le fou du chaos Posté(e) le 20 novembre 2011 Partager Posté(e) le 20 novembre 2011 (modifié) Voici un bout de fluff, créé pour une hypothétique candidature au CdA Commando, qui n'a malheureusement pas été retenu. Pour mieux comprendre, il faut se placer dans le contexte : un système riche en ressources voit plusieurs groupes d'incursion se diriger vers lui. Pour ceux que ça intéresse, le sujet principal comportant tous les détails se trouve ici : [url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=176762"]Sujet préliminaire Commando[/url] Voici donc mon fluff, vous m'en direz des nouvelles (ou pas ^^) : [quote]« Où en est l’équipe d’incursion, amiral Finn ? » Ces mots résonnèrent dans le poste de commandement. Le Tyran commençait à s’impatienter, mais il jubilait. Son plan était parfait. Tout a commencé il y a deux ans de cela, lorsque Sombrecoeur apprit qu’un nouveau SCS était arrivé à la cité-forge de Rénahiem Prime pour équiper ses régiments. Un SCS particulier, car il concernait l’un des chars les plus utiles pour sa propre armée. Le plan de Huron reposait sur l'attaque surprise. Un petit groupe d'hommes aux talents divers, qui accomplit sa mission sans faire de remous. Cela faisait deux semaines que son équipe de choc, choisie entre ses meilleurs soldats humains, attendait dans la ceinture de Rhür. « Seigneur Huron, nous vous attendions, répondit l’un des renégats présents dans la salle. Notre équipe est fin prête. De plus, un évènement inattendu pourrait jouer en notre faveur pour arriver à destination. - Je vous écoute, dit le Tyran en s’asseyant dans son fauteuil en cuir. - Nos recherches dans le système informatique rénahien ont portés leurs fruits, poursuivit le présumé amiral. Nous avons découvert plusieurs petites équipes comme la notre en progression vers ce système. Si nous attendons le bon moment, notre arrivée sur Rénahiem Prime peut passer inaperçue.» Les doigts en métal de Huron cliquetaient sur l’accoudoir d’acier de son fauteuil. « Voilà qui est une bonne nouvelle, annonça celui-ci, un sourire sadique sur les lèvres. Mettez-moi en contact avec l’équipe, amiral. -Tout de suite, seigneur. » L’amiral Finn manipula le tableau de commande, et une image apparut sur un petit écran devant lui. « Eideard Colin, vous êtes là ? prononça-t-il dans un micro. - Où voulez vous que je sois ? répondit une vois passablement énervée. Ca fait deux semaines que je suis enfermé dans un vaisseau minuscule avec onze malades ! Vous savez que j’ai failli prendre le sas pour aller dans l’espace ? Sérieux, je pensais pas que ce serait horrible à ce point, quand j’ai accepté ! Il y a un mec, il est pire que les autres. Il a failli me foutre le feu au c... - Eideard, s’il vous plaît ! l’interrompit l’amiral. Le seigneur Huron souhaite vous parler. Et faites gaffe à ce que vous dites, il est de bonne humeur, ce qui n’est pas bon signe… » Finn appuya sur un bouton, et le visage dudit Eideard Colin fut projetée sur l’écran principal. « Ca y est, seigneur, nous sommes connectés. - Merci. Bonjour, monsieur Colin. Comment se sont déroulées ces deux semaines ? - Tout s’est déroulé au mieux, seigneur, répondit Eideard, dont la voix avait pris un ton on ne peut plus professionnelle. Nous avons eu un léger accrochage avec des pirates locaux, mais rien de bien important. Nous n’avons subit aucune perte, et nous avons tout de même pu récupérer des munitions, pour compenser celles utilisées lors de l’affrontement. Il n’y a cependant pas de survivant dans l’autre camp. - Très bien, très bien… Tenez-vous prêt à débarquer. Nous vous ferrons atterrir dès que les conditions sont favorables. Je vous rappelle que je vous laisse libre de vos actions, tant que vous me rapportez ce que je vous ai demandé. Passez le message à vous coéquipiers. - Seigneur Huron ? eu l’audace de demander l’un des hommes devant les écrans. Les autres équipes sont en mouvement. Je pense que c’est le moment idéal pour commencer. - Transmettez au pilote l’ordre le se diriger vers Rénahiem Prime, répondit le Tyran. Eideard ? - Oui seigneur ? - N’oubliez pas : l’objectif avant tout. - Bien seign… » L’image se brouilla, pour finalement être remplacée par un rideau de neige. Le transport furtif s’était mis en mouvement. Dans deux heures, le commando d’élite posera le pied sur Rénahiem.[/quote] Le fameux SCS devait être découvert pendant le CdA. Si je trouve le temps et l'inspiration, je conterai cette mission plus tard. Modifié le 20 novembre 2011 par le fou du chaos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 20 novembre 2011 Partager Posté(e) le 20 novembre 2011 C'est un peu court pour commenter. La taille conseillée est d'une page Word taille 9, ou 2 pages Open Office standards, mais tu as le droit d'en faire plus! Donc j'ai pas grand-chose à pouvoir te dire sur l'histoire. Quand à la forme, j'aurais imaginé des Space Marines, même du Chaos, un peu plus éloquents. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
le fou du chaos Posté(e) le 24 novembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 24 novembre 2011 (modifié) Si tu lis biens, en fait ce ne sont pas des SMC, mais des mercenaires engagés par Huron pour accomplir son objectif. Bon, le passage suivant n'est pas vraiment top, j'aimerai un peu plus de commentaires sur celui là pour l'améliorer. En fait, je présente ici les membres du commando, ce qui introduit malheureusement beaucoup de répétitions. Voilà quand même : [quote]Une fois le signal coupé, Eideard se retourna vers ses compagnons. L’atmosphère était bonne enfant, même si ces enfants là étaient des criminels de haut rang. Tout au fond, près du sas, l’un d’eux, nommé Joukahainen Ahod, jonglait avec trois grenades à fusion. Il a été récupéré par Huron lors d’un raid sur un monde carcéral avec deux de ses coéquipiers. Il montrait une passion indescriptible pour les explosifs, qui remontait apparemment depuis l’enfance. A ses côtés, Eber Kama. Très habile à l’arme blanche, il chérissait son couteau aux formes exotiques plus que tout. Il regardait du coin de l’œil son ami de prison faire des acrobaties avec les explosifs tout en affûtant son arme, en lui chantant des mots doux. A sa droite, Ganesha Siavash, une femme au corps musclé, qui grandit dans les bas fonds d’une cité ruche. Sûrement plus forte que beaucoup d’hommes, elle ne se promenait jamais sans une arme ou deux sur elle. En face d’elle de trouvait Donovan Marlin. Son visage, éternellement figé dans un rictus malveillant, il le devait à cause d’une explosion qui eut lieu il y a des années de cela, ce qui explique sa méfiance envers Joukahainen. Cependant, il ne s’exprime que rarement, et jamais sur son passé. A côté de lui se trouvait Darion Anton. Au contraire de Joukahainen, qui fut son compagnon de cellule, il se passionnait pour la maitrise du feu. Il jouait nerveusement avec un briquet, dont la flamme était étrangement violette, ce qui semblait déranger son voisin, caché sous son manteau, Jamison Alpertti. Cet ancien majordome dut fuir lorsque son maitre découvrit qu’il vouait un culte secret au Prince des Plaisirs. Bien qu’il ne répugne à faire preuve de violence, il prit rapidement goût à l’assassinat, tant que le travail est propre et soigné. Au centre, une dispute venait d’exploser entre Ovidius Mithras, un gladiateur en quête de renommée, et Gilberto Clyde, une personne peu sainte d’esprit à la recherche de frissons. Entre eux se plaçaient Linus Castillo, vétéran de dizaines de campagnes, mais qui tua un commissaire qui menaçait un de ses amis, et Bendiks Hadrian, un jeune issu d’un monde hostile recherché pour vol et meurtre. Adossé au mur, Maks Stanimir, assassin de longe date, les regardait, un sourire au coin des lèvres. Eideard soupira à la vue de ce qui l’attendait. Toutes ces personnes étaient recherchées par l’Imperium, pour des faits mineurs ou graves, et chacun d’eux avait reçu une formation pour les préparer à la mission qui allait les attendre. Cependant, il avait l’impression de voir une bande de gamins qui se chamaillaient. « He bien mon gros, tu attends quoi ? criait Gilberto, un sourire jusqu’aux oreilles fixé sur le visage. Viens, je suis prêt moi ! - Tu ne vaux même pas la peine que je te batte, espèce petite mouche ! - Tout le monde se calme ! hurla Eideard. J’ai reçu un appel du grand parton. On est en route pour… Jouka, donne moi ces grenades tu veux ? J’ai peur que tu nous fasse tous sauter… Merci. Donc, nous sommes en route pour l’objectif. Vous connaissez la mission, je n’ai pas besoin de refaire un topo. Bientôt, nous poserons le pied sur Rénahiem Prime. Alors s’il vous plaît, on se concentre. On arrête de se disputer pour des broutilles, on ne joue plus avec ses armes, et on boucle sa ceinture. Gilberto, si tu ne t’assieds pas, c’est moi qui te bouclera ta ceinture, et je bouclerai aussi ta bouche pour le coup. Donc, messieurs – et dames, pardon – préparez vos munitions, et dans deux heures, nous débarquerons ! »[/quote] C'est vrai que c'est court en relisant... Promis la prochaine fois je fais un truc plus long ! (de toute façon, la prochaine fois, il y aura plus à raconter ^^) Modifié le 24 novembre 2011 par le fou du chaos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 24 novembre 2011 Partager Posté(e) le 24 novembre 2011 (modifié) Court, c'est le cas de le dire! En copiant ça sur Open Office, j'atteind une seule page standard taille 12. Et encore, mais fonction copier-coller à ajouter de la taille à ton texte! Bon, devant ta volonté de faire plus long la prochaine fois, je laisse passer Sinon, l'autre chose à dire, c'est qu'introduire autant de personnage d'un coup est un pari risqué. Il y a de fortes chances que le lecteur ne retienne pas exactement qui est qui, et qu'il soit obligé de faire de fréquent retour en arrière. A ne pas oublier. Modifié le 4 décembre 2011 par haldu Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
le fou du chaos Posté(e) le 3 décembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 3 décembre 2011 (modifié) Et voilà la suite de leurs aventures : [quote]La tension était à son comble dans la navette. La lumière artificielle formait sur les visages de l’équipe des ombres inquiétantes, ce qui accentuait le stress dégagé par leurs mines sombres. « Objectif en vue, annonça le pilote dans le micro. Préparez vous à débarquer ». La douzaine de soldats se détachèrent et prirent leur équipement. Aucun ne disait mot, pas même Gilberto, malgré sa réputation de langue bien pendue. « Attention, atterrissage dans trois, deux, un… » La navette se posa dans une violente secousse. Le sas s’ouvrit, libérant une vague de lumière dans l’habitacle. Eideard lança une prière pour qui voudrait bien l’entendre, puis commença à lancer ses ordres : « C’est parti tout le monde ! Darion et Linus, passez devant, mais ne faites feu qu’en cas de danger. On doit rester le plus discret possible. Darion, tu te mets devant évidemment, avec ton lance flamme, et Linus, tu le couvre. Mettez vous rapidement à couvert, j’arrive. » Puis il ajouta pour le pilote : « On se retrouve ici dans trois jours, au crépuscule. Si on n’est pas revenus, revenez les jours suivant à la même heure. Si vous n’avez pas de nouvelles de nous dans une semaine, ce ne sera plus peine de venir, je pense que vous savez pourquoi… - Bien monsieur, c’est compris. Bonne chance. » Eideard sortit de la navette en regardant dans tous les sens. Ils s’étaient posé dans une sorte de hangar à toit ouvert, au milieu de dizaines de containers. Excepté ses coéquipiers qui s’étaient regroupés dans un coin, aucune personne n’était en vue. Il les rejoignit, malgré ses membres endoloris par deux semaines de planque. « Bien, vous connaissez la mission ? demanda-t-il. Pour ceux qui l’auraient oublié, n’est-ce pas Gilberto, on doit récupérer un document pour le Seigneur Huron. Nos seules informations sont que ce document se présente sous une puce holographique, et qu’elle est stockée dans un coffre hautement sécurisé. Rien d’autre. Il faut donc qu’on trouve un plan pour se repérer ici, et une fois l’objet récupéré, je vous promets que chacun de nous sera assez riche pour échapper aux Arbitres pour une dizaine de vies ! Donc on se bouge, allez ! » Le groupe se mit en marche vers un toit que l’on pouvait apercevoir au dessus des caisses. Certains frémissaient à l’idée qu’ils devraient certainement tuer des hommes, alors que d’autres exaltaient pour les mêmes raisons. Au bout d’une quinzaine de minutes de marche, toujours aucun incident ne se produit, mais ils arrivèrent à l’entrepôt. « Bendiks, passe devant. Tu jette juste un coup d’œil, et tu nous dis s’il y a du monde, combien ils sont et s’ils sont armés. Si jamais tu te fais repérer, ouvre le feu en premier s’ils ne sont pas trop nombreux, on viendra t’aider. Sinon, tu reviens et on se barre. Allez, go ! » Le jeune fougueux partit en direction de la porte démesurée, et se mit à couvert derrière un véhicule à l’arrêt grand comme un camion. Il fit un geste de la main pour demander au reste du groupe de venir le rejoindre. Eideard ordonna alors au reste de l’unité de rester à couvert, puis avança vers Bendiks. Une fois à son niveau, il regarda lui aussi par-dessus le capot du véhicule. Il vit alors un groupe de trois hommes armés de fusils laser à environ deux cent mètres de leur position. Le chef de groupe appela Linus, et lui demanda : « Tu pense que tu peux les avoir d’ici ? demanda-t-il en murmurant. - Aucun problème pour les avoir, répondit l’ancien militaire, mais ce sera plus dur dès le premier descendu. Les deux autres vont le remarquer et vont alerter leurs coéquipiers. Il faudrait avoir les trois en même temps. - Ok. Maks, viens, on a besoin de toi. Tu vois les trois hommes là bas ? demanda Eideard. On doit les abattre en même temps. Je prends celui avec la casquette, toi celui à gauche et Linus, tu prends celui à droite. D’accord ? Bien. Attention, ajouta-t-il en se mettant en joue, trois, deux, un, feu ! » Les fusils produisirent le bruit spécifique des silencieux, comme un chuintement pneumatique, et les trois hommes s’effondrèrent en même temps. « Il faut cacher les corps, déclara Eideard. Linus, tu t’en occupe, pendant que je récupère le plan ? Merci. Maks, viens avec moi. Les autres, restez ici, et avertissez nous en cas de danger. » Tandis que le bruit de leurs semelles résonnaient dans le hangar, Eideard restait sur ses gardes. Il était si tendu qu’au moindre bruit suspect, il armait son fusil. « Calme-toi, lui dit l’assassin. T’est drôlement nerveux pour un leader. C’est la première fois que tu commande ? - Ouais, lui avoua Eideard. D’habitude, je suis à ta place, je suis les ordres sans poser de questions… - Je crois pas être comme ça. Habituellement, je bosse seul. Les coéquipiers m’encombrent plus qu’autre chose, tu vois ? - Ca te dirait qu’on se concentre un minimum ? Je t’encombre peu être, mais j’ai quand même besoin de toi, en cas d’accrochage. Donc reste avec moi. » Ils atteignirent un panneau en plexiglas, sali par des années de pollution, derrière lequel un plan était accroché, comme s’il attendait de sortir. Eideard prit son couteau, l’enfonça dans une fente et réussit à casser le plastique, puis s’empara de la feuille. Soudain, un grincement métallique retentit. Une porte s’ouvrit juste à leur droite, et un homme en sorti, une cigarette à la bouche, un briquet dans la main et un fusil en bandoulière. Il les regarda, et les salua, comme s’ils se connaissaient. Puis il aperçut Linus trainer les trois corps, et il comprit. Il laissa tomber son briquet et mis en joue Eideard. Mais Maks fut plus rapide que lui, dégaina son pistolet et tira en premier. Tandis que la détonation retentissait, l’homme bascula en arrière, et s’effondra sur le sol, la cigarette toujours vissée à ses lèvres. « Faut que tu soit plus réactif la prochaine fois, chef ! lança Maks. - Et toi, la prochaine fois, tu réfléchiras un peu ! répliqua Eideard en montrant son couteau. On a entendu le coup de feu à des kilomètres à la ronde ! Maintenant, pour l’arrivée discrète, c’est raté. Bon, on n’a pas le temps de cacher le corps, on bouge ! » Il rejoignit le reste du groupe au pas de course, qui repartit vers les containers. Maks jura, hésita, puis les rejoignit, se disant qu’il fallait mieux rester soudés maintenant qu’ils étaient repérés. [/quote] C'est déjà plus long, mais qu'en est-il du style ? Vous aimez ? Pas trop d'erreurs ? Merci de vos commentaires ! (ou plutôt de tes commentaires haldu ^^ ) Modifié le 3 décembre 2011 par le fou du chaos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.