, dites le moi!!!! :innocent: ! Sinon, la suite sûrement mercredi. Je vous promets qu'elle arrivera avant la fin de la semaine.

A+

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Voici la suite tant attendu. Il risque d'y avoir quelques fautes mais n'y prétez pas attention. Je l'ai mise en deux parties pour pas que ce ne soit trop long parce que sur word ça fait cinq pages et surtout parce que je n'ai pas fini le chapitre. :innocent:

La suite:

Chapitre 6

Halder arriva en courant, haletant. Un groupe d’elfes Sylvains le suivaient de près. Ils étaient tachés de sang, trempés jusqu’aux os et horrifiés par la défaite qu’ils avaient reçue. En les voyant arriver comme ça, Hirona se dirigea de suite vers le général. Elle lui demanda :

« Pourquoi revenez-vous en courant ? Où est Oraphïn ?

- Pour être franc envers vous, je n’ai aucune idée de là où il se trouve…

- Comment ça ? Il est partit ? Il s’est fait tuer ? Interrompit Hirona.

- Nous avons perdu la bataille et Oraphïn a décidé de rester en arrière pour nous permettre de partir assez loin, hors de portée des tirs elfes noirs.

- Et vous ne l’avez pas attendu ?

- Je ne pouvais pas. Il me l’a interdit formellement. Mais…

- Il fallait désobéir ! Hurla Hirona

- Je pense qu’il survivra, continua Halder comme si de rien n’était. Il est très fort au combat.

- Ce n’est pas une raison pour le laisser tomber !

- Non, en effet. Si je serais resté, je pense que je l’aurai plus gêné que aidé.

- Oui, mais vous lui auriez fournit une aide !

- Ecoutez-moi. Pourquoi dramatisez-vous ? Il a très bien pu survivre et peut-être qu’il va arriver d’une minute à l’autre.

- Oui mais aussi peut-être qu’il est mort ou encore pire qu’il c’est fait prendre prisonnier !

- La meilleure chose à faire c’est d’aller chercher un guérisseur et d’attendre Oraphïn, intervint Halder.

- Vous avez sûrement raison. Mais il faut faire aussi quelque chose.

- Que voulez-vous faire ? Vous voulez qu’on perde encore plus d’elfes sylvains en allant à l’encontre des elfes noirs ?

- Non, non, dit Hirona gênée. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Il faut que nous appelions du renfort…

- Pour aller les attaquer ? Non mais c’est du délire ! Vous voulez…

- Ne me coupez plus comme ça ! Je n’avez pas fini ma phrase. Je vous rappelle que je suis plus haut gradé que vous et donc que je vous commande.

- Excusez-moi. Je ne voulais pas me montrer impoli.

- Je vous ait fait peur ? Rigola Hirona.

- Heu, un peu.

- Ce n’était pas le but. Bon, bref, passons. Arrêtons nos disputes idiotes. Je disais donc qu’il fallait appeler du renfort au plus vite car si Oraphïn n’a pas résisté, ce qui n’est pas sûr, les elfes noirs vont directement venir ici. Il faut protéger la population au maximum.

- Ne vous en faites pas pour ça, un de nos hommes était à cheval et est allé prévenir le roi. Justement, avant que vous ne m’apostrophiez, j’allais prévenir la population et la faire évacuer pour l’amener ici et peut-être même les amener en Loren.

- Très bien, faites votre travail. »

C’était la première fois que des gouttes avaient coulé de ses yeux. À vrai dire, elle n’avait jamais éprouvé un tel sentiment. Elle le savait et Halder aussi, Oraphïn n’avait pas pu les vaincre. Aucun elfe n’aurai pu en battre autant. Elle en était même arrivée à espéré qu’il soit mort plutôt que fait prisonnier. Elle ne pouvait imaginer toutes les tortures qu’ils lui feraient endurer si jamais il s’était fait capturer. Ça avait été déjà atroce quand ils ne savaient pas qui c’était, mais maintenant, ils lui réserveraient des machines qui le ferait dire qu’Elfiria est maintenant aux elfes noirs. Il fallait qu’elle se batte, user de ses capacités en la magie et à l’arc. Elle-même se sacrifierait s’il le fallait pour défendre les citoyens.

Elle était en plein dans ses pensées quand un elfe, qu’elle reconnue aussitôt, lui demanda de venir car le roi voulait la voir. Elle lui répondit :

« Merci. J’ai une mission à vous demander, si toute fois vous êtes d’accord bien sûr.

- Absolument, je suis entièrement à votre service.

- Très bien. Je sais que vous êtes le meilleur éclaireur…

- Quand même pas, vous exagérez, votre majesté.

- Non, non, je vous assure que c’est tout à fait vrai.

- Si vous le dites. En quoi consiste ma mission ?

- Il faut que vous alliez à l’endroit de la bataille et que vous regardiez si Oraphïn est toujours en vie ou s’il est mort.

- D’accord, sans problème. »

Sur ce, l’éclaireur partit en direction du massacre et elle se dirigea vers le monolithe. Elle demanda qu’on l’actionne et de suite après, une sorte de rideau apparut. Quand on le touchait, on avait une étrange impression, indescriptible. Si jamais quelqu’un se trouvait de l’autre côté, qu’il n’avait jamais vu un monolithe et qu’à ce moment là une main sortait, ça devait lui faire un choc -je peux vous l’assurer. C’est comme si vous voyez une main sortir de l’eau avec pas de corps derrière !!!!!! Bon, passons.

Hirona passa le monolithe, et, à son grand étonnement, ne retrouva pas le paysage normal de la Loren. À la place se trouvait… Un désert d’arbre mort. Le sol était calciné, rempli de cendres, des corps gisaient partout. C’était une vision atroce, pas une trace de sang, tout sauf ça. Il y avait une odeur qui donnait envie de vomir, c’était celle de la mort. Elle n’avait jamais senti ça, mais même si elle aurait par hasard humé cette émanation, elle se serait aperçu que, à c’est endroit, c’était l’odeur naturelle.

Prit de panique, elle se retourna pour apercevoir le monolithe mais à la place se trouvait un énorme rocher. Qu faisait-elle dans cet endroit ? Pourquoi n’était-elle pas atterrie à la Loren ? Qu’est-ce qui avait bien pu se passer en ce lieu horrible ? Où était passé le monolithe qui se trouvait derrière elle ? Plein de questions se posaient dans sa tête dont elle n’avait aucune réponses.

Elle fut tirée de ses pensées par un craquement de branche. Contrairement à Oraphïn, celle-ci avait appris le langage des arbres. C’était assez compliqué mais elle s’y était vite habituée. Beaucoup de gens pense qu’une fois coupés, les arbres ne parlent plus. Et ce n’est pas vrai. La première chose qu’on lui a appris, c’est que, justement, même coupés, les végétaux parlent toujours, mais beaucoup moins. On les entends souvent qui se plaignent à cause de la douleur. Nonobstant, certains donnent des informations à ceux qui en demande par exemple : “avez-vous vu un certain…” Sinon, ils ne sont pas très bavards. Ils perdent le goût de la vie et ne prennent plus plaisir à parler à quiconque passe devant eux.

Un autre bruit. Elle n’avait pas besoin d’avoir l’oreille aux aguets pour distinguer un son car un silence de mort régnait. Non, c’était pire que ça. On n’entendait pas le moindre souffle de vent, pas le moindre animal, pas un bruit. Ça devenait irritant. Comme si l’intrus qui bougeait lui avait lancé un sort de façon qu’elle ne distingue que le son de ses pas. Il fallait qu’elle découvre qui marchait, doucement, mais sans grande discrétion. Ce ne pouvait être un elfe car elle ne l’aurait ouï.

Elle demanda à haute voix :

« Qui est là ?

- Ce serait plutôt à moi de vous demander ça. Vous ne trouvez pas ?

- Non, pas du tout. Je suis très haut placé et donc vous me devez du respect. Même si je ne vous connais pas.

- Qui vous dit que je ne suis pas plus gradé que vous ?

- Ce qui me dit ça, c’est que, le plus important et qui peut me commander c’est le roi. De plus, je suis une elfe.

- En effet. Je me présente : Gradimus Lingoru. Et vous êtes ?

- Je suis Hirona, épouse du seigneur d’Elfiria : Oraphïn. Comment fait-on pour repartir de cet endroit ?

- Dois-je vraiment vous le dire ? Qu’est-ce que vous allez me faire si je ne le vous dit pas ? Me tuer ?

- Je ne suis pas idiote. Je sais très bien que vous êtes la clé, répliqua Hirona.

- Pour sortir d’ici, il faut passer plusieurs épreuves. Suivez-moi. »

Gradimus sortit de derrière un arbre qui était encore en bon état. L’étranger était en fait un homme de grande taille, les cheveux d’un noir absolu, qui en faisait tourner la tête. Il se confondait parfaitement avec la nature, comme s’il avait vécu dans cette terre étrange toute sa vie et, qu’à force, il avait pris les formes de ce monde. Ses yeux étaient tout comme ses cheveux, d’un noir unique. Ses vêtement n’étaient que des petits morceaux, vieux, sales. Tout en marchant, Hirona lui demanda :

« Que c’est-il passé ici ?

- Rien, pourquoi ?

- Tout ces morts !!!!

- Ce ne sont pas des cadavres. C’est naturel.

- Quoi !!!!! Je ne connais pas cet endroit. Est-ce loin la Loren ?

- Hum, la Loren, dites vous. C’est dans le monde de Warhammer, n’est-ce pas ?

- En effet. Pourquoi, nous ne sommes pas dans…

- Non.

- Mais c’est totalement impossible !!

- Détrompez-vous.

- Vous êtes un dingue et vous me racontez des sottises.

- Si vous le dites. »

Au bout de plusieurs minutes, ils arrivèrent devant une grotte. Gradimus lui expliqua qu’à l’intérieur se trouvait une sorte de monstre à laquelle ils livraient bataille depuis fort longtemps.

« Malheureusement, aucun des nôtres n’a réussi à le vaincre et ceux qui se sont échoués ici, comme vous, sont probablement mort puisqu’on ne les a pas revus. Donc, vous avez le choix. Soit vous pénétrez dans ce trou à rats, soit vous décidez de rester avec nous et vous ne repartirez en aucun cas. Si jamais, vous revenez avec la tête de ce monstre, vous pourrez vous en aller. C’est votre choix.

- Eh, arrêtez de me regarder comme ça ou vous n’aurez plus votre tête !!!!!

- Je crois que ce ne sont pas des paroles en l’air. Alors vous rentrez dans cette grotte ou vous restez avec moi.

- Plus tôt crever que de rester planté là sous vos yeux ! Attendez moi ici, je serai là dans une journée tout au plus. »

Elle partit en marchant à une folle allure. Ne plus se retourner, ne plus revoir ces yeux diaboliques. À chaque fois qu’elle y pensait, des frissons parcouraient son dos. Elle avait l’impression que quand il la regardait, il pénétrait dans son âme et en faisait le tour. Si elle était resté plus longtemps devant lui, elle aurait été obligée de lui trancher la tête.

Le sol était humide et le toit était assez bas, l’obligeant à baisser la tête. Son ennemi ne devait pas être très grand. Elle ne voyait pas en quoi il devait faire peur. C’était peut-être la caverne qui les effrayait autant. Certes elle n’était pas très rassurante mais il n’y en avait pas de quoi faire un malheur. « Mais après tout, se dit-elle, moi je vois dans le noir et eux peut-être pas. Ils n’avaient qu’à prendre des torches. »

Elle avait parcouru environ quarante toises quand elle s’aperçue que de l’eau lui arrivait jusqu’à mi-genoux. Le plafond était maintenant assez haut pour qu’un géant passe. C’était étrange, comme si elle avait changé de monde. D’un coup, comme par magie, tout était devenu plus grand. Une petite armée aurai pu circuler sans rompre les rangs.

Voilà qu’elle se laissait prendre à ce qui devait être un piège. C’était sûrement voulu le changement si brusque. C’était pour attirer l’attention afin de la surprendre. En effet, quelques secondes plus tard, une sorte de monstre avait surgis de l’eau, sans faire de bruit. Ce devait sûrement être la créature si redouté par ce minable peuple. D’apparence, elle ne semblait pas si forte mais, quand Hirona commença à l’attaquer, elle s’aperçue que, en fait c’était une ennemie redoutable. D’abord l’eau empêchait de faire de grands mouvements et ensuite, le monstre marin avait une écaille très épaisse.

Le bataille faisait rage. L’ennemi avait beau avoir que des dents pour attaquer et sa queue pour projeter son adversaire au sol, le combat était très sanglant. Au bout d’un certain temps, le combattant adverse rentra dans un trou pour disparaître.

Il fallait qu’elle ramène la tête de cette créature sinon elle ne reverrait jamais Elfiria ni la Loren. Elle trouva l’endroit par où le serpent marin était partit et y plongea à son tour. Le couloir qui menait à la demeure du soi-disant rival des êtres qui vivaient en cet endroit. N’ayant pas vu un rocher qui n’avait rien à faire à cet endroit là, elle se le prit en pleine tête. Malgré tout, elle continua son expédition dangereuse.

Elle commençait à manquer d’air. Elle se dit qu’il fallait mieux qu’elle meure ici plutôt que de faire demi-tour et rester une éternité dans le pays de dingue où elle avait atterri. Quel manque de courtoisie ! Ne pas aider une personne en détresse à moins qu’elle ne tue celui que ne pouvait être tué à cause de sa lâcheté à s’enfuir de préférence à rester affronter quelqu’un qui faisait le poids contre lui.

Soudain juste avant qu’elle ne s’évanouisse, elle sortit la tête de l’eau. Elle inspira une grande bouffée d’air et nagea tant bien que mal jusqu’à la rive. Elle s’allongea sur le sol, épuisée. Elle ne pouvait plus bougé. Elle avait failli y passer et, elle le savait, elle ne pourrait jamais remonter au tunnel avec la tête du gros serpent d’eau sous le bras.

Un bruit, celui d’un corps qu’on frotte sur le sol. Il se rapprochait, de plus en plus fort. Hirona se retourna et aperçu le serpent d’eau qui rampait avec une victime, qui, à priori était encore vivante. Elle dut fixer le spectacle qui s’offrait à elle sans pouvoir détourner les yeux. Ce fut une chose qu’elle n’oublia jamais. La proie s’était maintenant réveillé et hurlait de surprise, s’apercevant qu’elle n’était pas morte et qu’elle allait mourir dévoré vivante. Bientôt ce fut des cris de douleur, les dents du monstre se plantant dans la chair du sang giclait partout. La victime ne pouvait plus bouger mais vivait encore quand le serpent la relâcha. Ce ne fut qu’un quart d’heure plus tard que, enfin, le pauvre innocent mourut en agonisant. Voilà ce qui l’attendrait sûrement si elle était capturée.

Elle trouva un coin sombre et décida de s’y cacher jusqu’à ce qu’elle soit assez forte pour attaquer. Elle s’aperçue que les murs était d’un rouge éclatant. Plus tard elle se rendit compte que c’était du sang séché, celui des victimes, qui mouraient en perdant leur sang.

Au bout d’une heure elle était prête à combattre mais son ennemi ne c’était pas présenté. Ce ne fut que demi-heure plus tard que, enfin, elle attaqua. Elle bénéficia de l’effet de surprise et put asséner un violent coup qui passa sous l’écaille du serpent. La bataille commença. Finalement Hirona l’emporta. Elle trancha la tête à sa proie et s’allongea sur le sol.

Pour ne pas que le sang sèche, elle enleva ses vêtements et les trempa dans l’eau. Ensuite elle nagea dans le lac et se lava. Quand elle ressortit de l’eau, elle crut voir quelqu’un mais s’aperçut que, en fait, c’était la tête du monstre qui bougeait ! Elle savait que si on tranchait la tête de quelqu’un, il remuait mais là quand même ! Quel monde de fous. Sortit de ses rêves, elle se rhabilla et prit le crâne de la bête et la lança dans l’eau. Maintenant qu’elle s’était lavé, elle n’allait tout de même pas se resalir.

Une fois la tête sortit de l’eau, elle chercha un endroit autre que la voie maritime pour accéder au tunnel. Au bout d’une heure, elle trouva enfin un passage qui se trouvait à plusieurs mètres de haut. Elle pensa : « J’espère qu’ils ne veulent pas l’accrocher sur un mur. » Sur ce, elle lança la tête, très haut. Tellement haut qu’elle se cogna au plafond et retombât juste à coté d’Hirona. Elle réessaya et cette fois-ci, réussi à l’envoyer à la sortie. Elle grimpa à son tour.

Au bout de maint effort, elle sortit en fin à l’air libre. Elle trouva Gradimus, assis sur une branche. Elle jeta à terre la tête du serpent et dit :

« Voilà votre minable créature tant redouté.

- Ça ! Mais ce n’est pas la créature que nous redoutons.

- Menteur !

- Ça se voit que vous ne L’avait jamais vu, Lui.

- Qui Lui ?

- Le monstre que nous redoutons tant.

- Écoutez-moi. Je vous ai tué une créature qui gardait Son domaine alors soyez content !

- Bon, suivez-moi. Nous allons en parler avec notre chef. »

Ils partirent à travers la forêt et arrivèrent à ce qui pouvait ressembler à un village. Gradimus demanda à Hirona qu’elle se mette de côté, pour ne pas les déranger. Il revint et lui dit que le chef du village voulait qu’elle batte le Monstre et qu’elle revienne. Pour l’instant, il fallait qu’elle reste là à se reposer. Elle accepta en pensa qu’un peu de repos mental lui ferai du bien.

Elle fut réveillée dans la nuit par un hurlement de terreur qui lui glaça les os. Elle sortit de sa cabane en courant et découvrit un spectacle qui la terrorisa : des monstres s’agitaient au pied d’un colosse de bois, en un mouvement désordonné qui lui était difficile de comprendre. Des échelles furent posés le long de la boule de pailles et de bois et furent bientôt chargés de grappes d’êtres humains. Sous les yeux effarés de tout le village, ils escaladaient ces échelles, poussés à coup de pique par les monstres groupés au bas du colosse et se jetaient les uns après les autres, dans la cage d’osier. Le plus effroyable, sans doute, était leur passivité. Certes, les malheureux hurlaient de peur, comme si leur esprits réalisaient le sort affreux qui les attendait, mais pas un d’un n’avait le moindre mouvement pour se débattre ou tenter de s’échapper. Ensorcelés, sans doute par quelque artifice lancé par le monstre tant redouté par cette population, leur corps ne leur obéissait plus. Ce devait sûrement être des otages de ce monde, ce qui expliquait leur terreur. Dans le concert déchirant, ils tombaient les uns sur les autres, emplissant la boule géante, écrasant ceux qui étaient au fond. Et quand le dernier d’entre eux eu rejoins la prison d’osier, les monstres refermèrent les trappes puis amassèrent à ses pieds une montagne de fagots et de bottes de paille, à laquelle, avec des cris de joie insanes, ils mirent le feu.

Aucun de ceux qui assistèrent à ce spectacle hideux ne purent jamais oublier les hurlements de terreur et les cris de souffrances des prisonniers brûlés vifs dan cette horreur, ni la lueur des flammes montant jusqu’au ciel, ni la rumeur joyeuse de l’armé de monstres, saluant ce bûcher macabre par des chants guerriers et des gesticulations démentes.

*

* *

A +

Modifié par Oraphïn
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Invité zangdar

Houla étrange cette suite, j'attends la suite avec impatience!

si non une petite remarque:

- Eh, arrêtez de me mater comme ça ou vous n?aurez plus votre tête !!!!!

Ne vas pas trop dans le contexte, remplace mater par regarder....

Zangdar

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- Ne me coupez plus comme ça ! Je n’avez pas fini ma phrase. Je vous rappelle que je suis plus haut gradé que vous et donc que je vous commande.

- Excusez-moi. Je ne voulais pas me montrer impoli

Ces deux phrases à retravailler, ca va pas.

Une petite armée aurai

Sinon une bonne ambiance gloque! :innocent:

@+

-= Inxi =-

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Quoi, qu'est-ce qu'il a mon titre ?Et puis, tu as dis gloque, qu'est-ce que ça veux dire. Bon bref, j'ai pas trop compris. De plus, en particulié pour Syb, J'en suis conscient qu'elle n'est pas très réussie. Vous devrait supporter la fin du chapitre. Après ça sera mieux, promis.

A+

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Bon, ça tourne vraiment à la science-fiction par rapport au monde de warhammer. Je ne poserais pas plus de question, mais mettre le mot "warhammer" dans un texte en français est peut-être une mauvaise idée (sauf si le texte est humorisitque ou autre, mais pas sérieux).

Description bonnes, orthographe... suffisant, bref, du bon.

Allons, franchement, disons le: Tu as en partie abandonné le héros plus que bourrin qui te représente et autre. ça, c'est bien. Les personnages secondaires se développent, c'est très bien.

Ce que je reproche, c'est toutes ces batailles où l'on se perd. Imposible de savoir les forces en présence, il y a les abréviations ES vs EN qui ennuient, bref, pas très sérieux. En fait, j'ai l'impression que, d'une seconde à l'autre, Oraphïn gagne ou perd, selon le bon vouloir d'une force supérieur plutôt capricieuse.

Mais j'aurais du mal à t'en dire plus. Et n'oublie pas une chose, je constate que tu t'améliore, alors continue.

Imperator, empereur du néant.

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Eh mon gars faut sortir les dicos ! <_<:ermm: Commencons: Glauque équivalent a morbide, on est dans une ambiance beacoup plus noire et tenebreuse. Et ensuite ton titre

Un Elfe Sylvain très particulié

J'ai vérifié

Un Elfe Sylvain très particulier

@+

-= Inxi, dico vivant :( =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Je suis très gentil et donc, hier soir j'ai un peu bossé et voilà :

Gradimus vint rejoindre Hirona :

« Vous voyez maintenant pourquoi nous voulons absolument se débarrasser de ce monstre !

- Je vous comprend tout à fait. Je ne pouvais mesurer l’ampleur des dégâts car pour vous dire, ce rituel est au-dessus de mon imagination, se justifia Hirona.

- Oui. Ils utilisent la peur comme arme. C’est un peu comme leur nourriture. Plus il y a de personnes qui pleures, qui sont terrifiés, plus ils sont content et leur force augmente.

- Est-ce la première fois qu’ils font ça ? Demanda Hirona.

- Non. Ils l’ont déjà fait lors d’une bataille. Eux contre nous. Vous savez, même les esprits les plus diaboliques ne peuvent imaginer ce… Il n’y a pas de mots pour le caractériser.

- Dans cette guerre… Vous avez perdu ?

- En effet. Nos troupes ont étaient démoralisés et la plupart des braves hommes se sont suicidés. Cela va vous hanter pendant des années mais vous n’avez vu qu’une partie de leurs armes.

- Ils n’utilisent pas que ce… Procédé, machine… Je ne sais pas comment le dire.

- Nous, nous utilisons pour ce terme : cage d’osier. Pour répondre à votre question, ils ont d’autres machines à nous faire peur.

- Laissez moi, je vous prie. Je ne sais plus à quoi penser. Je vous donnerais ma décision demain. »

Sa tête lui tournait. Comment pouvait-on être si cruel ? Une haine soudaine s’empara d’elle. Elle ne pouvait plus fermer es yeux sans apercevoir ces hommes, femmes, enfants qui criaient, mourant soit par asphyxie, pour ceux qui étaient en hauts, soit mourant entassés, soit pris au piège par les flammes et agonisant sous la chaleur pour finir un tas de cendres. Il y en avait certains qui essayaient de sortir et qui périssaient par des lances, sûrement la mort la moins affreuse.

Sa décision fut vite prise. Il valait mieux mourir en héros que mort de peur ou finir par craquer et s’enfoncer une dague dans le coup. Dès l’aube, elle partie chercher Gradimus. Quand elle l’aperçue, elle lui dit sa décision. Il lui dit que c’était la meilleure chose à faire. Il lui appris en suite que quelqu’un, un Haut elfe du monde Warhammer était arrivé et allait bientôt partir pour pourchasser et tuer le Monstre.

L’Haut elfe s’appelait Rijez. Il était aussi déboussolé qu’elle quand elle était arrivée. Il était plutôt sympathique mais un peu timide. Elle lui expliqua rapidement la situation et ils se dirigèrent vers la grotte. Une fois arrivés à l’endroit où le tunnel s’agrandissait, elle tira Rijez de ses rêves.

Ils continuèrent ainsi à marcher sans parler. Chacun était perdu dans sa pensée. Tout se déroulait bien jusqu’à ce qu’ils arrivèrent devant trois grandes portes. Leur hauteur était vertigineuse, environ quinze toises de haut. Il essayèrent de pousser les portes mais en vain. Après les avoir examinées, ils trouvèrent une énigme en elfique. Il y avait inscrit : “Kath ando jemi min tiram atab.”

« Que veut dire cela ? Demanda Hirona.

- J’ai quelques connaissances en langues du vieux elfique, répondit Rijez.

- Très bien.

- Alors, si je traduis, il y a écrit : La clef est là où se divisent les deux autres.

- Quoi ? S’étonna Hirona.

- Il doit s’agir de nombres.

- Je crois en avoir vu. Regardez. Hirona lui montra trois nombres. Sur la première porte y était inscrit un 0 sur la deuxième un 4 et sur la troisième un 8.

- C’est bien beau tout ça mais où est la clef ?

- Je ne pense pas que ce soit une clef à proprement parler mais plutôt de la solution. Puisque dans l’énigme il y a une “clef” et “deux autres”, il y a donc trois éléments pour résoudre le problème. Je suppose que se sont les trois portes ou les trois chiffres qui les ornent. Là où les deux autres se divisent , il s’agit donc peut-être de diviser deux de ces chiffres, l’un par l’autre, et si l’on obtient le troisième, la porte qui lui correspond doit-être la bonne… C’est un jeu d’enfant.

- En effet, comment ni ai je pas pensé plus tôt ?

- Parce que j’ai été plus rapide que vous. Vous n’avez pas trouvé quelque chose qui cloche ?

- Ben, non.

- Alors vous ne réfléchissez pas à l’énigme, ironisa Hirona.

- Non, vu que vous avez tout trouvé, il suffit de passer par la bonne porte.

- Oui, mais vous ne trouvez pas que c’est un peu facile ?

- Je crois que c’est normal. Comme vous me l’avez dit, on meurt tué par le serpent des eaux donc cette porte ne sert à rien., rétorqua Rijez.

- Je ne crois pas que le “boss des boss” mette une grosse créature qui risque de se faire tuer pour ensuite une petite porte de rien du tout.

- En effet, c’est logique.

- De plus si vous réfléchissez, quatre divisé par huit n’est pas égal à zéro, zéro divisé par huit n’est pas égal à quatre et ainsi de suite.

- C’est tout à fait vrai.

- Merci, je sais ce que je dis tout de même.

- Je n’ai jamais dit le contraire, se défendit Rijez.

- Dites moi, si on incline le huit d’un quart, ce n’est pas égal à l’infini dans le vieux elfique ?

- Tout à fait.

- Vous ne voyez rien de spécial ?

- Quatre divisé par l’infini n’est pas égal à zéro.

- Oui mais quatre divisé par zéro fait l’infini !!!!

- Qu’elle brillante réflexion.

- Merci, ce n’était rien. Un enfant de quatre ans aurai pu le faire. »

Rijez se senti rougi. Il était gêné. Lui aurai était incapable de trouver la réponse. Il fallait être très fort en logique. Hirona inclina le huit et la porte s’ouvrit. D’un coup, ce ne fus plus le même paysage. Le tunnel était ornée de torches qui éclairaient le passage. Il n’y avait plus d’eau mais une allée resplendissante. Ils ne pouvaient voir le bout à cause d’un tournant.

Ils s’engouffrèrent dans le souterrain et marchèrent pendant longtemps. Ils finirent par s’arrêter devant une autre porte. Celle-ci n’était pas fermée à clef, on pouvait la passer tranquillement. Nonobstant, ce qui les retint, ce fut le bruit qui émanait de cette entrée. C’était à vous glacer le sang. Plus vous aviez peur, plus le son augmentait. Ils prirent leur courage à deux mains et ouvrirent la porte.

Ils furent pétrifiés. Le spectacle qui s’offrit à eux fut épouvantable. Dans une grande salle se dressait une… Il n’y avait pas de mots pour le qualifier. Ce visage, c’était… Hirona se mit à crier. Comment était-ce possible ?

*

* *

J'espère que je n'aurai pas trop de messages qui me disent que c'est nul. Il faut que je finisse le chapitre et après on n'en reparlera plus.

A + :blink:

Modifié par Oraphïn
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Invité Lexoram

Finalement je trouve que tu t'es assez améliorer sur ton dernier message où il y avait du texte car tu avais régréssé.Maintenant je trouve que tu t'es amélioré surtout reste dans ce style d'écriture car je le trouve bien!!

LEXORAM :blink:

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Moi aussi j'aime bien ce passage qui est plus construit ! Par contre sur la forme il y a des problèmes! Des lettres qui manquent et quelques brèves fautes d'hortographes ! Bon sinon revoies tes maths au passage :blink: ( la passage ou 4/0= infini) Bon sinon c'est tout et je veux lire la suite et vite !

@+

-= Inxi =-

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Merci beaucoup pour vos encouragements. Ca fait du bien des fois. Non, je rigole, vous êtes juste et j'aime bien, d'ailleur c'est grâce à vous que j'ai progréssé. La suite risque de tarder. Les contrôles qui tombent du ciel, l'armée du chaos, les silests. Bref je suis débordé mais j'y travaille alors soyez un peu patient. Quand les contrôles arrêtereons là ça va vite arriver. Quand je serai chez moi pendant les vacaces, j'avancerai mais là je traine .

A+ :clap:

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  • 2 semaines après...

Bonjour à tous. Pour la suite il faudra que vous soyez un peu patient. J'ai beaucoup de choses à faire et de plus, J.R.R Tolkien à mis 11 ans avant de finir le seigneur des anneaux. Certes, je n'ai pas le même niveau que lui et d'après moi, personne ne pourras arriver à la cheville de Tolkien. Je ne veux vexer personne. La plupart des écrivains dans cette section sont de très bons écrivains. Moi, je me base sur L'Auteur le plus fort J.R.R Tolkien. Voilà.

A+ :wub:

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  • 2 semaines après...
il y a de personnes qui pleures, qui sont terrifiés, plus ils sont content et leur force augmente.

Il y a trois fautes dans cette phrase.

Et bien d'autres ailleurs! :lol:

Relis toi.

Bon, d'un autre point de vue, je trouve bizarre que l'elfe, qui est censé être plus intelligent que la moyenne ne résolve pas le premier l'énigme.

Du point de vue syntaxique, je dirais que tu changes de registre de langue de façon bien trop brusque, par exemple: "le boss des boss".

On dirait deux joueurs qui parlent, non pas deux personnes réelles.

Fait attention à transformer la formulation de ton raisonnement lorsque tu le fais dire par tes personnages... :)

Allez, sinon c'est pas mal, continues! Et N'oublies PAS de lire les autres! :lol:

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Bon... Deux ou trois choses, afin d'être en accord avec ma conscience (me taire serait une grave injustice):

- en tout premier, 4/0 donne rien du tout, car absolument aucun chiffre existent sur terre, qui soit multiplié par zéro, ne peut donner 4. En effet, tout chiffre multiplié par zéro donne zéro. Tout ceci afin de te dire que ça ne joue pas (peut-être pour ça que l'elfe n'a pas trouvé...).

- ensuite, il y a un gros problème avec les temps. Je parle précisément de la concordance des temps. En fait, j'ai été particulièrement choqué (à prendre au deuxième degré) par ça:

Ils prirent leur courage à deux mains et ouvrirent la porte.

Ils étaient pétrifiés. Le spectacle qui s’offrait à eux était épouvantable.

Grammaticalement, c'est peut-être, qui sait, correct. Mais, pour moi, il y a, pour utiliser l'expression, vice de forme (je rigole avec l'expression, mais en gros, ça ne va pas vraiment).

En effet, "ils furent pétrifiés" conviendrait beaucoup mieux. Je m'explique:

Nous sommes en pleine action, le coeur aletant! Les héros sont devant la porte, ils ouvrent la porte dans un grincement horrible, notre coeur repart de plus belle, nous sommes aux aboits, au plus haut niveau de suspens et soudain, ils étaient pétrifiés... L'action devient longue, lancinante... S'étale sur la durée. Il faut, au contraire, terminer l'action direct par cette pétrification avant de passer à la description.

Enfin bref...

- enfin, je dirais que l'histoire est tout de même bien, que tu t'améliore (ce qui est vraiment très bien!) et que malgré les erreurs, il y a une bonne tension. Bref, on va bien voir où ça nous ménera. (mais fait attention à la concordance des temps et à ton orthographe...). Peut^-être qu'une relecture plus attentive...

Imperator, qui recommence doucement à lire...

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Merci à tous les deux. Pour Warzazatt, j'aimerai bien en lire + Mais, moi Internet est vraiment très lent. Je te promet que quand j'aurai l'adsl et que je pourrais surfer, je lirai + de texte. J'espère que tu me comprend.

Pour Imperator, je suis d'accord avec toi et je vais corriger cette erreur. La suite risque d'être un peu médiocre car pour les descrtions dans la Loren, je bloque.

A+

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Voici la suite. J'espère qu'elle vous plaira. Il risque d'y avoir des fautes mais je faisais deux choses en même temps.

Même dans ses pires cauchemars, elle n’avait jamais imaginé ce qui se présentait devant elle. C’était elle. Le monstre avait exactement le même visage, les même traits, mais pas le même corps. C’était comme si la bête l’avait calqué. Ce ne pouvait être vrai. Elle était sûrement en plein cauchemar. Même avec la plus grande magie, on ne pouvait réaliser ce prodige.

Ils restèrent ainsi pétrifiés pendant longtemps, jusqu’à ce que, d’un coup, le visage change et devienne celui de Rijez. Hirona cria :

« Il se nourrit de notre peur. Il faut rester tranquille comme si de rien n’était.

- Plus facile à dire qu’à faire, rétorqua Rijez.

- Il faut faire un effort.

- Avez-vous une épée, un sabre, n’importe quoi ?

- Si, tenez. » Hirona lui tendit son beau sabre qui n’avait plus aucune goûte de sang du serpent d’eau.

Bientôt des sortes d’orques arrivèrent. Ce n’était pas la même espèce que sur le monde de warhammer mais ils y ressemblaient. Il y en avait trop. Voyant qu’ils succomberaient sous le nombre, Rijez cria : « Je veux me battre en combat singulier contre votre chef. Si je gagne, vous êtes sous mes ordres mais si je perds, libre à vous de faire de moi ce que vous voulez. » Une voix grave répondit à sa demande : « Si je mets la main sur vous, alors, vous mourrez dans d’atroces souffrances. tes-vous d’accord ? » Pour toute réponse, Rijez hocha la tête.

Le combat éclata. L’ennemi était agile tout comme Rijez. Hirona ne pouvait intervenir dans cette bataille. C’était un spectacle étrange. On aurait dit que deux même personnes s’affrontaient. On ne pouvait plus savoir qui était qui. Pris de panique, Hirona cria le nom de Rijez et celui-ci demanda ce qu’il y avait. Elle ne répondit pas et lui envoya son sabre.

Voyant que le mal allait bientôt triompher, Elle dégaina une flèche, banda l’arc à fond et tira. Elle avait enfin reconnu qui était le bon Rijez. De ce fait elle avait même trouvé le point faible de son ennemi. La flèche traversa le coup de son rival et icelui tituba. Son partenaire en profita pour asséner un coup qui traversa le cœur de son opposant. Une vague de peur se déversa dans le monde entier.

Bientôt, tous les gens eurent leur conscience tranquille. Tout ce qu’ils avaient vu se perdit dans leur mémoire et ils purent enfin dormir sans faire d’horrible cauchemar. La peur des êtres s’était stockée dans cet horrible monstre qui gisait à présent aux pieds du grand vainqueur Rijez. Les sortes d’orques s’agenouillèrent devant les deux inconnus. Voilà, maintenant ils serviraient le bon ordre et feraient régner la paix dans cette planète.

Ils n’eurent pas à faire le retour à pied car les sortes d’orques, qui se révélèrent par la suite être des Jotf, les portèrent sur des sièges. Ils arrivèrent ainsi à la tombée de la nuit au village.

Ils firent donc la fête pendant trois jours, une coutume de ce pays. La bière et l’hydromel coulaient à flot. Des tables furent édifiées dans un grand champs. Plein de monde vînt à ce rendez-vous. Ils allaient finalement être en paix et sûrement pour longtemps. On décora les deux héros avec des fleurs de toutes les couleurs, on les vêtu d’habits de grande qualité et confortable. Ce fut ainsi que se termina la première journée, en fête autour d’un grand feu de joie.

Le deuxième jour, ce fut un grand défilé et des offrandes qui sur-peuplèrent les rues de la petite ville. Les prenant pour des dieux à cause de leur acte, des cadeaux, des bijoux et plein d’autres choses comme des armes de collection leur furent offrit. Toute la journée fut remplie de cadeaux.

Enfin le troisième jour fut plus calme, seulement des spectacles toute la journée. Ils demandèrent un peu à contre cœur où se trouvait le monolithe. À leur grand étonnement, la porte de retour n’était pas pareille que dans le monde de Warhammer. C’était comme un lac mais en plus petit. Net, propre, pas une vague.

Ils firent les adieux et sautèrent dans le monolithe. Ils se retrouvèrent sur Elfiria. Rien n’avait changé depuis le départ d’Hirona. Tout le monde était quasiment à la même place que quand elle était partie. Un Elfe prit la parole :

« Que c’est-il passé ? Pourquoi avez-vous des rubans de fleurs, vous avez fini votre entretien avec le Roi ?

- Non, mon cher. Combien de temps ai-je été absente ?

- Pas plus de cinq secondes.

- Comment ? S’étonna Hirona.

- Oui, cela vous étonne ?

- Pardonnez-moi, j’ai la tête en l’air. Activez-moi le code pour aller en Loren.

- Très bien madame. »

Ils passèrent le monolithe et se retrouvèrent…en Loren. Hirona très étonnée prit la parole :

« Dites moi, je suis devenue folle ou nous avons bel et bien était transportés dans un pays étrange ?

- Je vous rassure, vous n’êtes pas folle.

- Nous y sommes restés cinq jours, n’est-ce pas ?

- Oui et alors ?

- Vous n’écoutez rien à ce qu’on dit ?

- Moi ? Si pourquoi ?

- Nous n’avons été absent que cinq secondes ! Vous ne trouvez pas que c’est un peu illogique ?

- Quoi, qu’est-ce qui est illogique ?

- Vous le faites exprès ?

- Ben, non.

- Vous ne captez donc pas ?

- J’ai une théorie à propos de tout ces évènements. Je pense que dès que nous sommes arrivés sur cette planète, ils ont voulu nous tester et nous n’y sommes restés que quelques secondes. Quoi d’illogique ?

- Vous n’êtes pas si bête après tout. Seulement il y a un défaut, quelque chose qui ne colle pas dans vos propos.

- J’en été sûr. Attention, madame logique entre en jeux, rigola Rijez.

- Comment expliquez vous que nous portons des rubans de fleurs ?

- Aucune idée, et vous avez-vous une proposition ?

- Peut-être une mais nous n’avons aucun moyen pour la prouver.

- Dites quand même.

- Voilà, vu que ce n’est pas le même monde qu’ici, peut-être que le temps passe plus vite.

- Bonne théorie. »

Ils arrivèrent enfin dans le palais où le roi les accueilli. Hirona lui expliqua la situation et le roi lui répondit :

« Ceci n’est pas le plus important pour l’instant. Nous en reparlerons plus tard.

- Tout à fait mais il ne faut pas l’oublier. Des forces ennemis pourraient arriver par les monolithe.

- Je suis d’accord avec vous. Venez, nous allons discuter dans un endroit tranquille. Rijez, que voulez-vous faire ? Demanda le roi.

- J’aimerai bien rentrer en Ulthuan, répondit celui-ci.

- Très bien, on va se charger de vous. »

Hirona et le roi partirent dans un jardin rempli de fleurs. Des arbres d’une beauté incomparable montaient à plusieurs mètres de hauts. On pouvait distinguer des sortes de bancs qui étaient fais pour la plupart de branchages. La pelouse quand à elle était basse, comme si quelqu’un venait juste de la tailler. Il n’y avait aucun bout de bois par terre. Une petite fontaine coulait doucement, sans faire de bruit. Elle devait être ensorcelée car l’eau ne faisait que surgir. Une sorte de petit lac réceptionnait le flot qui giclait de la source. Quelques poissons y trouvaient leur bonheur dans cette eau ni chaude ni froide. Des oiseaux chantaient l’un après l’autre.

Hirona et le roi s’assirent sur un banc. Pendant un long moment, ils ne dirent rien, laissant leur esprit voguer dans ce paysage splendide. Ce fut le roi qui prit en premier la parole :

« Vous savez, pour le monolithe vous n’êtes pas la première à être parti dans un endroit où vous ne voulez pas aller.

- C’est incroyable. Pourquoi, si je puis me permettre, gardez-vous ce secret pour vous ?

- Affoler les gens pour rien ne fais qu’empirer les choses. Une fois qu’ils sont perdus et qu’ils savent que personne n’est sorti vivant d’une telle erreur, ils préfèrent se suicider que d’essayer d’affronter ce qui les empêche de revenir.

- Je vois. Pourquoi avez-vous dit que personne n’était sorti vivant d’une telle erreur ?

- Parce que vous êtes la première à sortir de ce pétrin sans dommage.

- Combien y a t’il eu d’elfes qui se sont perdus dans les couloirs des monolithes ?

- Pas plus d’une dizaine. Cependant, j’ai une explication à tout ça.

- Laquelle ?

- Comme vous le savez sûrement, le chaos est arrivé par une porte qui ressemble fort aux monolithes. On pourrais croire que c’est quasiment pareil avec nos portails.

- Je n’avais pas pensé à cette explication, avoua Hirona.

- Peu de gens le savent.

- Pourrions-nous redouter une attaque ennemie telle que le chaos ?

- Jusqu’à maintenant, je croyais que non. Seulement, avec votre arrivée, je doute. Personne n’avais réussi à revenir donc je croyais que l’on pouvait faire que l’aller et non pas le retour. Mais il ne faut point s’affoler. Voyez-vous, dès que j’ai appris que l’on pouvait se perdre dans les couloirs du monolithe, j’ai de suite appelé mes meilleurs enquêteurs. Après avoir étudié le système du monolithe, ils ont trouvés un moyen de le fermer en cas qu’il s’active sans notre accord.

- Dans ce cas, pourquoi quand je suis sorti de ce monde étrange, personne n’a verrouillé le portail ?

- Nous attendons chaque fois pour voir qui sort.

- Donc, si je comprends bien, à chaque endroit se trouve un elfe qui connaît les risques.

- En effet. Parlons d’Oraphïn, vous voulez bien ?

- Bien sûr, rétorqua Hirona.

- J’ai pour vous un régiment entier d’archers, des grands aigles et des forestiers. Est-ce que cela vous suffit pour défendre Elfiria ?

- Oui, amplement. Merci beaucoup.

- Nous n’avons pas beaucoup de territoires et je tiens à conserver le peu que nous avons. »

Sur ce, Hirona repartie sur Elfiria. À peine était-elle arrivée qu’elle donna ses ordres pour retrouver Oraphïn mais surtout pour éliminer le groupe d’elfes noirs qui se dirigeaient sûrement en ce moment vers l’unique ville de cette île. Si jamais ils arrivaient à faire tomber la “capitale”, ils attaqueraient certainement la Loren.

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Invité Lexoram

je suis tout à fait d'accord avec zangdar et je pourrais rajouter qu'il faut que tu essaies de mettre le moins possible du vocabulaire familier qui ne va pas bien dans ton récit!!!

LEXORAM :(

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