Oraphïn Posté(e) le 26 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 26 février 2004 La suite va bientôt arriver. Désolé pour le retard mais je suis partis en vacance et je n'ai pas pus continuer. J'ai tenu compte de ce que vous m'avez dit et c'est aussi pour ça que je mets du temps. Deplus il a fallu que je m'entende avec Sybérion. Soyez patients! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 27 février 2004 Partager Posté(e) le 27 février 2004 J'ai regroupé tes 2 chapitres qui permettent de mieux suivre, surtoout si tu continues Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 29 février 2004 Auteur Partager Posté(e) le 29 février 2004 Merci Zarathoustra. Heureusement que tu m'as dit ce que tu avait fait parce que j'y comprenais plus rien. J'ai fini le chapitre 3 et je le mettrai sûrement mercredi. Il faut que je me relise pour plus que je fasse que des répétitions. Je vous préviens, elle va être très longue. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 1 mars 2004 Auteur Partager Posté(e) le 1 mars 2004 Voici le chapitre 3 comme promis. J'ai tenu compte de vos conseils au maximum. J'espère qu'elle vous plaira. Il y a des passages un peu vulgaires mais c'est pour me défouler de sur les rédacs de français. La suite: Chapitre 3 En à penne trois semaines, Oraphïn avait déjà réuni son armée pour aller attaquer la forteresse de Yeùrl et les avait déjà formés. Maintenant, il se préparait pour partir le lendemain. Il n’avait pas eu trop de mal à trouver les meilleurs capables de cette tâche. Cela se comprend un peu car les elfes sylvains sont très coopératifs. Dès qu’il leur avait expliqué la cause, tous c’étaient portés volontaires. Il était très content. Dire qu’il allait se venger dans une journée ! Maintenant, il était prêt et sa petite armée l’attendait. Tout le monde avait accepté son plan : dix guerriers faucons allaient avancer puis se partager en deux. Un groupe de cinq attaquera à gauche et l’autre à droite. Pendant ce temps, les dix grands aigles suivront Oraphïn qui ira se poser tout en haut de la forteresse. Il percera le haut du château avec son nouveau sabre. Ensuite, il ira délivrer les prisonniers elfes sylvains, hauts elfes, hommes lézards… Tous sauf leurs ennemis et ceux qui foutront la merde dans la forteresse. Bien-sûr il achèvera volontiers les prisonniers traîtres et qui crieront. Dès qu’il verra Felion, il le prendra et l’achèvera sur place une fois qu’il lui aura dit qui il était et pourquoi il faisait ça. Si, par hasard, un de ces hommes le découvre, il l’apportera tout en haut, là où les grands aigles seront posés et où trois gardes surveilleront. Une fois que tout sera fait, Oraphïn donnera un signal et les guerriers faucons arriveront pour faire diversion. Il repartira avec la tête de Felion et puis la mettra sur la “tombe” de ces parents. Normalement, il ne devrait avoir aucun problème. Pendant son temps libre, il avait préparé sa bannière. Son signe se présentait avec les sept arbres sacrés : le chêne, le bouleau, le saule, le noisetier, l’aulne, le houx et le pommier. Ensuite, il y était dessiné une sorte de lac trouble. Il l’avait mis sur la sienne que lui-même porterait lors de l’attaque. Les meilleurs peintres l’avaient mis sur tous les vêtements. Partout, partout, tout le monde connaîtra bientôt ce signe. Tous ses alliés, tous ses ennemis. Et si par malheur un de ces adversaires ne connaîtrait ce signe, il le verra sûrement avant sa mort. « Mon seigneur, nous n’attendons plus que votre signal, salua un soldat. -En effet, et merci de m’avoir tiré de mon rêve, répondit Oraphïn. Je suis parfois rêveur. Voulez-vous savoir à quoi je rêvais ? -Je ne voudrais pas vous demander trop de choses qui ne me regarde pas. -Non, du tout, mes pensés regardent tout le monde. Mais si, vraiment, cela vous perturbe, je ne vous le dirai point. -À vrai dire, je ne voulais pas me montrait vulgaire et manqué de respect. Vu que cela vous tient à cœur, je vous écouterai volontiers. -Je ne sais pas si je vous l’ai dit mais comportez-vous avec moi comme si je n’étais qu’un de vos amis soldat et n’ayez crainte, je ne vous reprendrai pas car vous paressez bien élevé comme tous les elfes sylvains. Ma pensée portait justement sur la bataille. Je me demandais comment on fera pour descendre tout le monde. D’après un de mes informateurs, Yeùrl serait grand et fort. Puisque vous attendez plus que mon signal, partez et soyez fort. Que Isha vous protège ! » Voilà, maintenant, ils allaient décoller. L’adrénaline montait en eux. Pour l’instant, aucun guerrier faucon n’était mort. Tout allait pour le mieux. Oraphïn monta sur son grand aigle et décolla à tout allure. Il avait suivi un entraînement rude mais qui se révélait efficace. Les dix autres le suivirent et, au bout de très peu de temps, étaient très loin du sol. Le combat des guerriers faucons faisait rage. Les elfes noirs étaient très occupés à faire du “tir au pigeon” et ne les remarquèrent pas. Bientôt ils furent au sommet. Oraphïn se posa en premier et les autres ensuite. Il sortit son sabre spécialement forgé pour cette mission. Un joli sabre. Un très joli sabre. D’une grande qualité et très précis. Avec ça, il trancha le haut du toit. En seulement quelques secondes, une toise de long avait voltigée en l’air. Maintenant, ils pouvaient rentrer sans difficulté. Ils rentrèrent dans un grand appartement luxueux. Ce devait sûrement être celui de Yeùrl. Un elfe sylvain ne se plairait pas dans cette forteresse. Il n’y avait pas un seul arbre ni une seule petite plante. L’appartement se constitué que d’objets sûrement gagnés au cour des batailles ou des pillages. Un grand lit se tassait au fond de la salle, bien fait, propre, comme si personne ni dormait dedans. Seulement quelques piquets ornaient la salle, mais cela ne gâchait rien du tout D’habitude les elfes n’ont pas besoins de confort. La plupart vivaient sur terre, leurs huttes à même le sol, certains même enfouis dans la terre, entre les lisses racines des hêtres. Mais la plupart vivaient à la cime des arbres, juste sous le ciel dans des cabanes qui ne ressemblaient à rien de ce qu’un homme aurait pu considérer comme une habitation. Il n’y avait personne, personne. C’était même plutôt inquiétant. Pas un bruit. Même avec leurs fines oreilles, ils ne percevaient pas le moindre pas, pas la moindre discution, pas le moindre bourdonnement, rien. Peut être étaient-ils tous partis. Non, impossible, il y avait les balistes. Mais pourquoi alors on ne les entendait pas ? Les guerriers faucons étaient-ils donc tous morts ? Il ne devait pas penser à tous ça. Le stress de sa mission le ferait échouer s’il continuait à se poser plein de questions. C’était peut-être de la magie. Il ne fallait pas qu’il s’inquiète. Une fois sortit de ses pensés, il regarda ses compagnons et vu qu’ils étaient aussi rêveur que lui, décida de les tirer de leurs rêves : « Amis, cria Oraphïn, ne vous laissez pas distraire par le silence et par la merveille de cette salle. C’est sûrement ce que veut l’ennemi. Si vous ne voulez pas me suivre alors ne le faites pas mais ne restaient sous aucun prétexte dans cette sale. Alors en avant marche ! » Heureusement, tout le monde le suivit. Une fois passés de l’autre côté de la porte, les bruits revinrent. Alors Oraphïn comprit : grâce à une puissante magie, Yeùrl avait mit en place un coupe bruit. Maintenant un gros problème se posait : où étaient les prisonniers ? Peut-être devront-ils chercher dans toute la forteresse ou devront-ils prendre un otage et lui demander le plan de la forteresse ? En attendant, il ne devait pas rester là planter sans bouger. La troupe commando passa avec souplesse et agilité le long des couloirs. Ils se cachèrent en entendant une troupe passer quand, soudain, les gardes qui passaient se jetèrent sur eux. Ils ne poseraient sûrement pas de problèmes. Au nombre de cinq, Oraphïn et ses compagnons les tueraient facilement. Seulement, les elfes noirs avaient bien prévu leur coup car une horde arriva. Ils les neutralisèrent et les emmenèrent dans les prisons. Maintenant il était bien servit : il était dans la prison. Plus besoin de chercher. De toute façon, au moment où les elfes noirs seront très peu, il en profitera pour les neutraliser et partir avec ses compagnons. Les murs de la prison étaient détériorés, des squelettes servaient de tapisserie. Combien de personnes avaient péris ici, elfes, hommes, hommes-lézards, hommes-bêtes, chaos… Oraphïn ne pouvait les compter. Il y mettrait sûrement des jours et des jours mais il n’avait pas que ça à faire. Il devait préparer son plan. Au bout de deux jours, il n’avait pas encore tenté sa chance. Trop de gardes. Peut-être allait-ils partir ? Ou peut-être pas. Oraphïn était en plein dans ses pensées quand, une horde de gardes arrivèrent. Ils étaient tous armés d’épées, d’arbalètes. Ils étaient tous regroupés autour d’une personne qu’il ne distinguait pas. À priori, cet inconnu devait être dangereux. Sa pensée se confirma sans plus attendre. Le nouveau prisonnier tua deux elfes noirs puis deux autres l’attrapèrent mais volèrent très loin. Il l’aperçut le temps d’une seconde, juste pour voir que c’était une très belle elfe. Cependant, il n’eut pas l’occasion de l’admirer, car, déjà, quelqu’un l’assomma. Ils la jetèrent dans la cellule où il résidait. Elle avait une bosse qui était entrain de former, mais cela ne gâchait point sa beauté. Elle était blonde, ses cheveux étaient lisses, raides, doux au touché. Ses yeux verts clairs, bien formés, ressemblaient à un lynx sauvage. Sa bouche était impeccable, ses dents blanches et on ne pouvait y trouver un seul reste de son dîné, comme si elle n’avait jamais avalé quoi que ce soit. Ses oreilles ne trahissaient pas sa nature d’elfe Sylvain. Ses bras s’étendaient, longs, mince mais tout aussi jolis. Ses mains paraissaient douces sans aucunes égratignures. Ses jambes s’étendaient finement. Au bout d’une petite heure, elle se réveilla en gémissant. Oraphïn engagea tout de suite la parole : « Vous vous sentez mieux ? - Oui, merci, prononça faiblement l’elfe. Qui êtes vous ? - Je suis Oraphïn, seigneur d’Elfiria et je suis venu ici pour libérer les prisonniers mais je me suis fait capturer. Et vous, vous êtes ? - Je m’appelle Hirona qui veut dire traverse la tempête. - Heureux de l’apprendre. Voulez-vous que j’appelle quelqu’un ? - Non mercie. Je pense qu’ils ne vont rien faire de plus. Mercie quand même. - D’où venez-vous ? - Au début j’était en Loren puis on m’a emmené sur votre île et j’ai fais partit d’une mission de repérage. - Vous veniez pour sauver mon précédent commando ? - En effet mais cette forteresse est quasiment imprenable. Nous nous sommes fait prendre à la sortie de l’appartement. - Il faut surtout faire attention à leur magie. Une fois qu’on les connaît et qu’on a le plan dans la tête, elle est facile à infiltrer. Tant que j’y pense, qui était votre chef ? - Pour tout vous dire, nous n’avions pas de chef. Le but était de trouver la prison, de libérer les prisonniers et de partir. Une fois tout en haut, nous aurions prévenu nos compagnons à l’aide d’un cor. - Oui, merci, j’ai compris. » Ils n’eurent pas le temps de finir leur discutions quand quelqu’un appela Oraphïn. Celui-ci ne répondit pas. Les elfes noirs le prirent et lui dirent : « Viens par ici, gros lard, la magicienne te demande. » Hirona ne put s’empêcher de crier une contestation et le premier garde lui donna un coup pour qu’elle se taise. Oraphïn le tua sur place, un coup rapide de la main, bien placée. Les autres lui sautèrent dessus. Il tordit le cou à un, assomma un autre, en fit voler un puis finalement il se fit maîtriser. Il vit Hirona qui le regardait dans un regard qui le complimentait. Une fois dans la cabane de la magicienne, il fut attaché. On le mit sur une chaise qui ne ressemblait à rien. La pièce était étrange. Une très petite table, le mur bombé d’étagères pleines de toiles d’araignes. Aucune plante, tout était fait d’une matière inconnu pour lui. Quand on marchait sur le plancher, celui craquait dans un boucan d’enfer. Une odeur de pourri venait compléter les côtés effrayants de cette pièce. La veille femme s’avança et un son faible sortit de sa bouche : « Comme ça il parait que tu es le nouveau général elfe sylvains ? À, les elfes ne sont plus comme avant, de moins en moins prudents. - T’es bien placée pour le dire. Ce ne sont pas nous les traites elfes noirs. Et puis si tu veux te mesurer à moi, je te mettrai K.O en moins de 5 secondes. - Bon passons… - Merde alors, quand on parle sérieusement voilà que tu disjonctes. Toute pareil… Oraphïn ne termina pas sa phrase. La veille femme avait lancé un sort qui le fit crier de douleur. - Voilà, maintenant tu vas te la fermer. À mon tour : High suloman hiez nasgh bruzume. » Oraphïn fut pris d’un tremblement incontrôlable. Il faiblissait de plus en plus. Il bougeait tellement que les cordes qui le retenaient lâchèrent. Le mage car maintenant il savait ce quelle était sembla ne pas s’en soucier. Peut-être ne l’avait-elle pas vu ? Non, elle l’avait vu et ne bougea pas quand Oraphïn essaya de se lever. Il fit deux pas et tomba, avant même de faire le troisième. La veille femme le regarda s’écrouler, impassible. Au bout d’un petit moment, elle appela les gardes qui arrivèrent aussitôt. Ils l’emmenèrent de nouveau dans sa petite prison. Quand Hirona l’aperçue, elle se précipita sur lui, le retint dans ses bras, le posa doucement sur le sol crade et lui demanda s’il allait bien. Celui-ci ne répondit pas car chaque geste même s’il était quelconque, ouvrir la bouche, cligner des yeux, bouger un doigt lui demandait un effort et une douleur insupportable. Croyant qu’il était dans les pommes, elle l’embrassa sur la bouche et lui posa sa tête sur son ventre. Pour lui répondre, il bougea un doigt et sourit. Contente, elle caressa ses cheveux doux, lisses et toujours bien peigné. « Voilà une belle scène d’amour que je vois là. C’est sûrement la dernière chose de romantique que je vais voir, commenta un jeune homme de l’empire. - L’amour ? répliqua Hirona. Voici un mot qui est inconnu à notre langage. Enfin je comprends ce mot. - Vous n’aviez jamais connu ça avant ? - Non, du tout. Vous savez, je suis encore jeune et je ne me consacré pas à cette activité. - Quel âge avez-vous ? - Oh, à peine 125 ans. Hirona voyant la tête que fit le pauvre homme de l’empire l’étonna. - Pour vous cet âge ci est jeune ? Pour nous, si quelqu’un avait cet âge, ce serait quelqu’un de très très vieux. - Excusez-moi mais on dirait qu’il va mieux. » En effet, pendant qu’ils parlaient, Oraphïn était tombé dans les pommes et maintenant se réveillait. Il put dire ce qu’il avait au pris d’un grand effort, ce qui faillit le refaire chuter dans l’inconscience. Hirona qui avait un peu d’expérience en magie, lui murmura une formule à l’oreille. De suite il se sentit mieux et pu s’asseoir, parler, et marcher à l’aide de quelqu’un. Un jour plus tard, un garde l’appela et le fit venir. Oraphïn fit comme quand on l’avait ramené de chez le mage, et se fit trimbaler jusqu’à une salle de torture. Ce jour là, il souffrit énormément. Je ne vais pas vous raconter les choses affreuses qu’ils lui ont fait faire car je n’en finirai pas. Ce que je peux vous dire c’est que cela dura tous les jours, chaque fois que le soleil se levait. Jusqu’au jour où, alors qu’on se moquait de lui en l’invitant à sa torture quotidienne, le garde tomba raide mort. Les yeux mi-clos, il aperçut un haut elfe : « Qui êtes-vous ? demanda-t-il d’une voie fatiguée. - Je me nomme Sybérion l’éternel, prince d’Ulthuan et de Sybéria. Et, vous êtes ? - Oraphïn, seigneur d’Elfiria. L’île que vous avez offerte aux elfes sylvains. Que faites-vous ici ? - Ravi de vous rencontrer enfin, j’aurais seulement aimé que ce soit en d’autres circonstances. Votre roi a été informé par vos guerriers faucons que vous avez été pris. Il m’a demandé de venir vous sortir de là. De toute façon, il fallait aussi que je vienne discuter avec ce vieux Yeùrl. Voulez-vous venir avec nous? - J’aimerais bien mais ils m’ont administré une sorte de poison qui m’affaiblit. J’étais en simple visite pour libérer des prisonniers et me venger quand les elfes noirs me sont tombés dessus. - Sybille, appela Sybérion, Sybille , tu as pris du sérum de récupération instantanée ? Sybille arriva en courant et lui fila une fiole dans la main. Sybérion l’ouvrit et le donna à Oraphïn. Il le but et se sentit de suite mieux. Maintenant il pouvait marcher et dans quelques minutes pourrait courir. Ils partirent et Hirona les suivit. Le petit groupe marchait maintenant depuis à peu près 10 minutes et cherchaient à présent les prisonniers elfes sylvains d’une certaine Andora. Ils pénétrèrent dans une salle étroite, noire où résidait encore plus de cadavres que dans leur prison. Aucune âme vivante ne s’étendait jusqu’à l’autre porte et tout le monde la traversa sans même faire un seul petit bruit. Ils continuèrent et débouchèrent sur une pièce aussi vide et déserte que l’autre. Cela sentait le piège à con. « Cela ne me dit rien qui vaille, murmura Andora à l’oreille de Sybérion. - Tu as sûrement raison, mais nous ne pouvons pas partir sans les prisonniers. - Ces prisonniers là ? hurla une voie ténébreuse. Aussitôt une dizaine de gardes apparurent avec trois guillotines et Yeùrl surgie comme tout le monde, de nulle part, au milieu de la salle, souriant d’un rire sadique et cruel. Alors, reprit la voie ténébreuse, tu ne t’attendais pas à me voir, pas Syb’, je peux t’appeler Syb n’est-ce pas ? - Yeùrl, libère-les immédiatement ! En position, hurla Sybérion. » Oraphïn enfonça sa dague dans le cœur d’un elfe noir et lança la seconde avec une grande précision sur le capitaine ennemie qui s’écroula, sûrement sans aucune souffrance, son arme plantée dans le cou d’où jaillit une gerbe de sang qui aspergea tout le monde. Pendant ce temps, les quelques gardes elfiques s’étaient jetés sur Sybérion qui s’en débarrassait aisément. Il réussi à se faire un passage vers les guillotines. Quant à Hirona, elle ne se débrouillait pas mal. Il fallait reconnaître qu’elle avait une sacrée bonne expérience. Quelques instants plus tard, tous les gardes gisaient morts, par terre, et l’équipe s’en sortait bien avec seulement quelques égratignures. Maintenant Sybérion avait sauvé deux personnes qui se trouvaient sous la guillotine et lui manquait plus que la troisième : le père d’Andora. Celle-ci avait vu qu’il ne pourrait rien faire pour éviter que du sang ne gicle de ces monstrueuses machines. C’est pourquoi elle lui lança une poche qui contenait à l’intérieur un anneau capable de faire rôtir plusieurs personnes en quelques secondes. Il s’en servit pour carboniser le bourreau qui allait couper la corde. Alors arriva quelques druchii qui n’eurent que trop le temps de voir ce qui se passait car, déjà, une boule de feu jaillit de l’anneau d’O’toukh qui les grilla net. « Yeùrl, demanda Sybérion, où est Yeùrl - Il était là il y a juste une minute, répondit Oraphïn. - Il doit s’être enfuit, le lâche. Occupez-vous des prisonniers, je vais le chercher. » Il partit dans la direction où les gardes avaient fui. Il en rattrapa un et le menaça de le tuer s’il ne lui disait pas où se trouvait Yeùrl. Ce dernier lui dit qu’il devait être dans ses appartements. Pendant ce temps, Oraphïn et Hirona allèrent libérer les autres prisonniers qui hurlaient à mort et où se trouvait les camarades de son expédition qui s’étaient fait prendre eux aussi. Peu après, une voie, probablement celle de Sybérion l’appela lui et Andora. Une fois qu’ils arrivèrent aux appartements, il ne restait plus que Sybérion. Il leur expliqua que quand il était arrivé, un homme-bête et Yeùrl s’y trouvaient. Il avait planté sa dague dans la tête de “l’ami du druchii” mais rien ne s’était passé. C’est pour ça qu’il les avait appelés car il savait très bien qu’il ne résisterait pas longtemps. En entendant le prénom d’Oraphïn, l’homme-bête était partit en courant, de peur. De suite un grand combat éclata entre les deux qui restaient, et c’est alors que le druchii sortit un anneau qui lança une pluie de feu sur le pauvre Sybérion qui, heureusement, portait une armure dragon. Pris de peur et voyant que sa tricherie ne marchait pas, celui-ci préféra prendre la fuite en se transformant en une volée de corbeau. C’est alors qu’ils arrivèrent. Oraphïn comprit de suite qui était l’homme-bête : Felion. Seul lui trépasse à son nom car il connaissait son grand point faible et pourrait le mettre K.O en moins de deux. Il expliqua son histoire à Andora. Soudain Sybérion eut une vision et se précipita vers les grands aigles. Naturellement, il s’était passé quelque chose. Un garde était assommé et un autre se relevait. Il expliqua qu’un homme-bête les avait surpris et leur avait donné un grand coup. Ensuite il avait pris le premier grand aigle et pour une raison inconnue, était tombé dans le vide. Voilà, maintenant tout recommençait à zéro, enfin presque car peut-être que le tueur de ses parents était-il mort ou peut-être avait-il réussi à se redresser juste à temps ? En tout cas, Felion savait maintenant qu’il le poursuivait. C’était sûrement une bonne chose. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 1 mars 2004 Partager Posté(e) le 1 mars 2004 RHO ! Cela ne va pas s'arreter comme ca ! Enfin bon tu fais comme tout le monde! Tu laisses une fin ambigu comme ca tu peux repartir dessus quand tu veux ( c'est ce que j'ai fais ) Bon bah vivement la suite car je suppose que tu vas pas le laisser ainsi. Fais juste attention a l'horto une bonne relecture l'eviterai ! @+ -=Inxi=- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité zangdar Posté(e) le 2 mars 2004 Partager Posté(e) le 2 mars 2004 Bah y à rien à reprocher peut étre quelques tournures de phrases.... Continue comme ca, j'attends la suite avec impatience! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 2 mars 2004 Partager Posté(e) le 2 mars 2004 Alors. J'ai tout lu, mais je trouve la chose un peu simpliste. En effet, tu parles d'une manière détachée, sans rien expliquer que le strict minimum. Ainsi, autant à un moment les guerriers se font emprisonner par les elfes noirs, autant juste après ils peuvent les massacrer comme de rien. Les deux cas étant dans le contexte d'un piège. Tout dans le texte paraît étrange et un peu trop caricatural (ce terme en cache un autre que je n'arrive pas à trouver, alors j'utilise celui-ci, car il me semble assez proche). Bon, la fin est assez peu précise (mais je devais trop fatiguer) et je n'ai pas compris où était l'homme-bête et ce qu'il faisait. Tu l'auras compris, je trouve que l'ensemble est bâclé. Le mieux serait de reprendre le passage en améliorant chaque morceau. Que veux-tu que je te dise sinon ce que je pense? C'est sympathique, mais un peu enfantin, j'ai l'impression que tu t'imagine dans l'histoire et que tu raconte les éléments du scénario brut, sans rien autour (là, j'exagère beaucoup). Voilà quoi. Il me semble qu'il vaudrait mieux revoir le passage (en fait, je crois que tu étrenne un mode d'écriture que tu ne maîtrise pas... Mais je ne peux que constater, j'aurais du mal à vraiment trouver les causes.) Imperator, qui en a marre de ne faire que des critiques négatives et qui espère tout de même aider... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 4 mars 2004 Auteur Partager Posté(e) le 4 mars 2004 Merci. C'est mon premier texte et il faut que je m'abitue. Sinon, je n'ai pas fais trop de répétitions grâce à vous. Soyez juste! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 29 mars 2004 Auteur Partager Posté(e) le 29 mars 2004 Voici la suite : B) Chapitre 4 Une fois arrivées au sol, ils ne trouvèrent pas de cadavres, pas de grands aigles, seul un bout de tissu arraché qui sûrement avait appartenu à Felion était accroché à un arbre. Oraphïn était dégoûté, ce sale traître n’était pas mort mais bel et bien en vie. Il lui faudra sûrement beaucoup de temps pour le retrouver car il pourrait maintenant devenir un nomade et parcourir les terres sans jamais s’arrêter jusqu’à que la mort le surprenne et il faudra encore plus de temps pour qu’on retrouve son corps, s’il en reste encore quelque chose. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’il était sur son île et il avait pris un rendez-vous chez le roi pour lui raconter l’exploit d’Hirona. Tout le monde sur Elfiria la connaissait et la saluait à chaque fois qu’ils la croisaient. Ils aimaient rester des journées entières, appuyés contre un arbre, écoutant les oiseaux chanter, le bruit des feuilles qui bougeaient au vent, et aimaient entendre tout ce qu’ils avaient faillis ne plus jamais voir à cause d’une stupide raison qui l’avait emporté et qui l’avait aveuglé au point de ne pas prendre assez de prudence et d’Elfes pour l’attaque suicide d’une forteresse inconnue où quasiment personne ne connaissait le plan. Souvent ils repensaient à ce qu’avait dit l’homme quand celle-ci l’avait embrasé. Maintenant ils pouvaient dire aux autres que ce qu’ils vivaient était l’amour. Souvent, très souvent, ils partaient la nuit et pendant des jours se baladaient sur l’île sans vraiment savoir où ils allaient, marchant la main dans la main, seuls et sans se reposer à par pour se coucher et observer le ciel étoilé en se tenant l’un contre l’autre. Oraphïn et Hirona passèrent le monolithe et atterrirent dans l’ancien monde, à la Loren. C’était la première fois qu’elle allait voir le roi. Elle ne le connaissait pas encore mais ne tarderait pas à le rencontrer et à faire connaissance. Cependant elle était déjà passée devant le palais de celui qui les gouvernait. Ils n’eurent pas à attendre car dès que la secrétaire le vit, elle le fit rentrer en le saluant et lui dit que depuis qu’il était partit, il lui avait beaucoup manqué. Une fois rentrées dans la salle majestueuse, le roi les embrassa et leur demanda : - Mes chers amis, j’espère que vous allez bien ! - En effet, nous sommes en pleine forme. Voilà, je vous présente ma compagne et sûrement celle qui gouvernera à mes côtés sur la plus belle île : Elfiria. - Ha, comme je suis content pour vous deux. - Vous savez que la race des hommes appelle cela l’amour ? - À, voilà que tu m’apprends quelque chose que malgré mon très long règne, je ne connaissais pas. Votre rencontre c’est fait chez l’elfe noir ? - En effet et je vais, si vous le voulez bien, vous conter l’histoire. - Avec plaisir. Oraphïn lui raconta donc l’histoire avec pleins de gestes et de descriptions pour montrer à quel point la forteresse était terrifiante. Pendant un très long moment il décrivit, fit des allés retours jusqu’à ce qu’il en arrive à son entré dans le palais du roi. Vu que maintenant tout cela leur avait ouvert l’appétit, ils se mirent autour d’une table et mangèrent. Le soleil se levait et voilà qu’enfin leur repas était terminé. Oraphïn et Hirona partirent sur leur île puisque maintenant c’était officiel, ils gouvernaient ensemble l’île. C’était normal, Oraphïn devait faire visiter l’île à Hirona de l’Est à l’Ouest et du Nord au Sud. Cela prit plusieurs jours mais maintenant ils n’étaient pas pressés car ils avaient mis les plus grands enquêteurs sur la trace de Felion et grâce à leur balade quotidienne ils l’avaient oublié et n’y pensaient plus. Les plus grands sculpteurs avaient édifié une belle statue qui les montrait tous les deux et en bas y était gravé : « Voilà les deux plus grands héros qui gouvernent notre île. » Maintenant tout le monde connaissait leur histoire et même en avait fait une chanson et un poème en elfe, le plus joli elfe qui ne se disait pas dans les bois mais dans les poèmes. Pour l’instant ils ne souciaient pas des attaques qu’ils pourraient mener et restaient tranquilles dans leur coin, comme la plus part des elfes sylvains. Bien sûr Hirona prenait des courts quand elle le voulait pour s’améliorer dans son maniement d’arme. Elle avait fait preuve de sa grande souplesse en défendant Elfiria qui avait reçu beaucoup d’elfes noirs en ces derniers temps. Heureusement, il n’y avait eu que très peu de mort car son armée avait utilisé de la magie et des hordes de flèches. Ils avaient eu des Hommes-arbres et des Dryades pour renforcer la défense. Oraphïn se dirigea vert son maître d’arme et le salua. Celui-ci fit de même et lui demanda : « Hirona ne vient-elle pas aujourd’hui ? - Non, elle est allée voir ses parents en Loren, ça faisait longtemps qu’elle ne les avait pas vus. - Oui. Je crois que ça ne lui fera pas de mal. De toute façon, je n’ai presque plus rien à vous apprendre. Vous connaissez tous les coups, tous les enchaînements, il ne vous reste plus que la magie. - Est-ce que ça nous prendra beaucoup de notre temps libre ? - Oui, justement, vous allez devoir prendre des cours du lever du soleil jusqu’au coucher et ça jusqu’à ce que vous ayez les notions de bases. Si vous manquez trop d’entraînements, cela prendra encore plus de temps car il faudra que vous revoyiez les choses que nous aurions dites auparavant. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c’est difficile. Beaucoup de gens ont abandonné. Il faut avoir comme un don pour pouvoir bien réussir sinon il faut s’exercer abondamment. Croyez-vous l’avoir ? - Je ne crois pas mais je suis prêt à laisser tomber mes affaires d’attaque pour pouvoir l’apprendre et je pense qu’Hirona fera de même. - Voilà qui est une bonne parole. Vous commencerez ensemble. » Sur ce, il dégaina sa dague et fit un signe de la tête pour que Oraphïn fasse pareil. Les lames projetaient des étincelles gigantesques, s’entrechoquaient dans des grands bruits. Ils se battaient en duel depuis longtemps sans jamais se fatiguer. Son maître d’arme lança un estoc qui ne fit pas avancer le combat. Bientôt, Oraphïn attaqua d’une grande puissance qui désarma son adversaire. Il mit sa dague sous le coup du perdant et fut ravi. C’était la première fois qu’il le gagnait, preuve qu’il s’était beaucoup amélioré. Pour l’entraînement suivant, c’était le tir à l’arc. Là aussi Oraphïn était très bon, il pouvait toucher une cible en son milieu à plus de 600 mètres. Hirona arriva enfin, rayonnante de joie. Ses parents étaient en pleine forme et étaient contents d’elle pour ce qu’elle était devenue. Ils firent passer un message par leur fille pour Oraphïn comme quoi ils aimeraient bien le rencontrer. Cela le mettait un peu mal à l’aise car il ne savait pas comment s’y prendre. Il préférait que ce soit eux qui viennent car il était très occupé. C’est pourquoi il envoya un messager pour les inviter sur Elfiria. Le maître d’arme expliqua tout ce qu’il avait dit sur la magie quand elle n’était pas là et celle-ci accepta comme il l’avait prévu. « Voici deux anneaux de pouvoir, dit le maître d’arme Valandil. Il y a un pour chacun. - Quels pouvoirs ont-ils ? demanda Oraphïn. - Ce sera à vous de le trouver. Je ne le vous dis pas car selon les personnes qui le porte, il a un pouvoir différent. - Merci Valandil. Est-ce que ces anneaux peuvent nous donner le don de la magie ? - Je crains que non. Cela ne vous servira que pour vous montrer la force de la magie. - Peut-on les essayer maintenant ? - Des fois ça marche du premier coup, des fois il faut un peu s’entraîner. Il faut que vous ayez une grande concentration, après ça viendra à volonté. - Pouvons-nous essayer ? - Bien sûr, suivez-moi. Sur ce il partit en direction d’une maison en bois. Ils ne comprenaient pas pourquoi il fallait qu’ils aillent dans une salle pour s’entraîner. Valandil leur expliqua : « Cette salle est protégée par un puissant sort qui empêche toute magie de sortir d’ici. Comme ça nous ne blesserons personne. Allez, maintenant essayez de faire sortir quelque chose de là. » Au début rien ne se passa, rien ne voulait sortir malgré leurs nombreuses tentatives. C’est seulement quand Valandil leur dit comment il fallait faire pour que peut-être quelque chose sorte, qu’une étincelle jaillit de l’anneau d’Oraphïn. Ils continuèrent à s’exercer pendant une durée indéterminée jusqu’à ce que les parents de Hirona arrivent : « Bonjour, je m’appelle Tiraz, se présenta l’inconnue. Elle avait des yeux verts, des cheveux blonds et une taille normale. Je suppose que vous devez être Oraphïn. - En effet, et vous êtes ? demanda Oraphïn. - C’est ma mère, intervint Hirona. Et là c’est mon père. Elle montra un elfe d’une bonne taille, avec de belles oreilles et des cheveux longs, noirs. - Bonjour, seigneur, je me prénomme Seleli, salua-t-il. - Heureux de vous connaître. Je vous présente Valandil, notre entraîneur. Celui-ci salua les deux nouveaux arrivants. Venez, allons chez nous », dit Oraphïn en se montrant avec Hirona. Pendant tout le trajet, ils parlèrent de leurs exploits. Ils avaient fait le tour de l’île en quelques jours, montrant les belles plages, se baignant parfois, dormant très peu. Tout c’était bien passé. Quand arriva le moment où les parents d’Hirona durent partir, Oraphïn se rappela qu’ils ne s’étaient pas entraînés à la magie : « Valandil va raller, c’est certain. Bon, bref, je pense qu’il nous comprendra quand on lui dira à quel point nous nous sommes amusés. » Sur ce il partit. Heureusement, Valandil avait parfaitement comprit et leur dit que de toute façon, il fallait qu’il leur donne les notions de bases pour pouvoir vraiment se servir de l’anneau. Bientôt il leur apprit les petits sorts que tout mage savait faire. Ils purent ainsi faire sortir des choses qui ressemblaient enfin à des sorts. Il ne leur fallut que quelques mois pour faire avec leur anneau un sort. Oraphïn sortait des éclairs qui tuaient sur le coup un ennemi mais ne faisait rien à un allié. Leur maître d’arme lui dit que c’était un sort qui valait une grande puissance et un grand esprit. Hirona sortit un aigle qui guérissait un allié et rendait un ennemi immobile pendant un certain temps. Valandil leur dit que ces deux sorts marchaient ensembles, ce qui montrait à quel point ils étaient unis. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 29 mars 2004 Partager Posté(e) le 29 mars 2004 Il lui faudra sûrement beaucoup de temps pour le retrouver car il pourrait maintenant devenir un nomade et parcourir les terres sans jamais s’arrêter jusqu’à que la mort le surprenne et il faudra encore plus de temps pour qu’on retrouve son corps, s’il en reste encore quelque chose. ==> Longue, beaucoup trop longue Oraphïn et Hirona partirent sur leur île puisque maintenant c’était officiel, ils gouvernaient ensemble l’île. ==> Attention aux repetitions Voila donc en fait il est assez bizarre, ton texte. En fait il se caracterise par une ecriture simple ponctue par des mots de vocs recherches mais attention quand je dit bizarre c'est pas pejoratif :'( C'est interessant, c'est tout @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Feurnard Posté(e) le 30 mars 2004 Partager Posté(e) le 30 mars 2004 Ben... et moi qui m'attendait à une nouvelle ruse d'elfe noir pour contourner les défenses... tu ne vois pas ? Tant mieux, ça m'évitera de me choper la honte. Inxi a raison et, j'irais plus loin, ne t'a fait paraître que la partie visible de l'iceberg. Regardes plutôt : Tout c’était bien passé. Crois-tu franchement t'autoriser une pareille erreur alors qu'à présent tu manies si bien le français ? Et la ponctuation ? Inxi a donné le meilleur exemple (dommage), mais ça n'est pas un cas isolé. Mais tu t'es franchement beaucoup beaucoup beaucoup amélioré en peu de temps ; si bien que je peux à présent plus me concentrer sur l'histoire. A propos d'ailleurs de la trame... ces rencontres avec le roi, cette manière d'agir inconsciemment... bref, tout cela est-il bien sérieux ? Passe pour le roi mais, au final, j'ai l'impression qu'ils ont totalement oublié leurs fonctions pour ne s'occuper plus que de broutilles. Inviter les parents, se promener sur la plage... si c'est fait exprès, prends ça comme un compliment : c'est totalement réussi. Si par contre tu voulais glorifier encore ton héros, c'est loupé : il perd un peu de son sérieux dans cette suite. A ce propos, que pense-t-il de la disparition de Sybérion ? Est-il donc si obnubilé par... peut-être. Je verrais bien. Maintenant, j'espère que tu as une idée pour la suite et même la fin (si si, une fin). Quelque chose de structuré et d'intelligent (pour le moment, ton texte a ces attributs). Si tu maintiens ces objectifs, sois sûr que je te lirais avec la plus grande attention. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 30 mars 2004 Auteur Partager Posté(e) le 30 mars 2004 Merci beaucoup. Je suis vraiment content, ça m'encourage pour le prochain chapitre. Sinon, vous voulez que je le poste par petits morceaux ou d'un coup ? Feurnard, je l'ai fait exprès. C'est pour qu'il ne plonge pas dans la violence et qu'il se repose un peu. Sinon, l'action arrive au prochain chapt. À + Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 2 avril 2004 Auteur Partager Posté(e) le 2 avril 2004 (modifié) Ne faites pas attention aux fautes car vu que demain c’est les vacances et que je ne suis pas là, je me suis dépêcher pour, par exemple donner la réponse à la question qui troublait tout le monde : Mais que fais tu de Sybérion ?Aussi, je voulais mettre du suspense. Je tenais aussi à vous dire que Arthaer, c’est le surnom pour Oraphïn. En effet, Arthaer veut dire noble seigneur en elfique. Je ne vous fais plus attendre, la suite : Chapitre 5 Ils avaient continué à s’exercer pendant beaucoup de temps. Enfin, ils connaissaient plein de sorts qui étaient de plus en plus fort. Cependant, ils durent arrêter leur entraînement quand ils apprirent que les attaques des elfes noirs devenaient de plus en plus inquiétantes et de plus en plus répétitives. Peut-être avaient-ils finis par découvrir les îles ? Il fallait qu’il se renseigne absolument. Il allait partir quand un elfe sylvain l’appela : « Noble seigneur, venez vite. Nous avons besoin d’aide ! Les elfes noirs nous attaquent avec un bon nombre de troupes. Suivez-moi. » Oraphïn le suivit et était joyeux à l’idée de combattre à nouveau. Certes il ne s’était pas entraîné à l’épée depuis longtemps mais il avait quand même une petite appréhension. Ils arrivèrent enfin à l’endroit où avait lieu la bataille. Le général y assistait comme tout le temps. Il était en plein cœur de ce terrible massacre. Oraphïn ne tarda pas à le rejoindre en donnant de grands coups à qui osait s’interposer. Il lui demanda : « Pensez-vous que nous aurons assez d’elfes ? - Je pense que oui, mais si les ennemis redoublent de force, là nous n’aurons aucune chance. - D’accord. » Ils partirent chacun de leur côté. Bientôt il n’eut presque plus d’ennemis mais aussi de Sylvains. Cela n’était pas bien grave, des renforts arrivaient. Une horde d’archers arrivèrent en premier. Ils décochèrent leurs flèches et un bruit de vêtements déchirés fendit l’air. Toutes les flèches touchèrent leur cible. Il ne restait plus qu’une vingtaine d’elfes noirs mais suffisamment pour se regrouper autour du général. Urion arriva à tuer deux ennemis mais alors qu’il allait en tuer un troisième, une épée s’abattit sur ses côtes. Une douleur le traversa, mais il ne mourut pas dans l’agonie, une épée lui trancha la tête avec une précision et une force incomparable. Du sang gicla et aspergea tout le monde, même ceux qui regardaient le massacre. La rage anima Oraphïn qui lança sa dague en plein dans la poitrine de l’assassin. Celui-ci tituba, tomba, se releva et s’écroula en pleine souffrance. Personne n’avait envie de lui épargner cette mort lente et affreuse. Personne non plus n’osa enlever la dague car il y avait un marre de sang. À la fin du combat, environ 15 minutes après, l’elfe noir n’était toujours pas mort et suppliait qu’on le tue. Au bout d’un certain moment, le noble seigneur s’avança et lui dit : « Sache un truc avant de mourir, n’attaque jamais les trois îles. Vous n’avez aucune chance. » Sur ces mots, il décocha une flèche qui pénétra dans la tête de l’elfe noir. Il y avait peu de chances qu’il ait entendu avant de mourir mais il savait que de toute façon, il l’avait deviné. Pas loin de la bataille se trouvait une rivière. Les survivants en profitèrent pour aller laver leur corps où l’on ne pouvait distinguer plus rien à cause du sang séché. Bientôt le cour d’eau devînt rouge. Plus tard, autour d’un feu animé par la combustion des corps elfes noirs, les prêtres firent une chanson pour rendre hommage à tous les morts d’Elfiria. Dès le lendemain, Oraphïn devra élire un nouveau général. Il n’avait aucune idée sur qui nommer et cela l’embarrassait. Quand il arriva à sa cabane, Hirona lui demanda si ça s’était bien passé. Il lui raconta donc toute l’histoire, puis il alla se coucher avec elle. Sa nuit fut agitée, ce qui ne l’arrangea guère pour le lendemain. Physiquement il était en pleine forme mais il ne savait à quoi penser. Tout c’était passer bien trop vite. Juste avant que le soleil ne se lève, Oraphïn eut une visite de son ami Halder qui l’avait sauvé d’une mort certaine quand ses parents étaient morts. Quand il entra dans leur cabane de bois, les deux elfes ne dormaient pas. Oraphïn l’aperçut en premier : « Halder, c’est toi ? - En effet c’est moi et je suis ravi de te revoir. Si tu veux, je pourrais repasser plus tard. - Non, ce n’est pas la peine. Comment vas-tu ? - En pleine forme. J’ai appris il y a peu de temps que tu était le seigneur de cette île alors je me suis dit : et si j’allais rendre visite à mon bon ami ? - Tu as eu raison de passer me voir. J’ai appris que toi tu n’avais pas pu venir sous mon ordre. - En effet. J’ai demandé à tout pris qu’on me conduise avec toi mais ils m’ont dit que j’étais un bon combattant et que je devais aller sur la défensive. Maintenant, j’ai demandé que l’on me transfère sur Elfiria et ils ont fini par accepter. Je suis sous tes ordres. - Très bien. Je cherchais justement quelqu’un pour devenir général. - Tu voudrais me prendre ? Tu n’as pas vu mes capacités ! - Ne t’en fais pas je vais les voir. J’organise une bataille contre quelques hommes du Chaos que nous avons réussi à capturer. - Mais c’est du suicide ! - Non, je ne vais pas prendre le premier venu, il va d’abord y avoir une petite bataille contre des elfes noirs. Ils ne devraient pas poser problème car tout comme les hommes du Chaos on ne les a pas nourris depuis un certain nombre de temps. « Après, ceux qui seront sélectionnés subiront un test pour voir s’ils savent construire un plan en cas d’extrême urgence. - Bonjour, dit Halder à Hirona qui venait juste de se retourner. - Bonjour à vous, répondit celle-ci. J’ai écouté ce que vous avez tous les deux. Sachez quelque chose, j’ai la plus grande estime pour vous. - Moi de même. Dit moi Oraphïn, quand est-ce que les épreuves vont commencer ? - Dès le lever du soleil, tous les participants doivent se retrouver à l’îlot qui se trouve au centre d’Elfiria. Pourquoi, tu veux te reposer ? - Non merci, c’était juste pour savoir. Est-ce loin d’ici ? - Oh, environ dix toises d’ici. Nous devrions partir maintenant car il faut que j’y sois un peu avant. » Ils galopèrent chacun sur leurs chevaux, à une bonne allure. Enfin ils arrivèrent au point de rendez-vous. Il n’y avait personne. Pendant le trajet, Oraphïn lui avait expliqué la mort atroce du général. Au bout de quelques longues minutes, le soleil se leva, rouge comme les nuages autour. Personne ne fut pas étonné car du sang avait coulé durant la nuit, beaucoup de sang, trop de sang. Une fois qu’il eut expliqué ce qu’ils allaient faire, une fine pluie se mit à tomber. Bientôt on ne vit plus rien car le rideau de brume se fit de plus en plus épais. Cela n’empêcha pas ce qu’il avait prévu. La première épreuve se déroula vite car les elfes noirs étaient très fatigués et avaient très faim. Oraphïn fut mal à l’aise en voyant que presque tout le monde avait réussi à gagner agilement et sans effort la première étape. Malheureusement il n’en fut pas de même pour la deuxième étape qui se révéla beaucoup plus difficile. Malgré la force des hommes du Chaos, un assez grand nombre de participants avait réussi à la passer. Halder faisait partit d’eux. À la troisième étape, beaucoup d’elfes sylvains furent éliminés de l’épreuve. Maintenant, c’était au seigneur de choisir. La chose la plus difficile. C’était là où tout se jouait. Il ne fallait pas faire un mauvais chois, sinon on pourrait le regretter amèrement par la suite. Après grande réflexion et parce qu’il pensait qu’il le méritait, Oraphïn choisit Halder comme nouveau général. Celui-ci alla le remercier après, une fois que tout le monde fut partit : « Merci beaucoup, c’était vraiment très généreux de ta part. - Tu n’as pas à me remercier. J’ai fait mon travail. - Oui, c’est vrai. Dis moi, cette île, ce n’est pas les elfes sylvains qui l’ont conquit ? - Non, en effet. Ce sont les hauts elfes qui l’on gagné. Si tu veux on peut aller voir ce généreux elfe. - Je serai très ravi. » Sur ce, ils partirent, prirent un bateau et traversèrent la mer qui n’était que très agitée. Halder n’avait pas le mal de mer, ce qui était une bonne chose. Le trajet fut de courte durée. Ils abordèrent sur l’île voisine. Il n’y avait pas un bruit. Peut-être les elfes noirs l’avaient prise ? Ils ne tarderaient pas à le savoir. Au bout de quelques toises, ils rencontrèrent enfin quelqu’un… un… haut-elfe ! Ouf, il y avait au moins un survivant. Cependant, il avait une tête de mort, rongée par la tristesse. Oraphïn s’empressa de lui demander ce qui n’allait pas et celui-ci répondu : « C’est notre seigneur. Il est mort. D’après les informations que l’on nous a donné, il aurait disparu en même temps que Yeùrl. - Qui est cette personne ? intervînt Halder. - C’est un elfe noir, l’ennemi juré de Sybérion, répondit Oraphïn. Dite-moi, quand est-il mort ? - Depuis… Je ne sais plus exactement. (Ce qui est normal car les elfes ne voient pas le temps passer.) Ils continuèrent leur route, sans s’arrêter. Un peu avant sixte, ils étaient de nouveau sur Elfiria quand ils tombèrent en plein sur une bataille entre ES et EN. Voilà qui commençait à énerver tout le monde. Cette île normalement était faite pour ceux qui voulaient être tranquille et on ne trouvait que des batailles et des morts sur tous les recoins. Oraphïn, prit d’une rage indescriptible donna des coups à tout ennemis qui se présentait devant lui. Il commençait à pleuvoir de plus en plus fort mais ça ne lavait pas leurs habits remplis de sang. Bientôt, il n’y eut pas assez d’elfes sylvains pour défendre la côte et, le noble seigneur que l’on nommait Arthaer prit une bonne décision : se servir de sa magie. Il plaça son anneau et se concentra. Bientôt un éclair jaune sortit. Il tomba sur tout le monde, sans exception mais ne blessa que ceux qui étaient visés. À son grand étonnement, il vit une autre lumière qui soigna les elfes sylvains et immobilisa les elfes noirs. Hirona venait d’arriver. Malheureusement sa joie fut de courte durée car il aperçut une vague d’ennemi arriver. Comme si cela n’était pas suffisant, une deuxième horde arriva. En voyant qu’il ne restait plus que dix défenseurs, Halder donna l’ordre de se replier. Tout le monde était entrain de partir mais Oraphïn restait jusqu’à ce les survivants soient assez loin pour être hors de porté des assaillants. Une erreur qu’il regretta amèrement. Il était loin d’imaginer qu’ils se regrouperaient autour de lui et qu’ils l’attaqueraient de tous les côtés. D’abord il reçut une flèche d’arbalète en pleine épaule et, avant qu’il ait eu le temps de donner une attaque, il se reçut un coup d’épée en pleine omoplate. De suite après, un autre lança un estoc et puis enfin, il reçut un coup de pommeau en pleine tête. Il tomba sur le sol inondé par la pluie. J’attends vos réponses avec impatience. Modifié le 13 avril 2004 par Oraphïn Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 2 avril 2004 Partager Posté(e) le 2 avril 2004 EN ==> Abreviation mauvaise idée 15 minutes ==> Meme principe 10 toises ==> Idem ES et EN ==> Comme au dessus Voilà sinon c'est pas mal, les histoires se croisent et s'entrecroisent Allez continues ! @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Lexoram Posté(e) le 3 avril 2004 Partager Posté(e) le 3 avril 2004 je trouve que ton texte est un peu simpliste, il y a plein de malentendu, et pour ca, il suffiré que tu relise plusieurs ton texte avant de le publier et tu veré toute ces fautes! sinon l'ensemble et l'histoire du texte estr assez sympathique! continue comme ça ! j'attend la suitez avec impatience! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité simois Posté(e) le 4 avril 2004 Partager Posté(e) le 4 avril 2004 tropo de fotes dortografe mais sinon plein de bonnes choses continue comme sa Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité zangdar Posté(e) le 5 avril 2004 Partager Posté(e) le 5 avril 2004 Pas mal continue Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 13 avril 2004 Auteur Partager Posté(e) le 13 avril 2004 merci beaucoup. Je repose ma question: Voulez-vous que je poste par petits morceaux ou par chapitre? Je sais déjà que pour Inxi c'est d'un coup car tu n'aimes pas les petits morceaux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité zangdar Posté(e) le 14 avril 2004 Partager Posté(e) le 14 avril 2004 Perso je préfére par chapitre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 20 avril 2004 Auteur Partager Posté(e) le 20 avril 2004 B) La suite va bientôt arriver. Je vous demande d'attendre en un peu. J'ai plein d'idées et donc je crois que je vais l'envoyer en 2 morceaux pour éviter trop de lecture à la suite. A+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Lexoram Posté(e) le 21 avril 2004 Partager Posté(e) le 21 avril 2004 franchement je préfère que tu fasse par petits morceaux parce que c'est beaucoup plus facile à lire et surtout beaucoup plus rapide! pour kadra : c'est pas sympa de le démoraliser parce que ce que tu as dit c'est pas très sympatique. Et surtout c'est son choix donc il fait ce qu'il veut et ces remarques là tu peux te les garder pou toi! LEXORAM Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Lexoram Posté(e) le 25 avril 2004 Partager Posté(e) le 25 avril 2004 bon t'es comme Sybérion, tu mets une centaine d'heure pour poster la suite alors que tu la déjà faites!!!!!!! dépêche toi parce que je m'impatiente! LEXORAM Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oraphïn Posté(e) le 27 avril 2004 Auteur Partager Posté(e) le 27 avril 2004 (modifié) Bon, la suite va bientôt arriver. En fait je vais couper le chapitre 6 en 2 Il suffit que je me relise, que je finisse le paragraphe et j'envoie tout ça! Je prends parie. Qu'est-il arrivé à Oraphïn. Je posterai la suite quand j'aurai au moins 2 ou 3 réponses. A+ Modifié le 29 avril 2004 par Oraphïn Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité menestrel_naheulbeuk Posté(e) le 29 avril 2004 Partager Posté(e) le 29 avril 2004 Je n'ai pas tout lu, mais pour l'instant ce récit m'a l'air pluto génial. attention cepandant aux répétitions !!! dans ton premier texte tu dois avoir mis au moin 20 fois le mot "elfe" et 5 fois "agile" sinon il y en a d'autre, mais c'est trop long a écrire ... j'essaiyerai de lire le texte en entier et je te dirai ce que j'en pense Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Lexoram Posté(e) le 2 mai 2004 Partager Posté(e) le 2 mai 2004 bon elle arrive cette suite parce que sinon je vais me mettre à te taper! non je rigole mais dépèche toi! LEXORAM Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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