Agresang Posté(e) le 28 janvier 2012 Partager Posté(e) le 28 janvier 2012 Bonjour à tous, Je viens de découvrir cette section du forum (il était temps ) qui me plaît rudement bien, en plus j'avais déjà commencé à rédiger une petite histoire en rapport à une de mes armées préférée... Les Orks! Je me suis donc naturellement dit que ça serait sympa de la montrer à des gens plutôt que la garder pour moi-même, et aussi pour pouvoir m'améliorer un peu dans la narration de mon histoire. J'ai déjà 2 chapitres finis et le troisième est bien avancé, mais comme j'écris sur papier, j'ai pas beaucoup de temps pour retranscrire sur PC. Et comme j'écris l'histoire plus vite que je ne la retranscrit, les conseils apportés ne viendrons sans-doute pas tout de suite dans les textes suivants. Mais je prend note! Bon assez causé, voilà le début: ------------ [size="3"] Mandrian, monde paradisiaque, planète unique d'un petit système solaire dans le domaine du vaisseau monde Harvan-Rhô, récemment envahie par la Waaagh! mineure du Big Boss du nom de Borzag. Depuis plus de deux semaines, le chef de guerre peau verte lançait sans relâche des assauts sauvages contre le Haut sanctuaire Eldar, mais se heurtait toujours à ses défenses bien organisées. Dans un accès de rage démentielle et à cours d'effectifs supplémentaire, il avait ordonné une ultime attaque, envoyant son propre vaisseau en orbite autour de la planète « atterrir » au beau milieu des défenses eldar. Voulant mourir dans l'honneur, il alla lui-même mener ses boyz en première ligne. [u]CHAPITRE 1 : Une journée Ork[/u] Au petit matin les Orks avaient lancé l'assaut. Dans la plaine dégagée s'affrontaient les juste défenseurs de la planète et les envahisseurs à la peau verte. Partout les balles sifflaient et le sol tremblait des explosions des obus. Debout sur la carcasse fumante d'un antigrav de guerre éventré, le Nob Garsborg essayait de superviser le champ de bataille. « Boss, y sont rapides lé Zeldar, se plaignit un Ork beaucoup plus petit que lui. -On va les avoir, 'suffit d'les taper! » Rugit Garsborg. A ce moment précis, une titanesque explosion se produisit à quelques mètres des deux Orks, réduisant en charpie leurs congénères et les laissant isolés du reste de la Waaagh!. « y va pas être content l... » mais le boy ne finit pas sa phrase et s'écroula par-terre en vidant le chargeur de son fling', quatre shurikens plantés dans la tête. Pestant contre les mères de ses ennemis, Garsborg s'empare de son kikoup', se prépare à charger, mais lui vient une idée digne de Mork. Entrant dans le véhicule pas l'écoutille défoncée, il se saisit des commandes de la tourelle en dégageant le cadavre de l'artilleur et s'installa dans son siège. Il fit pivoter la tourelle et actionna la commande de tir. Le prisme qui terminait le canon grésilla et libéra une formidable décharge d'énergie qui désintégra les pauvres Eldars qui se trouvaient à l'endroit de l'impact. Garsborg s’apprêtait à tirer à nouveau lorsqu'un rayon incandescent traversa la vitre protectrice du kotpit, lui ouvrant une plaie béante sur le côté gauche de l'abdomen.[/size] ----------- Bon c'est petit pour un début, mais déjà là j'aimerais avoir vos réactions. La suite dans pas très longtemps s'il faut un peu plus de texte pour juger. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loilodan Posté(e) le 28 janvier 2012 Partager Posté(e) le 28 janvier 2012 Salut, et bienvenue dans cette section. Apparement tu débutes et tu cherches quelques conseils. En voici 2 : 1°Enlèves l'introduction. Elle ne sert à rien : On découvrira ce qui ce passe au fur et à mesure que l'histoire se dévellope. Et si tu trouves que ce qui est dit dans l'intro est indispensable, alors c'est que ton histoire commence trop tard dans le temps. 2° Tu passes de l'imparfait au présent, puis de nouveau à l'imparfait pour le côté narratif/description. Perso, j'utilise toujours l'imparfait (je trouve que sa sonne mieux), et je n'utilise le présent que pour les dialogues. Enfin, je dirais que c'est un peu court... Bonne continuation. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 28 janvier 2012 Partager Posté(e) le 28 janvier 2012 Bienvenue dans la section, Agresang. Si ce récit est ton premier, je dirais qu'il y a du potentiel. Mais, outre les défauts que Loilodan a relever plus haut, il y a aussi 2 points qui pêchent. Premièrement, la taille. En effet, ici, pour poster, il vaut mieux que ton texte tienne au minimum dans 1 page Word taille 9, ou dans 2 pages Open Office standards taille 12. AU MINIMUM. Certes, comme tu écris préalablement sur du papier, tu peux te demander comment faire pour que la taille corresponde. C'est très simple. Lorsque tu retranscrits tes textes sur ton ordinateur, fais le d'abord sur un logiciel de traitement de texte (Open Office est téléchargeable gratuitement) puis fait un copier-coller. Deuxièmement, tu as fait un texte qui tire sur une catégorie que je nomme "le jambon à os, sans viande". C'est-à-dire que tu as le fond. C'est très bien, mais il manque la forme. Le texte se lit donc trop rapidement, et sans réel plaisir. Toutefois, c'est vrai que tu as un certain style qui s'entrevoit déjà. Travaille un peu, et je suis sûr que tu t'amélioreras très rapidement. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Agresang Posté(e) le 31 janvier 2012 Auteur Partager Posté(e) le 31 janvier 2012 (modifié) Merci pour vos réponses, Pour le passage de l'imparfait au présent j'essayais le présent de narration, pour les moments où c'est censé se passer un peu vite. M'enfin je suis pas à l'aise avec, je ferais un test avec tout à l'imparfait pour la prochaine scène de baston. Pour la taille, je sais bien que c'est trop court, c'était juste pour avoir vos toute premières impression. [quote]une catégorie que je nomme "le jambon à os, sans viande"[/quote] Je crois comprendre, merci de me le faire remarquer. ------------ [size="3"]Garsborg ouvrit les yeux, le siège su lequel il était lui collait à la peau à cause de la chaleur écrasante de l'après-midi. Une odeur de charogne le saisit à la gorge, il se leva, sa blessure lui faisait mal mais la robuste constitution de sa race rendait cela assez supportable pour pouvoir se mouvoir. Il se traîna hors du véhicule de guerre écrasé, ce qu'il vit, tout vétéran qu'il fut, lui fit un choc. Le champ de bataille s'étendait sur plusieurs kilomètres de long et lui parut plus grand que dans ses souvenirs. A environ un kilomètre devant lui, la carcasse écrasée du titanesque vaisseau spatial du défunt Boss Borzag encastrée dans l'imposante structure du Haut Sanctuaire, ruine fumante presque complètement effondrée par le crash. Il se retourna, derrière lui des morts et des carcasses de chars explosés et démantelés à perte de vue témoignaient de l'intensité extrême du combat qui avait été livré ici. Cinquante mètres environ à sa gauche, un titan revenant affalé sur un promontoire rocheux fumait, à moitié démembré et parsemé d'impacts noirs de roquettes. « Ahr! Cé c'te saloperie de chiure eud' squiggoth qu'à razé mes boyz. » se dit Garsborg tout haut. Cette injure lui donna du courage, et il se dirigea vers la carcasse du marcheur millénaire avec la ferme intention de l'escalader pour pouvoir se repérer dans cette boucherie et peut-être localiser des survivants. Il fit le chemin en réfléchissant à ce qu'il pourrait faire car après tout, le Big Boss était mort, la Waaagh! quasiment annihilée et de nouveaux Eldars pourraient revenir. Il pourrait aller dans la forêt toute proche puis remonter vers le Nord pour retrouver le site d'atterrissage où il pourrait trouver ses congénères et des provisions. Mais avant tout il voulait avoir une vue imprenable sur le champ de bataille. Après une escalade difficile et pénible, Garsborg suant et souffrant de sa blessure s'assit sur une pierre, contemplant l'énorme carnage auquel il avait participé. Les spores dégagées par les charognes des Orks s'élevaient dans les airs, formant une brume verdâtre emportée par le vent. Des silhouettes se mouvaient près d'une carcasse de Truck, rien d'autre d'intéressant à l'horizon. « Et j'ai même pas mon kikoup'. » Grogna-t-il en reconnaissant la silhouette fine d'un Eldar. Pas question d'aller se battre dans cet état, même si l'envie était très forte. Frustré, le peau-verte se tourna vers la forêt et pensa à l'itinéraire qu'il devrait emprunter. Mais estomac le tira de ses pensées en grognant, son ascension l'avait affamé. Il descendit difficilement de son perchoir, chutant plusieurs fois mais sans gravité. Au bout de quelques mètres de marche il trouva un gros squig mort, la cage thoracique écrasée avec l'empreinte de la semelle d'un méganob, mort lui aussi quelques mètres plus loin et reposant sur les cadavres d'une demi-douzaine d’Eldar. Garsborg se saisit d'un kouteau qui traînait par-terre et commença à découper les parties du squig pas trop pourries en fines lamelles et, affamé, les engloutit tout de suite après. Lorsqu'il fut rassasié il préleva la rare viande encore mangeable et l'emballa dans un paquet de peau sanguinolente au cas où, puis, satisfait, il se redressa de toute sa hauteur, faisant craquer ses vertèbres. Son regars fut attiré par une hache énorme, encore tenue par la main de son défunt propriétaire et maculée de sang. Il la trouvait jolie comme ça, sur le sol, la lame rouge de sang séché. Il la regarda plusieurs secondes sans rien faire puis, retrouvant ses esprits, se saisit immédiatement de l'arme et la contempla. Pourquoi n'avait-il pas eu l'idée de se faire une hache comme ça? Elle lui plaisait tellement! Garsborg récupéra ensuite une lanière de tissu assez longue et solide pour se fabriquer un fourreau de fortune. Un léger sifflement parvint à ses oreilles. Derrière lui, de tout petits points avançaient dans sa direction. Ils se rapprochaient vite et Garsborg devina qu'il s'agissait de motojets Eldars, sûrement en quête de survivants, il ne fallait tout de même pas perdre de temps. En vétéran, il s'accroupit et avança en essayant de ne pas attirer l'attention. Le peau-verte fulminant. Il aurait tant aimé se relever de toute sa hauteur et héler les Eldars en leur adressant des gestes grossiers, puis les massacrer un à un et rire sur leurs cadavres. Mais son expérience et son instinct de survie prirent le dessus et il ne bougea pas, ne les lâchant pas de yeux pour autant. Les ennemis entamèrent une large manœuvre de demi-tour et s'éloignèrent. Garsborg ne bougea pas avant d'être sûr qu'ils ne changeraient pas de direction. Le jour commençait à décliner. Le peau-verte avait maintenant rejoins l'orée de la forêt et se dirigea approximativement vers le Nord. Encore à plusieurs heures de marche du site d'atterrissage il décida de s'arrêter et d'allumer un feu. Difficile entreprise mais il parvint tout de même à en allumer un après deux heures d'acharnement et un arbre abattu pour se passer les nerfs. Les derniers morceaux de squig furent engloutis puis Garsborg s'assoupit presque ensuite. Une journée plutôt bien remplie pour un Ork. [/size] ------------ Fin du chapitre premier. Modifié le 31 janvier 2012 par Agresang Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loilodan Posté(e) le 1 février 2012 Partager Posté(e) le 1 février 2012 Nette amélioration entre la deuxième partie et la première. Continues comme ça. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Agresang Posté(e) le 15 février 2012 Auteur Partager Posté(e) le 15 février 2012 Bonjour à tous, [quote]Nette amélioration entre la deuxième partie et la première. Continues comme ça.[/quote] Merci, ça fait plaisir. J'ai fini de rédiger le chapitre deuxième que voilà: ------------ [size="3"][u]CHAPITRE 2 : La Moto[/u] Garsborg fut réveillé dans la nuit par une sensation de chaleur intense. Il ouvrit les yeux et vit un spectacle fascinant, en effet, le feu qu'il avait laissé brûler pour se chauffer commençait à s'étendre sur l'arbre mort, abattu la veille. Le feuillage sec s'était rapidement embrasé et le feu grandissait très vite, gagnant les feuilles d'un autre arbre, puis un deuxième, et ainsi de suite. Une petite brise soufflait de derrière lui et attisait le feu et en moins de trois minutes une trentaine d'arbres flambaient. L'incendie se propageait devant Garsborg. Ébahi, il resta toute la nuit à regarder les flammes, omnibulé par ce brasier qui ravageait de plus en plus d'hectares de forêt vierge. Le feu se propageait à une vitesse ahurissante et lorsque Garsborg se détacha de cet étrange spectacle, des dizaines et des dizaines d'hectares flambaient. N'ayant plus envi de dormir il rassembla ses affaires et se remit en route. Il ne pouvait plus avancer tout droit ni vers sa droite car le feu lui barrait la route, ainsi il continua son chemin vers sa gauche. Il n'avait pas pensé à prendre une torche et errait maintenant entre les arbres, trébuchant parfois sur des racines et se cognant la tête dans les branches trop basses. Trois heures plus tard et après un combat acharné contre un buisson à épines il arriva à la lisière de la forêt. Voyant seulement qu'il n'y avait plus d'arbres il décida d'attendre l'aube et comme sa randonnée nocturne lui avait redonné sommeil, il se rendormit. Garsborg ouvrit les yeux au petit matin et, stupeur! Il avait devant lui l'énorme champ de bataille. Avant même de hurler de colère il s'aperçut que, devant lui, trônaient plusieurs motos couchées sur le flanc, l'une d'elles encastrée dans une paroi rocheuse. Devant ce coup de chance inespéré, Garsborg voulut commenter tout haut cette découverte mais avala de travers et, après une bonne minute de toux rauque et intensive, redressa celle qui avait l'aire la plus grosse et pris place dessus. Elle était des couleurs de son clan, ce qui le réjouit de plus belle. La roue avant était renforcée de plaques de métal clouté, l'engin était propulsé par une grosse chenille. N'ayant jamais conduit une moto, il mit un certain temps avant de comprendre comment allumer le moteur. Une fois cette opération effectuée il s'exerça à tenir en équilibre tout en avançant de plus en plus vite, puis à déraper et enfin à conduire à une main. Il avait ça dans le sang, pourquoi n'avait-il jamais été tenté de faire de la moto avant? Suite à cet épisode didactique il se remit en route vers le site d'atterrissage. Mais peu de temps après être reparti, il aperçu dans son unique rétroviseur brisé deux formes élancées qui le suivaient. Il fallait dire qu'il n'était pas très discret avec sa grosse cylindrée. Garsborg reconnut tout de suite les motojets de Eldars et un sourire carnassier plein de dents se dessina sur son visage. Il se souvint d'une vieille technique dont son vieux pote Zog lui avait fait pars, qui consistait à aveugler l'ennemi en dégagent de la poussière, non pas pour le semer, mais pour mieux lui foncer dessus! Il effectua alors une série de dérapages à peine contrôlés, soulevant d'épais nuages de poussière ocre dans l'atmosphère sèche. Puis, levant sa hache bien haut au-dessus de lui il fit demi-tour et fonça à la vitesse d'un météore vers ses deux ennemis encore perdus dans le nuage rouge. Il abattit sa lourde arme sur le motojet à sa droite. Elle ricocha sur l'épaisse carrosserie du véhicule, mais toucha son conducteur. Une giclée de sang chaud aspergea le visage de Garsborg, élargissant son sourire pendant que sa victime s'écrasait au sol, le bras gauche et la tête arrachés. Riant nerveusement de sa petite victoire, le peau-verte esquiva l'autre Eldar, entreprit un large virage, localisa son autre adversaire qui faisait de même en ouvrant le feu. Les shurikens ricochaient sur les protections de sa puissante machine. Garsborg baissa la tête pour se protéger et vit une poignée rouge semblable à celles des freins. N'écoutant que son instinct il s'en saisit et une rafale d'une centaine de balles sortit des canons jumelés qui équipaient sa moto. Hurlant de joie il poussa son moteur à plein régime en fonça droit vers son ennemi qui vira vers la gauche, tentant d'échapper à l'ork. Malgré cette vitesse de folie, Garsborg rétablit sa trajectoire. La vitesse était tel que les pierres se dressant sur son chemin étaient pulvérisés sous les solide roues cloutées du bolide. Le peau-verte se saisit à deux mains de sa hache qu'il avait coincé derrière son siège et l'abattit à l'arrière de l'antigrav ennemi ralentit par son virage. Le choc fut d'une violence extrême. La hache tint bon, pas le véhicule. La lame grossière entailla profondément le moteur antigravitique qui cessa aussitôt de fonctionner. Garsborg eu juste le temps de lâcher le manche du gros kikoup' et de virer à droite, évitant ainsi un profond cratère. Le motojet encore porté par sa vitesse alla s'écraser plus loin sur le sol dans un fracas infernal. Le pilote fut éjecté à une bonne dizaine de mètres en hurlant et finit son vol plané empalé dans les morceaux pointus du blindage d'un truck détruit. L'ork, heureux de constater que sa blessure ne l'avait en rien gêné, retourna récupérer sa lourde arme de métal. Elle était légèrement tordue mais il trouva qu'il avait ainsi une meilleure prise en main. Content de sa petite bagarre, pour garder un souvenir de son premier combat en moto, il alla chercher la tête de l'Eldar empalé pour la planter sur le pik' à trophée de son engin, puis repris la route vers le campement. Cette planète avait perdu tout son intérêt pour lui et, en Nob capricieux, il désirait déjà repartir.[/size] ------------ Pour infos inutiles, le chapitre 3 est écrit et le 4 en cours. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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