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bataille sous la pleine lune


Invité Méphisto

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Invité Méphisto

Bataille sous la pleine lune.

Moi, Thorgal, nouveau seigneur de Throng Dum, j'étais amer, mon père, Thorin, gisait devant moi, sur un lit de pierre, entre la vie et la mort.

L'elfe noir qui avait fait ça méritait mille fois cette mort. Malgré la défaite de la coalition du bien, le traître bretonnien et les elfes noirs avaient été repoussé, Bordelaux ayant défaits les assiégeants qui étaient à court de renforts, ceux ci c'étant fait annihilé par mon père et ses guerriers.

Le dynaste, ayant échoué, avait rejoint son camp, après avoir rassemblé ses hommes, il était parti vers la grande forêt qui longe l'ouest de la bretonnie, traqué par nos guerriers.

"Il ne se passe pas une heure sans que mon désir de vengeance ne refasse surface et que je dépêche encore plus d'éclaireurs." lançais-je à l'intention de Friederik qui venait de faire son apparition dans la chambre . Le comte électeur était grand et fier, il s'était battu aux côté de mon père, lorsque les bretonniens corrompus et les elfes noirs les avaient défaits.

Sa nuque était ornée du gigantesque cicatrice laissé par le cimeterre d'une furie. Son honneur avait été souillé, son griffon, avec qui il combattait depuis toujours, était tombé. La haine se lisait dans ses yeux, et autant que nous, il désirait rattraper cet elfe noir qui avait été à l'origine de la perte de tant des nôtres:

"Les éclaireurs sont de retour, lança t'il gravement

-Et? Répondit-je

-Comme nous nous en doutions il est allé demandé l'aide des vampires, après la défaite des dragons de sang dans la forêt bretonnienne, il a continué à fuir, traqué sans relâche par nos guerriers, l'armée que j'avais dépêchée pour les intercepter a été entièrement défaite, et finalement ce lâche s'est réfugié en sylvanie.

-Mais sommes nous sûre qu'il gagnera la confiance des non morts?

-Sans doute, après tout ce ne sont que des hérétiques qui doivent être purifiées par les flammes répurgatrices, ces chiens s'entendront le temps de nous abattre, puis s'entretueront après.

-Mais il ne nous abattront pas, n'est ce pas?

-Bien sûr que non, je dois me rendre à talabheim pour me forger une nouvelle armée, ensuite j'attaquerais la sylvanie par le nord, vous par le sud, et nous nous retrouveront espérons le, au pied de la forteresse ou s'est réfugié ce sale traître!

-Très bien: Az un Grund, Dawi un Umgi!" Dis-je solennellement.

Nous nous frappâmes le poing sur la poitrine et joignâmes nos bras pour éterniser notre unification.

Avec un dernier signe d'adieu, il s'élança à cheval sur la vieille route naine, avec Angard son fidèle magicien, et quelques gyrocoptères qui les suivaient "discrètement".

Deux semaines après le départ du général humain, L'armée naine était en marche, chaque nains était animé d'une haine féroce envers ceux qui avait causé la mort de leur frère. Et, les vampires, qui protégeait le meurtrier, méritaient le même sort que ce dernier.

Le campement était silencieux, à la lisière du pays ennemi, chacun adressait ses prière à Valaya, et jurait de venger ses rancunes jusqu'au trépas.

Demain soir, la lune serait ronde comme une barrique de bière vue de profil, un affrontement sanglant aurait lieu, et peu seraient les nains qui en sortiraient vivant.

Le jour se levait, à nouveau les légions de nains avançaient, implacables, aussi silencieuses que la mort. Partout le long de la route on observait les anciens cimetière locaux saccagés, retournés. Souvent des débris d'armes et d'armures jonchaient le sol, maintes armées de la lumière avaient été défaites ici, mais nous ne sommes pas une armée de la lumière, nous formons Throng Dum, le clan des ténèbres, et nous somme le fléau des ténébreux, surgissant de la brume pour les pourfendre de nos hache, jamais abreuvées.

Le repas du midi c'était déroulé sans accrocs, partout autour de nous, les landes désolées, les arbres décharnées, semblaient nous épier, et les oiseaux qui s'en envolaient, nous trahir. Il fallait repartir rapidement, rester sur place signifiait se laisser prendre au piège.

Il va bientôt faire nuit, je ne comprend pas, ce pays semble vide de toute présence ennemi, cela ne présage rien de bon, pourvu que Friederik ne se soit pas fait submergé par les morts vivants.

Tout à coup la brume semble se lever, des tambours résonnent, la terre se met à trembler, des claquement se font entendre, les non morts sont là, ils arrivent:

"A mon commandement mes braves, aujourd'hui, enfin, nous allons pouvoir venger nos frères tombés, aujourd'hui enfin nous allons pouvoir déchaîner notre fureur sur l'ennemi, et lui montrer que même s'il peut nous ôter notre vie, il ne nous privera jamais de notre honneur, qui fait la force de tous les nains, et après tout quoi de mieux que de se retrouver à ripailler dans le Hall de Grimnir? Tous ceux qui tomberont aujourd'hui, seront vengés, et tous ceux qui sont morts avant nous, vous devez les venger, et même si nous trépassons, on apprendra, ici comme ailleurs, ce qu'il en coûte de défier la nation naine! Pour la Nation naine! pour Throng Dum! En avant!!!!!!!!!"

Des Cris de joie et de rage retentirent, les haches heurtèrent les boucliers, les cors résonnèrent, et une fois encore, on ne pouvait imaginer le déclin de cette civilisation si fière, si brave. "Et pour mon père…" Murmurais-je avec un sursaut de rage.

On pouvait maintenant discerner la horde macabre, leur nombre était ahurissant, et sans machines de guerres ni troupes de tir, chacun d'entre eux devraient être tué au corps à corps par les haches naines. Sur les deux gyrocoptères, j'en dépêchais un vers l'armée d'Olaf, mon cousin, il était à une semaine de marche de nos positions, et après ce combat, nous aurions sans doute besoin de troupes fraîches pour rejoindre l'empire. Il fallait donc qu'ils pressent le pas.

La machine s'envola, messager de l'espoir, ne faillit pas à ta mission.

Je regardais à ma droite, j'apercevais Gaelic, mon cousin éloigné, fils de notre grand maître des runes, fils du fils du frère du frère de mon arrière grand père. Il était avec une quinzaine de guerriers de notre clan. A ma gauche était situé Thog, un autre maître des runes, demi frère de la cousine de ma sœur, était en compagnie des longues barbes, sa fourrure d'ours le faisait paraître très sage, mais il n'en était rien. Et enfin à mes côtés, au milieu de nos Brise fers, se dressait Yvin, un Nain du nord que nous avions adopté après l'avoir délivré des "geôles" d'une tribu Orque, il portait notre grande bannière, symbole de fureur et de fierté qui caractérisent les nôtres. Un autre régiment de guerriers formait un mur de boucliers, et une douzaine de mineurs devait s'amuser à saccager les catacombes en attendant de remonter à la surface. Mais c'est alors qu'un cri retentit:

"Thorgal fils de Thorin, comment as tu pu nous oublier?

- C'est que je ne voulais pas t'entraîner là dedans Conan. Répondis-je en apercevant une dizaine d'immenses guerriers, vêtus de peau de loups des glaces, arborant de grandes épées à deux mains.

-Tu sais bien que j'ai toujours une dette envers ton père depuis qu'il a délivré notre tribu après avoir détruit un avant poste elfes noir près du kislev.

- par quel miracle a tu devinés que nous nous battions ici? Demandais-je

- Vous les nains mépriser à défaut la magie et les shamans, je l'ai toujours dis! me répondit il en raillant, d'autres guerriers sont en routes et nous rejoindront plus tard s'il ne sont pas intercepté en route!" Jubila t'il.

Les barbares se placèrent à nos côtés, pour notre plus grand plaisir. Alors que le dernier rayon de soleil disparaissant avec la venue des non morts, l'éclat de la pleine lune se fit extrêmement violent, si bien que l'on pouvait discerner la moindre unité adverse.

C'est alors qu'ils se mirent en marche, les loups, le char et les gardes des cryptes avancèrent sur notre flanc gauche, un nécrarque, chevauchant un noir destrier, nous jaugea de son regard maléfique. Les goules, être difformes et répugnants avançaient à notre droite, et le centre était occupé, par des revenants montés sur leurs chevaux squelettiques et par une bonne trentaine de squelettes.

C'est alors que le nécrarque hurla de néfastes invocation, son sourire cynique s'effaça lorsque qu'une décharge vint le perturber, et le bout de ses doigts se mit à brûler:

"Je te défie ô seigneur maléfique, viens te heurter aux runes des enfants de Valaya!" hurla Gaelic.

Son sort détruit, le nécrarque ricana, un frisson parcoura nos rang, et après avoir cracher quelques insulte, il reprit ses incantation, et là un murmure de terreur souffla sur nos visages, le visage éclairé par une lueur aussi verdâtre que maléfique, le vampire pointa du doigt la compagnie de brise fer:

"Par Grungni, qu'est ce qu'il manigance ce maudit magicien!" murmurais-je

C'est alors que cinq guerriers en armure virent leur barbe pousser à une vitesse folle, elle devint si longue qu'elle pouvait faire pâlir de jalousie le plus vieux des maîtres de runes, ce qui pouvait paraître amusant à première vue, devint terrifiant lorsque les armures s'écroulèrent, laissant échapper un nuage de poussière blanchâtre.

Un sentiment de haine intense m'envahit, pointant ma hache vers l'avant j'ordonnais à mes guerriers de me suivre, Gaelic et ses compagnons se tournèrent vers la menace qui planait sur le flanc gauche, en effet, des chauves souris d'une taille peu commune venaient de faire leur apparition. Thog en fit de même avec les vétérans à la barbe longue. Le gyrocoptère fit tourner les pâles de ses hélices prit son envol pour finalement se positionner derrière les longues barbes, le second groupe de guerriers du clan avancèrent à travers la forêt pour intercepter les goules qui s'approchaient. Les barbares et les brise fer faisant face aux cavaliers noir se préparèrent à la réception d'une charge qui ne vint jamais, au lieu de cela le vampire envoya deux autres guerriers porteurs des armures de gromril dans le hall de Grimnir. Les mineurs firent irruption derrière les deux régiments du flanc gauche afin d'en consolider la défense.

La rage prit le dessus sur moi, et tout sens de la raison me quitta, dans un élan de fureur j'ordonna la charge des brise fer sur les goules qui furent simultanément chargée de flanc par les guerriers de Throng Dum. Pour nos six frères tombés, quatre goules tombèrent sous mes coups, deux autres sous ceux de Yvin et des guerriers. Les abominations prirent la fuite mais furent rattrapées et massacrée les unes après les autres.

Alors que j'achevais mon dernier ennemi, un bruit de mitraille se fit entendre, et j'aperçu à ma gauche trois gardes des cryptes tomber sous les balles.

C'est à ce moment que les cavaliers noirs éperonnèrent leurs montures, ils s'élancèrent à une vitesse fulgurantes sur les rangs des barbares. Ceux-ci n'ayant pas la protection de nos armures lourdes, ils tombèrent par poignées, Conan se fit transpercé la jambe par une lance de cavalerie et s'écroula, les trois survivants tentèrent de reculer mais ils se heurtèrent à un mur sur lequel ils se firent clouer par les lances des revenants. Mais ce ne fut rien en comparaison de l'horreur dont je fus témoin, une chose compacte, se rua vers les longues barbes, faisant siffler le vent comme si un cri surgissait du fin fond de la nuit, l'air sembla se déformer et se fut un carrosse entièrement noir qui heurta les vétérans. Deux guerriers se firent tranché au niveau du bassin par des faux gigantesques, une gerbe de sang transperça le brouillard qui semblait entourer la machine tel un bouclier. Deux autres guerriers moururent, broyés entre le chariot et leurs camarades. Et enfin, figure de la mort elle-même, une sorte de spectre se dressa et trancha la tête du champion d'un coup de faux, expulsant celle-ci à quatre mètres de là. Les chauves souris elles aussi entrèrent dans la danse, l'aile de l'une d'elles dut happé par Thog, qui d'un coup de marteau, avait blessé la créature.

Pour la première fois, je vis des longues barbes reculer, et c'est avec les larmes aux yeux que j'aperçu le carrosse les faucher dans son passage et les chauves souris se jeter sur les blessés. Thog me jeta un dernier regard avant qu'une énorme gerbe de sang ne sorte de sa bouche pour aller asperger l'herbe grasse. Un silence de mort régna dans les rangs des nains, et c'est alors que les guerriers menés par Gaelic se replièrent, les loups funestes qui se ruèrent sur eux ne purent les rattrapés et allèrent dévorer les cadavres de nos frères tombés.

Le vampire me regarda d'un air supérieur, comme pour me prouver que tout était finit, et pour souligner sa victoire, il souri, dévoilant ses longues dents, et fit glisser un vent mortel sur mon unité qui fut encore délaissée de deux membres:

"Yvin, suis moi, nous devons venger nos frères!

-Mais Seigneur, nous devrions rejoindre nos guerriers afin d'organiser une contre-attaque. Me répondit il.

-Après." Conclus-je.

Tous les deux nous chargeâmes les revenants montés qui nous tournaient le dos, ma hache runique tournoya, décrivit un arc de cercle, et faucha deux cavaliers. Ceux-ci n'eurent pas le temps de riposter que nous regagnâmes nos lignes:

"Votre destin est scellé, et la mort à nouveau viendra vous chercher, je le jure sur mon honneur!" criais-je.

La mitraille se fit entendre à nouveau et quatre squelettes lourdement armés mordirent la poussière.

Les mineurs adressant des prières à Grungni, jurèrent de couvrir la retraite de Gaelic et des siens et de sacrifier leur vie pour celle de leur frères. Chantant à la gloire de leurs ancêtres, ils disparurent sous le flux de lames du carrosse noir suivit des loups et des chauves souris.

Le sol à nouveau trembla et ce fut à mon grand malheur les brise fer qui se sacrifièrent de la plus belle façon pour moi, ils se mirent à crier "Drung, drung, drung, drung". Mort au combat comme disent les humains. Quelle plus belle mort pour un nain? Mais quel plus lourd fardeau à supporter pour un seigneur? Nous nous ralliâmes aux côtés des guerriers de notre clan Deux d'entre eux succombèrent à la nécromancie, cependant leur cor résonna, et alors en poussant des cris de rage nous chargeâmes l'ennemi, le gyrocoptère après avoir tué deux autres squelettes prit son envol, et tous se joignirent au combat face aux cavaliers noirs.

Gaelic entendit la sonnerie du cor, ils rallia ses hommes, se retourna, et fit face à l'effroyable avancée macabre.

Mon armure scintillait au clair de lune, pleine du sang de mes frères. Ma hache réclamait maintenant la vie de nos ennemis, elle réclamait vengeance, et à nouveau elle allait ôter la vie. Les runes scintillèrent soudain, et ma hache fendit l'air, un cheval d'os fut fracassé, son cavalier impitoyablement achevé, deux autre morts vivants se virent leur jambes se séparer de leur corps sous mes coups. La machine volante naine cribla de plomb un autre cavalier. Exténués, nous regardâmes les quatre revenants restant s'écrouler, soulevant un amas de poussière.

A nouveau deux nains se prirent la gorge et tombèrent en décomposition.

Un régiment d'une trentaine de squelette regardait de ses yeux vides les nains, ce regard dénué de toute expression faisait froid dans le dos, mais la haine prit le dessus sur la peur, et les nains insultèrent le nécrarque:

"Toi, lâche, viens te battre, viens tâter le tranchant de ma hache. Thagi, thagi, thagi!!!!!!". Hurlais-je

Le nécrarque, esquissa un sourire, il incanta encore une fois, mais aucun nains ne tombèrent, cependant les squelettes, comme soulevés par un tapis de poussière, marchèrent vers les nains dans une morbide symphonie qu'était l'entrechoquement des os.

"Mes braves, l'heure de la vengeance est arrivé, la mort ne nous fait pas peur, car nous somme plus fort que la mort elle même. Comment la mort pourrait-elle contenir notre colère? Même dans l'autre monde nous apporteront la ruine chez notre ennemi. Alors battez vous avec honneur car ce sont vos ancêtres qui aujourd'hui vous regardent. Lançais-je, à moi les nains, chargez!!!!!!!!!!"

Alors que nous chargions, le tonnerre se fit entendre, ou du moins, le tonnerre de la poudre noire pensais-je, l'Empire avait engagé le combat. La bave aux lèvres je levait ma hache, comme un seul nain nous chargeâmes, et comme un seul nous frappâmes. Trois fois ma hache décrivit de mortelles arabesques, trois fois une tête tomba, les guerriers des clans firent chuter deux autres non morts. Yvin abattit son marteau, pulvérisant deux crâne tout en brandissant la fière bannière de notre clan. Le canon à vapeur extermina six autres morts vivants, éparpillant leurs os sur plusieurs mètres. La moitié du régiment adverse était tombée, et l'autre moitié s'écroula dans le fracas des os qui s'entrechoquaient.

A l'est du champ de bataille, Gaelic brandit son marteau:

"Honorons nos frères, et mourrons comme des guerriers, An zan! An zan! An zan! Nous voulons du sang! Vengeons nos frères!" Hurla le maître des runes

Le sol trembla, la terre se soulevait sous les roues du noir chariot, semeur de la mort, alors que tout paraissait finit pour le régiment de nains, mais c'est à cet instant que Gaelic pointa son bâton vers leur salut. Un rayon de soleil transperça le ciel, et, comme elle était venue, silencieuse et mortelle, l'armée funèbre se volatilisa, laissant derrière elle un sillon de cadavres.

J'ordonnais à une partie des guerriers d'élever un tertre où seraient brûler les corps de leurs frères:

"Leurs cendres seront transportées dans notre forteresse dans les montagnes noires, et jetées dans la crevasse de Kazad Dammaz, là ou les braves ne sont jamais oubliés."

Je m'approchais d'un grand guerrier aux cheveux bruns qui boitait, recouvert de sang:

"Ne t'inquiète pas Conan, le sang de la vengeance , comme la bière que nos amis ne pourront plus boire, coulera sous peu. Bientôt la perte de nos camarades sera lavée dans le sang."

Avec un œil injecté de haine, je fixais l'horizon, qu'est ce que l'avenir allait nous réserver? Est ce que nos amis impériaux étaient tombés? Valaya le savais, et elle nous guiderait vers la victoire.

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Invité Méphisto

Cette bataille se solda par un match nul, que j'ai difficilement arraché <_< l'égalité

C'était la première fois que j'affrontais les vampires seul (précédemment Reynard et moi les avions affronté une fois) avec en plus la lignée des nécrarques dont je ne connaissais rien, et je dois avoué que mon amour pour l'infanterie naine m'avais joué des tours car sans aucune machine de guerre pour le faire ***** le carosse noir s'en ai donné à coeur joie, dégomant longues barbes, mineurs, maître des runes, tandis que la magie envoyait ad patres mes brise fer.

Vous aurez la suite plus tard, si ca vous intéresse.

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J'aime beaucoup ta façon de lier les rapports les uns avec les autres, de leur donner un contexte. On finit vraiment par s'attacher aux personnages (ce qui est d'autant plus vrai dans mon cas, général nain passionné). Vraiment, j'attends la suite.

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Invité Wufei Templier Noir

Bataille comme à ton habitude très bien raconter

On a vraiment l'impression que le carrosse à fait un carnage.

Tes Héros n'ont pas pu détruire le carrosse, une force de 7 suffit !!!

:wink:

<_<

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Invité Méphisto

malheureusement aucun de mes persos n'avait une force de 7.

Le carosse noir a vraiment été le tueur de la partie.

Maudit carosse <_<

Mon gyro aura quand même été déterminant, retenant les gardes des cryptes durant de nombreux tours.

Mes guerriers des clans se sont aussi battu honorablement.

Thorgal et Yvin ont été impérieux.

Mes brise fer se sont sacrifiés honorablement. Mes longues barbes et mineurs, massacrés.

En fait mon adversaire a commis l'erreur de mettre beaucoup de goules, assez peu utile, selon moi, contre les nains.

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