The inflitraitor Posté(e) le 27 mai 2011 Partager Posté(e) le 27 mai 2011 (modifié) [font="Arial"][size="2"][i]C'est un vieux texte que je propose pour commencer, mais je l'aime bien alors je l'ai corrigé du mieux que j'ai pu pour vous le faire lire.[/i][/size][/font][u] [/u] [font="Times New Roman"] [b][u][size="4"]« Troisième force »[/size][/u][/b] « [i]Mort ! Mort ! Par le feu brûle l'hérétique ! [/i]» Le peloton d'infanterie Ephésien chargea la position des insurgés dans une cacophonie de cris de haine, leurs fusils lasers déchirant les barricades de bois rudimentaires. La langue d'un lance-flammes illumina le petit matin avant de s'approcher implacablement. Mais pour toute réponse, les rebelles de « Renaissance impériale » firent feu de leurs armes : de primitives armes à balles. La grêle furieuse des rafales fit taire les slogans rageurs et plusieurs silhouettes épaisses tombèrent des rangs. Vincius et sa sœur Lepida lancèrent des regards inquiets vers les Cadiens lorsque la troupe de répression soutint sa marche, bientôt rejointe par un blindé dont on entendait déjà les moteurs. Mais le lieutenant Sertorius lança une simple injonction aux miliciens : « Feu à volonté, tenez la position, n'utilisez les grenades qu'à moins de vingt mètres ! » Les hommes et femmes qu'il encadrait avaient la foi et étaient plus de cinquante parqués dans cette cour de ferme abandonnée, mais ils n'étaient pas soldats, leur entraînement était sommaire, aussi sommaire que leur armement : au mieux des mitraillettes, déclassées et bruyantes, au pire de simples fusils et carabines. Murmurant une courte litanie à l'Empereur, Sertorius visa le groupe de son bolter ouvragé, une rafale faucha trois soldats, perçant sans difficulté les lourds gilets pare-balles, faisant jaillir chairs et sang. Il savait qu'il devait économiser ses cartouches ; la relève ne viendrait certainement pas tout de suite, ni même dans une semaine, et le régime de la croisade avait envoyé, dit on, des renforts blindés mater l'insurrection des paysans. Ephèse avait toujours connu des troubles civils ; mais cette fois, une des nombreuses factions paramilitaires, profitant du désordre et de la négligence des anciennes autorités, avait tiré son épingle du petit jeu des guerres internes et renversé la dynastie légitime du seigneur gouverneur Vallorius. La « croisade morale Ephésienne » se voulait un régime d'ordre et de pureté, et contrôlait à présent une puissante armée très bien dotée en chars, en hélicoptères et en artillerie. Pour Sertorius, ces exaltés représentaient tout sauf l'ordre : la « croisade morale » au pouvoir, c'était au contraire le règne de l'arbitraire. Si vous ne respectiez pas les lois religieuses, vous étiez mort ou mutilé, la définition de l'hérésie et de l'apostasie s'étendant à toute parole ou acte s'opposant de près ou de loin à la faction au pouvoir. Sertorius était garde impérial, il ne savait que trop bien ce qu'étaient l'ordre et la discipline, et cette farce ponctuée de bûchers et de chasse aux sorcières ne l'était pas. Le peloton s'était rapproché et marchait en rang serré à présent, un tir de lance-flammes incendia une meule de foin, produisant un écran de fumée noire et grasse. Leur avance était à présent dissimulée, mais Sertorius savait parfaitement comment réagir : « mitrailleuses, feu à volonté ! » Les servants des rustiques armes lourdes, bien dissimulés derrière des amas de bois et de tôle délivrèrent un tir nourri, et en quelques instants, il ne resta plus rien du peloton de répression. Mais la liesse des rebelles ne fut que de courte durée car le grondement caractéristique des moteurs et les gémissements des patins de chenille indiquaient clairement l'approche tant redoutée des chars du régime. Sertorius enclencha sans faiblir le mécanisme de son lance grenade de bolter : il bénissait mille fois le jour où les frères marines de la Raven Guard lui avaient fait cadeau de cette arme si belle et si puissante, un objet de maître aux reflets argentés et aux reliefs imitant les plumes d'une aile crébine. Ce jour là, ils n'étaient plus guère que huit gardes vétérans à se voir octroyer cet honneur, suite à la purge de Vaàr-Nolgis. Puis il ajusta son communicateur : « armes lourdes, parées à faire feu! » Depuis les toits éventrés des bâtiments, les équipages cadiens embusqués orientèrent leurs lance-missiles, et le semi-chenillé qui accompagnait le peloton de répression fut le premier à faire les frais de l'adresse des tireurs de la Garde Impériale. Mais le mur de la ferme voisine ploya sous une masse énorme avant d'être perforé par un canon de gros calibre, l'ennemi avait utilisé le terrain pour avancer ! « Les fusils antichars, feu, feu ! s'époumona Sertorius », mais il tira une grenade avant même d'avoir fini de prononcer son ordre. Des révoltés passèrent au premier rang avec de longues armes tubulaires ressemblant à de grandes carabines, fichées à leur extrémité d'une grenade bulbeuse. Le char explosa en une fleur de feu brillant, le lieutenant avait visé le redoutable lance flammes de coque, car il savait parfaitement que si ces machines de fabrication locale, si elles étaient la terreur des fantassins insurgés, n'étaient certainement des tanks « adeptus » et avaient leurs défauts de cuirasse. Une clameur monta dans les rangs serrés de la « renaissance impériale », mais Sertorius se jeta immédiatement à terre. Il avait entendu des détonations lointaines typiques et avant qu'il puisse crier quoique ce soit, une salve d'obus laboura le champ de bataille ; un milicien qui levait les bras en signe de victoire fut éjecté comme un pantin désarticulé et un autre fut couché, se recroquevillant dans son sang. Un instant, leurs oreilles déchirées ne purent percevoir le moindre son. Heureusement, les artilleurs cadiens n'avaient pas attendu Sertorius et un tir de barrage frappa de plein fouet la section blindée alors que les insurgés s'égayaient dans toutes les directions, paniqués par les tirs. Un autre char, plus en retrait fut touché à l'avant, le missile antichar l'ayant transformé en bain de flammes ardentes. Un autre avançait toujours malgré sa mitrailleuse de toit arrachée et son servant mort, dont le corps déchiqueté formait un angle macabre et étrange vers l'arrière. Une cabane de planche plia dans un craquement sinistre lorsque le dernier tank, intact, roula dessus pour charger la position des résistants. « Feu ! Feu ! hurla Sertorius », les fusils antichars tirèrent avec une bonne seconde de décalage. Un autre peloton de croisés accourait vers les lieux du combat la confusion était totale. Quelques longues minutes plus tard, le calme était revenu, seulement ponctué des crépitements des feux mourants et les râles étouffés des blessés. Le lieutenant Sertorius jaugea les forces qui lui restaient. Ses cadiens étaient bien là, et seul le 1[sup]ère[/sup] classe Curtiss Faug avait été légèrement blessé par la projection d'échardes et de clous d'une explosion proche; il s'épongeait le visage avec un chiffon ensanglanté. Lépida tentait de soigner comme elle pouvait la jambe d'un des siens, mortellement touché par une mitrailleuse de char et une certains avaient improvisé un charnier en recouvrant des corps alignés d'une grande bâche de tissus brun. Pendant ce temps, Vincius constituait avec les valides un amas d'armes prises à l'ennemi et lançait des regards pleins d'espoir et de gratitude au lieutenant impérial. Celui-ci compta mentalement les insurgés survivants : trente neuf, bien, ce nombre était plus qu'honorable au vu des forces envoyées contre eux dernièrement, et ce serait suffisant pour tenir encore un peu. Le calme de la scène de l'après bataille fut soudain déchiré par un vrombissement dans le ciel : un chasseur à réaction croisé ! « Tous à terre ! Position de repli, aux abris ! » Les rebelles n'avaient pas attendu l'ordre pour courir et se jeter au sol, comme un vol de moineaux. Le vacarme des réacteurs se rapprocha, Sertorius eut le temps de voir l'avion en approche, en rase-mottes. C'était un chasseur profilé avec un fuselage en forme de couloir et des ailes chargées de bombes, de missiles et de paniers à roquettes. L'engin délivra un premier tir imprécis transformant plusieurs des maisonnettes en dômes de feu. Au même moment, deux hélicoptères légers, au fuselage ovoïde, surgirent de derrière les bosquets et mitraillèrent leur position. Tous les rebelles impériaux étaient plaqués contre les couverts, mis à part deux servants de fusils antichars qui entreprirent de pointer leurs armes vers le ciel. Les ordres de Sertorius étaient couverts par le vacarme des moteurs, et il n'eut pas le temps d'empêcher Vincius de bondir de derrière son muret pour foncer vers le monceau d'armes préparé quelques instants auparavant. Le lieutenant détourna le regard au moment même où les mitrailleuses lourdes de l'avion déchirèrent son corps de bas en haut. Lépida devint blême et ne put laisser échapper le moindre cri. Soudain, une explosion retentit derrière eux, un des hélicoptères du régime venait d'être abattu par un tir extérieur et tombait en flamme dans la forêt, ses pales balayant encore l'air. Sertorius vit deux formes translucides, qui réfléchissaient le ciel matinal, fendre les airs silencieusement et rapidement. Elles avaient vaguement la forme de chasseurs aux lignes courbes. Les silhouettes de titans arachnéens venaient d'apparaître à peu de distance, derrière les toits des villages voisins. Sertorius, sidéré, ne put rien faire d'autre pendant un instant que les regarder, bouche bée, tirer sur des ennemis invisibles, sans doute les croisés qui avaient pris position [i]dans[/i] le temple impérial de Silanus. Une explosion sourde derrière eux l'avertit que le chasseur croisé venait d'être détruit. Son communicateur produisait un crépitement sourd et constant, comme si le QG de la Garde ne pouvait plus rien émettre. [i]Sertorius[/i] s'en saisit et essaya plusieurs fréquences, un peu plus loin, la bataille continuait. Une voix furieuse retentit soudain [i]dans[/i] l'appareil : « Lieutenant Sertorius, lieutenant Sertorius, au rapport, quel est l'état de vos forces et votre position actuelle, je répète quel est… ». [i]Sertorius[/i] n'eut pas le temps de répondre, il venait de disparaître aux yeux de tous, aspiré de la terre… [/font][center][center][font="Times New Roman"]*[/font][/center][/center][font="Times New Roman"] Il se réveilla, léger et étrangement serein [i]dans[/i] l'obscurité. Une obscurité non pas oppressante mais douce et reposante. Le sol était nu et noir. De longues minutes s'écoulèrent avant que ses yeux ne s'habituent à la pénombre, il distingua des arches délicatement ouvragées [i]dans[/i] un matériau qui semblait émettre sa propre lueur, faible et pâle pour le moment. S'étant redressé, il fit quelques pas et remarqua que le son de ceux-ci lui revenait aux oreilles. Il n'avait pas été plongé dans un tel silence depuis bien longtemps, depuis son dernier pèlerinage dans une église impériale en fait. Un faible bruit électrique l'avertit qu'il devait être dans un vaisseau ou une base. [i]Sertorius[/i] jura en constatant qu'il n'avait plus son bolter, ni aucune arme ou grenade d'ailleurs. Il accéléra le pas mais une barrière invisible l'empêcha d'aller plus loin, une colonne de lueur bleue jaillit de dessous lui pour l'éclairer. « Bienvenue ! dit une voix synthétique et nasillarde, je suis Djenadeth-Drinadàn, de la nation des Nandars, et nous vous avons choisi comme ambassadeur de l'empire humain. — Ambassadeur ? Dit Sertorius, se remettant doucement de sa surprise. — La possession de ce monde risque de créer un litige entre nous, alors nous avons besoin de tenir ambassade au nom de nos deux peuples, continua la voix sur un ton monocorde. — Certes, dit le lieutenant, encore hésitant, [i]mais[/i] pourquoi moi, et où suis-je d'abord ? » Sa voix avait retrouvé une pointe d'autorité. « Vous êtes partis depuis une heure de votre position initiale, nous sommes le peuple Nandar, et vous vous trouvez actuellement dans le croiseur Stellion du vaisseau monde Drinadàn ». Poursuivit la voix. — Vaisseau monde ? Des Eldars ? — Nous sommes une branche héritière de la diaspora de cette noble race, mais nous avons suivi notre propre évolution, mais là n'est pas la question, venons en à l'affaire qui nous occupe. — Vous ne m'avez en effet pas l'air très humain ! dit Sertorius en reprenant un peu de courage. Mais qui que vous soyez, vous vous êtes trompés, je ne suis pas un ambassadeur mais un combattant, je suis le lieutenant Jochem Sertorius du 81[sup]ème[/sup] régiment de Cadia, membre du mérite militaire de Kyôs, décoré de la médaille héréticus de…. — Votre palmarès et votre grade ne nous intéressent que peu, lieutenant Sertorius, interrompit soudain la voix, nous voulons savoir quels sont les intérêts de l'Empire Humain sur ce [i]monde[/i] afin de prendre une décision à cet égard ! — Je suis un officier de la Garde Impériale et je ne suis pas habilité à poser des questions ou à m'intéresser aux intérêts de mes supérieurs, justement parce qu'ils me sont supérieurs. Je me bats et c'est tout. Sachez néanmoins que ce monde est impérial et doit le rester, et il le restera à n'importe quel prix, grogna Sertorius. — Cela, c'est ce que vos supérieurs vous ont vissé dans la tête ! Néanmoins, vous ne me ferez pas croire que vous n'en savez pas plus, ni que vous ne savez pas pourquoi vous vous battez ! — Je me bats pour reprendre un monde perdu à cause de l'incompétence de quelques nobles à faire la police sur leur propre monde ! dit Sertorius, se sentant perdu. — Très bien, nous en venons à l'essentiel, dit la voix, Vous admettez donc que ce monde n'est, de fait, plus à votre empire de par la faute de votre propre administration ! — Pas de notre administration, de celle du précédent gouverneur investit des pouvoirs légitimes et qui n'a pas su les appliquer. Et puis qu'en sais-je, et qu'importe ! dit nerveusement Sertorius. — Qu'importe ? Au contraire, il importe beaucoup ! Cela veut dire que l'empire des hommes se désintéresse des [i]mondes[/i] qui le composent jusqu'au jour où ils leur échappent. Votre empire est donc grand et faible là où le nôtre est restreint et fort ! — Si notre Imperium est si faible que vous le dîtes, pourquoi négociez-vous, et d'abord pourquoi voulez vous ce [i]monde[/i] alors que la galaxie en regorge d'autres complètements vierges. — Bonne remarque, lieutenant, mais vous vous trompez sur plusieurs points : premièrement, l'autorité centrale humaine est affaiblie, mais vous restez une nation guerrière à ne pas traiter à la légère, deuxièmement, la galaxie, c'est le vide, et les planètes telles que celles-ci ne sont pas aussi nombreuses que vous le croyez. Sachez enfin que ce que vous appelez Ephèse appartenait à notre race bien avant votre venue ! » Sertorius se remémora soudain les anciennes ruines que lui avaient montré des paysans Ephésiens, des temples et des chapelles grossières, œuvre d'une civilisation d'avant le monde, avec des statues représentant des créatures maigres et desséchées soutenant des chapiteaux de colonnes. « Ainsi c'est donc vous, dit il, le sourire aux lèvres, les fameux hommes-dieux de l'ancien temps, des Eldars en vérité ! — Nandars, pas Eldars, vous comprenez maintenant nos intérêts, nous n'avons toujours pas compris les vôtres. Vous vous évertuez à chasser les exaltés qui ont pris le pouvoir ici, donnant de fait un coup d'arrêt à votre autorité. Laissez nous régler nos affaires avec eux et repartez, Ephèse n'est plus à vous. Vous avez eu cette planète bien assez longtemps et vous avez laissé passer votre chance ! » — Faux ! s'écria Sertorius d'une voix de stentor, faux ! Même si notre régiment échoue, d'autres forces seront envoyées, toujours plus fortes, plus nombreuses ! Avec des appuis aériens et de la flotte ! Non Djenadeth-Drinadan, représentant de la nation Nandar, vous vous égarez complètement, l'Imperium ne se laisse pas dicter sa conduite par les intrusions, ni, et encore moins, par l'insurrection d'un millier de tyrans, il survit, c'est tout ! » Des lumières éclairèrent soudain la grande salle, le bouclier invisible apparut alors aux yeux fatigués du lieutenant bleuté et crépitant, ainsi que les magnifiques détails de la salle, avec ses colonnes de moelle spectrale et ses gemmes incrustées dans les parois. Derrière, et face à lui, se tenait un être grand et gracile, au visage juvénile revêtu de lourdes toges colorées, comme celles que portent certains nobles humains, un pan replié sur le bras. Sa peau était brune, presque noire, contrairement à ce que l'on disait des Eldars, et sa chevelure longue, hirsute et argentée. Il arbora un sourire qui se voulait bienveillant mais qui était un brin narquois. «Bien, dit il cette fois ci d'une voix musicale et charismatique, combien de temps croyez vous que votre administration va rester sans vous aider avant de réagir : un mois, un an, dix ans, ou plutôt mille ans, s'ils se rappellent jamais de vous ! Toutefois nous avons tenu compte de vos arguments et cette ambassade nous a paru satisfaisante, nous vous renvoyons donc chez vous ! » Sertorius n'eut que le temps d'esquisser un signe de la main et d'ouvrir la bouche car il se dématérialisa à nouveau. Lorsqu'il réapparut sous les yeux hallucinés des rebelles, le champ de bataille était calme, bien que labouré par les explosions. « Nous nous mettons en marche vers le QG dit il après quelques instants d'hébètement. Une troisième force s'est incrustée dans le conflit qui nous occupe ! dit-il déterminé. » [/font] [center][center]*[/center][/center] [b] [u]Rapport de l'inquisiteur Valpurgis référence 1XV 012 :[/u][/b] [font="Courier New"]« […] Finalement, les curieux « Eldars » se retirèrent d'Ephèse aussi rapidement qu'ils étaient venus, non sans avoir infligé de terribles dégâts aux armés de la « croisade morale », préparant ainsi favorablement la reconquête par le 81[sup]ème[/sup] Cadia et le retour de la lumière de l'Empereur. Le seul témoin d'une rencontre avec ces xenos, le lieutenant Jochem Sertorius, a été entendu par notre commission en audience inquisitoire et secrète. […] Il a affirmé entre autres, avoir eu affaire à une civilisation admirable et digne d'intérêt. Il été jugé hérétique et condamné à l'exil et la légion pénale. Béni soit l'Empereur ! » Maxime du jour : Seul le fou prospère ! »[/font] Modifié le 13 juin 2011 par Celt Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 28 mai 2011 Partager Posté(e) le 28 mai 2011 Pour ton premier récit sur le forum, c'est vraiment pas mal. Je n'ai aucun défaut à relever La petite maxime en bas ferait-elle office de morale, ou l'as-tu mise uniquement pour donner un petit genre de document impérial officiel? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The inflitraitor Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Partager Posté(e) le 28 mai 2011 (modifié) Héhé, les deux à la fois: elle figurait dans les maximes du livre de règles V3 mais je la trouvais particulièrement appropriée. Merci d'avoir lu ce texte! Modifié le 28 mai 2011 par The inflitraitor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joe la Hyène Posté(e) le 13 juin 2011 Partager Posté(e) le 13 juin 2011 J'aime beaucoup ton style, tu as le sens des détails qui rendent une atmosphère vivante! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The inflitraitor Posté(e) le 25 juin 2011 Auteur Partager Posté(e) le 25 juin 2011 Héhé merci! C'est un vieux texte de concours mais effectivement, je m'étais bien amusé à imaginer des détails quant aux scènes de combat ainsi que les décalages technologiques entre les différents belligérants (armes locales / Adeptus / Xenos). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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