khorgar la flèche bleu.

[kourat]

[left][center][i][size="2"]excuser moi d'avance mais j'ai quel...beaucoup de problème en orthographe et vous prie de m'excuser si cela vous gène durent votre lecture.[/size][/i] [/center][/left]
[center][center][size="3"]La naissance de khorgar la flèche bleu.[/size][size="2"](bonne lecture)[/size][/center][/center]

[size=2]Khorgar était un chef deharde ambitieux. Sa harde avait déjà détruit ou saccagé bon nombre de bourgadesdans l'empire. Ils avaient assiégé de nombreux châteaux Bretonniens et abattude nombreuses armées. L'homme-bête avait même abattu tous les champions que luiavait envoyé les dieux noirs. Sa dernière victoire était le grand champion deKhorne, Bras de Fer, abattu d'un coup de hache dans le crâne. Mais, il voulaitplus, toujours plus. Après avoir passé de nombreuses décennie à massacrer leshommes et les nains, son plus fidèle chaman lui dévoila une vision. Il avaitvu, des bateaux blancs et bleus voguer sur l'océan, de magnifiques toursblanches et une sérénité sans pareil, plongées dans le chaos le plus total.Khorgar interpréta cela comme le message des dieux, l'ultime épreuve avant depouvoir détruire les hommes. Ils se rendirent, lui et sa harde, chez les skavens.c’est hommes-rats répugnants furent d'accord pour leur vendre des bateaux.Khorgar l’ors donna donc presque tous les Trésors qu'il avait amassé aux cours des dix dernières années, non pas avecun certain mépris pour les hommes-rats[/size]

[size=2][/size][color=#330000][font=Arial, sans-serif][size=2]Son Voyage en mer fut longet périlleux, de nombre bateaux de sa harde furent englouti lors de tempêtes etbeaucoup d'autres furent assaillis par des pirates elfes noirs. Khorgar réussià accoster sur l'île de la vision mais,il ne s'attendait pas à ce qu'une armée ne l’attendent. Les troupes de Khorgarchargèrent sans attendre et furent fauchés par les flèches des elfes. Aucunhomme-bête n'atteignit les elfes, mais les chamanes de la harde invoquèrent unemyriade d'insectes qui vinrent bloquer les flèches des hauts elfes dans leursvolées de mort. Les Minotaures furent lâchés à ce moment. Le carnage qui ensuivit fut horrible. Des centaines de hauts elfes furent massacré sans pitié.Seul l'intervention d'un prince elfe sur dragon put renverser la situation. LePrince haut elfe chargea le chef de Harde, qui le combattit durant des heures.Bien que le prince elfe soit plus rapide et mieux entraîné au combat, La sauvagerieet l'instinct permit à Khorgar de vaincre peu à peu le prince. Le chef destribus allait abattre le prince mais un pieu de baliste lui transperça lapoitrine à ce moment exact. La créature démoniaque hurla de douleur et de ragepuits s’effondra. Les hardes qui venaient de perdre leur chef se remirent à sedisputer et les elfes purent les repousser sans plus de résistance.[/size][/font][/color]

[size=2]Les dieux noirs dans leurs immenses bontés offrirent à Khorgar un nouveau don.Ils lui accordèrent une deuxième chance car même si son attaque contre Ulthuanétait une cause perdue. Il leur avait permis de lancer une attaque contre uneforteresse elfe qui ne s'attendait pas à voir des centaines de démons se jetersur elle à l'autre bout de l'île, alors que leur mage leur avait juste annoncerune harde de taille immense. Khorgar se relava alors de sa place de mort,abatit quelques gardes elfes, rallia quelques hommes-bêtes et put repartir. Levoyage de retour fut long, mais ils réussirent à passer. Quand Khorgar revint,son grand chamane fut si surprit qu'il tenta de le tuer mais le chef put senourrit à son aise le soir même de la chair du traître. [/size]

[size=2]L'homme-bête reprit sesméfaits mais il fut renommé, Khorgar La Flèche bleu, car la couleur du pieu quil'avait tué était d'un bleu éclatent tout comme la marque qui part de son fontjusqu'à son torse là où l'on peut voir une énorme cicatrice. L'homme-bête amême réutilisé ce symbole pour sa grande bannière et pour les marques de saharde ce n'est que plus tard que ses troupes remarquèrent que Khorgar avaitchangé. Il était plus calme et faisait des plans plus compliqué, mais une chose dans son comportement étaitidentique; son envie de tuer chaque êtres qui ne se soumettait pas à lui …[/size]


j'espère que cela vous a plus, et j'attend avec impatience vos commentaire positif ou négatif, qui m'aideront de m'améliorer pour des projet futur d'écriture.

merci.

ps (chère modérateur excuser moi car dans ma précipitation habituelle, je n'est lut le règlement ,de cette partie du forum, que APRES avoir écrit le texte.) Modifié le 30 mai 2011 par kourat

[Inxi-Huinzi]

Bon alors dans l'ordre :

D'abord c'est bien que tu es finalement lu ! Dommage que ça n'ait été fait qu'après !! bon alors pour les autres remarques :

1) La forme : Catastrophe Mais je dois rien t'apprendre ! Faut absolument que tu vérifies ton texte et le travail sous un correcteur. Et vérifie aussi les terminaisons des verbes !!

2) Le fond : L'idée est pas mauvaise mais j'espère voir plus. Tu as posé le décor donc maintenant une histoire peut être lancée ! Je te rappelle quand même deux trois trucs :
-Réponds pas à chaque message mais lors des suites
-Corrige tout le temps ce qu'on te fait remarquer
-Fais des passages longs (au moins une page word mais le mieux c'est deux !)

@+
-= Inxi, au boulot ! =-

[Kael]

J'me met à lire dans cette section !

Je soutiens Inxi, et exemple à l'appui :
[quote]Après avoir passer de nombreuse décennie à massacrer les hommes et les nains.[/quote]
[quote]Ils lui accordèrent deuxième chance car même si son attaque contre Ulthuan était une cause perdu.[/quote]

J'ai envie de dire : "Qu'est-ce que c'est les histoires ?"

=> Relis toi : tu as sûrement écrit sur la lancée, modifiant ce que tu voulais précédemment, sans modifier l'architecture initiale de ta phrase.
=> Utilise Word : parce que là, y'a des fautes bêtes, idiotes, et surtout, qui crèvent les yeux. Y'a pas de mal à en faire de temps en temps, mais c'est dommage d'avoir son texte tâché par ces petits trucs
=> Réfléchis au rythme de ton histoire : là, on a une myriade de scènes/batailles/dialogues, en un seul paragraphe, d'un bloc ! Ca va trop vite pour autant de choses ! Faut prendre son teeeeeeee... eeeemps


Dis toi toujours qu'écrire, c'est pas facile. On se met en avant, et c'est par contre très facile pour nous de critiquer. Prends note de ce que dit Inxi, va sur deezer et fais toi une petite heure sur word ! Tu vas faire dodo, tu relis tout ça le lendemain au p'tit déj, tu modifies si tu trouves qu'il y a matière, et tu balances ça !


Fonce, karaté boy ! Fonce !


Kael !

[kourat]

Merci pour vos conseilles, c'est cool. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/laugh.gif[/img]

Bon voila la suite...ou plutôt le commencement ! Bonne lecture ( moins laborieuse si possible)

CHAPITRE 1

Hans s’était réveillé en sueur, la nuit, déjà bien avancée avait jeté un voile de ténèbres sur la pièce. Les meubles qui étaient entourés d’un halo verdâtre du à Morrslieb, projetaient sur les murs d’horribles ombres. Le jeune homme entreprit de se rendormir mais sans pour autant y réussir. Hans ressentait dans l’air comme une tension palpable et surtout une chose: Il n’y avait aucun bruit, alors qu’à cette heure, on pouvait entendre des myriades de sons. Hans inquiété par ce sombre présage se leva. Il mit quelques habits et,juste avant de quitter la pénombre de la pièce pour retrouver la clarté d’une lampe à huile se trouvant dans le couloir, prit son épée. Le contact du fourreau contre sa cuisse le rassura un peu. Il monta un étage sans trop faire de bruit, pour ne pas réveiller ses camarades endormis, puis, une fois arrivé. Il entreprit de monter l’échelle lui permettant d’accéder au toit.La trappe s’ouvrit sans un bruit et une fois de plus, il se retrouva plongé dans la lugubre lumière. Hans observa les alentours quelques instants,avant qu’une main de Titan ne s’abatte sur son épaule et qu’une voie grave ne lui dise:

- Ah, enfin la relève! Hans, surpris ne répondit pas, puis reconnut enfin son interlocuteur. C’était Betreche, un personnage qui avait une demi-tête de plus que tout le monde dans la tour et au moins vingt kilos de plus. Même dans l’étrange clarté que leur apportait la lune maudite, Hans pu apercevoir les traits pareils à un ours que l’homme portait en guise de visage.
- Non, Betreche malheureusement pour toi je ne viens pas prendre la relève, répondit, Hans d’un ton grave.
- Ah dommage, alors tu partageras bien un verre de bière avec ton vieux pote hein ? Pour appuyer sa demande, il lui tendit une choppe pleine d’un liquide qui, sous l’effet de la lune, avait également pris une étrange couleur. Hans prit la chope et trempa ses lèvres dans le liquide qu’il se mit à boire avec avidité. Beteche qui c’était accoudé à la rambarde finit d’ingurgiter sa bière d’un trait avant d’émettre un rot extrêmement bruyant.
- Ça fait du bien par ou ça passe, dit-il en faisant un large mouvement de tête en direction de Hans qui approuva de la même manière.
- Au-fait n’aurais-tu pas remarqué quelque chose d’étrange ? Dit Hans.
- Si, les bestioles, elles font pas de bruit mais bon c’est normal…enfin je crois. C’est pas à cause de la lune? Ce soir elle est pleine et avis personnel, je ferais bien comme les bestioles. Hans venait juste de le remarquer la lune était effectivement pleine et d’habitude, les habitants se terraient les soirs comme celui-là.
- Tu as surement raison Betreche mais je ne suis pas rassuré pour autant. J’ai même un mauvais pressentiment…
- Tu as toujours des mauvais pressentiments, avant de venir faire ton service de garde, pendant les parties de chasses. Que veux que je te dise de plus. Betreche allait continuer mais la trappe menant à la tour s’ouvrit et un personnage barbu se mit à hurler.
- Eh, c’est pas bientôt finit votre jeux là, y a des gens qui voudrait…Il ne put terminer sa phrase car une femme ailée lui arracha la tête d’un coup de griffe qui parait ses mains. Hans éberlué resta sur place alors que l’étrange femme arrivait droit sur lui. Il pouvait bien l’apercevoir désormais. Son corps ferme était féminin jusqu’aux bas du torse, après cela il y avait deux jambes recouvertes de poils hirsutes et épais. Ses bras fins et gracieux étaient quant à eux se terminaient par des mains aux griffes acérées et son visage qui était magnifique contrastait avec la haine palpable qui émanait d’elle. La harpie allait entamer son étreinte mortel sur Hans, avant qu’un carreau d’arbalète ne la cueille en pleins visage et ne l’envoie par-dessus le mur de la tour avant que son corps n’émette un craquement hideux en atterrissant.
- T’attend quoi ? Va te mettre à l’abri. Les mots atteignirent Hans avec la puissance d’un boulet de canon. Il se mit à courir vers la trappe encore ouverte. Apres que Hans soit passé par la trappe un cri strident retenti et un bruit sourd le suivit. Quelques secondes après un millier de cris répondirent à l’appelle de la femme de cauchemar. Betreche sauta à l’intérieur qui se réceptionnant maladroitement sur ses jambes, s’étala de tout son long sur le sol. Hans, voyant son ami sain et sauf referma la trappe et la bloqua rapidement. Lorsque Betreche se releva il ne prononça qu’un seul mot. Un mot qui empli le cœur de Hans de terreur et son esprit de cauchemar.
- Hommes-bêtes… . Un mugissement lointain se fit entendre, porteur de morts et de sacrilèges.


Déjà, dans la tour, tout le monde était réveillé et sur le qui-vive.Les fenêtres avait rapidement été fermé et chaque garde avait déjà atteint son poste. Le silence était revenu, tout le monde dans la tour pouvait ressentir la tension émanant de l’extérieur. Les hommes était calme même si certains signes de stresse pouvaient se faire ressentir. Hans, comme on lui avait expliqué était posté dans le second étage de la tour. Il avait déjà entendu parler des hommes-bêtes mais il n’en n’avait jamais vu. Il savait qu’ils étaient tout ce qui il y avait de mal dans le monde. Les Hardes comme on les nommait pouvaient faire des ravages si des chefs puissants et rusés étaient à leur tête. Hans,apeuré a l’idée d’en affronter, se mit à penser à autre chose. Son attention fut toute fois retenue par un petit interstice dans le mur. Il n’était pas plus grand qu’un dois mais assez large pour pouvoir y voir clairement. Sa curiosité piquée à vif, il entreprit d’y plaqué son œil. Il regretta amèrement son acte; dans la petite clairière qui entourait la tour, des centaines de bêtes bipèdes avançaient rapidement vers la tour. Ces bêtes étaient recouvertes de poils jusqu’aux torse à la manière des harpies. Le haut par contre était masculin et extrêmement musclé. Les bras des bêtes se finissaient par des mains puissantes qui, pour chaque bête, possédaient une arme. Les têtes étaient animales, ce détails donna un haut le cœur à Hans. Il pouvait apercevoir des têtes bovines, de boucs et d’autres animaux des forets ou des montagnes. Un autre détail reteint son attention ; dans cette marée chaotique de brun et d’acier, une couleur et un symbole ressortait. Une flèche bleue : Chaque homme-bête en portait une sur son front et parfois sur son bouclier. Toute indiquaient une seule direction : La tour.


La harde avançait vite et, en très peu de temps un nombre incalculable de bêtes se pressaient contre la tour. Malheur, à celles qui tombaient car elles étaient alors piétinée pars leurs congénères. Celles qui avaient atteint la porte la frappaient avec main et sabot, utilisant également leur arme pour la détruire. Quelques minutes après la porte vola en éclat.


Betreche tenait fermement sa hallebarde. Lui et les autres, qui se trouvaient à cet étage, savaient ce qu’ils devaient faire. La Harde arrivait toute de griffes et de crocs. Les gardes reçurent le choc de plein fouet. La masse ennemie les déstabilisa, certains se retrouvèrent par terre mais d’autre toujours debout lutaient. L’acier et le fer se rencontraient, les griffes tranchaient, le sang giclait. Betreche combattait toujours. Il avait réussi à se dégager un peu d’espace et abattait bon nombre d’ennemi.Il reçut un coup violent juste sous la nuque, sa vision se brouilla, il tomba à terre, se retrouvant aux milieux d’une marée de ténèbres.

Hans écoutait, il entendait avec angoisse ces compagnons mourir à l’étage inférieur. Il voulut s’enfuir, la terreur le tenaillait mais il ne pouvait pas partir, la seule sortie se trouvait en bas. Les premiers hommes-bêtes apparurent au bout du couloir. Hans fit volte-face et courut, jusqu’à trouver un placard et s’y enferma. Les hommes-bêtes passèrent à côté du placard sans y prêter attention. Il attendit, longtemps. Durant ce temps il entendit tour à tour ces camarades mourir. Le jour pointa de long heures après, Hans qui sen rendit compte en regardent sous la porte sorti. Il savait que les hommes-bêtes ne rester pas sur les lieus de leur attaquent et remporter leur prise dans la forêt. Hans redevenus serin descendit à l’étage, l’odeur faille le faire vomir, un mélange de sang et de charogne. La porte qui avait volé en éclat était éparpillé un peu partout. Hans voyant le soleil a de l’autre coter de la salle se précipita dehors. La peur, lui sauta dessus au moment où il découvrit un campement juste devant la tour. Des centaines de tentes étaient installé. Hans tomba à genou et se mit à vomir, tenailler par une angoisse lacèrent.

Les hommes-bêtes qui avaient remarqué l’intrus sur leur nouveau terrain de jeu, se jetèrent sur lui. L’agrippent au bras et aux jambes. Il ne se débâtit pas, résigner il se laissa porter jusqu'à une tente particulièrement grande. Hans se fit projeter à l’intérieur, roulent dans la boue et les déjections. Il releva les têtes et vit son bourreau. Grand d'une tête de plus que tous les autres. Il avait une musculature irréaliste, son torse était grand et muscler.Son crâne était saillie par quatre puissante corne deux qui partaient droit vers l’arrière et deux enrouler comme celles d’un bouc. Sur son front, Hans put apercevoir une flèche d’un bleu éclatent nimber d’une aura de ténèbres. La bête leva une hache grande comme Hans sen penne d’une main. Il l’abatis sur le coup de Hans, la douleur fut vive et la mort rapide. L’homme-bête sorti en brandissent son nouveau trophée et tous les hommes bêtes aux alentour se mir à brailler en cœur. Khorgar leur répondit d’un brame qui fit trembler la foret de peur.

Comme avant tout conseille est le bien venu. Modifié le 3 juillet 2011 par kourat

[haldu]

Bon, déjà, surtout sur la fin, il y a pas mal de fautes.
Et SURTOUT, SURTOUT, SURTOUT, pense à utiliser la touche "espace"! Parceque là, ça gêne vraiment la lecture. Pour moi, c'est simple: ça m'a empêché d'apprécier le texte, alors que j'ai entraperçu un fond qui méritait l'attention! Modifié le 12 juin 2011 par haldu

[kourat]

Désolé pour les espaces, quand je copie de Word et colle ici sa fait de temps à autre [size="3"]ça[/size]. vraiment désolé "haldu" mais merci de me l'avoir fais remarquer. En tout cas c'est modifié donc il ne devrait plus y avoir de problèmes... sauf pour l'horto.

[color="green"][b]EDIT Celt :[/b] Si tu commençais par mettre des majuscules, ce serait déjà un bon point... Et ça ce n'est pas de l'ortho, mais du respect des lecteurs ! [/color] Modifié le 22 juin 2011 par kourat

[Inxi-Huinzi]

[quote]bien un [b]ver [/b]de bière avec ton vieux pote hein ? Pour appuyer sa demande[/quote]

Hop, je te quote une de tes plus grosses fautes !! Celle là aurait dû être vue !! Sinon dans l’ensemble l'idée est bonne : Le rythme est également bien dosé, sans trop de blabla avec juste ce qu'il fait d'action ! J'aurais quand même plus détaillé le moment de l'assaut car ça fait vite fait là !

Voyons comment sera la suite

@+
-= Inxi =-