Un garde dans la nuit

[Pasiphaé]

Salut!

Allez savoir pourquoi, mais j'ai décidé de tenter un peu one shote comme ça, sortie d'on ne sait où! Le style risque d'être pour le moins faible, l'intrigue pauvre... Mais qu'importe! Enchaîner les lettres et les symboles typographique reste agréable en soit...

Et dite vous, en commençant ce texte, que j'en connais al fin aussi bien que vous!

Un garde dans la nuit,

Grimzol se leva a deux heur zéros zéros, l'œil vif et en pleine forme. Il avait toujours été comme ça, et ces études dans l'académie militaire, section balistique, n'avaient pas améliorés les choses. Dehors, la nuit dominait encore, tandis que ça tente gelée était silencieuse... Même si , déjà, le jeune homme sentait qu'une activité fébrile allait brusquement démarrer.

Après s'être préparé, le jeune capitaine sortie et se dirigea vers le transport de commandement de sa compagnie d'artillerie, comme il avait l'habitude de le faire. Là, les cartes tactiques donnait une description de la bataille à venir, dans quelques heurs. Comme d'habitude, la précision incroyable de son armement allait rendre un fière service, permettant à la glorieuse force blindé de prendre l'ennemie de flanc, transformant l'attaque "surprise" ennemie de l'aube en une contre attaque impériale.

Lukas fut lui réveillé par son adjudant, comme d'habitude. Il faut dire qu'un bon officier de division blindé se doit d'être toujours près à une sieste impromptue, histoire de ne pas souffrir parce que des crétins avaient décidé que décidément, sept heur était l'heur idéale pour une offensive.

Partout, les hommes se préparaient, nettoyant leurs armes, ou priant... Ou encore en faisant les fières à bras. Le métier de soldat d'un corps motorisé était risqué, bien que glorieux, et l'officier vétéran savait que ses hommes étaient souvent de jeunes gens un peu tête brulé. Et il le faudrait : cette opération écharde d'acier allait nécessiter de nombreuses fusillade, chose toujours couteuses en homme. Mais enfin, il n'avait pas le choix, car sans cela la ligne d'infanterie se briserait face à l'assaut.

Halder eu un sursaut, comme d'habitude. Cela faisait trois jour qu'il ne dormait pas, ou presque. Trois jours que ces hommes de lignes servaient de cible pour une artillerie ennemie qui semblait près à gaspiller suffisamment d'obus pour les empêcher de dormir. Un soldat lui offrit du café, le cinquième de la journée, alors qu'il n'était que sept heur.

Soudain, les armes ennemies se turent, laissant un silence glaçant recouvrir les soldats à bout de nerf. Mais très vite, ce nom bruit assourdissant laissa place à une clameur plus terrible encore, celle sortie de la gorge de millier de bouches déformés. Le vielle homme soupira. Voila, ça commençait.

Darjan sortie de la chimère, entourés de ces derniers hommes de mains. Par son intervention, l'inquisiteur avait obtenue des informations précieusement au près de ces contactes... Suffisamment pour gagner une belle victoire. Il faudrait certes remplir quelque rapport, mais le plus gros avait été fait.

Il se dit qu'après tout, il pouvait aller se coucher : l'aube pointait déjà, et les soldats allaient se battre. Lui était un garde dans la nuit, il était donc temps de laisser la place aux hauts faits héroïque et guerriers de la garde du jour, la garde impériale.

Pasi, un peu mou comme récit... Mais bon, ce fut un moment agréable^^.

Modifié le 3 avril 2011 par Pasiphaé

[haldu]

Déjà, une remarque très importante: fais attention à l'orthographe. Il y a beaucoup de fautes (presque autant que moi à mes débuts ).

Il y en a une que tu n'arrêtes pas de répéter, et c'est embêtant, car c'est sur un point mot crucial du récit: "heur".

Je cite le Larousse:

Heur n.m. Avoir l'heur de, avoir la chance de.

Heure n.f. Unité de temps (symb. h) valant 3600 secondes, soit 60 minutes, contenue vingt-quatre fois dans un jour.

Et j'arrête ma citation ici, car tous les sens du mot "heure" prennent une colonne entière dans le dictionnaire.

Sinon, pour le fond, je n'ai pas grand chose à commenter, car c'est court. N'oublie pas, la taille conseillée, c'est minimum 1 page Word standard taille 9, et personnellement je préconise 2 pages OpenOffice non modifiées taille 12 (j'ai remarqué que la différence entre ces deux formats était réudite).

Allez, tu feras mieux la prochaine fois

[Celt]

Pasi le retour

Bon, on commence comme toujours par le négatif... Qui n'a pas changé avec le temps, mais tu le sais déjà... L'orthographe, hein Quand même, tu aurais pu passer sur Word/OpenOffice.

Pour le reste, j'aime bien. Il y a un début d'ambiance qui se dégage du texte, comme une potentialité de semi-langueur matinale. Chacun gère ses occupations, mais le tout forme un lent ballet où chacun prend sa plance avant le déchaînement... Le concept me plaît assez. Ca aurait gagné à être plus développé, je trouve. Pas parce que le texte est au yeux de la "loi" trop court (après tout, haldu, un bon texte peut être très court ; il ne faut pas avoir d'a priori ), mais parce que cette idée-là, ce sentiment-là, j'aurais aimé les sentir plus longtemps.

Bonne idée de te dérouiller les doigts, en tout cas. J'espère te revoir un peu plus souvent dans le coin (mais après un passage sous correcteur, hein )

Note pour Haldu :

Un texte n'a pas forcément à faire une taille minimum, hein Regarde donc celui-ci, du Lord Paladin : Rien à y ajouter !

Modifié le 3 avril 2011 par Celt

[haldu]

Je sais qu'un bon texte peut être un texte court J'en ai déjà vu sur ce forum.

C'est juste que je conseille aux débutants une taille minimum, afin qu'ils puissent développer un peu plus leur style et/ou leur histoire.

(Et je ne conseille cette taille que pour les premières publication. Par la suite, je recommande le feeling)